Ex amples ? Si, si, re… lis, relie…
Exemple !
Cangey (Indre-et-Loire ; 37)
Cangé, camp G (ou 7), quand j’ai qu’ange Est… qu’en geais…
Vous verrez ci-dessous, c’est un Peu tordu… un sommet d’angle…
Pour la méthode indispensable et les outils :
c’est dans cet article « mode d’emploi » lié
Lire l’exemple ci-dessous ne vous rapportera rien, le travail est déjà bien entamé.
Ma toponymie peut vous être utile, à condition d’en être : 32 %/€NET
car il faut bien être et bien naître d’un pays pour le comprendre.
Votre lieu ?
Si vous n’êtes pas un voleur et un pillard de la France, prenez contact.
Sinon traces… habilité… mais mémé met mes mets
pas de ma partie artisanale pro…
Un oubli ? Au plus haut ?
0 + 0
Non ? Nom !
Séchez-vous ? Une antisèche ?
Ici c’est chez moi ! C’est chez vous ? Loyer ?
C’est pourquoi je peux en faire la description… toponymique. Et vous ?
Vouloir, c’est bien ? En faire, c’est mieux ! En fer c’est mis. Eux ? Toi(T) ?
Techniques… et savoirs
Trouver l’origine d’un nom de lieu est assez technique, car un nom de lieu peut avoir plusieurs sens à la fois, en fonction des périodes de l’Histoire.
Comme c’est infini et complexe, commencez peut-être par en jouer enjoué…
tels des enfants avec mon jeu des noms de lieux qui lie yeux !!!
Françay, Herbault, Cangey, Limeray…
voire à Saint-Cyr-en-Bourg
ou même chez vous.
Perdu ? Père dû ?
Honnis ?
Hauts nient ?
Toponymes, top aux nids me…
Il existe des millions de noms de lieux. Chacun correspond à un terroir et à une histoire particulière. Rappelons d’emblée que l’Histoire n’est pas une science exacte, et que c’est une science humaine en constante progression.
Rapidement…
36 phonèmes 36 chants d’ailes….
Chandelles ? Pour les étoiles dans les yeux…
Pour avoir une idée de l’origine du nom de lieu qui vous intéresse, vous pouvez faire appel à mes services en passant commande d’une recherche. Voici quelques exemples :
Exemple de recherche à partir d’une mention latine ancienne : Moulin de la Machine.
Exemple de christianisation rechristianisée : Bernard, Saint-Bernard, Bernardière.
Exemple de recherche avec son rapport pour un particulier : Courtevraud.
Exemple d’article pour une recherche particulière : La Pelleterie.
Exemple complexe de très grande sémantique : Chârost.
Exemple surprenant de mise en valeur : Perrozan.
4 lettres d’une révélation incroyable : Diou.
Exemple simplissime unique : Oisly.
Osez faire la demande à ma boutique.
Sinon, vous pouvez lire cet article lié, indispensable pour savoir comment s’y prendre avec les méthodes et les outils proposés et référencés.
Vous pouvez lire cet article ci-dessous, qui montre l’état d’avancement de cette science à sa date de publication en 2015 (beaucoup de progrès ont été faits depuis… Voir à la fin de l’article), à titre d’exemple pour savoir un peu, pour un toponyme particulier et spécifique, comment s’y prendre, sachant que ce serait différent pour un autre.
Cependant, il existe la notion d’expérience et de celle que vous n’avez pas. Mon expérience vous emmènera bien plus loin que vous ne le pensez. Essayez !
Contact ! avec la réalité historique…
…
Un exemple : Cangey en Indre-et-Loire
Trouver le sens et l’origine d’un nom de lieu est une science assez récente qui s’appelle la toponymie. Beaucoup d’interprétations toponymiques sont actuellement transmises sans véritable analyse. Je vous donne à titre d’exemple ma propre analyse d’un nom rare : Cangey, commune d’Indre-et-Loire.
