Fruit de l’arbre de la co naissance
pour en délier les langues…
P’tit coup à boire ? Du raisin ? Du sain vain sang ?
– Le patron des vignerons vous invite à boire son raisin et vous présente, à défaut d’éléphant rose, les moellons rosés de l’église d’Orbigny, celle de saint Vincent, patron des vignerons, et en haut à gauche une soucoupe volante venue de la face cachée de la Lune…
– Monsieur Loyal, c’est le cirque d’accord, mais vous avez un p’tit coup dans le nez ?
– Non, c’est l’Auguste… PAF ! Snif ! Nez rouge, né rouge ! Sale temps pour la saison !
Questionnements successifs infinis un peu définis
Animations-conférences-spectacles bénéficiaires à la clé…
L’église Saint-Vincent d’Orbigny (37)
Mon étude historique et architecturale.
Photos Nicolas Huron
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Façade ouest de l’église Saint-Vincent d’Orbigny (37)
Le blanc est au nord, le rosé au sud… Logique ! Et le rouge ?
Photos Nicolas Huron
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Illustrer votre lecture
Au regard des cartes et inventaire partiel ci-joint, nous posons ci-dessous ces questions d’historien que personne ne se posent.
Faites donc ici comme des clients de tavernier ou de vignerons, avec le patron…, buvez cette connaissance jusqu’à la lie, tout en laissant le lit devin, et celui de vain, à d’autres. Encore une et son cadavre que les B… n’auront pas !
Pour mieux réussir, il faut ouvrir cet article et y sortir, et avec d’autres fenêtres, les cartes des Saint-Vincent de France et de la Région Centre.
Saint-Vincent, diacre et martyr (+ 304 ou 305)
Patron des vignerons, des taverniers et des vinaigriers, saint Vincent, diacre de Saragosse, en Espagne, fut arrêté et fut déporté à Valence par l’autorité romaine, martyrisé, torturé, soumis aux plus atroces supplices, et assassiné, en 304 ou 305, avec son évêque saint Valère, avec son frère saint Oronce, et avec saint Victor, sous la grande persécution de Dioclétien.
Son martyre est commémoré le 22 janvier. Le saint est représenté souvent portant l’évangéliaire et la palme du martyr, accompagné parfois des outils de son supplice, le grill, et un cep de vigne, ou deux, portant des grappes de raisins. Son culte est associé à l’humour et au pardon.
Tout le monde sait, à la grande époque de prospérité de l’Empire romain, que le grand héros Ulysse avait bourré la gueule du cyclope Polyphème, avant de lui crever l’oeil pour se tirer avec ce qu’il lui avait dérobé.
L’Histoire nous apprend que l’autorité romaine avait auparavant laissé quelque peu les Chrétiens s’exprimer et pratiquer la religion chrétienne, sans doute pour mieux les identifier et pour les exterminer… Et, sur ordre de l’Empereur, tous les édifices chrétiens du IIIe siècle furent arrachés plus profond que leur fondation. En connaissez-vous le style ? Les formes ? Le décor ?
Résistance originale à la torture face à une justice inique
La tradition chrétienne raconte que saint Vincent, soumis aux plus cruelles atrocités, riait, plaisantait et se moquait de ses tortionnaires.
Vincent signifie vainqueur. Son nom provient du latin Vincentius, un surnom romain provenant du mot latin vincens, vincentis, vainqueur, et du verbe latin vinco, vincere, vaincre à la guerre, être vainqueur, triompher de, venir à bout de, surpasser, avoir le dessus.
Vincius est le nom du dieu Mars chez les habitants antiques de Vence, en Narbonnaise (Alpes-Maritime ; 06), commune qui en porte encore le nom.
Donc si vous portez ce nom… Prudence !
Un culte antique certain
Sa vie a été racontée par le poète Prudence (348, + vers 415) dans “la couronne des martyrs”.
Le culte de saint Vincent est attesté par saint Augustin (354-430), donc dès la fin de l’Antiquité et pendant les grandes invasions barbares germaniques.
