Le dieu romain Saturne et les églises Saint-Saturnin (1)

Lien d’avertissements et d’enquêtes un peu entamées…

Vous n’en croirez plus vos oreilles…

Saint-Saturnin (1)

Syn-Sat-Ur-Nin : ensemble en satisfaction d’auroch servant

Vérifier une grande découverte scientifique…

que vous pouvez faire ou refaire vous-mêmes…

Vérifiez !

Pour consulter ma cartographie du culte de Saint-Saturnin en Région Centre, notamment par rapport aux anciennes frontières des nations gauloises, et la répartition des toponymes Saint-Saturnin, inventoriés par l’IGN, dans toute la France, il faut consulter cet article.

Mystère de la viticulture : de Saturne à Saint-Saturnin

Mystère de la viticulture : de Saturne à Saint-Saturnin

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La réponse singulière et plurielle

D’après la mythologie gréco-romaine, le dieu romain Saturne  (Cronos grec) fut détrôné par Jupiter et fut réduit à l’état de simple mortel.

Usurpateur ? Usure pater ?

La bonne blague ? Naïf à ce poing là ?

La mythologie raconte qu’il instaura un âge d’or d’égalité à Rome, avec l’aide du dieu Janus, le dieu à deux visages, dieu des seuils, des portes et des commencements, des frontières

Des yeux derrière la tête ?

Un problème avec le passé présent ?

Une revendication ? Étrange(r) ? La bonne blague…

Rome, par Jules César, vous a offert les bibliothèques publiques…

Saturne est une planète dont la position dans le ciel change très lentement, elle est un défi à la patience, alors que Jupiter change de position bien plus rapidement. Saturne évoque le temps qui passe, le temps qui mange ses propres enfants.

Le terme, le mot « Saturne », est lié au fait de tourner, de faire un détour, de se retourner. C’est pourquoi ce dieu est lié aux frontières et sert à faire un tri vis à vis des personnes éventuellement transgressives et irrespectueuses des biens et des personnes d’un lieu, d’une contrée, de Rome, et donc de l’aristocratie romaine. Ce nom évoque aussi un mercenaire, un gardien. S-AT-TUR-nœud…

Vas-y ! Bouge-la ! Ose Oz…

Saturne (photo de la NASA, USA)

Saturne (photo de la NASA, USA)

Astre lumineux blafard lointain,

Saturne et sa logique semblant inamovible…

Dans quel sens est son chapeau, relevé ou abaissé ?

Sa propre optique, dégagement interne, provoque un prisme hexagonal.

Cette particularité mal comprise est en ce moment usurpée

pour la Terreur par les satanistes orientaux.

Ils s’en décrivent comme voleurs.

Sous l’empire romain existait une fête commémorative annuelle de cet âge d’or : les Saturnales. Pendant cette fête, il était interdit d’entreprendre une guerre ou d’exécuter un criminel. Tout le monde se déguisait et les rôles des maîtres et des esclaves étaient inversés.

Certains en profitaient ? Était-ce seulement une fête, un jeu ?

Oui, comme le chêne aux pendus de Saint-Louis à Vincennes…

vins scènes… vain Seine, V’in-s’haine, pour les réclamations…

Cette fête servait à reconnaître les personnes transgressives qui prenaient au sérieux cette inversion des rôles pour en profiter et en abuser. Lors de cette fête, ce gaspillage festif, les dénués des vertus romaines se dénonçaient d’eux-mêmes. Et, le lendemain, car le temps passe… les esclaves trop entreprenants, qui auraient quelque peu insulté les vrais maîtres et qui auraient pris cette fête un peu trop au sérieux, devaient se trouver face à Rome tous les autres jours suivants de l’année, et ça t(o)urne à Rome. Bon courage !

