Saint-Maurice, églises et toponymes, cas douteux en syn-mor… Hisse !

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Toponymie Maurice et Saint-Maurice

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Un cas d’école pour tous les

Saint-Maurice…

Pour le Noël de Maurice Huron, boucher d’Herbault, pour le Noël de Maurice Lamirault, cultivateur à Alluyes, etc., et pour tous les métiers de bouches…

Géologiquement, les constats semblent un peu les mêmes que pour les Saint-Maur, mais avec quelques touches évocatrices en plus… décrites ci-dessous…

Commencez donc obligatoirement par les Saint-Maur…

avec l’article précédent :

Saint-Maur, églises et toponymes, cas douteux en syn-mor…

Avec Saint-Maur, on peut penser qu’il s’y greffe « hisse » ? Oui ! Ys, écrit US en grec, υς, désigne le porc, le cochon, ou la truie, la laie (C’est très spirituel, je vous l’accorde, tout comme leur « Constitution »). US, comme synonyme de hyaina, υαινα, est aussi lié, en grec à la hyène, et aux femmes consacrées au culte de Mithra (dont l’épicentre se situait en Anatolie, actuelle Turquie), déesse toujours représentée avec un bonnet phrygien et égorgeant un taureau. Nous savons que le limes romain a été perdu à cause de la présence de ces faux chrétiens catholiques romains s’adonnant à la fin de l’Antiquité au culte de Mithra. C’est très renseigné en archéologie. US est aussi associé à la couleur du rouge écarlate, du pourpre, symbole de la puissance romaine, usurpée « pacifiquement » par Jésus de Nazareth, condamné par la juiverie, et rendu Christ, mort et ressuscité par Rome. Jules César a dit que les Gaulois ne comprenaient pas le Grec, il écrivait ses messages secrets en grec… La vérité, est que les Romains, non instruits (lui l’était), ne savaient pas lire le grec. Les druides, je crois que si. US désigne aussi le fils, ou le gendre (pour ὗς, voir υἷος). Je vous passe les détails…

En français, nous, nous avons la possibilité de faire du US grec, « housse ».

C’est très spirituel… et, vous savez maintenant comment vérifier.

Le mot moryss– existe en faune-éthique (voir le Grec ancien, μορυσς…), notamment comme verbe, et définit le fait de noircir, de tacher, de souiller, ou, de teindre d’une couleur foncée. En toponymie, il s’agit généralement de terres, de roches, de limons (argiles et sables)… Cela nous parle aussi de blessure car, le mot oryss– existe, notamment comme verbe, ορυσσω, et signifie : creuser, fouiller ; percer, meurtrir ; enterrer, enfouir ; déterrer, faire sortir en creusant. Ce sont de très vieilles racines indo-européennes. Ces racines sont basées sur le verbe ôry-, ωρυω : hurler (loups, chiens), rugir (lion) ; pousser des hurlements de douleur ; pousser des cris de joie véhéments. On peut préciser que le pilum romain trouvé à Herbault par un agriculteur (voir mon étude d’inventaire des noms de lieux de la commune d’Herbault), très rouillé, très assombri, porte le nom grec de yss-os, υσσος (os étant la terminaison masculine pouvant se décliner) : Hisse, Hisseau.

Un petit inventaire cartographique…

Le culte de Saint-Maurice en Région Centre et aux environs.

Cet inventaire n’est probablement pas exhaustif.

Carte Nicolas Huron

Les frontières des anciennes nations gauloises, puis diocèses romains, sont en couleur.

Chaque toponyme Saint-Maurice a son caractère et chacun mériterait l’explication que j’ai commencé à donner pour les toponymes Saint-Maur. Il n’est pas possible de les étudier en détails ici, mais on peut les identifier et faire quelques remarques géographiques.