Lien pour obtenir le livre de Cangey, histoire par ses noms de lieux dont voici un extrait :
Cangey, Cangy : coudé
Dans leur Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, édité en 1963, Albert Dauzat et Charles Rostaing, proposait pour Cangey l’interprétation suivante : « ne peut être phonétiquement un Candiacum ; Comiacum du nom d’homme gaulois Commios et suffixe –acum est assez vraisemblable. »
…
Ernest Nègre, dans sa Toponymie générale de la France, éditée en 1990, propose comme interprétation, un nom propre romain Candidius, avec le suffixe –acum, interprétation tirée de Onomasticon totius latinitatis, de Joseph Perrin, édité en 1940.
Ces interprétations ont été depuis reprises sans grands changements, sans critique ni études supplémentaires, par Jean-Marc Pesson et Jean-Marie Cassagne, dans leur ouvrage sur l’Origine de noms de villes et villages d’Indre-et-Loire, paru aux éditions Bordessoules en 2001 : Pour certains, Cangey constitue l’héritière de l’ancienne Cominacum ou villa de Commios. Le village s’est donc développé à partir du domaine du Gaulois Commios, un riche propriétaire terrien de l’époque gallo-romaine. D’autres spécialistes estiment que, d’un point de vue phonétique, Commios ne peut amener le nom de CANGEY. Le nom a ensuite évolué en CANDIACUM, devenu CANGEIUM au XIIe siècle.
Comment ont été construites ses anciennes interprétations ?
Ces interprétations ont été construites à partir d’ouvrages d’inventaire de la langue latine tout d’abord édités par des Italiens, comme Egidio Forcellini et son Lexicon totius latinitatis, à la fin du XVIIIe siècle, et par des Allemands avec le Thesaurus Linguae Latinae. Ces travaux, compilés dans la seconde moitié du XIXe siècle, ont été ensuite repris en France au début du XXe siècle par des Français en ne prenant en compte que les données onomastiques, notamment par Joseph Perrin, vers 1913-1920, avec son Onomasticon totius latinitatis, ouvrage qui servit de base aux premières études de toponymie française engagées notamment et principalement par Albert Dauzat et Charles Rostaing, puis par Ernest Nègre. Ces travaux ne s’intéressèrent qu’à l’onomastique et essentiellement qu’à l’anthroponymie, c’est-à-dire aux noms propres de personnes rencontrées dans la littérature latine ou à travers l’épigraphie. Leurs recherches et leurs volumineux dictionnaires n’ont pas pris en compte la géographie, la géologie, ou même le terroir. C’est ainsi qu’une foultitude de toponymes se sont retrouvés affublés d’une interprétation anthroponymique sans plus de recherches et d’explications.
Sortir de l’anthroponymie…
Joëlle Doron se distingue un peu dans la revue Ambacia en attribuant à Cangé la traduction gauloise de con-ceton, « le bois de la hauteur ».
Stéphane Gendron, dans son ouvrage paru en 2012 : L’origine des noms de lieux de l’Indre-et-Loire, communes et anciennes paroisses, aux éditions Hugues de Chivre, fait avancer considérablement la recherche en sortant du champ anthroponymique. Sur Cangé, il écrit : « De Comiacum « domaine de Com(m)ios » ou Cumbiacum « domaine de la vallée ». Pour obtenir le maintien de l’initiale Cang-, il faut partir de Com(m)ios, nom d’homme gaulois bien attesté (Dauzat et Rostaing 1964 ; Delamarre 2007), éventuellement du gaulois cumba « creux, vallée » (à l’origine du français combe et des noms de lieux Combe, Combes, Comps, etc.). Ce sont les deux hypothèses avancées par Gérard Taverdet pour Congé, commune de la Sarthe (Taverdet 2003). En Indre-et-Loire, Cangey a pour homonymes Cangé, hameau et château de Saint-Avertin (Cangeium XIIe s.) et Cangé, village de Saint-Martin-le-Beau (Cangé 1577). Autres explications : nom d’homme romain Candius (Morlet 1985), le nom de personne romain Candidius. Mais Candiacum ou Candidiacum auraient dû aboutir à Changé (forme attestée, ainsi que Changis, Changy). »
Nous ne pouvons pas, à notre avis, pour Cangé, et bien d’autres toponymes, retenir les interprétations liées, soi-disant, à des noms propres de grands propriétaires terriens gaulois ou romains, voire germains. L’étude du lieu en lui-même n’ayant pas été mise en rapport avec un sens plus probable du nom.
