Mode d’emploi poétique très cartographique pour vos toponymes et pour toutes les saint Bernard, 20 août, tous les toponymes Saint-Bernard, Bernard et dérivés, et les chiens sauveteurs du même nom martyrs en Chine, en hommage à mon père Bernard, sauveteur en montagne, maître d’œuvres, pour se remettre en train avant ma re-création récréation sur les faussaires du 666 et après ma grosse panne (il paraît qu’il faut le dire ou l’écrire PAN maintenant) de PC.
Sans mon puissant timbre de voix,
lisez la petite bafouille tout à la fin, faim,
pour tout le monde sans payer le timbre… CGT-ist
à utiliser, à copier-coller, à partager sans maux d’air à scies ions+-… car
Bernard est aussi un arbre sacré…
un mode d’emploi en toponymie
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Une nouvelle découverte…
en-cas d’eaux…
…
par Jules ?
Verne, Aune…
Bernard, Saint-Bernard…
Quelques cartes éclairées parmi d’autres dans ce mode d’emploi.
Lœss sonde faux net –ique ?
Le son de faux nez tique…
Hoouuuu ! Ou où ? L’ours !
au bord des eaux et dans les aunes…
Pour les saint Bernard, 20 août, je vous propose de savoir, et d’en faire ici un cas d’école, s’il y a d’autres pistes en toponymie que des références germaniques de noms barbares, piste suivie par Stéphane Gendron (voir ma bibliographie indispensable), ou des références latines chrétiennes romaines (usurpées par les mêmes), comme saint Bernard de Menthon (XIe siècle), saint Bernard d’Hildesheim (+ 1021), saint Bernard de Thiron (+ 1117), saint Bernard de Clairvaux (+ 1153), etc. ou autres parmi les près de 25 saints catholiques romains ? Est-ce aussi possiblement de la faune-éthique ?
Leçon de faune-éthique
Le son de phonétique…
avec un exemple sainement apaisant :
Bernard et Saint-Bernard
sauveteurs en montagne
Les linguistes “toponymistes”, généralement germanophiles (on naît toujours sous occupation, ici, en zone occupée socialiste avec « nationale » 10, 152, etc. qui ont de fâcheuses tendances à se maquiller et de s’enrober sous d’autres dénominations ou bien en et avec d’autres mercenaires), font appel aux mentions latines médiévales, qu’ils ont, ici, volés, détruites ou mésinterprétées, pour trouver l’origine des noms de lieux. Hein ? Hun ? Ces “savants” ne seraient pas d’ici ?
Sanctus Bernardus, une piste ! Avec des archives anciennes…
Allez, au boulot et aux bouleaux s’ils en ont laissés ! Non ? Nom !
Pour information, on sait que les saints catholiques romains se rapprochaient de certains lieux qui portaient déjà leur nom. Mon enquête sur les Saint-Cyran, notamment en Brenne, dans l’Indre, le démontre. Un Bernard, va aller voir les lieux-dits Bernard ou Saint-Bernard, s’il en a le loisir, en voyage en pèlerine… âge ? C’est normal, c’est attachant… quand on aime la vie que la France vous a offerte et que l’on n’y demeure pas en demeuré barbare nomade en attendant plus riche gourmandise. Pour comprendre, il faut en naître de par le sang.
Le Col du Grand Saint-Bernard, un col stratégique de frontière antique.
…
Bernard en lieu dit
Saint-Bernard
Traditionnellement, en toponymie ou en anthroponymie (étude des noms de personnes), Bernard fait référence habituellement à l’ours, et à l’expression germanique “ours fort”, bern-, ber-, –hard. La capitale de la Suisse, Berne, en fait référence, mais ils sont trop germanisés pour en connaître toutes les vérités, ou, tout du moins, la principale vérité sédentaire : les aulnes, arbres imputrescibles des bords des cours d’eaux, des mares, des étangs et des lacs. Très bons pour les ponts et les pilotis… voir même pour les échelles, les calvaires, les outils, les manches, et les cales vers…
C’est un matériau très noble !
Hélas, depuis bien trop longtemps presque disparu…
Aune à Péronville (28), véritable monument historique faune-éthique
Verne art… à l’aune, en toutes bonnes mesures…
Photo Nicolas Huron
…
Saint ?
Et le sein ceint saint seing… singe, sain jeu ?
Et j’ai découvert que Saint, en toponymie signifiait anciennement : cet ancien lien…
Trois sens à la fois de notre Foi. C’est indispensable à savoir pour lire la suite…
…
…
Le 20 août pour la saint Bernard…
Il faut savoir que la norme veut que lorsque l’on écrit un nom de lieu, un toponyme, on l’écrive Saint-Bernard, avec des majuscules et un trait d’union. Pour les patronages d’église, d’édifice chrétien catholique romain, c’est la même chose : la chapelle Saint-Bernard, ou comme lieu-dit La Chapelle Saint-Bernard. Quand il s’agit du saint catholique, on doit l’écrire saint Bernard comme pour le jour. Les formes Saint Bernard, cimber nard, ceint bernhard, seing berne art, sain baie re-nard, s’in Berne n’ares, etc., c’est pour la recherche, la phonétique de l’aphone éthique, faune-éthique presque infinie et très complexe, qui ne peut pas vraiment s’écrire, secret des Druides gaulois (usurpateurs goths barbares d’Europe Centrale, voire de plus loin, parmi les chefferies et tyrannies orientales cannibales esclavagistes et tortionnaires de montures) vous ouvrant les portes des vérités antérieures environne-mentalement naturelles de mon pays, phonétique qui est ici, et sans doute aussi ailleurs, une singularité plurielle et un pluriel singulier. Une seule réponse à la foi n’y pourrait être tolérée. Est-ce pris ? Est-ce prix ? Esprit !
20 août ? Vainte out ? Vaincs toutes !
Proprement et sans jeter le bébé avec l’eau du bain… l’Ω, ω…
L’Homme est gât ?
Les toponymes Saint-Bernard sont environ 82 en France (voir la carte annexe ci-dessous en fin de mode d’emploi). Ils sont localisés dans les Alpes, dans la partie sud de la Savoie. On peut y ajouter notamment le très célèbre Col du Grand Saint-Bernard en Suisse (voir la carte ci-dessus), à la frontière italienne (ou l’inverse), et célébrer ici le Col du Petit Saint-Bernard, que m’a fait découvrir mon père, Bernard Huron, sur la frontière franco-italienne, avec son lac Verney.