Une cathédrale lui a été dédiée dès le VIe siècle, au Haut Moyen Age : l’église cathédrale Saint-Vincent de Viviers (Ardèche ; 07).
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Les autres saint Vincent
Le culte de saint Vincent est donc antique et concerne géographiquement généralement saint Vincent, diacre de Saragosse et martyr à Valence en Espagne.
Il existe d’autres saint Vincent antiques ou du Haut Moyen Age, martyrs soit de cette grande persécution ou d’une persécution plus ancienne, soit non martyr :
– Saint Vincent, martyr du diocèse d’Agen, vers 250. Grégoire de Tours signale l’existence d’une Eglise diaconale à Agen vers 250 avec Vincent comme diacre s’étant opposé à la fête païenne solaire près du Mas d’Agenais (Lot-et-Garonne ; 47).
– Saint Vincent, martyrisé vers 303, honoré à Perpignan (Pyrénées-Orientales ; 66) et vénéré dans une église de Collioure (Pyrénées-Orientales ; 66).
– Saint Vincent, et ses sœurs sainte Sabine et sainte Christète, venant d’Evora pour se réfugier à Avila en Espagne, et martyrisés vers 305 dans cette ville.
– Saint Vincent (+ 380), second évêque de Digne.
– Saints Vincent (380-394) et Domnin, berbères d’Afrique du Nord, évêques de Digne, populaires dans la population d’Embrun.
– Saint Vincent de Lérins (+ 445), moine le plus célèbre de l’abbaye de Lérins (Alpes-Maritime ; 06).
– Saint Vincent de Troyes (+ vers 546), évêque de Troyes en Champagne en 536.
– Saint Vincent (+ 687), mari de sainte Waudru de Mons, fondateur du monastère de Soignies dans le Hainaut où il se retira et où il décéda.
En comptant les saints catholiques romains récents, notamment les martyrs de la Guerre d’Espagne, on peut dénombrer au moins une trentaine de saint Vincent.
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La vigne et son rosier.
Photo Nicolas Huron
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Viticulture, rasades, liens, rigolade, vie, victoire…
Le nom “Vincent” est phonétiquement proche de la viticulture. Il associe le “vin” et le “sang” qui ont pour synonyme commun français le “raisin”. Son articulation est complexe et on y reviendra : « sans… », « s’en… », « cent… », la forme et la force du nombre à déchiffrer. Bon sang de bonsoir !
Vincentius était déjà lié par le latin à la viticulture, notamment à travers le terme vinacea, le marc de raisin, qui donna le mot français “vinasse”, ou avec les termes vinaceum, le pépin de raisin, marc de raisin. Il est aussi lié visuellement au raisin, synonyme français de sang.
La vigne est à la base une plante grimpante, et le terme Vincentius est lié également au verbe latin vincio, vinxi, vinctum, vincire, lier, attacher, enchaîner, garroter… mais aussi à d’autres notions.
Vigne grimpant un hangar agricole avant de subir la rotofileuse,
évoquant la cathédrale de Châlon-sur-Saône, voire celle de Mâcon.
Saint-Gourgon (Loir-et-Cher ; 41)
Photo Nicolas Huron
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Vigne grappée grimpée et aggripée dans un pin
Huisseau-sur-Cosson (Loir-et-Cher ; 41)
Photo Nicolas Huron
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Vigne grimpant à plus de 10 mètres à l’orée d’un bois.
Huisseau-sur-Cosson (Loir-et-Cher ; 41)
Photo Nicolas Huron
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Le verbe vaincre latin, vinco,vici, victum, vincere, a de commun victum avec le verbe vivre latin, vivo, vixi, victum, vivere.
Tout en élévation… ou ratatine à victimes ?
Un vainqueur est-il victime de lui-même ou d’autres choses ?
Leonardo da Vinci en boit zzzz… ? Ambe boise ?
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Exemple de lois de l’attraction en grande sémantique
L’église cathédrale Saint-Vincent de Viviers (Ardèche ; 07), face à Châteauneuf-sur-Rhône (Drôme ; 26), sur la rive ouest du Rhône, au sud de Valence (Drôme ; 26).
