Oisly (41) un toponyme unique, vitrifiable, modeste, souverain

Oisly ainsi écrit,

((((( livret livré en 36 pages )))))

point de départ d’une compréhension globale,

était, est et reste unique au monde !

Tponymes France Oisly

Cherchez et vous trouverez ce que les gens des vil(l)es appellent un trou.

Dans les faits, il y en a plusieurs… deux près du bourg.

Carte Nicolas Huron

Et, en vérités, c’est une éminence, une bosse…

cartographiée à la Butte Babichon !

par son sommé…

en but

à une carrière,

à en croire Les Perrières l’Alier, près des Rues,

avec ces sommés en butte à une surveillance de mine romaine… ou pire.

Des Archives départementales de Loir-et-Cher jusqu’au Géoportail !

.+.

Oisly, un simple jeu d’enfants

en faune-éthique…

en 36 chants d’ailes…

La science des noms de lieux, la toponymie est abordable comme un jeu pour enfant. Oisly se prononce lumineux : Oies lient ! Oies l’Y ! Ouah lit (en y faisant du trampoline et des plongeons) ! Wouah, lis (se le disant en ouvrant un livre passionnant) ! Oh, ah, lie (en parlant de verroterie, de bijouterie et de pierres précieuses) ! Où halle y… (en commerce) ? Wallis (même jusqu’en Polynésie ? Oui !) ! Ouali (un toponyme gouverneur) ! Oh Ali (historiquement esclavagiste ? Oui, oui) ! Oua(f) lie (en y jetant des os de… ? Aussi) !

A vous d’en jouer enjoué !

Les chiens aboient et la caravane passe…

Le lion (anglais) et celui d’Oisly en renifle avec étonnement !

Quant à ceux de Belfort, de Denfert-Rochereau, ou de Lucerne… Lu cerne ?!

Ce jeu des toponymes est abordable autant en onomatopées qu’en mots simples. Par exemple, si vous voulez entendre un mammouth soufflant l’eau d’une rivière avant ses infrasons, prononcez Chârost (18) avec une gerbe d’eau brillante et en bruyante ostentation ! Si vous voulez entendre les saumons frétiller lors de leur migration, prononcez en boucle très rapidement Saumoussay (49). Si vous voulez entendre le vol des oies sauvages décollant des eaux ou des rives de la Loire, prononcez Blois (41) : bl-bl-bl-blou-oie, oies, oua… en y mettant même la couleur. Et Oisly (41) pour leurs atterrissages… quand elles se mettent à dresser à deux leur cou pour se lier pour la vie éternelle. On en dormirait avec délice, et des lys, et des lits se font dans ces migratrices plumes-là… avec des coussins de lin, avec des coups sains d’eux l’un d’œufs de retour, avec des coûts sain(t)s de l’Un… Un fils en sera émerveillé, lié, un des sens de Oisly, à bien y regarder… Un ange en jeu enjeu… Une fille vous le volera pour quelques Troyens. Si, si

Et ses anciennes suggestions de faune-éthique sont innombrables,

même sur les routes, pour en apprendre… à lire.

Et le marchand de sables va passer…

Oisly, un jeu cultivé de jeunes

en phonétique…

en 36 chants d’elles…

Avec un peu d’outillage et des dictionnaires, et grâce à la porte, bienvenue et devenue biblique, du grec ancien, au dur seuil de l’usurpateur latin, et de l’infinie richesse du français et du Français, on peut entrer dans la culture infinie et éternelle et dans les cultures du monde rural de nos présents terroirs. Cette culture ne faisant que se cumuler avec l’âge à condition d’en avoir un respect et une considération de sédentaire, afin que la connaissance, comme la géologie, à Oisly, n’en soit pas éruptive, violente, informe, mais sédentairement sédimentaire des Siècles des Siècles, en douce et lente poussée tectonique, même si, parfois, l’Océan s’y rue, de Bretagne et de Poitou, comme une violente révélation et ré-élévation, une découverte, tel un tsunami qui en bouche quelques trous… d’eaux douces, à en croire la face cachée de la Lune…

Le mode d’emploi et des outils sont sur Saint-Cyr-en-Bourg (Maine-et-Loire, 49).

Mais on peut s’y essayer à Françay, Herbault (Loir-et-Cher, 41)

ou à Cangey, Limeray, Pocé (Indre-et-Loire, 37)…

et les savoirs se collent aux savoir-faire.

Eh, et pourquoi pas à Oisly ?

Oisly IGN 03

en s’appuyant sur des cartes papier ou sur Géoportail.

Oisly IGN 02

voire même sur le cadastre ancien… napoléonien en ligne ainsi :

Oisly, un jeu historique d’hommes

spirituels de faux nés tiques…

en faux nez tique…

en 36 chandelles…

On peut s’en rappeler dans quelques lieux appropriés, en général d’assez bonnes factures, et d’assez bonne facture, en compagnie de quelques matériaux nobles, comme en l’honorable et médiévale, moderne et contemporaine, église Saint-Hippolyte d’Oisly, emplacement et mémoire de certaines nécessités chevaleresques et de vérités bien plus anciennes, que…

Jésus de Nazareth, Jésus Christ, le Messie, mais si…, le Sauveur, sauve heurs… qui selon l’Évangéliste saint Matthieu (6:24), un des Quatre Vivants, l’homme-ange, nous a indiqué qu’on ne pouvait servir deux maîtres, Mammon (traduit habituellement par l’argent, quoique… phonétiquement) et Dieu (prononcé, je crois « Y avait »… écrit parfois différemment), c’est-à-dire le Créateur dans les cultures orientales qui passent leur temps à détruire les dites créations à en croire leurs déserts tyranniques et cannibales… Alors qu’ici, logiquement, tout le monde l’est, créateur, l’Histoire de France, et surtout celle de mon patrimoine rural, en atteste.

A l’endroit ou à l’envers ?

Oisly ou à l’Y – île à haut… il a où ?

Parce ce qu’il faudra bien, un jour, en revenir…

au-dessus des dessous de Lascaux… Las se co… ? Lasse caux ?

