Frontières antiques : approche du culte de saint Saturnin (2)

Vérifier une grande découverte scientifique

Pour étayer cet article, j’ai personnellement étudié et fait un ouvrage et une conférence sur les noms de lieux de Limeray (gratuit ou non, en boutique), et sur les églises rurales Saint-Saturnin de Pouillé, Ceaulmont, Montgivray, Thaumiers (ouvrages ECCLESIA disponibles via mes historiques des communes et par Contact !), et j’ai étudié sur place le terroir associé et celui des autres lieux de ce culte.

Boucle du Pin vue de l'église Saint-Saturnin de Ceaulmont (Indre)

Boucle du Pin vue de l’église Saint-Saturnin de Ceaulmont (Indre)

J’ai découvert récemment grâce à l’étude de Saint-Cyr-en-Bourg que ce toponyme évoquait bien plus que le culte de saint Cyr et sainte Julitte, mais aussi les abominations de l’Empire romain dans ce lieu, et la présence plus ancienne d’une forteresse gauloise, et la présence encore plus ancienne, préhistorique, d’agriculteurs du Néolithique et d’aigrettes, petites et grandes, et de l’écosystème associé (ormes géants pour la nidification, marais pour la nutrition avec tout ce qui peut y vivre et y pousser), de plus j’ai découvert aussi que ce toponyme de Saint-Cyr-en-Bourg évoquait aussi, l’étoile double Sirius, et les notions d’autorité, de blancheur, l’hydrogène et l’O2, etc., toutes choses à découvrir en partie ici :

Articles “vis ta mine”, à partir de Saint-Cyr-en-Bourg.

Cette découverte scientifique devait être vérifiée. J’ai donc testé ces constats linguistiques, plusieurs fois, dans d’autres milieux et domaines : culte de saint Cyran, culte de saint Loup, culte de saint Michel, culte de saint Pantaléon, culte de saint Pierre, etc.

La vérification en Région Centre sur le culte de saint Saturnin donne des résultats étonnants qui n’ont probablement pas encore donné tous leurs fruits.

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Saint Saturnin et Saint-Sernin

Parmi les saint Saturnin les plus honorés et populaires au sein de l’Eglise catholique romaine, on retient surtout : saint Sernin de Toulouse, le plus célèbre en France, martyrisé sur le capitole de cette ville, attaché à un taureau ; saint Saturnin, martyr en 305, les côtés écorchés avec des griffes de fer ; saint Saturnin et ses compagnons, martyrs d’Abitène en 304, emprisonnés, morts de faim en prison, morts sous la torture, le poids des chaînes, les infections du lieu, etc.

Le premier est lié à la courbure des cornes du taureau, le second à la courbure de son côté et celles des griffes des bourreaux, le troisième aux bâtiments des prisons, à leurs profondeurs à la hauteur de leurs bourreaux.

Le culte de Saint-Saturnin, le plus célèbre, en Gaule, fut celui de saint Saturnin ou saint Sernin de Toulouse, envoyé en Gaule par le pape Fabien, vers 208, et qui se fixa à Toulouse dont il fut le premier évêque. Saint Saturnin fut massacré sous Decius. L’abbaye Saint-Sernin de Toulouse fut fondée en son honneur à la fin du IVe siècle.

Saint-Saturnin, évêque de Toulouse - église de Pouillé (Loir-et-Cher)

Saint-Saturnin, évêque de Toulouse – église de Pouillé (Loir-et-Cher)

Tout faire pour ne pas oublier…

Mes premières investigations

Le rapport entre les églises Saint-Saturnin et un ancien culte à Saturne auprès des frontières, culte lié à la viticulture a été démontré dans cet article de recherche :

Le dieu romain Saturne et les églises Saint-Saturnin.

A ceci, il faut ajouter la notion de courbure, et de côté, bien visible en Touraine.

Oh ! “ça tourne !”

