Un exemple de christianisation antique d’un toponyme : Saint-Plantaire (36)

Saint-Plantaire s’implante ère…

Livret livré de cet article dans cet article lié à ce lien !

Osez le comprendre, l’entendre et l’offrir !

St-Plantaire, les Aulnaies, à l’aune de l’Homme, où le lierre grandit, ose… Magnifique.

Les aulnes, vergnes, vernes, bernes… étant imputrescibles,

et le lierre servant de savon savant,

avec quelques genêts…

Photo Nicolas Huron

Jeune né, qui me lit et me lie, grandiose ?

avec les jeunes pousses des saules qu’on voit là, à gauche, comme aspirine…

Et à droite, sont-ce des hêtres ? ou un habitat pour des êtres humains ? des geais ?

En remerciements au Conseil municipal de la commune de Saint-Plantaire (Indre, 36) et surtout à monsieur Daniel Calame, son jovial et sympathique maire depuis 1989, agriculteur, éleveur, qui a administré sa commune le temps de mes enquêtes, personnes qui ont, fort heureusement pour moi, refusé mon devis de 3200 € pour une étude, une conférence et un livre, d’environ 200 pages, sur les toponymes de Saint-Plantaire, car s’ils avaient accepté, ce jeu de société en aurait été retardé, mon calvaire au service de leur(s) parti(e-s) aurait été encore plus grand, et il m’aurait fallu fournir le dit travail proposé pour moins de 0,50 € de l’heure, de jour comme de nuit, et en hommage à mon père et ma mère qui m’ont soutenu.

Que ce cadeau, car il est infini, leur soit éternellement offert, car leurs âmes le sont ici aussi.

Ah r’œufs ? Areuh… Arrhes, ares, arts, Art ! à re…

Chas chinois g’astronomique…

Un exemple de christianisation antique

d’un toponyme :

Saint-Plantaire (36)

Publié en janvier 2016 et ré-enrichi en jeux infinis de sociétés en octobre 2022 par

Nicolas HURON et disponible avec tous ses liens sur patrimoine-rural.com

λανθανόντως secrètement, simple en terres

à Saint-Plantaire et ailleurs…

Un toponyme unique à découvrir ici et sur Géoportail

Suite à la grande découverte sur laquelle je suis tombée, dans mes investigations en toponymie, à Saint-Cyr-en-Bourg (Maine-et-Loire ; 49), ce toponyme ancien, suite à mes recherches, semble incontestablement un phrasé préhistorique, ayant plusieurs sens : nids d’aigrettes, rappels astronomiques et gastronomiques, horreurs de l’occupation romaine, etc. Une multitude de sens dans les siècles des siècles passés et cumulés, et établie archéologiquement comme un poste de garde et de veille paléolithique, un habitat de culture néolithique et de l’Âge du Bronze, puis une forteresse de frontière gauloise, puis romaine, puis franque… un lieu christianisé, puis déchristianisé, plusieurs fois, puis rechristianisé dans ses sens premiers véritables par cette même découverte. Saint-Cyr-en-Bourg se présente phonétiquement curieusement comme une sorte de singularité plurielle, un pluriel singulier, un phrasé paléolithique.

Faisant en octobre 2022, pour confirmer cette découverte, que j’ai encore du mal à croire, mais qui me paraît personnellement parfaitement logique, ces mêmes recherches et vérifications à propos du toponyme de Saint-Plantaire, toponyme unique trouvé également sous la forme de Bois Plantaire, sur Orsennes (Indre ; 36), et présent aussi comme lieu-dit la Plantaire, sur la commune de Beauficel (Manche ; 50), pour compléter et agrémenter cet article, j’effectue, ici, cet incroyable ajout et mise à jour.

Cet ajout me semble important dans ce qui a précédé à la christianisation des lieux, et cette vérité découverte, en fait une nouvelle christianisation, c’est-à-dire un rétablissement de vérités, selon les injonctions de Jésus de Nazareth, devenu Jésus Christ (que l’on prononce chez moi, « cri ») après sa Crucifixion, sa mort sur la Croix, en un cri, et sa Résurrection en son tombeau, pour nous apporter, par suite l’Esprit Saint, via ses Apôtres, et Rome.

