Si tu vois la lumière blanche la Vierge : ceins l’ouïe !
Relisant, pour la mettre en ligne sur ce Web, mon étude d’inventaire de l’histoire architecturale de l’église Saint-Louis de Précy, et essayant de résoudre quelques énigmes rencontrées en 1991, je me suis aperçu que l’étude pour comprendre et ré-observer cet édifice, pour un lecteur et un curieux non averti, pouvait induire des confusions possibles. Pour éviter à de futurs chercheurs des erreurs et pour mieux présenter et comprendre l’Histoire de ce secteur de frontière antique militaire, je fais donc ici un petit inventaire non exhaustif des confusions que l’on peut rencontrer à étudier l’Histoire de Précy, et de son secteur, avec sa très rare et remarquable église Saint-Louis d’origine militaire.
En phonétique gallo-romaine, et encore compris au Moyen Age par les nobles et les clercs, Saint-Louis signifiait notamment : Syn Loup (Romain) oui (mouton) ; loue ouï ; loup we ; etc. ! Il peut se prononcer « loué » à la campagne, et se lire « lois » ou « Loys » dans les textes. Je pense qu’il faut le savoir dans les temps prochains, car les loups sont arrivés dans le Loiret et ont commencé à égorger les moutons. Alors apprécie l’église Saint-Louis à Précy, un refuge !
Église Saint-Louis de Précy… pour l’aborder avec précision…
Photo Nicolas Huron
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Il ne faut pas confondre la désignation d’une personne comme, par exemple, saint Louis d’Anjou, évêque de Toulouse, décédé l’année de la canonisation de Saint Louis, en 1297, et le roi Louis IX, écrit Saint Louis qui fait exception avec ses deux majuscules, et, Saint-Louis, avec trait d’union, qui désigne le vocable, la dédicace, d’un édifice religieux, comme l’église Saint-Louis de Précy, ou un nom de lieu, comme la rue Saint-Louis, et la Saint-Louis, le jour, le 25 août pour le saint roi. Ainsi on a l’Église Saint-Pierre de Rome et l’église dédicacée à saint Pierre à Rome, et, on a le jour de commémoration de saint Pierre, jour de saint Pierre, et, le jour de la Saint-Pierre. Sinon, on a les syn pierres en matière de bâti sain, ceint, et seings… pour en être saint, seins… et pas queue… Quoiqu’en matière de domesticité… un refuge… pour les bêtes est aussi toujours nécessaire.
Confusions par confus ions+-
Précision en précis ions+- pour une cure ferrugineuse à Précy
auprès de sa militaire église Saint-Louis ! Complément indispensable
que je déconseille d’essayer vivement d’aborder en une seule fois…
Faites-vous un marque-page… et un marque page…
pour les pages de saints Louis, de Saint-Louis,
que furent et firent les Louis de Sancerre.
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Quelques connaissances préalables : églises et chapelles…
Il est nécessaire de savoir qu’une église rurale portait le nom et le titre de chapelle, capella, jusqu’au renouveau du bâti en pierres de ces édifices religieux. Ce renouveau est encore visible aujourd’hui à travers le style préroman tardif des Xe et XIe siècles et le style roman des XIe et XIIe siècles. Ce changement intervint alors que la plupart des édifices chrétiens catholiques romains ruraux étaient en bois à la suite des invasions barbares, puis des invasions normandes qui engendrèrent la féodalité, société mafieuse de serments organisée à l’origine sur des promesses de butins, de pillages, d’autorité personnelle, de territoires et de châteaux privés. Malgré les reconstructions des églises en pierres, comme refuge, la plupart des maisons rurales restèrent majoritairement à structure bois jusqu’à la fin de l’époque moderne à cause des coups du dispendieux outillage, des coûts des carriers, des fours à chaux, des tuileries, etc.
Le terme chapelle se rapporte à la cape de saint Martin offerte par ce légionnaire à un miséreux (sans doute un ancien combattant blessé du limes romaine), c’est-à-dire à un abri généreusement « offert » par la population locale pour veiller aux nomadismes criminels pillards ou marchands et aider les pèlerins et les voyageurs chrétiens catholiques romains en quête de vérité, de soins ou en mission. Ce fut une mesure de sauvegarde et de santé publique encore utilisée de nos jours et servant accessoirement de souricières à pillards, car c’était des lieux de franchise, avec le cimetière attenant, où les forces militaires n’avaient théoriquement pas le droit d’intervenir, bien que ce soit elles qui les aient parfois créées, comme ce fut le cas pour l’église Saint-Louis de Précy.
Des traces de cette réalité sont encore lisibles et visibles sur les panneaux routiers pour la Chapelle-Montlinard (18), dont le nom rappelle la frontière, bourg situé au nord-est de Précy, sur l’ancienne voie romaine de Bourges à la Charité-sur-Loire, en frontière antique, dans l’ancien diocèse de Nevers, en limite des diocèses de Bourges et d’Auxerre, avant le passage de la Loire, et pour la Chapelle-Hugon (18), entre la Guerche-sur-l’Aubois (toponyme militaire de forteresse) et Sancoins (géographiquement coin du diocèse de Nevers, mais côté Berry) au sud de Précy, du côté ouest de la Forêt d’Apremont, célèbre pôle touristique de l’ancien diocèse de Nevers, situé aujourd’hui en Berry, cette forêt et son relief faisant frontière antique, en tiques, en toiles d’araignées, en épines et parfois en abattis (troncs enchevêtrés) et pas que…
Ce rappel toponymique nous indique que la plupart des communes, anciennes paroisses, portaient déjà leur nom phonétique actuel, les deux chapelles précédemment citées ne pouvant pas dater antérieurement au début du Ve siècle, mais pouvant être issues, dès les Ve-VIe siècles, des réformes de l’empereur Constantin au IVe siècle. Le caractère d’abri de ces deux toponymes est dû ici à la présence des voies romaines.
