Si tu vois la lumière blanche la Vierge : ceins l’ouïe !
Cet article est dédié à tous ceux qui sauront apprécier l’église Saint-Louis de Précy (Cher) avec sa chapelle privée Notre-Dame attenante et sa petite entrée couverte dite « galerie » et tout son environnement, notamment par la mise en ligne de la publication de mon ancienne étude d’inventaire historique et architectural de cet édifice plein d’énigmes spirituelles et temporelles qui en feront monter plus d’un en compétences cognitives (voir mon article dédié aux confusions à éviter par confus ions+-), s’il est capable d’efforts, aux vues de cette jolie petite église rurale, édifice et lieu qui furent, sont et seront d’un très bon repos campagnard en frontière antique… selon les vœux des Louis de Sancerre, comte de Sancerre, terre liée au Blésois, chez moi, et selon les vœux liés à Paris (mon lieu de naissance) de Saint Louis, roi de France (1214 ; + 1270 ; canonisation en 1297), et les vœux de deux grands militaires, exacts contemporains, et survivants de la Peste Noire en âge de raison : Louis de Sancerre (1341-1342 ; + 1402), connétable de France, et le duc Jean de Berry (1340 ; + 1416), dont le gisant, avec l’ours muselé à ses pieds (référence à Théodora, femme de l’empereur Justinien), montre que cette population a été, est et sera toujours un peu retord à l’autorité, gauloise, romaine, franque, royale, française, etc., population toujours un peu en but aux commerces et autres addictions et propositions orientales… comme l’avait déjà noté Jules César dans la Guerre des Gaules.
En phonétique gallo-romaine, et encore compris au Moyen Age par les nobles et les clercs, Saint-Louis signifiait notamment : Syn Loup (Romain) oui (mouton) ; loue ouï ; loup we ; etc. ! Il peut se prononcer « loué » à la campagne, et se lire « lois » ou « Loys » dans les textes. Je pense qu’il faut le savoir dans les temps prochains, car les loups sont arrivés dans le Loiret et ont commencé à égorger les moutons. Oui, oui… Alors apprécie l’église Saint-Louis à Précy, et les autres encore debout : des refuges !
Pour commencer à comprendre l’Histoire de France
à travers les toponymes
Saint-Louis
lieu par lieu, en géographie historique descriptive…
voici, ci-dessous, dans cet article, la liste des églises Saint-Louis et de la plupart des toponymes Saint-Louis de Paris et de sa région, et surtout de Région Centre (-Val de Loire, complément absurde en Berry… quant à Chartres… -Val de Seine ?) et un peu des environs, avec leur cartographie, ainsi que la cartographie très révélatrice des communes et de la plupart des lieux-dits ruraux Saint-Louis de France.
C’est un toponyme apparaissant à la fin du XIIIe siècle et au début du XIVe siècle et qui trouve son origine au XIIIe siècle, à l’époque du passage du royaume des Francs au royaume de France, domaine royal et extensions, et donc de la généralisation pour l’ensemble de ce pays du toponyme France, qui ne désignait à l’origine que l’Île de France, la Région parisienne.
Je vous donne un avis cartographique et historique sur ces toponymes, surtout par chez moi, en Région Centre, et chez ma région voisine la parisienne, étymologiquement concernée, et plus généralement en France, pour tenter d’en décrypter les circonstances.
Avant d’être, pour des questions pratiques d’études de terrains et de sang, un peu chauvin et de n’aborder que ma Région Centre et les environs, je vais commencer par la morte et lourde région voisine autrefois magnifiquement agricole et industrieuse, la Région parisienne. Mais avant, il faut d’abord signaler l’exceptionnelle et magnifique église Saint-Louis-des-Français à Rome, également dédiée à la Vierge Marie et à saint Denis. Un chef-d’œuvre de styles Renaissance et Baroque construit entre 1518 et 1589, entre les règnes de Louis XII (1498-1515) et d’Henri IV (1589-1610), sur un terrain des Médicis, pour la Gloire de Rome, en espérant que la modeste église de Précy, avec son chœur de style français, dit gothique, et sa modeste nef de style Henri IV, voire Louis XIII, ne fasse de l’ombre à l’immortel syn-pierres de l’entourage de Saint-Pierre de Rome. À Rome, cet édifice n’est pas loin d’autres églises nationales françaises : Saint-Nicolas-des-Lorrains, Saint-Yves-des-Bretons, Saints-Claude-et-André-des-Bourguignons, la Trinité-des-Monts.
Waouh !
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Les églises Saint-Louis à Paris, en région parisienne,
en Région Centre Val de Loire
et aux environs et les toponymes du même nom
Les églises et toponymes Saint-Louis en Région Centre
Carte Nicolas Huron
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Paris et les environs de Paris
France étymologique
– Dans les Hauts-de-Seine, à Garches (92 ; ancien diocèse de Paris ; actuel diocèse de Nanterre), situé non loin de Saint-Cloud, sur la route de la Normandie, l’église Saint-Louis actuelle fut reconstruite en 1876 après avoir été détruite pendant la guerre franco-prussienne de 1870. Cette paroisse a la réputation d’avoir accueilli la première église construite et dédicacée à Saint Louis, le saint roi Louis IX, initiative prise par un des proches de la cour, Robert de la Marche, clerc du roi, en 1298. Certains prétendent que l’église aurait été baptisée un an avant la canonisation du roi. Cela est faux et un peu de diplomatique peut le montrer. La première pierre aurait été posée le vendredi 7 mars 1298, mais indiquée sur l’inscription en 1297 car, au Moyen Age, l’année changeait à Pâques, et cette année-là l’année changea le 6 avril 1298. La dédicace à Saint Louis se fit le 3 juin 1298, jour commémorant ce saint patron. C’est pourquoi l’inscription porte la date de 1297, mais qui est dans 1298 selon notre calendrier actuel. Ceci est expliqué, avec une erreur de date par l’abbé LEBEUF, de l’Académie des Inscriptions et des Belles Lettres, page 41, dans son ouvrage : Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, tome III, Paris, 1883 (Librairie de Féchoz et Letouzey, rue des Saints-Pères, 5), Doyenné de Châteaufort :
Extrait : « L’Eglise de Garches peut passer pour la première qui fut dédiée sous l’invocation de Saint Louis, sans excepter même celle des Dominicains d’Evreux. Ce fut Robert de la Marche autrefois Clerc de ce saint Roi, qui s’empressa le plus de lui marquer sa dévotion, et cela dans un terrain qui peut-être lui appartenoit, puisque probablement il étoit issu des Seigneurs de la Marche, petite Terre distante de Garches seulement d’une demi-lieue. Voici l’inscription qu’on y lit gravée sur une pierre placée dans la muraille de la nef du côté gauche ; elle est en lettres capitales gothiques qui certainement sont de la fin du XIII siècle » (Je restitue là les lettres majuscules à la place du texte en minuscules de l’auteur, car le vent redit… l’Esprit des Lois…) :
EN LAN DE GRACE M. CC IIIIv(ingt) et XVII LEVENREDI APRES REMINISCERE ASSIST EN LANNEUR DE DIEU ET MON SINGNEUR SAINT LOIS MESTRE ROBERT DE LA MARCHE CLERC NOSTRE SEINSNEUR LE ROI DE FRANCE ET hANRI SON VALET LA PRUMIERE PIERRE DE LESGLISE DE GARCHES ET LA FONDA EN LAN DESUSDIT (remis en majuscules par mes soins avec ma lecture propre, en vous laissant le soin d’y remettre les points…).
« Saint Louis ne fut canonisé que le 11 Août 1298 (erreur ici, car il s’agit du 11 août 1297 : référence). Ainsi c’est avant que l’année fût révolue que fut commencé l’édifice de cette Eglise car l’année 1298 ne commença qu’au jour de Pâques 6 Avril, suivant l’usage d’alors. Comme cette Eglise n’est proprement qu’une Chapelle sans collatéraux, le Vendredi après le Dimanche Reminiscere, second du Carême, étant tombé au 7 Mars (1297 au Moyen Age et 1298 pour nos années actuelles), avec la simplicité dont elle est bâtie il ne fallut pas trois mois pour l’achever ; c’est pourquoi, puisqu’on assure que la Dédicace en fut faite le 3 juin (1298), il est croyable que ce fut l’année suivante 1298, laquelle avoit commencé à Pâques : le 3 Juin tomba cette année-là au Mardi d’après la Trinité. Pour ce qui est des reliques du saint Roi, Robert qui avoit été à son service n’en étoit pas dépourvu. Ce Clerc de Saint Louis fut depuis inhumé dans le chœur de la même Eglise, sous une belle tombe où est gravée sa figure qui le représente en habits sacerdotaux, les pieds étendus vers l’autel, avec cette épitaphe autour de cette tombe en capitales gothiques (Je vous laisse restituer ici les majuscules… afin de ne pas avoir à tout corriger…) :
Cy gist Robert de la Marche Clerc jadis le saint Roy Lois, qui en lhonneur de Dieu et du saint Roy Lois fonda cette Eglise, qui trepassa en l’an ……. après la Nostre- Dame en Septembre.