Un peu comme les Gaulois refusant à Jules César le ravitaillement de ses légions…

Le culte de Saturne a donné son nom au jour de samedi, « ça me dit… » nana n’a…

la veille du jour de notre saigneur, Notre Seigneur, notre « C nieur… »

C’était le dieu des vignerons et des paysans qui ne peuvent qu’agir pour le bien de Rome, et ainsi pour le bien de tous (la première médecine est la nourriture d’après son inventeur Hippocrate, Ἱππο·κράτης ; ou bien ypokratéô, ὑπο·κρατέω-ῶ [ᾰ] prendre de la force en dessous, se souder à la partie supérieure, GAL. 14, 435 ; ou en corps encore autre chose… ? Allez vous faire voir chez Lays grecques en farfouillant dans Le Grand Bailly), car sans le respect des bornages, des seuils, des propriétés, des frontières, etc., pas de productions agricoles…

Vous mangez et vous respirez quoi ? Mes ancêtres ?

Saturnisme ? σατυρ isthme ? σάτυρ’ος ?

Ah ouais ? AVE ! Ces arts, César !

Les vignes de Saturne

Les vignes de Saturne

Y aurait-il un rapport entre l’ancien culte à Saturne et la fondation des églises Saint-Saturnin à la fin de l’Antiquité ou au début du Moyen Age ?

Miroir mon joli mire hoirs…

Frontières antiques : Syn-sat-urne-in-…

Avec quelques dictionnaires comme le Félix Gaffiot, Le Grand Bailly…

faites un peu de mon jeu de toponymie, de maux et de mots, pour y voir

votre arrogance, votre ignorance, votre irrespect, vos pillages, vos crimes…

L’Église chrétienne catholique romaine est héritière de Rome… sa suite !

Les églises Saint-Saturnin sont-elles les vestiges d’un ancien culte romain à Saturne ?

Furent-elles une christianisation d’un culte païen ? Sont-elles encore un test ?

La réponse, qui semble évidente (€ ?), a été découverte en construisant :

l’historique de la commune de Limeray à travers les noms de lieux.

Miroir de votre ignominie, de votre ignorance, de votre incurie ?

VI VI VI oui, oui, oui, vie vive y vit…

De Saturne à Saint-Saturnin…

Dieu des vignerons et des paysans qui vous nourrissent, Saturne était lié à la culture de la vigne, plante qui délie les langues et les frontières de la vérité en faisant tourner la tête…

Sur la répartition des toponymes Saint-Saturnin en France, nous constatons qu’ils sont surtout nombreux dans le sud de la France, sur les contreforts des Alpes, du Massif-Central et des Pyrénées, mais pas seulement.

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Faire l’inventaire des toponymes de sa commune

Voici un exemple d’inventaire

Saint-Cyr-en-Bourg (Maine-et-Loire, 49)

grâce à son cadastre ancien

à une cartographie expliquée

avec une liste indexée des noms de lieux

Un nécessaire inventaire !!!

Pour expliquer un toponyme, il faut connaître son environnement géologique, géographique, historique, parfois botanique ou animalier, etc. Il faut aussi connaître son environnement toponymique.

En effet, un toponyme peut aussi trouver un complément à son explication à travers les autres toponymes voisins.

Par exemple, un toponyme de morphologie géographique romaine, sera souvent regroupé avec d’autres toponymes du même genre.

Traiter un toponyme isolément est bien sûr possible, mais aller vers un historique plus complet du terroir est beaucoup plus utile et peut compléter astucieusement une analyse.

Les principaux outils de l’inventaire : le cadastre napoléonien

Pour faire l’inventaire des toponymes d’une commune, il faut d’abord se servir des cadastres. L’outil le plus utile à un historique à travers les noms de lieux est le cadastre ancien dit napoléonien.

Ce cadastre établi au début du XIXe siècle,  se compose d’un très grand livre à la couverture généralement noire, d’une dimension de 60 à 80 cm de côté, et de matrices cadastrales, c’est-à-dire de livres partant inventaire des parcelles et de leurs propriétaires.

