En apprendre de Françay à partir du toponyme La Pelleterie
Mais aussi avec les Pelleteries, la Pelletrie, les Pelletries, la Pelterie, les Pelteries, la Peltrie, les Peltries : abatoirs, tanneries, boucheries, péages, charniers, fortifications, pillards bretons, etc.
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Toponyme La Pelleterie, La Pelterie
Cadastre napoléonien de Françay (Loir-et-Cher)
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Radical, suffixe, orthographe, des notions à revoir
Les toponymes en –erie sont nombreux. Exemple : La Tibergerie (Françay, 41) ; La Bécherie (Hillion, 22) ; la Connerie (Guérande, 44) ; L’Anerie (Lancieux, 22) ; l’Archerie (Saint-Gilles, 35) ; l’Aumônerie (Sainte-Marie, 35) ; l’Épinerie (Tréauville, 50) ; l’Hôtellerie (Trévron, 22) ; l’Orangerie (Quimper, 29) ; etc. ils sont pléthore.
Le suffixe –erie, indiquent en français, généralement, l’endroit où se fait une action et l’action elle-même. Par exemple : la charcuterie, la joaillerie, la connerie, la goujaterie, la boulangerie, la droguerie, la gendarmerie, la fumisterie, la déchetterie, la pêcherie, etc.
Il est associé généralement à des métiers ou à des lieux de ces métiers.
Le “t” précédent le suffixe –erie, peut être, généralement, soit un diminutif (ici ce n’est pas le cas), soit l’expression d’un certain dégoût, par le crachat qu’exprime cette consonne, ce qui est ici le cas.
Rappelons ici, qu’au Moyen Age, le rire était considéré comme suspect de diableries, bref suce-pets. Donc le “t” se rapporte autant à ce qui précède qu’à ce qui suit, dans, La Pelleterie.
Le radical, dans le toponyme La Pelleterie semble être “pelle” ou “pèle” ou bien “pellet” ou “pèlet”, en prononçant le “t”, « eux-te ».
Le mot possède cependant deux autres radicaux phonétiques : « ter, tri » et « terri »…
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Questionnement orthographique inutile et réalité phonétique
Les mentions écrites médiévales de lieu-dit antérieures à l’Epoque moderne (XVIe-XVIIIe siècle) sont rares. Etudier les mentions écrites anciennes est donc toujours absurde. Les rares mentions écrites anciennes servent essentiellement à étudier l’histoire de l’écrit et surtout l’histoire de la façon dont l’autorité administrative, étatique, cléricale, nobiliaire, etc., s’approprie la phonétique d’un nom. C’est une science à part propre à la diplomatique.
La plupart des personnes qui écrivaient les noms de lieux, que ce soit au Moyen Age, à l’Epoque Moderne ou à l’Epoque contemporaine, après la Révolution française, ne comprenaient pas, la plupart du temps, le sens des noms de lieux qu’ils étaient amenés à transcrire à l’écrit. C’est encore presque toujours le cas. Pourquoi ? Parce qu’ils ne sont pas chez eux.
Afin de prouver qu’à la suite de la Terreur républicaine, la République, le Premier Empire, les régimes démocratiques censitaires, etc., bref les Parigoths, les Germains de l’avancée de la Germanie sur notre territoire, ont fixé, au XIXe siècle, notamment par les agents du cadastre, par usurpation avec une incompréhension typiquement administrative parisienne, la phonétique de la toponymie paysanne locale de nos régions.
Indiquons simplement, que presque plus personne ne comprend ses noms de lieux, et que, pour la Pelleterie, j’ai trouvé, fort heureusement, sur Françay (41), l’orthographe de la Pelterie, aujourd’hui cartographiée La Pelleterie, qui pourrait s’écrire aussi avec un “y” ou “–ye”, et que la première syllabe pourrait aussi s’écrire “pai”, même suivi d’un « e », d’un « s », d’un « x », etc. Questions de mode…
Cette fixation de l’orthographe des noms de lieux que presque plus personne ne comprend dans le monde presque totalement artificiel dans lequel nous vivons, nous oblige à un travail archéologique linguistique minutieux propre à la diplomatique et à la recherche de terrain pour comprendre l’origine des toponymes français.
Un travail phonétique et faune éthique…
Ainsi, La Pelleterie n’est pas la seule orthographe présente en France. Il reste, par exemple, un peu plus d’une quizaine de « La Pelterie » ou « Les Pelteries » (voir ci-dessous), une douzaine environ de « La Peltrie » ou « Les Peltries » (voir ci-dessous) et une douzaine de « La Pelletrie » ou « Les Pelletries » (voir ci-dessous).