Je soupçonne que c’est le même que Robert de la Marche, Chanoine de Noyon, qui en 1288 à la fin du Parlement de la Pentecôte, certifia qu’il avoit ouï dire à Matthieu, Abbé de Saint-Denis , sur l’intention du Roi touchant la défense faite aux Lombards, de ne plus commercer à Montpellier, mais à Nîmes. » (à relire pour se frotter un peu à la diplomatique, science, comme toutes, annexe de l’Histoire, par exemple à l’Université de Californie avec ce lien… page 41).
L’inscription et la pierre tombale de Robert de la Marche qui est de style Saint Louis, gothique rayonnant, sont visibles pages 163 à 165 dans l’ouvrage : Collection de documents inédits de l’Histoire de France publiés par les soins du Ministre de l’Instruction publique. Troisième série – Archéologie. Inscription de la France du Ve siècle au XVIIIe, recueilli par M. F. de GUILHERMY, tome III, ancien diocèse de Paris, Paris, Imprimerie nationale, 1877. (à relire et à voir, pour se frotter un peu à l’épigraphie, science, comme toutes, annexe de l’Histoire, par exemple à l’Université de Californie avec ce lien… pages 163 à 165).
Notons que la première mention d’une église à Garches date de 1209 et que Garches est un nom militaire. Il existait donc probablement une église avant la construction de celle-ci en 1298. Je crois qu’elle est un peu trop petite pour que tous s’y recueillent… Non ? NOM ?! GARC(h)E ? La Guerche sur l’haut bois, forteresse romaine, avec 600 mètres de portée de tirs des scorpions et catapultes romaines, au-dessus d’une voie romaine (l’Autoroute hitlérienne A13 ?), qui y passe au pied, comme à la Guerche-sur-l’Aubois (18 ; Cher), entre Bourges et Nevers, vers Lyon, au sud de Précy (18) où une autre église Saint-Louis fut fondée par de grandes raisons militaires. Une attirance rance… Ffff… rance ? car « il sentait bon le sable chaud, mont légionnaire »… au sud-est du « téton(s) » du Mont Valérien.
Fiable et vérifiable…
Certains prennent le sol pour la terre et les plantés de Région parisienne
pour la nature au point de vouloir leur parler…
en toute diplomatie avec Géoportail
Allez cons prendre…
…
Une vraie lèpre qui réclame encore, en corps, en cor, son sain Louis… d’or,
à bien apprécier dans ce désert urbain anthropophage de campagnes…
en toute diplomatique avec Géoportail
…
Dans les Yvelines (78), à Poissy (ancien diocèse de Chartres ; actuel diocèse de Versailles), au nord-ouest de Saint-Germain-en-Laye, sur les bords de la Seine, bien que les bâtiments eussent été presque complètement détruits, nous pouvons retrouver par l’Histoire, science de toutes, l’un des premiers édifices dédicacés à Saint Louis : le prieuré royal Saint-Louis de Poissy, fondé par le roi Philippe IV le Bel, sans doute dès la canonisation du saint roi en 1297, établissement consacré en 1304. C’était un grand établissement très prestigieux, de style gothique rayonnant, sans fioriture grotesque, monstrueuse, etc., de style roman, c’est-à-dire sans évocation des mythes orientaux, voire des atrocités colportées dans l’Ancien Testament. Contrariant pour certains, certes Huns… Ce mouvement architectural épuré, initié par les Cisterciens au milieu du XIIe siècle dans des déserts ruraux, fut la continuation de la lutte contre la prédation orientale et la volonté de ces envahisseurs esclavagistes de rendre tout le monde fou avec des croyances plus folles et plus meurtrières les unes que les autres. Cet établissement grandiose était un sucre-sucre, sur la Seine, face aux invasions normandes (commerce d’esclaves de la Mer Baltique à la Mer Noire, voire commerce de la Mer du Nord à l’Afrique du Nord) encore présentes dans toutes les têtes à la fin du XIIIe siècle, digne de la structure militaire de la chrétienté catholique romaine, car cet établissement avait été rempli de jeunes moniales aristocratiques, voire bourgeoises. Et l’Anglais… « à l’odeur alléché« … allait chez… halait chais… en août 1346…
Découvrez la suite… notamment sur Wikipedia
et les atroces et infernales vérités anglo-saxonnes,
mais en cherchant mieux, vous y découvrirez les raisons
de l’effondrement de la société au XIVe siècle, et les coupables,
par l’étude approfondie du Prieuré Royal de Saint-Louis de Poissy
et du règne du saint roi Louis IX et de ses successeurs.
La croisade de 1270, en fut-elle vraiment une ?
Carthage, les Phéniciens, les Juifs…
et les marchands de Venise.
On dirait que non !
Saint Louis est né à Poissy en 1214…
1214 ? Revoyez la règle du 21, le Blackjack, XIVe siècle ! Ce n’est pas sur Géoportail
où on peut voir qu’il est très suggestif l’Oméga quand on retourne la carte,
pour l’avoir du point de vue des Anglais et des Nordiques
avec l’Oise en amont… Loys zzzz…
car on dit les bords de l’Oise et pas les bords d’Oise
et qu’on peut dire les bords de Seine, comme ceux de la Seine…
…
Voisine de Vilaine, écrite Villennes, et de Achères, et pas qu’eux, queue…
On croirait voir un phylactère porté par les anges, les enjeux…
avec un endroit pour s’essuyer… un peu poisseux…
de la Seine, la Cène, lasse haine…
Les Anges étant, étymologiquement, de jeunes éphèbes blonds… et messagers…
qui aiment bien(s) raconter des histoires, mais qui supportent assez mal l’Histoire et
qui vieillissent assez mal, voire très mâle, avec le souvenir de ceux qu’ils ne sont plus.
…
Dans l’Essonne (91), à Boissy-le-Sec (ancien diocèse de Chartres ; actuel diocèse d’Évry Corbeil-Essonnes), l’étude des connaissances de l’histoire et de l’architecture de l’église Saint-Louis est un cas d’école un peu similaire à celle possible sur Précy dans le Cher (18) par les inexactitudes et les confusions, juridiques, historiques et géographiques… induites ou transmises d’écrit en écrit par les historiens amateurs ou par les compilateurs de données en vue d’un profit « touristique » sur le Web. J’ai fait un article spécial sur les confusions pouvant être générées par la présentation de l’église Saint-Louis de Précy, et le cas de Boissy-le-Sec est également extrêmement enseignant sur ces sujets. Un vrai parcours du combattant cognitif. Je vais faire ici un résumé du gouffre d’ignorance dans lequel tout le monde se vautre généralement en Région parisienne, désastre facilité par la difficulté à consulter les sources historiques fiables, ce qui semble être une volonté des « services » publics à ce sujet, chose que j’ai constaté comme historien dès les années 80, sans percevoir un quelconque progrès depuis : une prise d’otages, une rétention abusive… ? Oui, Paris et sa région, bien que totalement détruites ruralement et totalement exterminées, sont encore sous Occupation, sous tortures et dépeçages anthropophages, alors que l’on sait qu’il n’y a plus aucun Parisien à Paris et plus aucun Francilien en Île de France. C’est un peu comme se battre encore contre Rome totalement détruite et « grand remplacée » au Ve siècle.
A quand les vraies décolonisations et les restitutions ?
…
Les cartes de Cassini, une volonté royale reprise par Géoportail
où on voit que l’église Saint-Louis de Boissy-le-Sec
n’est pas étrangère à d’autres toponymes :
Granges le Roy, La Forest le Roy…
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Ainsi que Sainte-Croix au nord-ouest du bourg…
La loi de l’attraction ? Serions-nous tous sous influences ?
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Ainsi l’église Saint-Louis de Boissy-le-Sec est aujourd’hui dans le département de l’Essonne (91), invention de quelques terroristes affairistes anglo-saxons, et dans un diocèse imaginé il y a peu. Cependant l’Histoire nous apprend que l’Histoire de Boissy-le-Sec ne peut se comprendre que comme bourg ayant appartenu à l’ancien diocèse romain de Chartres, dépendant de la province de Sens et de la Gaule Lyonnaise, bourg en frontière, comme Saint-Hilaire, Brières-les-Scellés, Villeconin, Souzy-la-Briche… avec deux autres entités territoriales : l’ancien diocèse de Sens, avec Étampes, Étréchy, Chauffours-lès-Étréchy… et l’ancien diocèse de Paris, avec Mauchamps, Saint-Sulpice-de-Favières… Ceci est indispensable à savoir pour entamer les recherches, comme de savoir que cette église était sous la dépendance de l’abbaye de Clairefontaine (actuelle commune de Clairefontaine-en-Yvelines) située dans l’ancien diocèse de Chartres en limite avec le diocèse de Paris, dont les forêts de l’actuel Parc régional de la Haute Vallée de Chevreuse étaient la frontière naturelle, puis gauloise, puis romaine. Nous sommes là en pays gaulois carnute, en frontière avec la nation gauloise des Sénons, et en frontière avec celle des Parisii. Mais il y a pire…
Ce ne sont pas les mêmes nations fondatrices…
J’ai indiqué en rouge les anciennes frontières des anciens diocèses romains,
frontières reprenant les anciennes frontières des nations gauloises.
Recherches à refaire sur Géoportail et dans les archives ecclésiastiques et nobiliaires.