Cadastre ancien

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Les grands évènements qui ont formé les toponymes

Gras all

La toponymie, géographie de l’Histoire

une science insultée en corps encore

sous Occupation fachiste et nazie

organisée par les marchands du Temple…

ici ressuscitée, pour vous ?

avec vous ?

Dans l’ordre chronologique

des grandes invasions qui ont

falsifié et sali les toponymes de mon pays…

pour, d’expériences, en reconstruire un entendement de base.

Un historique orthographique ?

Les pièges orthographiques…

Presque tous fixés orthographiquement, les toponymes, qui peuvent, dans une autre langue, prendre une autre forme écrite (en bandits bretons importés et en français parisien germain romanisé ; en occitan wisigothique menteur et en royal et aimable tourangeau de saint Martin ; etc.), ont chacun un historique propre dans leur fixation écrite : cartographies, panneaux routiers, cadastres, actes notariés, adresses postales, guides… Le problème est que la lettre tue l’esprit.

Ainsi les Aix-d’Angillon (Cher ; 18) que chaque Français aurait envie de prononcer les Ex-d’Angions se prononce L’aisé-d’Angilon, car il semble avoir eu pour origine « les haies Dom Gilon ». Mais l’attraction d’Aix-la-Chapelle et d’Aix-en-Provence lui a offert l’occasion de moins de banalités en Rians.

Le piège orthographique peut être plus subtil encore, par exemple avec Chârost (Cher ; 18) à voir ci-dessous… ou en Blésois, à Blois, chez moi, dont lequel on entend le clapotis de l’envol d’un cygne, ou d’une oie migratrice, si on prend le temps de l’entendre se répéter,

dans mon joli sablier ligérien…

êcha… ἦχαv. ἄγω

êch, êch, êch…

Eh cake cake ?

ex, ex, ex…

Aix, Aix, Aix…

Aie et haies… hé, hé, hé…

Une exception ? Oooh NOM !

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Un nom de lieu de la Guerre des Gaules : Limeray

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Le nom de lieu « Limeray » est toujours resté énigmatique jusqu’à cette étude approfondie des toponymes de cette commune.

Cultivons-nous un peu, et examinons l’évolution de la science sur cette question…

Le cœur du bourg de Limeray (Indre-et-Loire)

Le cœur du bourg de Limeray (Indre-et-Loire)

Limeray est un bourg connu pour ces viticulteurs, l’étude de son nom peut nous donner sans doute la datation de l’implantation de l’exploitation des plantations de vignes par les envahisseurs romains qui, avant la Guerre des Gaules, vendaient à la population locale le divin breuvage pour « adoucir » les moeurs de leurs ennemis gaulois (comme font certains aujourd’hui avec la pornographie, les écrans, ou certaines autres drogues…), pour mieux, cela va sans dire, s’approprier leurs savoirs-faire et leurs richesses.

En effet, ces mêmes Romains exterminèrent la population gauloise carnute voisine de Limeray, pour s’approprier la production du blé de la Beauce. Les traces de cette tuerie ont profondément marqué le paysage.

« Buvez-en tous ; car ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est répandu pour beaucoup, pour le pardon des péchés  » trouve-t-on écrit dans le livre le plus populaire au monde (Mat. 26 : 26-28.).

Limeray est sur cette limite, cette frontière entre l’ancien pays des Carnutes massacrés, et l’ancien pays des Turons, l’actuelle Touraine, dont l’aristocratie gauloise et ses chevaliers semblent avoir collaboré (sous la menace ?) avec l’occupant pour le commerce (esclaves, denrées, etc…).

La fondation de la ville de Tours par César (sans doute Auguste et non Jules) est le résultat de cette collaboration, qui romanisa cette région d’une toute autre manière…

Que nous disent les « savants » qui se sont penchés sur cette question. Que veut dire Limeray ? Pour le savoir, consultez cette article portant sur les anciennes interprétations du nom Limeray.

