Oisly (41) livret livré uni vers selles de toponymie unie vers sels

ou comment faire rentrer un rectangle dans un ovale où vice est vers ça
par esprit de contradiction esclavagiste en sels de pâmoison
paralytique, domestique ou ultra sportive
en carrières, raisons et raisins…

oualiυαλι

36 pages, 36 chandelles,
en faune-éthique phonétique,
singularité plurielle et pluriel singulier !

Sa couverture…

CouvertureFrontièresAntiques-Oisly-41 copie

Œuvres de Nicolas Huron

Jeu de société en version imprimable

Livret livré (pdf) de 36 pages à partager :

Frontières antiques. Archéologie des noms de lieux. Enquête à Oisly (Loir-et-Cher)…

Table

Page 3 : présentation.

Page 5 : niveaux de jeux, de 0 à … ans.

Le niveau de jeux suivant contenant le niveau de jeu précédent.

  • page 5 : pour les plus petits en faune-éthique.
  • page 5 : pour les jeunes en phonétique cultivée.
  • page 7 : pour les hommes, vrais historiens amateurs.
  • page 9 : pour les speculatores chrétiens catholiques romains.
  • page 9 et suivantes : pour les vérités historiques toponymiques et les pro des terroirs.

Page 10 : gaulois, grec ancien, latin, français, etc.

Page 14 : géologie confirmative et rats de marais.

Page 20 : historiques divers à fer froid dans le dos.

Page 27 : toponymie compas rat’ive. Wouah ! Lie ! Lis !

Page 33 : l’actualité du paradis des barbares et son infini à définir.

Page 35 : saint Hippolyte d’Oisly et son église pour en faims et en fin comprendre.

Extrait

Tponymes France Oisly

Un toponyme unique mérite-t-il une explication

pour tous les autres ?

L’article du contenu sur le blog et les liens…

Oisly (41) un toponyme unique, vitrifiable, modeste, souverain

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Oisly (41) un toponyme unique, vitrifiable, modeste, souverain

Oisly ainsi écrit,

((((( livret livré en 36 pages pdf dans l’article suivant )))))

point de départ d’une compréhension globale,

était, est et reste unique au monde !

Tponymes France Oisly

Cherchez et vous trouverez ce que les gens des vil(l)es appellent un trou.

Dans les faits, il y en a plusieurs… deux près du bourg.

Carte Nicolas Huron

Et, en vérités, c’est une éminence, une bosse…

cartographiée à la Butte Babichon !

par son sommé…

en but

à une carrière,

à en croire Les Perrières l’Alier, près des Rues,

avec ces sommés en butte à une surveillance de mine romaine… ou pire.

Des Archives départementales de Loir-et-Cher jusqu’au Géoportail !

.+.

Oisly, un simple jeu d’enfants

en faune-éthique…

en 36 chants d’ailes…

La science des noms de lieux, la toponymie est abordable comme un jeu pour enfant. Oisly se prononce lumineux : Oies lient ! Oies l’Y ! Ouah lit (en y faisant du trampoline et des plongeons) ! Wouah, lis (se le disant en ouvrant un livre passionnant) ! Oh, ah, lie (en parlant de verroterie, de bijouterie et de pierres précieuses) ! Où halle y… (en commerce) ? Wallis (même jusqu’en Polynésie ? Oui !) ! Ouali (un toponyme gouverneur) ! Oh Ali (historiquement esclavagiste ? Oui, oui) ! Oua(f) lie (en y jetant des os de… ? Aussi) !

A vous d’en jouer enjoué !

Les chiens aboient et la caravane passe…

Le lion (anglais) et celui d’Oisly en renifle avec étonnement !

Quant à ceux de Belfort, de Denfert-Rochereau, ou de Lucerne… Lu cerne ?!

Ce jeu des toponymes est abordable autant en onomatopées qu’en mots simples. Par exemple, si vous voulez entendre un mammouth soufflant l’eau d’une rivière avant ses infrasons, prononcez Chârost (18) avec une gerbe d’eau brillante et en bruyante ostentation ! Si vous voulez entendre les saumons frétiller lors de leur migration, prononcez en boucle très rapidement Saumoussay (49). Si vous voulez entendre le vol des oies sauvages décollant des eaux ou des rives de la Loire, prononcez Blois (41) : bl-bl-bl-blou-oie, oies, oua… en y mettant même la couleur. Et Oisly (41) pour leurs atterrissages… quand elles se mettent à dresser à deux leur cou pour se lier pour la vie éternelle. On en dormirait avec délice, et des lys, et des lits se font dans ces migratrices plumes-là… avec des coussins de lin, avec des coups sains d’eux l’un d’œufs de retour, avec des coûts sain(t)s de l’Un… Un fils en sera émerveillé, lié, un des sens de Oisly, à bien y regarder… Un ange en jeu enjeu… Une fille vous le volera pour quelques Troyens. Si, si

Et ses anciennes suggestions de faune-éthique sont innombrables,

même sur les routes, pour en apprendre… à lire.

