Liste des articles de ce blog : vis ta mine…

Maître, est-ce… mes tresses ?

Ajoutez un « est-ce… ? » car

patrimoine-rural.com fonctionne autant avec http:// qu’avec https:// Essayez !

En attendant que je perfectionne et que je complète certains articles… sachez que

le dernier article est présenté ci-dessous en premier.

Mon ouvrage en cours est le A 214. La page 12… Oh mes gars !

Besoin urgent de relire la Constitution des USA et savoir

ce qu’est une vraie révélation technique ? Alors A220 !

Quant à Oisly, l’explication est donnée : vitrification souveraine avec A217.

Si vous êtes sur la page d’accueil, pour choisir votre trésor cognitif,
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Osez l’Histoire !

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Saint-Maurice, églises et toponymes, cas douteux en syn-mor… Hisse !

Un cas d’école pour tous les

Saint-Maurice…

Géologiquement, les constats semblent un peu les mêmes que pour les Saint-Maur, mais avec quelques touches évocatrices en plus… décrites ci-dessous…

Commencez donc obligatoirement par les Saint-Maur…

avec l’article précédent :

Saint-Maur, églises et toponymes, cas douteux en syn-mor…

Avec Saint-Maur, on peut penser qu’il s’y greffe « hisse » ? Oui ! Ys, écrit US en grec, υς, désigne le porc, le cochon, ou la truie, la laie (C’est très spirituel, je vous l’accorde, tout comme leur « Constitution »). US, comme synonyme de hyaina, υαινα, est aussi lié, en grec à la hyène, et aux femmes consacrées au culte de Mithra (dont l’épicentre se situait en Anatolie, actuelle Turquie), déesse toujours représentée avec un bonnet phrygien et égorgeant un taureau. Nous savons que le limes romain a été perdu à cause de la présence de ces faux chrétiens catholiques romains s’adonnant à la fin de l’Antiquité au culte de Mithra. C’est très renseigné en archéologie. US est aussi associé à la couleur du rouge écarlate, du pourpre, symbole de la puissance romaine, usurpée « pacifiquement » par Jésus de Nazareth, condamné par la juiverie, et rendu Christ, mort et ressuscité par Rome. Jules César a dit que les Gaulois ne comprenaient pas le Grec, il écrivait ses messages secrets en grec… La vérité, est que les Romains, non instruits (lui l’était), ne savaient pas lire le grec. Les druides, je crois que si. US désigne aussi le fils, ou le gendre (pour ὗς, voir υἷος). Je vous passe les détails…

En français, nous, nous avons la possibilité de faire du US grec, « housse ».

C’est très spirituel… et, vous savez maintenant comment vérifier.

Le mot moryss– existe en faune-éthique (voir le Grec ancien, μορυσς…), notamment comme verbe, et définit le fait de noircir, de tacher, de souiller, ou, de teindre d’une couleur foncée. En toponymie, il s’agit généralement de terres, de roches, de limons (argiles et sables)… Cela nous parle aussi de blessure car, le mot oryss– existe, notamment comme verbe, ορυσσω, et signifie : creuser, fouiller ; percer, meurtrir ; enterrer, enfouir ; déterrer, faire sortir en creusant. Ce sont de très vieilles racines indo-européennes. Ces racines sont basées sur le verbe ôry-, ωρυω : hurler (loups, chiens), rugir (lion) ; pousser des hurlements de douleur ; pousser des cris de joie véhéments. On peut préciser que le pilum romain trouvé à Herbault par un agriculteur (voir mon étude d’inventaire des noms de lieux de la commune d’Herbault), très rouillé, très assombri, porte le nom grec de yss-os, υσσος (os étant la terminaison masculine pouvant se décliner) : Hisse, Hisseau.

Un petit inventaire cartographique…

Le culte de Saint-Maurice en Région Centre et aux environs.

Cet inventaire n’est probablement pas exhaustif.

Carte Nicolas Huron

Chaque toponyme Saint-Maurice a son caractère et chacun mériterait l’explication que j’ai commencé à donner pour les toponymes Saint-Maur. Il n’est pas possible de les étudier en détails ici, mais on peut les identifier et faire quelques remarques géographiques.

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Saint-Maur, églises et toponymes, cas douteux en syn-mor…

Saint-Maur

ou tout sembla revoir

en syn-mor avec συν  μωρ-

où tout semble art « voir »…

Article très documenté en cours de construction…

Voir mes trois études d’inventaire précédant cette mise au point…

très Terre à terre, tellurique, géologique et agricole…

Ma toponymie en 2023 e(s)t suivante…

Un haïku préhistorique ?