Et qu’il faut donc, en Vérité, apprendre à lire toute sa vie durant,

et même comme cela quand on naît, qu’on est, qu’on n’est maître des colles…

et même les sillons de labours, leurs fruits, les plaids, les plaies, les plaix, etc.

Ayant donc fait l’effort d’apprendre un peu à lire, un historien sait que les mentions latines médiévales des toponymes ne sont que des tentatives de latinisation des noms de lieux, et que la prononciation actuelle est plus fiable et bien plus ancienne que ces « traductions » de l’autorité romaine des XIe-XIIe siècles (une mode de l’époque) reprises béatement, pour faire savant, par des éditeurs p(h)arisiens ou suisses d’origine germanique, généralement d’obédience bigote, protestante, voire jacobine d’inspiration barbare tortionnaire anglo-saxonne, voire pire. Certains, même, en inventent… parce que, moi-même, pour Oisly, des latinisations, je n’en ai guère trouvées, faute d’archives… et faute en revient à nos fameux et stupides révolutionnaires…

Ainsi Oisly passerait dans les supermarchés, même par chez moi, en Blésois, pour un vieux Auxiliacum ou Villa Auxilii (voir Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak : Origine des noms de villes et villages, Loir-et-Cher, Éditions Bordessoules, Saint-Jean-d’Angély : 2003, page 180), « un village développé à partir du domaine d’Auxi-lius, un riche propriétaire terrien de l’époque gallo-romaine », etc., et bla-bla-bla… sachant que cette mention latine, Auxiliacum, est une reprise (ou un vol ?) d’une mention d’un autre nom de lieu, Oisilly (Côte-d’Or, 21) apparaissant Auxiliacus, dans un texte de 630, mention ici rabotée au nominatif, et sous la forme un peu moins latinisée de Osiliacus, dans un texte daté approximativement de 1031-1033 (voir A. Dauzat et Ch. Rostaing : Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Génégaud, Paris : 1963, page 506, qui donne ce nom de la Côte-d’Or comme une piste hypothétique pour Oisly dans le Loir-et-Cher). C’est fort de « qu’a fait… » avec un « peut-être » abrégé, par économie éditoriale, en « p.-ê. », et, qui devient, comme par magie, certitude affirmée et culotée chez certains autres. Philologue ?

Le cygne allait, il fallait un jour le signaler…

Côte d’Oua, sur Mercy-le-Haut (Meurthe-et-Moselle, 54) aurait été peut-être mieux…

ou bien Mollard de l’Oua, sur la Thuile (Savoie, 73), tant qu’à faire…

Transcrit phonétiquement dans les premiers textes en ancien français, Oisly apparaît, dans le monde réel, écrit aux XIVe-XVe siècles et aux XVIIe-XVIIIe siècles : Oualy (1370), Oilli (1397), Oaly (1492), Oally (1501), Oilly, Oisly termes à vérifier en creusant dans mon article sur mon étude-inventaire de l’église Saint-Hippolyte d’Oisly et les compléments étonnants que je viens d’y ajouter. Notons que Oisly a été orthographié Oisly, mais aussi Oesly sur le cadastre napoléonien de 1817. Une fixation ?

Oisly se finit par un i grec, un i long qui vaut double et qui équivaut souvent, en toponymie, à “ay” dans le Loir-et-Cher, pour signifier “qui a le caractère de…”, généralement de ce qui précède, ici : Oisl-. En latin, cette terminaison est assimilable à un génitif de Oisl-, oual-, oil-.

Oisly où as lit ou as lie ?

Un “s” introduit pour sauver un sens pluriel ?

Le « s » ne se prononçant pas, Oisly est noté ainsi au XVIIIe siècle dans les registres paroissiaux lisibles au plus grand nombre ou dans les documents de la période révolutionnaire. Ce « s », qui ne se prononce pas, est peut-être une astuce de lettré pour indiquer et dater l’arrivée de Satan, du Diable, de la Bête, de l’Ennemi, dans la paroisse, en commune… Les étrangers auront peut-être envie de le lire « Haut hisse lit ! » ou « Oise lie » en parisien germanisé, ou pire : « Oh is lie », « who as lie » in english, avec de l’aïe et de l’ail (des ours évidemment)…

Un lettré d’Oisly aurait-il eu cette idée originale et discrète pour dater, documenter et archiver le blocus anglais de la fausse Guerre d’Indépendance des États-Unis anglo-saxonne fiscale, puis le terrorisme anglais de la fausse Révolution « française » anglo-normande « scientifique » ? Peut-être que ce lettré savait-il que le blé de Beauce et les bêtes de la Touraine servaient à la Conquête de l’Ouest… aux XVIIe et XVIIIe siècles, car l’Angleterre… ne nourrit même pas les siens.

La tentation du « th », « z », « s », du serpent, du démon, de la langue de ma-mon(T) ?

Nom Amon Rê ? Avec une liaison ? Et was lea, pâturage ?

Un résistant ou un col à beaux ?

Une doc historique !

Dans le vent who as lee !

Il est vrai que l’occupation en glaise…

L’Histoire, science de toutes, ne s’oublie pas si facilement, malgré certain(e)s.

Oisly, une mine de responsabilités

avec de bons sens de speculatores

à propos de la temporelle lettre Y

et des sens anciens de Oisly…

Il faut savoir que la lettre Y est généralement une correspondance latine de la lettre grecque upsilon : Υ, υ (ὖ ψιλόν) upsilon (littéralement u mince) 20e lettre de l’alphabet grec. Comme chiffre υʹ = 400, ͵υ = 400 000. C’est très carré, et cette remarque est importante à en consulter les cartes.

Une petite remarque remarquable à souhaits !

Ainsi l’église Saint-Hippolyte d’Oisly, s’écrit en grec ἐκκλησία (ékklêsia, terme qui désigne étymologiquement l’assemblée des hommes libres, c’est-à-dire des citoyens soldats producteurs propriétaires) συν·τυπόω (syn-typoô : ensemble, façonner sur le type de, modeler sur) λιτ– (lit- : simple, lisse, supplication, prière), voire même avec λιθ (lith- de pierre, de petites pierres)…

Non, c’est pas ça ? Ce n’est pas une histoire de roches assemblées ?

