Précis de Précy (18) contre les confus ions+- des confusions

Si tu vois la lumière blanche la Vierge : ceins l’ouïe !

Relisant, pour la mettre en ligne sur ce Web, mon étude d’inventaire de l’histoire architecturale de l’église Saint-Louis de Précy, et essayant de résoudre quelques énigmes rencontrées en 1991, je me suis aperçu que l’étude pour comprendre et ré-observer cet édifice, pour un lecteur et un curieux non averti, pouvait induire des confusions possibles. Pour éviter à de futurs chercheurs des erreurs et pour mieux présenter et comprendre l’Histoire de ce secteur de frontière antique militaire, je fais donc ici un petit inventaire non exhaustif des confusions que l’on peut rencontrer à étudier l’Histoire de Précy, et de son secteur, avec sa très rare et remarquable église Saint-Louis d’origine militaire.

En phonétique gallo-romaine, et encore compris au Moyen Age par les nobles et les clercs, Saint-Louis signifiait notamment : Syn Loup (Romain) oui (mouton) ; loue ouï ; loup we ; etc. ! Il peut se prononcer « loué » à la campagne, et se lire « lois » ou « Loys » dans les textes. Je pense qu’il faut le savoir dans les temps prochains, car les loups sont arrivés dans le Loiret et ont commencé à égorger les moutons. Alors apprécie l’église Saint-Louis à Précy, un refuge !

Église Saint-Louis de Précy… pour l’aborder avec précision…

Photo Nicolas Huron

Il ne faut pas confondre la désignation d’une personne comme, par exemple, saint Louis d’Anjou, évêque de Toulouse, décédé l’année de la canonisation de Saint Louis, en 1297, et le roi Louis IX, écrit Saint Louis qui fait exception avec ses deux majuscules, et, Saint-Louis, avec trait d’union, qui désigne le vocable, la dédicace, d’un édifice religieux, comme l’église Saint-Louis de Précy, ou un nom de lieu, comme la rue Saint-Louis, et la Saint-Louis, le jour, le 25 août pour le saint roi. Ainsi on a l’Église Saint-Pierre de Rome et l’église dédicacée à saint Pierre à Rome, et, on a le jour de commémoration de saint Pierre, jour de saint Pierre, et, le jour de la Saint-Pierre. Sinon, on a les syn pierres en matière de bâti sain, ceint, et seings… pour en être saint, seins… et pas queue… Quoiqu’en matière de domesticité… un refuge… pour les bêtes est aussi toujours nécessaire.

Confusions par confus ions+-

Précision en précis ions+- pour une cure ferrugineuse à Précy

auprès de sa militaire église Saint-Louis ! Complément indispensable

que je déconseille d’essayer vivement d’aborder en une seule fois…

Faites-vous un marque-page… et un marque page…

pour les pages de saints Louis, de Saint-Louis,

que furent et firent les Louis de Sancerre.

Quelques connaissances préalables : églises et chapelles…

Il est nécessaire de savoir qu’une église rurale portait le nom et le titre de chapelle, capella, jusqu’au renouveau du bâti en pierres de ces édifices religieux. Ce renouveau est encore visible aujourd’hui à travers le style préroman tardif des Xe et XIe siècles et le style roman des XIe et XIIe siècles. Ce changement intervint alors que la plupart des édifices chrétiens catholiques romains ruraux étaient en bois à la suite des invasions barbares, puis des invasions normandes qui engendrèrent la féodalité, société mafieuse de serments organisée à l’origine sur des promesses de butins, de pillages, d’autorité personnelle, de territoires et de châteaux privés. Malgré les reconstructions des églises en pierres, comme refuge, la plupart des maisons rurales restèrent majoritairement à structure bois jusqu’à la fin de l’époque moderne à cause des coups du dispendieux outillage, des coûts des carriers, des fours à chaux, des tuileries, etc.