Jésus Christ nous a dit qu’il était d’avant Abraham (Jean 8:58)… C’est dire !

« Tous les chemins mènent à Rome », et à son Histoire introduite, ici, par Jules César,

et entretenue par l’Église chrétienne catholique romaine,

même si Saint-Plantaire est un peu à l’écart et

qu’il n’existe pas de saint chrétien catholique romain saint Plantaire…

Cette Histoire fait entrer la Préhistoire de Saint-Plantaire dans l’Histoire,

et que c’est inscrit dans ce toponyme si on ouvre un dictionnaire de grec ancien.

Cadastre ancien, dit napoléonien, de la commune de Saint-Plantaire.

Archives communales, mairie de Saint-Plantaire.

(mes photos de ce cadastre sont téléchargeables ci-dessous en fichier zip)

Photo Nicolas Huron

Une christianisation de la christianisation !

Ayant inventé une méthode, que vous pouvez utiliser, pour vérifier ma découverte sur d’autres lieux-dits de France, qui sont légions, et d’ailleurs, il faut d’abord indiquer que le terme « Saint » du phrasé Saint-Plantaire (Indre ; 36), comme dans ceux de Saint-Cyr-en-Bourg, Saint-Hippolyte, Saint-Léon, Saint-Jallet, Saint-Bernard, Saint-Robert, Saint-Maurice, Saint-Georges, Saint-Michel, etc, parmi quelques-uns que j’ai pu vérifier, n’a pas seulement le sens de saint chrétien catholique romain, mais a aussi un sens bien plus ancien, plus complexe et étendu, que l’on pourrait qualifier de géographiquement « catholique » selon l’étymologie de ce mot grec : en général, universel.

Cette étymologie de la catholicité peut se vérifier à travers Le Grand Bailly, Dictionnaire grec – français, en y consultant καθολικός, katholikos : général, universel ; en terme général  (ἡ καθολικὴ ἐκκλησία, ê katholikê ekklêsia, l’Église universelle ou catholique), sachant que καθολικς, katholikôs, signifie : d’une manière générale, généralement ; et sachant que ce mot provient de l’adverbe composé καθ·όλου, katholou : d’ensemble, en général ; au total, d’où absolument. Il suffit de relire, de ré-observer, ce qui est, l’étymologie, le sens réel, originel et original de religion (voir mon article à ce sujet). C’est loué ! Lavement, lave ment…

Pour y voir plus clair avec l’omicron au milieu, cherchez λούω…

il est vrai qu’un chas, un chat, c’est très propre…

comme le grand κατα du calcaire de Beauce

ou des eaux du Massif Central… là !

Ainsi, on découvre que le phrasé phonétique Saint-Plantaire, peut redevenir phone-éthique, voire faune-éthique, en le pensant « syn » ou « sym », mot grec qui n’a subsisté en temps que préfixe dans la langue française : synthèse, syntaxe, symphonie, sympathique…

Ainsi de façon curieuse, et comme exemple parmi d’autres sens possibles, Saint-Hippolyte (voir ma dernière étude de ces toponymes Hippolyte et Saint-Hippolyte) peut être lu proche de συν·τυρόω-, syn-tyroô-lithé (sunturoô, ô, ω, étant l’oméga, w sur un clavier azerty dans Le Grand Bailly numérique) –λιθε (lithé, th, θ, étant le q sur un clavier azerty dans Le Grand Bailly numérique) : faire cailler ensemble comme un fromage. Avec de la pierre, au sens propre comme aux sens « figurés », entre autres sens à découvrir dans Le Grand Bailly ?

ρ, p ? r… ! Oh ! ERRARE HUMANUM EST qui semble être un des points cardinaux ! Pro ?