Un petit inventaire à l’après vert…

Dans le département de l’Allier (03), dans l’ancien diocèse de Bourges :

L’ancien prieuré Saint-Maurice d’Autry-Issard (ancien diocèse de Bourges ; Allier ; 03) auprès d’une faille géologique et de son petit vallon.

L’église Saint-Maurice de Blomard (ancien diocèse de Bourges ; Allier ; 03), près d’une très grande faille géologique traversant presque tout le Massif-Central.

L’église Saint-Maurice de Buxières-les-Mines (ancien diocèse de Bourges ; Allier ; 03), lieu connu pour ses mines de charbon, entre deux failles géologique.

L’église Saint-Maurice de Teillet, à Teillet-Argenty (ancien diocèse de Bourges ; Allier ; 03) se situe à la confluence de deux ruisseaux affluents du Cher.

Dans le département du Cher (18) :

On doit noter le jeu de mots avec l’église Saint-Maurice de Cuffy (ancien diocèse de Nevers ; Cher ; 18), à la confluence de l’Allier et de la Loire, en face et en aval de Nevers…

L’église Saint-Maurice de Marçay (ancien diocèse de Bourges ; Cher ; 18), dont le nom indique une grande boucle du lit majeur de l’Arnon, est lié à des limons anciens, et à ce coude cumulatif. Dans la commune, il faut noter la proximité de l’ancien prieuré de Morlac (actuellement commune issue de la paroisse de Marçay).

Dans le département d’Eure-et-Loir (28) :

L’ancienne église collégiale disparue de Saint-Maurice, au lieu-dit Saint-Maurice, à Chartres, située au nord de la ville auprès de l’Eure, au bout et en contrebas du plateau de cette ville. Ce lieu-dit d’alluvions qui voit la réunion de l’Eure avec deux petites rivières aujourd’hui asséchées (rue de Rechèvres d’une part, et boulevard Charles Péguy et tranchée des chemins de fer d’autre part, anciens fossés et Butte ou But des Charbonniers) descendant de l’ouest et longeant l’ancienne enceinte médiévale de la ville de Chartres, correspond géologiquement à notre enquête et révèle donc un nom préhistorique en syn- (voir ce plan de 1850 sur gallica.bnf).

Le toponyme Saint-Maurice au nord de Chartres.

Vérifiable sur Géoportail !

Un cas d’école…

L’église disparue de Saint-Maurice-sur-Loir (ancien diocèse de Chartres ; Eure-et-Loir ; 28) qui était originellement le siège de la paroisse (mention en 1144) de l’actuelle commune de Bonneval, et qui se situe en amont de l’église de Saint-Maur-sur-le-Loir (mention en 1141), portant ce nom de lieu pour les mêmes raisons que la commune voisine. J’expose précisément sa géologie remarquable et son terroir de la vallée du Loir, terres agricoles depuis le Néolithique, dans mon article sur Saint-Maur.

L’église Saint-Maurice du hameau de Saint-Maurice, à Saint-Maurice-Saint-Germain (ancien diocèse de Chartres ; Eure-et-Loir ; 28) située sur la rive droite, sud, de l’Eure, sur des alluvions anciennes.

Dans le département de l’Indre (36) :

L’église Saint-Maurice de la Buxerette (voir cet ancien vocable aux Archives départementales de l’Indre : Série G ecclésiastique, G 526), actuellement église Saint-Mandé (ancien diocèse de Bourges ; Indre ; 36) est située sur la Marche, et est géologiquement dans les contreforts nord du Massif-Central, non loin des sources et près des premiers limons de la rivière la Bouzanne, là où la pierre commence à devenir sombre.

L’église Saint-Maurice de Condé (ancien diocèse de Bourges ; Indre ; 36) est située dans la Champagne berrichonne, et présente à peu près la même configuration géologique que Montierchaume.

L’église Saint-Maurice de Luçay-le-Mâle (ancien diocèse de Bourges ; Indre ; 36) est située près de la rivière du Modon, et on doit y remarquer les lieux-dits La Forge et Les Forges.