Ce constat indique que la terminologie “saint-saturnin” ou “saint satur” signifiait aussi autre chose dans l’archéologie linguistique locale de la région.

La désignation « Saint Saturnin » existait sans doute, pour certains toponymes, avant même l’installation du culte du saint catholique romain, et sans doute même avant l’introduction du culte de Saturne par l’invasion romaine qui eut lieu pendant la guerre des Gaules, guerre achevée par Jules César.

Dans l’esprit de Rome, les toponymes Saint-Saturnin, peut-être déjà existants, ne pouvaient nécessairement que se penser sous le signe de l’abondance, de la paix, donc de la paysannerie, de la fertilité, mais de façon maintenue, puisque Rome était une société esclavagiste dont la contrainte et l’abomination criminelle sont difficilement imaginables pour nous aujourd’hui.

Ces notions se comprennent encore aujourd’hui comme :  ceint Saturne in, en rapport avec le rythme des années et des saisons et avec le retour de l’extension des jours et de leur lumière, à partir de la fin décembre, agrandissement et accentuation de la course courbe du Soleil, source de vie, dont la fête de Noël est, encore aujourd’hui, une éclatante illustration.

La question est : Cette terminologie toponymique “saint saturnin” ou “saint satur” existait-elle avant l’invasion romaine et ses cultes propres, dont celui de Saturne ?

La fertilité et sa géologie, ainsi que la configuration géomorphologique associée, ont-elles pu coller, dans notre langue, les notions linguistiques présentes dans l’appellation Saint-Saturnin ?

La recherche ci-dessous confirme que oui, cependant le culte de Saint-Saturnin a pu s’accoler à ces notions existantes déjà dans des noms de lieux plus anciens : Tureau, Sancerre, etc.

Qui se ressemblent s’assemblent…

Dans tous les cas, les notions d’abondance et de bombance, de fertilité vivante, agricole, ou pécuniaire, et les notions de courbe, de ventre, d’éminence, etc., mais aussi de pot, de corne d’abondance, etc., sont présentes dans la terminologie elle-même.

Saturnin en linguistique ancienne, gauloise, romaine, etc.

Les dictionnaires de langues gauloises (Xavier Delamarre ; Pierre-Yves Lambert, etc.), nous indiquent que Saturnin provient de :

sati : suffisance, richesse, multitude, troupes, provenant d’une racine indo-européenne plus ancienne indiquant la satiété, l’abondance, et les idées de “assez”, “suffisant”, voire plus, “saturation”, mais aussi les notions naturelles ou humaines d’essaims,  de grand nombre, de troupe (Xavier Delamarre : Dictionnaire de la langue gauloise, éditions Errance : 2003, Paris, page 267).

turno : hauteur, falaise, près d’une hauteur, sous ou en rapport avec une hauteur visible, naturelle généralement, mais aussi potentiellement bâtie (idem page 303).

ninnos : servant (idem page 234).

Ces notions se confirment en langue latine (Félix Gaffiot : Dictionnaire illustré latin-français), même de façon décomposée :

satis ; satio, satiare ; satio, sationis ; satietas ; satias, etc.,

at (comme liaison logique)…

– attu-, adtu-, adtero (frotter contre ; enlever par le frottement)…

– adfero, adtuli, adlatum, adferre (apporter)…

Turones ; turris ; turricula ; turriger

nimus ; nimium (trop grande quantité, excès, trop)…

in

us

Encore aujourd’hui, nous sont transmis par la langue française les racines des mots : satisfaction, saturer, satiété, etc.

Notons que la notion de “urne”, comprise dans le mot, propre à la démocratie, ou au columbarium et au fait de brûler les morts, est lié pour beaucoup à l’abondance par la prise d’héritage.