Lac Verney ? Les aulnes… une ancienne vernaie ou son souvenir ? L’arbre résiste au gel…
On trouve aussi surtout les toponymes Saint-Bernard sur les bords de la Méditerranée, dans les Préalpes torrentielles, au-dessus des anciennes colonies grecques : Olbia (Hyères), Antipolis (Antibes), Nikeia (Nice). Ce n’est sans doute pas un hasard.
On les trouve également dans les contreforts des Pyrénées et dans la descente sud-ouest du Massif-Central, auprès du Tarn et de l’Aveyron (voir cartes annexes ci-dessous en fin de mode d’emploi).
Une autre preuve du rapport certain avec les aulnes se trouve dans la présence des toponymes Saint-Bernard en Champagne humide et non en Champagne Pouilleuse, à l’est de Troyes, et en Bourgogne, auprès de Dijon qui en faune-éthique… Je vous laisse chercher avec une bonne cartographie géologique.
Dans le nord, on les trouve sur la Somme et son bassin versant humide et argileux de l’éocène : sables et argiles détritiques, calcaire du Crétacé brûlé, –igny, par la moisissure des Profondeurs, assaisonnés aux vieilles roches du massif des Ardennes, qui signifie brûlé à travers, en parlant de feu et de minéralité cristalline, dure, diverse et variée, qui peuvent se loger dans la cervelle des… 06, agitée par le 666 des faussaires, objet d’une autre recherche de diplomatiste récréatif et re-créatif.
Les Bernard et les Bernard-
Les toponymes Bernard ou construit avec Bernard- comme Bernardières, Bernarderies, Bernards, etc. sont très nombreux (voir les cartes annexes ci-dessous). Très présents sur la vallée de la Loire, vers son estuaire, très présents dans la vallée de la Vienne, etc.
A vous d’examiner les cartes et d’en faire commentaire géographique
et géomorphologique et géologique et historique et préhistorique, etc.
ou bien demandez à l’aphone local, la faune locale…
Contact ?
…
B, G, V, W… ernard
Berner signifie tromper… comme un éléphant ou un mammouth ?
C’est vrai qu’au bord de l’eau… les éléphants d’Hannibal ou avant mes mammouths…
Dans le Blésois que l’on peut écrire aussi Blaisois, chez moi, ce mot, bernet, signifie un taureau reproducteur. J’ai de bons souvenirs du Gué Taureau, sur la Cisse (quand elle ne sentait pas la merde), à Molineuf, avec mon propre père propre, au milieu des aunes.
Une bernède désigne dans le Sud-Ouest un lieu planté d’aulnes, de vernes, une aulnaie. Une bergelade a le même sens en Gascogne.
Et les bernaches…
Certains prononcent durement le H au point d’en faire un hard ou une harde, ou une hache (atchoum ?). Le terme “bernache” désigne l’oie blanche, c’est aussi un vin blanc, et aussi, par chez moi, le jus de raisin tiré qui commence à fermenter. A déguster au moment des vendanges. Un évènement !
Signalons aussi qu’un Bernard désigne, en Charollais, un jars, le mâle de l’oie, qui ne fait sa cour que s’il y a un peu d’humidité… Ce même mot désigne en Provence, un crochet pour tirer la braise du feu.
Une bernicle est aussi le nom d’une oie, dite vulgairement « cravan ». C’est aussi une sorte de coquille univalve, la patelle… appelée par les enfants « chapeau chinois ». En bivalve, Aphrodite et Vénus ne sont pas loin, il suffit de voir en dessous de la jupe coquillée, saint Jacques n’est pas loin non plus avec son chemin, curieusement géologiquement assaisonné, au long est-ouest de l’Océan, vers le soleil couchant, au nord de l’Espagne… avec le lever et le coucher sur les terres, par monts et par veaux, avec son instrument de baptême, pour s’abreuver, se nettoyer, et pour faire le tri des minéraux dans ces rivières montagneuses pour quelques ors dures, ou c(h)ristaux, pour quelques pourboires, pour quelques destinations finales ou en revenir.
Signalons pour l’anecdote que dans le Blésois, par chez moi, il paraît qu’un bernassier est un boulanger qui fabriquait, autrefois, du pain de qualité inférieure pour les pauvres. Les bernassiers étaient souvent en conflit avec les maîtres-boulangers.
Un berne, une berne, une bernée, en berne… art !
Une berne désigne aussi une couverture en laine grossière, une pièce d’étoffe. Une bernée enserre, de son nom, la charge contenue dans un drap, comme une bernée de foin, de pois, une bernée pour nourrir les animaux de basse-cour avec un mélange de son et d’autres aliments (Voulez-vous voir, en photo, ma mère, toute enfant, s’en servir à la ferme de la Guillaumière à Françay ?).
Une bernée désigne aussi un grand vase à eau, un chaudron à panse courbe et à bec, peut-être un truc de sorcière.
Ce genre de récipient était encore nommé « un berne » aux XVe-XVIIe siècles et c’est sans doute un des noms véritables du cratère de Vix, récipient empoisonné de son bronze, à mettre en rapport avec les rapports associés d’archéologie touchant aux déformations osseuses de la Princesse de Vix, à ré-étudier pour cette définition. Sans parler des bavardages vibratiles parfaitement inutiles, sauf pour elle, de ce genre d’autorité pillarde, esclavagiste et usurpatrice. Bla bla bla, barbare, berbère, bar barre, bas art bas arts…
Vix, un cadeau empoisonné des Grecs ? des Romains ?
Un butin volé par les barbares et réinvesti ?
Un cas d’eaux empoisonné ?
Et les poteries et amphores romaines scellées à la poix…
Berner quelqu’un, c’est aussi le faire sauter en l’air dans un drap tenu aux quatre coins par de forts gaillards. Cela rend joyeux et fait un peu tourner la tête. Mais cela secoue quoi, là-dedans, plus que le reste ? Des cristaux lourds, du fer ? Un effacement électromagnétique de mauvais souvenirs comme une valse autrichienne ou une fête foraine peut le faire ?
Flash des Men in black… mène inn bœufs lac ?
Le Larousse de 1960 rajoute qu’une berne est une brimade qui consiste à faire sauter quelqu’un au-dessus d’une couverture tenue aux quatre coins. C’était jadis un supplice en usage chez les Maures et les Marocains, infligé par trois ou quatre hommes vigoureux qui prenaient le patient par les jarrets, et le lançaient en l’air aussi haut qu’ils le pouvaient.
Pavillon en berne ?
Un bernaudoir est un panier d’osier où l’on met les brins qui tombent de la laine (de mammouth ? de rhinocéros laineux ?) battue sur la claie.
Un berne haut d’hoirs (héritiers) ! Eaux…
Pour en remettre une couche, un bernage était un droit féodal, une obligation de loger et de nourrir les chiens du seigneur, c’est aussi l’action de berner (voir-ci-dessus) et c’est un semis fait de mélange de céréales et de légumineuses fait à l’automne pour être récolté au printemps et donné en vert au bétail.