Et le marchand de sables va passer…

Oisly, un jeu cultivé de jeunes

en phonétique…

en 36 chants d’elles…

Avec un peu d’outillage et des dictionnaires, et grâce à la porte, bienvenue et devenue biblique, du grec ancien, au dur seuil de l’usurpateur latin, et de l’infinie richesse du français et du Français de Françay (Loir-et-Cher), on peut entrer dans la culture infinie et éternelle et dans les cultures du monde rural de nos présents terroirs. Cette culture ne faisant que se cumuler avec l’âge à condition d’en avoir un respect et une considération de sédentaire, afin que la connaissance, comme la géologie, à Oisly, n’en soit pas éruptive, violente, informe, mais sédentairement sédimentaire des Siècles des Siècles, en douce et lente poussée tectonique, même si, parfois, l’Océan s’y rue, de Bretagne et de Poitou, comme une violente révélation et ré-élévation, une découverte, tel un tsunami qui en bouche quelques trous… d’eaux douces, à en croire la face cachée de la Lune…

Le mode d’emploi et des outils sont sur Saint-Cyr-en-Bourg (Maine-et-Loire, 49).

Mais on peut s’y essayer à Françay, Herbault (Loir-et-Cher, 41)

ou à Cangey, Limeray, Pocé (Indre-et-Loire, 37)…

et les savoirs se collent aux savoir-faire.

Eh, et pourquoi pas à Oisly ?

Oisly IGN 03

en s’appuyant sur des cartes papier ou sur Géoportail.

Oisly IGN 02

voire même sur le cadastre ancien… napoléonien en ligne ainsi :

Oisly, un jeu historique d’hommes

spirituels de faux nés tiques…

en faux nez tique…

en 36 chandelles…

On peut s’en rappeler dans quelques lieux appropriés, en général d’assez bonnes factures, et d’assez bonne facture, en compagnie de quelques matériaux nobles, comme en l’honorable et médiévale, moderne et contemporaine, église Saint-Hippolyte d’Oisly, emplacement et mémoire de certaines nécessités chevaleresques et de vérités bien plus anciennes, que…

Jésus de Nazareth, Jésus Christ, le Messie, mais si…, le Sauveur, sauve heurs… qui selon l’Évangéliste saint Matthieu (6:24), un des Quatre Vivants, l’homme-ange, nous a indiqué qu’on ne pouvait servir deux maîtres, Mammon (traduit habituellement par l’argent, quoique… phonétiquement) et Dieu (prononcé, je crois « Y avait »… écrit parfois différemment), c’est-à-dire le Créateur dans les cultures orientales qui passent leur temps à détruire les dites créations à en croire leurs déserts tyranniques et cannibales… Alors qu’ici, logiquement, tout le monde l’est, créateur, l’Histoire de France, et surtout celle de mon patrimoine rural, en atteste.

A l’endroit ou à l’envers ?

Oisly ou à l’Y – île à haut… il a où ?

Parce ce qu’il faudra bien, un jour, en revenir…

au-dessus des dessous de Lascaux… Las se co… ? Lasse caux ?

Et qu’il faut donc, en Vérité, apprendre à lire toute sa vie durant,

et même comme cela quand on naît, qu’on est, qu’on n’est maître des colles…

et même les sillons de labours, leurs fruits, les plaids, les plaies, les plaix, etc.

Ayant donc fait l’effort d’apprendre un peu à lire, un historien sait que les mentions latines médiévales des toponymes ne sont que des tentatives de latinisation des noms de lieux, et que la prononciation actuelle est plus fiable et bien plus ancienne que ces « traductions » de l’autorité romaine des XIe-XIIe siècles (une mode de l’époque) reprises béatement, pour faire savant, par des éditeurs p(h)arisiens ou suisses d’origine germanique, généralement d’obédience bigote, protestante, voire jacobine d’inspiration barbare tortionnaire anglo-saxonne, voire pire. Certains, même, en inventent… parce que, moi-même, pour Oisly, des latinisations, je n’en ai guère trouvées, faute d’archives… et faute en revient à nos fameux et stupides révolutionnaires…