Reprenons donc, ré-observons, relisons, faisons donc preuve de religion : συν·τυπόω-ῶ, syn-typoô-lithé (suntupoô, ô étant l’oméga, w sur un clavier azerty dans Le Grand Bailly numérique) –λιθε (lithé, th étant le q sur un clavier azerty dans Le Grand Bailly numérique) : façonner sur le type de, modeler sur… la roche, la pierre, le sable, l’argile… ensemble, ou avec…

Le français est tellement riche, qu’on peut l’écrire en matière de plaisanterie :

Saintes, il peaux lie, te…

sains t’its pots lient tes… ffff’rôts mages

et Saint-Plantaire : s’implante ère… sain plan terre…

ceint plante aire… simple en Terre… seing plan t’erre…

Si vous n’y arrivez pas, il faut le faire à haute voix et s’entendre,

c’est une astuce paléographique de médiéviste diplomatiste…

pressé avec son petit lait…

Cette remarque remarquable n’est sans doute pas exacte pour tous les lieux saints christianisés avec le terme Saint-, mais j’ai pu constater d’incroyables redécouvertes de la faune et de la flore locale (généralement totalement détruites), de la géologie et de la géomorphologie, des terroirs naturels, à travers mes enquêtes avec ce type de toponymes et avec cette nouvelle découverte.

Signalons, pour l’anecdote, que l’abréviation St de St-Plantaire touche au sens de rester, de stationner, sauf pendant la Terreur révolutionnaire « française », d’origine anglaise, ou autres insultes supplémentaires aux terroirs et à leurs légitimes héritiers. St ! St ! St ! St ! St !

St-, c’est un peu au goutte à goutte, debout, de boue, caverneux… Essayez en grec : στ

St-Plantaire, C’t Plantaire… Croyez-en son magnifique calvaire devant son église,

sa source sacrée, sa verdure, et son patron des médecins…

Est-ce Thomas ? Non ! Nom ? Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire !

et toutes ses pépinières possibles pour en avoir ou en perdre des aigreurs d’estomac.

Carte postale ancienne de l’église et du bourg de Saint-Plantaire.

Archives communales numériques

Carte postale ancienne de l’église Saint-Pantaléon, de la fontaine sacrée et du bourg.

Archives communales numériques

Une échelle chronologique ? Une échelle de valeurs ?

pour monter jusqu’à Paris, chez les p(h)arisiens ?

Attiré ou avec un bon sens de l’orient-ation…

Zin-zin ? Non :

συν- syn-

une christianisation préhistorique !

par laquelle, la Préhistoire entre dans l’Histoire chrétienne.

Saint-Plantaire : Syn-Plantaire…

Le préfixe grec συνsyn-, avec, ensemble avec, invite à découvrir la suite, et, de savoir ce qui est ensemble ou assemblé, lié fortement.

Vous ne me croyez pas ? Sains seins ?

La définition de συν (syn, sachant que le y grec, υ, est le u sur le clavier azerty dans Le Grand Bailly numérique) est longue (plus de 2 colonnes du Grand Bailly) et les termes associés sont très nombreux (pages 1837 à 1872 de ma version papier du Grand Bailly). En voici un résumé : σύν, ancien attique ξύν, adverbe et préposition : A, 1 ensemble, tous ensemble ; 2 en même temps ; 3 en outre. B, préposition : avec ; du côté de, en faveur de ; d’accord avec, en communauté avec ; avec, par le moyen de, au moyen de ; en même temps que, etc.

A vous de le découvrir au sein du dictionnaire, papier ou en ligne, Le Grand Bailly…

https://bailly.app

car la langue et la toponymie gauloise se rit en grec.

En Gaulois, en Celtes, en etc.

Le très pratique et technique Dictionnaire de la langue gauloise, une approche du vieux celtique continental, de Xavier Delamarre, ainsi que d’autres outils linguistiques, nous permettent d’aller encore plus loin…

On peut y déduire que la partie du phrasé orthographié sur nos panneaux routiers « Saint- » désigne souvent au moins trois ou quatre sens, un démonstratif d’insistance, le sens d’ancien, le sens de semi ou demi, le sens de lien : cet ancien demi lien qui se renforce des sens grecs d’essence grecque (un Phoenix, ou à défaut un écureuil, dans un cèdre géant couvrant des vergers et des vignes grimpantes… arraché à sa vie, incendié par le Mal et sa guerre guère…) précédemment notés sincèrement, syn-, avec une spécificité locale très diversifiée par les occupations successives dans les siècles des siècles.