Un berniquet est un bahut pour mettre le son, ou bien, désigne les lieux d’aisances…
Mettez le son et… plantez le décor !
Les ronciers des rosiers, le vin des vignes grimpantes en orée des vergers, des paradis, puis en s’approchant du ruissellement, le calme reposant des aulnes des bords des eaux, les oies, les grenouilles, les reinettes, les tritons, les salamandres, les sirènes des reflets chatouillant et chatoyants, les ours, les draps, l’osier, les jeux, les sauts, les sceaux, les sots, les seaux… le décor est planté, avec quelques invités de l’Est, les chiens devenus ici sauveteurs, et toujours les faussaires… ou pire, une bernardière qui est une variété de mauvaise poire.
Cela fait réfléchir… en booster ?
Tout cela à travers le Marcel Lachiver, Le dictionnaire du monde rural, les mots au passé.
Alors, as t’heurs, équipez-vous !
…
Et les guernes…
Ce sont les poules… d’eaux peut-être…
Et les guernazelles…
En Loir-et-Cher, par chez moi, on trouve deux toponymes construits avec Guerna-, Guernazelles. Ils sont en Sologne, un est à Crouy-sur-Cosson et l’autre dans les étangs de Marcilly-en-Gault. On sait que le mot guernazelles désignent les grenouilles ou les salamandres aquatiques (des tritons ? des sirènes miniatures ? qui ont toujours fasciné les enfants d’ici), et en décomposant ce mot, on trouve “azelles”, les ailes des mouches, ou le diminutif de « aze », c’est-à-dire leurs larves, et on trouve “guern”, les aulnes des bords des étangs, des marais et des cours d’eau, c’est-à-dire un peu du milieu de vie et de la nourriture des batraciens et les refuges arborés. On y trouve aussi Nazelles, qui est le nom d’une commune de Touraine située dans la vallée de la Loire près d’Amboise. Selon Stéphane Gendron, toponymiste, Nazelles, signifie seulement “barques”. Et si on joue un peu de la faune-éthique, on y entend, naze, nez, né, naît ailes… zèles, elles, eaux… Tout s’imbrique. A vous de chercher plus loin.
Et le bernard-l’hermite, le pagure bernard, qui prend la place d’un bigorneau ?
…
Verneuil, Aulnaies, Bernards…
Berges bernent ? Bornes bergent…
Une sainte croix ou un sain trusquin en aulne, imputrescible et indéformable
lustré à l’huile de lin et non à la valériane ou au nard,
cela vous parle ? Vous l’avez déjà rencontré ? Moi, oui. Mon Père
et mon père, maître-d’œuvre et son Té à dess(e)in. Certains l’ont volé… Berné ?
Mettre donc Bernard, et les toponymes construits avec Vern– logiquement ensemble, comme on peut le voir dans les différences d’implantation des toponymes dans l’Indre et dans le Cher, où on peut voir que Bern- et Bernard sont à l’Ouest, côté sous influence ibérique, via le Seuil du Poitou, et Vern-, sont à l’Est, côté sous influence, grecque, romaine, bourguignonne, germanique, etc., via le Couloir de Belfort, Besançon, Dijon, Moulins et le Nivernais (voir les cartes annexes ci-dessous).
G ! Eh gueux (egg) côté bandits bretons ou barbares anglais !
B ! Eh bœufs (è béééé), côté basque, espagnol, wisigoth, barbaresque, etc…,
V ! Et è’veut (Eve) du côté du soleil levant, vers les lèpres et anesthésiants indiens,
côtés albanais, romain, grec, égyptien, hébreux, via la mer, les Dolomites, le Rhône !
Rappelons qu’une partie des Alpes avait, très anciennement, été occupée par des Ibères, et que la descente des Pyrénées et la remontée vers le Massif Central… Cela fait un peu espagnol, sachant que dans cette langue vara est la mesure (en toponymie française, le sens de cette racine est surtout : sable, grève, limon), et que l’arbre se dit aliso.
A l’aune de… l’Homme est la mesure de toute chose…
avec tout son saint-frusquin
sa petite ou grande croix ou avec son sain trusquin,
dont l’étymologie est wallonne, et parfois orthodoxement cruciforme.
Je ne peux pas aborder ici les toponymes construits avec Verne-, Verna-, Vergn-, etc. C’est un domaine immense et infini, mais, pour commencer, on peut voir la carte ci-dessous ou cherchez dans mes ouvrages, avec La Vergnaire (lave…) ou Les Vergnes (l’Èver…), à Fougerolles, dans l’Indre, par exemple, avec Les Vergnes, à Braslou, dans l’Indre-et-Loire, avec Vernay, à Maves, en Loir-et-Cher, avec La Verne, à Tillières, en Maine-et-Loire, avec La Vergne… pour voir le milieu de vie de cet arbre en voie de disparition depuis l’époque gauloise.
Implantation des toponymes Vern- en France
où les aulnes étaient d’exploitation esclavagiste gauloise.
Ailleurs, les Gaulois ont pu être massacrés et c’est Aun- ou Auln- qui supplanta.
On peut y voir le commerce vers les Alpes et la Germanie, mais surtout avec Rome.
C’est un peu le décor des débuts de la Guerre des Gaules :
zone romanisée et zone opposée vides, zone alliée pleine, à part le Finistère.
Carte Nicolas Huron
…
Implantation des toponymes Vergn- en France
où les aulnes étaient d’exploitation esclavagiste gauloise.
Carte Nicolas Huron
…
La piste des Verne, Vernes, Verneuil, etc., concernent des milliers de toponymes. Demandez-moi pour le vôtre ! Vous verrez que mon paysage est devenu bien sec et désertique. On sait d’où vient ce genre de pratiques absolument pas pratiques.
Un jeu de piste ? Trouvez-en, c’est l’aphone éthique de la faune-éthique…
Là, pas encore… mais c’est vraiment rare…
Feuilles d’aunes en forme de cœur, amour imputrescible, très cible…
Photo Nicolas Huron
…
B, V ? Baies, vais…
Berne, une balançoire ?
Un panier d’osier, un drap propre ?
Verne, vers nœuds, des branches au-dessus de l’eau ?
…
Mais le latin ? Même en latin !
Vernaculaire… aussi.
Mets le latin !
Le terme latin berna est le même que le terme latin verna : nom masculin, désignant l’esclave né dans la maison du maître, l’esclave de naissance, le bouffon, mais aussi l’indigène né dans le pays. Ce mot apparaît dans l’expression verna liber, livre écrit à Rome.