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Il est nécessaire de savoir que c’est à partir de l’an mil, mais surtout à partir de la fin du XIe siècle, que le terme église, ecclesia, commence à être utilisé pour le monde rural, notamment à travers les inventaires des bulles pontificales de biens pillés et usurpés par les féodaux issus des invasions normandes et à restituer à l’Église romaine. Ce mouvement toponymique est massif au XIIe siècle et au début du XIIIe siècle. Auparavant, notamment pour les sources historiques carolingiennes, notamment les actes des rois des Francs produits pour protéger les biens fonciers des abbayes, c’est le terme de villa qui domine la désignation des domaines fonciers, la précision de l’édifice cultuels avec la villa intervenant dans la période de transition.
L’église Saint-Louis permet de rappeler tardivement cette réalité car cet édifice est indiqué dans les actes de l’Église catholique romaine comme chapelle en 1260 et 1261, mais aussi comme église, d’où la confusion possible, car ecclesia, l’église peut désigner le bâtiment et pas forcément son statut juridique d’un siège de paroisse. Au début du XIVe siècle, cet édifice est nommé « chapelle » dans les inventaires de l’Église catholique romaine, alors que le tissu des paroisses, repris par les communes, était déjà presqu’entièrement constitué au XIIe siècle.
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Confusions juridiques divines et frontalières
Le terme église, ecclesia, qui est un mot d’origine grecque, était autrefois réservé au siège métropolitain. Ainsi à Précy, on dépendait de, et appartenait à l’Église de Bourges et donc à la province de Bourges qui descend dans le sud jusqu’à Albi et Castres. Cette circonscription appartenait primitivement à la Gaule aquitaine. Alors que les communes voisines, à l’est, sur la rive gauche de la Loire, dépendaient du diocèse de Nevers et de la province métropolitaine de Sens, et appartenaient primitivement à la Gaule lyonnaise, une des trois provinces créées par le dieu Auguste César avec la Gaule belgique. Cette frontière antique, dont Précy est en limite, a donc énormément marquée l’Histoire, les paysages locaux, leurs toponymes, etc., d’autant qu’il s’agissait auparavant d’une frontière entre deux nations gauloises : les Bituriges et les Eduens.
Il n’y a pas d’égalité dans les paysages…
quoiqu’en pensent les désertificateurs cannibales…
A l’affiche : jouer pour redécouvrir le patrimoine rural avec mon aide.
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Confusions géologiques ferrugineuses et calcaires
Cette frontière, matérialisée aujourd’hui par la Loire, correspondait à une bande forestière située sur une bande de relief issue de failles tectoniques. Elle est présente sur la rive gauche de l’Allier au sud, et, au nord, sur la rive gauche de la Loire jusqu’au niveau de Cosne-sur-Loire. C’est une frontière naturelle qui fut auparavant une frontière gauloise.
Les failles ferrugineuses de cette frontière sont des puits
électromagnétiques, c(h)ar, parfois, elle est que trop magnétique…
d’autant qu’elles sont là, parallèles aux méridiens des pôles ions+-
Vérifiable, vers Y fiable sur Géoportail
On y voit les ammonites du Jurassique, symbole de Jupiter
le Bélier, pour les Romains : JUS ! Jussy ! car certains coquillages
donnaient la couleur rouge de l’autorité impériale romaine…
et là il y a le fer d’Héphaïstos, Vulcain, dans les profondeurs,
celui du beau-frère éternel de Jules César, imperator
issu de Vénus, son épouse, plus que canon…
Vaine US
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Confusions de toponymies par les toponymistes germanophiles ou faussement gréco-romains
Pour percevoir l’ampleur du désastre, suivez les liens de l’ancien alphabet gaulois… connu sur le bout des doigts par Jules César :
– πρῆσις (prêsis : https://bailly.app/pr%C3%AAsis).
– πρήσω (prêsô : https://bailly.app/pimpr%C3%AAmi)
– Entre autres… de par le Grand Bailly ! ou le Félix Gaffiot…
Faites aussi, à votre tour, les bonnes recherches…
et vous trouverez ! Trou veut raie… ?
NOMS, mais quelles enflures…
Pour un cul(Te) solaro-terrestre électromagnétique ? pour incultes…
La presque verticalité de la Loire en ces lieux en font
un endroit aussi particulier que le Delaware, le Connecticut,
voire que l’Hudson, aux USA… avec General Electric à Schenectady…
Un bombardement incessant ? Un empoisonnement constant ?
Un viol criminel permanent !
Pour une éternelle bataille franco-anglaise ? Perfide Albion !
Vérifiable sur tous les Atlas du Monde…
(((((!)))))
Schenectady
À qui profite tous les crimes… laids cris Mmmm…
Avec l’église Saint-Louis de Précy pour les mettre à la terre…
Pour l’anecdote, il faut savoir que la Loire se jetait autrefois dans la Seine, via la vallée du Loing. C’est par ces failles, très connues sur le mamelon de Sancerre, plus au nord, qu’elle finit par prendre le cours de la source sacrée du Loiret pour venir par chez moi, jusqu’à la Mer Océane, l’Atlantique. Ce n’est plus très Loing…
C’est un peu comme la Bièvre à Paris qui aspira la Seine, la Cène… en elle,
du Quai Saint-Bernard au Palais de Tokyo…
là où Notre-Dame aspira et inspira Saint Louis…
comme Notre-Dame de Berry à Précy avec Louis de Sancerre…
Apprécie !
Après cy, après ça…
La Presse au Moyen Age désignant le tournoi en groupe… Presse-y !
Et « tournois » désignait la livre tournois, une monnaie de compte tourangelle
adoptée par le roi Philippe Auguste en 1203 en échange de la livre parisis
pour la précision des comptes, des comtes, pour un peu moins de contes…
Saint Louis imposa le cours de cette monnaie fiable sur tout le royaume
donc soyons Précy et sachons lire les comptes en livres tournois.