Voir mon étude du toponyme Hippolyte et sa cartographie

Ah, à propos de la lettre U, son OU,

et de l’interprétation de Oisly…

Dans la notation actuelle d’Oisly, on voit le i grec à la fin, mais cette lettre se trouve probablement au début. J’ai le flair… le nez, comme on dit par chez moi dans le Blésois.

En effet, , upsilon, ou mieux ὔ ὗ juxtaposés, est une onomatopée pour exprimer en grec ancien le reniflement d’une personne qui flaire, et on sait, par Jules César et la Guerre des Gaules, que les Gaulois écrivaient en alphabet grec. Oups ! Il aune

Si on considère que l’upsilon est suivi d’un alpha, on a le son “oua”. Cette lettre Α, α (ἄλφα) alpha, est la 1re lettre de l’alphabet grec. Comme chiffre, αʹ = 1 ͵α = 1 000 et exprime une multitude. Cette lettre, comme onomatopée ancienne, , exprime une exclamation d’étonnement, de douleur, d’indignation, ou, ἃ ἅ, de joie, etc. : ah ! oh ! Il correspond aussi au féminin de , une insistance démonstrative, voire possessive. Comme préfixe ἀ–, désigne une absence, une privation, sans doute ici de -Ly, de lit, de lieA contrario, c’est souvent ainsi en grec, il peut être un préfixe copulatif, ἁ–, signifiant : tout à la fois, tout entier ; tout un chacun, chacun ; tous ensemble, tous sans exception ; absolument, de toute manière ; bref, une sorte de rafle et sans doute un certain descriptif… géologique et pas que…

Êtes-vous prêt à tout renifler ? Tout le lit et toute la lie ?

Comme Boris Vian en verres galants…

à orthographier en corps et encore

avec du verre sur les -os…

des hommes grecs.

Lions, lions…

Va, lis !

Auxi… Oxy… Occi… ?

Léchez-en le Lion de Denfert Rochereau

pour qu’il retrouve son brillant fauve si proche de l’or…

L’architecture des langues anciennes…

singularité plurielle et pluriel singulier

d’un vitrail multicolore en vers…

Ainsi sont posés :

OU ou U, υ : reniflement…

A ou a, α : exclamation, étonnement, ensemble ou en manque…

Oua, ou Oa, ᾤα ou ὤα : peau de brebis avec sa toison ; caleçon de bain pour les femmes ; couverture de soldat ; et par suite : frange ou bordure d’un vêtement ; extrémité, bord, bord de la mer ; bord d’une grotte (en pensant aux anciens bassins pétrifiés calcaires servant de marches à l’entrée de la grotte de Lascaux).

Contenant aussi le mot ᾠά, pluriel de ᾠόν : œuf ; particulièrement les œufs de poules, ou de crocodiles, ou de serpents, ou de poissons ; et par analogie, les graines de plantes ; ou bien, les objets (voire un paysage ou des fossiles) en forme d’œufs : vases, verres. Mot proche du latin ovum et du français ovale.

Pour Pâques ?! A Chaumont-sur-Loire ?

oali, υαλι

Oisly, ou oualy, ou oali, υαλι : qui concerne la fabrication du verre (avec du sable) ; fait de verre ; dont on peut faire du verre.

On en remarquera le lambda, l, qui se voit y dans un miroir…

comme un écrit des carnets secrets de Léonard de Vinci…

Croyez-en Le Grand Bailly,

dictionnaire indispensable de grec ancien,

et, avec lui, les peuples indo-européens… ni germaniques, ni nordiques, ni…

et le mot ὕαλος (hualos à prononcer oualos, oilosse) : toute pierre transparente (albâtre, cristal, certaines pierres précieuses, etc.) ; verre ; particulièrement une lentille de verre, un miroir ardent, mot d’origine pré-grec,

et le mot ὑάλη (hualê à prononcer oualé, oilé) : petit vase de verre,

et le mot ὑάλεος (hualéos à prononcer oualéos, wouah les hausses) : de verre ; transparent comme le verre,

et le mot ὑαλῖτις (hualitis à prononcer Oisly tisse) : dont on peut faire du verre, vitrifiable,

et les mots ὑαλικός, ὑάλινος

en adjectifs pluriels…

Ovales ! Haut val ? Haute gale ? jusqu’à Wallis et Futuna en wallisien : ʻUvea?!

et sa géomorphologie d’œuf… depuis Ouvéa et sa voile !!! Voilà !

Sachant que le oual, peut s’écrire wal, comme dans Walincourt (à prononcer oualincourt ; Walincourt-Selvigny, Nord, 59) et qu’il est souvent équivalent au val- (vaste développement possible en toponymie) ou au gal-, avec lequel on peut étendre la possibilité d’interprétation à des mots comme galéos, γαλεός, désignant un squale, un requin, un poisson de mer, une sorte de lézard ou une belette, un carnassier… peut-être en rapport avec les dents de requins fossiles des faluns de Touraine qu’on trouve à Oisly.

L’anglais wall n’est pas loin. Nouvelle Calédonie ?

Oua, Wé, etc., cela fait très polynésien…

à la plage d’Oisly et ses rats de marais.

Nominatif + Génétif !

Ua, Uae, Va, Vae…

((((( Huawei )))))

en verre vert.

Cuis cuit…

cui cui

QI !

Avec un sel fi… fit ou fie…

Cette remarque pousse jusqu’aux blancs d’œufs et jusqu’au mot gala, γάλα, le lait, désignant aussi le suc laiteux de certaines plantes, ou la scintillante voie lactée, notre galaxie, bien visible sur ce sommet ou dans les reflets des étangs de Sologne. Et, non dans le blanc des yeux ? Une optique ?!

Et Gally, sur la commune de Saint-Hippolyte (Aveyron, 12),

le Haut de Gally, sur Mondonville-Saint-Jean (Eure-et-Loir, 28)

non loin d’un croisement de voies romaines en pleine Beauce,

la Ferme de Gally, sur Saint-Cyr-l’École (Yvelines, 78),

Gally, à Saint-Laurent-du-Pape (07),

des hasards ?

