Vois haut chas « pitre », du latin petrus, pierre !
de la part du chapitre de l’abbaye de Bourgmoyen de Blois… vers 1155. A voir !
Les 7 péchés capitaux du chevet de l’église Notre-Dame de Françay (Loir-et-Cher ; 41)
Vue de l’ancien cimetière à l’est-sud-est de l’édifice.
On déroule ? Où ça tire la langue ?
en regardant saint Augustin…
et en donnant sa langue au chas
Photo Nicolas Huron
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Dévoiler, mettre à jour, archiver, pour ressentir, retoucher, réfléchir, regoûter, revoir, réécouter, relire, repenser et repanser… les grains, noyaux, pépins, pousses et rejetons de l’arborescence de la tradition populaire patrimoniale, mariale, villageoise, agricole, artisanale, familiale, chrétienne, terrienne, régionale, mythologique, légendaire, hagiographique, architecturale, latine, romaine, royale, historique… des terroirs, de finage paroissial, des propriétés, des communaux… par l’éclosion, l’extension, l’envol et l’explosion des savoirs infinis de notre grande sémantique française chrétienne catholique romaine de base grecque, et en suivre un temps les fils… les fruits, les œufs, les coquilles et nos petits cailloux blancs.
Faites-le vous-mêmes ou/et aidez-en ou financez-en l’archivistique… ici
Pour en entr’apercevoir l’infini : Contact et présentation !
Mais mets mes mets… attention mes mémés…
et à la boîte aux lettres de Louis XI…
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Françay (41) et les 7 péchés capitaux
Sacristie et chevet de l’église Notre-Dame de Françay (Loir-et-Cher ; 41)
avec, selon la tradition populaire, les 7 péchés capitaux
Photo Nicolas Huron
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Les modillons, les mots dits …illons (diminutif de « mouillons » en toponymie), laids maudits… sous la corniche aux hirondelles, avec ses corbeaux et corbelets, pour donner un peu plus de travail déporté et débordant au charpentier afin d’obtenir sainteté de l’ouvrage et d’éviter l’humidité et la pourriture des murs pour les mûres… et l’empoisonnement de l’eau de pluie avec les plombs des vitraux. Quoique, on s’en tape, c’est un ancien cimetière, et si quelqu’un voudrait déterrer les morts pour en faire sa soupe… Gars re…
Cherchez-y le rire de Bruno, Brun, le gros et bedonnant ours brun d’ici…
têtu, gourmand, brutal, soupe au lait et fainéant !
Dans la région, synonyme de Berrichon…
ou de Berruyer, ou de Berry
Cors boeufs laids ?
Qu’orbe lait !
Qu’or blé
Corbelets
et corniche !
Où corps nichent…
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Mémoire familiale historique parisienne et rémoise à Françay (41)
J’ai appris de par ma mère, Marie-Claude Huron, née Depusssay, paroissienne de Françay, baptisée et mariée dans cette église Notre-Dame de ce village, et par sa mère Yvonne Depussay, née Gravereau, ainsi que par quelques anciens de Françay (Loir-et-Cher ; 41), que les modillons sculptés extérieurs du chevet de cette église représentaient les 7 péchés capitaux.
“C’est les 7 péchés capitaux”, ce dire peut se transmettre comme tradition populaire, comme incroyables petits cailloux blancs historiques, que l’on pourrait penser Post-it, mais qui semble aussi ancien que ces sculptures elles-mêmes qui nous mènent en plein milieu du XIIe siècle, jusqu’à l’Italie du Nord et ses Lombards, jusqu’à la scolastique intellectualiste p(h)arisienne, jusqu’à l’invention franco-italienne de ce concept des 7 péchés capitaux, voire jusqu’au Concile de Latran et à saint Thomas d’Aquin, et jusqu’aux docteurs de la Sorbonne, et même jusqu’à l’ENA (Ecole Nationale d’Administration) et, choses incroyables, jusqu’aux FAQ du NET (Foire aux questions) et aux forums ( fora au pluriel en latin) de cette technologie.