Le nom du saint martyr Vincent est lié à Valence, diocèse voisin, placé sur la rive opposé du Rhône, et donc aussi lié à son homonyme espagnol Valencia, lieu de son martyre.
Le toponyme de Viviers est lié par le latin au verbe vivo, vixi, victum, vivere, et à la notion de vie, mais aussi au verbe latin vaincre vincio, vinxi, vinctum, vincire, « vin creux », « vain creux »…
Ce site est particulièrement intéressant comme lieu de péage antique sur le Rhône, car il se situe à un resserrement creux du lit majeur du fleuve, appelé Défilé de Donzère. Au-dessus du Pont du Robinet de Donzère, vers le milieu de cet étranglement, on trouve une barre rocheuse abrupte dont le sommet porte le nom de Puits Saint-Vincent, terminologie d’un toponyme de commune des Hautes-Alpes (05).
Ce choix du vocable de cette cathédrale est ancien et semble être à dater du transfert de siège du diocèse de Viviers, d’Aps (nom actuelle de la commune : Alba-la-Romaine en Ardèche : 07) sur les bords du Rhône, à Viviers vers 474-475. Il semble lié à une fuite, une défaite, un vœu pieux ou à une exortation.
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Autres exemples :
On peut comprendre facilement le choix du vocable Saint-Vincent pour certaines églises de la Région Centre :
– L’église Saint-Vincent de Neuvy-le-Roi (Indre-et-Loire ; 37), par son caractère de nouvelle installation habitable, sentiment de vie et de victoire, par son évocation à la Résurrection de Jésus de Nazareth, sa « neuv’vie », et donc la royauté du Christ Roi, et du roi, son représentant sur terre pour les affaires temporelles, et du « roux à » l’aurore, et de la couleur du sang des victoires et de celui de la Passion, et de sa référence à l’occident, l’oxydant, pays du crépuscule de la ferraille, par sa rouille, et de l’automne, couleur du toponyme, prélude à l’hiver et aux espérances planétaires. D’autres évocations un peu plus humoristiques peuvent être nées d’un salutaire état d’ivresse : « noeud vie », « noeuds viles », « Leu roues a », etc. Tout un poème… dont quelques concepts ont été évoqués ci-dessus.
L’église Saint-Vincent de Neuvy-le-Roi (37)
Histoire et architecture par Nicolas Huron
Photo Nicolas Huron
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– L’église Saint-Vincent d’Orbigny (Indre-et-Loire ; 37 ; mon étude historique et architecturale), dont le toponyme évoque le vin, le raisin, par la racine grecque bin-, boire, qui évoque l’ivresse, mais aussi le sang par le caractère rosé de son calcaire local un peu ferrugineux présent sur la partie sud de la façade ouest de l’édifice (voir ma récente photographie en début d’article). Ce toponyme également évoque le rouge du feu, l’incendie, avec son suffixe « igny » accolé au latin orbis se référençant à un cercle ou à une cours des affaires, ou bien au latin orba, une orpheline, à travers le verbe orbo, orbavi, orbatum, orbare, priver quelqu’un de ses enfants ou tout simplement priver de. Ce nom évoque aussi le sang des esclaves castrés, de leurs familles égorgées, et la viande sanguinolente grillée… les armes rouillées des bandits de grands chemins ou de l’autorité romaine esclavagiste à la justice inique. Orbigny évoque aussi un orbe, une orbite, grillé, et ainsi la course du soleil, son lever rouge comme son coucher, mais aussi la rouille rouge du fer de l’immense loupe de grès ferrugineux sous-jacente exploité par les forgerons. D’autres évocations humoristiques peuvent être signalées : « or bi nie », « or bine y », « hors bi nid », etc. Tout un poème… dont quelques concepts ont été évoqués ci-dessus.
