L’église Saint-Louis de Précy (18), précis ions+-

Si tu vois la lumière blanche la Vierge : ceins l’ouïe !

L’église Saint-Louis de Précy (18)

petite église d’importance en frontière antique,

qui ne possédait principalement qu’un pré sur la paroisse de Garigny, un seul pré si, si…

église dont le patron était l’infirmier de la Charité-sur-Loire (diocèse d’Auxerre),

par le prieur de Berry sous Montfaucon-en-Berry (Villequiers, Cher),

par le pieux apanage du duc Jean de Berry

par une côte du roi Saint Louis

et par les Louis, comtes de Sancerre,

en terres ferrugineuses

fracturées

pressées

prêt

C

Y

avec ammonites de Jupiter pour Jules César…

près de l’ancien commandement romain de Jussy-le-Chaudrier…

ancienne étude et compléments étonnants…

Cliquez sous la couverture

pour consulter le fichier pdf de

mon ancienne étude-inventaire de son histoire architecturale en 40 pages :

Nicolas Huron : L’église Saint-Louis de Précy (Cher) – Dossier ECCLESIA décembre 1991, ouvrage de la conférence du samedi 7 décembre 1991 – Université François Rabelais – Tours –ASDRA – ASsociation pour le Développement de la Recherche Appliquée à l’animation culturelle en Région Centre – sous la direction de Bernard CHEVALIER, professeur d’histoire médiévale – Droits rachetés par Nicolas Huron, responsable et créateur du projet ECCLESIA pour l’ASDRA.

Ouvrage associatif aux droits acquis par son auteur,

relu et corrigé bénévolement, la veille de sa conférence datée du samedi 7 décembre 1991,
par ma mère, Marie-Claude HURON, née DEPUSSAY à Françay (Loir-et-Cher),
sa maison d’édition véritable, blésoise,
en sa bonne ville royale et agricole de Blois,
à une époque où son auteur, moi-même,
était encore illettré et dysorthographique.

Mon étude inventaire de l’église Saint-Louis de Précy (Cher, 18)

Cliquez juste ci-dessus ou ci-dessous pour le savoir avec mon pdf de 40 pages.

Lien transparent : https://patrimoine-rural.com/Precy(18)/Nicolas-Huron-Precy-18-Eglise-Saint-Louis.pdf

à rénover

avec mon Poli poly-pôle ECCLESIA +

avec des exemples en « boutique » à votre service

et quelques compléments de recherches et quelques précis ions+- si dessous.

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avec ses compléments étonnants…

ci-dessous

Amphores ? En forts !

Précisions en précis ions+-

en trois articles et un complément

pour comprendre Précy et son église Saint-Louis :

1/ Liste, liens et circonstances des toponymes Saint-Louis,

pour entrevoir qu’il y a des constantes à propos des Saint-Louis.

2/ Précis de Précy (18) contre les confus ions+- des confusions

pour éviter de transmettre et de colporter des Âneries… voire des Asnières.

3/ À Précy (18) apprécie sa frontière antique en tiques du Berry très en cote,

pour comprendre une frontière naturelle, préhistorique, gauloise, romaine…

et un complément de miracles industrieux à rebord… et à rebours

pour le tout premier « dauphin » Charles V le Sage, fils de Jehan II le Bon,

pour Jeanne et le dauphin futur Charles VII le Victorieux, le Bien Servi,

pour son fils futur roi Louis XI à qui l’on doit cette boîte postale…

pour Louis XIII et la fin des Guerres de Religion, la nef de Précy

et le redressement de la ferme de la Guillaumière à Françay,

pour Louis XIV, l’Académie des Sciences, nos cartographies,

et Blois, et même Blois Vienne, par son pont, son évêché…

pour Louis XV, pour Louis XVI, tous dauphin de Viennois,

pour le dauphin Louis XVII qui ressemble à quelqu’un…

et pour le Dauphiné… en sang bleu

à Serre-Ponçon et à Précy !

et tous les canaux

et la mer

Océane

et tous et toutes les autres en voies gallo-gréco-romaines ferrées ou non…

Submersibles ou semi-submersibles, sub mer si bleue…

en serres en pensant et pansant à Sancerre et à sa tutelle blésoise

car sang serre, Sens sert, Sancerre s’en sert… mais pas sans cerf ! Cham(p)bord !

pour la terre, entre deux eaux : le ciel et la Terre !

et même et surtout là !

avec Saint-Louis de Précy comme amarres à mares…

pour commencer petit, car les petits ruisseaux font les grandes rivières en Loire…

(Il manque ici une photo du plan d’eau de Précy… avec l’église Saint-Louis).