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Confusions de terroirs, de tes roux arts, de Terre hoirs et de titres
Donc savoir si ce fut une chapelle ou une église, à telle ou telle époque, est une distinction juridique importante pour comprendre que la paroisse puis la commune de Précy, sous influences, était autrefois sur le territoire d’une autre autorité romaine, sans doute Jussy-le-Chaudrier (dont le nom évoque une autorité gallo-romaine, le droit, le jus, un ordre, Jules César et Jupiter… ; voir mon étude des toponymes d’Herbault en Loir-et-Cher paroisse autrefois nommée Jussé) avant la structuration du territoire par l’Église catholique romaine, comme nous le montre la situation de ses limites actuelles en cette frontière antique (voir carte ci-dessous). La partie sud-est de la commune de Précy se trouvait en contact direct dans l’ancien diocèse de Nevers. Les quatre communes actuelles de Marseilles-les-Aubigny, de Beffes, de Saint-Léger-le-Petit, et d’Argenvières, aujourd’hui dans le département du Cher, se trouvaient dans l’ancien diocèse de Nevers. La pollution fécale territoriale de la ville romaine de Nevers était ainsi laissée à cette cité jusqu’à la Charité-sur-Loire et ses trois sources sacrées, la Charité, bourg à partir duquel, en aval, la frontière du Berry suivait la Loire jusqu’à Gien, côté d’Auxerre, et jusqu’à Saint-Gondon (évoquant un gond de porte avec une terminaison territoriale : -on) côté Berry, en limite du diocèse d’Orléans, partie distraite du diocèse de Chartres au IIIe siècle, diocèse de Chartres étant l’ancien pays gaulois carnute. La population berrichonne étant ainsi protégée de la cité gallo-romaine de Nevers par sa ruralité adjacente sur ce parcours. Ce principe de sauvegarde est tenu en amont jusqu’à Château-sur-Allier et le Veurdre actuellement dans le département de l’Allier.
J’ai précisé sur la carte ci-dessous en rouge, les deux sièges épiscopaux romains de Bourges et de Nevers, ainsi que la frontière entre les deux. J’ai été témoin, et j’ai quelque peu participé, à l’enquête sur ces anciennes limites des diocèses dans les années 80 à l’Université de Tours, enquête menée par monsieur Bernard Chevalier, professeur d’Histoire médiévale. Il se posait la question de savoir s’il s’agissait des anciennes frontières gauloises. J’ai poursuivi personnellement ce travail d’enquête selon son vœu et je peux répondre 40 ans plus tard par la positive, via l’étude de terrain de ma région et l’étude de ma toponymie.
Aujourd’hui Précy est dans le canton de Sancergues…
C’est dire si c’est simple…
Vérifiable sur Géoportail et après 40 ans d’enquêtes… que vous devez faire aussi
pour être crédibles sur quelques bavardages inutiles volés et usurpés.
Le « téton » de Marseilles, au sud-est de Précy, semble tenir
d’un différend sur les dîmes novales
de terres nouvellement défrichées ou devant l’être, depuis les Loges, l’éloge…
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Le toponyme des Loges désigne un refuge au Moyen Age,
un refuge de temps de guerre ou
des cabanes de travailleurs forestiers
notamment pour le charbon des forges.
C’est un vieux mot gaulois, loga, désignant un vase,
une urne funéraire ou une tombe, voire un caveau.
Logis ou l’eau gît ? Logis où l’eau gît ?
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Confusions sur les statuts d’autorité et sur les vocables
La remarque de superficie précédente est importante car l’érection d’une chapelle en église paroissiale est soumise à des revenus devant entretenir l’édifice et le curé assigné. À Précy, les dîmes (1/11ème à 1/13ème des récoltes dans les faits) étaient prélevées en trois tiers, un tiers par le curé de la paroisse nommé par le suivant, un tiers par le prieur de Berry sous Montfaucon (actuelle commune de Villequiers), patron de la paroisse, infirmier de la Charité-sur-Loire, et un tiers par le seigneur de Précy. Nous le savons grâce à une initiative heureuse et procédurale du curé Claude Dupain, en 1597 (300ème anniversaire de la canonisation de Saint Louis…), peu avant l’Édit de Nantes, contre le seigneur de Précy (peut-être Protestant), initiative faite en pleine guerre de religion peu avant la réfection de la charpente de son église. C’est la première mention de l’action d’un curé à Précy, et donc, avec certitude d’une église paroissiale. Assez prévenant, pré venant… précis !
La remarque précédente est importante, car cela indique que les revenus assignés à l’entretien du chœur de l’église et à son fonctionnement, les dîmes, ont été déterminés par le prieur de Notre-Dame de Berry, infirmier de la Charité-sur-Loire, ou par le seigneur de Précy, mais aucunement par le curé lui-même qui est simplement nommé par le prieur de Berry à cet office. Précisons que la nef était à la charge des paroissiens, c’est-à-dire des habitants après l’érection en paroisse et, auparavant, à la charge du chapelain, par le fondateur de la chapelle qui en créa la charge. Ainsi après la reconstruction du chœur, puis l’érection en paroisse de cette église, la nef n’était plus à la charge des décimateurs. Économies d’échelles… Nous avons donc un faisceau d’indices pour déterminer que ce fut un militaire qui fonda la chapelle Saint-Louis de Précy, un militaire à la fois seigneur de Montfaucon-en-Berry (actuelle commune de Villequiers) et seigneur de Précy, sans doute par mariage, puisque la seigneurie de Précy était bien moindre par rapport à celle de Montfaucon. On peut établir aussi que ce seigneur, homme de guerre forcément au service du roi de France, établit le prieur de Berry, dont l’établissement religieux était situé non loin de sa seigneurie de Montfaucon, comme patron et bénéficiaire de cette charge en tant que gros décimateur comme lui. Le seigneur fondateur de la chapelle Saint-Louis qui amena l’érection en église paroissiale de cet édifice devait donc être seigneur de Précy, mais surtout seigneur de Montfaucon (actuelle Villequiers), et qu’il devait porter le nom de Louis, et que ce changement de vocable se produisit sans doute à la toute fin du XIIIe siècle, mais plutôt dans le courant du XIVe siècle lors des guerres franco-anglaises. Il est peu probable qu’il s’agisse, comme dans la majorité des cas des églises Saint-Louis, d’une initiative du XVIIe siècle, comme à Blois, par le cou, la voix, d’un coût de Louis XIV et l’épouse de Colbert, pour Louis XIII qui échappa aux tentatives d’assassinat de la Fronde, ou de Louis V ou Louis XVI pour Louis XVII…
Cela peut être un peu pansé et pensé…
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Confusions de Louis et de Précy
Si le Louis, responsable de la dédicace à Précy n’est pas Louis XIV, le roi Soleil, lui-même, pour exiger de ces protestants affairistes ferrailleurs… autre chose que leurs crimes internationaux… appelés « bâtard » par les parisiens et « chimères » (à orthographier) par les autres…
Pour précis zzzz ions+, faites-en aussi recherches et datations…
Je peux y aider… en tant que bon technicien des sciences historiques du Tiers État.
