Saint-Vincent : questions sur son culte antique (2)

Ffrrr oui… d’eux, l’arbre d’œufs

la conne « Est-ce anse ? »

pour en délier les langues…

Le martyre de saint Vincent, patron des vignerons, des taverniers et des vinaigriers, et donc quelque peu de la viticulture, est lié, à tout jamais, à celui de son frère Oronce, qui lui n’est, curieusement, pas trop documenté.

Oronce, un inconnu très suggestif

On peut mettre Oronce en rapport avec l’Oronte, devenu Al Assi, en arabe, fleuve rebelle, mais ici… il peut être lié à Antioche et aux pèlerinages et aux voyages vers le lieu de la Passion du Christ.

En France, pour qui connaît ce pays, on peut se l’associer aux « ronces » et à ses épines, comme à la Couronne d’épines de la Sainte-Chapelle de saint Louis, à « Auron se » (Bourges par avarice), « aurons ce », « auront se », « or rond se », “eau rompt ce…” ou “haut rompt ce…”, etc., ou encore “oh rond ce…” murs de ronds de cuir, ce qui semble exact ici comme pour l’Oronte et Antioche.

On doit le mettre linguistiquement en rapport avec le verbe latin ronco, ou son jumeau, runco, runcare, sarcler, épiler, runco, runconis, le sarcloir, runcina, le rabot, runa, runae, sorte de javelot, ou runes, écritures runiques des peuples barbares germaniques :

– “Ya veux l’eau !”

– Oui, oui ! Germaine, amène-lui la bouteille…

Vignettes-devinettes dos 1

Il est vrai que, pour ceux qui adorent les mûres, les ronces, oh, cela gratte parfois un peu, mais saoulent agréablement à la fin de l’été et au commencement de l’automne, hotte aux tonnes, hôte haut aune, lorsque les mûres sont bien noires, juteuses et naturellement fermentées, et que l’oxydant rougeoie les joues de joies, et les feuilles des vignes et de ses collègues arboricoles, avant la traversée de l’hiver.

Par contre l’haute teutonne, elle boit de la bière, des shops en pins de la forêt noire.

Rappelons ici que la vigne, à qui tout notre respect est dû pour notre survie quand les sources, ruisseaux, rivières et fleuves sont empoisonnés, est une plante grimpante de 10 à 15 mètres de hauteur, prenant habituellement appui sur des ronces, plantes épineuses portant des mûres, pour aller retrouver quelques gourmands de grands arbres, entre quelques arbres fruitiers d’orée de bois, mêlés de lierre.

Voir photos suivantes…

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L’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (37)

Offrez-vous une part de la mémoire anti-barbare
de Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer
avec son histoire romaine, franque, royale, républicaine…
et l’architecture de son église romane, gothique, Renaissance…

Couverture de l'ouvrage sur l’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (37)

Couverture de l’ouvrage sur l’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (37)

L’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (37) en 1991

Surtout, n’oubliez pas d’ajouter le chapeau chinois : l’accent circonflexe !

Ouvrage actuellement de 44 pages.

Nicolas Huron : L’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (Indre-et-Loire) – Dossier ECCLESIA février 1991, ouvrage de la conférence du 23 février 1991 – Université François Rabelais – Tours –ASDRA – ASsociation pour le Développement de la Recherche Appliquée à l’animation culturelle en Région Centre – sous la direction de Bernard CHEVALIER, professeur d’histoire médiévale – Droits rachetés par Nicolas Huron, responsable et créateur du projet ECCLESIA pour l’ASDRA.

Ouvrage associatif aux droits acquis par son auteur,

relu et corrigé bénévolement la veille de sa conférence le 22 février 1991
par ma mère, Marie-Claude HURON, née DEPUSSAY à Françay (Loir-et-Cher),
sa maison d’édition véritable, blésoise,
en sa bonne ville royale et agricole de Blois,
à une époque où son auteur, moi-même,
était encore illettré et dysorthographique.

Ancienne version à télécharger :

Format.pdf

ou imprimé sur papier sur demande : Contact !