L’église Saint-Maurice de Menetou-sur-Nahon (ancien diocèse de Bourges ; Indre ; 36), dont le terroir, qui comprend la confluence avec le Fouzon, est très argilo-sableux.

Le hameau de Saint-Maurice, à Mézières-en-Brenne (36), situé au sud-est du bourg, sur l’Yoson, affluent de la Claise (non cartographiée ci-dessus).

L’église Saint-Maurice de Montierchaume (ancien diocèse de Bourges ; Indre ; 36) se situe dans un terroir humide et autrefois marécageux.

L’église Saint-Maurice de Mouhers (ancien diocèse de Bourges ; Indre ; 36) est située en limite de la Marche, près d’un affluent de la Bouzanne, le ruisseau du Couvent.

L’église Saint-Maurice de Villiers (ancien diocèse de Bourges ; Indre ; 36) est située en limite nord des marais de la Brenne.

Dans le département d’Indre-et-Loire (37) :

L’église Saint-Maurice d’Artannes-sur-Indre (ancien diocèse de Tours ; Indre-et-Loire ; 37) se situe sur une resserrement de la vallée de l’Indre, à la sortie d’une série de méandres de cette rivière. Le nom de la commune évoque notamment le tannage et l’étranglement (voir mon étude sur les noms de lieux d’Artannes-sur-Thouet).

L’église Saint-Maurice d’Avoine (ancien diocèse de Tours ; Indre-et-Loire ; 37) se situe sur une faille géologique, à la confluence du Cher et de la Loire, dans une zone très limoneuse, et auprès d’une grande nappe d’alluvions anciennes.

L’église Saint-Maurice de Barrou (ancien diocèse de Tours ; Indre-et-Loire ; 37) se situe dans les alluvions anciens et nouveaux de la Creuse.

L’église Saint-Maurice de Chinon (ancien diocèse de Tours ; Indre-et-Loire ; 37) est située au pied de l’éperon du château, auprès de la rivière de la Vienne.

L’église Saint-Maurice de Crissay-sur-Manse (ancien diocèse de Tours ; Indre-et-Loire ; 37).

L’église Saint-Maurice d’Eves-le-Moutier (ancien diocèse de Tours ; Indre-et-Loire ; 37).

L’église Saint-Maurice d’Huismes (ancien diocèse de Tours ; Indre-et-Loire ; 37) est située près d’une faille géologique dans des roches du Crétacé, en contrebas d’une nappe argilo-sableuse.

L’église Saint-Maurice de l’Île-Bouchard (ancien diocèse de Tours ; Indre-et-Loire ; 37) se situe sur la rive sud de la Vienne dans un lieu-dit portant le nom de Saint-Maurice, sur des alluvions anciennes de la vallée mélangées avec divers colluvions du Crétacé.

L’ancienne chapelle Saint-Maurice à Nazelles-Négron (ancien diocèse de Tours ; Indre-et-Loire ; 37), autrefois située près du pont d’Amboise, côté ouest, lieu d’anciennes fonderies.

Le Bois Saint-Maurice, à Sorigny (37) (non cartographié ci-dessus).

L’église Saint-Maurice de Thizay (ancien diocèse de Tours ; Indre-et-Loire ; 37) est située auprès de la vallée de la Vienne, dans une configuration géologique similaire à la précédente.

La cathédrale Saint-Gatien de la ville de Tours était autrefois, avant le XVIe siècle, dédiée à Saint-Maurice (voir mon article sur l’église de Nouzilly pour voir quelques restes de l’ancienne cathédrale).