Une géographie qui évoque une marge au-dessus…

sachant que saint Hippolyte est lié au culte brûlant de saint Laurent.

A l’intérieur du mot on entend al-, all-. L’intérieur du mot conduit donc à la racine, sonnant encore dans les oreilles des Français, allé, ἄλλῃ, un adverbe : dans un autre endroit, ailleurs ; d’une autre façon, autrement.

Il provient du mot allos, ἄλλος : autre, un autre, encore un, l’autre, un second ; d’autre sorte, différent ; autre (que les nationaux), étranger ; autre (que ce qui est), faux, non réel ; autre (que ce qui est juste), déshonnête, mauvais. C’est une très vieille racine indo-européenne, hel-io-, autre, qui a donné le latin alius, alii. Renifler un ailleurs…

La suite a-li, invite à penser à une exhortation à une libération des liens esclavagistes, et aux sables… voire à des varennes ou à une immense arène.

Ou a-Ly, enlever la menace des lions ? comme en Mésopotamie ?

Se libérer d’une autorité « protectrice » mercenaire étrangère à la faune-éthique… ?

Et en corps en alphabet

biblique chrétien

gallo-gréco catholique romain

à ré-observer encore et en cors…

Lions, lions…

A la fin du mot on trouve li, λί, λίς, le lion, le fauve, mot qui a aussi le sens de pierre unie, glissante, et le sens de : tissu de lin, couverture pour couvrir un cadavre (linceul, suaire) ; couverture ;  couverture de chariot ; un voile… qui fait penser à une voile, ou à une couverture de sables et de coquillages curieusement placée sur cette hauteur, ce terroir, cette terre émergée et gonflée par poussée tectonique, un peu astronomique…

Elle tourne parce qu’elle est entraînée…

Voile à ? Voilà ? Vois là !

C’est avec des sables et des eaux

que, sur les polissoirs, en aller-retour de labeurs et de labours,

les Néolithiques laboureurs, éleveurs castreurs, danubiens, faisaient leurs haches

poly, « polies », déjà avec des maux et des mots comme Hippolyte et saint Hippolyte.

Tout cela est à rapprocher du mot léia, λεία, un instrument pour polir la pierre, une pierre plate se désignant par les termes de « laie, laye ». Il est associé au mot λεῖος : lisse, uni ; lisse au toucher, poli ; uni, non couvert de broderies, non brodé ; aplani en parlant d’emplacements ou de pays, de route, de champ labouré, de terrain sans roches ; en parlant aussi d’une peau lisse, sans aspérités, par exemple une peau de poissons, sans écailles, une peau sans poils, sans barbe, et désignant au figuratif, le fait d’être uni, calme, doux.

Qui n’a pas déjà utilisé du sable pour faire la vaisselle ou s’en laver les mains… ?

Ce mot grec, λεία désigne aussi le butin, le bétail que l’on enlève, les prisonniers de guerre, les hommes réduits en esclavage… et le décapage qui en résulte. Ça chlingue, allez-y voir ?

Le début du mot Oisly est lié au fait de renifler, mais la fin du mot est associable au verbe voir, avec le mot grec lé, λῇ, λάω (laô) : regarder, voir. C’est peut-être une désignation d’un panorama sur ce sommet ou d’un miroir du monde, ou de ce qu’il faudrait y voir dans l’infiniment petit ou dans l’infiniment grand de mon Univers, ne connaissant pas le vôtre. Le verbe laô, λάω, vouloir, en est très proche… là où le Ciel paraît accessible aux idiots.

Une géologie confirmative

Tout est vérifiable sur la notice de la carte géologique 459 de Montrichard :

http://ficheinfoterre.brgm.fr/Notices/0459N.pdf

en lecture et association avec la carte géologique sur Géoportail.

Le Net permet de rechercher les termes ardus de ce type de spécialité

et d’en avoir par copié-collé des illustrations évocatrices : fossiles, roches…

Je simplifie volontairement ici le propos par soucis explicatif et éducatif.

Sur du dur calcaire de Beauce…

Les couches géologiques très particulières d’Oisly sont installées sur du calcaire de Beauce sous-jacent, un calcaire lacustre de l’Aquitanien, première subdivision de l’époque du Miocène (M1a sur la carte géologique du BRGM), roche sédimentaire datant de 23,03 à 20,44 millions d’années, un calcaire dur en grande partie renforcé par lui-même, par recalcification (dissolution par eaux de pluie et recalcification en profondeur), roche composée aussi de couches de marnes, des argiles. Cette roche est caractéristique de la Beauce, jusqu’en Touraine et en limite du Berry, là où se trouve effectivement Oisly.

Oisly géologie 01

Carte géologique de la France, BRGM, sur Géoportail.

Oisly géologie 02

Le lacustre calcaire de Beauce est représenté en jaune clair (m)

et les Formations de Sologne sont parsemées de points orange.

Des Formations de Sologne…

Ce calcaire de Beauce, lacustre, est recouvert, sur ce plateau situé entre la vallée de la Loire et la vallée du Cher, par les Formations de Sologne, terme désignant des roches sédimentaires du Miocène de la période du Burdigalien-Helvétien (- 20,44 à – 15,97 millions d’années pour le Burdigalien, et – 15,97 à – 11,63 millions d’années pour l’Helvétien ; M1b sur la carte géologique du BRGM), composé de sables et marnes du Blésois, et de sables et argiles de Sologne.

La majorité du sol de la commune d’Oisly est donc composée de sables et argiles de Sologne (M1bS sur la carte géologique du BRGM).

Citons la notice : “Ce sont des sables quartzo-feldspathiques, de couleur grise, jaune ou brune, généralement peu riches en graviers (de silex principalement). On y trouve des lentilles ou lits d’argile grise, verte ou rouille (note personnelle de Nicolas Huron, insérée : d’où les étangs miroirs des cieux dans la forestière, sableuse et argileuse, fourragère, sèche et humide Sologne). La stratification est souvent bien marquée, oblique ou entrecroisée. Les faciès fins sont plus argileux et contiennent des paillettes de muscovite. Les grains de quartz sont peu usés. La teneur en feldspaths potassiques est élevée (15 à 21 % dans la fraction 0,315-0,500 mm). Parmi les minéraux lourds, les ubiquistes résistants (tourmaline, zircon) dominent légèrement les minéraux de métamorphisme (andalousite, staurotide, etc.). Le grenat est peu abondant. Les minéraux argileux sont en proportions variables : smectites, kaolinite, argiles micacées.”