Etude à rénover…

avec bénéfices possibles à la clé pour une association locale ou un particulier

avec 32%/€net et

avec mes compléments de recherches…

Grâce aux perfectionnements de la toponymie, une des branches linguistiques fructueuses de l’Histoire, on peut faire progresser l’étude de la compréhension de l’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (Indre-et-Loire).

Lire cet article complémentaire pour mieux comprendre.

Exemple de lois de l’attraction en grande sémantique :

Le toponyme de Saint-Vincent du patron des vignerons, des taverniers et des vinaigriers, dont le culte est lié à l’humour et au pardon, de l’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (Indre-et-Loire ; 37), évoque le vin, le raisin et le sang des martyres de l’Empire romain dont la couleur de l’autorité était le rouge, comme celle du manteau et de la puissance du Christ… Il évoque aussi bien d’autres épouvantables révélations à qui veut bien les entendre.

et…

Ai-je manqué à mes deux voir, mets devoirs, si yeux, cieux… ?

On peut sentir ou non,
toucher au bu… t’oeufs, eux, euh, ou non,
caresser, frôler, mesurer, ou non
sans s’approcher ou sang s’approcher ou non
réfléchir, jauger, chauffer ou non
humer grippé, enrhumé, ou non,
goûter la famine ou non,
voir aveuglément ou non,
entendre comme un sourd ou non,
comprendre sans culture ou NOMS…

Pluriel singulier
ou singularité plurielle ?

Villedomer
Vis-le d’hommes aire, ère, air…
en parlant des vis-le, des viles, des villes…
en parlant des dômes d’ormes d’hommes…
(la toponymie identifie les Hommes comme des ormes)
en parlant d’eau mer, d’eaux mère, dos mets re…
des grandes transhumances des grandes mammifères,
trans-hume-anse… en Ce !
Vile d’hommes aire, ère, air…
en parlant des aires de battage,
des airs respirables ou crânes,
des ères géologiques ou historiques
ou des suffixes imaginaires.

Il est possible de pousser les références sémantiques très loin si on considère que le terme villa latin se prononçait “ouila”, que le terme gaulois oui signifie “mouton”, et que la phonétique “la, là, las, l’a…”, évoque la féminité (« oui, y a » ; « où -illa », humide et féminin, ou bien « vie il l’a » du vrai droit romain du pater familias), un lieu précis, la possession, la propriété, l’habitation sédentaire, et l’attachement par un las, un lasso, le lien d’un sceau ou d’un sot, notamment pour le contrôle des marchandises, du paiement des douanes, et pour la traçabilité qui ne remonte, là, pas d’hier… Villedômer se trouvant près de la route entre Château-Renault et Tours, entre Bordeaux et Paris, la grande voie de l’Aquitaine à la Germanie.

On y voit donc le commerce, les péages, les racketteurs, les coupeurs de routes, le banditisme légal ou non, la justice inique, les trafics mafieux, les pots de vin,  la servitude et l’esclavage, mais aussi le sang du sacrifice, dans ce petit vallon du Madelon, masculin de la prostituée Madeleine, auprès de la Brenne.

Vérifiable sur cartes papier ou sur Géoportail !

L’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles est un toponyme de route de frontières antiques, un point de contrôle, en retrait, avant le hameau de la Chaîne et avant Monnaie, en direction de Tours, sur la RN10, et dans l’autre sens avant Château-Renault, Vendôme, Chartres, Paris et les plaines et forêts germaniques.

Retrouvables sur cartes pas pillées ou sur Géoportail !

Sans doute qu’en aval, dans la Brenne, le cours d’eau était souvent rouge pour qui connaît les boucheries et les tanneries de Château-Renault, de Saint-Cyr-du-Gault et de Saint-Gourgon.

Toutes ces considérations peuvent ainsi faire remonter le toponyme Villedômer à des époques beaucoup plus reculées que l’Empire romain, et même sans doute, bien plus lointaine que l’époque gauloise des esclavagistes celtes germains ou asiatiques.

Jules César avait signalé que les Gaulois avaient peur que le ciel leur tombe sur la tête. La chose se comprend encore à Villedômer, non seulement à travers le culte de saint Vincent et de saint Gilles, mais aussi parce que la commune est en limite de grès ferrugineux exploités autrefois dans les environs de Château-Renault, à la Ferrière, Saunay, etc., grès ferrugineux que l’on trouve, sous forme de moellons ramassés par les paysans et disposés en arêtes de poissons dans les maçonneries les plus anciennes de l’église.