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Ainsi, Boissy-le-Sec se situe en limite de deux régions naturelles, la Beauce, et l’Hurepoix, et entre deux failles géologiques sous-jacentes importantes, situation qui lui a valu son surnom de Boissy-le-Sec, par l’aspiration hydraulique et électromagnétique en sous-sols des dites failles, dont l’une au nord a produit la courbure de la vallée de l’Orge et l’autre le versement des eaux vers Paris, via Boissy-la-Rivière, Étampes, par la Juine, puis l’Essonne, et enfin la Seine. C’est une zone de rupture d’impression et donc d’influences.
Ce ne sont pas les mêmes pays, ni paysages…
Recherches à refaire sur Géoportail et à travers les notices géologiques du BRGM.
Ainsi, l’église Saint-Louis de Boissy-le-Sec est réputée datée du XIIe siècle, cependant le vocable Saint-Louis ne peut pas être antérieur à la canonisation du saint roi Louis IX en 1297, et l’édifice lui-même semble plutôt dater dans sa structure de la fin du XIIIe siècle ou du début du XIVe siècle, sous le règne de Philippe IV le Bel (1285-1314), voire de l’un de ses successeurs. Cependant quelqu’un qui lit un résumé sur le Web, pensera en voyant l’église que son clocher est du XIIe siècle, alors qu’il ne date que des années 1825-1830, et qu’il s’agit d’une reconstruction après un écroulement en 1815 qui emporta aussi, pour partie, la première travée de la nef (écroulement dû au mauvais entretien révolutionnaire, et aussi peut-être dû à une production de salpêtre, une moisissure, poison chinois, servant à fabriquer la poudre à canon dans les Temples de la Raison de la Terreur révolutionnaire).
Ainsi la baie sud du chœur, de style gothique finissant pourrait dater ce chœur de la fin du XVe siècle ou du début du XVIe siècle. Nous pensons qu’il n’en est rien. A notre avis la structure date, comme la nef de la fin du XIIIe siècle ou du XIVe siècle, mais le remplage de la baie a été, comme dans presque toutes les églises rurales, remis au goût du jour au moment de la Renaissance. L’encadrement est plus ancien que la décoration du remplage de cette baie. Confusions possibles ou inexpérience par manque d’efforts ? Combien en avez-vous étudiées ?
Ainsi, l’architecture de l’église Saint-Louis de Boissy-le-Sec ne peut se comprendre qu’en sachant que le chœur et la nef n’étaient pas gérés et entretenus par les mêmes autorités. La nef était entretenue par les habitants de la paroisse, via la fabrique ou œuvre, et le chœur était à la charge des gros décimateurs de la paroisse. Faites-vos recherches… et vous verrez les bâtons dans les roux…
L’Histoire nous apprend que Louis VI le Gros apporta sa protection en ces lieux vers 1120 et que la paroisse de Boissy-le-Sec fut transformée en prieuré-cure en 1195 comme dépendance de l’abbaye de Clairefontaine qui possédait d’autres prieurés-cures comme Mérobert, Paray (Douaville), Rosny, Thoiry, Roinville, les Bréviaires, et possédait des prieurés simples comme Saint-Germain-des-Ajots à Clairefontaine, celui de la Madeleine à Rochefort, celui de Saint-Léonard-du-Couldray près de Maule, celui de Saint-Marc et Saint-Médard d’Orgeval et de celui Notre-Dame du Désert (diocèse de Bayeux). Ce fut donc probablement avec l’accord de l’abbaye de Clairefontaine que l’église changea de vocable pour celui de Saint-Louis, sans doute sous l’influence d’un puissant noble, voire d’un roi postérieur à Saint Louis.
Ainsi les mentions latines de Boissy-le-Sec reprises au nominatif par nombre d’auteurs, et datant de 1216 (Bussiacum, Bossiacum siccum) et de 1272 (Buisseium siccum) sont prises pour étymologiques alors qu’elles ne sont que des adaptations latines par des clercs et que Boissy-le-Sec se prononçait déjà ainsi au XIIIe siècle (voir mon article dédié à ses questions de fausses étymologies latines). Ces deux dates étant antérieures à la dédicace à Saint Louis de l’édifice et de la paroisse en question.
La recherche n’est pas facilité par l’abondance de toponymes Boissy dans le secteur : Boissy (28) ; Boissy-la-Montagne près de Boissy-Saint-Léger (94) ; Boissy-aux-Cailles (77) ; Boissy-en-Drouais (28) ; Boissy-Fresnoy (60) ; Boissy-l’Aillerie (95) ; Boissy-la-Rivière (91) ; Boissy-le-Bois (60) ; Boissy-le-Châtel (77) ; Boissy-le-Cutté (91) ; Boissy-le-Sec (91) ; Boissy-lès-Perche (28) ; Boissy-Maugis (61) ; Boissy-Mauvoisin (78) ; Boissy-Saint-Avoir (78) ; Boissy-sous-Saint-Yon (91)… autant de lieux qui peuvent, dans les sources écrites anciennes être notés comme Boissy. Une abondante grappe de ces toponymes existe au sud du département de l’Essonne et au nord de celui du Loiret.
Le pouillé du diocèse de Chartres indique avec certitude une église dédiée à Saint-Louis en 1738 sous le patronage de l’abbaye de Clairefontaine. Le Dom Cottineau (Laurent-Henri : 1863-1936) dans son Répertoire topo-bibliographique des abbayes et prieurés, de 1935-1938, nous indique : Boissy-le-Sec, de Boessiaco (Boissiaco) sicco, N.-D. et St-Louis, prieuré des Augustins de Claire-Fontaine, diocèse de Chartres, doyenné Rochefort, puis Brezolles, cant. la Ferté-Vidame, arrond. Dreux, Eure-et- Loir. LÉON X, 3522. — LONGNON, IV, 135, 150 ; 109, 220.
Pour ajouter à la confusion, on peut indiquer que les inventaires des Archives départementales de l’Eure-et-Loir, indique, par les archives de la fabrique, datant de 1755-1787, de la paroisse de Boissy-le-Sec (G7752 et G7753), que la paroisse était placée sous le vocable de Saint-Pierre.
De plus, ces inventaires indiquent (H1) que l’église de Boissy-le-Sec est sous le patronage de l’abbaye de Saint-Père-en-Vallée de Chartres. Est-ce le même Boissy ?
Ainsi, il est donc fort probable que l’église Saint-Louis de Boissy-le-Sec fut auparavant une église Notre-Dame (ou une église Saint-Pierre) et que le vocable de Saint-Louis est un rajout ou un remplacement comme ce fut probablement le cas à Précy dans le Cher à la suite de la canonisation du roi Louis IX. Il semble y avoir beaucoup de raisons à ce changement : l’influence de l’Histoire locale, de sa situation et de sa toponymie, l’influence de la protection de Louis VI le Gros, et de ses successeurs : Louis VII le Jeune, Philippe II Auguste, Louis VIII le Lion, et surtout Saint Louis, sans oublier leurs forêts et domaines de chasse en ces frontières de l’Île de France.
Ainsi il semble que l’église Saint-Louis de Boissy-le-Sec fut placée sous ce vocable après sa reconstruction à la fin du XIIIe siècle ou au XIVe siècle, ou lors d’une rénovation du chœur à la fin du XVe siècle ou au début du XVIe siècle, ou bien au moment de la fin des Guerres de Religion au début du XVIIe siècle. Seules des recherches approfondies en consultant les archives anciennes originales, en connaissance de cause, peut confirmer ou infirmer ces datations de l’existence d’un toponyme Saint-Louis à Boissy-le-Sec. Dans tous les cas il s’agit d’un rappel de la protection royale contre les pillages des mercenaires à la solde des marchands et des appétits voraces et désertificateurs des puissances étrangères.
Ainsi, faites vos recherches à partir des indices sans les confusions indiquées ci-dessus.
Si vous savez ou avez trouvé quelque chose à ce sujet… communiquez-le !
Quant à la véritable étymologie forestière caractéristique des lieux ?
Suivez ce lien phonétique de faune éthique : βύας
en bout, boue as, ace, assis…
Houuuuu !
en Bois scie si…
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– Dans l’Essonne (91), à Plessis-Saint-Benoît (ancien diocèse de Chartres ; actuel diocèse d’Évry Corbeil-Essonnes), dont la commune fut créée en 1884, l’église Saint-Louis est une ancienne chapelle Saint-Louis située autrefois au sein de la paroisse d’Authon-la-Plaine. Cet édifice religieux est sur la même zone géologique que celle de Boissy-le-Sec, semble de la même époque de construction bien que plus modeste. En matière de recherches historiques, des confusions pourraient provenir des autres toponymes Authon.
– Dans la Seine-et-Marne (77), à Fontainebleau (ancien diocèse de Sens ; actuel diocèse de Meaux correspondant au département), l’église Saint-Louis est une ancienne chapelle construite par l’architecte Claude Matin entre 1611 et 1614 sur la demande de la veuve d’Henri IV, la reine Marie de Médicis, alors régente et reine mère du roi Louis XIII né à Fontainebleau le 27 septembre 1601. Dédiée au saint patron de son fils, cette chapelle rattachée alors à la paroisse Saint-Pierre d’Avon sera érigée en paroisse sur la demande de Louis XIV et de la reine mère Anne d’Autriche, le 16 novembre 1661, créant la paroisse Saint-Louis de Fontainebleau et ainsi l’actuelle commune.