Ainsi par rapport au calcaire de Beauce, ces sables peuvent paraître du verre pilé, une suggestion de vitrification cristalline, une possibilité artisanale scintillante, des verreries, voire des poteries à caresser sur le côté, à modeler comme ê’veut, comme Eve… avec ses argiles, d’autant que les forêts voisines de Sologne et de Touraine permettent la fabrication de charbon de bois pour la fusion (comme à Neuvy ou au village de la Borne, en Berry). A la loupe… cherchez, pour bien comprendre, sur le Net en images : muscovite, tourmaline, zircon, andalousite, staurotide, mica…

OISLY, Wouah ! Lit ! Lie…

Mont précieux ! Mon pré, si yeux…

Oisly apparaît aussi, sur ce plateau d’une altitude moyenne de 100 mètres, comme un sommet, une bosse de relief due à une ondulation tectonique, culminant à 131 mètres d’altitude, au nord-nord-est du bourg, entre le Rousselet, le Chêne Gaillard, synonyme de “fort”, Babichon et le Préau, qui peut s’orthographier “le pré haut”.

Oisly géologie 03

Carte géologique de la France, BRGM, sur Géoportail.

Oisly géologie 04

Les courbes montrent le bourrelet tectonique du calcaire de Beauce faisant de Oisly

curieusement un sédiment de fond de vallée provenant du Massif Central, mais

en hauteur et plus fortement lavé par les eaux de pluie que dans les alentours.

Sur ces Formations de Sologne, on trouve des loupes sédimentaires, des lunettes, des poches, d’anciennes fosses à faunes, en creux, d’anciens viviers, composés de calcaires, de marnes et de sables calcaires, datant du Burdigalien (m1bC sur la carte géologique du BRGM). Citons la notice du BRGM : “Le calcaire s’y présente sous forme d’incrustations pulvérulentes ou de nodules blanchâtres. Ces marnes sont parfois sableuses : elles contiennent des grains fins de quartz, feldspaths et des paillettes de muscovite. Les termes de passage avec la sédimentation purement détritique existent : sables généralement fins, micacés contenant de minces lits calcaires. On trouve également des faciès uniquement calcaires : calcaire dur, à grain dur, à grain fin, vermiculé, blanc, beige ou jaune ; parfois calcaire crayeux riche en fragments de calcaire dur, plus ou moins siliceux.” Les fossiles y sont peu nombreux mais on trouve dans leur fond, datant des débuts du Burdigalien, des ossements de mammifères, que l’on peut découvrir en images sur le Net : Cainotherium sp., Steneofiber depereti, Paleochoerus aurelianensis, Brachyodus onoideus, Palaeomeryx kaupi, Procervulus dichotomus, Ceratorhinus tagicus

Oisly, près du sommet, est exactement situé sur deux loupes sédimentaires marines plus récentes, témoins d’une invasion, peut-être brutale, jusque-là de l’Océan, ayant laissé les faluns de Touraine (m2a sur la carte géologique du BRGM). Oisly fut donc ponctuellement un littoral ou fut victime d’un tsunami géant. On peut voir de tels dépôts marins en Crête, ou en Grèce, sur les hauteurs à la suite de l’explosion du Santorin, selon quelques rapports archéologiques… mais il y a plus fort, dévastateur, désastreux, encore.

Oisly géologie 05

Carte géologique de la France, BRGM, sur Géoportail.

Oisly géologie 06

Une butée de sédiments marins sur la montée vers les sédiments de Sologne.

Le nom du Pré Baron, évoque l’autorité, le Vivier évoque la faune aquatique…

Le Boulay, sachant que “lay” évoque sans doute une grosse pierre, un menhir,

ferait volontiers penser à quelques poussées sédimentaires g’astronomiques.

Un autre météore meurtrier mexicain ?

Les faluns de Touraine…

C’était avant les creusements des lits des vallées de la Loire et du Cher…

Les faluns de Touraine sont, en matière de roche et de curiosités, un peu la star locale des enfants, des amateurs de fossiles et des géologues.

A vous de gratter la notice avec le pince-haut du Net…

Citons par soucis g’astronomique la notice du BRGM dans son entier : « Helvétien. Faluns de Touraine. Sur cette carte, le falun présente le faciès pontilévien : sable très riche en débris de coquilles marines et contenant des éléments grossiers (graviers de silex à patine grisâtre, de meulière, galets de calcaire lacustre, etc.). On y observe une stratification entrecroisée et des bancs de grès connus sous le nom de millards. A la base du dépôt (région de Pontlevoy et aux Gandes près de Thenay) on trouve un niveau très riche en galets. Au-dessus, le faciès pontilévien tel qu’il est décrit se développe de façon assez homogène. Il contient parfois des lits d’argile grise ou grisâtre, de calcite pulvérulente et de nombreuses concrétions calcaires d’origines diverses. Ce faciès indique une sédimentation marine littorale.

Du point de vue minéralogique, la fraction sableuse a une médiane variable (Md = 0,215 à 0,615 mm pour les échantillons analysés), un classement généralement bon (Hq =0,72 à 1,40). Les grains de quartz sont usés (nombreux et beaux émoussés luisants). La teneur en feldspaths potassiques est faible (5 à 10 %) et les minéraux lourds les plus fréquents sont la tourmaline, le zircon, la staurotide, l’andalousite, le grenat. Le disthène présente parfois des taches vertes. Les minéraux argileux, peu abondants, sont représentés par les smectites et les argiles micacées. La teneur en Ca CO3 est variable suivant les niveaux. La calcite se présente, soit sous forme de débris organogènes,
soit sous forme d’incrustations. »

Photo Nicolas Huron

« Les fossiles y sont très nombreux. On y trouve des organismes marins dont les
espèces se comptent par centaines : des Bryozoaires, des Polypiers, des Mollusques parmi
lesquels on peut citer : Cerithium papaveraceum, Nassa turonica, Murex turonensis,
Trivia affinis, Conus dujardini, Fusus burdigalensis, Ostrea crassissima, Chlamys multistriata, Arca turonica, Cardita crassa, des Echinides: Scutella, Amphiope
, etc. »

Notons que le murex permettait le colorant rouge de la puissance romaine

le monopole commercial impérial de Tyr et de l’autorité impériale…

Le pourpre y est suggéré… mort.