Pour Saint-Maur sur Indre, comme pour d’autres Saint-Maur, on doit constater qu’il s’agit d’un lieu noir, d’un assemblage (syn– : voir mon article sur Saint-Plantaire) de compost (voir mes articles sur les toponymes Folie, Folies), avec des limons sombres ferrugineux du Massif Central, des résidus de forges de l’Indre et de ses affluents en amont, associé à de la marne sombre, à une pente douce, à des ronciers, des mûriers dits Moriers, au fait d’en être noir (à la fin de l’été, ils sont normalement bien mûrs et saoulent à en perdre la tête), d’hydromel, la tête dans une tenaille (pince, étau, etc.), associé à de la viticulture de cépage noir, à des flammèches (mon étude d’inventaire, disponible dans mon article précédent, sur les toponymes de Saint-Maur dans l’Indre indique page 29, qu’il y avait un sanctuaire de Vénus et un columbarium romain au Colombier, aujourd’hui manoir fermier, dans le sens du vent, et un autre sur Déols : bonjour les barbecues, les crépitements, les étincelles volantes, la soupe de cannibales en fumigations… très Huns, voire Hindous, pour en exciter certains appétits orientaux), voire à des cendres, voire à descendre, voire à des marais et à des tourbières, à de l’eau morte (croyez-en la Fontaine de la Demoiselle et l’aqueduc romain, indiqués dans mon étude des toponymes de Saint-Maur dans l’Indre page 26), au fait de recourber, ou d’en avoir le nez camus, d’en être déprimé, émoussé, hébété, fou, sot, insensé, regroupé dans un corps d’infanterie, durement, cruellement, en bordure, en frange, pour quelques soins, quelques soucis, quelques sollicitudes (ce que je fais présentement généreusement), dans un temps défini, de s’en baigner, de s’en laver, de s’en parfumer, d’en pleurer, de s’en épancher, de s’en baptiser… Tout ce las sera expliqué dans la suite de cet article, sachant que « sin » et signe (souvent en encre de métaux lourds), comme l’attestent les mots ceint et seing, sont les mêmes maux que celui du cygne (s-ign- marque du pluriel qui sous-entend être suivie d’une brûlure ou d’une pourriture), cygne dont la viande est encore plus dure que celle du canard, cygne réservé au ROY seul, pour en porter couronne et aura, voire auréole (concept provenant historiquement des tyrannies orientales), pour mieux en scintiller de minéraux cumulés (Himalaya ? Massif Central ? Massif Alpin ?), appelés aujourd’hui bizarrement « terres rares ». C’est très spirituel…

((( .+. )))

Pour être faune éthiquement et phonétiquement préhistorique et faire entrer la Préhistoire, et l’après histoires… dans l’Histoire, science de toutes, on peut jouer avec les toponymes avec des jeux que j’ai inventés et dont mon étude-inventaire des noms de lieux de Saint-Maur dans l’Indre, datant de 2005, peut servir de table de jeux. J’ai aussi, sur ce blog des modes d’emploi, et des exemples multiples. Vous pouvez vous appuyer sur un ouvrage référentiel dédié que je construis en m’appuyant sur les toponymes de Saint-Hippolyte. Ces recherches et ces découvertes nous apprennent que les « révolutionnaires républicains », que les historiens ont identifiés comme des terroristes affairistes anglais syphilitiques en cheville et de mèche avec les Orléans et la variole, étaient vraiment très stupides de rebaptiser la commune de Saint-Maur sur Indre « Beaulieu », voire « Beaupré » (page 98). Il suffisait de l’orthographier en amas-zone : « sein(g) mort ».

Géomorphologiquement (forme du relief) et géologiquement, Saint-Maur ressemble à une pelle (voir ci-dessous), voir à une chatte aux roux… s’abreuvant. La grande villa (Adriers ? à orthographier ?) découverte sur son petit sommet au Bois des Ormeaux, semble en être l’œil… Les Gaulois étaient au stade… entre ce Paradis (verger) et l’enfer des limons de l’Indre (d’anges heureux dangereux…). Quand on naît et qu’on est sédentaire, on finit par s’en apercevoir… à Perses voir… des nomades pillards incendiaires anthropophages n’en voient rien… En odeur de sainteté ?

Là où les bêtes d’abreuvent…

A découvrir sur Géoportail !