L’enclave d’Avon, ancienne très grande paroisse forestière sylvicole et avicole…
remplacée pour partie par Fontainebleau
Fontaine Belle eau, Ω, haut… Oh ω !
Ô me(T)s gâts…
Oh Mer du Nord… des origines franques de cette royauté…
Un des sièges de la Renaissance française… Fffffff’rance aise…
en dépendance de Sens et de l’Yonne en lionnes…
dans une courbe de la Seine pour la Cène…
Trophée romain : T + T !
D’un peu plus loin… voir d’un peu plus Loing…
avec un nécessaire recul pour en voir les rides courbées !
Une fronde de Jupiter ? à l’encontre du lieutenant de Dieu sur Terre ?
Vérifié sur Géoportail et avec mon électrosensibilité géotellurique.
Astre du jour d’il y aurait environ 22 millions d’années ?
Avec encore, en cor, en corps, plus de recul
de sang bovin et viticole ferrugineux ?
Le choc astronomique et ses ondes avec la Brie, l’abri, derrière l’ancien massif
montagneux des Ardennes… traduisibles par aise « à travers la brûlure » !
de vos ignorances crasse ! et crase !
De et sur Géoportail pour
mon portail spirituel spatio-temporel…
pour ceux qui n’auraient pas tout perdu de leur latin…
pour finalement en sortir de Cronium, Mer du Nord, en Beauce,
à É-Cronium : Écrosnes (28) ! Avec Arbogast et autres blagues belges ?
En « at » lié, atelier !
et Graal, gras halle, renversé…
…
– A Paris (75), sur l’Île de la Cité, le roi Louis XIII autorisa en 1614 le lotissement de l’Île Notre-Dame, qui réunie avec l’Île aux Vaches voisine en amont, donna l’actuelle Île Saint-Louis. En 1623 les nouveaux habitants réclamèrent la création d’une chapelle dans ce nouveau quartier parisien. Une première chapelle Notre-Dame fut donc fondée et construite en 1623. Cette chapelle fut érigée en église paroissiale la même année. Cette église fut rebaptisée Saint-Louis en 1634. Cette première église fut démolie pour être remplacée par l’église Saint-Louis actuelle bâtie entre 1664 et 1679. Ce vocable est dû au fait que le roi Saint Louis serait venu prier sur cette Île Notre-Dame et que c’est sur cette île qu’il aurait pris la croix pour la croisade en 1269 avant de mourir de la peste à Tunis.
Noyée dans le bâti karstique salpêtré au poison chinois…
et autres poudres à canons… nom des jolies parisiennes… en rupture de stock.
Pour en parcourir l’Histoire désertificatrice avec Géoportail
…
Cartographie très rosée très arrosée avec Géoportail
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– Dans la Seine-et-Marne, à Verneuil-l’Étang (77 ; partie de l’ancien diocèse de Paris enclavé dans l’ancien diocèse de Sens ; actuel diocèse de Meaux), l’église Saint-Louis de l’Étang, paroisse dite l’Étang-de-Vernouillet, dont la commune a été fusionnée avec celle de Verneuil en 1839, fut bâtie et érigée en cure paroissiale, en distraction de la paroisse d’Andrezel, en 1667, sous le règne de Louis XIV, par Louis Longuet, seigneur de Vernouillet, Conseiller du Roi en ses Conseils, trésorier de l’extraordinaire des guerres et cavalerie légère de France, grand audiencier de France, marguillier d’honneur de la paroisse St-Jean-en-Grève de Paris (voir : Geneanet). Ce cas est historiquement intéressant pour des périodes beaucoup plus anciennes que la seconde moitié du XVIIe siècle, car il s’agit de découpage de circonscriptions ecclésiastiques. On perçoit par exemple que Précy dans le Cher, qui n’était pas paroisse, devait sans doute dépendre primitivement de Jussy-le-Chaudrier, au regard de la cartographie des limites territoriales et appartenait sans doute auparavant à la paroisse de Garigny. La paroisse fondée par Louis Longuet, Saint-Louis de l’Étang, fut extraite d’Andrezel, elle-même distraite de Champeaux, comme le fut les paroisses de Saint-Mery, de la Chapelle(-Gauthier) et de Fouju. Ces anciennes paroisses formaient une grande circonscription ecclésiastique dépendant du diocèse de Paris, mais enclavée dans l’ancien diocèse de Sens. Il faut lire à ce sujet les pages 483 et suivantes, et la page 506, de L. MICHELIN : Essais historiques et statistiques sur le département de Seine-et-Marne, 2ème livraison (A Melun, A. C. Michelin, imprimeurs de la préfecture, à Paris, chez Dumoulins, libraire, quai des Augustins, 13) ; Notices historiques sur les villes, bourgs, villages, hameaux, etc. du département. – Leurs monumens. suite du chapitre XVI, arrondissement de Melun, excellent ouvrage de 1841, qui donne des détails très intéressants sur cette église et paroisse disparues.
Extrait : « L’ETANG, alias L’Etang de Vernouillet, étoit autrefois paroisse du doyenné de Champeaux ; Vernouillet étoit un chateau seigneurial sur la paroisse d’Andrezel, accompagné d’un étang à côté duquel étoient aussi des habitans qui reconnoissoient la même paroisse. Louis Longuet, grand audiencier de France, étoit seigneur de tout ce terrain en 1667. Il représenta alors, de concert avec les habitans d’auprès de L’Etang, ses voisins et vassaux, à M. Pérefixe, archevêque de Paris, la difficulté qu’il y avoit de se rendre à Andrezel par les mauvais temps, et qu’il seroit bon d’ériger une paroisse proche L’Etang, s’offrant de la faire construire, ainsi que le presbytère, demandant seulement que la cure qu’il étoit prêt de doter, fût à sa nomination, et que l’église fût sous le titre de Saint- Louis. Sa requête ayant été entérinée le 12 mai, dès la même année, au mois d’août, l’église se trouva achevée, et fut bénite le même jour de Saint- Louis (le 25 août 1667), sous l’invocation de ce même Saint, avec des fonts baptismaux et un cimetière ; elle est actuellement détruite. Il n’est pas besoin de faire observer que cette église ne fut pas un bâtiment considérable ; mais il subsistoit pour huit ou dix feux qu’il y a en ce lieu, comprise une ferme qui est au midi de l’église. Ce n’est qu’une espèce de chapelle sans ailes, et sans autres voûtes qu’un lambris. Aux vitres du fond sont ces lettres initiales L. L. qui signifient le nom du fondateur. On y voit dans le chœur plusieurs épitaphes à droite et à gauche, toutes de MM. Longuet. Les plus vieilles sont de l’an 1670. On a marqué dans une qui est à droite, qu’elle est du sieur Longuet, qui gagna la mort à la chasse de Saint- Hubert, l’an 1623, et mourut le 4 novembre. Les armes de Longuet étoient trois têtes de lion. Le curé recevoit cent écus du seigneur, qui d’ailleurs indemnisoit le curé d’Andrezel. » (à relire par exemple à l’Université de Columbia de l’État de New-York avec ce lien… pages 483 et suivantes, et page 506).
Mais à qui profite le crime ?
Il est à noter que Verneuil-l’Étang est par son toponyme, vraiment d’actualité en cette fin du premier quart du XXIe siècle, car il se trouve au bout de l’influence du vent secouant d’ouest allant sur la vallée très méandreuse de l’Yerre (dépression, compression, dépression, compression, etc.), endroit qui en toponymie porte souvent le nom de Folie (voir mon étude à ce sujet et les illustrations cartographiques) par son pouvoir dangereux de compostage et de fermentation des feuilles et d’excitation de certaines humeurs humaines. Verneuil et Vernouillet faisant références à des aulnes de berges, c’est-à-dire en sylviculture, à la meilleure mise à la terre possible contre les méfaits du hertzien vibrant, secouant, et de ses radios-activités.
Quant à l’apocalypse, selon son sens étymologique, pour ceux qui n’aurait pas trop perdu de la langue gauloise en alphabet grec, il est à Crosne (91 ; Essonne), Cronium, en mer glacial, la Mer du Nord… en aval de Verneuil-l’Étang et de Yerre (91), pour ceux qui n’en auraient pas tout à fait perdu leur latin, en confluence avec la Seine et la Cène, là où les eaux de l’Étang du ruisseau d’Avon et son aviculture, assainit un peu celles de l’immonde égout putride et fécale de Paris. Est-ce ON ?! L’église actuelle de Verneuil-l’Étang, reconstruite au XIXe siècle, est consacrée à Notre-Dame-de-l’Assomption. Je ne sais pas si c’est un trait d’humour… franc.
A apprécier les pieds un peu dans l’eau, dans l’Ω, ω, par J. C. et Saint Louis…
et pour en récolter quelques sangsues pour quelques assainissements
que fit le Roi-Soleil… selon sa cartographie héritée
par Géoportail
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Sans parler du remuement des grandes boucles un peu marine de la Seine, et de la Cène…
sachez qu’en mai, juin, le sens général du vent au Printemps suit l’Yerre
et ça doit bien puer, et, on sait pourquoi…
sur Géoportail
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– Dans Paris (75), sur le front de Seine, rive gauche, la cathédrale Saint-Louis du diocèse des Armées françaises, fut la volonté du Roi-Soleil Louis XIV qui confia la réalisation d’une église au sein de la cour de l’Hôtel des Invalides à Jules Hardouin-Mansart en 1676. L’église fut consacrée en 1679. Le monument est connu de tous, même si vous le découvrez à travers ce paragraphe.