Personnellement, je pense, pour l’instant, que le Louis responsable de la dédicace de l’église Saint-Louis de Précy est un Louis de Sancerre, comte de Sancerre, sans doute le connétable de France, surnommé maréchal de Sancerre (revoir l’absence de cette recherche toponymique dans mon étude d’inventaire de 1991 de l’église Saint-Louis de Précy), un personnage très important qui fut engagé pour les rois Charles V et Charles VI dans la guerre contre les Anglais, ou son père (vers 1305-1346), du même nom, en mémoire de leur aïeul, Louis Ier de Sancerre, qui vécut au temps de Saint Louis, en notant au passage que Louis IX porte l’influence du neuf… et qu’à l’époque, tout le monde le savait. C’est beau,, le style rayonnant français…
Il est difficile de s’y retrouver parfois dans les familles nobles. Il faut faire des schémas et des recherches de localités… Je vais essayer de rendre ça clair avec quelques références, via Wikipedia entre autres… :
Le Louis de Sancerre, en question, comte de Sancerre, connétable de France (1341 ou 1342 ; + 1402) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_de_Sancerre
Son père, Louis II (vers 1305 ; + 1346, tué à la bataille de Crécy) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_II_de_Sancerre
Son grand-père, Jean II de Sancerre (vers 1260 ; + 1327) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_II_de_Sancerre
Son arrière grand-père, Jean I de Sancerre (vers 1235 ; + 1280) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Ier_de_Sancerre
Son arrière-arrière-grand-père, Louis Ier de Sancerre (1207 ; + 1267), comte de Sancerre, qui semble la raison première à Précy : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Ier_de_Sancerre
Ce dernier Louis Ier de Sancerre, qui vécut au temps de Saint Louis, eut trois enfants : Jean Ier de Sancerre (indiqué ci-dessus) ; Robert de Sancerre (1240-1300), seigneur de Menetou-Salon, Soesmes et Nonancourt (qui eut pour enfants : Alix de Sancerre mariée avec Hugues de Mathefelon ; Louis I « Carbonel » de Sancerre, seigneur de Menetou-Salon, etc., qui épousa Jeanne de Mornay, dame de Précy, sans doute Précy-sur-Vrin, de Sainte-Cire et de La Boissière) ; Isabeau de Sancerre, dame de Précy (sans doute notre présent Précy dans le Cher) et Menetou-Salon, qui épousa Gauthier II, seigneur de Vignory.
Ainsi, on voit qu’un Précy était dans l’héritage de Louis Ier de Sancerre, décédé en 1267, trois ans avant le décès de Saint Louis. Ainsi, on voit que le changement de la dédicace de l’église paroissiale de Précy, ou celle de la chapelle à Précy dépendante de la paroisse de Garigny, fut faite en hommage au roi, mais aussi à l’aïeul de la famille des comtes de Sancerre qui connut, sans doute physiquement, le miraculeux saint roi. Après étude de nombre de cas (voir mon article dédié aux églises Saint-Louis), on s’aperçoit qu’il s’agit généralement d’un Louis qui fut à l’origine d’une telle dédicace.
Pour l’ensemble de la maison de Sancerre : https://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_de_Sancerre
Références page 8 pour les membres de la famille de Sancerre, seigneurs de Menetou-Salon, concerné par Précy-sur-Vrin, avec Robert de Sancerre, époux d’Agnès de Fains, qui eurent pour enfants : Louis de Sancerre (1er de cette branche), seigneur de Menetou-Salon (1300 ; + après 1301), qui épousa Jeanne de Mornay, dame de Précy (-sur-Vrin), Valey (Châtellenie de Château-Renard), Morgueil et La Boissière près Gien (possible fille de Jean et d’Isabeau de L’Isle) ; Philippe de Sancerre (+ après le 01/05/1361), seigneur de Soësmes (plaide en Parlement en 1356): http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Sancerre.pdf.
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Quelques précisions sur le grand personnage… local pour ce local ecclésiastique situé à Précy
Louis de Sancerre (voir aussi leur Wikipedia anglo-saxon histoire d’enfoncer le clou… Un comble ! Un con bleu… ?) est né vers 1341-1342, fut élevé avec les enfants du duc de Normandie, décéda le 6 février 1402, et fut inhumé à Saint-Denis, après avoir fait son testament le 4 février 1401.