Sculptures romanes à Nouzilly (37), provenant probablement de l’ancienne façade

de la cathédrale Saint-Maurice de Tours (Indre-et-Loire ; 37)

Photo Nicolas Huron

Dans le département de Loir-et-Cher (41) :

Le Loir-et-Cher n’a qu’un toponyme Saint-Maurice qui est récent (XIXe s.), trouvé aujourd’hui sous cinq formes : une portion de la forêt domaniale (les Brosses et les Hautes Brosses) appelée Saint-Maurice, Saint-Maurice ISES (I.S.E.S : Institution spéciale d’éducation surveillée ; dépendant de l’administration pénitentiaire), Briqueterie de Saint-Maurice, une « colonie » pénitentiaire « agricole », à rouge colle. C’est aujourd’hui un truc pour Amazones phrygiennes esclavagistes cannibales, appelé « Le Château de Saint-Maurice », avec Saint-Maurice Nord, et Saint-Maurice Sud. Je pensais être surpris, mais il y a pire : l’Amicale d’Entraide du Personnel des Services d’Éducation Surveillée de Loir-et-Cher. Vous n’en croirez pas vos yeux. C’est à l’emplacement de l’ancienne motte de Lamotte…

On se demande pourquoi l’ecclésiastique a choisi comme nom Saint-Maurice…

Je crois qu’il avait fait ses lettres classiques, ses humanités, comme on dit…

Pour la cartographie, vous avez Géoportail et un écran télé… en HDMI ou VHS…

Les toponymes de Saint-Maurice (XIXe siècle) sur Lamotte-Beuvron.

Vérifiable sur Géoportail !

Un cas d’école…

Dans le département du Loiret (45) :

L’église Saint-Maurice de Châtillon-le-Roi (ancien diocèse d’Orléans ; Loiret ; 45) qui se trouve proche de l’important sanctuaire gallo-romain de Pithiviers-le-Vieil.

L’église Saint-Maurice de Châtillon-sur-Loire (ancien diocèse de Bourges ; Loiret ; 45) dans un petit vallon donnant sur la Loire.

L‘église Saint-Maurice de Saint-Maurice-sur-Aveyron (ancien diocèse de Sens ; Loiret ; 45) avec une géologie argilo-sableuse à silex, avec poudingues, et alluvions mélangées à des colluvions du Crétacé. L’Aveyron est un affluent du Loing.

L’église Saint-Maurice de Saint-Maurice-sur-Fessard (ancien diocèse de Sens ; Loiret ; 45), dont on appréciera le jeu de mots, se situe à la confluent de l’Huillard et de la Bezonde, sur les roches détritiques descendant du plateau beauceron vers Montargis et ses marais.

Dans le département du Maine-et-Loire (49) :

La cathédrale Saint-Maurice d’Angers.

L’église Saint-Maurice de Louerre (ancien diocèse d’Angers ; Maine-et-Loire ; 49).

L’église Saint-Maurice de Chartrené (ancien diocèse d’Angers ; Maine-et-Loire ; 49).

L’église Saint-Maurice de Sorges, aux Ponts-de-Cé (ancien diocèse d’Angers ; Maine-et-Loire ; 49), sur l’Authion, non loin des bords de la Loire.

L’église Saint-Maurice de Souzay-Champigny (ancien diocèse d’Angers ; Maine-et-Loire ; 49), sur Souzay, au bord de la Loire.

Dans le département des Yvelines (78), dans l’ancien diocèse de Chartres :

L’église Saint-Martin-et-Saint-Maurice de Millemont (ancien diocèse de Chartres, Yvelines ; 78).

Dans le département de l’Orne (61), auprès ou dans l’ancien diocèse de Chartres :

L’église Saint-Maurice de Saint-Maurice-lès-Charencey (ancien diocèse de Chartres ; Orne ; 61), avec la rivière de Saint-Maurice.

L’église Saint-Maurice de Saint-Maurice-sur-Huisne (ancien diocèse de Sées ; Orne ; 61).

Dans le département de la Vienne (86) :

L’église Saint-Maurice de Château-Garnier (ancien diocèse de Poitiers ; Vienne ; 86).

L’église Saint-Maurice de Saint-Maurice-la-Clouère (ancien diocèse de Poitiers ; Vienne ; 86).