Près de l’ancien village du Gros Caillou qui évoque une amarre pour assainir la Seine,
voire un jeu de paume préhistorique, un séchoir, un fouloir, bref…
un menhir du néolithique
sur Géoportail
pour que les ours puissent s’y gratter…
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Il en amena bien d’autres « biens », très bi Huns, cette caillasse…
et bien d’autres caille-AS ! bien invalides pour en arriver là
ainsi cartographié(e)s et planifié(e)s sur Géoportail
selon la volonté de Louis XIV lui-même.
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– Dans la Seine-et-Marne (77), à Boissettes (ancien diocèse de Sens ; actuel diocèse de Meaux correspondant au département), dans une petite commune forestière et fluviale rongée par la banlieue péri-urbaine de la ville de Melun, en aval de celle-ci, l’église Saint-Louis, consacrée le 17 avril 1738 et dont la première pierre fut posée en 1682, fut le siège d’une paroisse nouvelle créée par l’archevêque de Sens en 1673 sur la demande des habitants en détachement de celle de Boissise-la-Bertrand, elle-même autrefois détachée de la paroisse de Saint-Leu (voir un bon exposé tiré d’une monographie rigoureuse rédigée par l’instituteur pour l’exposition universelle de 1889 sur le site de la mairie). Il est à noter d’un point de vue toponymique lié au choix de ce vocable que Boissettes est en amont de Boissise-le-Roi et en face de Dammarie-les-Lys dont le nom provient de l’abbaye de Notre-Dame du Lys fondée par Blanche de Castille et Saint Louis vers 1244-1248… sans évoquer Vert-Saint-Denis au nord… Superstition ou multiplication d’un pense-bête en panse bête ?
Les ruines de l’abbaye des Lys sont exceptionnelles pour étudier le style Saint-Louis de l’art français du milieu du XIIIe siècle, rebaptisé improprement gothique au XIXe siècle. Pour se rendre compte de cette usurpation des Hidalgos et autres marranes esclavagistes tortionnaires cannibales espagnols, il suffit d’étudier le très médiocre art architectural wisigothique prétendument ibérique… sans parler de l’exécrable gestion et massacre de leurs esclaves… voire de leurs enclaves amérindiennes… belge du Saint-Empire « romain » germanique.
Très LUDO VICUS ! à réviser notablement avec Géoportail.
L’édifice manque un peu des ors de la Banque de France… en garantie
à observer et à ré-observer religieusement en suite à la Contre Réforme.
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– Dans les Yvelines (78), à Saint-Cyr-l’École (ancien diocèse de Paris ; actuel diocèse de Versailles, de Seine-et-Oise, évêché érigé en 1790, puis de nouveau en 1801), Louis XIV créa en 1686 sur la demande de Madame de Maintenon, pour l’enseignement des jeunes filles de familles nobles pauvres, la Maison royale de Saint-Louis, un pensionnat pour jeunes filles. Pour une juste et bonne réflexion à ce sujet, il est bon de savoir qui étaient saint Cyr et sa mère sainte Julitte, et où est situé le bourg de Saint-Cyr-l’École, autrefois simplement Saint-Cyr, situé entre, au nord, le val de Gally, une grande zone humide drainée par ce ruisseau, un rû affluent de la Mauldre, et, au sud, la zone humide de naissance de la vallée de la Bièvre sur Guyancourt… Je vous reporte sur mon abondante étude des Saint-Cyr et surtout sur mon étude de Saint-Cyr-en-Bourg (49 ; Maine-et-Loire) très édifiante et édifiée sur ce blog (LIENS !). La terminaison du nom de la commune de Saint-Cyr-l’École provient de l’école militaire qui fut installée dans cette Maison royale de Saint-Louis en 1802 par Napoléon-Bonaparte.
– Dans les Yvelines (78), au Château de Versailles (ancien diocèse de Paris ; actuel diocèse de Versailles, de Seine-et-Oise, évêché érigé en 1790, puis de nouveau en 1801), Louis XIV y fit construire, à la suite d’un petit oratoire de l’ancien château, relais de chasse de son père Louis XIII (peut-être dédié déjà à Saint Louis) la chapelle Saint-Louis de cet incroyable château du nom de son saint patron et du saint patron de son père, par Jules Hardouin-Mansart, de 1687 à 1710. Cela se visite, même au Japon… en alphabet romain, s’il vous plaît ! et non en QR Code de 1994 et autres âneries commerciales des Indes orientales amérindiennes… Et, cela se visite, en l’honneur et mémoires de Saint-Cyr-l’École, voisine, et de Saint-Cyr-en-Bourg (49), avec un fort QI très réhaussé par votre serviteur historien de milieu rural déguisé en maître d’école, fils de maître des cols déguisé en maître d’œuvre, et petit-fils de votre Tiers État de bouche, déguisé en boucher d’Herbault et de Trôo et de paysans de la Guillaumière de Françay (41) ou de la bergerie de Monchaut (Verdes ; 41). Verse m’en… un coing… un caux… en verse aïe, ails… des ours en marais, sous bois et prairies humides… Question de santé !
Plein les yeux… de l’arme…
A apprécier en grand, avec le descendant de la volonté royale
sur Géoportail
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– Dans les Yvelines, à Versailles (78 ; ancien diocèse de Paris ; actuel diocèse de Versailles, de Seine-et-Oise, évêché érigé en 1790, puis de nouveau en 1801), à l’ouest-sud-ouest de Paris, près de Guyancourt et de la source de la Bièvre, à la suite des grands travaux de Louis XIV, roi Soleil, qui nous offrira Versailles sous un jour nouveau, l’église Saint-Louis, qui devint la cathédrale Saint-Louis, située au sud-est du château, fut construite sur ordre du roi Louis XV de 1743 à 1754 par Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne (Sagonne est un petit village pittoresque du Cher). L’ancienne paroisse de Versailles était sous le vocable de Saint-Julien de Brioude, toponyme rappelant l’autorité romaine (comme l’église Saint-Julien de Jussy-le-Chaudrier, près de l’église Saint-Louis de Précy). Cette ancienne église paroissiale fut démolie en 1681, sous Louis XIV, pour faire place aux Grands Communs du château. Elle fut reconstruite sur ordre du roi, en 1684-1686, par Jules Hardouin-Mansart, dans la ville neuve, pour devenir la paroisse Notre-Dame de cette ville, où furent enregistrés dans ses registres paroissiaux les actes de naissance, de mariage et de décès de la famille royale.
A apprécier en larmes des gouttes des Grandes Eaux
descendant de la volonté royale
sur Géoportail
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Et à voir comme l’eau, l’Ω, ω, qui dort… méga, mes gâts, mes gars…
en remarquant que les enfants, comme l’or de Louis XIV,
font le soleil jaune sur pas pillés blancs et
sur Géoportail
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– Dans le Val-de-Marne, à l’ouest de Créteil, au sud-est de Paris, à Choisy-le-Roi (94 ; ancien diocèse de Paris ; actuel diocèse de Créteil couvrant le département), l’église Saint-Louis-et-Saint-Nicolas, eut un statut de cathédrale de 1966 à 1987. Auparavant église paroissiale, cet édifice trouve son origine dans le choix en 1739 de Louis XV de faire de Choisy-sur-Seine, en en rachetant le château, un domaine de chasse en rapport avec la Forêt de Sénart située plus au sud entre la Seine et l’Yerre. Il y planifia l’extension de l’ancien village qui possédait une église Saint-Nicolas, dont la date exacte de fondation nous est connue, ce qui est rare. C’est une ancienne chapelle fondée et construite par l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés en 1207 et qui fut érigée en église paroissiale en 1224. Ce choix de saint Nicolas comme saint patron provient notamment de la présence sur la Seine en cet endroit d’un bac mentionné dès la fin du XIIIe siècle. Cette terre dépendait de la seigneurie de Thiais et Choisy-sur-Seine, qui prit le nom de Choisy-le-Roi par les travaux de Louis XV, n’était qu’à l’origine un village des bords de Seine. Louis XV confia la construction de la nouvelle église en 1746 à Ange-Jacques Gabriel, et la première pierre fut posée en 1748. L’ancienne église Saint-Nicolas fut démolie en 1759 et la nouvelle église Saint-Louis-et-Saint-Nicolas fut consacrée en 1760. Le premier pont sur la Seine en ce lieu fut bâti par le roi en 1750.
C’est moins loin que Fontainebleau… mais c’est un peu choisi pour prendre l’air ?
Il est à noter que le hameau de l’autre côté de la Seine portait le nom de la Folie.
Ce nom incompris désigne un phénomène naturel venteux et végétal.
Une escapade en pleine nature sylvicultrice ?
pour honorer un charpentier…
à planifier avec Géoportail
Oups !
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Un faucon pèlerin pour la chasse : ékékékékéké ? O(u)ps ! Khéops ? 666 ?
SEX SEX SEX, VI VI VI, vis vie vis, à en perdre son latin…
Un NOM d’homme ? Un « non ! » d’heaume ?