Le “saint, sain, ceint, seing, sein…”, se passe, en la circonstance, de commentaires… surtout lorsque l’on sait que le mot gaulois sino, sin signifie : lien, attache, chaîne, collier, que le sens seno d’ancien ou de vieux y sont associés, et que le mot “signe” y ressemble…

Il n’y a pas de hasard…

Alors avec le syn grec connu des Gaulois…

Un ensemble poly-sémantique qui rappelle quelques géographies.

Pour le syn grec et voir le problème rencontré en toponymie, voir Saint-Plantaire !

Saint-Saturnin et Saint-Satur sur le terrain : bombance !

La recherche sur ce culte et la localisation de sa matérialisation (églises, chapelles, calvaires, toponymes, etc.) nous indiquent que le culte et sa désignation étaient associés aux notions d’amendement naturel des terres agricoles : hauteur ayant une géologie fertilisante (failles, limite de couches, etc.) ou de lieux propices à la nidification fertilisante, rotondité du relief, virage ou pont associé à un péage et à des installations de confort.

Ces péages, de frontière ou de route, étaient au moins d’ancienneté romaine, sachant que les Gaulois, occupants parasitaires germaniques de la région entre le VIIIe siècle avant Jésus Christ et la pacification de la région par Jules César lors de la guerre des Gaules, en donnaient la garde, la ferme et la rente, de manière mafieuse, à des mercenaires, avant et pendant la Guerre des Gaules.

La liste, les liens et les cartes de ces toponymes, églises, chapelles, calvaires, lieux-dits, sont consultables ici :

Liste et liens : les Saint-Saturnin et Saint-Satur.

Ces lieux pourront faire pour vous l’objet d’une étude approfondie
avec une animation-conférence passionnante et bénéficiaire pour vous à la clé :
Frontières antiques !

Vous pourrez même en être le conférencier si vous avez quelques talents…

Demandez-moi de créer ses liens pour votre ouvrage et explication locale !

Les toponymes Saint-Saturnin et la preuve par le terrain

Trouvez rapidement le vôtre ci-dessous avec l’option “rechercher” de votre navigateur.

Saint-Satur (Cher ; 18), près du débarcadère de Saint-Thibault, au pied d’un site marquée par la Guerre des Gaules, la colline ronde de Sancerre, Gorgobina, et au pied de l’escarpement arrondi des Portes du Clos (le clos désignant Gorgobina, c’est-à-dire le bassin versant de la Colette, coulant sur Fontenay), auprès de la seule grande courbure de la Loire des environs.

Saint-Saturnin (Cher ; 18), sur une grande faille géologique formant angle, dans un angle de la frontière sud du diocèse de Bourges, auprès et au nord des lieux-dits des Chartres, Maransanges, La Prune, sous le sommet de Chandair, en observation de toute la plaine du Berry qui se déploie au nord.

Thaumiers (Cher ; 18), sur la voie romaine venant de Dun-sur-Auron, auprès et au nord des Tureaux, et au nord du Pondy (notons la présence du Briou et des Salles), près du château de Thaumiers, entre le Bois d’Arpheuilles et la Champagne berrichonne (étude de l’église disponible par : contact !).

Vorly (Cher ; 18), sur une voie romaine allant de Sancerre à la Châtre, entre deux voies romaines, venant de Bourges, l’une allant sur Sancoins et Moulins et l’autre allant sur Saint-Amand-Montrond et Argenton-sur-Creuse.

Le Chautay (Cher ; 18), sur la frontière des anciens diocèses de Bourges et de Nevers, entre La Guerche-sur-l’Aubois et Torteron, en limite de la frontière végétale du Bois des Ribaudières, où se trouvent les Tureaux et le sommet du château du Gravier.

Assigny (Cher ; 18), dont la racine provient du latin adsatis, un renforcement de satis, signifiant entre autre “satisfait par le feu, ou trop brûlé, ou cul brûlé, etc.”, et contenant du grès ferrugineux et des marnes, c’est-à-dire des terres brûlées, endroit situé face au château de la Vallée, sous la colline ronde du Faît des Marnes (360 mètres d’altitude), et sous le sommet du Taureau, non loin de Boisfort et du Carroi de la Croix d’Acier.