Mais pourquoi ? Pour quoi ?

P’OUR coût à… pour coup à…

« pour leur passer les pets en travers du corps »,

écrit par ses scélérats :

« pour leur passer l’épée en travers du cor »… et surtout…

pour faire montre que Jules César n’avait pas tord… et surtout :

Si tu vois la lumière blanche : ceins l’ouïe !

sachant que la paroisse Saint-Louis de Fontainebleau montre pire… alors que…

L’église Saint-Louis de Précy, avec sa chapelle Notre-Dame attenante, n’a pas pu exister sans l’Église chrétienne catholique romaine, sans Saint Louis, sans Précy et son environnement. Comme cela n’est pas évident pour tout le monde, il est donc bon d’apporter quelques précisions…

L’église en question n’a pas pu exister sans la présence d’une chapelle en cet endroit, ce qui n’est pas le cas de toutes les églises, mais de la plupart des anciennes églises paroissiales.

Allez à l’eau… Suivez la piste !

Cette ancienne chapelle n’a pas pu exister sans la cape de saint Martin, qui n’a pas pu exister sans son père, qui n’a pas pu exister sans les légions romaines qui n’ont pas pu exister sans la résistance à la barbarie germanique, et sans leur caractère belliciste pillard, pour la Gloire de Rome (en fait, de la jolie romaine…) qui n’a pas pu exister sans Albe la Longue, etc., sans César (lequel ?) et sans Vercingétorix, et sans CAÏUS FUFIUS CITA, etc.

Allez ! Remontez la piste… échouée à Tours sans doute…

Cette présence d’une chapelle en cet endroit n’a pas pu exister sans son origine militaire, car, par définition, c’est un refuge. Elle n’a pas pu exister sans la raison de ce dispositif militaire qui est la frontière avec la cité voisine romaine de Nevers, autrefois terre éduenne gauloise, qui a pour raison la Loire, les failles géologiques, frontière imposée par la différence de terroir et d’esprit entre la plaine céréalière de Champagne berrichonne, ancien pays gaulois des Bituriges, et la zone d’élevage, surtout bovin, dénommé actuellement le Nivernais, voire la Bourgogne, frontière, flanc Est, côte Est du Berry qui fut percée par l’installation d’Helvètes par Jules César dans le Sancerrois, Sancerre et sa viticulture d’origine romaine qui entre donc dans les raisons de cette chapelle à Précy qui est comme le Sancerrois une terre ferrugineuse, donc rouillée et donc qui respire aussi, mais définitivement, sans l’action humaine des forges ou sans l’action de la Nature par le sang ou la sève.

Cette piste vous a attiré ici, continuez…

Sancerre, l’enfoncement de la lance dans le flanc du Berry ou

les épines de la couronne dans la tête de l’Aquitaine, l’acquitte haine, -enne…

les épines des mûres, des mûrs, des murs, et des (femmes) enceintes…

avec les gouttes de sang ferrugineuses à Saint-Louis de Précy…

Carte de Nicolas Huron, selon les ordres de Louis XIV…

Allez… Continuez vers l’ouest encore, en corps, et en cor… ânes, car car

J’ai vu des ânes au Mexique… et les Coccinelles d’Adolphe Hitler…

En voulez-vous les photos ? Rapatriement ?

Avec tous ces poisons chinois ?

Esclavagistes ?

Entre hauts pots phage ?

