Tu crées choux ? T’eus craie cheux où… ?
Tue Crêche Houu… ? Tu crèches où ?
Mon petit, mon prochain, je dirai qu’il me l’a volé…
sans doute par économie, orgueil, rentabilité… sang d’août…
Noël, c’est technique et très masculin…
pour tuer la vermine (charançons, termites…), il faut, pour le Père Noël, éteindre la cheminée, pour qu’il puisse descendre avec ses cadeaux… de froidure, et de froid dur, la cheminée ayant été ramonée pour éviter les incendies… des temps vraiment froids de janvier et de février, et pour que le Père Noël puisse y garder son habit propre… et pour que la neige puisse rester bien blanche pour protéger les cultures et la Vie… et même la charpente et la toiture, voire pour faire venir et garder cette précieuse isolante neige, voire la faire tomber par dépression météorologique… afin de ne pas trop en risquer l’aire et l’air autant que l’âtre, et pour ne pas trop pousser l’eau des nuages vers l’Est, et verglacer, etc. Et puis, le matin du 25 décembre, s’il fait, par chance, froid, les enfants resteront au lit plus longtemps… pour soigner quelques impatiences de découvertes, des couvertes, des coups verts, des coûts… Le plus impatient en sera Agrippé, voire à gripper, ou pire kid nappé… Cela vous laissera un peu de temps, pour y réfléchir et bien tout organiser, et penser, panser la nouvelle année. Oui, messieurs, le Père Noël existe vraiment, c’est vous (moi par défaut présentement…), mais personne ne veut vous croire… ni moi non plus… Faites-en quand même gravement : Oh ! Oh ! Oh ! Au Haut Eaux ! Ω, ω, ω… Mmm ! Home, Homme ! Même si les placards sont vides… C’est seulement à ces conditions que l’on pourra vous dire avec force : Ah a à… d’une grosse voix grave… pour avoir le silence pour bien entendre sonner les cloches, en vérifier l’alarme, la larme, et en avoir vraie météo, à l’oreille, sans surpression, sans en trop gonfler l’atmosphère de votre con fort, voire pour entendre les grelots des bêtes… en ces temps continuels d’invasions barbares et pas qu’eux… car, voyez-les comme ils ont profité de la nuit… et des incendies… et de leurs bas-ventre…
Vous vivez du meurtre de mon fils ! Donc, don que…
Joyeuse noue ailes
Joie yeux no hell !
avec oiseaux migrateurs… car il est vrai que les papillons manquent un peu à l’appel, et à la pelle, en ce moment… et pour un certain temps, un certain taon… et surtout, sans oublier, pour qu’il en ait la goût goutte, le verre de lait, de Lée, de Lay, de laid, de l’Est, auprès de la cheminée… pour le Père Noël, Saint-Nicolas (ou vous-même), et pour certains, certes Huns, Santa… Klaos… ou Claus, χλόος, patron des bouchers, des boulangers, des marchands, des voleurs, des étudiants, des écoliers… éco liés… et colliers… et dont l’habit n’est pas rouge, mais traditionnellement vert, teinture autrefois empoisonnée (croyez-en les roulottes des gitans…) grand vêtement et belle robe qu’il faut éviter de tirer pour lui réclamer quelque chose puis de s’en lécher les doigts… C’est mortel autant que de prendre la Joconde (qui sans son vernis est rousse, mais verte pour les albinos d’Orient) par les côtés… sans rien y comprendre, et rien n’y entendre… en gravité…
et bonne à Né
pour la veillée… pour la veiller…
avec trois cartes postales en cadeaux avec
le sein-esprit, le Syn-Esprit… le sain T « est-ce pris ? », le saint et ce prix, le sint-, le seing…
Au nom de l’église Saint-Nicolas de Blois, ancienne abbaye Syn-l’Homme-Aire
au NOM du Père (du PAPA), du Fils et du psychopompe !
grâce au salon de l’agriculture de
Marie, de France, de l’Ange…
Photo Nicolas Huron
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Pour 2024, inventez-vous un sens aristotélicien typiquement chartrain…
avec des cartes de vœux, et de veut… de Notre-Dame, notre peuple, de Chartres…
très incarcéré ! par et pour la suite…
…
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Chartres qui signifie « prisons », snif… et Notre-Dame qui signifiait « notre peuple »…
Progrès par rapport à Autricum, et par rapport à l’URBS KARNOTINA,
au regard des bonhommes CARNE-AVALE des Gaulois
et des Crû si fiés des finages des -ville
des occupants Romains,
et des fourches patibulaires des Francs,
en attendant la réapparition des gibets de leur « no bless(e) »,
pour un peu plus d’ailes, d’elles, de gibiers ou de vaines pâtures à crottins…
excellents pour les Paradis, avec un peu de noir (tourbes, ferrugineux…) des Enfers…
Photo Nicolas Huron
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Photo Nicolas HURON
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Sachant qu’on amende prairies et champs avec les déchets des tailles des sculptures..
pour toutes les Croix de par chez moi, d’avant la Sienne…
par Jules César avant Jésus de Nazareth,
né à bêtes les aiment…
par J. C.
en J. C.
pour le Vivant…
Osez l’Histoire
science de toutes… c(h)ar(s)
tout laid chemin mène Ta(s) ROME
et à sa Gloire éternelle
de -vil(l)e éternelle !