Si, si, re…
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Origine des 7 péchés capitaux : les Sentences de Pierre Lombard
Pierre Lombard, né à Novare vers 1100, en Italie du Nord, dans le Piémont, de son vrai nom Pietro Lombardo, traduit en latin par Petrus Lombardus, se rendit à Paris vers 1136. Il y devint professeur à l’école Notre-Dame de Paris et en fut célèbre vers 1144 et obtint son magister en 1145. Il devint diacre en 1150 et archidiacre en 1156, puis évêque de Paris le 29 juin 1159 avant de décéder, à Paris, à cette charge le 20 juillet 1160.
Pierre Lombard fut célèbre dès le XIIe siècle, et est l’inventeur, en tant que “savant parisien”, de la popularité du concept des péchés capitaux à travers ses Quatre livres de sentences, Libri Quattuor Sententiarum, finalisés vers 1146, et surnommés les Sentences.
Ces livres, corrigés et adaptés, devinrent une référence en enseignement de la théologie à partir du quatrième concile de Latran en 1215. Il devint populaire dès 1220 comme une sorte de manuel de base de la scolastique.
Ces livres présentent une série de réponses proposées aux étudiants parisiens en théologie, une sorte de Reader’s Digest (magazine de vulgarisation scientifique créé aux USA en 1922 pendant les Années folles, introduit en 1947 en France, pendant les trente glorieuses des années 50-60-70), une sorte de compilation du genre des FAQ (Foire aux questions) que l’on peut trouver en 2021 sur le NET.
Il y est question des péchés capitaux au Livre 2 des Sentences, Distinctio 42.
Il s’agit d’une simplification des savoirs nécessaires à l’autorité, notamment professorale, et surtout bourgeoise, urbaine, nouvellement naissante et friande de toutes les prédations possibles, y compris intellectuelles, avec la simplification par clientélisme dû à l’industrialisation de l’hébergement étudiant dans le quartier de la Sorbonne, et de la Montagne Sainte-Geneviève, symbole de la sauvegarde de Paris et de son ravitaillement en cas de siège…
Méthodes de l’agence de voyage romaine, pour dépouiller et ruiner
via leur jeunesse prétentieuse et spirituellement ambitieuse
la noblesse et les bourgeoisies naissantes
des autres villes que Paris.
Fluctuat nec mergitur !
Hum, où me…, eu(es) me…, mi-âmes, miam !
Pierre Lombard a la réputation d’avoir été le premier docteur de l’Université de Paris.
Le nombre de ces péchés capitaux étaient au départ de 8 voire plus, mais… 7, tout comme 5, mnémotechniquement et publicitairement provoquent une allergie chez les êtres quelque peu symétrique que nous sommes. D’où sept, le fameux choix de sept… Seth ! Chants de liés ? Doux set… d’houssette… et écritoire…
Les insectes, mouches, azes, papillons, guêpes, etc., ont fait les fleurs et non l’inverse…
pour ne pas s’y tromper et aller plus vite.
Fais fées !
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D’où 7, doux cette… d’housette…
Doucette était le nom de la chatte noire de ma grand-mère Yvonne Depussay (qui a transmis cette tradition populaire), chatte que j’ai aimé caresser, qui m’a suivi, une fois, à la pêche à la Génière (Françay ; 41) pour y manger, lors d’une pêche curieusement très abondante, de petits carpeaux vivants par la tête à la chaîne à s’en faire péter la lampe, et qui, juchée sur la nappe en toile cirée de la table de la cuisine de la ferme de la Guillaumière (Françay ; 41), “aimait” frotter ses moustaches et babines le long de ma flûte de collégien quand je soufflais dedans.