Une pyramide de rendez-vous de chasse ?
à trouver avec Géoportail
Hom(m)e ?!
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– Dans les Yvelines, au Port-Marly (78), au sud d’une boucle de la Seine, non loin de Saint-Germain-en-Laye, entre Paris et ce château, sur la route de la Normandie, Louis XVI y érigea, dans ce virage avec vue imprenable sur la Seine (la Cène ?), en 1778, une chapelle dédiée à Saint Louis, chapelle qui fut érigée en église paroissiale en 1785 sur la demande des habitants de ce port de débardage, notamment de billes de bois pour les charpentiers de Paris. Les habitants de cette paroisse se sont servis de cette érection, due à Louis XVI, pour réclamer leur propre commune et municipalité, en 1790, en détachement de celle Marly, commune actuellement voisine. Cette église se situe dans un petit vallon abrupt, un ru broussailleux et épineux, face aux terres maraîchères et aux prés humides de la paroisse de Croissy dont le bourg est en amont, et dont les lieux ne peuvent qu’évoquer, pour le roi et bien d’autres, les reliques de la Sainte-Croix et celles de la Sainte Couronne d’épines, et sa place inchoisie, en rappel de son grand-père Louis XV qui fonda le village et l’église Saint-Louis de Choisy, dit Choisy-le-Roi. Choisis ! Le « h » se prononçant « r » craché chez certains espèces… qui tuent leur main d’œuvre d’esclaves après que l’œuvre est faite. Cela fut-il le cas pour le bon roi Louis XVI ? Crois-y ! Sachant que le Port-Marly, avec un peu de latin, se comprend « pour grand lie »… ce qui se voit de là. Alphabétisé comme Louis XVI ? Lettré autant que lui ? que Loys ? que l’huis ? Pense-bête ? Panse Bête ? Post(e) it ! « it » étant une référence à l’Italie, mais surtout à ses osiers, aux roseaux, aux berceaux, aux cercueils, aux burning-men des druides gaulois décrits dans la Guerre des Gaules de Jules César, dont Louis XVI fut enseigné et non vous, comme tout le monde aujourd’hui, abruti au hertzien anglo-saxon ou à la terreur sidérante de leur java des bombes atomiques, et autres atrocités… Le Port-Marly est en face des sables limoneux de la Seine qui servent à se laver les mains des gras en le mélangeant au savon noir, sables qui s’appellent en toponymie commune : Varennes !
Louis XVI a dû bien en subir des jeux de maux, de mots… criés au Port-Marly…
selon les cartes de Cassini que Louis XVI a ordonné de par l’Académie des Sciences
pour bien comprendre et mieux entendre… en fin, en faim, enfin ? Un conscient !
Il paraîtrait, selon les barbares, et leurs commerciaux, que ce serait inconscient…
Pour aller prendre l’air hors de la puanteur parisienne de la fin du XVIIIe siècle
un peu moins secoué en Folie toponymique…
et de la route, il fallait y monter…
Vérifiable sur Géoportail
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Ils sont bien nombreux, mais pas un ne fera l’effort de comprendre et de s’en instruire.
Ce que j’ai documenté toute ma vie d’historien… et de maître d’école.
Vérifiable sur Géoportail
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– Dans la Seine-Saint-Denis, à Villemomble (93 ; ancien diocèse de Paris ; actuel diocèse de Saint-Denis), à l’est-nord-est de Paris, à l’est de Bondy, en banlieue est parisienne, on peut constater, après quelques recherches, que l’église Saint-Louis actuelle, connue pour son haut et élancé clocher exceptionnel rajouté en 1926, a été construite en 1901 et que la dédicace de la paroisse à Saint Louis date de cette époque. L’ancienne église paroissiale, dédiée à Saint-Genès, martyr d’Arles, qui pourrait faire penser à quelques voyages, voire pèlerinages dans le midi (mauvais idée supprimée pour faire suer les masses ouvrières bolcheviques en devenir après la Commune depuis les années 1850) et dont le culte est attesté là depuis le VIIe siècle, était un édifice de la seconde moitié du XVIIe siècle qui remplaça l’ancien édifice détruit en 1660 pour être remplacée par une nouvelle église en 1699, sous Louis XIV. L’ancienne église Saint-Genès fut désaffectée en 1901, détruite et remplacée par des habitations à bon marché en 1935 pour les femmes des masses ouvrières. Cette église est à placer dans la perspective de la publicité faite par les marchands de canons pour le patriotisme au début XXe siècle, dont a fait partie la canonisation de sainte Jeanne d’Arc, en préparation des grands massacres de la Grande Guerre de 1914-1918, sous excitation constante et sous bombardement électromagnétique hertzien américain, anglais, etc., dont les courants culturels un peu fous de l’époque et les musiques de jazz des 78 tours sont des rappels effrayants, avec leurs trémolos… agitateurs, hypnotiseurs, sidérants et terroristes, bombardements spirituels et temporels pour les spéculations sur les produits et sur les mains d’œuvre d’esclaves, en continuation de la Guerre de Sécession aux USA, secouement séchant plus vite les bétons des buildings naissants. Rappelons dans ce mouvement, que la Tour Eiffel avant d’être aussi transformée en poison hertzien, était un élément de mise à la terre, en cathode, pour l’exposition universelle de 1889 des matériels électriques et mécaniques harmonisés au Hertzien avec l’enthousiasme sidéré de la population. Magicien ? La raison de cette église Saint-Louis à Villemomble est donc multiple, mais elle doit sa présence là aux lignes de chemins de fer de la Gare de l’Est à Paris et à leurs entrepreneurs privés (donc Protestants d’un point de vue religieux). Traitres internationaux avec la fleur au fusil pour les rentes ou sales airs des petites des chambres de « bonnes » des immeubles haussmanniens ? We can do it ?! Oui, Khan doux hit !
Au monoxyde de carbone, la réflexion est un peu moins bonne… surtout à poêles !
dans les écoles prussiennes post 1870 des hussards noirs de la IIIe République…
Paris et sa banlieue est dans la première moitié du XIXe siècle
Vérifiable sur Géoportail
Paris serait-elle une ogre ? Pas rient, parient Paris !
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Paris et sa banlieue est en 2024. Ça pousse, ça pousse… en anthropophages
de maraîchers et de paysans de la Brie… et pas que… ?
Vérifiable sur Géoportail et sur place…
La grande taille du clocher de 1926 de Villemomble rappelle qu’il fut séché
à la radio-activité secouante et qu’il s’en écroulera sans doute un jour
par excès aux précédents excès…
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Les églises et chapelles Saint-Louis
en Région Centre Val de Loire
et aux environs
et les toponymes
Les églises Saint-Louis sont peu nombreuses sauf dans la partie est du Loiret. Le Pouillé du diocèse de Chartres de 1738 nous indiquent des chapelles Saint-Louis à Authon-en-Beauce (voir ci-dessus), à Mante, à Poissy (voir ci-dessus), à Santeuil (sans doute par erreur), dans l’hôpital des orphelins sur la paroisse de Saint-Hilaire. Les inventaires des Archives départementales d’Eure-et-Loir signalent une chapelle Saint-Louis en 1396 (G131) gérée par le chapitre cathédrale.
– Dans le Cher (18), à Précy (diocèse de Bourges), l’église Saint-Louis semble avoir été liée aux Louis de Sancerre, comte de Sancerre. et semble dater de la fin du XIIIe siècle ou du début du XIVe siècle. J’ai fait une étude d’inventaire de son histoire architecturale en 1991 que je viens de mettre en ligne (voir aussi mon site internet de services). J’ai profité de cette mise en ligne pour faire le point sur les confusions possibles historiques, géographiques, juridiques, etc., que l’on peut rencontrer à redécouvrir ce patrimoine rural :
Précis de Précy (18) contre les confus ions+- des confusions
Apprécie la richesse spirituelle et temporelle des lieux à Précy
pour un entraînement cognitif, culturel et pertinemment rural
forgé comme une piqûre de rappel, non inutile celle-ci…
Photo Nicolas Huron
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– Dans le Cher (18), outre la rue Saint-Louis à Précy, il existe aussi d’autres toponymes Saint-Louis : le Canal Saint-Louis, du nom de l’un des fils de Pierre Boigues, fondateur de l’empire sidérurgique présent sur les deux rives de la Loire, canal construit entre 1834 et 1838 pour relier la fonderie de Torteron au canal de Berry ; deux lieux-dits Saint-Louis récents, l’un à l’ouest de Torteron, sur la commune de Saint-Hilaire-de-Gondilly, et l’autre sur Sury-en-Vaux ; les rues Saint-Louis à Mehun-sur-Yèvre, Sancoins, Torteron ; le Cours Saint-Louis, à Bourges, auprès de la rue Geoffroy Tory, et, l’impasse Saint-Louis à Bourges, dans l’ancien quartier du palais du duc de Berry. Nous devons signaler également la mention d’un paroisse Saint-Louis à Vierzon, dans des documents judiciaires datés de 1722-1724, concernant un certain « Ambroise Barbin, de Fontainebleau, demeurant à Vierzon, paroisse Saint-Louis », et conservés aux Archives départementales du Cher (B3007) ; peut-être une fausse déclaration ou une erreur ?
