L’église Saint-Vincent de Neuvy-le-Roi (Indre-et-Loire)

Offrez-vous une part de la mémoire anti-barbare
de Saint-Vincent de Neuvy-le-Roi (Indre-et-Loire)
avec son histoire romaine, franque, royale, républicaine…
et l’architecture de son église romane, gothique, Renaissance…

L'église Saint-Vincent de Neuvy-le-Roi (37)

L’église Saint-Vincent de Neuvy-le-Roi (37)

Ouvrage actuellement de 45 pages.

Nicolas Huron : L’église Saint-Vincent de Neuvy-le-Roi (Indre-et-Loire) – Dossier ECCLESIA mai 1991, ouvrage de la conférence du 24 mai 1991 – Université François Rabelais – Tours –ASDRA – ASsociation pour le Développement de la Recherche Appliquée à l’animation culturelle en Région Centre – sous la direction de Bernard CHEVALIER, professeur d’histoire médiévale – Droits rachetés par Nicolas Huron, responsable et créateur du projet ECCLESIA pour l’ASDRA.

Ouvrage associatif aux droits acquis par son auteur

relu et corrigé bénévolement la veille de sa conférence le 22 février 1991
par ma mère, Marie-Claude HURON, née DEPUSSAY à Françay (Loir-et-Cher),
sa maison d’édition véritable, blésoise,
en sa bonne ville royale et agricole de Blois,
à une époque où son auteur, moi-même,
était encore illettré et dysorthographique.

Ancienne version de mon étude inventaire

à télécharger : Format.pdf

ou imprimé sur papier sur demande : Contact !

Etude à rénover…

avec bénéfices possibles à la clé pour une association locale ou un particulier

avec 32%/€net et Poli poly-pôle ECCLESIA + !

avec mes compléments de recherches…

Pourquoi St-Vincent à Neuvy-le-Roi ?

Sain vain sang ? Ceint vin s’en… ?

Grâce aux perfectionnements de la toponymie, une des branches linguistiques fructueuses de l’Histoire, on peut faire progresser l’étude de la compréhension de l’église Saint-Vincent de Neuvy-le-Roi (37).

Lire cet article complémentaire pour mieux comprendre.

Exemple de lois de l’attraction en grande sémantique :

Le toponyme du patron des vignerons, des taverniers et des vinaigriers, dont le culte est lié à l’humour et au pardon, de l’église Saint-Vincent de Neuvy-le-Roi (Indre-et-Loire ; 37), évoque une nouvelle installation habitable, sentiment de vie nouvelle et de victoire (c’est-à-dire, historiquement, d’invasions et de massacres), la royauté du Christ et sa Résurrection, et celle du roi, son lieutenant et représentant sur terre pour les affaires temporelles, du « roux à » l’aurore, et de la couleur rouge du sang des victoires et de celui de la Passion, couleur de la puissance du Christ, dont le T, la Croix, est symbole de trophée romain, etc., mais aussi couleur du couchant.

Lieu tenant ? Tenant de lieux ? Tenancier ? Tenant scié ?

A moins que le « Neu » de Neuvy ne parle que de glands… et de têtes de nœud…

Ce nom est donc une invitation, comme le furent les USA, les Amériques (qui ne sont que les Indes du Grand Orient), et donc une souricière, ou un délestage, pour l’autorité légitime locale en place : ROME !

C’est très tentant, en parlant des tentes préconisées par César pour ses légionnaires

à Orléans… orthographiable en entendement « hors laid an », « or les Han ! », ou…

Genabum ou Cenabum, en 51 avant Jésus-Christ pour ceux qui connaissent…

après le pillage, l’incendie, la vente et la ruine totale de l’imperium gaulois

qui entraîna la création stratégique, pour Rome de CAESARODUNUM

nouvelle cité romaine de principe augustéen, toute en TOURS !

En effet, car géographiquement, Neuvy-le-Roi, apparaît comme l’autorité de frontière, en retrait, au nord de la grande route reliant Château-Renault à Château-la-Vallière, route menant d’Angers ou du Mans, à Orléans, via Blois.