L’église Saint-Louis de Précy n’a pas pu exister sans la canonisation du roi Louis IX en 1297 qui n’a pas pu intervenir sans les miracles de Saint Louis et leur récit compilé dans d’exceptionnels documents (lisez celui-ci original au style de l’époque ou celui-là), sans sa sépulture dans la basilique Saint-Denis, et donc sans Clovis, et sans que le roi Philippe IV le Bel fasse lever son corps pour en déposer les ossements sacrés dans une châsse en or mise derrière le maître-autel de la basilique le 25 août 1298, sans le transfert le 17 mai 1306, sur autorisation du pape Clément V, du chef de Saint-Louis dans la Sainte Chapelle du palais royal de l’Île de la Cité et d’une côte à Notre-Dame de Paris, sans le transfert en 1392 des reliques de Saint Louis dans une nouvelle châsse par le roi Charles VI qui en profita pour offrir une côte du saint roi au duc de Berry, Jean de Berry, et une côte au duc de Bourgogne, et une troisième au pape, et un os aux prélats présents, sans le rassemblement de tous les os reliquaires à Paris en 1568 pour organiser une procession contre le Protestantisme, sans Marie de Médicis qui obtint un os, et qui le rendit lors du sacre de son fils Louis XIII, etc., sans la coutume primitive gréco-romaine d’avoir la sépulture des membres de leur famille dans leur propre habitation, généralement plus ou moins troglodyte en milieu karstique, avant l’invention des cimetières et nécropoles de périphérie, comme Baugy, dénommé Alléans par les archéologues, non loin de Précy, par les urbanistes Romains, coutume réorganisée par Louis XVI lui-même en 1776 (à voir dans mon étude de 1991)… à cause de mon climat humide où tout pourrit, et où l’on fait d’excellents fromages…

L’église Saint-Louis fut lieu de sépulture, comme son enclos l’ancien cimetière,

dans le refuge chrétien catholique romain de chacun

en mêmes hoirs des Lares…

en mémoires dès l’art !

L’église Saint-Louis de Précy ne peut pas s’expliquer sans la Charité-sur-Loire, sans Sancerre, sans Montfaucon (actuelle Villequiers) et son prieuré de Berry, sans la paroisse voisine de Garigny, sans le château de Précy, celui des Barres, sans Saint-Julien-le-Chaudrier, sans la Guerche-sur-l’Aubois, sans la Chapelle-Montlinard, sans les voies romaines, sans la Loire, sans la chasse et sa châsse, et sans les massifs forestiers, sans les Loges et sans les Chamignons, sans leurs charbonniers, sans les forgerons médiévaux, modernes et contemporains, sans Lyon, sans Paris, sans Rome, etc.

Y a-t-il un rapport entre l’église Saint-Louis de Précy

et l’alphabet latin à Tokyo ? Si, si, re… Sire, relis ! Relie ? Re lie de Loire ?

L’église de Saint-Louis de Précy aurait-il été entretenue et restaurée récemment

sans quelques espérances pour d’autres restaurateurs et petits boutiquiers locaux ?

sans quelques vœux touristiques ? civils ? rapaces ? militaires ? cléricaux ?

Certes sans doute que non… Croyez-en Saint-Maur… près de Paris…

L’église Saint-Louis de Précy, peut-elle trouver une explication sans le site aristocratique romain important de Baugy (théâtre, sanctuaires, nécropoles…), près d’un petit sommet karstique, sur la voie romaine secondaire menant à Montfaucon (actuelle Villequiers) où était probablement autrefois également un établissement cultuel romain, puis éventuellement de manière champêtre, en descendant les coquillages des niveaux des anciennes mers jurassiques des mondes d’avant, vers Berry, Garigny, puis vers les ammonites de Jupiter, vers Précy, non loin de l’orée forestière d’haut bi-igny d’Aubigny, ou allant vers Mornay-Berry, Saint-Hilaire-de-Gondilly, Menetou-Couture, Jouet-sur-l’Aubois et enfin Marseilles (-lès-Aubigny) pour en faire commerce… face à Clamour ? sans « que l’Amour… » ?