Bref ! Un pépin, sans doute…
Pourquoi ? Simplification et usurpation administrative…
Auto-destruction programmée de pillards nomades, surtout urbains.
Oui, un urbain est un nomade, no-made… qu’importe la ville.
C’est dentaire, sans doute…
Adam ?
C’est le système implosif du trou noir soi-disant « rentable » devis-factures ?
Qui sait ce que veut dire Verneuil ? Paris ? Blois ? On parie ?
Mes réponses, elles, peuvent rapporter… et vous rapporter !
Comme on dit, “Ah bon entendeur”… ça tend ? Non, ça entend ? ça comprend ?
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Les toponymes la Pelleterie en France
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Toponymes La Pelleterie et les Pelleteries en France
Carte Nicolas Huron
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Une évocation d’abattoir et de tannerie
En français, le toponyme La Pelleterie ou, plus rarement, Les Pelleteries, évoquent le fait de peler une bête, c’est-à-dire de lui retirer la peau pour, généralement, la récupérer et en faire du cuir. Cette peau est traitée et tannée. Sans colorant, elle prend alors la couleur de ce qui empêche sa putréfaction, par exemple, celle du tannin, orthographié aussi tanin, tiré entre autres procédés, de l’écorce du chêne liège ou de chêne vert.
Pelleterie… Photo sans doute d’Yvonne Depussay, son épouse.
Archives Nicolas Huron
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Dans ce cas précis, le terme de “bête”, utilisé dans le paragraphe précédent la photo, comprend les bovins, les ovins, les caprins, etc., mais aussi les esclaves, si on considère l’Empire romain dans ses abominables pratiques.
Euh… Ris !
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Une évocation de déboisements, de terrassements, de charniers
Le toponyme peut évoquer une zone totalement pelée, déboisée, entièrement soumise à l’agriculture, un désert agricole.
En français, le toponyme La Pelleterie, évoque également le verbe pelleter, dont l’orthographe peut varier dans des documents précédents l’atroce et abjecte Terreur de la Révolution française et la République qu’elle a enfantée.
Ce verbe évoque l’outil, la pelle, les terrassements, c’est-à-dire les renforcements, soit de parcelles, par des fossés, des talus, des chaussées, etc., soit de défense : valum, fossés, trous, pièges, trappe, sape, rempart, motte, butte, etc., notamment de renforcement de frontières, et, évidemment, de charniers qui vont avec, étant entendu que ce terme, qui ne désigne aujourd’hui, barbarie oblige, que des charniers humains, évoquait aussi autrefois des charniers de boucherie animale. Mais, sous l’emprise des Celtes gaulois, puis de l’Empire romain… les deux forcément, sont évoqués.
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La Pelleterie, un nom gaulois de frontière antique : pel
En gaulois le terme pelignos, signifie étranger. Son suffixe masculin “ign-os”, signifie “brûlé”, ou “sombre”. C’est une notion répandue en toponymie française : Savigny, Humbligny, Assigny, etc.
On peut en dédruire que « pel » signifie la peau. Ce radical a donné beaucoup de sens en français, notamment se peler, avoir froid, froid qui rend la peau et les chairs noires par engelures, voire nécrose, quand « on se pèle ». Le froid, comme l’étranger, est usurier et rapineur, on verra que c’est lié.
Le terme “Lign-“, en toponymie, signifie le bois ou la limite, sachant que le bois, la lignite, brûle, et qu’il sert habituellement de limite naturelle. Il est aussi très fréquent en France : Lignières, Lignol, Ligné, Lignac, etc.
Le “pé”, ou pet, est aussi inflammable… Sans commentaire !
La première lettre du mot, le « p », a causé beaucoup de soucis aux acousticiens pour fabriquer ou utiliser les microphones. Cette consonne et ses postillons sont généralement atténués par un éponge mise autour du microphone. Le “é” ou « è » suivant en renforce et en en indique la nature.
Il est vrai que pelleter offre parfois quelques éclaboussures…
Voici ce que je peux tirer ici de ce qu’a découvert et écrit Xavier Delamarre dans son remarquable Dictionnaire de la langue gauloise. Une approche linguistique du vieux-celtique continental, aux éditions Errance, à l’article pelignos : on peut trouver cette forme avec Paelingus, nom de personne ou nom ethnique, comme appellatif gaulois. Ce mot, considéré comme peli-gnos, offre une base peli-, à rapprocher du grec keli, tele, “loin”. Cependant, pell, est un mot surtout gallois, cornique, breton, signifiant aussi “loin”, « de loin ». Le masculin gallois pellynig signifie étranger.
