J. C., ça t(o)urne la tête, mais mon « Man Age » à mois, c’est toit ! J. C.
Trek culturel…
Est-ce ses dons ? Essaie donc, et cédons et c’est don…
Training, trekking, coaching… agricole, grossièrement, de Françay…
pour lutter contre l’infantiliste, infanticide, quand on y pense sans vraiment panser.
A lire et à relire, tout en s’équipant, en prenant tranquillement son temps au maximum…
…
Ton…. île lustre ration…
Partir de là, ci-dessous, si deux sous, si dessous…, ou de :
mon jeu de société autour de Guillaume et de la Guillaumière de Françay en grec…
ou plus classiquement orthodoxe :
Pour la saint Guillaume 10 janvier, paroles d’historien…
…
Un guillaume, une définition plurielle spatio-temporelle
D’après le grandiose et magnifique Dictionnaire du monde rural, les mots du passé, de l‘honorable Marcel Lachivier (Imprimé par Aubin Imprimeur, Ligugé, Poitiers ; Ed. Librairie Arthème Fayard, 1997), un guillaume, nom commun masculin, est selon cet extrait :
– 1/ Sorte de rabot qui sert à faire les moulures… Rabot de bois…
– 2/ Terme de maçon, faire guillaume, se placer de distance en distance sur une échelle pour se faire passer les matériaux de construction et les mettre à pied d’œuvre.
– 3/ En Puy-de-Dôme, nom que quelques personnes donnaient au mannequin que l’on portait processionnellement le mardi gras, et qu’ailleurs on nomme carême-entrant.
– 4/ Nom de Guillemot, oiseau de passage, à Saint-Valéry-sur-Somme.
Toujours selon ce même dictionnaire, un gros-guillaume est :
– 1/ Surnom traditionnel d’un valet de ferme.
– 2/ Pain grossier qui servait à la nourriture des valets de ferme.
– 3/ Ichthyol. Sur les côtes de la Manche, nom donné à une variété de raie.
– 4/ Cépage.
Sinon, le Larousse nous apprend qu’un guillaume est une toile métallique résistante, à larges mailles, placée au-dessus du tamis d’un grenoir, pour protéger ce tamis des chocs des gobilles, ou bien un type d’outils à fût de menuisier, de formes variées, mais généralement étroit et dont le fer occupe toute la largeur du fût, le dégagement des copeaux s’effectuant sur le côté (il sert surtout à rectifier des feuillures, des rainures, etc.) ou bien un rabot des ravaleurs, pour gratter des pierres.
Outils de rainurage des tambours des colonnes des temples grecs, romains… ?
…
Néolithique, Néo lit tiques, nez haut lie ti queues… nés au lit t’y… qu’oeufs…
Cette dernière définition fait penser au Néolithique et à ses polissoirs, comme celui du Petit-Fontenail, déplacé auprès de l’église Notre-Dame de Nourray.
L’église Notre-Dame de Nourray (Loir-et-Cher, 41) et son polissoir…
Une suggestion de reproduction virginale par simple frottement ?
Mon étude ancienne et partielle du monument.
Scie lisse, si hommes ; si l’hisse si homme…
Complément et complétude minérale…
Gros astique caux…
Solex, silex…
Silicium…
Coco !
…
Serait-ce le nom original et véritable du polissoir, ou d’une hache polie, extrêmement présentes archéologiquement aux Mergers à Herbault (Loir-et-Cher, 41 ; voir les photos et mon étude à ce sujet), auprès de Françay, et surtout dans la vallée de la Sixtre, à Maves (Loir-et-Cher, 41) ? Ma-aveu ? mât ave, aviculture de cigognes, d’aigrettes… ? Ma (mauvais) Vœux, voire mauvais œufs ?
G (comme gorge) –ille (eau) Om…
Chacun la sienne ? Le sien ?
Ah ouais ? AVE ! Avez…
Vile l’aime lisse ?
Vie l’aime ?
Wilhlem
…
Coucou !
Glou, glou, glou !
FLUCTUAT NEC MERGITUR
Allons plus loin et approchons-nous des fabricants des Géants de l’Atlantide… et des dieux.
Il y a plus de 330 toponymes Guillaume, ou composés avec ce nom, en France, alors imaginez les dérivés comme la Guillaumière. Guillaume hier ? Guillaume y erre ? Guillaume y air(e)…
…
Les révélations de la toponymie : “guille” sans en être une…
La toponymie nous en apprend beaucoup plus et va vraiment très, très, très loin…
…
…
Le toponyme Guillaume ou Guillaumière, peut se concevoir comme une singularité plurielle évoquant les zones humides (-ill-), un parasite vert (gui) ou un faux (guille), des paniers d’osier (en Bretagne, certains paniers portent ce surnom), voire beurrés d’argile, des plantations, des réserves ou autres, en paniers hauts, protégés des prédateurs, des mannequins de même, les géants en osier évoqués par Jules César dans la Guerre des Gaules, prison des condamnés à l’holocauste pour quelques surperstitions bourgeoises et/ou guerrières, et rires homériques, et sans doute plus anciennement des extensions agricoles de sauvegarde avant les invasions celtes, gauloises, que les anciens Grecs avaient aussi subies, etc. Hélas… Géant ?
Titans… Soutien gorges ?
Contre-Hérode…
pas niés.