Et mon écureuil et mes pantoufles de vair ?

On peut y trouver les références phonétiques à « senos », ancien, vieux, « simi », semi, demi, « sinde » (Saint-Denis, par exemple), ceci, « sino », lien, chaîne… sachant qu’il s’agissait de langues à déclinaisons, c’est-à-dire à terminaisons de circonstances grammaticales.

Il faut bien le dire, souvent oubliées, voire négligées…

En latin jusqu’à Rome… Allez plus loin !

Le terme de toponymie, Saint-, est évidemment à rapprocher aux mots latins de la famille de sanct-, touchant au sacré, comme sancte, d’une façon sacrée, inviolable, et de la famille de san-, touchant à la bonne santé, comme sane, d’une façon saine, raisonnable, sanatio, guérison, etc. Le grec σαν (san) comme introduction n’est pas mal non plus.

Mais phonétiquement, à partir de là, on peut rapprocher le terme toponymique « Saint- » au latin sunto, qu’ils soient, du verbe latin sunt, ils sont, ou des mots de la famille de summumsummus, le plus haut, le sommet (un panorama est avec ses alentours), du mot cum, avec, comme, sum, je suis, comme sin, mais si, si au contraire, sine, sans, et, avec des verbes comme sinuo, sinuare, rendre courbe, rendre sinueux, à en croire sinus, courbure, sinuosité, concavité creuse, golf, hanse, baie, etc., géomorphologies mnémotechniques qui sont très créateurs de toponymes. Saint-Plantaire est un peu entouré d’une crête et les cours d’eau y sont très sinueux. On peut aussi rapprocher cette syllabe Saint- de mots français comme « somme », « comme », « cime », voire à nous « sommes »…  et ces mots sont légions.

Il est curieux de voir la Somme, une rivière, mise ainsi en rapport avec Saint-Plantaire.

Même le barbare anglo-saxon n’y échappe pas en ayant gardé ou repris des termes latins ou grecs, et avec son sun, le soleil (à prononcer avec le « e » d’œuf au singulier), associé à la lumière, la chaleur, proche de l’anglais, son, le fils (à prononcer « sonne », à la manière anglo-saxonne)…

On n’y peut rien, cela agit tout seul… C’est la parole logique, la suite logique :

le Verbe, le Logos et bien sûre sa porte Saint-Pantaléon…

Une santé de faire, une sans T de fer…

avec sa chapelle ! page 14…

Les personnes bien informées sauront vous la montrer.

Je rajoute à la fin de cet ouvrage, le et les sens que j’ai pu trouver au toponyme Plantaire. C’est assez étonnant de constater que cela veut notamment dire : prenez bien garde, veillez ensemble, où vous mettez les pieds, dans cet écart, un peu sauvage et éloigné d’un peu de tout et en frontière antique… isolement l’ayant nommé. Ces sens correspondent parfaitement à la situation géologique, géographique et historique de l’endroit comme peut le démontrer mon historique, inventaire documentaire des sources de l’église Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire (Indre ; 36).

Il est vrai qu’en français s’écrivent et s’inscrivent, ceint, seing, sein, sain… scintillent !

On aurait pu me le dire ou me le montrer à défaut de me l’enseigner… Logos ?

« Dites seulement une parole, et je serai guéri… » Ok !

Découvrez la suite, en fin d’article,

tout proche de Saint-Michel où

sains plants errent…

simple en terres…

Plante air !

La mémoire de cette découverte :

L’église Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire !

à propos de laquelle je m’en suis posé bien des questions à ce sujet

pendant 32 ans, depuis ma première conférence sur ce remarquable édifice,

le samedi 3 novembre 1990, et lors de la rénovation de mon étude pour l’été 2015,

étude téléchargeable ci-dessous, au sein de l’article que j’ai réalisé sur ce blog en 2016.