L’orée -ille crétacé et le museau jurassique…

dans des limons marécageux plutôt sombres…

Oui, c’est ainsi : un haïku toponymique…

Soyez fier de votre panneau, panne haut, eaux, Ω, ω ! 

Oh ! Un travail de romain… Bel Air !

Sinon vous pouvez retrouver la vil(l)e Châteauroux,

sur un des modillons de l’église Notre-Dame de Françay (41) par chez moi…

 (https://patrimoine-rural.com/tradition-populaire-francay-41-et-les-7-peches-capitaux/)

très bien orienté… et qui prouve que mon pays était autrefois peuplé

de quelques savoirs f’aire… et de quelques pèlerinages,

même dive aire, d’hiver et divers.

La Guillotine est à sa place…

L’âge à Loups y… aussi

Alpha-bêtisé(e) ?

Un petit inventaire…

Le culte de Saint-Maur en Région Centre et aux environs

Carte Nicolas Huron

Une vérité géologique… cumulative noire et sombre…

L’église Saint-Maur de Saint-Maur (ancien diocèse de Bourges ; Cher ; 18) est située à la limite sud du Bassin Parisien, tout près des contreforts du Massif Central de la région de la Marche. Elle est même située en limite des alluvions de la rivière du Portefeuille, sur des roches marines du Trias, c’est-à-dire entre des alluvions issues de roches du Massif Central, roches du socle avec des grés, et des roches plus claires, comme des sables et argiles kaoliniques (T7 sur la carte géologique sur Géoportail, à découvrir sur la notice du BRGM de Châteaumeillant 0595N.pdf). Cette clarté du plateau se voit sur les parcelles labourées. La commune semble avoir été un gisement d’argile à poteries dès le Néolithique, de plus « à Saint-Maur au lieu dit « Mazère » un mégalithe appelé la « Pierre Fade » comprenant une pierre horizontale, grande dalle en grès métamorphique (quartzite ou grès triasique ?) et plusieurs pierres verticales observées au XIXe siècle est peut-être une sépulture en dolmen » (Extrait de la notice géologique du BRGM). Ce qui est remarquable, c’est que le bourg se trouve à la limite nord d’une faille géologique montant sur le Massif Central, et, qu’en amont, on trouve Goutte Noire, aussi sur une faille coupant la rivière du Portefeuille. Les failles géologiques sont plus nombreuses et orthogonales en amont sur Saint-Saturnin (voir plus bas), qui évoque un culte chtonien, sombre, mystérieux. Le culte des mondes souterrains est aussi rappelé sur la commune de Saint-Saturnin par le lieu-dit du Bourdeau, qui fait notamment référence au dieu gaulois des sources chaudes ou boueuses. La limite rectiligne entre les deux communes de Saint-Maur et de Saint-Saturnin (syn-Saturn’in ; voir mes articles sur les toponymes très particuliers Saint-Saturnin) indique une subdivision d’une circonscription ancienne plus grande : Châteaumeillant. Il y a sur Châteaumeillant une carrière de roche sombre, la Carrière de Boischaut qui peut donner une idée de la différence de ton.

Une bonne raison d’en goutter pour percevoir la différence… là où l’angle cumule…

Est-ce pris ? Est-ce prix ? S prit ! Es-tu là ? Est tue las ? Hé, tu l’as…

Une référence à un culte chtonien Saint-Saturnin en « des monts » de Saint-Maur…

où par en aval, on pourrait peut-être même y entendre le dit -able…

« Âne, masseur à nœuds, ne vois-tu rien venir ? »

chez ces bavards sudistes… où ça tan(ne)…

((( et SAT ânes… )))

Vérifiable sur Géoportail !