A travers le Félix Gaffiot, dictionnaire illustré latin-français, on trouve aussi vernacla, vernaculus : relatif aux esclaves nés dans la maison ; mauvais plaisant, bouffon ; qui est du pays, indigène, national (pour les Romains, c’est-à-dire Romain).
Et il y a toute la famille sémantique du printemps : verno, vernare, être au printemps, reverdir, refleurir ; changer de peau ; reprendre des chants d’oiseaux ; se couvrir de duvet en parlant des joues d’un jeune homme ; être jeune, bouillant ; vernalis, relatif au printemps, printanier ; vernatio, changement de peau des serpents au printemps, mue, dépouille du serpent ; etc. Voici une piste à suivre, ouvrez vos dictionnaires… et balayez avec deux rr, verro, verrere… ou enlever le nard… ou…
Vernare ! Bernare !
Vero : vraiment, à coup sûr, en vérité…
Bernard, en dire la vérité, bernare, c’est…
la dure vérité ou son art !
Et non une bombe… aunière ? Quoique…
La font sourd ber
Bero, Béraud, Bérot…
Ber en langue gauloise : source, fontaine…
Vero vero, verro, mais je dis la vérité, je balaie, je bats Lées…
Vero, vert haut, vers Ω, ω, ou héro !
Capito, Capitche ? Nons n’ont Nom ?
Alors va te faire voir chez Lées Grecs…
Schell est grec, chais lèguent REC., mais il faut de l’eau, une source, une fontaine, ber(u)
Bern-, voire même ber-, ne sont pas très grecs. Mais en cherchant à travers le dictionnaire de grec ancien, Le Grand Bailly, bien qu’il s’agisse de l’univers mental des Grecs, propre à leur géologie et à ses reliefs, à leur existence d’éleveurs domestiques, leurs servitudes agricoles marchandes de comptoir, très spirituellement contées, maritimes et guerrières, très techniques, sportives et à l’occasion défensives, voire offensivement anthropophages, que l’on connaît assez bien à travers leurs récits, leur science qui est la nôtre et leur sédentarité archéologique, cultivée et touristique de maîtres et seigneurs de leur maisonnée et maison, ordonnant depuis des siècles, pour les siècles des siècles, leur esclavagisme légitime avec les imbéciles, les étrangers et autres bétails sacrificiels plus ou moins nomades, propre à leur lexique d’une complexité abyssale, on y trouve des éléments très intéressants et réellement surprenants, quand on a appris, comme moi, en autodidacte. Peu enseigné à ce propos, mais parfaitement éduqué, je suis le premier en ce sens, à en décrypter les secrets de manière totalement dépecée et démonstrative sans trop de gaspillages (sans doute due au mépris envers mes ascendances serviles, bouchères, artisanales, paysannes…) afin que les conclusions en soi en soient infinies pour vous :
– La « syllabe » be– de Bernard, prononcée baie, bé, fait appel à βείω, βαίνω (bayô, baïnô) : écarter les jambes pour enfourcher une poutre, une branche, une quille de navire ; enjamber, écarter les jambes pour marcher ; marcher, aller, venir, arriver à rives et… ; venir sur, monter, saillir (en parlant notamment de la reproduction chez les animaux) ; aller pas à pas, à travers, etc. et le Bayou… Cela est proche de biô, βιόω, vivre, passer, sa vie, faire vivre, sauver, également proche de biaô, βιάω, violenter. Cherchez-y le BIOS (https://bailly.app/bios_(2) ou bien https://bailly.app/bios (1) (On peut copier-coller les mots grecs dans Le Grand Bailly numérique), la vie, l’existence, mais aussi l’arc, la corde, qui pouvait prendre ou pendre pour sauver ou suspendre quelques voleurs, ou le BIOS informatique, informe à -tiques, tic, tic, tic…
Tué là, tu es là, las, grès gueux (ferrugineux) le robot ? Bouilli gueux ?
Hante haine… Antennes ?
– Ber-, Βέρ, compose surtout des débuts de noms propres. A vous d’en faire l’inventaire cartographique à partir du Grand Bailly. Surprise ? Phrygie, Rome, Balkans, Thrace…
On s’aperçoit à l’étude de ces noms propres que le Ber- correspond au Ver-, ainsi Vergilius, Virgile, auteur romain, correspond à Βεργίλιος, Bergilios.
– à la suite du premier βε, Βη (bé-, baies), aller, venir, enjamber, monter, etc., on a ern-, ερν, qui est en rapport avec les jeunes pousses, les jeunes branches, les jeunes plants, et donc le printemps, mais aussi les cornes naissantes, et les rejetons, les descendants. On doit préciser, ici, que, dans la plupart des langues anciennes, le verbe et le sujet ne sont pas obligatoirement dans l’ordre sujet-verbe… βε-ερν. Aller et venir aux jeunes pousses ; monter les jeunes pousses ; les jeunes pousses vont et viennent ; les jeunes pousses enjambent, montent… En-jamber les rejetons ; les rejetons enjambant ; rejetons l’aise en jambes…
Génétiquement sans saisons, ou seulement avec deux et de la boue entre, la création de vie, de vies, de deux vies, de devis, voire de trois, en trois exemplaires, le vert, le rose et le bleu, d’eux de Troie, est impossible à comprendre.
Un enfant sur les épaules de son père, aider un enfant à nager, à faire du vélo, à conduire, à marcher, à enjamber, à monter sur une branche pour le et se sauver, apprendre à fabriquer des oiseaux et à les comprendre contre les rats fouisseurs ? à mettre aux mondes des enfants véritables contre les loups et les cannibales matriarcaux ? enjamber sans les tuer des serpents inoffensifs français spécialistes véritables à l’encontre des ravageurs ou des rats ? monter pour échapper à quelques gaz nauséeux de surface ? voire à quelques gaz volcaniques ? se sauver de quelques prédateurs aquatiques voraces de la mer, de l’âme mère, de l’âme aire, voire du Bayou ? ou de lions anglais… Enjamber un enfant, un rejeton, un jeune plant, pour ne pas l’écraser…
B, Gu… er-nard
La lettre G, avec le son gu- évoque l’avalement, la boisson, le gain, le vin… en rappelant que bin, en grec, c’est « avoir commerce avec »… Une petite bibine ?
Pour le gué, le gai, γέ, Γῆ, γῆ, avant le R allez chercher dans mon ouvrage sur Chârost, (y copier-coller : Γῆ) le Gué Saint-Michel… Terre, terre ! Enjambe ! Re-commence, Re-naît ! Repos, re pots, re peaux, etc. sur la rive.