Exemple :
– La ferme d’un Guillaume, propriétaire ou seigneur du lieu, ayant possiblement pris ce nom par héritage, le lieu donnant alors son nom à la personne. La chose est attesté dans la seconde moitié du Moyen Age, aux Archives départementales de Loir-et-Cher, pour la Guillaumière de Françay.
Cependant la toponymie est bien plus ancienne et bien plus complexe qu’on ne le pense.
Une “guille” est une tromperie, une supercherie, une fraude. Ce sens rejoint l’idée du mannequin de Mardi Gras, le bonhomme Carnaval. J’ai moi-même participé à ces défilés et cérémonies traditionnelles qui se finissent par l’incendie volontaire du mannequin, sachant que la racine “carn-“ signifie la chair, la viande. Il vaut mieux cette fourberie… Non ?
Ce sens de “tromperie” se retrouve dans d’autres toponymes locaux :
– La Guillebardière à Saint-Nicolas-des-Motets (Indre-et-Loire, 37), qui se rapporte à des chants de bardes (bardos en langue gaulois) pour les louanges ou pour les blâmes. Cela fait penser à quelques noms d’oiseaux, voire à quelques charmes… ou à des ormes géants nichoirs. Cette ancienne ferme est encore située sur un sommet ressemblant à un embryon, à 135 mètres d’altitude, près d’une zone humide, la Fosse Trucheau, et qui se trouve dans le coin nord-ouest du finage de la commune de Saint-Nicolas-des-Motets, près des Mânières et des Creux, argileux et marécageux, au voisinage de la commune de Saint-Cyr-du-Gault (voir ma grande enquête sur les Saint-Cyr sur ce blog) derrière les Trembles (saules), et touchant à la Richardière (Construit avec ric…, roi ou sire, rappel des nids blancs des aigrettes hard prédateurs des zones humides, et “coa, coa”… Quoi ? “Croa, croa…”).
Vérifiez sur Géoportail : https://www.geoportail.gouv.fr/carte
– La Guilleberdière, à Chapelle-Guillaume (Eure-et-Loir, 28), sur une pente donnant sur une zone humide d’aulnes et de bouleaux… sachant que le “A” peut se prononcer “ai”, selon les fantaisies romaines locales. Ah ouais ? AVE !
– Guillebert, à Saint-Lubin-en-Vergonnois (Loir-et-Cher, 41), petite crête à 120 mètres d’altitude, près des Potences, auprès et au-dessus de la zone humide du Vivier et de l’Etang du Gaugé, avec de l’autre côté de ce petit vallon, Le Heaume… sachant que “bert”, berg (Nuremberg…), ber-, etc., signifie en toponymie sommet, hauteur, que le mot gaulois bar(io) signifie colère, fureur, passion, et que le mot gaulois beru– signifie source, fontaine, toutes choses se comprenant… sous le nom de faux sommet, le véritable sommet étant plus à l’ouest et plus haut. As en scions…
– Guillemer, à Authon (Loir-et-Cher, 41), construit avec le mot gaulois mero (le o est une liaison ou une déclinaison) qui signifie “fou, agité” et qui se vérifie localement comme une Folie (dépression venteuse des feuilles mortes pouvant donner des feux follets ou des odeurs de pourritures, voire du bio-gaz…). Le toponyme étant ici bien établi comme une fausse Folie, puisque évacuée par deux ruisseaux de deux vallons profonds sujets forcément à quelques orages et inondations salutairement nettoyeuses d’aines et d’haines…
– Guillestre (Hautes-Alpes, 05), auprès et à l’écart et à l’est de la vallée de la Durance, cette commune semble être un ancien plateau oppidum gaulois, protégé par la vallée escarpée du Guil et celle du Torrent de Chagne, et dont l’accès se fait sous le célèbre fort de Montdauphin, dont le verrou bas, porte le nom de Saint-Guillaume, sans doute pas seulement par la présence tardive d’une chapelle portant ce nom. L’escarpement de la falaise est, ici, tel qu’il peut ou a pu s’y appuyer un guillaume ascenseur, as censeur. L’ancien nom proche de la Gagière, et Villard voisin, nous indiquent encore quelques précautions douanières. Un hasard ? Le ceint guillaume, un ancien géant gardien de cet abri ? La racine stero-, storo-, gauloise semble désigner un caractère ferme, solide et vigoureux. Estre, être, hêtre ? Un fort gaulois, ibère, voire plus ancien, quelque peu trompeur car soumis à d’autres tout autour ? Une grosse machine, une agriculture de gros et gras boeufs, un coupe-couilles ? L’enquête reste à faire… Quoique cherchez et vous trouverez : La Main du Titan, La Rue des Masques… l’art eu démasque.
Vérifiez sur Géoportail : https://www.geoportail.gouv.fr/carte
Pour n’évoquer qu’eux…
…
Les révélations de la toponymie : “aume”, “aumière”
En toponymie, on trouve ces phonèmes représentés le plus souvent comme une essence : les ormes, arbres pouvant atteindre 30 à 35 mètres de hauteur, parfois 40 mètres, et dont l’un des derniers spécimens géants fut vu à Genève au XIXe siècle avec une circonférence de tronc de 17 mètres. Ainsi Guillaumière peut se comprendre comme fausse ormière, des ormes qui n’en sont pas, des hommes qui n’en sont plus. Des Colosses au pied d’argile, argile puisé dans les viviers et bras d’eaux, pour y faire quelques poteries et quelques potes rient ? Géant ? Oui, oui !
On peut évoquer l’anglais home, ou le français gréco-gallo-romain, “homme”, qui en toponymie est associé à l’orme.