Le Champ de Saint-Maur, près de Soudrain, à Sainte-Lunaise (ancien diocèse de Bourges ; Cher ; 18), est un champ entouré de bois correspondant anciennement à une clairière de source, actuellement asséchée, qui a laissé un mini vallon noir portant la trace sombre d’une sédimentation argilo-sableuse et limoneuse, anciennement rempli de compost pendant des siècles par les feuilles des bois alentours de la Forêt domaniale des Abbayes. Ce petit vallon est visible par les courbes de niveau des cartes IGN. Il se déversait dans la Vallée de Tréfou, dont le toponyme évoque des feuilles, la Folie, des hêtres, etc., pour se déverser ensuite sinueusement entre  les Maupertuis et les Mauvinaux, dans les Grandes Vallées entre les bois des Usages de la Roche (châtellenie), et les Communaux de Lapan (village). Ces petits vallons se déversaient autrefois dans le Cher, entre Lapan et Corquoy (découvrez aussi l’église Saint-Martin de Corquoy dont j’ai fait une étude d’inventaire). Cette petite trace noire, au sein du Champ de Saint-Maur, se compose d’alluvions récents des roches voisines. Elle est située sur des limons des plateaux et surtout sur des calcaires lités du Jurassique qui produisent une argile sombre, en limite d’un terroir ferrugineux, argileux voire tourbeux, entre Serruelles et Corquoy, roches détritiques issues de l’érosion du Massif-Central (e5-7Fe sur la carte géologique de Châteauneuf-sur-Cher, à voir sur Géoportail avec la notice du BRGM 0546N.pdf). Le plus intéressant réside, en amont de ce petit vallon, vers Levet, dans la subsistance d’anciennes alluvions (FV sur la carte géologique), sur Soudrain où existe aussi un petit vallon associé, et sous le limon des plateaux en amont, qui semblent correspondre à un ancien cours de la rivière de Cher (se référer comparativement à l’ouest sur la vallée de l’Arnon) et dont la formation géologie est assez identique à celle de la Brenne : « De teinte rousse, elle a une stratification irrégulière de dépôt alluvial et est composée de sables, graviers ou galets emballés dans une matrice argileuse. Les sables, apparemment identiques à ceux du complexe détritique de Brenne, avec des graviers et des galets, sont constitués de quartz, mais aussi de chailles jurassiques, ainsi que d’éléments de roches éruptives : granite, gneiss … » (extrait de la notice du BRGM).

C’est donc vraiment un syn-mor… dont on voit la marque en Saint-Maur.


Des roches argilo-calcaires du Bassin Parisien et des roches éruptives du Massif Central

produisant un syn-mor conservé dans le culte de saint Maur,

(((pour vous en rendre un peu ceinte (sinte, synthe ?) Lune aise…)))

dont la congrégation a inventé la critique de documents.

Un curieux hasard pour ces eaux scintillantes…

en boisées Folie et Folies toponymiques

secouées aux ondes hertziennes

pour des petits trous…

minéralogiques Fe+

Vérifiable sur Géoportail !