– L’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (Indre-et-Loire ; 37 ; mon étude historique et architecturale), dont le toponyme de Saint-Vincent du patron des vignerons, des taverniers et des vinaigriers, dont le culte est lié à l’humour et au pardon, de l’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (Indre-et-Loire ; 37), évoque le vin, le raisin et le sang des martyres de l’Empire romain dont la couleur de l’autorité était le rouge, comme celle du manteau et de la puissance du Christ… Il évoque aussi bien d’autres épouvantables révélations à qui veut bien les entendre. Il est possible de pousser les références sémantiques très loin si on considère que le terme villa latin se prononçait “ouila”, que le terme gaulois oui signifie “mouton”, et que la phonétique “la, là, las, l’a…”, évoque la féminité, un lieu précis, la possession, la propriété, l’habitation sédentaire, et l’attachement par un las, un lasso, le lien d’un sceau, notamment pour le contrôle des marchandises, du paiement des douanes, et pour la traçabilité qui ne remonte pas d’hier… Villedômer se trouvant près de la route entre Château-Renault et Tours, entre Bordeaux et Paris, la grande voie de l’Aquitaine à la Germanie. On y voit donc le commerce, les péages, les racketteurs, les coupeurs de routes, le banditisme légal ou non, la justice inique, les trafics mafieux, les pots de vin, la servitude et l’esclavage, mais aussi le sang du sacrifice. L’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles est un toponyme de route de frontières antiques, un point de contrôle avant le hameau de la Chaîne et avant Monnaie, en direction de Tours, sur la RN10, et dans l’autre sens avant Château-Renault, Vendôme, Chartres, Paris et les terres germaniques. Toutes ces considérations peuvent ainsi faire remonter le toponyme Villedômer à des époques beaucoup plus reculées que l’Empire romain, et même sans doute, bien plus lointaine que l’époque gauloise. Jules César avait signalé que les Gaulois avaient peur que le ciel leur tombe sur la tête. La chose se comprend encore à Villedômer, non seulement à travers le culte de saint Vincent et de saint Gilles, mais aussi parce que la commune est en limite de grès ferrugineux exploités autrefois dans les environs de Château-Renault, à la Ferrière, Saunay, etc. Il évoque le soufflet, mais aussi le souffle d’un météore faisant remonter des Enfers le fer des guerriers, celui des chaînes et des outils de l’esclave, et des clous des crucifiés : “vile dôme air”, “vis le dôme ère”, “vile d’eau mer”, etc., souvenirs de la disparition des dinosaures du Trias, du Crétacé, la roche locale, et du Jurassique, et de l’apparition du plateau beauceron au Miocène et du règne des serpents, des mammifères, des plantes à fleurs et leurs papillons… Les évocations contenues dans le toponyme de Villedômer sont si effrayantes quand on en prend conscience que les habitants du lieu ont fait appel à un autre saint pour en exorciser les frayeurs qui pouvaient en naître. Le caractère de fou et de drôle évoqué par le martyre de saint Vincent est évoqué par la syllabe gauloise mer, mera, mero, qui a le sens de fou, d’agité, mais aussi celui de grand. Cette évocation de la folie est confirmée et tempérée par le culte associé de saint Gilles, un des patrons des pèlerins (voir la racine pel-, étranger à travers mon article sur le toponyme de Pelleterie), des nomades et des camping-caristes, moine fondateur d’une abbaye bénédictine en Septimanie, sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, non loin de Narbonne, représenté généralement avec sa coule bénédictine et à sa douce biche. Ce saint, dont le nom signifie “otage”, “chevreau”, voire “bouclier”, est invoqué contre la panique, le mal caduc, la folie ou les frayeurs nocturnes, pour résoudre les cas désespérés, et spécialement pour soigner les maux de ventre et les peurs des enfants. Ayant perdu le “a” de villa, Villedômer évoque le Leu, le loup, c’est-à-dire le Romain serviteur de la Louve, Rome, surnom de prostituée. Le montage phonétique donne ainsi une référence au mouton gaulois, à son égorgement par le loup ou par le Romain. Il évoque par son “dôme”, « dom » qui signifie seigneur, et dont la couleur de la puissance est le rouge, le Panthéon romain et à la mère des loups, Rome. On peut aller très loin, avec la racine dom– latine et ses références au toit, à la toiture, à la terrasse, à la domesticité, aux élevages concentrationnaires, à la domina, la maîtresse, au dominus, au saigneur, au seigneur, au Seigneur… Oh ses nieurs ! D’autres évocations humoristiques peuvent être nées d’un salutaire état d’ivresse : « vile dos mère », « vis le dôme mère », « vis le dos mère », à visiter sans doute aussi par derrière… avec son chœur en cul de four, comme randonnée digestive…. Tout un pot-aime… dont quelques concepts ont été évoqués ci-dessus.