On trouve cette vérité sous de nombreuses formes et dans de nombreuses langues : ulmus latin (houle mousse…), lemo ou limo en gaulois (Limeray ?), ulmr en norique (mot signifiant aussi arc), ehm en anglo-saxon, jilimus en slave, ilem en russe, et plus anciennement encore, l’indo-européen lmos, olmos. Wilhlem ? Ville aime ? Avec une aile arrachée ? Si, si, Rome, rrr’homme !
Les toponymes sont foison, des milliers et des milliers : Limeux, Hommes, Limoges, Lumeau, l’Houmeau, l’Houme, Oulmes, l’Hôme-Chamondot, Lhomme, les Ulmes, Lancosme, Lancôme, Lognorme, Ormoy, etc.
Heaume !
Haut me…
VIVA ITALIA !
Illustre à : “scions” !
…
La Guerre des Gaules de Jules César, notre premier récit, les évoque…
« 16. Tout le peuple gaulois est très religieux (à comprendre comme supersticieux et non selon le sens étymologique pour un Romain) ; aussi voit-on ceux qui sont atteints de maladies graves, ceux qui risquent leur vie dans les combats ou autrement, immoler ou faire vœu d’immoler des victimes humaines, et se servir pour ces sacrifices du ministère des druides ; ils pensent, en effet, qu’on ne saurait apaiser les dieux immortels qu’en rachetant la vie d’un homme par la vie d’un autre homme (comme la retraite par répartition… ?), et il y a des sacrifices de ce genre qui sont d’institution publique. Certaines peuplades ont des mannequins de proportions colossales (grand, gigantesque, magnitudine simulacra), faits d’osier tressé, qu’on remplit d’hommes vivants : on y met le feu, et les hommes sont la proie des flammes. Le supplice de ceux qui ont été arrêtés en flagrant délit de vol ou de brigandage ou à la suite de quelque crime passe pour plaire aux dieux ; mais lorsqu’on n’a pas assez de victimes de ce genre, on va jusqu’à sacrifier des innocents. 17. Le dieu qu’ils honorent le plus est Mercure… (mer cure, mère cure…) »
Alii immani magnitudine simulacra habent, quorum contexta viminibus membra vivis hominibus complent, quibus succensis, circumventi famma exanimantur homines (Jules César, La Guerre des Gaules, VI,16).
Je suis allé vérifier sur le terrain. Mes conclusions : Jules César dit la vérité.
Vous verrez maintenant les Géants pacifiques des carnavals comme des véritables et débonnaires pacificateurs, des civilisateurs authentiques, mais heureusement faux.
Pensons à la Devinière et à François Rabelais, et à ses géants personnages : Gargantua et Pantagruel… et passez aux devinettes patrimoniales, mémorielles, droit du sang…
Pensons aux Géants du Nord, sur la frontière avec la barbarie, et même aux tours du limes romain… à la Tour César de Châtillon-sur-Indre… les exemples sont infinis.
https://www.ina.fr/contenus-editoriaux/articles-editoriaux/les-geants-du-carnaval
(Lien fonctionnel ou non en fonction de l’humeur et de la rapinerie de cette république…)
Les Gayants de Douai… énormes : “-enne” (à travers) ormes, (h)aine hors me…
Troie jours, trois, Carême-entrant, Carême-prenant, Mercredi des Cendres
Bonhomme Carnaval de Mardi Gras… Mars dit euh…, dieu de la guère ?
Grillage avec papiers, ou grillade avec pas pillés des barbares à barbe QQ…
Simulacra, si moule accras, c’est un wok ?
Ac… queue rats, de cheval ?
Bon homme car naval…
Irish danse…
Flamme…
Savons !
Gras hall, Graal !
Gras allez encore en corps plus loin…
Le Capitole ou le Palatin, Moncé… Va Ti Khan !
Avec la personnification prédatoriale dictatoriale : Mao, Hitler, Staline, etc.
…
La livraison de la vérité ? Par raclées ? Pas raclés ? Para clé ? Paraclet ?
Un tour de cour ? La peine à l’ombre à peine à l’ombre… d’un chien-assis ou d’une lucarne.
Photo Yvonne Depussay, née Gravereau,
mère de 7 enfants et de bien d’autres, mon aïeule.
Char d’appeau long ?
Une moue à sons de plus ?
Yvonne Depussay, née Gravereau, descendante de mon aïeul, Michel Gravereau,
charpentier dans les mines d’argent d’Espagne (1776), puis à Marseille (1779)
pendant le blocus et les bombardements anglais, et dont elle recopia patiemment,
à la main, les précieuses lettres que je conserve de la perfidie germanique anglo-saxonne.
Un pas et une parole mesurée : Guy Depussay, loué agriculteur et maire de Françay,
père de Michel Depussay, de même destinée… laboureur, louée.
Un chemin d’exploitation romain, orthogonal, une croix ? Un cale vert ?
La Guillaumière, ferme de Françay (Loir-et-Cher, 41).
Ses portes rouges et ses trous noirs…
à tirants attirant tout…
Plan cadastral napoléonien, dit ancien, illustré, un peu bouée, bref boueux,
avec la Guillaumière, ferme de Gâtine tourangelle en Petite Beauce,
orientée quasiment comme Notre-Dame de Françay…
La preux veut… âme usant ou amusant ?