Le terme chapelle se rapporte à la cape de saint Martin offerte par ce légionnaire à un miséreux (sans doute un ancien combattant blessé du limes romaine), c’est-à-dire à un abri généreusement « offert » par la population locale pour veiller aux nomadismes criminels pillards ou marchands et aider les pèlerins et les voyageurs chrétiens catholiques romains en quête de vérité, de soins ou en mission. Ce fut une mesure de sauvegarde et de santé publique encore utilisée de nos jours et servant accessoirement de souricières à pillards, car c’était des lieux de franchise, avec le cimetière attenant, où les forces militaires n’avaient théoriquement pas le droit d’intervenir, bien que ce soit elles qui les aient parfois créées, comme ce fut le cas pour l’église Saint-Louis de Précy.

Des traces de cette réalité sont encore lisibles et visibles sur les panneaux routiers pour la Chapelle-Montlinard (18), dont le nom rappelle la frontière, bourg situé au nord-est de Précy, sur l’ancienne voie romaine de Bourges à la Charité-sur-Loire, en frontière antique, dans l’ancien diocèse de Nevers, en limite des diocèses de Bourges et d’Auxerre, avant le passage de la Loire, et pour la Chapelle-Hugon (18), entre la Guerche-sur-l’Aubois (toponyme militaire de forteresse) et Sancoins (géographiquement coin du diocèse de Nevers, mais côté Berry) au sud de Précy, du côté ouest de la Forêt d’Apremont, célèbre pôle touristique de l’ancien diocèse de Nevers, situé aujourd’hui en Berry, cette forêt et son relief faisant frontière antique, en tiques, en toiles d’araignées, en épines et parfois en abattis (troncs enchevêtrés) et pas que…

Ce rappel toponymique nous indique que la plupart des communes, anciennes paroisses, portaient déjà leur nom phonétique actuel, les deux chapelles précédemment citées ne pouvant pas dater antérieurement au début du Ve siècle, mais pouvant être issues, dès les Ve-VIe siècles, des réformes de l’empereur Constantin au IVe siècle. Le caractère d’abri de ces deux toponymes est dû ici à la présence des voies romaines.

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A Précy (18) apprécie sa frontière antique en tiques du Berry

Si tu vois la lumière blanche la Vierge : ceins l’ouïe ! Saint Louis ?

Quand on pense généralement à frontière, on pense à voies, routes, chemins, à tour de garde, à « poste-frontière » et à forces d’opposition ou d’intervention, à contrôle (et à contre rôles… des rouleaux de mythes empoisonnés et de fausses comptabilités de certaines tribu(t)s nomades), à poste de commandement, à forteresses, à châteaux, à camps, à abris, à remparts, à obstacles, etc., mais aussi à change et à commerces… et à ravitaillement… Le relief, avec la Loire et son coteau, la forêt d’Aubigny, les failles géologiques ferrugineuses qui sont trompeuses en appréciation instinctive, les reliefs induits par ses failles géologiques… font frontière, mais la toponymie des abords ouest de la Loire dans les environs de Précy est aussi remplie de références militaires : les Barres, château de Précy, Montfaucon, Saint-Julien-le-Chaudrier, les Bourgognons, les Culées, les Boulaises, Château Gaillard, Saint-Martin-des-Champs, le Bourg (en contrebas du coteau de la Loire avant la Charité-sur-Loire), la Chapelle-Montlinard, Saint-Germain, la Guerche-sur-l’Aubois, etc. Beaucoup de ces toponymes étaient militaires à une époque que l’on peut étudier : préhistorique, gauloise, romaine, franque, etc. Cependant, le sens que chacun y voit, mais surtout les sens multiples ont le plus souvent étaient perdus. Chacun interprète ces toponymes à son idée, ainsi la Villeneuve invite à une colonisation possible pour savoir qui est un cannibale nomade en en faisant nasse. Il fait phonétiquement référence à une jeune putain (vile nœud veut… en indiquant que le verbe était situé souvent à la fin des phrases autrefois, pour tromper l’auditoire sur une confusion possible entre le sujet et le complément d’objet direct, surtout pour les barbares à langue agglomérante, comme l’Allemand, genre « petit nègre », ou les mots de liaison et la grammaire, le Verbe, le Logos, la logique, sont totalement défectueuses). On a aussi l’église Saint-Jacques-et-Saint-Cyr de Sancergues qui semble être un aménagement romain avec son exorcisme… ou pas, comme Saint-Cyr de Nevers qui évoque les marches des tribunaux iniques orientaux et des autorités impériales en vacances en Orient (voir mon énorme étude sur Saint-Cyr-en-Bourg, en Maine-et-Loire, sur une autre frontière) et en vacance en Occident, pour ceux qui sauraient apprécier la nuance… On ne peut pas expliquer tous ces toponymes dans le détail ici, c’est un travail énorme que chacun peut faire. Chaque Hun ? En tampons chinois, en QR code ? Indiquons seulement que Précy faisait aussi référence au Moyen Age à un acte militaire, le tournoi, la presse, et donc aussi au change et à la monnaie, à travers la livre tournois choisie par Saint Louis pour assainir les finances du royaume de France (Île de France) tout neuf et remplaçant le royaume romanisé des Francs des VIe-XIIe siècles en cette frontière avec l’ancien royaume des barbares burgondes. Nous sommes là entre deux très grandes entités géographiques définies par le dieu Auguste César, le dieu de l’enfance heureuse et instruite de Jésus Christ et de la centuriation romaine des campagnes : La Lyonnaise, avec Nevers, Sens, Auxerre, Orléans, Chartres, Blois… et l’Aquitaine, avec Bourges, Châteauroux, Bordeaux… Et, écart, car…