Il évoque le soufflet, mais aussi le souffle d’un météore faisant remonter des Enfers le fer des guerriers, celui des chaînes et des outils de l’esclave, et des clous des crucifiés : “vile dôme air”, “vis le dôme ère”, “vile d’eau mer”, etc., souvenirs de la disparition des dinosaures du Trias, du Crétacé, la roche locale, et du Jurassique, et de l’apparition du plateau beauceron au Miocène, présent là, et du règne des oiseaux, des serpents, des mammifères, des plantes à fleurs et leurs papillons… et de la lutte de millions d’années contre le rat mangeur d’œufs et désertificateur de l’Île de Pâques.

Voyez-en la géologie de nougat sur place et sa carte sur Géoportail !

Les évocations contenues dans le toponyme de Villedômer sont si effrayantes quand on en prend conscience que les habitants du lieu ont fait appel à un autre saint pour en exorciser les frayeurs qui pouvaient en naître.

Le caractère de fou et de drôle évoqué par le martyre de saint Vincent est évoqué par la syllabe gauloise mer, mera, mero, qui a le sens de fou, d’agité, mais aussi celui de grand. Cette évocation de la folie est confirmée et tempérée par le culte associé de saint Gilles, un des patrons des pèlerins (voir la racine pel-, étranger à travers mon article sur le toponyme de Pelleterie), des nomades et des camping-caristes, moine décédé vers 720, fondateur d’une abbaye bénédictine en Septimanie, sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, non loin de Narbonne, représenté généralement avec sa coule bénédictine et à sa douce biche. Ce saint, dont le nom signifie notamment “otage”, “chevreau”, voire “bouclier”, est invoqué contre la panique, le mal caduc, la folie ou les frayeurs nocturnes, pour résoudre les cas désespérés, et spécialement pour soigner les maux de ventre et les peurs des enfants.

Ayant perdu le “a” de villa, Villedômer évoque le Leu, le loup, c’est-à-dire le Romain serviteur de la Louve, Rome, surnom de prostituée, « vile Leu ». Le montage phonétique donne ainsi une référence au mouton gaulois, à son égorgement par le loup ou par le Romain. Il évoque par son “dôme” qui signifie seigneur (à en croire le tombeau d’Auguste César à Rome, ou les thermes des termes orgiaques de Baïa, Baïes, non loin de Naples, sur des roches volcaniques), et dont la couleur de la puissance est le rouge, son architecture, le dôme, son ventre, le Panthéon romain, celui de la mère des loups, Rome.

On peut aller très loin, avec la racine dom– latine et ses références au toit, à la toiture, à la terrasse, à la domesticité et ses races bovines, ovines, caprines, avicole, etc., aux élevages concentrationnaires, à la domina, la maîtresse, au dominus, au saigneur, au seigneur, au Seigneur libérateur et Sauveur… Oh ses nieurs !

D’autres évocations humoristiques peuvent être nées d’un curieux, « cul rit yeux », état de folie : « vile dos mère », « vis le dôme mère », « vis le dos mère », à visiter sans doute aussi par derrière… avec son chœur en cul de four, comme randonnée digestive…. Tout un pot-aime… dont quelques concepts ont été évoqués ci-dessus.

L’abside romane en cul de four de l’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (37)

L’abside romane en cul de four de l’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (37)

L’abside romane en cul de four
de l’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (37)
blindage toujours près à faire face au brûlant et rouge soleil levant de l’Orient,
voire en pire, en « vile dôme met re… » rouge.

Photo Nicolas Huron

Césure de fin pour doc

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L’église Saint-Vincent d’Orbigny (Indre-et-Loire)

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de Saint-Vincent d’Orbigny (Indre-et-Loire ; 37)
avec son histoire romaine, franque, royale, républicaine…
et l’architecture de son église romane, gothique, Renaissance…

L'église Saint-Vincent d'Orbigny (37) en 1991

L’église Saint-Vincent d’Orbigny (37) en 1991

Ouvrage actuellement de 42 pages.