L’église Saint-Maur de Saint-Maur sur Indre (ancien diocèse de Bourges ; Indre ; 36), est située sur la rive droite au bord nord de la rivière ayant donné son nom au département administratif p(h)arisien, dit « français », l’Indre, sur la pointe de la partie interne d’un méandre assez prononcé, à C prononcé. Le bourg se situe non loin de la préfecture de Châteauroux, au point d’en être devenu une banlieue dortoir. Le terroir général est placé sur du calcaire du Jurassique (J6-J7a sur la carte géologique de Châteauroux, à voir sur Géoportail avec la notice du BRGM 0544N.pdf) qui est un calcaire lité entrecoupé de bancs d’argile verte ou gris foncé d’une épaisseur allant de 10 à 40 mètres. Sur ce calcaire, nous trouvons au nord de Saint-Maur des loupes d’argiles sableuses glauconieuses ou ferrugineuses avec des grès, le tout datant du Crétacé (C2 sur la carte géologique), et nous trouvons au sud, des loupes de sables argileux grisâtres, composés de galets et de poudingues, roches qui recouvrent presque toute la surface à partir des Bois de Gireugne au sud de la zone commerciale de Châteauroux, Saint-Maur Cap Sud (e5-7S sur la carte géologique de Velles, à voir avec la notice du BRGM 0570N.pdf). Le plateau est parfois, notamment à l’est de Châteauroux, composé de roches comprenant des granulats ferrugineux (P? sur la carte géologique). Après le resserrement d’Ardentes, et une ligne assez droite, le lit majeur de la vallée de l’Indre forme un coude à 90° sur Déols, alias Bourg-Dieu, après la Vallée de Beaumont, et avant l’étranglement du Rochat, face à l’ancienne abbaye de Déols, pour entamer vers l’ouest une zone très méandreuse, pleine d’étangs et de bras d’eaux. C’est à se demander si Châteauroux, qui semble aussi un phrasé préhistorique de phonétique ancienne de faune éthique, dans lequel on perçoit Taurus en pierre et en géomorphologie, voire un chas tord, etc., dans ces méandres roulants, face au resserrement du gué de Saint-Christophe, ne s’appelait pas auparavant Chât’eaux-Roues, ou -Roulent, ou Château-Rû, avec comme racine « caste », « chaste », ou « oru » (à voir dans Le Grand Bailly : https://bailly.app/q=oru ; https://bailly.app/q=%C3%B4ru), et que cela nous parlerait peut-être, entre autres souvenirs disparus, de châtaigniers, καστ-, ou de castors, κάστωρ, et, s’il ne s’agit pas d’une appropriation par un certain Raoul le Large au Xe siècle (Rodulphus ou Radulphus, Rodolphe en latin, ou Raoul), avec les adaptations de prudents lettrés, face à ces brutes germaniques ou normandes, dans des temps un peu sombres, ledit Raoul orthographiable « rat-houle », mais à prononcer « roux », bref un peu ferrugineux, voire forestièrement toujours un peu automnale au sol en attente de compostage à Saint-Maur… Une seconde zone méandreuse est perceptible à partir de Niherne, Villedieu-sur-Indre, avec cependant moins d’étangs qu’au pourtour de Saint-Maur et qu’aux environs de Déols. La rivière de l’Indre, au milieu de ces eaux stagnantes, a été aménagée de très longue date, en deux ou trois bras pour en assainir le cours au profit des hommes (voir mon article sur l’origine divine du toponyme Diou sur la Théols, dont Déols, Bourg-Dieu, apparaît comme appartenant à la même famille toponymique). Les abords du coteau de l’Indre auprès du bourg de Saint-Maur sont composés notamment de dépôts cryoclastiques de versant (GP sur la carte géologique), éboulis dus aux grands froids, mais aussi à l’érosion mécanique des animaux. Voici ce qu’en dit la notice du BRGM à propos de ces conglomérats de pente : « GP Dépôts cryoclastiques de versant. A l’occasion de l’ouverture d’une tranchée, une coupe a pu être faite sur la feuille Levroux, à l’Est de cette localité. Perpendiculaire au ruisseau de Saint-Phalier, elle nous a permis d’observer sur les deux flancs de la vallée, un important dépôt de type groize (cailloux), de cailloutis calcaires anguleux dont la taille avoisine 1 centimètre. Une pellicule argileuse, brune les enrobe. L’épaisseur de ce dépôt croît vers le thalweg (fond de vallée). Dans le fond de la vallée, des alluvions à tendance tourbeuse recouvrent cette groize. De même à Saint-Maur, rive droite de l’Indre, les alluvions anciennes Fx les recouvrent. Ces dépôts cryoclastiques (Dépôt directement lié à une période glaciaire.) sont donc plus anciens que ces formations. » Les alluvions anciennes (FX sur la carte géologique) enserrent les alluvions récentes de la rivière (Fy-z sur la carte géologique). Ces alluvions anciennes, exploitées en carrière, présentent un sable argileux jaune, surtout présent en aval de Châteauroux. Ainsi Saint-Maur se présente comme une pente douce, avec une sorte de barbe, de pourtour plus sombre d’origine tourbeuse, avec un fond de vallée jaunâtre. Le terme « Saint » de Saint-Maur, peut ainsi être compris comme « ceint », ou comme « seing » portant au sens de oint, et la couleur noire de ces terres fertiles anciennes est souvent dénommée « Maure » en toponymie (Moret désigne une terre d’alluvions noires, comme à Morée en Loir-et-Cher, dans le Perche Vendômois, dont le terroir est un peu similaire à celui de Saint-Maur), qui appelle bien d’autres sens comme les mûriers (baies potentiellement poussiéreuses, noires et pleine d’alcool quand elles sont bien mures), le fait d’être émoussé, sot, fou, hébété, tout en évoquant l’écoulement, notamment au goutte à goutte, l’épanchement, l’huile parfumée (comme le castoréum, ou autre assaisonnement excrémentiel territorial), la frange, la bordure, le soin, le soucis, la fatigue, la dureté, la cruauté, le nez camus, plat, écrasé, le recourbement, le renfoncement, le creux, la pente, et donc la montée, etc. toutes notions à voir et à entendre dans la suite de cet article… Notons la présence d’anciens fours à chaux sur l’autre rive et le toponyme des Ferrandes auprès de Déols. Et n’oubliez pas d’en relire les suggestions induites et annotées du premier paragraphe de cet article.

Saint-Maur serait donc bien un syn-mor qui en a attiré un reliquaire

de saint Maur, abbé de l’abbaye bénédictine de Glanfeuil,

les bénédictins portant robe noire…

gardant la chaleur et pas que cela…

On en comprendrait mieux Ardentes en amont

et Châteauroux en phrasé phonétique de faune éthique préhistorique.