Si tu vois la lumière blanche la Vierge : ceins l’huis ! Saint-Louis…

Crois-en l’église Saint-Louis de Précy et sa chapelle privée Notre-Dame associée car…

en phonétique gallo-romaine, et encore compris au Moyen Age par les nobles et les clercs, Saint-Louis signifiait notamment : Syn Loup (Romain) oui (mouton) ; loue ouï ; loup we ; etc. ! Il peut se prononcer « loué » à la campagne, et se lire « lois » ou « Loys » dans les textes. Je pense qu’il faut le savoir dans les temps prochains, car les loups sont arrivés dans le Loiret et ont commencé à égorger les moutons. Alors apprécie l’église Saint-Louis à Précy, un refuge en terre ferrugineuse, agricole, forestière et fluviale, sur carbonate de calcium jurassique (à orthographier avec un crayon et une gomme) !

En sachant au préalable qu’elle en comprend rien…

Après ou avant l’étang… entrez… les enfants morts en bas âge sont à l’abri devant le portail principal… Faites-en un peu conversation… là-dessus et las dessous à l’abri de la pluie… car…

en toponymie, le A peut être un È, Ê, AI, Hé, et, est… ainsi Précy doit se prendre aussi comme Prassy en cette frontière à traverser… en payant le passeur… et que le -y final, selon les régions peut être un -ac, un -ay, un é… comme génitif… comme génie t’if !

Ainsi Précy appartient à la famille faune éthique de phonétique toponymique de : PRASSÔ, PRASIA, PRASION, PRASIOS, gallo-gréco-romaine, mais pas que…

Passé, ça passe ? Oui, c’est Précy !

du Verbe, le Logos, et du verbe :

πράσσω

Quant aux plates-bandes de maraîchages…

πρασιά

Oui, c’est très très précis, Précy, comme injonctions…

frontalières, front talle lierres… fff’rond thalle lie air… front tas lis ère…

πράσιον

Pour les bordures des chemins forestiers, et pour l’aquaculture…

ligérienne et pas que… Croyez-en l’étang de Précy en chevet de son chevet…

πράσιος

pour le printemps, temps du Prince… pour les Dauphins aux dos fins…

Quel culot !

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Liste, liens et circonstances : les toponymes Saint-Louis

Si tu vois la lumière blanche la Vierge : ceins l’ouïe !