Les églises Saint-Saturnin en Région Centre

Les églises Saint-Saturnin en Région Centre

– L’ancienne église paroissiale Saint-Saturnin de Chartres (qui signifie “prisons”), détruite pendant la Révolution et autrefois située hors les murs jusqu’au XIVe siècle, puis reconstruite dans la ville au XVe siècle, vers l’actuelle Place du Cygne et l’actuelle rue Marceau (Eure-et-Loir ; 28 ; ancien diocèse de Chartres).

Ymonville (Eure-et-Loir ; 28 ; ancien diocèse de Chartres), entre la vallée aux Anes, le Bois Prince, et les Petites Vallées et le Bois d’Authon, sur la voie romaine allant d’Orléans à Chartres en limite des anciens diocèses d’Orléans et de Chartres, route sur laquelle on trouve le Martroi et la Montjoie.

– Saint-Saturnin-des-Landes, commune de Cléré-du-Bois (36 ; ancien diocèse de Bourges), auprès du ruisseau de l’Aiguillon, face au sommet du Pigné, non loin de Châtillon-sur-Indre et sa Tour César, en limite des anciens diocèses de Tours et de Bourges.

Poulaines (Indre ; 36), sous Sernan, le Marchais, près de la confluence du Poulain et du Renon, non loin de Valençay et de son château.

Vouillon (Indre ; 36), en face des Beauces, du Champ de Bataille, lieu-dit de la Croix Saint-Georges, auprès de la voie romaine de la Chaussée de César, reliant Bourges à Argenton-sur-Creuse, non loin des ponts de Brives.

Ceaulmont (Indre ; 36), face aux gorges de la Creuse et à Châtillon, au-dessus du panorama magnifique de la Boucle du Pin, non loin de La Prune qui indique un terroir particulièrement fertile (étude de l’église disponible par : contact !).

L'église Saint-Saturnin de Ceaulmont (Indre)

L’église Saint-Saturnin de Ceaulmont (Indre)

Montgivray (Indre ; 36), au bord de l’Indre, sous le sommet de Saintonge, auprès et au nord de la Châtre (étude de l’église disponible par : contact !).

Marcilly-sur-Maulne (Indre-et-Loire ; 37) la rotondité de la confluence, vers 50 mètres d’altitude, entre la Maulne et le ruisseau de l’Etang de la Rousselerie, évoquant le rouge sang ou du grès rouge ferrugineux, associée la hauteur du château de Marcilly, à 92 mètres d’altitude, et à Château-la-Vallière sur la voie romaine d’Orléans au Mans…

– L’ancienne église paroissiale de Saint-Saturnin de Tours (dont le nom évoque la présence de tours visibles autrefois du lieu) sans doute autrefois liée au débardage du commerce sur le Loire, détruite à la Révolution, et anciennement située en face de l’Hôtel Gouin, sur l’actuelle rue du Commerce (Indre-et-Loire ; 37).

Neuilly-sur-Brignon (Indre-et-Loire ; 37), son église, dans le bourg à 69 mètres d’altitude, et son calvaire Saint-Saturnin sur une colline arrondie à 106 mètres d’altitude, près du bois du Châtelier, toponyme de forteresse romaine, en face duquel on remarque les hauteurs des Chilloux, de la Croix des Dunes (on connait la forme d’une dune), de la Croix Vrillay et de la Croix Marin…

Limeray (Indre-et-Loire ; 37) au bout des vallées de Malusseau, de la Rue d’Enfer et de la Noiraie, au pied du Mont Luma, et des hauteurs des Beauvoirs, de la Houssière, des Bordebures et du Cul de Boeuf, non loin des forts de frontière de Cangé, en frontière entre les anciens diocèse de Chartres et de Tours (ouvrage gratuit ou non, en boutique).