Mon grand-père Guy Depussay, maire du village de Françay, paysan de la Guillaumière, au gibier, à la basse-cour et au cheptel totalement exterminés par le sifflement du gazoduc bolchevique, par celui de l’autoroute hitlérien et parigoth A10 dit l’Aquitaine menant pour les vacanciers au port esclavagiste de Bordeaux, par la radio-activité de la ligne haute-tension, et par celle de la BBC et de la grande antenne d’Herbault se rajoutant à celle de la gendarmerie, mais aussi par les congés payés des Parigoths et leur « culture » anarcho-capitaliste “vélo et révolver”, de foires et d’expositions universelles XIXe siècle, de la Fleur au fusil du 113ème d’infanterie, de celle des Années Folles, de la Grande dépression, des occupations germano-américaines avec leurs vendeurs d’aspirateurs et autres vaporisateurs, ou tondeuses à « gazons » et autres climatiseurs, ou de pièces détachées de machines agricoles obligatoirement importées, etc., des Trente Glorieuses, de la Culture Qu’a-mis-case japonaise, etc., et payant les boîtes de Ronron de cette Doucette, avec son ancien labeur de labours et son budget amaigri servant à nourrir les Blésois et les gens d’Herbault, et parfois les vacanciers des congés payés parisiens, éclatait, contre le mur de son garage, qui lui servait de panorama de sa cuisine, les chattons de ce remarquable spécimen noir non local aux multiples reflets, sachant qu’à la ferme de la Guillaumière, étaient, chez Michel, des chats locaux blancs un peu sales, farouches et sédentaires portant sur leur minois deux yeux de couleurs différentes. Lasse-Co… Chauvet… Show V !
Pour faire face à l’adversité des déserts agricoles et urbains…
grandes questions récurrentes.
Cette pêche est… ?
Les Sentences !
Prune y est !
15/08
Bizzz art !
Si trop aine…
anciennement et autrefois aussi à mi-6
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Françay, franciaco, première mention en 1145
Extrait de mon ouvrage introductif sur l’église Notre-Dame de Françay (41)), pages 23 et 24, accessible gratuitement ou non à Françay et de là.
La première mention écrite de Françay : 1145
La première mention écrite de l’église de Françay, et de la commune, apparaît donc dans une bulle, un acte pontifical, du pape Eugène III, bulle de confirmation des biens de l’abbaye de Bourgmoyen datée du 25 mars 1145. Ce document nous donne la liste des églises dépendant et appartenant à l’abbaye de Bourgmoyen vers le milieu du XIIe siècle. Il a été recopié au XVIIIe siècle, dans le cartulaire de l’abbaye (Archives départementales de Loir-et-Cher : 3 H 111 fol. 56 v°, 57 et 57 v°).
Extrait : « ecclesiam sancti honorati (l’église Saint-Honoré de Blois, disparue), ecclesiam de Ussel, ecclesiam de Ballis, ecclesiam de Mons (l’église des Montils), ecclesiam de Colungiis, ecclesiam de Change (l’église de Cangé, Indre-et-Loire) cum medietate decimae, capellam sancti Karilophi cum pertinentiis suis, capellam de Siglas, capellam de Plexeio Minardi (la chapelle du Plessis-Ménard), ecclesiam Juschiaco (l’église de Jussay, Herbault), ecclesiam de Franciaco (l’église de Françay), ecclesiam de Solomiis (l’église de Selommes), ecclesiam de Veteri Vico (l’église de Viévy-le-Rayé) cum omnibus decimis suis, ecclesiam de Escaumant (l’église d’Ecoman), ecclesiam Sancti Léonardi (l’église de Saint-Léonard-en-Beauce) cum pertinentiis suis, ecclesiam de Mare (l’église de Mer) cum décimis suis, capellam de Chambort (la chapelle de Chambord) cum terris, capellam de Herbaut (la chapelle d’Herbault), decimas piscationis et molendinum in exclusa Lygeris et XX solidos in portu et lagenas vini tabernarum et X solidos in cambio de elemosina comitis, LXX solidos de pasnagio forestium comitis, capellam de Plexio Hervei de Scalia (la chapelle du Plessis-l’Echelle), ecclesiam de Curte (l’église de Cour-sur-Loire ou de Cour-Cheverny). »
Cette mention écrite nous apprend donc que l’église de Françay tomba dans la dépendance de l’abbaye de Bourgmoyen avant 1144. Nous ne savons pas quand cela eut lieu, mais il est probable que cette prise de possession se fit, sous la protection du comte de Blois, entre 1120 et 1144.