Citons l’auteur : “Le Gaulois pelignos serait donc l’équivalent des noms propres grecs Telegonos, Telegonia’’, dont la racine a donné la télévision, et le mot latin tela, la toile, notamment internet. Les noms propres, surtout espagnols, Pelius, Pellicus, Pelopsis, semble signifier : “Qui voit loin”.
Ainsi en gaulois, la Pelleterie peut être interprétée comme, un toponyme de panorama, mais aussi une évocation de l’étranger qui se présente à la frontière, mais aussi une personne à la peau tannée, c’est-à-dire sombre (“noire” ou “maure” en toponymie française), mais aussi à la pourriture de la mort et de la gangrène, et donc des charniers. Une frontière sert, entre autres soucis technique, à éviter les épidémies, et/ou à en prélever péage, par chantage.
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La Pelleterie et son autre racine ancienne : taro, terh, trh
Un autre radical est présent dans le toponyme de La Pelleterie : taro, rencontré et notifié par Xavier Delamarre dans son dictionnaire de la langue gauloise (voir-ci-dessus), aussi sous la forme indo-européenne de terh, traverser, user, frotter, percer.
Cette racine est à rapprocher de taruos, le taureau, qui traverse par ses cornes…
Cette racine a donné les mots français « tarière », mais sans doute aussi « tare », et peut-être aussi « trou ».
Toutes ces notions peuvent se rapporter à la notion de frontière, de tanneries, de travail du cuir, au fait de creuser des trous, des fossés, voire même de labourer.
Signalons un toponyme unique dans la zone des La Pelleterie, qui semble confirmer cette approche linguistique : Le Peltar, sur la commune de Bourg-des-Comptes (Ille-et-Vilaine ; 35).
Le toponyme unique en France du Peltar, à Bourg-des-Comptes (35)
Carte Nicolas Huron
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La Pelleterie, un nom gallo-romain de frontière antique
La notion peut s’observer, et bien d’autres, à travers le latin :
– pellax, acis : fourbe, trompeur, perfide.
– pellacia, ae : la tromperie, la perfidie, les pièges ; l’incontinence.
– pelagus, i : la haute mer, la pleine mer ; les eaux débordées d’une rivière, une crue ; la profusion, le débordement.
– pelagium, ii : la pourpre (couleur du sang) ; liqueur de pourpre.
– pelicatus, us : le concubinage.
– pellex, pelex, paelex, icis : concubine, maîtresse ; rivale d’une femme mariée ; homme prostitué, favori, mignon.
– pelliarius, a, um : de peau ou de pelletier.
– pellicator, oris : flatteur, enjôleur.
– pellicio, lexi, lectum, ere : attirer insidieusement, séduire, gagner, enjôler ; attirer en parlant de l’amant ; obtenir par adresse, capter ; attirer en parlant de l’aimant.
– pellis : peau de chèvre, peau ; peau tannée, cuir.
– pellicula : petite peau (une pellicule photographique se brûle pour enregistrer l’image).
–pello, pepuli, pulsum, ere : mettre en mouvement, remuer, donner une impulsion ; remuer l’âme, émouvoir, faire impression ; pousser, heurter ; heurter une porte, frapper une porte ; repousser, chasser.
– pelluceo, perluceo, uxi, ere : être transparent, diaphane ; paraître à travers.
– Peloponnesus, Peloponnesos : le Péloponnèse, terre du cannibalisme spartiate et de leur massacre de bébés, entre autres, vaincu par l’Attique.
– pelta, ae : pelte, petit bouclier en forme de croissant, primitivement de cuir et porté par les Thraces, les Amazones.
– pelvis : bassin, chaudron, marmitte (généralement noire de suie).
On perçoit à travers la culture romaine, qu’il s’agit d’une référence à la sauvagerie et à la barbarie, mais aussi au concubinage et à la prostitution de fossés ou de frontières, et aux maladies vénériennes ou autres, ou évoquant des pratiques quelque peu barbares pour en arrêter et en traiter les adeptes.
Le toponyme, avec son article défini, peut se comprendre facilement par « l’appel… »
Là, paie-le… Leu te rit !
Le « Leu » étant le loup en toponymie, en référence aux Romains, enfants de la Louve.