Ce que peut nous apprendre également l’anthroponymie est que le terme cange, désigne, un changeur, un banquier, et que Cangé, signifierait « changé ». Ce nom vient d’un mot gaulois qui donna en latin cambire, puis le verbe de bas-latin cambiare, qui désigne l’échange, le troc.
Le terme gaulois cambo-, désigne une courbe, un méandre. Xavier Delamarre nous fait un inventaire de son utilisation dans son Dictionnaire de la langue gauloise. Cambo apparaît comme le premier terme de nombreux noms de lieux : Cambo-ritum, le gué du méandre, qui a donné Chambord (Loir-et-Cher, Eure), Chambors (Oise), Chamboret (Haute-Vienne), etc., Cambo-dunum, le fort du méandre, qui a donné Kempten (Bavière), Chambezon (Haute-Loire), Chandon (Suisse), etc., Cambo-randa, où la frontière fait un coude, qui a donné Chamarande (Haute-Savoie, Ain, Haute-Marne), Cambo(n)-, le méandre a donné les innombrables Cambon, Chambon, Chambonas. Ce nom désigne un coude de rivière, un méandre. Le français dialectal a un mot chambon pour désignait un terrain fertile, la partie concave d’un méandre étant formée d’alluvions riches.
Les noms propres Cambo, Cambus, signifie courbé, tordu. Le sens du mot cambo– est donné par le celtique insulaire. En vieil irlandais, camb, camm, signifie courbe, courbé, tordu. En gallois, cam, en vieux breton, camm, et en breton kamm, signifient courbé, tordu, de travers. Il y a par ailleurs une forme qui désigne la courbure, le grec kampe, le lithuanien kampas signifie même le coin, l’angle, l’indo-européen –mp– donnant le –mb– celtique.
Notons pour compléter que le terme français cambré, provient du latin camur, qui signifie courbé, voûté, recourbé en dedans, et qui semble provenir de la même racine.
En première conclusion, on peut rapprocher Cangé de la famille des Chambon, pour désigner un méandre ou un lieu tordu, courbé.
Cette interprétation semble bien fonctionner à propos du lieu-dit Cange, sur la commune de Lalinde, en Dordogne, auprès du dernier grand méandre de cette rivière dans sa descente du Massif-Central.
Partir à l’exploration de noms proches…
Cette interprétation fonctionne également très bien pour le Cangé de Saint-Avertin, en Indre-et-Loire, qui désigne aujourd’hui un château Renaissance construit sur le coteau du Cher et faisant face à une prairie portant le nom de Prairie de Cangé et situé dans le seul méandre remarquable de la rivière du Cher entre Mareuil-sur-Cher, limite de la Touraine en Loir-et-Cher, et l’ouest de la ville de Tours, soit sur une distance d’une quarantaine de kilomètres.
Cette hypothèse peut également fonctionner pour le Cangé de Saint-Martin-le-Beau, en Indre-et-Loire, qui désigne un hameau situé sur la pente du coteau à l’endroit où celui-ci bifurque sur une vallée alluviale ancienne et sèche qui rejoint la vallée de la Loire à la vallée du Cher. Il y a ici un coude dans le relief.
Il existe une ferme appelée Cange ou Cangé au nord-ouest du bourg de Neuillé-Pont-Pierre. Cette ferme est située dans un creux du léger coteau d’un ruisseau. La notion de lieu tordu n’est alors pas perçue comme un changement de direction mais comme une anomalie du coteau, un creux formant un coude avec le petit vallon.