“On rencontre également des organismes continentaux amenés par les cours d’eau
dans la mer helvétienne :
– des Végétaux : bois silicifiés,
– des Mollusques : Unio, Peringia turonensis, Melania aquitanica, Helix turonensis,
– des ossements de Mammifères remaniés des formations antérieures : L. Ginsburg
cite à Pontlevoy : Pliopithecus piveteaui, Steneofiber depereti carnutense, Amphicyon
giganteus, Hemicyon stehlini, Trilophodon angustidens, Deinotherium cuvieri, Anchitherium aurelianense, Chalicotherium grande, Aceratherium cf. tetradactylum, Brachypotherium brachypus stehlini, Bunolistriodon lockharti, Dorcatherium guntianum, D. cf. naui, Procervulus dichotomus, Dicroceros elegans et Palaeomeryx cf. magnus.

L’ensemble de la faune indique un âge helvétien.

Le falun apparaît en affleurements dispersés : région de Pontlevoy, Thenay, Sambin,
Oisly, Contres. Les gisements les plus étendus sont situés à l’Est de Thenay et au Nord
de Contres. Dans la région de Pontlevoy ils occupent une position stratigraphique terminale : ils recouvrent soit les formations sénoniennes argilo-siliceuses, soit le Calcaire
de Beauce, soit les Formations de Sologne, et forment de petites buttes dans le paysage.

Dans la région d’Oisly et de Contres, le falun apparaît à des altitudes variables (105 m
à Contres, 129 m à la croix du Gros). Ces écarts s’expliquent principalement par des ondulations tectoniques. Elles compliquent l’interprétation des rapports entre le falun
et les Formations de Sologne.

L’épaisseur du falun peut atteindre 8 à 10 mètres.”

L’historique d’une autorité

gauloise puis romaine…

La Butte de Babichon, au nord du bourg d’Oisly, sur le sommet de ce relief, pourrait être une butte de surveillance d’un camp esclavagiste romain, peut-être ici une mine, une carrière de sable, peut-être pour de la verrerie, ou une carrière de matériaux de construction (sable, chaux…) ou d’amendement de terres agricoles. Cette butte a servi à la cartographie et a été cartographiée au début du XIXe siècle sur le cadastre napoléonien.

Détail de la section A du Gros Buisson (référencé Grostuisson ?)

Cadastre ancien, dit napoléonien de 1817

Archives départementales de Loir-et-Cher

Cette éminence disparue fut peut-être une réutilisation d’une motte datant de l’Âge du fer, des temps esclavagistes gaulois, comme celle de Trôo, ou comme j’ai pu le découvrir à Pierrefitte-sur-Sauldre (Loir-et-Cher, 41 ; voir la Motte dans mon étude des foires de Pierrefitte-sur-Sauldre, localité qui pourrait avoir été le centre de la Gaule décrit par Jules César, lieu de réunion annuelle des druides). Une colline d’orateurs… Une tombe royale ? Un hurleur à esclavagiste ? Un présentoir de babillage de fausses promesses « matriarcale » rappelant quelques tyrannies orientales menant à quelques fosses communes… Un refuge contre les tsunamis ou autres invasions par l’Océan ou pour en surveiller l’enclos.

Pour jouer à chas perché ? Chat perché ? Chas Père Chais ?

Ces mottes sont souvent confondues ou ont été réutilisées en motte féodale, à la suite des invasions normandes aux IXe-XIIe siècles, mais surtout au Xe-XIe siècles. Certaines semblent, après enquêtes historiques, bien dater de ces installations féodales de mercenaires barbares comme peut en témoigner la célèbre Tapisserie de Bayeux.

C’est vrai que cela fait un peu gallo-romain, ce carré, là… d’une demi-lieue carré,

et avec Saint-Hippolyte, cela fait aussi très galops… et paris sportifs…

Tableau d’assemblage – Cadastre ancien, dit napoléonien de 1817

Archives départementales de Loir-et-Cher.

La Closerie un peu à l’écart…

Le bavard du midi, le Loup, le Romain, à Babichon ?

et dedans, les Rues et les Perrières l’Alier, juste au nord du bourg,

entre le Boulay, Eguison, Marcé, Chêne (Chaîne ?) Gaillard, et Wouah Wouah lie…

avec plus loin Châtres au sud-est, Bourg Neuf au nord et le Four à Chaux au sud-ouest.

La région de Contres a probablement été l’objet d’une centuration romaine visible sur photographies aériennes (voir l’étude de J. Viet : Une étude archéologique et historique de la frontière ouest de la Sologne, 1983). Elle suit l’orientation générale de la Loire, celle de la centuration locale de la Beauce, de la Petite Beauce, et celle de la rive sud de la Loire (voir mon article à ce sujet).

Cette centuriation s’est ajoutée, à la suite de la Guerre des Gaules, à au moins trois finages de bourg gaulois : Pontlevoy, Oisly et Soings-en-Sologne (et peut-être la Serrerie sur Thenay).

Oisly aérien 01

L’archéologie aérienne est aussi à l’ouvrage… sur le Net sur Géoportail.

Oisly aérien 02

Avec un regard habitué, cultivé et averti… d’expériences.