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La Pelleterie et ses autres racines latines : ter tri, terri…
– ter : trois fois, simple idée de répétition, à plusieurs reprises.
– teres, teretis : arrondi, rond ; poli, fin, délicat.
– terror, terroris : terreur, effroi, épouvante ; objet qui inspire la terreur.
– tersus, a, um : propre, net ; élégant, soigné.
– tero, trivi, tritum, terere : frotter ; polir ; broyer ; user ; fouler souvent un lieu de ses pas ; consumer, épuiser.
– terreo, terrui, territum, terrere : effrayer, épouvanter ; mettre en fuite par la crainte, chasser, faire fuir ; détourner par la crainte.
– terra, terrae : la terre, le globe terrestre ; la terre, le sol ; terre, continent ; pays, contrée.
– tous les mots construits avec le début en terri-, se rapportant à la terre ou à la terreur.
– terreus, a, um : fait de terre.
– tres, tria et les mots en tri– : trois.
– triones : boeufs de labour.
– tritare (bas latin) de terere : broyer, séparer en broyant.
– tritus, a, um : foulé souvent battu, fréquenté.
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Pillages anglais et bretons au Moyen Age prouvés par les cartes
On remarque sur les diverses cartes de France, que la répartition de ce topnyme et des toponymes homonymes (voir-ci-dessous) sont très représentés dans l’Ouest, sur la Marche de Bretagne. Cela peut indiquer que les bêtes d’élevage breton subissaient péages et donc abattoirs entre le royaume de France et la Bretagne. Cependant, la Mayenne, la Sarthe, la Touraine, le Perche, etc. sont aussi des zones d’élévage bovin ou chevalin, et que le Berry, comme la Sologne, sont des zones traditionnelles d’élevage, notamment ovin et caprin.
Synthèse phonétique des cartes de ce toponyme.
On peut penser à une frontière linguistique, mais…
On retouve approximativement la même répartition géographique pour des toponymes comme « Bretonnière », « Chauvin-« , comme « Chauvinière », « Bodin- » comme « Bodinière » (évocation d’un messager), « Renardière », « Blanchardière », « Guérin- » comme la « Guérinière » (évocation du prêt, de l’usure), « Halle », « Hallière », « Poterie », « Fougeray », « Pâquerie », « Pasquerie » (en référence au pacage dans les prairies des zones d’élevage), etc.
Marie-Thérèze Morlet indique dans son Dictionnaire étymologique des noms de famille, aux éditions Perrin, que le verbe »peler » désigne celui qui dépouille autrui, l’usurier, le rapineur.
Il peut indiquer le pillard envahisseur ou celui qui garde la frontière contre le premier, se servant du premier pour justifier sa position, son poste.
On dispose de très peu d’écrits et d’informations sur cette époque reculée épouvantable de l’invasion des migrants « bretons » d’Angleterre de Grande-Bretagne, sur l’Armorique et ses régions, mêmes voisines, au VIe siècle du Haut Moyen Age, lors de l’effondrement de l’Empire romain.
On sait qu’ils ont occupé la ville de Blois, libérée par la Francs dirigés par Clovis, militaire associé à Rome, non comme mercenaire, mais comme aspirant à la citoyenneté catholique romaine, pour lui et ses troupes, autrefois au service de Rome.
De nombreux toponymes gardent le souvenir de l’invasion de ses pillards bretons que certains historiens font passer pour des réfugiés. Rappelons que les Celtes sont des barbares germains venus d’Europe centrale et qu’ils avaient réduit la population locale en esclavage, en Grande-Bretagne comme ici, en Région Centre, ce qu’avaient fait les Romains à la suite de la Guerre des Gaules.
Les médiévistes savent que la Marche de Bretagne avait une utilité certaine pour la sauvegarde des habitants du royaume de France. Un exode est même encore mentionné en Touraine au XVe siècle, à la suite d’une invasion barbare anglaise et bretonne, et que les pillages des Bretons en Blésois sont connus depuis Clovis et bien renseignés par les historiens jusqu’à la fin du Moyen Age.
En effet, les pillards, bandits, routiers, de la guerre de Cent Ans, n’étaient pas seulement anglais, mais étaient souvent associés à des bandits locaux traitres à la couronne, et très souvent avec des pillards bretons, au point que dans les textes des XIVe et surtout XVe siècles, les deux mots (et donc les deux maux à l’époque) sont très souvent associés.