La confirmation de 1154
L’église de Françay apparaît dix ans plus tard dans une autre bulle pontificale du pape Anastase IV de confirmation des biens de l’abbaye Notre-Dame de Bourgmoyen datée de 1154 (Archives départementales de Loir-et-Cher : 3 H 111 folio 52 v°).
Extrait : « ecclesiam Sancti Sollemnis (église Saint-Solemne) cum pertinentiis suis, ecclesiam Sancti Honorati (l’église Saint-Honoré de Blois, disparue), ecclesiam de Curte (l’église de Cour-Cheverny), ecclesiam de Cheverni (l’église de Cheverny), ecclesiam de Vuessel, ecclesiam de Challis (l’église de Chailles), dimidium molendini de Rena, locum Beuronis cum appenditiis suis, ecclesiam de Montis (l’église des Montils), ecclesiam de Colungis, ecclesiam de Change cum medietate decima (l’église de Cangé avec la moitié de la dîme), capellam Sancti Karilophi cum pertinentiis suis (la chapelle de Saint-Calais), capellam de Seglat (chapelle de Seillac), capellan de Plexiaco Manardi (la chapelle du Plessis-Ménard), capellam de Boschia (chapelle de la Bosse), ecclesiam de Juschiaco (l’église de Jussay, Herbault), ecclesiam de Franciaco (l’église de Françay) ecclesiam de Solomis (l’église de Selommes), ecclesiam de Veteri Vico cum omnibus decimis suis (l’église de Viévy-le-Rayé avec ses dîmes), ecclesiam de Escaumant (l’église d’Ecoman), ecclesiam Sancti Leonardi pertinentiis suis (l’église de Saint-Léonard-en-Beauce et ses dépendances), ecclesiam de Mari cum decimis suis (l’église de Mer avec ses dîmes), capellam de Chambort cum terris (la chapelle de Chambord avec les terres), capellam de Herbault cum decimis (la chapelle d’Herbault avec les dîmes), decimas piscationis et molendinum comitis in exclusa lygeris et XX solidos in portu et lagenas vini tabernarum et decimam stalliorium in cambio de elemosina comitis, LXX solidos, et totas decimas tam de pasnagio quam in agricultura forestium comitis, capellam de Plexio Hervei de Scalia (la chapelle du Plessis-l’Echelle), ecclesiam de Curte super ligerim (l’église de Cour-sur-Loire), furnum in Monte Livaudo cum consuetudinariis suis (le four de Montlivault avec ses coutumes), duos modios siliginis quas Odda Grossa de parte decima sua in Monte Livaudin quam tenent successores Stephani Gaudulfi memorata ecclesia concessit et medietatem vini de parte cujusdem decima nobis a pradicta Grosse concessam quartam partem aque Sacnti Deodati in Lygeri tam in piscationibus quam in molendinis patrimonium quod Guinebertus Procentor eidem ecclesia contulit decimam… »
Une autre confirmation sera donnée par le pape Lucius III le 15 mars 1183.
Le prieuré-cure de Françay : 1155
En 1155, le pape Adrien IV, par une bulle pontificale, accorda aux abbés et religieux de l’abbaye de Bourgmoyen, le privilège de nommer les prieurs-curés des églises dépendantes de l’abbaye. Ce fut donc à partir de la seconde moitié du XIIe siècle que la paroisse de Françay fut desservie par un prieur-curé nommé par l’abbé et les chanoines de Bourgmoyen.
Carte Nicolas Huron
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Le chevet du chœur de Notre-Dame de Françay vers 1155
Extrait de mon ouvrage introductif sur l’église Notre-Dame de Françay (41), pages 25 et 26, accessible gratuitement ou non à Françay et d’ici.