Le glissement guère gué, gaie guerre…
et les vérités de chevauchements
βε, ερν voire y voir γέρ, ερν voire y voir γέρρ, ερν avec ναρδ ou bien ναρ etc.
et même ἄρ…, ar, Ar, avec mon ouvrage sur Chârost et sa préhistoire, c’est surprenant
et très sédentaire, très cédant terres, traits s’aidant aires… l’y voir ivoire, c’est dentaire !
Une corde, deux cornes ? L’arc d’Appolon, d’happe au long,
d’une faille ou d’une vallée… Le Jourdain ?
Art, Ar… Arès… dieu de la Guerre
ou la planète rouge, Mars, sa griffe, sa marque.
Allez et revenez à Chârost et copiez-collez-y ἄρ, ἀρά, ᾶς pour en apprécier la nature.
– guer-, γέρ, vieillard, ancien, vieux, mais aussi présent offert comme marque d’honneur, prérogative, privilège honorifique, dignité, charge honorifique. C’est une très ancienne racine indo-européenne que l’on trouve en sanscrit járant-, vieillard.
Gère nard gériatrique…
– guer, gér-, γηρ, vieux, âgé, avec sa famille, tourne autour de : prendre soin d’un vieillard… et surtout le verbe γηρύω, faire résonner, chanter, célébrer, faire entendre une voix…
Avec ern, ερν , Guernar, bernar, une jeune pousse comme marque d’honneur ? Un rejeton sur une vieille souche d’aune, à terre, aux bords des eaux ? Voulez-vous nous voir enfants sur les épaules de mon père ? Areuh !
Avec deux r, guerr-, gerr-, γερρ, cette racine évoque aussi l’osier, un objet tressé en osier. Ne lui faudrait-il pas de longs cheveux pour apprendre à faire ses paniers et ses berceaux ? De la couleur de l’osier… couleur de mes cheveux de rouquin à tâches de rousseur envers lequel, ici, tout le monde est « raciste » comme j’ai pu le subir. Le petit bruit grinçant de l’osier sec berce autant que prévient les parents de la vie ainsi protégée.
Faune locale ? Ouvrez un livre d’Histoire-géographie et voyez un soleil couchant.
– guerr-, γέρρ, vers tous les objets tressés avec de l’osier, les boucliers, les mantelets de siège, les tortues-abris des assauts, les abris avec des cerceaux, notamment pour les voitures, les auvents pour protéger les vendeurs sur l’agora à Athènes, les barrières à Athènes les jours de vote, des poteaux, des flèches, des traits, et même le membre viril, et ici, chez moi, pendant l’occupation celte, gauloise, dont certains, certes Huns, sont encore en corps très fiers, les guillaumes des carnavals effroyables, que décrit Jules César dans la Guerre des Gaules, et avant les géants de l’Atlantide, ma re-découverte personnelle.
Osiers, osiers… R’osier, guère, guerre…
et on touche aux origines de l’homme…
Rosier ? Rose y est ? R’eaux osiers ? Rosière !
Photo Nicolas Huron
-ier, -ière, ιερ, signifiant « sacré », en grec, en langue ancienne, notamment gauloise.
…
Et la piste de Gère nard ? A vous !
Elle a piste d’œufs, gère n’a art…
Gériatrique j’ai ri à -trique… trait terre à Terre.
…
La Bernardière, aulneraie sacrée
La Bernardière , au sud-ouest d’Herbault (41) près de Soulouzeau et de l’Etang Perrot,
Soulouzeau, « sous l’osier », près de l’argile à silex, d’étangs, une auneraie sacrée,
propriété bien connue dans ma famille comme l’Abattoir de la boucherie d’Herbault,
celle de mon grand-père Ernest Huron et de son épouse Fernande Huron, née Couty.
Ce toponyme est tout proche de celui de frontière de la Haye du Roy, autrefois
dite Hayes d’Herbault ou Hayes du Comte, à propos du comte de Blois.
Voir mon étude sur les toponymes d’Herbault (Loir-et-Cher, 41) où j’ai repris l’interprétation communément admise avant cette présente remise en réalité.
Avec beaucoup de géologie, tout ce las ou toute cette force se comprennent mieux.
Curieusement, personne ne m’a repris depuis, mais on n’arrête pas le progrès
selon Louis XIV et l’Académie des Sciences françaises.
Une Folie de plus ? Non ! Noms !
Mon père Bernard, tient peut-être son prénom de cette Bernardière…
et la Bernardière à Contres (41), parmi les étangs, sur du sable et argile très scintillant,
proche de Oisly (j’ai une explication en préparation…), encore une auneraie sacrée.
et la carte française de ces toponymes dans les cartes annexes ci-dessous en fin d’article.
…
Ce dernier terme porte à φέρω que vous allez de suite aller voir dans Le Grand Bailly. Fais rot ? Fée rôt ? Ferro ? Onomastique ? Aune haut mastique…
La piste de « gère », « j’aire », n’est pas mal non, plus, prenez-la. Si tu m’étais familier, je te le dirai ainsi : prends-la !
Bé-ern-nard ! Baie aire n’a art ?
On y voit également, puisqu’il faut bien l’écrire ici, –nard-, ναρδ, le nard, la fiole de parfum anesthésiant et tueur de Marie de Béthanie, la prostituée juive, sœur de Lazare et de Marthe, que Jésus de Nazareth rencontra chez Simon le Lépreux (à comprendre en égyptien ancien comme “l’hébreux” ; ou comme famille esclavagiste, esclave, productrice par profit matriarcal de prostituées ou de gigolos). L’essaya-t-elle, son parfum de nard indien, sur Notre Sauveur ? Une syphilis garantie de très haut prix ? Une sorte de Valériane, d’anxiolytique ? Moi, je l’écrirais bien “en qu’eux, si haut lithique” ou « en queue si au lit tique », à propos de toutes ces lèpres indiennes, poisons chinois ou poisons germaniques, très précieux, de monts précieux… gras, collant, pénétrant, cristallins, voir métallurgiques… tatouant… tate tout en… tas tout en… Cul rare ?
T’as tout en…
Nard Cisse ! Cisse, signifiant apprenti, tressé…
« Auprès de ma blonde, qu’il fait bon, fait bon dormir… »
Heureusement qu’il y a encore la racine nar-, ναρός, qui coule, qui s’épanche, pour mieux, notamment géologiquement, comprendre, avec son étymologie νάω, nao, couleur, arroser de petit lait, ruisseler, être arrosé.
L’arroseur arrosé des Frères Lumière ? Oui, oui ! Puisque cette racine, nar-, évoque aussi le fait d’être engourdi, de stupéfier, tel Narcisse ou le narcisse (jonquille), devant un écran, un écœurant… que Jules César, descendant de Vénus, elle-même, a sans doute bien connu pour traiter son épilepsie, même peut-être avec la Valériane.