Cette dangerosité de ses barbares est bien visible sur les cartes.
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Une illustration en Région Centre et en France
Il existe environ 50 toponymes La Pelleterie en France, dont deux au pluriel.
Veuillez cliquer sur cette carte pour l’avoir sous les yeux dans une autre fenêtre afin de comprendre cet exposé, car, sans les frontières antiques, on ne comprend plus rien.
Les toponymes La Pelleterie en Région Centre ou aux environs
Carte Nicolas Huron
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En Région Centre, nous trouvons six « La Pelleterie », auprès de la frontière antique rappelée et redéfinie par Jules César et ses légions, dans l’hiver 50 avant Jésus Christ, entre les environs de Tournon-Saint-Martin, pointe sud-est de la Touraine, frontière montant tout droit au nord, vers le coin nord-ouest de l’ancien diocèse de Chartres, vers l’Aigle et Verneuil-sur-Avre.
Cette frontière sépare la zone de production de blés beaucerons ou de production forestière de la Sologne, d’une part et, des zones d’élevage de la Touraine et du Perche, voire celle de la Normandie, d’autre part.
On trouve un élément « La Pelleterie », entre le diocèse de Chartres et celui de Bourges, en Loir-et-Cher, et un en limite des quatre diocèses d’Orléans, de Sens, d’Auxerre et de Bourges, et, un avant l’entrée sur Orléans.
Deux éléments sont situés dans le diocèse de Poitiers à l’entrée de l’ancienne frontière antique du diocèse de Tours.
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En Région Centre ou en limite
– Les Pelleteries, à Villeherviers (Loire-et-Cher ; 41), dans l’ancien diocèse de Chartres, juste en limite de l’ancienne frontière antique de l’ancien diocèse de Bourges, près et au nord de Béjary, Bruleteau, Château Petite Ville, Plaine de la Gaucherie (aujourd’hui en bois), le toponyme de pont de la Planche Thibault, au sud du Fossé, du Château des Roches et de la rivière de la Sauldre.
– La Pelleterie à Saint-Règle (Inde-et-Loire ; 37) entre Amboise et Souvigny-de-Touraine et son culte de Saint-Saturnin, dans l’ancien diocèse de Tours, non loin de la frontière avec l’ancien diocèse de Chartres, non loin de l’actuelle zone commerciale d’Amboise. Le toponyme Saint-Règle, évoquant nombre de concepts associés à une frontière romaine.
– La Pelleterie à Françay (Loir-et-Cher ; 41), entre Saint-Cyr-du-Gault et Françay, près d’une zone d’abattoir antique, côté tourangeau, avant la frontière végétale d’entrée dans le diocèse de Chartres, des Haies de Château-Renault (Indre-et-Loire ; 37) où les toponymes rappelant les crimes de l’Empire romain ou les anciennes tanneries gauloises, romaines, médiévales ou modernes, sont nombreux : Saint-Cyr-du-Gault et son double rappel des bois et des Goths et du culte de Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte ; Saint-Gourgon, rappelant un écorché vif, jouxtant le Liège ; La Pelleterie jouxtant les Pseaux, synonyme toponymique de “pieux” ou de “palissades”, la Chaudronnerie, la Martinière se référençant au légionnaire SDF Martin ou à ses usurpateurs profiteurs catholiques romains, etc.
– La Pelleterie à Santenay (Loir-et-Cher ; 41), non loin du précédent, dont le chef-lieu évoque une centurie, près de la Bourdaine (bourg d’…), du Petit Rouvre, de Plessis indiquant une fortification végétale entrelacée, de la Beurrerie, avant la frontière végétale d’entrée dans le diocèse de Chartres, des Hayes du Roi, sur Herbault, Santenay et Orchaise (Loir-et-Cher ; 41), où on trouve les Défrocs, le Bois de la Queue, etc.
– La Pelleterie et la Petite Pelleterie, à Droué (Loir-et-Cher ; 41), sur la limite végétale de la forêt protégeant le Dunois et la grande Beauce, et présente encore par la forêt de Marchenoir, par la forêt de Fréteval et par les bois des environs de Droué. Ces deux toponymes sont situés entre Boursay et Droué, près du Pressoir, de la Pilletière, la Rachée, la Charpillière, la Haye, le Marchais, le Bordalier, la Reinebourgère, Villemaigre, les Glands, etc.