Oisly aérien 04

Ces trois bourgs, à penser comme villages fortifiés, ou comme une grande construction circulaire indiquée par Jules César dans la Guerre des Gaules (voir mon article sur le toponyme la Barre, à Saint-Cyr-en-Bourg), avec un finage en toile d’araignée, comme Issoudun qui présente un exemple remarquable (à voir dans mon enquête sur Chârost), étaient situés dans une sorte de marche de frontière en pays carnute (ancien diocèse romain formé sur l’ancien territoire des Carnutes, puis séparés en deux anciens diocèses romains : Chartres et Orléans).

Cette marche de frontières antiques faisait tampon, avec la Touraine et le Berry, avec des bois de protection : au nord-ouest les Bois de Saint-Lomer, à l’ouest la Forêt d’Amboise, au sud-ouest la Forêt de Montrichard et la Forêt de Choussy, au sud les bois des coteaux du Cher et la Forêt de Brouard limitant le Berry et la Touraine, et à l’est les bois de Sologne, dont le bois de la Beauregarde.

Ce type de double tampon forestier de frontière antique se retrouve entre le Perche et la Beauce, et sur les bords de la Loire, dans le Sancerrois et plus au sud, le Nivernais, mais aussi entre Chinon et Saumur… : une grande terre agricole riche (ici la Champagne berrichonne ou la Beauce), puis des bois, une marche cultivée (Pontlevoy, Oisly…), puis à nouveau des bois…

Le pays carnute, ancien diocèse romain de Chartres, sans doute trop puissant, a été divisé en deux au IIIe siècle lors de la re-création de la cité d’Orléans, et la nouvelle frontière a été placée au nord d’Oisly, sur Contres à Cornilly.

L’ancienne autorité romaine de Contres est identifiable avec son église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte (c’est aussi le cas avec Saint-Hippolyte-sur-Dive, en prairies inondables, en plaine basse du Thouet, église voisine de celle de l’église de Saint-Cyr-en-Bourg sur le plateau troglodyte viticole ; Maine-et-Loire, 49).

L’église Saint-Hippolyte d’Oisly, toponyme rare, faisant référence à une autorité romaine chevaleresque de l’ordre équestre, a été remise au Moyen Age au prieuré de Cornilly (voir mon étude des toponymes Saint-Hippolyte à ce sujet). Un pré haut ?

Oisly par rapport aux anciennes frontières des diocèses romains.

Carte Nicolas Huron

Oisly au milieu de restes de massifs forestiers de frontières antiques.

Carte Nicolas Huron

Oisly associé à Contres !

et à d’autres toponymes d’autorité militaire…

Le latin invite à relier UALI, Oisly, à : valeo, être fort, vigoureux, puissant, avoir de la valeur, s’établir, se maintenir, régner (on voit tout près le Pré Baron, et non loin, la Terre des Légats), se bien porter, être en bonne santé (sans doute grâce aux terres siliceuses et à la Presle, toute proche) ; vallis, valli, vallée, vallon, du val ; vallum, valli, palissade, rempart, retranchements (à Oisly, en marge du carré visible dans ce parcellaire, et sans doute en rapport avec Châtres, le Bourg Neuf, etc., très proches) ; valor, valeur…

Le latin invite aussi à d’autres évocations : galea, le casque ; galeo, coiffer d’un casque ; Galli, les Gaulois ; gallus, le coq, galli, signifiant “du coq”, évocation du chant du matin et des premiers rayons de soleil…

Le coq, symbole de saint Pierre, de Saint-Pierre de Rome, et des Gaules,

pour les gaillards… au-dessus des regards du beffroi.

Clocher de l’église Saint-Hippolyte d’Oisly.

Photo Nicolas Huron

La prononciation Oisly, “Wally”, fait penser à une survivance peut-être germanique ou franque associé au IIIe siècle à l’autorité romaine (voir mon article à ce sujet), mais on y voit aussi une origine plus ancienne, gauloise ou gallo-romaine, qui se retrouve dans le grec ancien et qui peut donc être protohistorique, voire plus ancienne encore. Le rapprochement linguistique de Wally avec Galli, évoque la force, l’autorité, comme Gaillard. Le terme gaulois ualos signifie souverain, prince, il est associé au verbe latin valeo, valere, être fort, dans le sens politique. Il est associable au mot gaulois uelio, modeste, honnête, ou meilleur, et au mot uelet, voyant, poète. Signalons encore les mots gaulois vellaunes, chef, commandant, et uelor, je veux (Xavier Delamarre : Dictionnaire de la langue gauloise. Une approche linguistique du vieux-celtique continental, éditions Errance, Paris, 2003).

Certains toponymes comme Oisly sont si vieux…

qu’on se demande s’ils ne sont pas carrément néandertaliens.

Et le faune-éthique pithécanthrope d’ici, qu’en panse-t-il ?

Ces sens multiples, cette singularité plurielle et ce pluriel singulier, voire son sens inconnu et donc discret, son caractère isolé, ont aidé à maintenir la phonétique de Oisly, intact, pendant les préhistoires et protohistoire, puis pendant l’occupation esclavagiste gauloise, romaine, germanique, franque, viking, hongroise, arabe, judéo-chrétienne médiévale, anglo-normande, anglaise, barbare, protestante, révolutionnaire, napoléonienne corse, napoléonienne parisienne, prussienne, républicaine, coloniale, soviétique, allemande, américaine, etc., toutes cumulées.

Oisly en toponymie comparative…

Les toponymes germaniques avec leur W : Walli-, Wali-

Sur Coyolles (Aisne, 02), se trouvent Buisson de Walligny, Carrefour de Walligny, Route de Walligny, et Laie de Walligny (sachant du -igny signifie généralement brûlé) ;
sur Soyécourt (Somme, 80) se trouve Wallieux ;
sur Hausgauen (Haut-Rhin, 68) se trouve Wallisaker.

Walincourt, sur Walincourt-Selvigny (Nord, 59) ; Le Walin, sur Brouillet (Marne, 51),
Ravin de Walipré, sur Montfaucon-d’Argonne (Meuse, 55)

traits très rabotés par la Grande Guerre… à l’aise, y voir…

Carte Nicolas Huron

Les toponymes de survivances ethniques et leurs H : Hoil-, Houal-

Le Pays Basque avec deux Hoilly (Pyrénées-Atlantiques, 64),
à Arrast-Larrebieu, et à Etchebar.