Bernard, quels joncs qui y… œufs. L’âge, on quille !
Jonquille ? jonc quille… roseau…
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Géographie,
géologie, géomorphologie,
sciences annexes de l’Histoire…
assaisonnement cérébral boostant !
Si on écrit la Bernardière, la Bern-ardillère, on comprend beaucoup mieux la suggestion géologique et géomorphologique, puisque les ardilles, sont des argiles, des terres grasses, collantes. C’est un toponyme extrêmement répandu. Le –ille évoque l’eau, et le ar- présente une infinité de sens, mais surtout la clarté, le brillant, le rouge, le bleu du ciel ou des yeux des barbares sanguinaires, du dieu proscrit Arès, voire de ceux de la Belle Hélène de Troie. Cette syllabe ar, ἄρ, isolée de cette manière, évoque la prière, le souhait, la malédiction, la perte, les divinités vengeresses, la ruine, la guerre, son dieu, Mars, Arès, mais cela évoque aussi le labour, la terre nue, le fait de cultiver, mais aussi le fruit du champ conjugal, les rejetons, le temps des labours, c’est-à-dire l’automne, voir l’hiver. Cette syllabe évoque l’idée de force, de supériorité.
Avec deux r, arr-, il évoque en grec ancien, le mâle, l’homme, le masculin, la virilité… Avec un « ou » ou un « u » derrière, Arrou, Arou, ce phrasé simple signifie puisé à la source, puisé dans un vase ou dans une vase quand c’est un peu vaseux et piétiné par les bêtes, voire par la Bête.
Vous trouverez tout cela en détails et en grec ancien dans mon étude sur le toponyme de Chârost : Chârost (18) et alentours… la Préhistoire entre dans l’Histoire. Cette riche explication est consultable dans le chapitre : Chârost (18), un toponyme à comprendre en grec art haut, contenu présent en article sur ce blog.
Voyez pour la vôtre ou faites appel aux savoirs locaux, ou à un vrai français.
Urbain ? Terrien ?
Perruque ou une perruche ?
Si vous voyez ce que je veux dire…
sachant que le « a » de -ar- évoque l’enlèvement, la suppression,
mais aussi parfois l’ajout quand il est associé avec un D, additif ad-dictif…
Mon père Bernard, gamin ou jeune homme, avec ses frères, Robert, Maurice et Pierrot, buvait le sang chaud des vaches abattues, des veaux et des bœufs, voir des chevaux à la Bernardière, lieu-dit de l’Abattoir de la boucherie d’Herbault de la famille Huron, dans un verre en verre, avant d’en transporter les très lourds quartiers sur la place du grenier à sel, noble si elle en naît (Création de la place d’Herbault à la fin du Moyen Age pour la Renaissance). Le père, Ernest Huron, et ses quatre fils après lui, s’en lavaient sans doute les mains dans l’Etang Perrot où ne se pêche surtout qu’un carnassier vivace et vorace : la perche commune, zébrée, et peut-être la perche arc-en-ciel, dit soleil, un poisson plein d’a(r)rêtes, poison en rapport avec le Perche, zone grasse et ferrugineuse d’élevage, étant la région d’origine de la paternité de cette famille : la boucherie de Trôo. Terroir situé au-delà de la frontière définie par Jules César, chez les Cénomans de la Sarthe, dont l’Est et le berceau de ce nom de famille, Huron, qui signifie entre autres…
Achetez-vous un dictionnaire et quelques autres bons outils !
Peaux aises-y ? Poésie ! Pots…
Hardi ?
La racine αρδ, ard- en grec ancien (voir Le Grand Bailly) porte à irriguer, arroser, abreuver, rafraichir, ranimer, et son champ de grande sémantique touche accessoirement à tacher, salir, troubler, quand on y amène le bétail, voire à la pointe de javelot, de l’aiguillon, ou du dard, qui entrent aussi dans cette famille de sens car les guêpes communes, vespula vulgaris, d’ici, excellentes goûteuses gourmandes carnivores autant que frugivores, amies fiables des boulangeries-pâtisseries ou des boucheries, aussi s’y abreuvent et font leurs nids dans les aulnes. Cela porte peut-être d’un point de vue contemporain jusqu’aux frères Lumière et leur cinéma aux sels d’argent qui peut piquer un peu les yeux, l’aise yeux…
Argentomagus ? A l’aune de…
Pour les guêpes, attention, on en écrase une, elles viennent à plusieurs…
Cette suggestion brillante géologique et géomorphologique se remarque aussi à la Bernardière (commune de Contres ; Loir-et-Cher, 41), non loin de Oisly, dont le nom a pour racine grec principale : vitrifiable. Mes notes préliminaires pour l’explication du nom Oisly et de son incroyable église Saint-Hippolyte sont déjà prêtes pour de prochains articles de découvertes sensées vous instruire…
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Pensez aussi un jour à passer par la Vernarède, dans le département du Gard (30), unique toponyme construit avec Vernar-, pour en examiner ce qu’il en reste de sa faune-éthique et même de sa phonétique… Une aide ? Un aède grec ?
N’oubliez pas les Wern– chez les Germains ou les bandits bretons installés illégalement en Armorique (droit romain bafoué), en observant la carte annexe ci-dessous, à condition d’avoir de bonnes connaissances géographiques et de ne pas être un barbare ou just a gigolo… et vous verrez d’où ils proviennent.
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Pour aller plus loin, spirituellement et temporellement, sachez qu’en gaulois, l’aune, c’est uerna, verna, Verne, Vergne, ou aliso…
Alice au… ? A lys haut ?
Alice au…
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Aune, Aune-, Aulne, Aulne-…
Continuez cette enquête par les toponymes Aune, et Aulne, la racine Aune-, ou Aulne.
Le sud va être un peu jaloux de ne pas être resté sur l’étymologie : alnus, alni.
Trouvez celui qui est le plus prêt de chez vous et replantez-en.
Mais mets le milieu d’abord pour la charpente du beffroi.
Le dernier bastion de la civilisation gallo-romain.
Pourvoyeur des défenseurs de la frontière avec la barbarie.
Le royaume de Syagrius, pris par Clovis…
Gréco-gaulois, gallo-romain, franc ?
Carte Nicolas Huron
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Vern- l’enquête est vraiment très vaste. Trouver le vôtre…
Pour l’outillage, voir mon article :
Comment trouver l’origine d’un nom de lieu ? Méthodes…
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Cartes annexes
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Les toponymes Saint-Bernard en France.