La géologie permet bien des choses, mais il n’y a pas que ça….

Le premier paragraphe ci-dessus de cet article

est bien suggestif des autres suggestions.

Vérifiable sur Géoportail !

L’église Saint-Maur de Saint-Maur-sur-le-Loir (ancien diocèse de Chartres ; Eure-et-Loir ; 28) est située sur un très vieux terroir néolithique attesté notamment par des mégalithes, les dolmens du Baignon. Ce terroir est donc lié à une industrie des poteries et de leurs fours de cuisson depuis l’installation de l’agriculture dans cette région. J’ai fait l’étude d’inventaire des noms de lieux de la commune voisine de Moléans qui est aussi un ancien site d’implantation de la culture d’éleveurs agriculteurs du Néolithique. Recouvertes en partie dans la plaine haute par des limons des plateaux (LP sur la carte géologique), les roches du coteau (e1-4 sur la carte géologique à découvrir sur Géoportail et sur la notice du BRGM de Châteaudun 0325N.pdf), se compose d’une « argile brune, à ocre rouillé, à passées charbonneuses ou ferrugineuses rouge sombre, contenant des silex colorés anguleux à émoussés. » Cette roche argileuse est composé de blocs de grès ladères et de poudingue, qui ont servi à l’établissement des mégalithes (voir mon étude d’inventaire de Moléans). Ces anciennes surfaces alluviales de la vallée du Loir, où sont encore présents quelques mégalithes, étaient probablement anciennement tourbeuses, tourbes disparues par exploitation humaine. Le pied de ce coteau de la vallée du Loir, où se trouve l’église Saint-Maur est dans l’axe d’une petite descente formant petit vallon sans doute en partie formée par l’érosion mécanique des êtres humains et des animaux, et est en bord du Loir et en limite d’un conglomérat de colluvions glissées des plateaux et d’alluvions provenant anciennement de la rivière du Loir (FCy, Fx1, Fx2 sur la carte géologique). Il s’agit de limon à galets, de sables argileux, de granulats siliceux. L’érosion du Loir se déplaçant de siècle en siècle vers l’Est en entamant le plateau, ces alluvions anciennes ont été conservées préservées par le méandre d’amont. On ne trouve pas ces alluvions anciennes sur Moléans que j’ai étudié, mais on trouve la même configuration au hameau voisin, en amont, à environ 6 kilomètres, sur Saint-Maurice, qui a été orthographiquement et sémantiquement christianisé. Ce nom, Saint-Maurice, orthographié ainsi, est dû à l’ancienne église paroissiale de Bonneval (voir mon article sur les toponymes Saint-Maurice). Les toponymes Saint-Maurice sont totalement liés à ceux de Saint-Maur. Une configuration géologique identique est présente en face de Saint-Maur et de la Touche dans la partie intérieure du méandre, et, sur la rive est du Loir, en aval de Mémillon, en face du Rouvre et du Gué Herbault, en amont d’Aulnaie, puis dans la partie intérieure d’un troisième méandre en amont entre l’Aulnaie et la Fosse aux Chefs, sur Saint-Christophe, dont le toponyme indique un gué. Après la confluence avec la Conie, à Écoublanc, cette configuration se rencontre au sud de Marboué, où se trouve la seule villa gallo-romaine de la région conservée à l’époque mérovingienne, et, où passe une très importante ancienne voie, notamment romaine, la N10. D’une façon générale, le cours du Loir, provenant du Perche, terroir gras et argileux d’élevage, butte sur le plateau beauceron, calcaire et céréalier, pour repartir vers l’Ouest, sur le Perche, sur Châteaudun, Vendôme (deux villes où le cours du Loir a été dédoublé pour pouvoir préserver un cours assaini, responsabilité humaine vis à vis des bêtes ; pour Châteaudun entre Saint-Jean, en bas, et Châteaudun, en haut ; c’est aussi le cas de Saint-Denis-les-Ponts ; voir mon étude du toponyme divin de Diou concernant aussi Déols dans l’Indre), puis, bien plus loin, sur Angers, via la Sarthe et le Maine.

Pourquoi tant de filtres en aval ? Une question de Bête ?

Spirituellement, Saint-Maur hisse !

Le Loir pue fortement la merde.

Ce n’est pas le Cher.