Il était seigneur de Charenton, Beaumetz (ou Bommiers ?), Menetou-Salon puis d’Ambrault (1391). Il fit ses premières armes au siège de Melun, avec le dauphin Charles, le 18 juin 1359, à 17 ans, et fut ainsi remarqué par le futur roi Charles V (roi de 1364 à 1380) et par Bertrand du Guesclin. Il défendit Sancerre avec ses frères vers 1364. Il devint lieutenant de du Guesclin et d’Olivier de Clisson en Guyenne, maréchal de France le 20 juin 1368, commandant de l’Armée de Guyenne, titre lui donnant le surnom de «Maréchal de Sancerre». Il se battit en 1372 en Poitou, Limousin, Guyenne, Languedoc, délivra Sainte-Sévère, prit Cognac, Saint-Sauveur-Le-Vicomte en 1375, combattit les Compagnies et brigands d’Auvergne, et prit Bergerac le 3 septembre 1377, puis Sainte-Foy et Castillon. Il commanda en Guyenne après la mort de du Guesclin en 1381. Il combattit à Comines et Roosebecke, le 27 novembre 1382, sous le connétable de Clisson. Il brisa une révolte à Paris avec le sire de Coucy en 1383. Il soumit Marseille en 1384. Il fut ambassadeur en Angleterre en 1385, lieutenant et Capitaine-Général du Roi en Pays de Limousin, La Marche, Saintonge, Angoulême, Périgord et toute la Guyenne par delà la Dordogne en 1386, garde des places de Cognac, Merpins et Châteauneuf le 17 juin 1386. Il assiégea Bouteville (16), ruina les places de Jarnac, Bourg-Charente et Merpins en 1387. Il fut nommé lieutenant du Roi en Languedoc (relève le duc de Berry le 18 juin 1389) et gouverneur du Languedoc du 10 décembre 1390 à 1401. Il combattit contre le Captal de Buch, soumit Foix. Il fut nommé connétable de France le 26 juillet 1397 (100ème anniversaire de la mort de Saint Louis), poste où il succéda à Philippe d’Artois, comte d’Eu (serment le 11 septembre). Il acquit Charpignon (Sury) et Thou en 1387. Il instaura 4 foires annuelles à Sagonne (Cher), où certaines maisons marchandes lui sont dues (lieu que je connais bien), en 1383 et un marché le samedi. Ces armes sont : Sancerre brisées d’un lambel de gueules à trois pendants.
En référence page 6 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Sancerre.pdf
Cette marque rouge… C’est une faille qu’il faille ré-examiner religieusement ?
Si ce n’est pas lui, qui est honoré avec Saint-Louis à Précy,
comme libérateur de la France, c’est quand même lui, l’huis, Louis !
Sinon, cela aurait été moins classe, avec san Luigi… Ludwig… voire pire…
mais c’est quand même un peu par Victor Hugo et Gina Lollobrigida
que vous êtes las, là… chez moi… sur mes blogs
« bœufs l’eau gueux » en bon français…
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Confusions entre fondation, dédicace, et érection en église paroissiale
Beaucoup d’églises ou de chapelles sont datées à partir de leur architecture qui sont dans la grande majorité des cas des rénovations ou des reconstructions, mais ces datations ne correspondent aucunement à la date de la fondation du lieu de culte qui peut être une usurpation ou une transmission d’un lieu de culte plus ancien préhistorique, gaulois, romain. Vous pouvez revoir le cas de l’église Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire, dans l’Indre, que j’ai étudié, qui est liée à une source sacrée. Vous pouvez aussi revoir le cas de l’église Saint-Étienne de Pierrefitte-sur-Sauldre, dans le Loir-et-Cher, que j’ai étudié et qui est liée à des pierres sacrées mégalithiques (visibles en réemploi dans l’église) et liée à une faille tectonique sous-jacente, lieu de culte druidique que j’ai identifié comme le lieu de réunion annuelle des druides gaulois, en pays carnute, dans une forêt du centre des Gaules (presque parfaitement au centre pour l’époque), comme l’indique Jules César dans la Guerre des Gaules, lieu qui fut transformé en camp de rétention par les Romains, comme l’atteste les traces archéologiques (fossés…) et la toponymie, avec la plaisanterie typiquement romaine de la dédicace à saint Étienne, premier diacre lapidée, de l’Église chrétienne (qui n’était pas encore romaine, et qui a toujours du mal à être grecque et catholique, c’est-à-dire universelle, selon l’étymologie…). Vous pouvez également aller voir le cas de l’église Notre-Dame de Françay, dans le Loir-et-Cher… mais là, c’est un peu particulier… car j’en sors. Le phrasé Notre-Dame peut être compris en alphabet grec comme « notre peuple » dont, moi, je fais partie, et je sais que vous, non.
Il semble donc évident que cette chapelle de Précy, sans doute autrefois dédicacée à Notre-Dame, fut érigée en église paroissiale, probablement à la demande des habitants des lieux, mais surtout, dans les faits, par les représentants de l’Église catholique romaine, eux-mêmes, qui faisaient ainsi l’économie de l’entretien de l’ancienne nef devenant à la charge des paroissiens de la nouvelle paroisse par l’intermédiaire de la création d’une fabrique, un conseil paroissial, ancêtre du conseil municipal.
La dédicace à Saint Louis est une affaire à traiter à part de la fondation de cette chapelle, et à part de son érection en église paroissiale. Aujourd’hui, on pourrait l’appeler la chapelle Notre-Dame, église Saint-Louis, par la volonté de ces habitants, d’un puissant seigneur, de l’Église chrétienne catholique romaine de Berry (le hameau et la région), et par miracles de Saint Louis, parce que habituellement ces machins nobles, je n’y comprends rien et cela me demande énormément d’effort. Vous nourrir, c’est-à-dire vous faire survivre, c’est à dire d’être responsable de votre mort, bref, vous tuer, je sais faire cela beaucoup mieux car je suis du Tiers État.
Et c’est quoi cette plaisanterie ignoble de « représentant » du Tiers État ?
Un roi suffit à faire appât et à porter la charge de la peine de faire face à l’Ennemi !
Saint-Louis de Presse ? Si… ?
Si, si, Sire… re cire… re Cyr… re scie re…
Ainsi la méconnaissance juridique de la situation peut apporter bien des erreurs d’interprétations et des confusions comme de prétendre que l’église de Saint-Louis de Précy daterait de la fin du XIIIe siècle, ce qui est possible pour une partie de l’édifice, mais non pour son statut juridique d’église paroissiale, et sans doute non plus pour son vocable de Saint-Louis. Donc…
On m’a chassé de la FAC de droit de Tours par intimidation… donc :
Mauvaise pioche ! Ils veulent manger quoi « ces cancres là », à orthographier ?