L'église Saint-Saturnin de Limeray (Indre-et-Loire)

L’église Saint-Saturnin de Limeray (Indre-et-Loire)

Souvigny-de-Touraine (Indre-et-Loire ; 37), sur les bords de la Masse, sous le sommet des Places, en frontière entre les anciens diocèses de Tours et de Chartres.

– Saint-Saturnin, sur la commune de frontière d’Yzeures-sur-Creuse (Indre-et-Loire ; 37), près de la Grosse Borne située sur l’ancienne voie romaine allant de Preuilly-sur-Claise à Tournon-Saint-Martin.

Conan (Loir-et-Cher ; 41), face à la hauteur de l’Image, sous Véniel et la Cochonnière, et non loin de la voie romaine passant à Pontijou.

Courbouzon (Loir-et-Cher ; 41), face au grand méandre de la Loire du Bois de Briou (actuelle centrale nucléaire de Saint-Laurent-des-Eaux), et sous la hauteur de Beaumont, en frontière entre les anciens diocèses d’Orléans et de Chartres.

– L’église Saint-Saturnin en Vienne, à Blois (Loir-et-Cher ; 41), face à la hauteur du château de Blois, non loin des Ponts Chartrains, près d’une ancienne voie romaine et sur un lieu de débarcadère.

Neuvy (-sur-Beuvron ; Loir-et-Cher ; 14), sous Monbénard, dans le virage du passage du Beuvron, sur une ancienne voie romaine liée au grand site archéologique romain de Neung-sur-Beuvron, en frontière entre les anciens diocèses d’Orléans et de Chartres.

Chissay-en-Touraine (Loir-et-Cher ; 41 ; ancien diocèse de Tours), face au port de Saint-Georges-sur-Cher et sous le sommet arrondi situé entre la Chaimbauderie (près du site archéologique) et le château de Chissay, en frontière entre les anciens diocèses de Tours et de Chartres.

Pouillé (Loir-et-Cher ; 41 ; ancien diocèse de Tours), situé sous les sommets des Rondières, de Peumen, du Bois des Ronforts, etc. Pouillé étant un site archéologique important de débardage et notamment de potiers romains, face au célèbre site archéologique des Maselles de Thésée-la-Romaine situé de l’autre côté du Cher, en frontière entre les anciens diocèses de Tours, de Chartres, et de Bourges (étude de l’église disponible par : contact !).

L'église Saint-Saturnin de Pouillé (Loir-et-Cher)

L’église Saint-Saturnin de Pouillé (Loir-et-Cher)

Orçay (Loir-et-Cher ; 41 ; ancien diocèse de Bourges), entre les Chatelleries et les Halliers, en limite nord de la forêt de Vierzon (notons que çay, signifie”courbure” et que le toponyme est sans doute lié au virage de la vallée du Cher).

Marigny-les-Usages (Loiret ; 45), qui signifie “grandement, abondamment brûlé”, la racine mar étant proche de la notion de sati, lieu situé auprès de la Citadelle, la Maison Rouge, attestant la voie romaine, la Grotte et de la Rousselière, lieu situé au sortir de la forêt d’Orléans sur l’ancienne voie romaine reliant Paris ou Melun à Orléans, via Pithiviers.

Sceaux-en-Gâtinais (Loiret ; 45), dont le nom évoque le scellement de contrôle ou le descellement des sceaux des marchandises, lieu situé près d’un grand site archéologique romain, et marqué par un pont important sur la rivière du Fusain, sur la voie romaine reliant Sens à Orléans, via Château-Landon, voie emprunté par Jules César pendant la Guerre des Gaules, et nommé le Chemin de César, lieu où on remarque le Grand Bézout, la Mérie, etc.

Montcorbon (Loiret ; 45), sous Beauvais, non loin d’une ancienne voie romaine reliant Sens à la Loire à Briare.

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Frontières antiques - Animation-conférence

Frontières antiques – Animation-conférence

Césure de fin pour doc

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