Nicolas Huron : L’église Saint-Vincent d’Orbigny (Indre-et-Loire) – Dossier ECCLESIA mai 1991, ouvrage de la conférence du 4 mai 1991 – Université François Rabelais – Tours –ASDRA – ASsociation pour le Développement de la Recherche Appliquée à l’animation culturelle en Région Centre – sous la direction de Bernard CHEVALIER, professeur d’histoire médiévale – Droits rachetés par Nicolas Huron, responsable et créateur du projet ECCLESIA pour l’ASDRA.

Ouvrage associatif aux droits acquis par son auteur

relu et corrigé bénévolement la veille de sa conférence le 22 février 1991
par ma mère, Marie-Claude HURON, née DEPUSSAY à Françay (Loir-et-Cher),
sa maison d’édition véritable, blésoise,
en sa bonne ville royale et agricole de Blois,
à une époque où son auteur, moi-même,
était encore illettré et dysorthographique.

Ancienne version à télécharger :

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Etude à rénover…

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avec 32%/€net et

avec mes compléments de recherches…

Grâce aux perfectionnements de la toponymie, une des branches linguistiques fructueuses de l’Histoire, on peut faire progresser l’étude de la compréhension de l’église Saint-Vincent d’Orbigny (37).

Lire cet article complémentaire pour mieux comprendre.

Exemple de lois de l’attraction en grande sémantique :

Le toponyme du patron des vignerons, des taverniers et des vinaigriers, dont le culte est lié à l’humour et au pardon, de l’église Saint-Vincent d’Orbigny (Indre-et-Loire ; 37), évoque le vin, le raisin, par la racine grecque bin-, boire, mais il évoque aussi le sang par le caractère rosé de son calcaire local un peu ferrugineux présent sur la partie sud de la façade ouest de l’édifice.

La façade ouest de l’église Saint-Vincent d’Orbigny

Photo récente de Nicolas Huron

et…

Ai-je manqué à mes deux voir, mets devoirs, si yeux, cieux… ?

On peut sentir ou non,
toucher au bu… t’oeufs, eux, euh, ou non,
caresser, frôler, mesurer, ou non
sans s’approcher ou sang s’approcher ou non
réfléchir, jauger, chauffer ou non
humer grippé, enrhumé, ou non,
goûter la famine ou non,
voir aveuglément ou non,
entendre comme un sourd ou non,
comprendre sans culture ou NOMS…

Pluriel singulier
ou singularité plurielle ?

Hors bine n’y…
Ors bi nie !
Orbe y nie,
gna, gna, gna…
Avoue, à vous, av’où ?

Ce toponyme nous parle du rouge du feu, de l’incendie, avec son suffixe « -igny » accolé au latin orbis se référençant à un cercle ou à une cour des affaires, ou bien au latin orba, une orpheline, à travers le verbe orbo, orbavi, orbatum, orbare, priver quelqu’un de ses enfants ou tout simplement priver de.

Ce nom évoque aussi le sang des esclaves castrés, de leurs familles égorgées, et la viande sanguinolente grillée… les armes rouillées des bandits de grands chemins et le rouge de l’autorité romaine esclavagiste à la justice inique.

Orbigny est un toponyme de frontières antiques entre l’ancien diocèse de Tours et l’ancien diocèse de Bourges. Le toponyme de son église Saint-Vincent rappelle les martyres de l’Empire romain et la libération de ses esclaves par la religion chrétienne ou leur mise sous tutelle, parfois meurtrière.

Orbigny évoque aussi un orbe, une orbite, grillé, et ainsi la course du soleil, son lever rouge comme son coucher, mais aussi la rouille rouge du fer de l’immense loupe de grès ferrugineux sous-jacente exploité par les forgerons.

Vérifiable sur place, sur l’édifice lui-même,

et sur la carte géologique, sur Géoportail !

D’autres évocations humoristiques ou terrifiantes peuvent être nées d’un salutaire état d’ivresse : « or bi nie », « or bine y », « hors bi nid », etc. Tout un poème… dont quelques concepts ont été évoqués ci-dessus.

Avec le grec ancien, dont le latin n’est qu’un squelette,

on peut encore aller plus loin… avec Le Grand Bailly !