Encore en corps…

En effet, car géographiquement, Neuvy-le-Roi, apparaît comme l’autorité de frontière, en retrait, à l’Est de la grande route reliant Château-du-Loir à Tours, route menant du Mans à Tours, et de la Normandie à Lyon, via le Cher.

Encore en cors…

En effet, car géographiquement, Neuvy-le-Roi, apparaît comme l’autorité de frontière, forcément en retrait, au sud de la frontière avec le diocèse du Mans, ancien territoire de la nation gauloise des Cenomans, dont faisaient partie Chemillé-sur-Dême et son église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte, et les Hermites, avec son église Saint-Benoît. Les limites des communes associées à cette défense, Bueil-en-Touraine, avec son église Saint-Pierre (agrandie avec une collégiale dédiée à la Vierge Marie, à saint Michel et aux saint Innocents) et Villebourg, avec on église du légionnaire saint Martin, semblent indiquer une subdivision d’une circonscription territoriale administrative plus étendue que la simple paroisse de Neuvy-le-Roi aujourd’hui, à en croire leurs formes en pelures d’oignons (configurations étudiées dans le Berry par Jacques Péricard).

C’est vrai que pour les descendants de rois… c’est assez engageant et…

on dit que « qui se ressemblent, s’assemblent » pour les mettre à pieds…

ou à piller, si Rome, Tours, voire Londres, ou Paris, commenceraient à…

C’est très important, car Neuvy-le-Roi, se trouve sur la route entre les agités du bocal, comme nous l’a signalé Jules César en parlant des peuples de l’Océan (voir mon article sur Limeray), et les mines ferrugineuses des trois diocèses de Chartres, du Mans, et de la Touraine, qui peuvent se boire, se goûter, et avoir quelques effets sur des personnes déjà un peu minéralisées aux cristaux du Massif Armoricain… ou totalement addicte à la viande rouge, sachant que le fer nourrit les globules rouges, et évite à l’église Saint-Nicolas de la Ferrière, sur le Chartrain, après celle de Saint-Pierre à Marray, d’avoir à s’occuper du problème de ces anglo-saxons, et autres bandits prétendument dits Bretons…

Son nom évoque aussi l’occident, l’oxydant, pays du crépuscule de la ferraille, par sa rouille, et de l’automne, couleur du toponyme, prélude à l’hiver, ou à la tombée rouge du jour, l’heur roux à…, et aux espérances planétaires de sa renaissance au matin à l’Orient, alors riant, à l’or riant… et pétillant, ou bien ôte re-choses… Astre haut nomme mi !

D’autres évocations un peu plus humoristiques, donc bassement spirituelles, peuvent être nées d’un salutaire état d’ivresse : « neuve vie », « nœud vie », « nœuds viles », « Leu roues a », etc. Tout un poème… dont quelques concepts ont été évoqués ci-dessus.

et…

Ai-je manqué à mes deux voir, mets devoirs, si yeux, cieux… ?

On peut sentir ou non,
toucher au bu… t’oeufs, eux, euh, ou non,
caresser, frôler, mesurer, ou non,
sans s’approcher ou sang s’approcher ou non,
réfléchir, jauger, chauffer ou non,
humer grippé, enrhumé, ou non,
goûter la famine ou non,
voir aveuglément ou non,
entendre comme un sourd ou non,
comprendre sans culture ou NOMS…

Pluriel singulier
ou singularité plurielle ?

Noeuds vies, le roux a…
Noeuds viles roua !
Noeuds villes roue a, à, ah, ha !
Neuve vie le Roi !

Neuvy, un mot gaulois abordable par le grec ancien

en en consultant Le Grand Bailly !

Pour commencer à entendre

avec le jeu des toponymes : Françay !

et aller plus loin avec les noms de lieux de la commune :

Comment trouver l’origine d’un nom de lieu : méthodes et outils…

Et encore, en corps… plus loin : Contact !

Mon panneau explicatif installé dans la commune :

Un petit diaporama à ma boutique et services

et plus si affinités…

Césure de fin pour doc

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