…
Sans oublier Limaçon, dans le coin de Françay, sur Herbault tout proche…
Limaçon, lime à son, vent d’hommes, cris, encore un buisson bordant un vivier double, propriété voisine, est une autre ancienne ferme datée comme gauloise, sur Herbault (Loir-et-Cher, 41), la commune voisine toute proche. Dans l’angle droit sud, entre les deux fermes : Reparé.
Limeux, Limoges, Limaçon… ormes à chants d’oiseaux… lit maçon… fond argileux !
Grands ormes ou grande maison gauloise, comme un Tulou chinois ?
Enquête à l’impératif ou comme substantif ?
La science avance…
Eve. E’veut !
…
Vous avez dit “colossal” ? Colosse de Rhodes ! Statue de Néron ! Le Colisée !
Le terme “gigantesque”, magnitudine, représente quelle taille pour Jules César, ce grand esprit, un manitou ? Ce grand personnage a probablement pu voir de ses propres yeux, dans sa jeunesse le Colosse de Rhodes, représentation de l’Apollon-Soleil dont les dimensions ont été estimées par les archéo-historiens à environ 32-33 mètres, voire 40 mètres pour certains. Ces dimensions sont celles des grands ormes. Mais « gigantesque » ?
La statue de l’empereur Néron, décédé en l’an 68, statue colossale, mesurant environ 35 mètres, transformée en statue d’Apollon, à la suite de la damnatio memoriae de l’impopulaire Néron, a donné son nom au Colosseum, le Colisée, amphithéâtre colossale, colo sale gallo-romaine, dont la construction fut terminée sous l’empereur Titus en l’an 80.
Ce colosse, l’un des deux de Rome, déplacé par l’empereur Hadrien (117-138) avec des éléphants, était encore debout au début du IVe siècle.
Illustration poétique sémantique en attente d’aquarelle, aqua réelle…
… d’homme… dos meuh… d’eau me… d’haut me…
Renseignez-vous, enseignez-vous !
Relisez-vous à haute voix !
Entendez-vous ?
Dômes ?
…
On peut donc dire que “colossal” signifie à l’époque de Jules César environ 100 pieds romains, ou 100 pieds gaulois, voire sous notre Ancien Régime, 100 pieds de Roy. Et « magnitudine » ?
On peut aussi mentionner le colosse arverne du Mont Mercure au Puy de Dôme, volcan orné aujourd’hui de sa grosse antenne radio-active…
“La dimension de toutes les statues de ce genre a été surpassée de notre temps par le Mercure que Zénodore a fait pour la cité gauloise des Arvernes, au prix de 400.000 sesterces pour la main-d’oeuvre, pendant dix ans. Ayant suffisamment fait connaître là son talent, il fut mandé par Néron à Rome, où il exécuta le colosse destiné à représenter ce prince. Cette statue, haute de cent dix pieds, est aujourd’hui un objet de culte, ayant été consacrée au Soleil après la condamnation des crimes de Néron.”
Verum omnem amplitudinem statuarum ejus generis vicit aetate nostra Zenodorus Mercurio facto in civitate Galliae Arvernis per annos decem HS CCCC manupretii. postquam satis artem ibi adprobauerat, Romam accitus a Nerone, ubi destinatum illius principis simulacro colossum fecit CXIXS pedum in longitudinem, qui dicatus Soli venerationi est damnatis sceleribus illius principis. (Pline l’Ancien, Histoire naturelle, livre XXXIV, 18, 6).
A ne pas confondre avec Saint-Michel-Mont-Mercure (Vendée, 85), quoique…
Ces colosses de bronze étaient souvent consacrés au Soleil car le bronze est très brillant et a une couleur proche de l’or (se rappeler les cloches de Notre-Dame dans leur robe de baptême) avant son oxydation naturelle qui lui donne une couleur verdâtre. Dès le lever du Soleil, ils reflétaient ses rayons et pouvaient ainsi servir de phare, voire d’horloge en fonction des saisons et des heures de la journée. La main levée…
Pour se rendre compte de ce phénomène, vous pouvez observer au Mexique l’église Santa-Prisca de Taxco (construite par un Français), avec une caméra en direct, avec des bruits naturels d’oiseaux… :
https://webcamsdemexico.com/webcam/taxco-centro/
Avec le décalage horaire : 12 h 30 les oiseaux, le coq en premier, 14 h lever du Soleil…
14 h 30 illumination de l’entablement du premier beffroi…
Coucher du Soleil, dernier beffroi : 24 h 30…
Horlogerie française… de Louis XVI ?
Si vous n’avez pas la patience , j’ai les copies d’écran…
A Mexico (à prononcer Américo)…
Taxco, très connu pour ses mines d’argent inventées par un Français.
Taxco se prononçant à la mexicaine : Tare Caux !
Photo argentique Nicolas Huron scannée par Nicolas Huron
moi-même lors de mon seul voyage extra Europe occidentale en 1987.
…
Les Géants, colosses de l’Atlantide disparu, construction énorme préhistorique extension agricole et gardiens des paysages…
Avec l’expérience, vous les verrez… dans un flou, un brouillard, ces colosses verts, clairs et blancs et roses de fleurs au printemps, vert foncé, rouges, jaunes, orange(s), de fruits à l’été, puis rouges et flamboyants à l’automne en vendanges et en vent d’anges, et gris et foncé recouverts de neige blanche ou rose des sables sahariens, en hiver, tout en cristaux « stalag-mythiques », … après le brame.