Limeray, un nom des légions romaines sur un ancien nom gaulois...

Limeray, un nom des légions romaines sur un ancien nom gaulois…

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Un exemple de christianisation antique d’un toponyme : Saint-Plantaire (36)

1er cadeau pdf : Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire pour démarrer où…

Saint-Plantaire s’implante ère…

Livret livré de cet article dans cet article lié à ce lien !

Osez le comprendre, l’entendre et l’offrir !

St-Plantaire, les Aulnaies, à l’aune de l’Homme, où le lierre grandit, ose… Magnifique.

Les aulnes, vergnes, vernes, bernes… étant imputrescibles,

et le lierre servant de savon savant,

avec quelques genêts…

Photo Nicolas Huron

Jeune né, qui me lit et me lie, grandiose ?

avec les jeunes pousses des saules qu’on voit là, à gauche, comme aspirine…

Et à droite, sont-ce des hêtres ? ou un habitat pour des êtres humains ? des geais ?

En remerciements au Conseil municipal de la commune de Saint-Plantaire (Indre, 36) et surtout à monsieur Daniel Calame, son jovial et sympathique maire depuis 1989, agriculteur, éleveur, qui a administré sa commune le temps de mes enquêtes, personnes qui ont, fort heureusement pour moi, refusé mon devis de 3200 € pour une étude, une conférence et un livre, d’environ 200 pages, sur les toponymes de Saint-Plantaire, car s’ils avaient accepté, ce jeu de société en aurait été retardé, mon calvaire au service de leur(s) parti(e-s) aurait été encore plus grand, et il m’aurait fallu fournir le dit travail proposé pour moins de 0,50 € de l’heure, de jour comme de nuit, et en hommage à mon père et ma mère qui m’ont soutenu.

Que ce cadeau, car il est infini, leur soit éternellement offert, car leurs âmes le sont ici aussi.

Ah r’œufs ? Areuh… Arrhes, ares, arts, Art ! à re…

Chas chinois g’astronomique…

Un exemple de christianisation antique

d’un toponyme :

Saint-Plantaire (36)

Publié en janvier 2016 et ré-enrichi en jeux infinis de sociétés en octobre 2022 par

Nicolas HURON et disponible avec tous ses liens sur patrimoine-rural.com

λανθανόντως secrètement, simple en terres

à Saint-Plantaire et ailleurs…

Un toponyme unique à découvrir ici et sur Géoportail

Suite à la grande découverte sur laquelle je suis tombée, dans mes investigations en toponymie, à Saint-Cyr-en-Bourg (Maine-et-Loire ; 49), ce toponyme ancien, suite à mes recherches, semble incontestablement un phrasé préhistorique, ayant plusieurs sens : nids d’aigrettes, rappels astronomiques et gastronomiques, horreurs de l’occupation romaine, etc. Une multitude de sens dans les siècles des siècles passés et cumulés, et établie archéologiquement comme un poste de garde et de veille paléolithique, un habitat de culture néolithique et de l’Âge du Bronze, puis une forteresse de frontière gauloise, puis romaine, puis franque… un lieu christianisé, puis déchristianisé, plusieurs fois, puis rechristianisé dans ses sens premiers véritables par cette même découverte. Saint-Cyr-en-Bourg se présente phonétiquement curieusement comme une sorte de singularité plurielle, un pluriel singulier, un phrasé paléolithique.

Faisant en octobre 2022, pour confirmer cette découverte, que j’ai encore du mal à croire, mais qui me paraît personnellement parfaitement logique, ces mêmes recherches et vérifications à propos du toponyme de Saint-Plantaire, toponyme unique trouvé également sous la forme de Bois Plantaire, sur Orsennes (Indre ; 36), et présent aussi comme lieu-dit la Plantaire, sur la commune de Beauficel (Manche ; 50), pour compléter et agrémenter cet article, j’effectue, ici, cet incroyable ajout et mise à jour.