Un cas à part : les Hoileux, à Villers-Franqueux (Marne, 51),
peut-être un Wall un peu francisé de la barrière des pires aînés.

La barrière des Pyrénées avec Houalin, à Juzet-d’Izaut (Haute-Garonne, 31),
et Houalmajou à Samortein (Ariège, 09).

La Bretagne avec : Créac’Hoular, à Mespaul, Crec’Houalc’h, à Landeleau (Finistère, 29), Houalan, à Plouagat (Côtes d’Armor, 22), Er Houalherez (Morbihan, 56), Pont Er Houal, à Moréac (Morbihan, 56).

Et près du Mans (Sarthe, 72), la Houalardière, à Pruillé-le-Chétif,
qui est sans doute une incursion bretonne ayant gardé quelques liens.

Carte Nicolas Huron

L’absence de Vally et les Valy bretons de l’angle des invasions…

Un cri de rameurs ou c’est pour hisser les viols et les voiles : Wali, wali, vali, valli… is !

Mis à part la quarantaine de toponymes bretons comportant Valy (qui serait une forme de Bali signifiant avenue), qui sont essentiellement situés dans le pays du Léon (« lion », sens qui semble aussi présent dans Oisly), sur ou non loin de la Côte des Légendes et de la Ceinture Dorée, à l’entrée, ou la sortie, de la route ou avenue maritime de la Mer Manche, dans le virage, the wall, des invasions des wales, des Wallons, des Wales, ou plus nordiques encore et en cors… on remarque deux localités :

Courgeac (Charente, 16), avec les toponymes Valy, le Petit Valy et Bois de Valy,
près d’une loupe de sédiments alluviaux anciens des terrasses.

et Pré Valy, à Grilly, près du Lac Léman, dans les éboulis du Jura et les sédiments glaciaires de la molasse helvétique des abords du lac dus à la poussée alpine.

Il faut ajouter qu’en Corse il existe 4 toponymes Valli et aucun toponyme Vali.

Carte Nicolas Huron

Le Y de fin de mot par aisance et convenance de tracés

Galy et Gally, une enquête de pouvoir sédimentaire cristallin à détailler, mais on perçoit bien quelques contours de roches cristallines : Morvan, Massif-Central, Pyrénées…

On y perçoit la différence entre droit écrit au sud-ouest et droit coutumier au nord

avec l’unique « l » de Galy, dans la zone de droit écrit et l’économie des notaires…

Des fois, cela tient à peu de choses une explication… chez les feignasses.

Notons le Haut de Gally, à Ouarville (Eure-et-Loir, 28).

Remarquons : Gally, à Saint-Hippolyte (Aveyron, 12),

Ferme de Gally, à Saint-Cyr-l’École (Yvelines, 78),

Gally, à Saint-Laurent-du-Pape (Ardèche, 07),

L’huis Gally, à Dun-les-Places (Nièvre, 58),

Côte Gally, à Avallon (Yonne, 89)…

Carte Nicolas Huron

Oisly est unique mais beaucoup de toponymes sont-ils concernés ?

Ceux commençant par vali-, valli-… entre autres.

En Région Centre, il faut noter une quinzaine de toponymes La Valinière,

quelques Valin, Valins, et six toponymes Valière, Valières, Sainte-Valière.

Avec deux l, on y trouve essentiellement des Vallier, Valliers, Vallière, Vallières,

sachant que dans les toponymes anciens, -ière signifie notamment « sacrée ».

On en sentirait même mieux l’alène de la laine de l’haleine.

Valli-, ou Vali-, projettent plus d’air à la prononciation,
par rapport à Oisly qui est tout en retenu.

Sinon, on remarque quelques rebords,
quelques traversées (Corse, Savoie…)
et le verrou du comté de Nice.

Carte Nicolas Huron

Va ? Où a… ?

Oisly est unique mais beaucoup de toponymes sont-ils concernés ?

Ceux commençant par gali-, galli-… entre autres.

Notons que dans l’Indre, en limite avec le Loir-et-Cher, existe les Galiennes, à Lye,
également un toponyme unique, sur un sommet, mais de limon des plateaux.

Mêmes commentaires que pour les toponymes en Vali- et Valli-  ? Sinon que

on y voit le verrou des Pyrénées orientales et que les notaires

font l’économie des deux ailes dans le sud-ouest,

sans doute pour le foie gras.

Carte Nicolas Huron

Gaga ? Gag à… ?

Vois-les !

En patientant…

UAH ! LI comme un 51, un jeu d’enfants…

Et Bali, et le Valais suisse, et la Wallonie, et le Pays de Galles ? et la mode du « voilà ! » ?
et walha qui désigne un locuteur germanique, voire celte d’Europe centrale, voire gaulois,
et le Vahalis, le Waal, bras du Rhin à son embouchure ? Le vah latin ?
et le viking Valhalla, Walhalla, où halle là, Val à la… ?

Voies lient, voix loup…

en sous, coupes, volantes…

et tailles de bois pour l’Yve aire…

Et en pays libres et beaux, en Gaules chevelues, en France,

au nominatif masculin ou neutre : UALLUM ! VALUS ! Wouah l’homme, ou a l’US ?

Quant à son génitif, génie tifs, masculin ou neutre… : Oisly, Vois lis! et féminin : Ualé.

Du viking Valhalla, Walhalla, au français, normand, Val à la…

En Normandie, dans la Seine-Maritime, qu’en pense-t-on au Val à la Dame, à la Londe,
au Val à la Dame, à Bures-en-Bray, et au Val à la Reine, à Gruchet-le-Valasse ?

Et je jure qu’il n’y en a que trois… et c’est grâcieux, gracieux et gras cieux à l’infini…

En toponymie -renne signifie retraverser et dame signifie peuple.

Est-ce encore vraiment un hasard ? Content plat tit Feu…

Carte Nicolas Huron

Un toponyme unique mérite-t-il une explication

pour tous les autres ?

D’autres cartes de France illustratives à ajouter pour des toponymes apparentés ?

Sur la méthode, tous ! Tous sur la méthode !

Osez l’Histoire !

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