Le vol des colombes blanches, les grelots de reinettes, les nids et claquements des cigognes… les grincements de l’osier… et les cris de mes enfants et de mes peuples.
Il me semble en avoir vu un immense, couché près de la Cisse (signifiant notamment, “tressé, apprenti, etc.”, en gaulois), à Pocé-sur-Cisse, entre l’ancienne chapelle Saint-Guillaume, sur l’ancienne paroisse de Saint-Ouen-les-Vignes, mentionnée au Moyen Age, et probablement devenue chapelle Saint-Adrien, puis église paroissiale de Pocé-sur-Cisse. On pourrait le penser avec son coeur à l’église paroissiale, près des moulins, ou au-dessus de la Ramberge, sa tête au château de Pocé (une tête est quand même un pot avec une peau), et les pieds sont à Fourchette, où le genou gauche ou droit, c’est selon s’il dort sur le ventre ou sur le dos, est occupé par le célèbre chanteur super star anglo-saxon Mick Jagger qui en restaura honorablement la demeure et qui en porte un peu le physique longiligne. C’est sans doute aussi sa culture… car, qui se ressemblent s’assemblent. Y a-t-il vu, lui aussi, son petit peuple frêle et maigre là, dans le limon odorant et humide des peupliers ? Les cendres, la boue ? Amboise, Ambazia, ambe (rivière) azes (mouches), en base y a… En bout, et en boue, azes…
Qui en a le droit et la couleur en fer ? Mailles que…
Sympathy for the devil ?
La force du Nom de l’Archange de l’apocalypse !
Illustre à scion de canne à pêche !
O Aqua… r’ailes… O
All right !
Rêves…
Ouranos
Ur anneaux
zzzzzzzZzzzZzzzzzzZZZZzz
…
L’Ancien Testament parvenu jusqu’à nous grâce à saint Jérôme : Genèse 6.4
« Il y avait les géants (Nefilim, peut-être nef filins, né fil lin, ou avec fi, foi, et lim, limite, limes, frontière, en singularité plurielle) sur la terre à cette époque-là. Ce fut aussi le cas après que les fils de Dieu (voir l’explication grecque si dessous) se furent unis aux filles des hommes et qu’elles leur eurent donné des enfants. C’étaient les célèbres héros de l’Antiquité » d’Homère et de la mythologie grecque.
Sinon, vous pouvez aller voir leur mise à jour hollywoodienne…
…
L’Homme est la mesure de toute chose ou l’homme est la mesure de toute chose.
Prends ta croix (instrument de tracés et de vérification d’orthogonalité de charpentier), ta règle à calcul, ta calculette, tes yeux, ton ouïe, ton nez, ton toucher, tes sixièmes sens, ton instinct, ton sang vif et ruisselant en toits, en nef et en coques…
Hypothèse, Hiiiii ! ou déduction culturelle par expérience culturelle ?
Hippo… quoi ? Faune-éthique ?
Articule !
…
Cadeau bonus infini !
…
L’Iliade dévoilée et les secrets des héros et dieux grecs
Pour comprendre l’Iliade, il faut l’explication d’un historien de milieu rural descendant d’esclave paysan ou d’homme loué. J’en suis…
Dans l’Iliade, si vous trouvez la mention de monnaies, notamment en bronze à l’époque, un poison, il faut savoir que le porte-monnaie du Grec était sa bouche. Certains russes s’embrassent encore… Qu’échangent-ils ? Un serment ?
Il faut savoir que le bronze, bien astiqué, ressemble à de l’or et que les grands héros ont un lourd bouclier lustré, très brillant, comme leur armure, afin qu’étant pris par un adversaire à contre-jour, il lui foute l’Apollon-Soleil en pleine gueule et pas que cela, parce que tout le monde sait que l’on se bat toujours contre l’âme hors, la maure (couleur de la terre fertile noire en toponymie du paysan), la mort, la nécrose, la gangrène, « las gants graines »…
Sons, sons, son sonne !
Cris crient !
Il faut savoir aussi que certaines peuplades primitifs ou animaux déplacés (comme le mouton écossais) ou nouvellement en lys, ont une addiction à la phrase suivante : « l’herbe est toujours plus verte ailleurs… » en y massacrant, d’une façon visible ou non, les anciens habitants et pour ne leur laisser qu’un désert, et à peine un dessert, d’abord arboricole, puis racinaire, ou infernale, car pour tout le monde, les Enfers sont dessous. Hors noir ? Or noire ? Oil ?
Live signifie blême. Problème ? Olive ? racorni et presque seul ?
Pro mettez ? Pro mes T ?
Touché ?
Il faut savoir aussi, que le mouton arrache la racine de l’herbe qu’il mange et qu’il est égorgé ailleurs, via quelque commerce. Ainsi, il ne reste au bout d’un moment, plus aucune terre retenue, même pas un sol, mais du sable doré ou du calcaire sale jaune, la toison d’or au pi d’hommes, ou même pire, gris, voire bleu, car composé de bauxite, une neurotoxine, ou d’autres cristalo-métalo-magnétites, dont les composants sont assez peu souples intellectuellement, etc, nourris de quelques restes de syphilis excrémentielles, voire cadavériques…
Le berger est-il esclave du mouton ou le contraire ? De l’Agneau de Dieu ?
Tel père, tel fils, T elle file SS, tel fils…
A gars, même NOM !
Frappe à ding !
Bien venue en Enfer !
Y le, île, ill, il ? Inversion accusatoire ?