Cet ajout me semble important dans ce qui a précédé à la christianisation des lieux, et cette vérité découverte, en fait une nouvelle christianisation, c’est-à-dire un rétablissement de vérités, selon les injonctions de Jésus de Nazareth, devenu Jésus Christ (que l’on prononce chez moi, « cri ») après sa Crucifixion, sa mort sur la Croix, en un cri, et sa Résurrection en son tombeau, pour nous apporter, par suite l’Esprit Saint, via ses Apôtres, et Rome.

Jésus Christ nous a dit qu’il était d’avant Abraham (Jean 8:58)… C’est dire !

« Tous les chemins mènent à Rome », et à son Histoire introduite, ici, par Jules César,

et entretenue par l’Église chrétienne catholique romaine,

même si Saint-Plantaire est un peu à l’écart et

qu’il n’existe pas de saint chrétien catholique romain saint Plantaire…

Cette Histoire fait entrer la Préhistoire de Saint-Plantaire dans l’Histoire,

et que c’est inscrit dans ce toponyme si on ouvre un dictionnaire de grec ancien.

Cadastre ancien, dit napoléonien, de la commune de Saint-Plantaire.

Archives communales, mairie de Saint-Plantaire.

(mes photos de ce cadastre sont téléchargeables ci-dessous en fichier zip)

Photo Nicolas Huron

Une christianisation de la christianisation !

Ayant inventé une méthode, que vous pouvez utiliser, pour vérifier ma découverte sur d’autres lieux-dits de France, qui sont légions, et d’ailleurs, il faut d’abord indiquer que le terme « Saint » du phrasé Saint-Plantaire (Indre ; 36), comme dans ceux de Saint-Cyr-en-Bourg, Saint-Hippolyte, Saint-Léon, Saint-Jallet, Saint-Bernard, Saint-Robert, Saint-Maurice, Saint-Georges, Saint-Michel, etc, parmi quelques-uns que j’ai pu vérifier, n’a pas seulement le sens de saint chrétien catholique romain, mais a aussi un sens bien plus ancien, plus complexe et étendu, que l’on pourrait qualifier de géographiquement « catholique » selon l’étymologie de ce mot grec : en général, universel.

Cette étymologie de la catholicité peut se vérifier à travers Le Grand Bailly, Dictionnaire grec – français, en y consultant καθολικός, katholikos : général, universel ; en terme général  (ἡ καθολικὴ ἐκκλησία, ê katholikê ekklêsia, l’Église universelle ou catholique), sachant que καθολικς, katholikôs, signifie : d’une manière générale, généralement ; et sachant que ce mot provient de l’adverbe composé καθ·όλου, katholou : d’ensemble, en général ; au total, d’où absolument. Il suffit de relire, de ré-observer, ce qui est, l’étymologie, le sens réel, originel et original de religion (voir mon article à ce sujet). C’est loué ! Lavement, lave ment…

Pour y voir plus clair avec l’omicron au milieu, cherchez λούω…

il est vrai qu’un chas, un chat, c’est très propre…

comme le grand κατα du calcaire de Beauce

ou des eaux du Massif Central… là !

Ainsi, on découvre que le phrasé phonétique Saint-Plantaire, peut redevenir phone-éthique, voire faune-éthique, en le pensant « syn » ou « sym », mot grec qui n’a subsisté en temps que préfixe dans la langue française : synthèse, syntaxe, symphonie, sympathique…

Ainsi de façon curieuse, et comme exemple parmi d’autres sens possibles, Saint-Hippolyte (voir ma dernière étude de ces toponymes Hippolyte et Saint-Hippolyte) peut être lu proche de συν·τυρόω-, syn-tyroô-lithé (sunturoô, ô, ω, étant l’oméga, w sur un clavier azerty dans Le Grand Bailly numérique) –λιθε (lithé, th, θ, étant le q sur un clavier azerty dans Le Grand Bailly numérique) : faire cailler ensemble comme un fromage. Avec de la pierre, au sens propre comme aux sens « figurés », entre autres sens à découvrir dans Le Grand Bailly ?