Ces anciens liens d’aulneraies… un chemin passe par Menton pour Mortola et l’Italie.
Un autre passe par Modane, sous l’Argentière, puis le Col du Galibier, le Col du Lautaret…
et de l’autre côté, au nord, Annecy où ânes scient ? Non ? Maux d’ânes ?
Carte Nicolas Huron
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Les toponymes Bernard et avec Bernard.
C’est atrocement triste, mais les lignes, ce sont les mines romaines.
Boisages des mines et manches de pioches ou de marteaux…
Voyez dans l’Indre, ARGENTONMAGUS ! Et pas que…
Carte Nicolas Huron
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Magnificence de plus en plus rare depuis les Celtes, Goths envahisseurs de l’Âge du fer.
De grands aunes au bord de l’eau.
Pensez-vous qu’un jour, l’Italie ou avant eux les Celtes, nous les rendront ?
Photo Nicolas Huron
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Les toponymes Bernard, Bernards, Bernardière, Bernarderie, etc.
La vache espagnol et les bœufs, ça pousse, ça pousse, à la place des aunes
alors imaginez les moutons… désertificateurs ou les chèvres de l’Himalaya…
On dirait presque que leur vache sacrée a passé les Dolomites. Une enquête en Italie ?
Carte Nicolas Huron
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Les toponymes avec Guern-, synonyme de Vern-, Auln-.
Une importation locale ? Une survivance ? Avec nids d’échassiers ? Saint-Cyr ?
A l’entrée nord du Massif Central, il s’agit de la limite navigable pour les nefs plates (voir les récits d’Iliade, et sa Guerre de Troie, et ses nefs méditerranéennes, précisées creuses, et noircies à l’étanche poix pour le chef) des gros forts turcs esclavagistes d’Asie et d’Europe de l’Est, les mêmes « charmants » représentants de commerce qu’on peut trouver sur le NET fluvial entre la Mer Baltique et la Mer Noire, pour équiper de blondes (cancérigènes ? ça se vend bien…) quelques harems de bords d’ailes, à Delphes, Athènes, ou sur l’Indus, ou en Mésopotamie, à Babylone, Damas, Bagdad, etc. bref les charmes de l’or riant, et dont l’immense domaine de gaspillage fantastique, formidable, merveilleux, monstrueux, honteux, etc. commence, vu de chez moi, à Mulhouse ou à Verdun, à Sedan ou à Poitiers, voire à Mâcon ou en Luxembourg… Ce « détails » de l’Histoire fluvial se remarque, sur la présente carte ci-dessus, sur la Vilaine, sur le Cher, sur la Creuse, sur la Sèvre Niortaise, etc. Des aide-mémoires ? Pour le Loir-et-Cher, il s’agit de la mythique Sologne, son Beuvron, son Cosson et ses étangs. Ports et porcs d’Asie ?
Carte Nicolas Huron
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Les toponymes avec Guerna-.
Carte Nicolas Huron
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Faire de Vern- voire de Bern-, Guern-, cela présente un caractère de frontière très guerrière, voire des besoin maritime qui font du Finistère, une presqu’île, voire trois à bien y regarder…
Les toponymes avec Guernar-.
Guernarhant (Poulonven ; Finistère, 29), Moulin Guernarhant (idem), Guernarhogou (Maël-Pestivien ; Côtes-d’Armor, 22), Guernarpin (Ploërdut ; Morbihan, 56), Ruisseau de Guernarpin (idem). On ne voit que 3 points, mais il y en a 5 dont deux paires.
Pour les linguistes géographes curieux… à vous de jouer !
Carte Nicolas Huron
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Un peuple agité à juguler ? Une invasion à arrêter ? Des complicités espagnoles ou anglaises ? Il paraît que cela s’étudie. Jules César avait pourtant écrit, il y a plus deux mille ans, quelque chose à propos des peuples de l’Océan en plaçant ces légions, non loin de chez moi, notamment à Françay et Herbault, à la fin de la Guerre des Gaules pour garder sa prise.
Voyez-en mes études des noms de lieux de Limeray, de Cangé, etc.
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Les toponymes avec Wern- le W barbare germanique.
Un seul V n’y suffisant pas évidemment, insatiablement et inévitablement.
Quand ces barbares germains, angles, saxons, londoniens, etc., voire Normands, descendent vers le sud rejoindre leurs amis berbères maures esclavagistes d’Alger, ils buttent sur l’Armorique, cela se voit… Peut-être s’imaginent-ils à chaque foi, que la Baie de Saint-Brieuc, n’est pas une baie, mais que leur « vaisseaux » peut rejoindre Vannes en passant à travers le granit breton. Il vaut mieux en faire une autoroute pour leurs commodités territoriales de leur « espace vital ». A10 ? A20 ?
Carte Nicolas Huron
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Toponymes avec Vern-, Verna-, Verne-, Verno- en Région Centre.
Avec une grosse concentration de « Ouais R’n… » en Boischaut…
Carte Nicolas Huron
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Toponymes Bernard, Bernards et Bernard- (Bernardière, etc.) en Région Centre.
On perçoit les points de frontières antiques difficiles, le trafic fluvial et l’influence du grand site gallo-romain d’ARGENTOMAGUS (Argenton-sur-Creuse) dans l’Indre, avec son fort de concentration de gros B. à prononcer « bœufs » pour la syllabique, cils à biques noirs sur blanc.
Carte Nicolas Huron
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La Bernardière
aulneraie sacrée guerrière
en sud Touraine en frontière entre trois provinces romaines :
Le siège métropolitain de Tours : Touraine, Anjou, Maine, Bretagne…
Le siège métropolitain de Bordeaux : l’ouest entre le Pays Basque et l’ïle de Noirmoutier.
Le siège métropolitain de Bourges : Bourges, Limoges, Clermont, Le Puy, Cahors, Mende, Albi, Castres…
Autour de Lyon et sur l’estuaire de la Loire.
Faites l’analyse de la vôtre ou faites appel à votre présent patrimoine-rural.com.
Les toponymes Bernardière et Bernardières en France, aulneraie sacrée.
Chantiers navals ou terroirs plus pourris qu’ailleurs ? Les deux « mon cas Pitt haine » !
Et postes pré ou post frontaliers par chez moi, pour les arcs ? Les machines de guerre ?
Pas Touche ! qui est un petit bois pour les commodités… Usages !
Carte Nicolas Huron
…
Ne sauriez-vous pas, maintenant compléter ce mode d’emploi jusqu’à l’infini ?
Rendre à CAESAR ce qui est à CAESAR, et à DIEU (Y avait ?) ce…
Vous avez les cartes de Louis XIV pour commencer.
Savez-vous les lire ? Me lire, moi et mon pays ?