– La Pelleterie, au Gault-Perche (Loir-et-Cher ; 41), dans la même percée de la frontière végétale indiquée pour Droué, en retrait d’un sommet de frontière de relief, sommet où on trouve la Grand Cour, non loin de la Tuilerie. Ce toponyme présente moins d’indice, mais l’enquête reste à compléter.
– La Pelleterie, à Saint-Jean-des-Echelles (Sarthe ; 72), dans l’ancien diocèse du Mans, face à une avancée à Montmirail, de la frontière antique de l’ancien diocèse de Chartres. Le toponyme est situé près du Châtaignier aux Pendus, la Plaine, la Sapinière, la Beaucerie, la Cencive, lePineau, les Plissons, la Boussardière, la Pilletière, les Rogeries, la Ronce, les Echelles…
– La Pelleterie, à Saint-Pierre-de-Bruyère (Orne ; 61), dans l’ancien diocèse d’Alençon, sur la frontière antique de l’ancien diocèse de Chartres, dont la ville est protégée par un relief en forme de boomerang, dont le creux est protégé lui-même par le point très fortifié de Nogent-le-Rotrou, commune presque voisine. Le toponyme se situe derrière le bois de Condeau, où se trouve celui de Bueil. La Pelleterie est entouré par la Mordantière, le Sapin, le Houx, la Louverie, le Clos des Perriers, Georjon, la Ribaudière, la Boucherie, la Basletière, la Taurelière, la Simonnière, etc. Dans le bas de la vallée de l’Huisne, formant frontière, on a le toponyme de Passe Vite !
– La Haute Pelleterie et la Basse Pelleterie, à Réveillon (Orne ; 61), près de Saint-Denys-sur-Huisne, dans et au-dessus de la vallée de l’Huisnes, passage de tentative de frontière antique, commençant notamment à Parfondeval, Le site est placé dans un grand méandre de la virage de la vallée de l’Huisne, face au sommet de la Courterie et de la Grande sauvagerie, au nord de la Germainerie, la Quenellerie, en aval du Bas et du Haut Maurenoult. avant Comblot, et la confluence avec les ruisseaux du Chêne Galon, et la Chippe…
– Triage de la Pelleterie, à Breteuil (Eure ; 27), au nord de Breteuil, sur l’Iton, carrefour de grandes voies, avant Verneuil-sur-Avre, ville de frontière antique, avant la Normandie, pour entrer. Le site conduit soit en région parisienne, soit dans l’ancien diocèse de Chartres.
– La Pelleterie, à Marcilly-enVillette (Loiret ; 45), entre Saint-Cyr-en-Val (voir le culte de Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte), Vienne-en-Val (val de Loire), et le bourg de Marcilly-en-Villette. Le site est situé dans un grand bois de Sologne, entouré par le Chêne au Loup, Bois du Bruel, Samatha, Champ Houdry, Vildé, Barbereau… lieu-dit avant d’entrer dans Orléans, via Olivet, en venant du Berry ou du diocèse de Sens ou du diocèse d’Auxerre, ou de celui de Nevers. Avant Orléans, se trouvent les toponymes de La Porte, et dans les bois, celui de la Madeleine.
– La Pelleterie, à Nogent-sur-Vernisson (Loiret ; 45), sur l’ancienne grande voie allant de Montargis à Gien ou à Briare, pour passer la Loire, via Nogent-sur-Vernisson, avant une fourche, dans l’ancien diocèse de Sens, en limite avec les frontières antiques des diocèses d’Orléans et d’Auxerre, tout près de la frontière antique du diocèse de Bourges, au-delà de la Loire. Le site se situe près du l’Etang de la Chevalerie, et du domaine du Baugé, faisant rappel de bauges, au sud des Fourneaux, du Château de Bellevue, des Bretons (toujours une référence aux pillards barbares, en Région Centre), du Moulin Drouet, au sud-ouest du château des Barres et au nord de Cours Janvier.
– La Pelleterie, à Antran (Vienne ; 86), près d’Ingrandes, l’A10, et la D910, sans plus de commentaires. Allez voir, j’y suis allé !
– La Pelleterie, à Thuré (Vienne ; 86), près de Châtellerault, près de la Fouctière, au nord des Négros, la Pinotière, de la Merveillère (faisant référence au Diable), sans plus de commentaires. Allez voir, j’y suis allé !
L’appel te rit ?
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Les toponymes La Pelleterie et les Pelleteries en France
Carte Nicolas Huron
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La Pelleterie, les Pelleteries, dans le reste de la France
Sur carte ou sur place, faites-vous une idée de celui qui est proche de chez vous !