ρ, p ? r… ! Oh ! ERRARE HUMANUM EST qui semble être un des points cardinaux ! Pro ?

Reprenons donc, ré-observons, relisons, faisons donc preuve de religion : συν·τυπόω-ῶ, syn-typoô-lithé (suntupoô, ô étant l’oméga, w sur un clavier azerty dans Le Grand Bailly numérique) –λιθε (lithé, th étant le q sur un clavier azerty dans Le Grand Bailly numérique) : façonner sur le type de, modeler sur… la roche, la pierre, le sable, l’argile… ensemble, ou avec…

Le français est tellement riche, qu’on peut l’écrire en matière de plaisanterie :

Saintes, il peaux lie, te…

sains t’its pots lient tes… ffff’rôts mages

et Saint-Plantaire : s’implante ère… sain plan terre…

ceint plante aire… simple en Terre… seing plan t’erre…

Si vous n’y arrivez pas, il faut le faire à haute voix et s’entendre,

c’est une astuce paléographique de médiéviste diplomatiste…

pressé avec son petit lait…

Cette remarque remarquable n’est sans doute pas exacte pour tous les lieux saints christianisés avec le terme Saint-, mais j’ai pu constater d’incroyables redécouvertes de la faune et de la flore locale (généralement totalement détruites), de la géologie et de la géomorphologie, des terroirs naturels, à travers mes enquêtes avec ce type de toponymes et avec cette nouvelle découverte.

Signalons, pour l’anecdote, que l’abréviation St de St-Plantaire touche au sens de rester, de stationner, sauf pendant la Terreur révolutionnaire « française », d’origine anglaise, ou autres insultes supplémentaires aux terroirs et à leurs légitimes héritiers. St ! St ! St ! St ! St !

St-, c’est un peu au goutte à goutte, debout, de boue, caverneux… Essayez en grec : στ

St-Plantaire, C’t Plantaire… Croyez-en son magnifique calvaire devant son église,

sa source sacrée, sa verdure, et son patron des médecins…

Est-ce Thomas ? Non ! Nom ? Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire !

et toutes ses pépinières possibles pour en avoir ou en perdre des aigreurs d’estomac.

Carte postale ancienne de l’église et du bourg de Saint-Plantaire.

Archives communales numériques

Carte postale ancienne de l’église Saint-Pantaléon, de la fontaine sacrée et du bourg.

Archives communales numériques

Une échelle chronologique ? Une échelle de valeurs ?

pour monter jusqu’à Paris, chez les p(h)arisiens ?

Attiré ou avec un bon sens de l’orient-ation…

Zin-zin ? Non :

συν- syn-

une christianisation préhistorique !

par laquelle, la Préhistoire entre dans l’Histoire chrétienne.

Saint-Plantaire : Syn-Plantaire…

Le préfixe grec συνsyn-, avec, ensemble avec, invite à découvrir la suite, et, de savoir ce qui est ensemble ou assemblé, lié fortement.

Vous ne me croyez pas ? Sains seins ?

La définition de συν (syn, sachant que le y grec, υ, est le u sur le clavier azerty dans Le Grand Bailly numérique) est longue (plus de 2 colonnes du Grand Bailly) et les termes associés sont très nombreux (pages 1837 à 1872 de ma version papier du Grand Bailly). En voici un résumé : σύν, ancien attique ξύν, adverbe et préposition : A, 1 ensemble, tous ensemble ; 2 en même temps ; 3 en outre. B, préposition : avec ; du côté de, en faveur de ; d’accord avec, en communauté avec ; avec, par le moyen de, au moyen de ; en même temps que, etc.

A vous de le découvrir au sein du dictionnaire, papier ou en ligne, Le Grand Bailly…

https://bailly.app

car la langue et la toponymie gauloise se rit en grec.