Arrêtez, vos connes rient… !
Et ce las ne commence pas à faire très sérieux…
…
Confusions possibles territoriales et juridiques
Le chapelain de Précy est mentionné en 1260, lors d’un échange entre Pierre de Mornay, chevalier (un chevalier est un personnage rare et important au Moyen Age), seigneur de Précy et Guillaume le chapelain de Précy. L’échange indique la mention ecclesia de preciaco, en tant qu’édifice dans la description des lieux. Mais les documents postérieurs nous indiquent qu’il s’agissait d’une chapelle comme l’indique le statut du desservant.
Une charte de donation du même seigneur à Guillaume Loers, le chapelain, datant de septembre 1261 et touchant au même remaniement foncier, donne un peu plus d’indications et précise que la donation est faite par le seigneur pour la création d’une vicairie, c’est-à-dire au bénéfice d’un assistant au curé de la paroisse, transformant le statut du chapelain en vicaire, mais ne changeant pas le statut de chapelle de l’édifice religieux, c’est-à-dire de monument annexe à l’église paroissiale qui n’est pas mentionnée. Le poste de vicaire est généralement créé quand la paroisse est grande et difficile à desservir seul par le curé de la paroisse. Vous pouvez voir un exemple de demande insistante de vicaire pour la paroisse de Saint-Plantaire dans l’Indre (mon étude de cette édifice paroissiale).
Reprenez l’enquête à ce niveau là… ! Relisez !
Ces deux affaires ne datent aucunement le toponyme Saint-Louis de cet édifice qui ne peut pas porter ce vocable avant la canonisation du roi Louis IX en 1297.
Le Pouillé du diocèse de Bourges, qui est un inventaire regroupant des relevés fiscaux faits par et pour l’évêché, nous indique, non une église paroissiale à Précy, mais une chapelle en 1327 et en 1351 (voir mon étude de 1991 de l’église Saint-Louis de Précy) parmi la liste des églises paroissiales.
Oui, mais de quelle paroisse au Moyen Age dépendait Précy ? Jussy-le-Chaudrier ? Charentonnay ? Menetou-Couture ? Garigny ? D’un point de vue ecclésiastique, Précy dépendait de l’archiprêtré et de l’archidiaconé de Montfaucon, alors que Jussy-le-Chaudrier dépendait de Sancerre. Donc le plus probable serait de trouver, pour le Moyen Age, dans d’autres recherches, une mention indiquant que la chapelle de Précy se trouvait bien au XIVe siècle dans la paroisse de Garigny et dépendant de l’église Notre-Dame de ce village, sachant que le seul bien foncier de l’édifice religieux de Précy était un pré situé sur cette paroisse de Garigny et que la chapelle associée à l’église Saint-Louis de Précy, après son érection en paroisse, était et est encore sous le vocable de Notre-Dame (voir mon article dédié aux anciens cultes des églises ou chapelles rebaptisées en l’honneur de Saint-Louis). Garigny se situe non loin de Berry qui est situé sur la paroisse de Montfaucon (actuelle commune de Villequiers) et le curé de l’église de Précy était à la nomination du prieur de Berry. La séparation entre les anciennes paroisses de Garigny et celle de Précy suit le découpage du parcellaire agricole, ce qui n’est pas le cas de la limite avec Jussy-le-Chaudrier qui suit la limite d’un petit vallon. La limite entre Garigny et Précy indique donc une séparation historiquement récente avec un partage sur les revenus agricoles des dîmes. Le calcul des rendements agricoles permet de connaître la différence de population entre Garigny et Précy au moment de l’érection de ce dernier hameau en paroisse. L’église Notre-Dame de Garigny et sa paroisse avait pour patron le chapitre de Sancergues. Seul un important seigneur, pouvant imposer sa volonté à Sancergues, a pu imposer à ce chapitre et à l’Église catholique romaine cette création de paroisse par de généreux dons et transférer le patronage de la nouvelle église au prieur de Berry, infirmier de la Charité-sur-Loire, établissement situé sur la paroisse de Montfaucon.
C’est un peu en dents de scie, côté Garigny…
À ré-observer, étymologie de « religion », sur Géoportail.
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La fondation d’une chapelle Saint-Louis avant une érection en église paroissiale ?
Nous n’avons pas les documents pour répondre à cette question… cependant… La paroisse de Précy est mentionnée dans un inventaire de 1499, Co. de Perciaco, bizarrement comme chapelle dans un document où toutes les églises paroissiales sont notées ainsi. On peut donc penser que l’église de Précy était déjà paroissiale à cette date. Le vocable de Saint-Louis est précisé dans la même publication, dans un pouillé en 1772 dans Publication du pouillé de 1772 et du STYLUS (incunable) de 1499 par le chanoine G. Mingasson du chapitre de Bourges, Pamiers : 1916. Cette publication indique aussi en 1772, 250 communiants, Boucque comme curé de la paroisse, le prieur de Berry, infirmier de la Charité, comme patron, l’archiprêtré de Montfaucon comme circonscription ecclésiastique.
Nous avons donc deux dates butoir pour la dédicace à Saint Louis : 1297 et 1772 (Denis Jeanson indique la date de 1720 comme date butoir ultime pour le vocable Saint-Louis de la paroisse de Précy : Pressy ou Précy, de Pressiaco, église Saint Louis, roi de France, patron : le même [le prieur de Berry sous-Villequiers], 1720 (A.D. 18-J 1199, fol. 37). Vous pouvez essayer par vous-même de serrer cette datation, mais…
Nous avons donc deux dates butoir pour l’érection de la chapelle en église paroissiale : 1351 et 1499. Denis Jeanson indique la date de 1422 pour Parrochia de Perceyo, 1422 (Pouillé de Bourges), ce qui pourrait resserrer un peu l’estimation à vérifier. Alors…
Vous pouvez bien sûr vous mettre vous-mêmes aux recherches
sur le terrain comme aux archives pour plus de précisions
et surtout moins de mensonges et de confusions…
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Pour éviter les confusions toponymiques dans vos recherches…
Précy (18) peut être confondu avec d’autres Précy, par exemple le Petit Précy, sur Jouet-sur-l’Aubois (18), autrefois partie de Saint-Germain-sur-l’Aubois, partie de Dompierre, tout proche, ou avec Précy-sur-Oise (60 ; Oise) surtout sur le NET, ou avec Précy-sur-Vrin pour les généalogistes nobiliaires qui indiquent cette confusion possible… Il faut s’appuyer sur d’autres noms de lieux pour parfois faire la distinction, sur les statuts juridiques, sur les descriptifs et la connaissance du terroir local, enquête qui est souvent difficile.