Dans le département de la Haute-Vienne (87) :

Si vous aimez les casse-tête géologique, vous pouvez vous pencher précisément sur l’environnement des églises Saint-Maurice à Bussière-Poitevine (ancien diocèse de Poitiers ; Haute-Vienne ; 87), à la Jonchère-Saint-Maurice (ancien diocèse de Limoges ; Haute-Vienne ; 87), à Moisannes (ancien diocèse de Limoges ; Haute-Vienne ; 87), à Saint-Maurice-les-Brousses (ancien diocèse de Limoges, Haute-Vienne ; 87), ainsi que sur l’ancienne église Saint-Maurice-de-la-Cité, transformée en chapelle des Carmélites, à Limoges (Haute-Vienne ; 87).

Dans le département de l’Essonne (91), dans l’ancien diocèse de Chartres :

L’église Saint-Maurice de Saint-Maurice-Montcouronne (ancien diocèse de Chartres ; Essonne ; 91).

Et dans tous les autres départements…

Et, il y a tous les autres toponymes Saint-Maurice…

Les toponymes Saint-Maurice en France

Carte Nicolas Huron

Le département le plus représenté semble la Drôme (sans doute quelques cuvettes limoneuses enserrées un peu vaseuses, et, débordantes en cas d’orages…), rive gauche du Rhône, avec notamment : La Montagne de Saint-Maurice, qui est très Crétacé, creusée par le Ravin de Saléras, sur Dieulefit (26).

La Montagne de Saint-Maurice, et la Crête des Rochers de Saint-Maurice

très géologiquement Crétacé, creusées par le Ravin de Saléras, sur Dieulefit (26).

Vérifiable sur Géoportail !

N’oubliez pas de cliquer sur « Cartes géologiques » et d’en lire la notice du BRGM…

On pense évidemment à la célèbre cuvette plate limoneuse de Bourg-Saint-Maurice, sur l’Isère, au pied du Massif du Mont-Blanc, en amont de Moutiers et son nœud serré, après La Plagne, sur la Tarentaise, en aval du Col du Petit Saint-Bernard. Le petit dernier… avant l’Italie, et son premier bourg, la Thuile, à moins de prendre par Tigne, sa station et son monstrueux barrage, et Val d’Isère, autrefois appelé Laval situé sous le Mont Iseran, connu surtout aujourd’hui pour son col de l’Iseran. On peut aussi penser au village noyé de Tigne qui se finit par -igne, une brûlure… Ti étant un diminutif (pour chauve… testostéroné ?). Il fallait bien le dire un jour, jour qui n’est pas encore arrivé…

Vérifiable sur Géoportail !

Osez poursuivre la recherche avec les Saint-Maurin…

Les toponymes Saint-Maurin en France

Carte Nicolas Huron

En dehors de la commune de Saint-Maurin (Lot-et-Garonne ; 47), auprès de la Garonne, et l’Artigue de Saint-Maurin, sur Ferrière (Hautes-Pyrénées ; 65), les lieux-dits Saint-Maurin se situent en sud des Alpes : Grottes de Saint-Maurin, et Peirier de Saint-Maurin, sur la commune de Palud-sur-Verdon (Alpes-de-Hautes-Provence ; 04) ; Saint-Maurin, sur la commune de Montjustin (Alpes-de-Hautes-Provence ; 04), sur Régusse (Var ; 83), sur Rians (Var ; 83), sur Saint-Martin (Var ; 83), sur Ansouis (Vaucluse ; 84), sur Rustrel (Vaucluse ; 84), sur Saint-Saturnin-lès-Apt (Vaucluse ; 84).

voire les Saint-Maurille, les Sainte-Maure…

Mais, il fallait commencer obligatoirement par

les Saint-Maur…

avec l’article précédent :

Saint-Maur, églises et toponymes, cas douteux en syn-mor…

Osez l’Histoire… !

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Toponymie Maurice et Saint-Maurice

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