Il semble bien que ce soit la notion de coude qui soit à retenir pour le village de Cangey qui nous intéresse ici. Le coteau y fait un coude et le village ancien est construit au pied de ce coteau formant ainsi lui-même un coude. Il n’y a pas ici de méandre de la Cisse ou de la Loire, mais bien une courbe marquée de l’habitat et du relief. Cangé signifierait alors coudé, tordu.
Notons pour compléter cette analyse que :
– Cangies, dans la commune de Guiscard, dans le département de la l’Oise forme un angle de relief, un coude droit, entre deux petits vallons occupés par des marais et par la forêt.
– Changé, au nord de Laval, dans le département de la Mayenne, est situé juste sur un coude, un méandre de cette rivière.
– Change, en Côte-d’Or, semble avoir la même configuration coudée que Cangey.
– Changé, dans la Sarthe, à l’est du Mans, semble plus problématique, car il n’y a là ni méandre marqué, ni coudée franche, mais seulement le coude formé par un petit vallon avec la vallée de l’Huisne.
– Le Change, à l’est de Périgueux, est situé sur les méandres les plus marqués de l’Auvézère, affluent de l’Isle, méandres formant un M, la commune étant située sur la pointe centrale basse de cette lettre.
– Changey, dans le département de la Haute-Marne est situé, non loin d’une ancienne voie romaine, au pied d’un coude du relief, comme Cangey.
– Changy, au nord-est de Vitry-le-François, dans le département de la Marne est situé sur la rive convexe d’un méandre, un coude important de la petite rivière de la Chée.
– Changy, au nord-ouest de Roanne, dans le département de la Loire, est situé au pied du coteau formé par d’une faille tectonique, là où elle est creusée par la vallée de la Teyssonne, formant ainsi un coude dans le relief.
– Le vieux bourg de Changy, au sud-ouest de Charolles, dans le département de la Saône-et-Loire, est situé sur un angle du relief, dans la vallée de l’Arconce.
Une vérification statistique peut également se faire sur les lieux-dits suivants :
– Changé sur la commune de Bocé (49).
– Changé sur la commune de Beaumont-Pied-de Bœuf (53).
– Changé sur la commune de Chenillé-Changé (49).
– Changé sur la commune de Pré-en-Pail (53).
– Changé sur la commune d’Auvers-le-Hamon (72).
– Changé sur la commune de Saint-Marceau (72).
– Changé sur la commune de Beaumont-sur-Dême (72).
– Changé sur la commune de Saint-Piat (28).
– Au Haut du Changé sur la commune de Sauville (88).
– A la Borde Changé sur la commune de Vibraye (72).
– Changée sur la commune de Saint-Gonlay (35).
– Changée sur la commune de Muel (35).
– Changy sur la commune de Dompierre-sous-Sanvignes (71).
– Champ de Changy sur la commune de Torcy (21).
– Changy sur la commune de Courcelles-en-Bassée (77).
– Changy sur la commune de Coust (18).
– Changy sur la commune de Taconnay (58).
– Changy sur la commune de Varennes-Changy (45).
– Changy sur la commune de Jully-sur-Sarce (10).
– Changy sur la commune de Chevannes-Changy (58).
– Changy sur la commune de Bourbon-Lancy (71).
– Changy sur la commune d’Epoisses (21).
– Changy sur la commune de Vauxrenard (69).
– Changy sur la commune de Villapourçon (58).
– Changy sur la commune de Cordelle (42).
– Changy sur la commune de Gy-les-Nonains (45).
– Au Fond de Changy sur la commune de Roissy-en-France (95).
– A la Font Changy sur la commune d’Arcomps (18).
– A la Prairie de Changy sur la commune de Lugny-lès-Charolles (71).
– etc.
Ces noms désignent tour à tour, un méandre, un coin, un angle du relief, parfois un angle de frontière, parfois une simple bosse, une courbure, parfois un angle sur une ancienne voie de communication.