Un repos à beau gît… Bauge y… Bot j’y… suis la piste… pour allez en Alléans…

Architecturalement, l’église Saint-Louis de Précy, son chœur, n’a pas pu exister sans l’écœurement mythologique de l’art roman jusqu’à la lie (renseigné par saint Bernard), jusqu’hallali, et sans Saint-Denis et le moine Suger créateur de l’art français, d’Île-de-France, rebaptisé « gothique » au XIXe siècle, et, architecturalement, sa nef, n’a pas pu exister sans Henri IV, la fin des Guerres de Religion, et Louis XIII, et même sans la Place des Vosges à Paris qui, par ses fausses voûtes d’arêtes, a fait respirer du torchis et de la paille, au Marais, jusqu’aux restaurations récentes… Hmmm ! Miam mi-âme ! Un cocktail ? Une petite ombrelle en journaux du PC chinois ? Une paille quoi…

La piste du papier (journal), comme celle du carton, menant à un poison indo-chinois

pour les pestes, les lèpres, et la Peste Noire de cette époque…

Architecturalement, d’ailleurs, cette église, comme beaucoup d’autres, n’ont pas pu exister sans la Maison Carrée de Nîmes, ni sans eau, ni sans sable, si sans calcaire, ni sans tuilerie, ni sans verrier, ni sans forêts domaniales, etc., ni sans charpentier, à faire monter sur ce syn-pierres… sans les ammonites… prise pour les cornes de bélier de Jupiter.

Ce qui n’est pas faux, car elles ont disparu par astronomie…

sauf en fossiles, en faux s’ils… et même en faucilles…

La piste jure assis que le Jurassique… et en cor, en corps, encore debout

à l’église Saint-Louis de Précy en toutes précisions…

L’église Saint-Louis de Précy ne peut pas s’expliquer sans la chronologie générale de l’Histoire de France impactant la région, ni sans connaître la détention à Londres du roi Jehan II le Bon jusqu’en 1360, sans savoir que les Anglais étaient à Cosne-sur-Loire et pillaient et détruisaient les équipements et la prospérité des environs, dont l’abbaye de Saint-Satur en 1361. L’église Saint-Louis de Précy ne peut pas s’expliquer sans savoir que l’abbaye de Saint-Satur, près de Sancerre, ne fut rebâtie qu’à partir de 1367 grâce à la reconquête du royaume par le roi Charles V, et que les pillages des Anglais et des Grandes Compagnies recommencèrent à ravager le pays au début du XVe siècle sous le roi Charles VI, dont l’abbaye de Saint-Satur en 1420, évènement qui nous feraient placer volontiers la reconstruction du chœur de l’église Saint-Louis de Précy entre 1367 et 1420, quoique…

Croyez-en les récits médiévaux de Saint Louis à la suite de Saint Louis !

comme l’église Saint-Louis de Précy.

Saint Louis en enluminure médiévale…

Croyez-en les statistiques à la suite du règne de Saint-Louis à rebours !

réglées comme une horloge, commune hors loges…

Répartition chronologique des chartes des rois de France (grâces accordées…).

Pas de bâti dans les creux… « Quand le bâtiment va, tout va »

perceptible sur l’église Saint-Louis de Précy.

Tableau Nicolas Huron.