Osez l’Histoire, science de toutes…

Césure de fin pour doc

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L’église Saint-Vincent de Neuvy-le-Roi (Indre-et-Loire)

Offrez-vous une part de la mémoire anti-barbare
de Saint-Vincent de Neuvy-le-Roi (Indre-et-Loire)
avec son histoire romaine, franque, royale, républicaine…
et l’architecture de son église romane, gothique, Renaissance…

L'église Saint-Vincent de Neuvy-le-Roi (37)

L’église Saint-Vincent de Neuvy-le-Roi (37)

Ouvrage actuellement de 45 pages.

Nicolas Huron : L’église Saint-Vincent de Neuvy-le-Roi (Indre-et-Loire) – Dossier ECCLESIA mai 1991, ouvrage de la conférence du 24 mai 1991 – Université François Rabelais – Tours –ASDRA – ASsociation pour le Développement de la Recherche Appliquée à l’animation culturelle en Région Centre – sous la direction de Bernard CHEVALIER, professeur d’histoire médiévale – Droits rachetés par Nicolas Huron, responsable et créateur du projet ECCLESIA pour l’ASDRA.

Ouvrage associatif aux droits acquis par son auteur

relu et corrigé bénévolement la veille de sa conférence le 22 février 1991
par ma mère, Marie-Claude HURON, née DEPUSSAY à Françay (Loir-et-Cher),
sa maison d’édition véritable, blésoise,
en sa bonne ville royale et agricole de Blois,
à une époque où son auteur, moi-même,
était encore illettré et dysorthographique.

Ancienne version de mon étude inventaire

à télécharger : Format.pdf

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avec mes compléments de recherches…

Pourquoi St-Vincent à Neuvy-le-Roi ?

Sain vain sang ? Ceint vin s’en… ?

Grâce aux perfectionnements de la toponymie, une des branches linguistiques fructueuses de l’Histoire, on peut faire progresser l’étude de la compréhension de l’église Saint-Vincent de Neuvy-le-Roi (37).

Lire cet article complémentaire pour mieux comprendre.

Exemple de lois de l’attraction en grande sémantique :

Le toponyme du patron des vignerons, des taverniers et des vinaigriers, dont le culte est lié à l’humour et au pardon, de l’église Saint-Vincent de Neuvy-le-Roi (Indre-et-Loire ; 37), évoque une nouvelle installation habitable, sentiment de vie nouvelle et de victoire (c’est-à-dire, historiquement, d’invasions et de massacres), la royauté du Christ et sa Résurrection, et celle du roi, son lieutenant et représentant sur terre pour les affaires temporelles, du « roux à » l’aurore, et de la couleur rouge du sang des victoires et de celui de la Passion, couleur de la puissance du Christ, dont le T, la Croix, est symbole de trophée romain, etc., mais aussi couleur du couchant.

Lieu tenant ? Tenant de lieux ? Tenancier ? Tenant scié ?

A moins que le « Neu » de Neuvy ne parle que de glands… et de têtes de nœud…

Ce nom est donc une invitation, comme le furent les USA, les Amériques (qui ne sont que les Indes du Grand Orient), et donc une souricière, ou un délestage, pour l’autorité légitime locale en place : ROME !

C’est très tentant, en parlant des tentes préconisées par César pour ses légionnaires

à Orléans… orthographiable en entendement « hors laid an », « or les Han ! », ou…

Genabum ou Cenabum, en 51 avant Jésus-Christ pour ceux qui connaissent…

après le pillage, l’incendie, la vente et la ruine totale de l’imperium gaulois

qui entraîna la création stratégique, pour Rome de CAESARODUNUM

nouvelle cité romaine de principe augustéen, toute en TOURS !

En effet, car géographiquement, Neuvy-le-Roi, apparaît comme l’autorité de frontière, en retrait, au nord de la grande route reliant Château-Renault à Château-la-Vallière, route menant d’Angers ou du Mans, à Orléans, via Blois.

Encore en corps…

En effet, car géographiquement, Neuvy-le-Roi, apparaît comme l’autorité de frontière, en retrait, à l’Est de la grande route reliant Château-du-Loir à Tours, route menant du Mans à Tours, et de la Normandie à Lyon, via le Cher.