Cet article est dédié à tous ceux qui sauront apprécier l’église Saint-Louis de Précy (Cher) avec sa chapelle privée Notre-Dame attenante et sa petite entrée couverte dite « galerie » et tout son environnement, notamment par la mise en ligne de la publication de mon ancienne étude d’inventaire historique et architectural de cet édifice plein d’énigmes spirituelles et temporelles qui en feront monter plus d’un en compétences cognitives (voir mon article dédié aux confusions à éviter par confus ions+-), s’il est capable d’efforts, aux vues de cette jolie petite église rurale, édifice et lieu qui furent, sont et seront d’un très bon repos campagnard en frontière antique… selon les vœux des Louis de Sancerre, comte de Sancerre, terre liée au Blésois, chez moi, et selon les vœux liés à Paris (mon lieu de naissance) de Saint Louis, roi de France (1214 ; + 1270 ; canonisation en 1297), et les vœux de deux grands militaires, exacts contemporains, et survivants de la Peste Noire en âge de raison : Louis de Sancerre (1341-1342 ; + 1402), connétable de France, et le duc Jean de Berry (1340 ; + 1416), dont le gisant, avec l’ours muselé à ses pieds (référence à Théodora, femme de l’empereur Justinien), montre que cette population a été, est et sera toujours un peu retord à l’autorité, gauloise, romaine, franque, royale, française, etc., population toujours un peu en but aux commerces et autres addictions et propositions orientales… comme l’avait déjà noté Jules César dans la Guerre des Gaules.

En phonétique gallo-romaine, et encore compris au Moyen Age par les nobles et les clercs, Saint-Louis signifiait notamment : Syn Loup (Romain) oui (mouton) ; loue ouï ; loup we ; etc. ! Il peut se prononcer « loué » à la campagne, et se lire « lois » ou « Loys » dans les textes. Je pense qu’il faut le savoir dans les temps prochains, car les loups sont arrivés dans le Loiret et ont commencé à égorger les moutons. Oui, oui… Alors apprécie l’église Saint-Louis à Précy, et les autres encore debout : des refuges !

Pour commencer à comprendre l’Histoire de France

à travers les toponymes

Saint-Louis

lieu par lieu, en géographie historique descriptive…

voici, ci-dessous, dans cet article, la liste des églises Saint-Louis et de la plupart des toponymes Saint-Louis de Paris et de sa région, et surtout de Région Centre (-Val de Loire, complément absurde en Berry… quant à Chartres… -Val de Seine ?) et un peu des environs, avec leur cartographie, ainsi que la cartographie très révélatrice des communes et de la plupart des lieux-dits ruraux Saint-Louis de France.

C’est un toponyme apparaissant à la fin du XIIIe siècle et au début du XIVe siècle et qui trouve son origine au XIIIe siècle, à l’époque du passage du royaume des Francs au royaume de France, domaine royal et extensions, et donc de la généralisation pour l’ensemble de ce pays du toponyme France, qui ne désignait à l’origine que l’Île de France, la Région parisienne.

Je vous donne un avis cartographique et historique sur ces toponymes, surtout par chez moi, en Région Centre, et chez ma région voisine la parisienne, étymologiquement concernée, et plus généralement en France, pour tenter d’en décrypter les circonstances.

Avant d’être, pour des questions pratiques d’études de terrains et de sang, un peu chauvin et de n’aborder que ma Région Centre et les environs, je vais commencer par la morte et lourde région voisine autrefois magnifiquement agricole et industrieuse, la Région parisienne. Mais avant, il faut d’abord signaler l’exceptionnelle et magnifique église Saint-Louis-des-Français à Rome, également dédiée à la Vierge Marie et à saint Denis. Un chef-d’œuvre de styles Renaissance et Baroque construit entre 1518 et 1589, entre les règnes de Louis XII (1498-1515) et d’Henri IV (1589-1610), sur un terrain des Médicis, pour la Gloire de Rome, en espérant que la modeste église de Précy, avec son chœur de style français, dit gothique, et sa modeste nef de style Henri IV, voire Louis XIII, ne fasse de l’ombre à l’immortel syn-pierres de l’entourage de Saint-Pierre de Rome. À Rome, cet édifice n’est pas loin d’autres églises nationales françaises : Saint-Nicolas-des-Lorrains, Saint-Yves-des-Bretons, Saints-Claude-et-André-des-Bourguignons, la Trinité-des-Monts.

Waouh !

Les églises Saint-Louis à Paris, en région parisienne,

en Région Centre Val de Loire

et aux environs et les toponymes du même nom

Les églises et toponymes Saint-Louis en Région Centre

Carte Nicolas Huron

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