Les agrandissements de l’église au XIIe siècle
La reconstruction du chœur vers le milieu du XIIe siècle
La reconstruction complète du sanctuaire a sans doute était le fait des chanoines réguliers de l’abbaye de Bourgmoyen et du prieur-curé nouvellement nommé en 1155 pour desservir la paroisse. En effet, le chœur, son entretien, sa reconstruction, était généralement à la charge des gros décimateurs, c’est-à-dire des seigneurs laïques ou ecclésiastiques qui prélevaient la dîme sur la paroisse. Ce nouveau chœur marque l’installation du prieuré-cure dans la paroisse.
Le nouveau chœur est composé d’une abside semi-circulaire aux murs épais renforcés par des contreforts plats à ressauts. Un bandeau, en quart de rond, marque, à l’extérieur, entre les contreforts, la limite inférieure des trois baies en plein-cintre qui éclairaient ce nouveau sanctuaire. Un tel bandeau en quart de rond existait également à l’intérieur du sanctuaire, mais il a été pioché et arasé, au XIXe siècle, en 1869, lors d’une réfection intérieure après l’installation d’un nouveau retable, sauf derrière le retable en question où il subsiste encore.
Les arcs des trois baies en plein-cintre ont des claveaux généralement réguliers, sauf à quelques exceptions qui semblent appartenir à des claveaux de récupération de l’ancien chevet de la fin du XIe siècle ou du début du XIIe siècle. Ces trois baies sont ébrasées à l’intérieur de l’édifice. La baie centrale a été murée lors de l’installation d’un retable.
La corniche du sanctuaire est décorée et soutenue par douze modillons sculptés de masques grimaçants, le plus souvent d’animaux, ou de formes géométriques. La tradition veut que ces modillons soient la représentation des sept péchés capitaux. Ils évoquent surtout la condition quelque peu incertaine et bestiale de l’Homme sous l’influence de la Bête, du démon.
Cliquez sur l’image pour en profiter à loisir dans une autre fenêtre…
Photos Nicolas Huron
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Etude complétée ici de manière incroyable…
Les péchés capitaux, un poison morale à la place de la bonne santé…
La tradition populaire rapportant la représentation des 7 péchés capitaux, au-dessus du cimetière de l’église Notre-Dame de Françay semblerait légendaire, mais est cependant véritable. J’en fus témoin. Ces modillons sont des petits cailloux blancs qui en indiquent et qui tuent le poison moral p(h)arisien des marchands de l’intellectualisme sorbonnard de la Montagne Sainte-Geneviève, développement immobilier pour de vieux pro-fesseurs en mal de jeune vie… Eve…
Ces modillons sculptés en sont un remède, car les péchés capitaux étaient, en réalité, au départ, chez les Grecs, des péchés, des fautes grevant la bonne santé, de mauvais comportements physiques. Ces fautes entraînaient des savoirs, des suggestions et des recettes de bonne santé physique et donc psychique pour une spiritualité à toutes épreuves. Cherchez et vous pourrez vérifier cette vérité, notamment à travers les ermites du désert, les anachorètes.
Ces sculptures se présentent donc comme suggestions de remèdes…
Goût roux ?
Et preux vœux…
Maux, nos pôles + – ? Monos Paul ? Monopoly !
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L’étude complétée à l’infini…
Mes prochains articles porteront sur :
Une confirmation de datation stylistique
La tradition des 7 péchés capitaux du chevet de l’église Notre-Dame de Françay est une véritable confirmation de la datation de la reconstruction de ce chœur vers 1155 et en est une confirmation stylistique incroyable.
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Une lecture architecturale plus spatio-temporelle : les orientations…
L’église Notre-Dame de Françay a une orientation très spéciale… Nord-Est, 55°, qui est parallèle à la Loire, à la centuriation romaine, et son chevet pointe, vers la villa gallo-romaine esclavagiste rasée toute proche des Mergers (sur Herbault ; 41), vers Landes, Bourge (voir les cartes du Blésois), vers la Beauce, en longeant la Loire, vers Orléans, Fontainebleau, la Champagne, et Reims et donc le baptême des Francs, et plus bas et plus loin vers Trêves et l’empereur Constantin.