– La Pelleterie, à Tresboeuf (Ille-et-Villaine ; 35).
– La Pelleterie, à Pleslin (Côtes-d’Amor ; 22).
– La Pelleterie, à Meillac (Ille-et-Villaine ; 35).
– La Pelleterie, Mézières-sur-Couesnon (Ille-et-Villaine ; 35).
– La Pelleterie, Le Ferré (Ille-et-Villaine ; 35).
– La Pelleterie, La Chapelle-Cécelin (Manche ; 50).
– La Pelleterie, Saint-Ouen-des-Alleux (Ille-et-Villaine ; 35).
– La Pelleterie, Montreuil-sous-Pérouse (Ille-et-Villaine ; 35).
– La Pelleterie, Louvigné-de-Bais (Ille-et-Villaine ; 35).
– La Pelleterie, Joué-en-Charnie (Sarthe ; 72).
– La Pelleterie, Cuillé (Mayenne ; 53).
– La Pelleterie, La Roë (Mayenne ; 53).
– La Pelleterie, Landemont (Maine-et-Loire ; 49).
– La Pelleterie, Coulonces (Calvados ; 14).
– La Pelleterie, Sourdeval (Manche ; 50).
– La Pelleterie, Isigny-le-Buat (Manche ; 50).
– La Pelleterie, Coglès (Ille-et-Villaine ; 35).
– La Pelleterie, Marcillé-la-Ville (Mayenne ; 53).
– La Pelleterie, Argouges (Manche ; 50).
– La Pelleterie, La Chapelle-Rainsouin (Mayenne ; 53).
– La Pelleterie, Lignières-Orgères (Mayenne ; 53).
– La Pelleterie, La Bohalle (Maine-et-Loire ; 49).
– La Pelleterie, Le Plessis-Grammoire (Maine-et-Loire ; 49).
– La Pelleterie, Saint-Christophe-des-Bardes (Gironde ; 33).
– La Pelleterie, Clécy (Calvados ; 14).
– La Pelleterie, La Chapelle-Biche (Orne ; 61).
– La Pelleterie, Saint-Germain-de-Tournebut (Manche ; 50).
– La Pelleterie, Saint-Pierre-la-Bruyère (Orne ; 61).
– La Pelleterie, Thonac (Dordogne ; 24).
– Les Pelleteries, Lamnay (Sarthe ; 72).
– Les Rocs de la Pelleterie, Châteauneuf-sur-Charente (La Charente ; 16).
– Ruisseau de la Pelleterie, Ballots (Mayenne ; 53).
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Complément de probation : La Pelletrie, Les Pelletries
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Toponymes La Pelletrie Les Pelletries en France
Carte Nicolas Huron
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Liste et liens :
– La Pelletrie, La Chapelle-Launay (Loire-Atlantique ; 44).
– La Pelletrie, Les Herbiers (Vendée ; 85).
– La Pelletrie, Rochetrejoux (Vendée ; 85).
– La Pelletrie, Tallud-Sainte-Gemme (Vendée ; 85).
– La Pelletrie, Saint-Brice-sous-Rânes (Orne ; 61).
– La Pelletrie, Boucé (Orne ; 61).
– La Pelletrie, Chênehutte-Trêves-Cunault (Maine-et-Loire ; 49).
– La Pelletrie, Mougon (Deux-Sèvres ; 79).
– La Pelletrie, Sammarçolles (Vienne ; 86). Le site est situé entre Loudun et Marçay, dont la référence, entre autres, au dieu de la guerre, Mars, ne peut faire de doute, puisque ce bourg se situe dans l’ancien diocèse de Poitiers, juste à la frontière antique de l’ancien diocèse de Tours. La Pelleterie, situé entre Sammarçolles et Ceaux-en-Loudun, et plus loin, entre Richelieu, en Touraine, et Loudun, avec Chinon au nord, est un endroit stratégique. La Pelletrie se trouve près d’Estrepieds, du Pas, des Gomonets…
– La Pelletrie, Bellou-le-Trichard (Orne ; 61).