Entre bouseux et céréaliers… entre la viande et sa paille… entre le pain et le vin…

avec du levain ? du Leu vain ? Frontière antique et préhistorique

de faune éthique en phonétique de toutes les réflexions…

de la poutre ou de la paille dans l’-euil….

Vérifiable sur Géoportail !

Le patronage Saint-Maur de l’église de Moinville-la-Jeulin, dont le territoire se situe en limite d’une voie romaine, le Chemin de Saint-Mathurin, semble en rapport avec la source de la Voise, coulant sur le village de Voise et son église Saint-Vincent. On remarque le toponyme de Barbainville qui évoque une zone humide (voir mon article sur la Barbe aux Cannes) qui va sur les Saules, Santeuil et son église Saint-Georges-et-Saint-Gilles, Vallée de Breton, puis Saint-Léger-les-Aubées… La Fosse Ansou, dont la partie « sou » porte au même sens que US (voir les toponymes Saint-Maurice dans l’article suivant) semble aussi justifier ce choix toponymique, car les rivières ou ruisseaux sont rares dans cette plaine de Beauce que je connais bien.

On voit dans ce terroir, des anciens toponymes Chapelle

qui indiquent d’anciens abris pour des sources.

Vérifiable sur Géoportail !

Fontaine Saint-Maur, sur Auneau (ancien diocèse de Chartres ; Eure-et-Loir ; 28) indique une ancienne source, située en amont de Saint-Rémy et du méandre des Bordeaux de la rivière de l’Aunay, non loin de la Folie située sur la rive nord (voir mon explication de ces toponymes Folie, Folies). Le dénomination Cadix y paraît toute récente. Le lieu est aujourd’hui dans le bourg d’Auneau, sur le fond d’alluvions de la rivière, où les géologues ont trouvé de la tourbe (BRGM notice 0255N Chartres). Nous sommes-là en sortie du plateau beauceron et de son calcaire dur cristallin. Le coteau, dissous dans la vallée, est donc composé pour parties assemblées minéralogiquement de calcaire de Beauce, d’argile, de sables et de grés de Fontainebleau, de galets en silex très roulés et souvent soudés en poudingues… et sans doute que la source avait été protégée avec une structure maçonnée pour ne pas être polluée par les crues de l’Aunay ou par sa souillure. Actuellement, sur le NET, on peut curieusement trouver sur Géoportail le « Ham de la Fontaine Saint-M »… Sans doute manquaient-ils de place…

En cherchant bien, on peut vérifier les sens… et l’essence…

L’Histoire des toponymes anciens ou récents est instructif… de leurs superstitions…

Comme la Fontaine Saint-Jean, singeant, à l’Est… dans ces marais.

En limite nord de la Beauce et presque sur la Région parisienne…

sous le vent très bouseux et assez crottin du Perche…

Vérifiable sur Géoportail !

On peut ajouter à cette liste le Château de Saint-Maur à Argent-sur-Sauldre (ancien diocèse de Bourges ; Cher ; 18) qui aurait les caractéristiques géologiques d’un Syn-Mor, mais ce toponyme récent, datant du XVIIIe siècle, n’est guère une christianisation, car il provient de la propriété et de la construction de ce château par Nicolas Dupré de Saint-Maur (1732-1791), notamment et notablement intendant général du Berry pour le roi de France. Rien d’étonnant pour qui connaît les lieux… qui se ressemblent s’assemblent… N’est-il pas à la mode d’appeler ce phénomène « l’oie de la traque cillons… » (à orthographier…) avec ses toasts et ses foies gras, voire son ou plutôt sa c(h)ampagne et son chocolat ?

De véritables christianisations catholiques romaines se sont faites sur des lieux qui portaient sans doute auparavant le nom de Syn-Mor, conservant phonétiquement le nom du lieu avant sa christianisation, ce qui est scientifiquement extrêmement précieux. De plus, ces lieux ne semblent pas en rapport avec les frontières antiques, anciennes nations gauloises, anciens diocèses romains représentés ci-dessus.

Pour les autres églises Saint-Maur de France, le fait que la commune, ancienne paroisse, porte aussi ce nom est caractéristique d’une ancienneté certaine, d’une ancienneté préhistorique, une vérité géologique transmis par une population sédentaire connaissant son terroir et ses effets.

Et pour les autres ? Voyez ci-dessous…

Le monachisme bénédictin,

les invasions normandes

et les renommées…

miraculeuses

Une hagiographie légendaire… Maurus

Le paradoxe des lettrés…

Abbaye de Saint-Maur de Glanfeuil…

Saint-Maur-des-Fossés (94) ?