En Gaulois, en Celtes, en etc.

Le très pratique et technique Dictionnaire de la langue gauloise, une approche du vieux celtique continental, de Xavier Delamarre, ainsi que d’autres outils linguistiques, nous permettent d’aller encore plus loin…

On peut y déduire que la partie du phrasé orthographié sur nos panneaux routiers « Saint- » désigne souvent au moins trois ou quatre sens, un démonstratif d’insistance, le sens d’ancien, le sens de semi ou demi, le sens de lien : cet ancien demi lien qui se renforce des sens grecs d’essence grecque (un Phoenix, ou à défaut un écureuil, dans un cèdre géant couvrant des vergers et des vignes grimpantes… arraché à sa vie, incendié par le Mal et sa guerre guère…) précédemment notés sincèrement, syn-, avec une spécificité locale très diversifiée par les occupations successives dans les siècles des siècles.

Et mon écureuil et mes pantoufles de vair ?

On peut y trouver les références phonétiques à « senos », ancien, vieux, « simi », semi, demi, « sinde » (Saint-Denis, par exemple), ceci, « sino », lien, chaîne… sachant qu’il s’agissait de langues à déclinaisons, c’est-à-dire à terminaisons de circonstances grammaticales.

Il faut bien le dire, souvent oubliées, voire négligées…

En latin jusqu’à Rome… Allez plus loin !

Le terme de toponymie, Saint-, est évidemment à rapprocher aux mots latins de la famille de sanct-, touchant au sacré, comme sancte, d’une façon sacrée, inviolable, et de la famille de san-, touchant à la bonne santé, comme sane, d’une façon saine, raisonnable, sanatio, guérison, etc. Le grec σαν (san) comme introduction n’est pas mal non plus.

Mais phonétiquement, à partir de là, on peut rapprocher le terme toponymique « Saint- » au latin sunto, qu’ils soient, du verbe latin sunt, ils sont, ou des mots de la famille de summumsummus, le plus haut, le sommet (un panorama est avec ses alentours), du mot cum, avec, comme, sum, je suis, comme sin, mais si, si au contraire, sine, sans, et, avec des verbes comme sinuo, sinuare, rendre courbe, rendre sinueux, à en croire sinus, courbure, sinuosité, concavité creuse, golf, hanse, baie, etc., géomorphologies mnémotechniques qui sont très créateurs de toponymes. Saint-Plantaire est un peu entouré d’une crête et les cours d’eau y sont très sinueux. On peut aussi rapprocher cette syllabe Saint- de mots français comme « somme », « comme », « cime », voire à nous « sommes »…  et ces mots sont légions.

Il est curieux de voir la Somme, une rivière, mise ainsi en rapport avec Saint-Plantaire.

Même le barbare anglo-saxon n’y échappe pas en ayant gardé ou repris des termes latins ou grecs, et avec son sun, le soleil (à prononcer avec le « e » d’œuf au singulier), associé à la lumière, la chaleur, proche de l’anglais, son, le fils (à prononcer « sonne », à la manière anglo-saxonne)…

On n’y peut rien, cela agit tout seul… C’est la parole logique, la suite logique :

le Verbe, le Logos et bien sûre sa porte Saint-Pantaléon…

Une santé de faire, une sans T de fer…

avec sa chapelle ! page 14…

Les personnes bien informées sauront vous la montrer.

Je rajoute à la fin de cet ouvrage, le et les sens que j’ai pu trouver au toponyme Plantaire. C’est assez étonnant de constater que cela veut notamment dire : prenez bien garde, veillez ensemble, où vous mettez les pieds, dans cet écart, un peu sauvage et éloigné d’un peu de tout et en frontière antique… isolement l’ayant nommé. Ces sens correspondent parfaitement à la situation géologique, géographique et historique de l’endroit comme peut le démontrer mon historique, inventaire documentaire des sources de l’église Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire (Indre ; 36).