Vers un fragment du Golgotha de Jérusalem ?
de la Vraie Croix d’Orléans ?
Vers saint Rémi, Clovis et Reims…
Vers l’empereur Constantin
jusqu’à
Trêves
Raie, moi
Sous à son ?
C(((H)))ampagne ?
Pour l’horloger de Reims ?
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Une lecture architecturale langagière, géométrique et géographique : Histoire…
Le chevet de l’église Notre-Dame de Françay, par sa configuration architecturale, avait été reconstruit vers 1155 pour fasciner les esprits, pour rappeler une culture gréco-romaine, pour offrir une gymnastique spirituelle à tous. Des histoires dans l’Histoire, avec des mathématiques, de la géographie, de la médecine, de l’astronomie, un rappel de Dieu et un rappel à Dieu… Tous les secrets de l’art roman bénédictin, une ouverture vers les traditions, vers les savoirs littéraires et les savoir-faire paysans et artisanaux.
Une ouverture ou Troie ? Trois troua… de lumière, de lu mis hier…
Vaine US ? Sceau laye ? Lue eue ne…
Grand Soir ou petit math thym ?
Nouveau monde spirituel !
Hors d’eau Ab… cas hauts !
Abeille y… abbayes ! A baies y… ou verte Ur ?
A faire, à refaire, ou à comprendre enfin en fin… Lée Troie, mont cap y t’haine.
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Les modillons, un à un, en trois séries : 1ère série…
Chaque modillon semble indiquer une direction géographique précise et l’actualité du royaume des Francs au XIIe siècle. Ainsi, le premier en partant de la gauche, est une clin d’oeil de maître maçon avec sa « langue de chat », sa petite truelle. Il regarde vers Châteauroux, dit à l’époque Château-Raoul (devant son nom à Raoul le Large : 915-952) au temps de Raoul VI, seigneur de Déols et Châteauroux, de 1148 à 1176 (Raoul se prononçant Roule, comme août se prononce oute), château roule, chat au roule (ou rôle), chatte aux roux houleux… Est-ce un chat ? un chas ? à grande langue roulée ? Roux Lée… antiseptique (donc ici en grande sémantique), contre les Enfers. Le premier des remèdes suit…
Les chats ne dorment que d’un œil… et il faut
tourner 7 fois sa langue dans sa bouche à vent de par Lay…
tourner cette foi, salant gueux, dans sa bouche avant deux par Lait…
Deux premiers modillons, corbelets, du sud du chevet de l’église Notre-Dame de Françay
« Chat lit… », chas lie ?
Photo Nicolas Huron
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Le suivant évoque le sommeil réparateur, seul vrai remède (les 4 véritables clés de la réussite), précédé d’une bonne gastronomie, à presque tous les maux et laids mots pour qu’ils fassent Sens. Le même personnage est représenté dormant, à gauche avec son bonnet de nuit, vers le Couchant, vers Poitiers et la Gironde, poids t’y est… (jusqu’à Lisbonne ? qui vient d’être prise par les croisés) et ouvre les yeux sur le Levant, l’or riant, et regarde vers Sainte-Croix, vers une vraie part du Golgotha, Orléans, hors laid an, et vers Sens (à prononcer : « Sang se… »)… Le modillon trouve, au centre, son éveil, peut-être vers le Lyonnais, le « lit haut né », Lyon, lions, cette colonie romaine… et vers l’Italie et surtout vers Rome, Rrrr’homme… et le coq de saint Pierre, rappel de trahison (vérifiez avec des cartes et une bonne orientation…). Avec les autres de la série, il se lie et se lit : “lit yeux”, ou “nuit et jour”, bref, “lieux”, « lis eux », « lie eux », etc. L’ours suivant étant le symbole de l’insouciance et de la bonne santé, voire de Théodora, du cirque, et de Contantinople, Byzance… de Manuel Ier Comnène le Grand. Un hasard ?