– La Pelletrie, Artins (Loir-et-Cher ; 41). Le rapport entre Artins et les ours locaux préhistoriques (racine « artos ») qui tannaient les saumons en cet endroit pour s’engraisser avant l’hibernation de l’hivernage, peuvent aussi être rappeler à Artannes-sur-Thouet (49) (article explicatif) ou à Artannes-sur-Indre (37). La traduction de cette tannerie a été conservé en ce lieu par les hommes, puisque, pour aller au rivage pour la tannerie, la vallée étant plus étroite, cela fait moins de chemin à parcourir et la tâche est moins pénible. Le sens de « Artins » étant de « étroit, resserré » (article explicatif). Le toponyme de la Pelletrie se situe sur le bord de la berge du resserrement, lieu du Port, de Sur la Cave, et du Vieux-Bourg, qui signifie le « vieux fort ». Au sud d’Artins se trouve La Vallée de Vautripes, et à l’est, dans le sens du vent, on trouve : Pineau, la Joutrie, la Marre, la Morandière, la Jarretière, la Petite Veuve et la Grande Veuve.
– La Pelletrie, Vernoux-en-Gâtine (Deux-Sèvres ; 79).
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Complément de probation : La Pelterie
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Toponymes La Pelterie, La Peltrie, Les Peltries, en France
Carte Nicolas Huron
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– La Haute Pelterie, Domagné (Ille-et-Vilaine ; 35).
– La Pelterie, Le Mesnil-Amand (Manche ; 50).
– La Pelterie, Chérencé-le-Héron (Manche ; 50).
– La Pelterie, Piré-sur-Seiche (Ille-et-Vilaine ; 35).
– La Pelterie, Saint-Michel-de-la-Roë (Mayenne ; 53).
– La Pelterie, Le Mesnil-Rainfray (Manche ; 50).
– La Pelterie, Mortain (Manche ; 50).
– La Pelterie, Bourgon (Mayenne ; 53).
– La Pelterie, Port-Brillet (Mayenne ; 53).
– La Pelterie, Saint-Ouën-des-Toits (Mayenne ; 53).
– La Pelterie, Marigné-Peuton (Mayenne ; 53).
– La Pelterie, Saint-Cénéri-le-Gérei (Orne ; 61).
– La Pelterie, Prailles (Deux-Sèvres ; 79).
– La Pelterie, Almenêches (Orne ; 61).
– La Pelterie, Ferrières-la-Verrerie (Orne ; 61).
– La Pelterie, Lombron (Sarthe ; 72).
– La Pelterie, Sainte-Osmane (Sarthe ; 72).
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Complément de probation : La Peltrie, Les Peltries
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Toponymes La Pelterie, La Peltrie Les Peltries en France
Carte Nicolas Huron
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– La Peltrie, Saint-Julien-de-Vouvantes (Loire-Atlantique ; 44).
– La Peltrie, Beaulieu-sur-Oudon (Mayenne ; 53).
– La Peltrie, Laigné (Mayenne ; 53).
– La Peltrie, Brain-sur-Longuenée (Maine-et-Loire ; 49).
– La Peltrie, Les Tourailles (Orne ; 61).
– La Peltrie, Le Pas (Mayenne ; 53).
– La Peltrie, Champéon (Mayenne ; 53).
– La Peltrie, Miré (Maine-et-Loire ; 49).
– La Peltrie, Moncoutant (Deux-Sèvres ; 79).
– La Peltrie, La Chapelle-Saint-Etienne (Deux-Sèvres ; 79).
– La Peltrie, Bivilliers (Orne ; 61).
– La Peltrie, Boissy-Maugis (Orne ; 61).
– Les Peltries, Somloire (Maine-et-Loire ; 49).
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Pelet, Pelletier, Peltier, Peltière, etc.
Pour aller plus loin, on peut s’intéresser aux toponymes Pelet, nombreux dans les environs de la Garonne et qui semblent définir une autre frontière antique, et les Pelée, Pelé, etc., ou aux toponymes reprenant le nom de métier, de l’homme en action, et comme nom de famille : Pelletier, Peltier, Peltière.
Dans la région, signalons La Maison Pelet (où il n’existe aucune maison), sommet quelque peu quadrangulaire, déboisé et situé sur la commune de Chissay-de-Touraine (Loir-et-Cher ; 41), au-dessus du Cher, entre La Touche et les Durdents, à l’est de Chisseaux et ses toponymes proches des Bretonnes, de la Pilette, des Caves et de la Rabellerie, dans l’ancien diocèse de Tours, en frontière avec le diocèse de Chartres, en face de Saint-Georges-sur-Cher et de Vrigny.
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Extrait des recherches pour le spectacle-conférence : Frontières antiques !
Renseignez-vous… Bénéfices à la clé.
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Osez l’Histoire !
Même pour votre recherche individuelle et vos bénéfices personnels
Demandez l’origine d’un nom de lieu !
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