Ma conclusion
La conclusion qui semble s’imposer paraît être que Cangey forme un coude, un coin, un angle, qui lui a donné son nom. Ce serait un nom d’origine gauloise. Le terme français se rapprochant le plus d’une traduction possible de ce toponyme serait coudé, ou en coin, en angle. Ce coude devait être simplement la forme en coude de l’habitat du village, ou moins probablement le coude formée par la frontière entre le pays des Carnutes et le pays des Turons et la Loire.
L’origine gauloise du toponyme Cangey, Cangy, semble incontestable. Son sens primitif a sans doute été perdu dès l’époque gallo-romaine où des Cambo, Cambon, sont devenus des « champs bons » et où certains Cangé, ou Cangy, sont devenus des « Changé », et des « Changy ». Le can– ne s’est pas transformé en chan– en Touraine. Cette transformation des Cangé en Changé a eu lieu dans l’ouest de la France, alors que l’on trouve surtout les Changy en Bourgogne. Le suffixe –y est dû sans doute à une forte influence romaine antérieure à la Guerre des Gaules, comme peut nous le montrer la carte précédente de répartition des Cangé, Cange, Changé, Change, et Changy sur le territoire français.
Il est à noter également que la transformation du c- en ch- n’a pas été faite dans la partie sud de la France, en pays de langue d’oc et que la Touraine paraît une exception à la règle, sans doute due à une forte romanisation postérieurement à la Guerre des Gaules.
Notons que la séparation des syllabes can- et –gy, qui pourrait évoquer un champ, campus, une surface plane, mise en rapport avec gy, le gypse, le plâtre, ou un gy, une pente servant à la descente du bois, n’est pas une piste intéressante à retenir, quoique…
Vous pouvez retrouver cette interprétation à 33 mn 23′
lors de ma conférence à Cangey en vidéo.
Lien pour obtenir le livre de Cangey, histoire par ses noms de lieux.
Mais on peut aller plus loin :
« Camp G », « Camp D », Candé-sur-Beuvron ?
« Quand Geai… », « Qu’ange est… », « Qu’en jets », etc.
Quand j’ai… sous le coude… « Petit mercier, petit panier… »
et…
clic droit, clic gauche ! et à partager…
Aller bien plus loin…
dans la Préhistoire et l’après histoires…
et faire entrer cette Préhistoire dans l’Histoire !
On peut aller beaucoup plus loin si l’on estime que Cangey est un nom phonétique faune-éthique ancien. Ainsi, à travers mes recherches sur les toponymes Saint-Georges, on peut distinguer dans Cangey, Gé, γη, Γῆ (voir Le Grand Bailly, dictionnaire grec français), la terre agricole, sa géographie (ce qui signifie inscrite dans le paysage et pas seulement sur cartes), la planète Terre… qu’en gué… camp gai… certes, assurément en vérité : γε !
Avec le préfixe αν (an, en) αν γε (angé) devient automatiquement αγγε…
Et beaucoup de mystères pourront se dissiper… en récréation de recréation !
En plus avec devant καν (camp, khan, cane, canne, chant…),
à voir avec Le Grand Bailly, dictionnaire grec français,
vous avez là un vrai modèle !
faune-éthique en singularité plurielle en pluriel singulier…
Est-ce canon comme explication agricole, réglée ? du Verbe κανων !
Vérifiez, c’est vraiment incroyable…
C’est le coin du lac de Beauce, un lac salée puis d’eau douce drainé… C’est daté !
La règle, de cette terre, c’est sans doute la Loire, la Loi re… pour enfoncer le clou…
Aujourd’hui ma mère de blé : Marie-Claude Huron, née Depussay…
La machine à écrire que vous n’avez pas payée…
Bonne traversée !
…
Après cette consultation…
Je peux fournir une facture pour cette consultation « sans rendez-vous !».
A vous de décider de son montant ici
ou partir comme un voleur…
…
Pour me contacter, veuillez utiliser ces deux adresses :
Mail : nicolas.huron@free.fr
Mail : nicolas.huron13@free.fr
N’hésitez pas, osez l’Histoire !