Atlante hideux, son fils, certains disent Junior… Non ?
Il faut savoir que les premiers toponymes concernent les personnes qui vivent dans un lieu particulier et qu’elles y portent très souvent chez les peuples « primitfs » le nom du lieu, monts, rivière, fleuve, île, source, etc., qui est aussi le nom du père, du Père pour la descendance, donc du roi, de l’Ancêtre, du dieu.
Dans ces très anciennes colonies d’occupation humaine, il faut savoir qu’une rivière peut avoir plusieurs noms le long de son cours, une montagne peut avoir plusieurs noms selon ses versants, et qu’une colonie portant le nom de son ancêtre Père-Roi-Dieu ou Mère-Reine-Déesse, peut faire l’objet d’usurpations portant incompréhension du nom local, peut subir des refondations avec défaut de transmission patrimoniale, des déplacements. Plusieurs enfants, légitimes ou non, pouvaient s’expatrier pour fonder des colonies ou aller faire la guerre en transportant le nom d’origine.
Il faut savoir que la Bête, le dé-monts, ne retient rien… A l’or, elle ment…
Il faut savoir aussi que, chez ces peuples primitifs, presque chaque peuple se pense « hommes » légitimes, par autodéfense instinctive de leur possession, le plus souvent esclavagiste, des lieux, mais avec un nom différent. Ainsi Laos signifie, en indo-européen, « peuple » et les communistes, et les socialistes (leur maquillage tourangeau), se disent « le peuple » au milieu des mouches, des oiseaux, des grenouilles… Les Limovices étaient liés aux ormes, les Pictes à leurs tatouages empoisonnés, les Turones à l’architecture de leurs tours-forteresses, sans doute semblables aux « Tulou » chinois de leur ethnie esclavagiste, etc.
Ainsi la guerre entre Jupiter et les Titans, n’est à l’origine qu’une querelle de voisinage entre deux « nids d’ai(g)les » séparés par une plaine humide. Les descendants du nid d’aigle du mont Olympe, dieux vainqueurs, contre ceux des Monts Othrys, « hommes » et Titans.
Prendre ce qui a été fait par autrui ne demande pas beaucoup d’efforts, et d’effes hors, agricoles, surtout pour des peuplades nordiques habituées à de très grands fleuves, et se sentant obligés de parler de nef creuse en Méditerranée, mais noire de poisse, ne s’interrogeant en rien sur une érosion quelconque, problématique, puis terminale, mais addictes aux beaux palais saisis avec sa population, et amenées à poursuivre ces prises et massacres dans le sud de la Grèce, dans le Péloponèse, entre Achéens et Argolites, ou entre untel et untel, puis vers Cnossos, puis vers Troie, etc., avec un certain goût pour la couleur rouge du corail sur le brillant éclatant des bronzes qui caressent la peau, parfois assez profondément, et parfois curieusement assaisonnés de jolis dessins pour de grands desseins monstrueux.
Martelage sémantique sonore ou non…
Toponymie, anthroponymie…
Gât, ânes ?
Ouranos, Gaia ?
Our, c’est l’auroch, ici, et gars y a ?
Titanomachie, Gigantomachie, Guerre de Troie, etc.
Puissance du Nom, du Verbe, de Jeanne à Marie-France Lange…
La mer qui s’ouvre pour les paroles ailées, Jeanne, c’est dans HO mère…
Avec les outils de la langue française et de la linguistique indo-européenne, tout tourne à la plaisanterie tragi-comique, car il faut bien charmer, séduire (à orthographier à loisirs) :
Japet, Lapetos, Mnémosyne, Cronos, Rhéa, Thémis, Crios, Céos, Phébé, etc.
et faire croire que l’on est dans le secret… des dieux…
A, ai, è, é, ê, en Beauce, on a de la marge…
En Touraine, non !
Tit en ?
Tit an à la bauxite ?
Un cygne ? Un signe insigne ?
Sain ? Saint ? Ceint ? Ceints ? Sein ? Seins ? Etc.
La tête, les pieds et autres parties du corps en sont des impasses…
Le sperme peut se conserver trois jours dans de bonnes conditions… Un cygne ? Mine os…
Essayons, cette nouvelle fois, de lui faire croire qu’elle va être grosse de l’enfant de Pégase ?
Auguste Poulain, le Blésois ! Peut-être sera-t-elle motivée pour le garder celui-là ?
A la chic orée…
…
Homère… sur son O séant, votre esclavagiste, un Grec sans terre…
Entraînement militaire des oreilles ou des oreillers ? Voir des oreillettes ? Rêves ou raves ?
Tragi-comédie pour que les enfants puissent sucer leur pouce, avec une grosse lance et queue, le meilleur gagne. L’orthographe étant quelque peu interchangeable, puisqu’il s’agissait d’un chant « écrit » par un aveugle. Cela paraît bizarre, mais avec des tablettes de cire, on sait où l’on a déjà tracé en creux. Puis vol ? Impression ? Huns pressions ?
Anesthésie addictive pacificatrice ou guerrière et guère hier… Progrès, tuiles ?
Traits humorales d’écriture, destinés à palier à la rareté, voire à l’absence de mémoire due à la bauxite du sale calcaire des Monts Othrys et ses Titans de pierre, forts en architecture mégalithique, permettant sans doute d’en voir ses éléphants roses, ou ses dragons qui pourraient être réinventés grâce aux iguanes de Tulum (Mexico), écrits mythiques qui servaient peut-être à palier à l’absence d’élèves en capacité de les apprendre par coeur, peut-être pour partir en guerre ou pour se lancer à corps perdu dans le commerce.