Il est vrai qu’en français s’écrivent et s’inscrivent, ceint, seing, sein, sain… scintillent !

On aurait pu me le dire ou me le montrer à défaut de me l’enseigner… Logos ?

« Dites seulement une parole, et je serai guéri… » Ok !

Découvrez la suite, en fin d’article,

tout proche de Saint-Michel où

sains plants errent…

simple en terres…

Plante air !

La mémoire de cette découverte :

L’église Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire !

à propos de laquelle je m’en suis posé bien des questions à ce sujet

pendant 32 ans, depuis ma première conférence sur ce remarquable édifice,

le samedi 3 novembre 1990, et lors de la rénovation de mon étude pour l’été 2015,

étude téléchargeable ci-dessous, au sein de l’article que j’ai réalisé sur ce blog en 2016.

L'église Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire (Indre)

L’église Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire (Indre)

Ainsi, le patronyme d’une église peut remonter bien plus loin que la fondation de l’église elle-même. Le culte des saints chrétiens ayant remplacé des anciens cultes païens, les noms de saints choisis lors de la christianisation de la Gaule romaine sont parfois liés à un culte plus ancien : Saturne avant Saint-Saturnin, le Mercure gaulois avant Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire, etc.

En voici un exemple avec l’église Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire, saint Pantaléon, anciennement, avec les prêtres d’Esculape, médecins, droguistes et marchands du temple sacré et palais de l’empereur romain d’Orient (actuelle Turquie), et médecin martyr, devenu patron et protecteur des médecins honnêtes et dévoués, ou bien, selon les époques et les occupations, nasse, appeau et piège, pour ceux qui pourraient ne pas l’être ou en être. A vous de voir…

Sinon, quelle utilité y aurait-il à des gardes frontaliers ?

Extrait ci-dessous de mon ouvrage (112 pages + maquettes à monter) :

Saint-Plantaire à travers les siècles – église Saint-Pantaléon

à télécharger ici, gratuitement :

Nicolas-Huron-St-Pantaleon-de-Saint-Plantaire(36).pdf

ou/et avec une participation volontaire éventuelle avec €-libre-paiement,
ou avec une invitation aux bénéfices avec 32%/€net.

Version papier à faire imprimer et à acquérir à la Boutique !

Bonne lecture à travers ce petit extrait de mon étude de
l’église Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire (Indre).

… < EXTRAIT > …

Un exemple

de christianisation antique

d’un toponyme : Saint-Plantaire (36)

Saint Pantaléon

Vitrail-St-PantaleonLe nom Pantaléon provient du grec ancien pan, « tout », et éléïmon,  « miséricordieux ». Pantaléon de Nicomédie, encore appelé Pantaleimon ou Pantéleimon, fut médecin à la cour de Maximien Hercule, empereur romain (+ 310), et sous le règne de l’empereur romain Galère (auguste de 305 à 311).

Eglise Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire (36). Vitrail de la baie centrale du chœur (XIXe siècle).

Converti au christianisme, Pantaléon s’opposa aux prêtres d’Esculape (Asclépios), dieu de la médecine, et commença à exercer ses talents gratuitement au nom du Christ ce qui le rendit très populaire. Selon son hagiographie, il fut cependant dénoncé aux autorités et arrêté. Il échappa alors à six tentatives d’exécution, mais malgré la torture, il ne renia pas sa foi et finit par être décapité vers 303 ou 305 à Nicomédie (aujourd’hui la ville d’Ismit, dans la banlieue est d’Istanbul en Turquie), capitale des empereurs Dioclétien (284-305) et Constantin (306-337). La religion chrétienne sera tolérée dans l’empire romain à partir de l’Edit de Milan en 313. Elle deviendra la religion officielle de l’empire vers la fin du IVe siècle.

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Publié dans Histoire locale | Commentaires fermés sur Un exemple de christianisation antique d’un toponyme : Saint-Plantaire (36)