Non ? Nom !
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Une consultation à payer ?
Maîtresse ? Mets tresse ! Mes tresses !
Maître des cols et γραμμα·διδασκαλίδης
Mont père, Mon Père, mon père, Bernard Huron… Deus ex machina !
Là, elle est droite. Aujourd’hui allez voir, elle penche. Sauriez-vous la redresser ?
Photo de mon père Bernard Huron, 1972.
Croix sommitale (de fer ? ou d’alu) de la Barre des Ecrins,
avec une vue imprenable sur les Aiguilles d’Arves.
Massif des Écrins, Dauphiné,
ici, de par moi, né de par lui, et né une seconde fois, dans l’accident
de sa dauphine à Françay (41), par ma mère me biberonnant
et me tenant fermement malgré le choc qui l’ensanglanta.
Libre ? LIBRE ! de vous en faire la leçon…
de par eux et de par Lui, l’huis…
sommet du dû.
Vous êtes tous des assassins !
Moi, j’aime être dauphiné et même en Dauphiné.
Prenez une glace à l’italienne de ma part à la buvette du Granon
sur la commune de Saint-Chaffrey, au-dessus du Torrent du Saint-Bernard,
car, Chartrains, nous sommes des nains juchés sur des épaules de géants, de Géant,
…
Toponyme Torrent de Saint-Bernard
Les oiseaux y referont leurs nids… et leurs fientes généreusement fertiles,
avec nos grenouilles alpines qui congèlent… celles des sources de la Clarée.
…
Pour l’engrais de crottin de chevaux, voyez au nord, Saint-Hippolyte sur Roubion,
sa plaine et le Bois de Saint-Hippolyte au Col de l’Échelle, sur Névache,
et moi, je sais ce que je dis, et, je suis bien le seul…
Ceint Michel maintenant ? Cherchez ici !
Uni valve ou unis vers sels…
…
Un cas d’école…
pour s’alarmer des « autorités » qui
prévenues ainsi ci-dessous restent sourdes…
et ne relaient rien des sciences de mes terroirs
tout en détruisant les communes.
Mais qui sont-ils vraiment ?
D’où viennent-ils ?
Del’Atlantide ?
…
Sans mon puissant timbre de voies
une petite bafouille en cette fin, faim,
pour tout le monde sans payer le timbre… CGT-ist
à utiliser, à copier-coller, à partager sans maux d’aire à « si on… »
…
Lettre à partager !
Objet : Les faussaires germanophiles, anthropocentriques, de la toponymie officielle, vous trompent depuis les années 60.
Mesdames et messieurs, élus et administrateurs,
En toponymie, science des noms des lieux, science annexe de l’Histoire, les mensonges répétés sont-ils sataniquement socialo-communistes (nazis, bolchos…) ou banalement financés fanatiquement commercialement par des barbares capitalistes ou tranquillement par des régimes dictatoriaux criminels étrangers, voire par des républiques bananières en mal d’équipements ? Est-ce une guerre déclarée contre notre patrimoine, contre nous tous ? L’ONU ? Les Nations « Unis » ? Sedan ? Verdun ? Arès, Mars ? Même les toponymes le documentent, c’est gravé dans le paysage…
Alors, nos noms de lieux, no
s sacrés toponymes, leurs valeurs, sont-ils aussi les vôtres ? Je vous offre une réponse en poésie :
avec la Bernardière, toponyme de l’abattoir de la boucherie d’Herbault (41),
et la Bernardière, de Contres (41) et des sables scintillants d’Oisly (41)
parmi des millions de toponymes falsifiés par le commerce germanophile,
voire pire angle, saxon, vandale, goths, ou plus oriental encore…
Pour exemple, la référence, officiellement acceptée et subventionnée, dans l’Indre est : Stéphane Gendron (Groupe d’Expert aux Nations-Unies pour les Noms Géographiques) : Les noms de lieux de l’Indre, Éditeur : Académie du Centre et CREDI Éditions, 2004, ouvrage distribué en « interne » aux mairies et élus de l’Indre, livre que j’ai acquis difficilement. Est-ce du vol ? Une usure passion ?
Lien pour une copie d’écran : Stéphane GENDRON | Actes Sud
Lien transparent : https://www.actes-sud.fr/node/35634
Dans les faits, c’est une destruction de nos savoirs et de nos villages.
Pour les autres départements, 18, 28, 36, 37, 45… je vérifie depuis des décennies, et j’ai constaté que c’était du pareil aux mêmes.
Tout le monde peut aussi le démontrer.
Essayez vous aussi avec ce poétique mode d’emploi.
La preuve du mensonge :
https://patrimoine-rural.com/les-toponymes-bernard-et-saint-bernard-une-christianisation/
et la redécouverte du royaume de Syagrius, de Clovis, etc.,
C’est un cas d’école, mais je ne peux pas prévenir tout le monde de ces déviances. Faites « guillaume« , relayez !
Je vous tiendrai, bien sûr, au courant du succès de cette alerte, département par département, mairie par mairie.
Reprenez votre terroir en mains propres… soyez-en complice, mais pas d’eux. Des questions ?
Parlez-vous français ou êtes-vous de cette destruction ?
Sommes-nous égaux en toponymie ?
Libre ? Fraternel ? Républicain ?
Cor dit allemand.
A Blois, le dimanche 29 août 2022, jour de la sainte Sabine, souvenir romain s’il en n’est, et lendemain de la saint Augustin, aristocrate romain d’Afrique du Nord sans doute fatigué.
Nicolas Huron, historien en milieu rural, parfois sur patrimoine-rural.com, et γραμμαδιδασκαλίδης pour l’assiette (comptable de tout ce las), petit-fils de Guy Depussay, fermier à la Guillaumière, maire de Françay (41), grand-père honorablement et véritablement nourricier.
Nota bene : le lien « guillaume » en clair : https://patrimoine-rural.com/guillaume-la-guillaumiere-de-francay-loir-et-cher-les-geants-de-l-atlantide-et-carnaval/ pour beaucoup de toponymes en frontières antiques.
…
Copiez-collez ce courriel et expédiez-le aux ailes eu
es et aux « élu(e)s ».
N’en soyez plus ! Faites d’aise oies-eaux !
du pain, du vin, etc., à la place de vos maudits gazons maudits…
et des desserts gourmands à la place de vos déserts gourds ment- à gourdes…
Y avait ? Oui oui ? Si si ! Rrrr… zzzz…
Saint-Bernard déboisé, brouté…
Déforestation de Saint-Chaffrey (05) ?
Et Ailleurs ? Aïe heures ? Haïe heure ?
Et Saint-Chaffrey, ça veut dire quoi, papa ?