Manuel ?
Lourd se… lève.
Style troubadour ou trouvère ?
Bernard de Clairvaux et la seconde croisade de Vezelay…
Troisième et quatrième modillons, corbelets, du sud du chevet de Françay
« Chat lit… ber », chas liber ? Chas libère eux… avec la langue bien tenue…
voire, Chalibert, une variante de Chalubert, de Caribert,
du germain « prêt au combat, brillant »
sans effroi, avec sang F. Roy…
Photo Nicolas Huron
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Le troisième, l’ours Ber, Berne, Bernard, Brun, Bruno (marron, bronzé…), semble regarder vers la grasse matinée, au sud-est, vers Bourges, Avaricum, l’avarice dont on connaît le destin par Jules César, avec plus loin Lyon. L’ours rit sur le Berry, « Ber rit », sachant que “ber”, c’est l’ours.. même chez les Germains. Ber signifie aussi « fontaine », la source, celle de la Loire, lasse ourse… (la grande casserole… en rit aux larmes), petite eau, -ille en toponymie, baie air y… B.R.I. (cela s’épelle et se pelle), bri-, brille. Solaire, au sud-est, vers la porte de l’Orient…
Le quatrième modillon, mi-homme, mi-oiseau (ou mi-dauphin), un faux animiste, avec son bec supérieur et son effroi, semble regarder plus à l’Est vers la Sologne sauvage, la Sigalonie, et au-delà vers Sancerre, qui appartenait à l’époque au comte de Blois, ou vers Auxerre (à prononcer « hauts serres », « hausse air »…), puis plus à l’Est vers l’Empire romain germanique qui prend ce nom en 1157, nom qui fut, à l’époque, jugé comme une fausse dénomination usurpée par les barbares germains destructeurs de l’Empire romain, avec sa prise, l’Italie du Nord… et semble dire : « euh, eux, œufs… » en pire… ou Huns, hein, les uns, l’aise… et les communs, les communes… et leurs franchises…
Sans serres, aux serres, Empire rôt mains… Incroyables révélations…
Au nord, cherchez l’anglais, l’ennemi, l’N mis, et son “th”… Zzz !
Comme Pierre Lombard, cela scotche…
saoule comme du scotch
colle aussi eux…
Cauchemar,
coche ma re… ?
D’où saint Bernard et
d’où, ensuite la réforme cistercienne…
le gothique et ses feuilles d’acanthes et leurs bourdons bleus absents…
Modillons nord du chevet de l’église Notre-Dame de Françay
Le minéral et son « sang » sans froid
ZZzzz, « th », langue de vipère
Photo Nicolas Huron
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Le mâle du pays et les pois(s)ons étrangers d’Italie du Nord
Plus loin ? Pierre Lombard et les banquiers bourgeois ou de « noblesse marchande », la guerre avec les drapiers anglais esclavagistes, la Peste Noire, les mites et leurs mythes, les famines du XIIe siècle… ? Marco Polo, les nouilles et la poudre à canon… ? Dante, Nicolas Machiavel…, l’humanisme… ? Christophe Colomb, le pop-corn, son tabac, la patate… ? Le rital Cavanna, Charlie Hebdo et Harakiri… ? Coluche… ?
…
La méthode scolastique et l’ENA
Bla, bla, bla, bla, bla… sur tout, n’importe quoi et son contraire, ou surtout n’importe quoi et sont contre air(es), uniquement pour paralyser et garder le pouvoir de la parole. Vérité ?
Crâne d’œuf, mais sans : « euh, eux, œufs… »
Merci de me l’avoir posée…
…
Etc.
-ette, c’est tes rats ? Michel Depussay, maire de Françay, m’a confié un secret. Chère aze ad…
…
A bientôt pour la suite ? Gratte huis…