Ainsi Oisly passerait dans les supermarchés, même par chez moi, en Blésois, pour un vieux Auxiliacum ou Villa Auxilii (voir Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak : Origine des noms de villes et villages, Loir-et-Cher, Éditions Bordessoules, Saint-Jean-d’Angély : 2003, page 180), « un village développé à partir du domaine d’Auxi-lius, un riche propriétaire terrien de l’époque gallo-romaine », etc., et bla-bla-bla… sachant que cette mention latine, Auxiliacum, est une reprise (ou un vol ?) d’une mention d’un autre nom de lieu, Oisilly (Côte-d’Or, 21) apparaissant Auxiliacus, dans un texte de 630, mention ici rabotée au nominatif, et sous la forme un peu moins latinisée de Osiliacus, dans un texte daté approximativement de 1031-1033 (voir A. Dauzat et Ch. Rostaing : Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Génégaud, Paris : 1963, page 506, qui donne ce nom de la Côte-d’Or comme une piste hypothétique pour Oisly dans le Loir-et-Cher). C’est fort de « qu’a fait… » avec un « peut-être » abrégé, par économie éditoriale, en « p.-ê. », et, qui devient, comme par magie, certitude affirmée et culotée chez certains autres. Philologue ?

Le cygne allait, il fallait un jour le signaler…

Côte d’Oua, sur Mercy-le-Haut (Meurthe-et-Moselle, 54) aurait été peut-être mieux…

ou bien Mollard de l’Oua, sur la Thuile (Savoie, 73), tant qu’à faire…

Transcrit phonétiquement dans les premiers textes en ancien français, Oisly apparaît, dans le monde réel, écrit aux XIVe-XVe siècles et aux XVIIe-XVIIIe siècles : Oualy (1370), Oilli (1397), Oaly (1492), Oally (1501), Oilly, Oisly termes à vérifier en creusant dans mon article sur mon étude-inventaire de l’église Saint-Hippolyte d’Oisly et les compléments étonnants que je viens d’y ajouter. Notons que Oisly a été orthographié Oisly, mais aussi Oesly sur le cadastre napoléonien de 1817. Une fixation ?

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Liste et liens : les toponymes Saint-Hippolyte et Hippolyte…

Pour commencer à comprendre la toponymie à travers

Saint-Hippolyte

Cliquez !

Sinon, lieu par lieu, en géographie descriptive…

voici la liste des églises Saint-Hippolyte et les toponymes Saint-Hippolyte, Hippolyte et dérivés, de Région Centre (et un peu des environs), et leur cartographie, ainsi que les communes et lieux-dits Saint-Hippolyte de France et quelques autres toponymes dérivés (Saint-Hyppolite, etc.) et la cartographie de ces toponymes dans toute la France. Un premier avis cartographique vous en est donné, surtout par chez moi, en Région Centre.

Toponymes France Saint-Hippolyte total

Les toponymes Saint-Hippolyte et autres associés en France listés ci-dessous.

Carte Nicolas Huron

Trouver le vôtre avec “Rechercher”
de la fenêtre de votre navigateur (aide
).

Cette liste n’est sans doute pas exhaustive, mais cet inventaire demeure toujours en cours. Pour le compléter ou pour comprendre le vôtre : Contact !

Pour commencer à comprendre, bientôt un article :
Frontières antiques : approche du culte de Saint-Hippolyte.

Cela nous parle des saules, de l’osier, de bottes d’osier, de poulains.

C’est très fourragé, militaire, chevalin… voire anguleux à l’encolure,

et assez lithique, voire délité, compressé, sous-jacent, ancien, au pied de…

avec un fort zeste d’administration aristocratique gallo-romaine.

Cela ressemble parfois à un hippocampe…

Les églises Saint-Hippolyte en Région Centre

et aux environs et les toponymes du même nom

Toponymes Centre Saint-Hippolyte frontières

Les églises et toponymes Saint-Hippolyte en Région Centre

Carte Nicolas Huron

Sans les limites des anciens diocèses, cette carte devient difficile à interpréter…

Voir ci-dessous…

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Les toponymes Bernard et Saint-Bernard : une christianisation

Mode d’emploi poétique très cartographique pour vos toponymes et pour toutes les saint Bernard, 20 août, tous les toponymes Saint-Bernard, Bernard et dérivés, et les chiens sauveteurs du même nom martyrs en Chine, en hommage à mon père Bernard, sauveteur en montagne, maître d’œuvres, pour se remettre en train avant ma re-création récréation sur les faussaires du 666 et après ma grosse panne (il paraît qu’il faut le dire ou l’écrire PAN maintenant) de PC.