– L’église Saint-Vincent de Marigny-Marmande (Indre-et-Loire ; 37 ; ancien diocèse de Poitiers), avec notamment son suffixe incendiaire « -igny » et son préfixe gaulois « mar- » grand… Mar’arm’ande…
D’autres monuments historiques ont des évocations plus ou moins subtiles : L’église Saint-Vincent de Veuves (Loir-et-Cher) ayant remplacé un monastère dévasté et brûlé par les Normands, l’église Saint-Vincent de Cours-sur-Loire (Loir-et-Cher ; 41), l’église Saint-Vincent de Vineuil (Indre ; 36), l’église Saint-Vincent d’Ardentes (Indre ; 36) l’église de Marolles-les-Buis (Eure-et-Loir ; 28), l’église Saint-Vincent d’Ichy (Seine-et-Marne ; 77), l‘église Saint-Vincent de Pussay (c’est la petite bête qui monte qui monte…), etc., qui peuvent presque se passer de commentaires pour quelqu’un qui a quelques connaissances de sa toponymie rurale, ou bien, veuillez me les réclamer.
Vous pouvez y réfléchir pour le vôtre (ou votre lieu-dit) et le faire chanter, en toponymie rurale. Pour ce faire, j’ai mon Toponymie-Service.
Les églises Saint-Vincent en Région Centre et environs
Carte Nicolas Huron
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Les toponymes Saint-Vincent en Région Centre
Carte Nicolas Huron
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Les toponymes Saint-Vincent en France
Carte Nicolas Huron
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Un culte de bords d’eau ou de taverniers
L’étude précise de la cartographie des toponymes Saint-Vincent nous montre une prédilection pour les bords d’eau. On remarque cette tendance dans les Landes (40) au nord de la rivière l’Adour ; en Vendée (85) auprès de la rivière du Lay ; dans le Loiret (45) sur les bords de la Loire en amont d’Orléans ; dans l’Aisne (02) auprès de la Serr ; dans les départements du couloir rhodanien entre Lyon et les bouches du Rhône, notamment près de Pont-Saint-Esprit, etc.
On remarque aussi les bords de la rivière de l’Hyrôme sur la route entre Cholet (49) et Angers (49), et la route d’Agen (47) à Cahors (46) au sud du Lot, l’entrée de la vallée de la Durance, vers Digne et Embrun, et les montagnes (coup-gorge) la séparant du couloir rhodanien, etc.
D’autres découvertes peuvent se faire. Faire appel à un historien permet d’accéder à une autre échelle de connaissances notamment par mon Toponymie-Service.
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D’autres questions à venir pour d’autres articles…
Le culte de Saint-Vincent, est-il un culte pré ou post grandes invasions barbares ? Un voeu pieux ou un pied de nez ? Une victimisation ou une victoire orgueilleuse ? Un piège pour chrétien naïf ou une police chrétienne ?
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Vers l’infini questionnement…
Examinez votre Saint-Vincent de près avec tout son environnement géographique et historique associé et vous serez surpris des surprises et découvertes historiques obtenues grâce à la grande sémantique de la toponymie.
Sinon il y a mon Toponymie-Service.
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Véritable loi de l’attraction ?
Infini questionnement et recherche pour le contemplatif temporel et spirituel !
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Demandez à en savoir plus !
Avec une conférence-spectacle et des bénéfices à la clé…
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