Série JJ des Archives Nationales, faits divers au Moyen Age…

L’église Saint-Louis de Précy ne peut pas s’expliquer sans les œuvres personnelles architecturales et patrimoniales du roi Louis IX (1214-1270), Saint Louis (1297 et suivantes), dont surtout la Sainte Chapelle (1241-1248) de l’Île de la Cité à Paris, autrefois chapelle Saint-Nicolas du Palais royal, nouvelle Sainte Chapelle dédiée en l’honneur de Dieu omnipotent et de la Sacrosainte Couronne d’Épines de Notre Seigneur Jésus Christ (« in honorem Dei omnipotentis et sacrosancte corone spinee Domini nostri Jhesu Christi, fundavimus et edificavimus infra septa domus nostre Parisiensis… » pour qui sait lire ceci, cela ou ça), voire cet article en entier acte d’août 1248 compris, 22ème année de son règne), et ne peut s’expliquer sans la Sainte Chapelle (1379) du château de Vincennes dédiée à la Sainte-Trinité, et commandée par le roi Charles V (1338-1380), et ne peut s’expliquer sans les œuvres du frère de ce roi Charles V, Jean de Berry, duc de Berry (1360-1416) dont la Sainte Chapelle de la demeure des ducs d’Auvergne à Riom bâtie entre 1396 et 1403 et dédiée à la Sainte Croix, à Saint Louis et à saint Thomas, et ne peut s’expliquer sans la Sainte Chapelle (1392-1397, puis jusqu’en 1450) du palais ducal à Bourges, dédiée au Saint Sauveur, sans connaître Du Guesclin, et sans la carrière militaire des Louis de Sancerre, dont le célèbre connétable de France (1341 ou 1342 – 1402), inhumé à Saint-Denis, totalement associé au duc Jean de Berry.

En en suivant la piste de Charles V, de Du Guesclin, et de leurs serviteurs…

et fidèles en foi chrétienne catholique romaine…

pour la Pragmatique sanction de Bourges

par le roi Charles VII

et la présence de Jeanne d’Arc à Montfaucon…

dénonçant le traitre, rappelé par le coq de Saint-Louis de Précy,

qui prend toujours par surprise par derrière… comme fait le « petit peuple ».

L’église Saint-Louis de Précy peut-elle s’expliquer sans la Sainte Chapelle (1451-1465) du château de Châteaudun, dédiée à la Vierge et à Saint-Jean-Baptiste (avec la chapelle haute dédiée à Saint-Vincent) qui fait partie des sept Saintes Chapelles rescapées des dix construites par des descendants de Saint-Louis ? Et sans la Sainte Chapelle de Champigny-sur-Veude (1499-1543) ? sans l’église Saint-Vincent-de-Paul  de Blois ? sans la cathédrale de Blois par Louis XIV ? sans Colbert et l’Académie des Sciences, pour l’Histoire, science de toutes ?

Où ne mènerait pas cette piste ?

L’église Saint-Louis de Précy, avec sa nef comportant des éléments architecturaux du XVIIe siècle, peut-elle s’expliquer sans savoir que les Protestants dévastèrent et incendièrent l’abbaye de Saint-Satur en 1567 (sans doute pour quelques devis et facturations…), sans connaître, par les archives, le curé de Précy, Claude Dupain, en 1597 ? sans connaître l’Édit de Nantes d’Henri IV en 1598 et la naissance de Louis XIII à Fontainebleau en 1601 ?

En avez-vous suivi la piste ? pour une fronde de plus ?

Car cela est vrai aussi pour le XIXe siècle, etc.

Le fer dégoulinant et respirant de la baie de 1866 en style néo-gothique Napoléon III

à côté de la baie murée et économique de la fin XVIe s début du XVIIe siècle

sur un mur de quelle datation ? Mystère…

Jurassique ? Oui mais pas queue…

Photo Nicolas Huron

L’église Saint-Louis de Précy peut-elle s’expliquer sans la côte d’Adam ? sans le côté percé du Christ sur la Croix ? sans la côte de Montfaucon ? sans la côte de Saint-Louis donné au duc Jean de Berry en 1392 ? sans la côte, eaux, du haut coteau de la Loire ? sans les failles géologiques ? sans sa situation de côte Est de la province de Berry ? sans les forges tenues par l’étang du Liseron et la Vauvise ? sans les sens sous-jacents phonétiques de faune-éthique de Précy ? Oh les vaches… Persil… Père s’y… pères s’il…

Pour finir par comprendre et en finir avec l’ignorance…

avec la Providence

avec Patience et Constance…

pour les trois Grâces, les Charites,

et les sources de la Charité-sur-Loire…

pour en assainir un peu ma Loire

pour la Grâce de Dieu

et de César

qui vous

nourrit

encore, en corps et en cors…

Osez l’Histoire !

À Précy avec son église Saint-Louis,

elle en est réellement incroyable et Un croyable !

et pour chez vous… aussi ! Hausse Y !

Pour refaire ses Humanités…

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