Homère aurait-il mis fin à une surenchère commerciale fantasmagorique de mysticisme mythique guerrière et meurtrière ? Scrupules ou continuation des guerres des guères… ?
Hélène, elle laine encore ? Elle l’aine en corps ?
Ces chants homériques ont servi, dans tous les cas, comme l’a fait le pillard d’antiquités André Malraux en offrant la culture gratuite pour tous, à éliminer la concurrence des autres aèdes (à essayer sans accent grave et vous verrez ce que les parisiennes s’achètent en ce moment pour s’en protéger), artiste chantant des épopées en s’accompagnant d’un instrument de musique, la phorminx, instrument à cordes vibrantes s’apparentant à la cithare, avec deux yeux et une grande bouche, tenant fermement, entre deux cornes, les cordes d’une chevelure vibrante hérissée, Huronne, crêtoise, pour les paroles ailées, ouvrant et chevauchant la mer entre l’Attique, voire entre Argos (à prononcer « art gosse ») et Troie.
Athèna ! Trouvez et rajoutez un N ondulant et vibratile, et vous y verrez les antennes de la grosse vache de la grotte de Lascaux, dite Licorne, avec son cul noir et ses tâches et ses taches de moisissures sur la peau. Un médiéviste peut vous les montrer sur certains parchemins…
A Lascaux, un peu lasse caux, il faut bien se l’avouer et se le dire…
n’y voyez-vous pas, aussi, son pet gaz, show chaud colle à « Poulain » à l’arrière train
à la Licorne très à la mode et à la page ? Vous voilà ? Ha là !
Le porteur de lumière, son feu-follet ? Le pro met tes…
Syphilis ?
Nnnn ou Zzzz…
Relais ? Peau de vaches !
Matière grise à matière grise…
Qui se ressemblent s’assemblent…
Femmes, fameux champignons de Paris ?
(((Mets mets ! mais mémé met mes mets…)))
Ban de sardines pourchassé ou vol d’étourneaux…
Nuage noir d’un ensemble d’alevins de poissons-cha(t)s saisi d’une même vivacité…
Sachant que sur les Monts Olympe, de l’autre côté de la plaine, ils sont encore plus fous, car ils ont gagné, avec leur Dieu-Roi-Père, le matriarcat, de Zeus (Dzzz’eux se… entoponymie le « z » grec est souvent jeux ; J’ai housse…), le grand frère et sa soeurette ou moqué en « jupe pi(s) t’erre », « Youpi Terre ! », où les palais et les jeunes danseuses aux robes tournoyantes et légères sont un peu moins bien qu’au sud, voire beaucoup moins bien qu’à Cnossos, sur la Crête, là-bas… où il fallait qu’ils les leur livrent, et lait gère…. question de cargaison… car gais ont…
Lée gère ! hors loge !
Pour ceux qui n’auraient toujours rien compris, il y a eu l’enfant Jeanne la Pucelle d’Orléans,
Charles VII et ces putains de barbares anglais, qui font du viol une arme de guère…
La France mess yeux, la France, et vous en n’êtes tous nez.
Bonne nuit les petits champignons…
Bzzzzz…
Homère, Iliade, Chant III (traduction française)
l’Iliade et l’Odyssée Homère LIVRE AUDIO – YouTube
Il faut écouter ou lire très lentement et comprendre, mais ne pas y passer sa vie.
Ce poison est très concentré, très puissant, ou pansez la princesse du cratère de Vix.
Affaire de spécialiste âgé et expérimenté, forcément historien, d’en donner les claies.
Tout le monde y est allé de sa version… et de ces thèmes, voire de ces philosophies…
forcément germaniques quand on y regarde de prés… Meuh ! Ouranos… Bide hoche !
…
Datation…
Les chants homériques semblent dater d’avant la destruction de Cnossos, palais minoen crêtois sur l’île aux cents villes…
Avant le rabot de l’explosion du Santorin, Théra (Thira)… vers 1628 avant Jésus Christ ?
Après la prise du palais par les Mycéniens vers 1420 avant Jésus Christ ?
Avant sa destruction totale vers 1350 avant Jésus Christ ?
Etc.
Homère, ou sa légende, fixe-t-il et fixe-t-elle ces chants parce qu’ils étaient déjà disparus ou que plus personne ne pouvaient techniquement en avoir la mémoire ? Jules César évoque ces chants mythiques, mis(es) tiques, et leur mémorisation en Gaules en langue grecque : des milliers de vers appris aux jeunes par les druides…
Avant l’utilisation de milliers de chars à la bataille de Qadesh vers 1274 avant Jésus Christ ?
Est-ce avant les attaques de l’Egypte par les Peuples de la mer, nȝ ḫȝt.w n pȝ ym ?
Avant la Tène, l’âge du Fer ? La tôle errance ? L’atoll ? o Ô…
Avant, après, avant, après, Jésus Christ ? Pour vous, c’est après.
Faites l’enquête des enquêtes…
Miss tique…
…
Culture grecque, dans ce cul de sac karstique de Méditerranée ?
La course du Soleil, l’arc de lumière d’Apollon, aux flèches empoisonnées dans son trépied, par la perte de taons, de tant, de temps, pour retenir et occuper le barbare… son Saint-Amand… à dents.