– Dans l’Eure (27), à Évreux (diocèse d’Évreux), Philippe IV le Bel fit construire dès 1299 l’Hôpital Saint-Louis, édifice aujourd’hui disparu et rappelé par les bâtiments de l’ancien hôpital de 1971 et par la rue Saint-Louis de cette ville. Cet hôpital était tenu par un couvent de frères prêcheurs, des Dominicains, d’où son appellation de couvent dominicain Saint-Louis ou autre. L’église du lieu était autrefois dédiée à Saint-Pierre-et-Saint-Paul et fut rebaptisée après la fondation de l’hôpital.
– Dans l’Eure (27), à la Saussaye (diocèse d’Évreux), la collégiale Saint-Louis est pertinente à signaler car sa construction est datée précisément à 1307-1317 et que nous connaissons son fondateur, Guillaume d’Harcourt (+ 1327), baron d’Elbeuf, conseiller du roi, grand maître d’hôtel et grand-queux de France. Pour l’étude du style architectural du début du XIVe siècle, temps des débuts du culte à Saint-Louis, c’est un exemple et un témoignage important.
– Dans l’Eure-et-Loir (28), à Dreux (diocèse de Chartres), la chapelle royale Saint-Louis fut commandée en 1816, par Marie-Adélaïde de Bourbon, duchesse d’Orléans (voir le très complet article de l’encyclopédie anglo-saxonne Wikipedia sur ce monument aux Orléans) pour être le lieu de sépulture des membres de sa famille. Cette chapelle fut agrandie par Louis-Philippe, roi des Français, en 1839, et reçut les reliques des restes des ancêtres de sa famille le 23 avril 1844. Elle est surnommée le « Saint-Denis des Orléans ».
– Dans l’Eure-et-Loir (28), il existe un lieu-dit Saint-Louis récent sur la commune de Méréglise et des parcelles portant le nom de La Chapelle Saint-Louis, sans doute en rapport avec une dotation d’une chapelle Saint-Louis mentionnée dans le pouillé du diocèse de Chartres de 1738, chapelle peut-être présente dans la cathédrale elle-même avant la Révolution. Aux Archives départementales d’Eure-et-Loir, on trouve un plan datant de 1777 du domaine nommé La Chapelle Saint-Louis faisant référence à un terrain agricole et non à un édifice religieux (G677). L’enquête reste à faire…
– Dans l’Indre (36), nous n’avons pas trouvé d’édifice religieux dédiés à Saint Louis. Il existe cependant quelques toponymes : la rue Saint-Louis à Issoudun, minuscule rue située entre la rue du Puits à Cognet et le boulevard Stalingrad (Issoudun est une ville socialiste, ceci expliquant cela… un vrai coupe-gorge ?) ; la rue de la Vallée Saint-Louis à Châteauroux installée dans un ancien petit vallon qui portait peut-être ce nom avant d’être loti ; deux lieux-dits : Saint-Louis sur la commune de Neuvy-Saint-Sépulchre, et Saint-Louis sur la commune de Prissac qui ne figurent que sur les cartes récentes (seconde moitié du XXe siècle).
– Dans l’Indre-et-Loire (37), à Champigny-sur-Veude (diocèse de Tours), dont j’ai étudié l’église paroissiale de Notre-Dame-la-Grande, un descendant de Saint Louis, Louis de Bourbon, prince de la Roche-sur-Yon, fit construire, entre 1499 et 1558, une sainte chapelle dédiée à Saint-Louis en même temps que son château. C’est une des sept chapelles subsistantes construites sur les dix en hommage au saint roi (dont Vincennes, Bourges, Châteaudun, Riom…). Cet édifice qui échappa de peu aux démolitions de Richelieu, est un véritable joyau de la Renaissance. Cette fondation fut gratifiée de revenus suffisants pour l’entretien d’un chapitre collégial du même nom.
– Dans l’Indre-et-Loire (37), à Tours (diocèse de Tours), existait le Couvent Saint-Louis-des-Feuillants fondé par Louis XIII en 1620 dont l’église fut consacrée en 1639. Il était situé à Tours, rue Jules Simon, côté est, près la place de l’Archevêché.
– Dans l’Indre-et-Loire (37), il existe quelques toponymes Saint-Louis : la rue Saint-Louis à Bléré ; un lieu-dit Saint-Louis à Azay-sur-Cher, habitat lié aux parcelles agricoles portant le nom un peu humoristique des Pièces de Saint-Louis proches du prieuré de Saint-Jean-du-Grais ; la Croix de Saint-Louis sur la commune de Panzoult.
– Dans le Loir-et-Cher (41), à Blois (ancien diocèse de Chartres, puis diocèse de Blois à partir de 1697), l’église Saint-Vincent-de-Paul, en contrebas face à l’aile nord François Ier du château, était autrefois la chapelle d’un collège fondé par Henri III en 1591 et cédé à la Société des pères Jésuites par Louis XIII en 1622. Cette grande chapelle fut bâtie entre 1634 et 1671. La chapelle passa sous le vocable de Saint-Vincent-de-Paul en 1826 et devint église paroissiale en 1847. Pour avoir vécu enfant dans ce quartier, j’ai pu constater que c’était un repère de pédophiles à cause des pissotières utilisées par des sodomites sous les escaliers montant à l’avenue Anne de Bretagne. L’un a même essayé de me kidnapper rue Porte Côté. Une vil(l)e socialiste… Et la police ? Les taons changent… et Saint-Louis a fait son œuvre d’appât pour le « petit peuple »… encore une foi(s).
La chapelle auprès de mon école élémentaire… C’est dire !
Une vraie boîte aux lettres baroque auprès de la Poste centrale de style stalinien…
Venez visiter pour vous en rendre comptes, comte, et contes… qu’honteux qu’on te…
Photo Nicolas Huron
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– Dans le Loir-et-Cher (41), à Blois (ancien diocèse de Chartres, puis diocèse de Blois à partir de 1697), la création du diocèse de Blois lors du 400ème anniversaire de la commémoration de la canonisation de Saint-Louis, entraîna le changement de vocable de l’église paroissiale de Saint-Solenne, en cathédrale Saint-Louis en 1697. Ce lieu de culte était autrefois dédié à saint Pierre avant son changement de vocable en Saint-Solenne par la conservation des reliques de cet évêque de Chartres qui aurait catéchisé Clovis. La reconstruction partielle de l’église Saint-Solenne à la suite d’un ouragan avant la création du diocèse de Blois est bien renseignée. La création du diocèse et la dédicace à Saint-Louis sont essentiellement dues aux bienfaits de Louis XIV et aux origines blésoises de l’épouse de son ministre Colbert.
De Saint-Pierre à Saint-Solenne à Saint-Louis… cathédrale !
Du style roman cauchemardesque jusqu’au Roi Soleil en passant par la Renaissance…
L’abri anti-atomique est juste à gauche, ou en sous-sol crypté…
Venez visiter pour vous en rendre comptes, comte, et contes… qu’honteux qu’on te…
Photo Nicolas Huron
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– Dans le Loir-et-Cher (41), à Chambord (ancienne paroisse de Huisseau-sur-Cosson, de l’ancien diocèse de Chartres ; actuel diocèse de Blois créé en 1697), lieu connu mondialement pour son célèbre château Renaissance construit principalement par François Ier, le parc, entouré de son mur de réserve de chasse, fut érigé en paroisse en 1666 (seule commune de France sans propriété privée) et une église Saint-Louis fut alors bâtie auprès et au sud-ouest du château. Une cabale ? Un appât ? Oui, la Sologne est cynégétique jusqu’à ce poing là !
Là, on voit la chapelle du château, au premier plan architectural mais
pour l’église paroissiale Saint-Louis, là, il faut prendre la première à droite, adroite…
La lanterne de Chambord se voit comme l’Étoile du matin
de la terrasse du château de Blois
car veines nues se… vit de blue aaah !
Vénus
Vaine US
Voyez-la et essayez-la
pour en faire du boudin bien ferrugineux…
Saint Louis en cors, en corps, encore, snipper ! pour le carnage et le massacre…
par les battues aux porcs… avec des chiens et autres espèces invasives d’Asie…
et pour la noble chasse à courre, à cours, à cour, aux cerfs,
aux serres, aux serfs, hausse air(e)s, et autres serviteurs
des serviteurs de Dieu le Père et du dieu Auguste César,
pour la préservation de ma sylviculture…
contre la lèpre désertificatrice des nomades cannibales…
L’Histoire des édifices chrétiens catholiques romains de Loir-et-Cher est bien renseignée notamment à partir de l’ouvrage d’inventaire complet et remarquable du docteur Frédéric Lesueur, Les églises de Loir-et-Cher (Paris, éditions A. et J. Picard, 1969). Ses recherches ont apporté de nombreux progrès dans les datations des monuments, progrès qui n’ont pas encore été digérés et acceptés par les départements voisins. Alors imaginez à Paris où Paris parie par riz…
Un exemple à suivre transmis par mes parents…
– Dans le Loir-et-Cher (41), à Arville,(ancien diocèse de Chartres ; actuel diocèse de Blois créé en 1697), l’église Notre-Dame-Saint-Louis, datant du XIIe siècle, est l’ancienne chapelle de la commanderie templière devenue église paroissiale. Les inventaires des Archives départementales de Loir-et-Cher indique pour une affaire datant de 1729 que l’église, autrefois dédiée à Notre-Dame, fut placée sous le vocable de Saint-Louis (G923). J’ai participé à la restauration du site et j’ai fais des expositions dans cette église où en matière de recherches beaucoup reste encore à faire pour y desceller l’œuvre politique de Philippe IV le Bel.