Aimantation des cours méandreux de l’Histoire…

La toponymie comparative…

Saint-Maur (Gers, 32)

Saint-Maur des Buissons  (Jura, 39)

Saint-Maur-des-Bois (Manche, 50)

Saint-Maur (Oise, 60)

Faites comme moi, faites l’enquête pour les autres…

Les toponymes Saint-Maur en France

Carte Nicolas Huron

La linguistique…

et la lexicologie toponymique…

Un top honni mis, une taupe au nid mis, une toponymie…

Les sens associés… mor, maure, mort, mors, etc.

L’origine du mot français « mur » d’habitation

Maur, mor, Mor-, mors, mort, maure, est le même mot en toponymie que mûr, mûre, mur. Saint-Maur pourrait s’écrire ceint mur. Saint-Maurice pourrait s’écrire « ceints murs hissent… », et si on passe par le grec ancien, c’est très gaulois, on obtient myre, myr, mire, en toponymie : la vue ! et le fait de remettre… avec pour partir le futur du verbe aller, « ir »…

Avec les racines anciennes…

allez encore plus loin… Mur, Myre…

« Miroir, mont bôt mis roux art »…

au sein de la Galerie des Glaces…

Un cas d’école pour tous les

Saint-Maurice…

Géologiquement, Pour les toponymes Saint-Maurice, les constats semblent un peu les mêmes que pour les Saint-Maur, mais avec quelques touches évocatrices en plus…

Allez-y voir… en religieuse relecture…

via cet article dédié :

Saint-Maurice, églises et toponymes, cas douteux en Syn-Mor… Hisse !

En continuation,  osez l’Histoire…

 

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Saint-Maur (Cher ; Indre) : trois ouvrages d’inventaire…

Saint-Maur, où tout semble à revoir…

pour tous les Saint-Maur (Cher, 18 ; Indre, 36), même Saint-Maur-sur-le-Loir (28),

Saint-Maur-des-Bois (50), etc., et même Saint-Maur-des-Fossés (94),

en révélations toponymiques…

via mon article bien documenté :

Saint-Maur, églises et toponymes, cas douteux en Syn-Mor…

et après pour les Saint-Maurice, suivez le guide…

Mes trois études d’inventaires

précédentes…

L’église Saint-Maur

de Saint-Maur (Cher)

Ouvrage actuellement de 43 pages.

Nicolas Huron : L’église Saint-Maur de Saint-Maur (Cher) – Dossier ECCLESIA juillet 1991, ouvrage de la conférence du 13 juillet 1991 – Université François Rabelais – Tours –ASDRA – ASsociation pour le Développement de la Recherche Appliquée à l’animation culturelle en Région Centre – sous la direction de Bernard CHEVALIER, professeur d’histoire médiévale – Droits rachetés par Nicolas Huron, responsable et créateur du projet ECCLESIA pour l’ASDRA.

Ouvrage associatif aux droits acquis par son auteur.

relu et corrigé bénévolement la veille de sa conférence le 22 février 1991
par ma mère, Marie-Claude HURON, née DEPUSSAY à Françay (Loir-et-Cher),
sa maison d’édition véritable, blésoise,
en sa bonne ville royale et agricole de Blois,
à une époque où son auteur, moi-même,
était encore illettré et dysorthographique.

Ancienne version à télécharger en

Format.pdf

Lien transparent : https://patrimoine-rural.com/Saint-Maur(18)/Nicolas-Huron-Saint-Maur-18-Eglise-1991.pdf

Anciennes versions papier :

2 exemplaires ont été laissés en mairie lors de l’évènement

s’ils sont perdus, demandez aux anciens de la gestion communale

1 exemplaire a été donné aux Archives départementales

et 1 exemplaire à l’Université François Rabelais de Tours.

L’église Saint-Maur de Saint-Maur (Cher, 18)

Photo Nicolas Huron

La donation à l’abbaye des Pierres, par Giraud de Fresne en 1227

Archives départementales du Cher : 10 H 125

pour en apprendre à lire le Moyen Age…

Portail principal de l’église Saint-Maur de Saint-Maur (Cher, 18).

Photo Nicolas Huron

Quelques photos supplémentaires sur mon site de services

Étude d’inventaire à rénover…

avec bénéfices possibles à la clé pour une association locale ou un particulier

avec 32%/€net et

avec mes compléments de recherches…

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