Je vous jure que mes yeux en tremblent, et pas que cela… c’est à voir et à entendre !
Et pour voir la cheminée de la France, son sommet… et voir d’où tout vient…
et où tout passa, malheurs et bonheurs… voyez-en la suite…
Mon(T) jeune Eve Re !
Après une enquête de terrain de votre serviteur…
à pieds, à pillés… à piller…
La voie romaine des Gaules, vers l’Italie… par Lyon, Arles, Aix-en-Provence, Gap, Embrun, Briançon, et Montgenèvre… livrée par ses abreuvoirs, et ses prairies de repos, c’est-à-dire par les bêtes… auxquelles il faut mettre une majuscule comme une singularité plurielle et un pluriel singulier : la Bête !
Après le Pont de Cervières… évoquant Cerbère comme Berne évoque les Vernes !
J’y mets ci-dessous ma touche personnelle ayant arpenter ces chemins,
sauf le passage de l’ancien Fort des Trois Têtes (de Cerbère)…
qui formerait bien une magnifique porte monumentale
juste au bout du seul lacet de cette voie romaine,
recherche offerte à mon père alpiniste et maître des cols comme maître d’œuvre.
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Vérifiable sur le terrain, à condition d’en connaître les conditions…
et sur Géoportail !
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Vérifiable sur le terrain, à condition d’en connaître les conditions…
et sur Géoportail !
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Vérifiable sur le terrain, à condition d’en connaître les conditions…
et sur Géoportail !
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Faut-il l’acheminer, là cheminer…
jusqu’au plus haut de la cheminée…
à 1850 mètres d’altitude où l’herbe et les aulnes poussent encore pour les charrois…
alors qu’en Provence, l’eau est rare ou très salée, et les rares pâturages sont déjà prix.
Questions d’attitude et d’altitude… car nous n’avons pas, hélas, les mêmes valeurs…
évidemment, et vide amant, et vie d’amants, et vie d’âme(s) en… et de la Ferté-Vidame…
de son vidame, et de sa remarquable église Saint-Nicolas, ressemblant au Père Noël nu…
sangs d’août, à cause de quelques coups de fouet, pour quelques purges christiques…
ou des saignées de Louis XIV, Roi Soleil de notre Grand Siècle, pour les enchères…
parce que certains se refusent à en suer, même qu’un peu… alors que mon père…
Vérifiable sur le terrain, à condition d’en connaître les conditions…
et sur Géoportail !
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Je tiens ma parfaite connaissance et maîtrise des cartes de mon père, via sa Guerre d’Algérie, et via le scoutisme, absolument pas de par l’école (sauf par qui vous savez : Picard, Le Meure…). Dans mes classes, en élémentaire, j’ai corrigé le tir, pour ceux qui aiment mes paysages, mes pays sages… Cela pourra les sauver.
Sachez que dans ses recherches, ma voiture m’a lâché en plein dans les lacets de la N94 impraticable à pieds. Une vraie galère ! Vous pouvez rajouter 19 devant, je pense que cela en amusera certains, certes Huns.
…
Mes recherches historiques n’intéressent guère mon père, m’a-t-il écrit. Ok ! Personne naît parfait et l’erreur est humaine. Moi, je voulais devenir, et, je suis devenu arboriculteur, sylviculteur, etc. L’ONF et l’école Boulle (dossiers remplis, parmi d’autres, par ma mère pour rien) que l’on m’a refusé sont là.
Biens à vous ? Pour combien de temps ?
J’ai transmis ces cartes posta(b)les à une personne qui veut découvrir le Briançonnais (elle pourrait prendre soin de vous, si elle n’avait pas le Diable au corps). Je la crois aussi traitre que mon père a pensé sa vie, sans rire et sans joie, sur la traitrise incomprise du Général de Gaulle. Il ne saura donc pas y voir un redressement. Dommage !
Merci à Lui que j’aime d’amour filial,
mais il y a aussi les cultures et la Culture…
au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit…
Il faudra prier évidemment Sainte-Catherine (en souvenirs de Monique Simon, enfermée dans sa cour fermée de cultivateur beauceron à Mondonville-Sainte-Barbe, ma chère tante) avant de monter. Mon savoir d’Historien me dit que ce fut probablement un ancien repère des chats gras de la Grotte Chauvet, puis une boîte à Kleenex très clean ex, pour ceux qui veulent monter, genre Pigalle, ou Place Blanche et son bruyant Moulin Rouge, sous Montmartre de mes Paris, que j’ai eu à subir. Vous savez de qui et de quoi je veux parler…
Sainte-Catherine, je ne sais pas trop ce que cela peut être aujourd’hui,
mais c’est sans doute à vomir… voire à se faire mâcher par la tête…
pour la gloire de ROME à Briançon et de ROMA au Montgenèvre !
Je suis de tout cœur avec vous…
Tousse !
Tout petit, je me souviens que…
j’ai jeté une pièce du porte-monnaie de ma mère
dans la Fontaine de Trévise… Ce fut un investissement !
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En attendant leur retour… si je puis encore les voir en corps…
Photo Guillaume Huron
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La cheminée… la cheue minée…
Joyeux Noël 2023
Bonne année 2024
Frontières Antiques
A compléter vous-mêmes…
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