Le Romain croit en sa victoire et en son symbole, la Victoire personnifiée en une jeune fille lui offrant la couronne de laurier. Le Grec, lui, représente sa victoire, comme une jeune fille, érotiquement et dangereusement pieds nus, cherchant vainement les grains de blé, de sarrazins, ou d’orge, etc., pouvant s’être intercalés entre le maillage fin du panier du vanneur, et en plus, il lui met des ailes, pour qu’elle vole, éventuellement à Cnossos, et bon débarras. Et le Germain, le barbare, le sauvage ?
Satis fait Saint-Satur Sancerre à orthographier ou à inverser… à voir dans le Félix Gaffiot
Guillaume, vigne, vie -igny, cloison, tissage, Cisse, apprenti, plessis, claie et clayonnage…
Pour voir quelques Saturne, voir mon enquête sur les églises Saint-Saturnin…
Complétez-en mon étude de Perrozan (Ain, 01) sur le Rhône…
Sinon, il y a Walt Disney, et même dans votre tête…
L’homme le plus intelligent de votre monde.
Océan, fils ? Encore tombé sur le cul ?
Faux filet, faufilé ?
Guilleret !
Guille heaume !
Et tousse aux abris…
Ah, la France, la ffff rance, messieurs, la FRANCE !
« Orléans, Beaugency, Notre-Dame-de-Cléry, Vendôme, vent d’hommes… »
Pour voir la Guillaumière, de Françay (41), une des fermes de mon enfance,
essayez de passer par la Châtière, ancienne ferme voisine, en respectant les cultures.
Beaucoup ont sans doute essayé, mais sachez que cette frontière a été fortifiée par Jules César.
…
Jésus Christ et les récits de la bibliothèque d’Alexandrie…
Le Nouveau Testament : Jean 10:34-38 :
Jésus leur dit : N’est-il pas écrit dans votre Loi « Je dis : Vous êtes des dieux » ? On ne peut pas défaire l’Ecriture, et si elle appelle dieux ceux auxquels va la parole de Dieu, comment pouvez-vous dire à celui que son Père envoie dans le monde : « Tu blasphèmes », quand je dis simplement : « Je suis le fils de Dieu » ? Si je n’accomplis pas les travaux de mon Père, eh bien ne croyez pas en moi, et si je les accomplis, même si vous ne croyez pas en moi, croyez en eux, afin de connaître et de reconnaître que le Père est en moi et moi en lui.
ou bien : Jésus leur dit : N’est-il pas écrit dans votre loi « Je dis : vous êtes des Dieux » ? On ne peut pas défaire l’écriture, et si elle appelle dieux ceux auxquels va la parole de Dieu, comment pouvez-vous dire à Celui que son Père envoie dans le Monde : « Tu blasphèmes », quand Je dis simplement : « Je suis le Fils de Dieu » ? Si Je n’accomplis pas les travaux de Mon Père, eh bien ne croyez pas en Moi, et si Je les accomplis, même si vous ne croyez pas en Moi, croyez-en eux, afin de connaître et de reconnaître que le Père est en Moi et Moi en Lui.
ou bien en corps : … avec Le Charpentier Majuscule de marine à bord ?
Dans le Monde romain ? Gréco-romain ? Ailleurs ?
Et la typographie ? L’esthétisme ?
Maître d’école, des colles ?
Poisse noire des nefs !
L’acquis, la quille !
Et la traduction ?
Et l’orthographe ?
Et la ponctuation correcte ?
Et la langue grecque, voire indo-européenne ?
Réfugié avec ses parents en Egypte, Jésus de Nazareth (nazes arrêtent…), après le massacre des Innocents, ne serait-il pas devenu surdoué de la bibliothèque d’Alexandrie, une bonne garderie en cours de reconstitution, après son incendie, pendant que son père s’adonnait à son très dangereux métier charpentier (de marine gréco-romaine ?) ?
Au Nom, du Père, du Fils, aide eue, Saint-Esprit !
J’ai connu un vétérinaire ayant appris à lire à 5 ans, devant les Chiffres et les Lettres.
Consonne…, voyelle…, consonne…, voyelle…, voyelle…
Alors, Lui, l’huis luit ? Notre Saigneur…
Métier ? Mais t’y Est !
Convenant.
+++
art(e) rete
A… RETE ? Latin ?
Des besoins pressants de griller tout le monde aux 06 ?
Jésus Christ a sans doute lu l’Iliade, l’ode hissée, et dans plusieurs langues…
Pour ceux qui n’auraient pas compris, dans Guilleret, il y a « ret », les filets… Rétention !
La phrase de saint Rémi lors du baptême de Clovis prend un sens nouveau…
Voire même Sens, siège de ma circonscription romaine.
Les Sénons ayant installé les Parisii, par ici…
Sans Guillaume, ça va l’ancien ?
Une aide ? Découvrez !
Contact !
A construire éventuellement seul avec mon aide et la sienne, la scie haine:
une saine occupation, Seine, Cène s’aine… Ses noeuds
où, tout, la Vérité, peut être vérifiée, mesurée, outillée, par tous.
En Histoire, on dit que : « Tout est dans tout ».
Mon apocalypse sémantique perso…
où j’ai pris vraiment le temps
de ce désarmorçage…
Hideux ou ID ?
Le vôtre ?
Recherches utilisées pour trouver cet article : https://patrimoine-rural com/guillaume-la-guillaumiere-de-francay-loir-et-cher-les-geants-de-l-atlantide-et-carnaval/