Encore en cors…

En effet, car géographiquement, Neuvy-le-Roi, apparaît comme l’autorité de frontière, forcément en retrait, au sud de la frontière avec le diocèse du Mans, ancien territoire de la nation gauloise des Cenomans, dont faisaient partie Chemillé-sur-Dême et son église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte, et les Hermites, avec son église Saint-Benoît. Les limites des communes associées à cette défense, Bueil-en-Touraine, avec son église Saint-Pierre (agrandie avec une collégiale dédiée à la Vierge Marie, à saint Michel et aux saint Innocents) et Villebourg, avec on église du légionnaire saint Martin, semblent indiquer une subdivision d’une circonscription territoriale administrative plus étendue que la simple paroisse de Neuvy-le-Roi aujourd’hui, à en croire leurs formes en pelures d’oignons (configurations étudiées dans le Berry par Jacques Péricard).

C’est vrai que pour les descendants de rois… c’est assez engageant et…

on dit que « qui se ressemblent, s’assemblent » pour les mettre à pieds…

ou à piller, si Rome, Tours, voire Londres, ou Paris, commenceraient à…

C’est très important, car Neuvy-le-Roi, se trouve sur la route entre les agités du bocal, comme nous l’a signalé Jules César en parlant des peuples de l’Océan (voir mon article sur Limeray), et les mines ferrugineuses des trois diocèses de Chartres, du Mans, et de la Touraine, qui peuvent se boire, se goûter, et avoir quelques effets sur des personnes déjà un peu minéralisées aux cristaux du Massif Armoricain… ou totalement addicte à la viande rouge, sachant que le fer nourrit les globules rouges, et évite à l’église Saint-Nicolas de la Ferrière, sur le Chartrain, après celle de Saint-Pierre à Marray, d’avoir à s’occuper du problème de ces anglo-saxons, et autres bandits prétendument dits Bretons…

Son nom évoque aussi l’occident, l’oxydant, pays du crépuscule de la ferraille, par sa rouille, et de l’automne, couleur du toponyme, prélude à l’hiver, ou à la tombée rouge du jour, l’heur roux à…, et aux espérances planétaires de sa renaissance au matin à l’Orient, alors riant, à l’or riant… et pétillant, ou bien ôte re-choses… Astre haut nomme mi !

D’autres évocations un peu plus humoristiques, donc bassement spirituelles, peuvent être nées d’un salutaire état d’ivresse : « neuve vie », « nœud vie », « nœuds viles », « Leu roues a », etc. Tout un poème… dont quelques concepts ont été évoqués ci-dessus.

et…

Ai-je manqué à mes deux voir, mets devoirs, si yeux, cieux… ?

On peut sentir ou non,
toucher au bu… t’oeufs, eux, euh, ou non,
caresser, frôler, mesurer, ou non,
sans s’approcher ou sang s’approcher ou non,
réfléchir, jauger, chauffer ou non,
humer grippé, enrhumé, ou non,
goûter la famine ou non,
voir aveuglément ou non,
entendre comme un sourd ou non,
comprendre sans culture ou NOMS…

Pluriel singulier
ou singularité plurielle ?

Noeuds vies, le roux a…
Noeuds viles roua !
Noeuds villes roue a, à, ah, ha !
Neuve vie le Roi !

Neuvy, un mot gaulois abordable par le grec ancien

en en consultant Le Grand Bailly !

Pour commencer à entendre

avec le jeu des toponymes : Françay !

et aller plus loin avec les noms de lieux de la commune :

Comment trouver l’origine d’un nom de lieu : méthodes et outils…

Et encore, en corps… plus loin : Contact !

Mon panneau explicatif installé dans la commune :

Un petit diaporama à ma boutique et services

et plus si affinités…

Césure de fin pour doc

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Saint-Vincent : questions sur son culte antique (1)

Fruit de l’arbre de la co naissance

pour en délier les langues…

P’tit coup à boire ? Du raisin ? Du sain vain sang ?