Énormément de confusions et d’inexactitudes existent en toponymie, ainsi Précy est confondu étymologiquement avec Percy, voire avec Parçy, voire Parçay… De plus, on peut trouver environ une quarantaine de toponymes Précy en France. Ils sont généralement regroupés sur la Bourgogne et au nord de la Région parisienne. Précy en Berry est un peu une exception, mais sa place ici est due à la proximité avec la Bourgogne. Il y a un autre Précy assez proche, un lieu-dit, sur la commune de Livry dans la Nièvre (58). Ainsi, un lieu, dans un document peut être pris pour un autre. Je pense que pour ce cas précis, Précy en Berry, il s’agit d’un fait exprès, avec son pré si… unique, et d’un fait de frontière antique. Il évoque un pré, donc éventuellement de la viande pour de gros viandards nomades venus de l’Est, ou pour un aventurier issu des gras élevages bovins de la Bourgogne. Tels des robots… à tondeuses à gazon et à barbe Q… Danger ! Car derrière, il y a la plaine céréalière de la Champagne berrichonne, repérée, convoitée et prise par Jules César.
Pas Touche ! nom d’un petit bois de…
Le toponyme Saint-Louis en rajoute une couche comme on peut le constater sur la carte de répartition géographique française de celui-ci. On sait que Saint Louis lutta… Eux, le « petit peuple », ne s’arrêtent jamais… et ils sont systématiquement dans la confusion volontaire pour nuire et agacer les opposants à leurs invasions incessantes. Le Diable est le Prince des menteurs… Croyez-en les cartes, surtout dans le sud de la France et autour de l’Alsace… avec les toponymes Saint-Louis comme appât et comme bouclier. Ils sauront pourquoi…
Je crois que pour Mornay, c’est un peu pareil… cela attire certains cannibales…
Quant au toponyme Berry, je crois qu’il est fait un peu pour attirer Bourges à soi(t)
et leurs grands hommes, en cette frontière antique à la géologie un peu défoncé.
L’éclaircissement vient d’une étude longue et d’une bonne expérience…
Ainsi, on peut s’apercevoir que le château de Précy a disparu comme toponyme, mais qu’il semble avoir pris le nom de la maison voisine : le Blaudy, parfois orthographié le Blandy par erreur de lecture dans certaines transcriptions. C’est aujourd’hui un EHPAD.
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Pour éviter les confusions foncières dans vos recherches…
Beaucoup de noms de lieux indiqués dans les sources anciennes sont assez difficilement localisables. De plus, certains grands évènements historiques ont fait disparaître bien de précieux documents : les invasions barbares, l’utilisation du coûteux et fragile papyrus égyptien avant le parchemin, les invasions normandes, hongroises, arabes, la féodalité, les instabilités et conflits au sein de l’Église catholique romaine, les guerres Franco-anglaises (la Bataille de Fréteval, par chez moi, à qui l’on doit le Louvre pour les archives royales), les Guerres de Religion, les mises au « goût » du jour, les rénovations et nettoyages excessifs (énormément de magnifiques peintures murales et de fresques ont disparu des églises, notamment avec la mode de la pierre apparente des maçouillats des années 60 à 90…), les révolutions…
La Révolution française a apporté énormément de confusions juridiques, souvent volontaires par pillages. Les inventaires des biens pillés furent bâclés, souvent illisibles et non localisables. De plus la Révolution française a fait croire, par simplification volontaire, à une cohérence de l’Église catholique romaine, ce qui n’a jamais été le cas. Ainsi, l’église Saint-Louis de Précy n’appartenait pas à l’Église catholique romaine dans son entier. La nef appartenait aux habitants de la paroisse, la chapelle Notre-Dame était privée, et le chœur avait trois gestionnaires, et que les biens saisis étaient souvent grevés de rentes au profit de particuliers qui furent également spoliés. Cependant, par haine et désir de destruction, les révolutionnaires de la Terreur, des terroristes anglo-saxons pour la plupart affairistes ou avocats d’affairistes internationaux en cheville avec les Indes orientales et occidentales, firent la sourde oreille et prirent tout pour tout vendre à vils prix. C’est pourquoi les sources sont souvent lacunaires et très difficiles à consulter.
Pour rendre à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu…
On voit que la tache… n’est pas facile…
Faites-en l’expérience…
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Les confusions architecturales et de dédicace…
Un exemple flagrant portant à confusion est celui de l’église Saint-Louis de Montigny-aux-Amognes, dans la Nièvre à quelques kilomètres l’Est de Nevers (à apprécier sur place et aussi visuellement notamment avec les magnifiques photos de monsieur Antoine Garnier, passionné d’art roman). Elle est de style roman du XIIe siècle et son ancien vocable n’est pas indiqué. On peut préciser que la sacristie semble de la fin du XVIe siècle ou du XVIIe siècle (à voir sur le site de la Fondation du Patrimoine). Donc est-ce la sacristie qui commence à résoudre cette énigme ? Saint-Louis est peut-être un vocable dû à un réinvestissement après les Guerres de Religion… à moins que ce soit une influence de l’évêque de Nevers, à la fin du XIVe siècle ou au début du XVe siècle, pendant les luttes anglo-françaises de la guerre de Cent Ans, ou du duc de Bourgogne, lui-même, qui reçut une côte de Saint Louis en 1392, mais on n’en voit pas architecturalement les traces visibles à Précy. Apprécie après si, en grâce avec et grâce aux archives, vous éclaircissez cette confusion ! Relisez, c’est l’étymologie de « religions » qui semble écrit ainsi à l’imparfait… d’un verbe oublié ou censuré du premier groupe qui se comprend pourtant très bien en pays ligérien, en ma Loire, ma loi re… À « religions », on aurait envie d’y mettre un « nous », voire la noue, le pré humide, de l’église Saint-Louis de Précy, avec quelques vaches, pour entrer un peu dans les pensées et les pansées de l’époque… par Saint Louis, l’Île aux Vaches pour les quarantaines et les boucheries parisiennes du quartier du palais royal.