– Dans le Loir-et-Cher (41), on peut signaler aussi un lieu dit Saint-Louis non loin d’Arville sur l’ancienne commune de Saint-Avit (actuelle commune de Couëtron-au-Perche), un autre sur la commune de Millançay, en Sologne, au nord de Romorantin-Lanthenay, un autre à Chambon-sur-Cisse (nom révolutionnaire socialiste actuel : Valencisse…), une rue Saint-Louis à la Chapelle-Vendômoise, ainsi que le Pont Saint-Louis sur la commune de Thoury en limite du parc de Chambord, sans oublier les toponymes liés à Blois à la cathédrale, la place Saint-Louis et les Degrés (escaliers) Saint-Louis…
– Dans le Loiret (45) à la Chapelle-Saint-Sépulcre (ancien diocèse de Sens, actuel diocèse d’Orléans), à propos de l’église Saint-Louis, il est raconté que « de retour de croisade, le roi (Louis IX) se serait arrêté afin de faire boire son cheval près d’une source dédiée à saint Marcoul et objet d’un pèlerinage très fréquenté. Mû par une impulsion soudaine, il aurait lancé sa hache au loin, puis décidé la construction d’une chapelle à l’endroit de sa chute. Si la réalité historique de cet épisode est sujette à caution, l’église qui en serait le fruit a néanmoins longtemps possédé une relique de saint Louis et un os du chef de saint Marcoul, qui fut abbé de Nanteuil au VIe siècle. Tous deux sont d’ailleurs représentés dans la statuaire, classée au titre des monuments historiques, qui subsiste dans l’édifice. » (voir cette référence). On doit signaler ici qu’il est extrêmement difficile de faire une enquête historique et géographique dans le Loiret car les Archives départementales ont été quasiment totalement détruites lors des bombardements de 1940. On connaît les coupables et on en attend, depuis les siècles des siècles, indemnités. Alors avec les Huns… et autres Indo-chinois et leurs chimères nouvellement venus…
– Dans le Loiret (45), à Corquilleroy (ancien diocèse de Sens ; actuel diocèse d’Orléans), dans la banlieue nord de Montargis qui pousse qui pousse, il existe une petite chapelle Saint-Louis, au milieu d’un ancien carrefour triangulaire typiquement rural, qui a la réputation d’avoir été fondée au XIVe siècle, au temps de Philippe IV le Bel. C’est un édifice reconstruit en 1863 et récemment restauré. On peut consulter le site de la mairie pour plus de renseignements. Pour ce qui est des périodes médiévale et moderne, l’enquête sera certainement difficile et les trouvailles dues au hasard d’un large ratissage lors de recherches autres. On peut noter l’attraction de la syllabe finale -roy sur le choix du vocable de cette chapelle, syllabe supprimée et remplacée ridiculement par « libre » par les terroristes révolutionnaires pendant la Terreur de la Révolution française.
– Dans le Loiret (45), à Batilly-en-Puisaye (nommé Batilly jusqu’en 1919 ; ancien diocèse d’Auxerre ; actuel diocèse d’Orléans), l’église Saint-Louis fut reconstruite en 1869. L’édifice précédent avait la réputation de dater du XIIIe siècle. Cela en fait un cas un peu similaire à l’église Saint-Louis de Précy dans le Cher. Le bourg de Batilly, dont le nom semble attractif pour le vocable de Saint-Louis, est situé entre la Loire et un important massif forestier, et était situé autrefois dans le diocèse d’Auxerre, non loin de la frontière avec le diocèse de Bourges, limité là par la Loire, et non loin de la frontière avec le diocèse de Sens. L’enquête reste donc à faire, avec les sources des archives subsistantes, en en évitant les confusions possibles indiquées dans mon article dédiée. A propos de confusions, voyez pas exemple ce lien, ou celui-là, voire celui-ci…
– Dans le Loiret (45), à la Cour-Marigny (ancien diocèse de Sens ; actuel diocèse du Loiret), au nord de la forêt servant de frontière avec les anciens diocèses d’Orléans (Bray-en-Val, les Bordes, Ouzouer-sur-Loire, Dampierre) et de Sens (Nevoy, Gien…), l’église Saint-Louis, qui portait autrefois le vocable de Saint-Marc et qui dépendait de l’abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire jusqu’en 1631, est un édifice de refuge dont l’architecture de la nef atteste le XIIe siècle et celle du chœur, le XIIIe siècle. Elle fut restaurée et placée sous le vocable de Saint-Louis et de Saint-Marc en 1525. Des sculptures du XVIIe siècle représentant Saint Louis et saint Marc attestent que cette église portait sans doute déjà ce vocable à cette époque. L’enquête sur les circonstances du changement de vocable reste à référencer. Voici un article pour commencer l’enquête.
– Dans le Loiret (45), à Gien (ancien diocèse d’Auxerre ; actuel diocèse d’Orléans), l’église Saint-Louis de Gien fut construite à partir de 1688, auprès et au sud du pont de la ville, pour remplacer l’ancienne église Saint-Pierre de Gien-le-Vieux, et fut consacrée en 1693 (pour plus de détails voir cet article d’Histoire locale). L’édifice fut détruit par les bombardements en 1940 et ne fut pas reconstruit. Situé autrefois dans le diocèse d’Auxerre, cette ville était en frontière avec le diocèse de Bourges et le diocèse de Sens.
– Dans le Loiret (45), il existe d’autres toponymes Saint-Louis : Croix Saint-Louis à Saint-Maurice-sur-Aveyron ; Fontaine Saint-Louis à Gy-les-Nonains ; Fontaine Saint-Louis à Triguères ; la Croix Saint-Louis à Ouzouer-sur-Loire ; Saint-Louis à Nibelle…
– Dans la Nièvre (58), à Montigny-aux-Amognes (diocèse de Nevers), à l’Est de Nevers, derrière la forêt de domaniale des Amognes, présentant une configuration semblable à Précy mais inversée, au bout de la gorge du ruisseau de Meulot, l’église Saint-Louis est restée presque authentiquement d’un style roman du XIIe siècle, ce qui en fait un monument assez exceptionnel. L’enquête reste donc à faire sur l’apparition de ce toponyme en ce lieu et sur le changement de vocable de cet édifice roman très clunisien, sans oublier de consulter mon article sur Précy, portant sur mes conseils généraux pour éviter les confusions des confus ions+-. Pour en avoir une première idée vous pouvez consulter les magnifiques photos de monsieur Antoine Garnier, passionné d’art roman.
– Dans la Nièvre (58), à Fourchambault (diocèse de Nevers), l’église Saint-Louis est une église paroissiale récente consacrée en 1839 et agrandie et modifiée en 1875 en style néo-roman.
– Dans la Nièvre (58), à Alligny-Cosne (anciennement Alligny ; ancien diocèse d’Auxerre ; actuel diocèse de Nevers), L’église Saint-Saturnin a pour second saint patron Saint Louis. Signalons aussi qu’il existait un autel dédié à Saint Louis dans la cathédrale de Nevers, et que l’évêque de Nevers Jean de Savigny, huit ans après la canonisation du roi Louis IX, en juillet 1305, il fit la dédicace de l’église des Frères prêcheurs en la plaçant sous le patronage de la Sainte Vierge et de Saint Louis (voir dans : publication de la Société nivernaise. Hagiologie nivernaise. Vie des saints et autres pieux personnages qui ont édifié le diocèse de Nevers, par Mgr Crosnier, Imprimerie de L.-M. Fay, rue des Ardilliers, Hôtel de la Ferté, Nevers : 1860 page 344).
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Et en France…
Chaque toponyme Saint-Louis, pour être compris dans son contexte historique et géographique, doit bénéficier d’une enquête particulière en connaissant les autres enquêtes faites préalablement sur le lieu lui-même et sur les autres toponymes Saint-Louis.
Ainsi dans le sud, il faut se poser la question s’il s’agit d’une référence au roi Louis IX ou à saint Louis d’Anjou (1274-1297), évêque de Toulouse (1296-1297), comme l’église Saint-Louis d’Anjou de Martigues (13).
On remarque que le culte de Saint Louis (ou de saint Louis d’Anjou ?) fut utilisé aux frontières des invasions extraterrestres (esclavagistes nomades non issus de la paysannerie française chrétienne catholique romaine) tortionnaires cannibales : Paris et sa barbarie germanique, Nantes avec ses origines barbares vikings et sa région (avec un peu Bordeaux et La Rochelle), les environs de Toulouse, les abords nord des Pyrénées possiblement en contact avec des invasions méditerranéennes, la basse vallée du Rhône et les contreforts alpins sud, la frontière entre la Bourgogne et le centre de la France, les pourtours de l’Alsace et le sud de la Lorraine. Chacun mérite un étude édifiante et révélatrice.
C’est un peu effrayant ! Courage !
Les toponymes Saint-Louis en France.
Carte Nicolas Huron
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A vous d’en faire effort !
On attend…
Osez l’Histoire !
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