Mode d’emploi poétique très cartographique pour vos toponymes et pour toutes les saint Bernard, 20 août, tous les toponymes Saint-Bernard, Bernard et dérivés, et les chiens sauveteurs du même nom martyrs en Chine, en hommage à mon père Bernard, sauveteur en montagne, maître d’œuvres, pour se remettre en train avant ma re-création récréation sur les faussaires du 666 et après ma grosse panne (il paraît qu’il faut le dire ou l’écrire PAN maintenant) de PC.
Sans mon puissant timbre de voix,
lisez la petite bafouille tout à la fin, faim,
pour tout le monde sans payer le timbre… CGT-ist
à utiliser, à copier-coller, à partager sans maux d’air à scies ions+-… car
Bernard est aussi un arbre sacré…
un mode d’emploi en toponymie
Version pdf en 36 pages imprimable sur papier !
Une nouvelle découverte…
en-cas d’eaux…
…
par Jules ?
Verne, Aune…
Bernard, Saint-Bernard…
Quelques cartes éclairées parmi d’autres dans ce mode d’emploi.
Lœss sonde faux net –ique ?
Le son de faux nez tique…
Hoouuuu ! Ou où ? L’ours !
au bord des eaux et dans les aunes…
Pour les saint Bernard, 20 août, je vous propose de savoir, et d’en faire ici un cas d’école, s’il y a d’autres pistes en toponymie que des références germaniques de noms barbares, piste suivie par Stéphane Gendron (voir ma bibliographie indispensable), ou des références latines chrétiennes romaines (usurpées par les mêmes), comme saint Bernard de Menthon (XIe siècle), saint Bernard d’Hildesheim (+ 1021), saint Bernard de Thiron (+ 1117), saint Bernard de Clairvaux (+ 1153), etc. ou autres parmi les près de 25 saints catholiques romains ? Est-ce aussi possiblement de la faune-éthique ?
Leçon de faune-éthique
Le son de phonétique…
avec un exemple sainement apaisant :
Bernard et Saint-Bernard
sauveteurs en montagne
Les linguistes “toponymistes”, généralement germanophiles (on naît toujours sous occupation, ici, en zone occupée socialiste avec « nationale » 10, 152, etc. qui ont de fâcheuses tendances à se maquiller et de s’enrober sous d’autres dénominations ou bien en et avec d’autres mercenaires), font appel aux mentions latines médiévales, qu’ils ont, ici, volés, détruites ou mésinterprétées, pour trouver l’origine des noms de lieux. Hein ? Hun ? Ces “savants” ne seraient pas d’ici ?
Sanctus Bernardus, une piste ! Avec des archives anciennes…
Allez, au boulot et aux bouleaux s’ils en ont laissés ! Non ? Nom !
Pour information, on sait que les saints catholiques romains se rapprochaient de certains lieux qui portaient déjà leur nom. Mon enquête sur les Saint-Cyran, notamment en Brenne, dans l’Indre, le démontre. Un Bernard, va aller voir les lieux-dits Bernard ou Saint-Bernard, s’il en a le loisir, en voyage en pèlerine… âge ? C’est normal, c’est attachant… quand on aime la vie que la France vous a offerte et que l’on n’y demeure pas en demeuré barbare nomade en attendant plus riche gourmandise. Pour comprendre, il faut en naître de par le sang.
Le Col du Grand Saint-Bernard, un col stratégique de frontière antique.
…
Bernard en lieu dit
Saint-Bernard
Traditionnellement, en toponymie ou en anthroponymie (étude des noms de personnes), Bernard fait référence habituellement à l’ours, et à l’expression germanique “ours fort”, bern-, ber-, –hard. La capitale de la Suisse, Berne, en fait référence, mais ils sont trop germanisés pour en connaître toutes les vérités, ou, tout du moins, la principale vérité sédentaire : les aulnes, arbres imputrescibles des bords des cours d’eaux, des mares, des étangs et des lacs. Très bons pour les ponts et les pilotis… voir même pour les échelles, les calvaires, les outils, les manches, et les cales vers…
C’est un matériau très noble !
Hélas, depuis bien trop longtemps presque disparu…
Aune à Péronville (28), véritable monument historique faune-éthique
Verne art… à l’aune, en toutes bonnes mesures…
Photo Nicolas Huron
…
Saint ?
Et le sein ceint saint seing… singe, sain jeu ?
Et j’ai découvert que Saint, en toponymie signifiait anciennement : cet ancien lien…
Trois sens à la fois de notre Foi. C’est indispensable à savoir pour lire la suite…
…