Allez sentir quelques parchemins de bêtes éthiques et non empoisonnées
aux Archives départementales si vous avez encore en corps quelques sens en vous…
Le chœur de l’église Saint-Louis de Précy est de style gothique rayonnant simplifié, donc soit antérieur, soit postérieur. Il est habituellement daté de la fin du XIIIe siècle, et donc daterait d’avant la dédicace à Saint Louis, ou juste à la suite de cette dédicace à la suite de la canonisation de ce roi. Comme la structure de ce chœur est assez simple, mon expérience acquise depuis 1991, daterait plutôt ce chœur du XIVe siècle, ce qui accentue sa rareté… jusqu’à meilleure expérience.
Je n’ai pas réussi à dater les maçonneries de la nef de l’église Saint-Louis de Précy car je n’avais pas de possibilité d’en voir à l’époque l’appareillage. Des travaux de réfection des enduits extérieurs ont été faits récemment. Pourtant ce décapage des enduits anciens n’a pas fait l’objet d’une correction de la datation de la nef de cette édifice, maçonneries qui pourraient dater d’avant la construction du chœur en style Saint Louis, gothique rayonnant. Des photos numériques ont-elles été faites ?
Cela a sans doute dû payer une piscine, mais pas dedans…
La date de 1608 indiquée sur une poutre de l’église peut être indicative, mais nous sommes là pendant les Guerres de Religion et cette poutre peut très bien provenir d’une autre édifice démoli, comme pièce de récupération.
On perçoit la date de 1629 dans la nef, et le bénitier porte la date de 1651. Cela ne prouve pas que la nef date du XVIIe siècle, mais c’est possible. Cela ne fait pas de l’église Saint-Louis de Précy une église rebaptisée avec ce vocable au XVIIe siècle suite à cette grande réfection. Mais pourquoi pas puisque le culte de Saint Louis trouve un renouveau avec les règnes de Louis XIII, Louis XIV, Louis XV et Louis XVI. L’architecture de la porte principale et des baies murées au XIXe siècle, nous indique l’époque d’Henri IV, voir de Louis XIII. Cette rénovation semble liée à la fin des Guerres de Religion.
Photo Nicolas Huron – Projet ECCLESIA 1988-1993
On y voit le monogramme de la Vierge Marie, MA, qui porte au dos celui du Christ.
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Les confusions de confus ions+- avec des zéros et des Huns… du Net
Le Net trimbale énormément d’erreurs et d’approximations. Mon expérience m’a indiqué depuis longtemps qu’il ne peut servir qu’à la communication de documents ou de références de documents authentiques. Ce n’est absolument pas le cas en ce moment. Certains courants toxiques dans certaines sciences, par exemple la toponymie, doivent être carrément considérés comme des usurpations où presque tout est faux.
De plus le bombardement hertzien continu et global depuis les environs de 1890 nuisent à la mémorisation et à l’aisance dans tous les ouvrages… sans parler des poisons orientaux, et sans oublier ceux des Indes occidentales, les Amériques…
Malgré tout ça et avec tout ça, essayez d’éviter quelques autres confusions… ci-après
avec un crayon de papier et une gomme avec les efforts de l’autodidactie…
d’en faire par agrafes et paragraphes, comme ma mère, mon père et moi
pour vous en nourrir et loger honnêtement à votre tour…
pour en acquérir bonne et juste autorité spirituelle et temporelle.
Entre autres confusions
de cons fûts ions+
Cet article se finit là, le vôtre commence ci-après… avec le Nôtre,
le canal latéral à la Loire et ma Loire…
et les chemins de fer…
Joyeux Noël 2024 !
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Confusions entre une datation écrite, ou un mot, et la réalité historique, voire préhistorique…
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Confusions de minerais pour les Forges des forts jeux gaulois et romains…
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Confusions entre Ludovicus et Ludo (jeu) Vicus (village)…
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Confusions entre Saint-Louis, Loy, Lois… et ceint l’huis, et syn…
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Confusions entre imposition et transmission, et continuité d’existence…
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Confusions entre la nature, la campagne et l’artifice, si elle…
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Confusions entre l’adéquation commerciale usurpée hypnotique et polie et la vérité poly…
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Confusions entre l’élevage et la domesticité et l’élévation de « I am just a gigolo… » ou de « YNCA » (Incas ? Un cas ?)…
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Confusions entre Notre-Dame de Précy et le buisson ardent du Sinaï triangulaire dégoulinant dans la Mer Rouge…
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Confusions entre les évidences géographiques et les nécessités, et vous…
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Confusions entre communs et communisme, entre sauces si y a liste et…
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Confusions entre élus et ailes eues… entre Saint-Cyr de Nevers et syn-cir de nœud vert… quant à Saint-Jacques-et-Saint-Cyr de Sancergues…
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Sans oublier l’évocation de la lance de César Tibère dans le flanc du Christ sur la Croix…
pour une cure qui vaut bien les sangsues des étangs et des canaux du Berry…
car Sancerre, Sens aire, Sang sert…
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A vous de jouer pour Jouet-sur-l’Aubois enjoué sur l’haut bois… sur ma Loire.
Enchantez ?! En chantier !
En chants t’es, en champs, t’y es !
Pas sciences !
Patience passe sciences…
Osez l’Histoire !
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