– Le patron des vignerons vous invite à boire son raisin et vous présente, à défaut d’éléphant rose, les moellons rosés de l’église d’Orbigny, celle de saint Vincent, patron des vignerons, et en haut à gauche une soucoupe volante venue de la face cachée de la Lune…
– Monsieur Loyal, c’est le cirque d’accord, mais vous avez un p’tit coup dans le nez ?
– Non, c’est l’Auguste… PAF ! Snif ! Nez rouge, né rouge ! Sale temps pour la saison !

Questionnements successifs infinis un peu définis

Animations-conférences-spectacles bénéficiaires à la clé…

L’église Saint-Vincent d’Orbigny (37)

L’église Saint-Vincent d’Orbigny (37)

L’église Saint-Vincent d’Orbigny (37)

Mon étude historique et architecturale.

Photos Nicolas Huron

Façade ouest de l’église Saint-Vincent d’Orbigny (37)

Façade ouest de l’église Saint-Vincent d’Orbigny (37)

Façade ouest de l’église Saint-Vincent d’Orbigny (37)

Le blanc est au nord, le rosé au sud… Logique ! Et le rouge ?

Photos Nicolas Huron

Illustrer votre lecture

Au regard des cartes et inventaire partiel ci-joint, nous posons ci-dessous ces questions d’historien que personne ne se posent.

Faites donc ici comme des clients de tavernier ou de vignerons, avec le patron…, buvez cette connaissance jusqu’à la lie, tout en laissant le lit devin, et celui de vain, à d’autres. Encore une et son cadavre que les B… n’auront pas !

Pour mieux réussir, il faut ouvrir cet article et y sortir, et avec d’autres fenêtres, les cartes des Saint-Vincent de France et de la Région Centre.

Saint-Vincent, diacre et martyr (+ 304 ou 305)

Patron des vignerons, des taverniers et des vinaigriers, saint Vincent, diacre de Saragosse, en Espagne, fut arrêté et fut déporté à Valence par l’autorité romaine, martyrisé, torturé, soumis aux plus atroces supplices, et assassiné, en 304 ou 305, avec son évêque saint Valère, avec son frère saint Oronce, et avec saint Victor, sous la grande persécution de Dioclétien.

Son martyre est commémoré le 22 janvier. Le saint est représenté souvent portant l’évangéliaire et la palme du martyr, accompagné parfois des outils de son supplice, le grill, et un cep de vigne, ou deux, portant des grappes de raisins. Son culte est associé à l’humour et au pardon.

Tout le monde sait, à la grande époque de prospérité de l’Empire romain, que le grand héros Ulysse avait bourré la gueule du cyclope Polyphème, avant de lui crever l’oeil pour se tirer avec ce qu’il lui avait dérobé.

L’Histoire nous apprend que l’autorité romaine avait auparavant laissé quelque peu les Chrétiens s’exprimer et pratiquer la religion chrétienne, sans doute pour mieux les identifier et pour les exterminer… Et, sur ordre de l’Empereur, tous les édifices chrétiens du IIIe siècle furent arrachés plus profond que leur fondation. En connaissez-vous le style ? Les formes ? Le décor ?

Résistance originale à la torture face à une justice inique

La tradition chrétienne raconte que saint Vincent, soumis aux plus cruelles atrocités, riait, plaisantait et se moquait de ses tortionnaires.

Vincent signifie vainqueur. Son nom provient du latin Vincentius, un surnom romain provenant du mot latin vincens, vincentis, vainqueur, et du verbe latin vinco, vincere, vaincre à la guerre, être vainqueur, triompher de, venir à bout de, surpasser, avoir le dessus.

Vincius est le nom du dieu Mars chez les habitants antiques de Vence, en Narbonnaise (Alpes-Maritime ; 06), commune qui en porte encore le nom.

Donc si vous portez ce nom… Prudence !

Un culte antique certain

Sa vie a été racontée par le poète Prudence (348, + vers 415) dans “la couronne des martyrs”.

Le culte de saint Vincent est attesté par saint Augustin (354-430), donc dès la fin de l’Antiquité et pendant les grandes invasions barbares germaniques.

Une cathédrale lui a été dédiée dès le VIe siècle, au Haut Moyen Age : l’église cathédrale Saint-Vincent de Viviers (Ardèche ; 07).

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