Sans mon puissant timbre de voix,

lisez la petite bafouille tout à la fin, faim,

pour tout le monde sans payer le timbre… CGT-ist

à utiliser, à copier-coller, à partager sans maux d’air à scies ions+-… car

Bernard est aussi un arbre sacré…

un mode d’emploi en toponymie

Version pdf en 36 pages imprimable sur papier !

Une nouvelle découverte…

en-cas d’eaux…

par Jules ?

Verne, Aune…

Bernard, Saint-Bernard…

Quelques cartes éclairées parmi d’autres dans ce mode d’emploi.

Lœss sonde faux net –ique ?

Le son de faux nez tique…

Hoouuuu ! Ou où ? L’ours !

au bord des eaux et dans les aunes…

Pour les saint Bernard, 20 août, je vous propose de savoir, et d’en faire ici un cas d’école, s’il y a d’autres pistes en toponymie que des références germaniques de noms barbares, piste suivie par Stéphane Gendron (voir ma bibliographie indispensable), ou des références latines chrétiennes romaines (usurpées par les mêmes), comme saint Bernard de Menthon (XIe siècle), saint Bernard d’Hildesheim (+ 1021), saint Bernard de Thiron (+ 1117), saint Bernard de Clairvaux (+ 1153), etc. ou autres parmi les près de 25 saints catholiques romains ? Est-ce aussi possiblement de la faune-éthique ?

Leçon de faune-éthique

Le son de phonétique…

avec un exemple sainement apaisant :

Bernard et Saint-Bernard

sauveteurs en montagne

Les linguistes “toponymistes”, généralement germanophiles (on naît toujours sous occupation, ici, en zone occupée socialiste avec « nationale » 10, 152, etc. qui ont de fâcheuses tendances à se maquiller et de s’enrober sous d’autres dénominations ou bien en et avec d’autres mercenaires), font appel aux mentions latines médiévales, qu’ils ont, ici, volés, détruites ou mésinterprétées, pour trouver l’origine des noms de lieux. Hein ? Hun ? Ces “savants” ne seraient pas d’ici ?

Sanctus Bernardus, une piste ! Avec des archives anciennes…

Allez, au boulot et aux bouleaux s’ils en ont laissés ! Non ? Nom !

Pour information, on sait que les saints catholiques romains se rapprochaient de certains lieux qui portaient déjà leur nom. Mon enquête sur les Saint-Cyran, notamment en Brenne, dans l’Indre, le démontre. Un Bernard, va aller voir les lieux-dits Bernard ou Saint-Bernard, s’il en a le loisir, en voyage en pèlerine… âge ? C’est normal, c’est attachant… quand on aime la vie que la France vous a offerte et que l’on n’y demeure pas en demeuré barbare nomade en attendant plus riche gourmandise. Pour comprendre, il faut en naître de par le sang.

image

Le Col du Grand Saint-Bernard, un col stratégique de frontière antique.

Bernard en lieu dit

Saint-Bernard

Traditionnellement, en toponymie ou en anthroponymie (étude des noms de personnes), Bernard fait référence habituellement à l’ours, et à l’expression germanique “ours fort”, bern-, ber-, –hard. La capitale de la Suisse, Berne, en fait référence, mais ils sont trop germanisés pour en connaître toutes les vérités, ou, tout du moins, la principale vérité sédentaire : les aulnes, arbres imputrescibles des bords des cours d’eaux, des mares, des étangs et des lacs. Très bons pour les ponts et les pilotis… voir même pour les échelles, les calvaires, les outils, les manches, et les cales vers…

C’est un matériau très noble !

Hélas, depuis bien trop longtemps presque disparu…

Aune à Péronville (28), véritable monument historique faune-éthique

Verne art… à l’aune, en toutes bonnes mesures…

Photo Nicolas Huron

Saint ?

Et le sein ceint saint seing… singe, sain jeu ?

Et j’ai découvert que Saint, en toponymie signifiait anciennement : cet ancien lien

Trois sens à la fois de notre Foi. C’est indispensable à savoir pour lire la suite…

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Test après une grosse panne d’ordinateur

Petit essai après une panne sévère d’ordinateur.

image

Je résouds les problèmes et bientôt un article sur l’arnaque du 666 qui est sans doute DCLXVI oui, oui, oui… et VI VI VI, en latin SEX SEX SEX et en grec éq, éq, éq…

Allez, vis vive vie…

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