L'église Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire (Indre)

L’église Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire (Indre)

Ainsi, le patronyme d’une église peut remonter bien plus loin que la fondation de l’église elle-même. Le culte des saints chrétiens ayant remplacé des anciens cultes païens, les noms de saints choisis lors de la christianisation de la Gaule romaine sont parfois liés à un culte plus ancien : Saturne avant Saint-Saturnin, le Mercure gaulois avant Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire, etc.

En voici un exemple avec l’église Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire, saint Pantaléon, anciennement, avec les prêtres d’Esculape, médecins, droguistes et marchands du temple sacré et palais de l’empereur romain d’Orient (actuelle Turquie), et médecin martyr, devenu patron et protecteur des médecins honnêtes et dévoués, ou bien, selon les époques et les occupations, nasse, appeau et piège, pour ceux qui pourraient ne pas l’être ou en être. A vous de voir…

Sinon, quelle utilité y aurait-il à des gardes frontaliers ?

Extrait ci-dessous de mon ouvrage (112 pages + maquettes à monter) :

Saint-Plantaire à travers les siècles – église Saint-Pantaléon

à télécharger ici, gratuitement :

Nicolas-Huron-St-Pantaleon-de-Saint-Plantaire(36).pdf

ou/et avec une participation volontaire éventuelle avec €-libre-paiement,
ou avec une invitation aux bénéfices avec 32%/€net.

Version papier à faire imprimer et à acquérir à la Boutique !

Bonne lecture à travers ce petit extrait de mon étude de
l’église Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire (Indre).

… < EXTRAIT > …

Un exemple

de christianisation antique

d’un toponyme : Saint-Plantaire (36)

Saint Pantaléon

Vitrail-St-PantaleonLe nom Pantaléon provient du grec ancien pan, « tout », et éléïmon,  « miséricordieux ». Pantaléon de Nicomédie, encore appelé Pantaleimon ou Pantéleimon, fut médecin à la cour de Maximien Hercule, empereur romain (+ 310), et sous le règne de l’empereur romain Galère (auguste de 305 à 311).

Eglise Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire (36). Vitrail de la baie centrale du chœur (XIXe siècle).

Converti au christianisme, Pantaléon s’opposa aux prêtres d’Esculape (Asclépios), dieu de la médecine, et commença à exercer ses talents gratuitement au nom du Christ ce qui le rendit très populaire. Selon son hagiographie, il fut cependant dénoncé aux autorités et arrêté. Il échappa alors à six tentatives d’exécution, mais malgré la torture, il ne renia pas sa foi et finit par être décapité vers 303 ou 305 à Nicomédie (aujourd’hui la ville d’Ismit, dans la banlieue est d’Istanbul en Turquie), capitale des empereurs Dioclétien (284-305) et Constantin (306-337). La religion chrétienne sera tolérée dans l’empire romain à partir de l’Edit de Milan en 313. Elle deviendra la religion officielle de l’empire vers la fin du IVe siècle.

Tableau-St-Pantaleon

Tableau de la décollation de saint Pantaléon

conservé dans la nef de l’église de Saint-Plantaire (XVIIIe siècle).

Les Grecs mirent saint Pantaléon au nombre des grands martyrs. Les reliques de saint Pantaléon reposent pour partie à Constantinople et pour partie à Saint-Denis près de Paris. Le chef du saint est honoré dans l’église primatiale de Lyon, où il fut apporté au Xe siècle.

Les médecins honoraient saint Pantaléon comme leur saint patron après saint Luc, évangéliste. Les saints médecins étaient au nombre de 45 avec en tête saint Médicus. On invoquait surtout saint Pantaléon pour guérir du strabisme.

Pantaléon fut canonisé à Rome et devint aussi le patron des assistantes maternelles et des nourrices.

Son martyre est fêté le 27 juillet.

Il est à noter que les reliques de saint Pantaléon avaient été transportées dans l’abbaye de Charenton de Bellavaux de Charenton-sur-Cher (Cher) en 1527 par Pierre Ravelly, évêque d’Hébron.

Il est également à noter que le terme français « pantalon » provient du nom de ce saint repris comme personnage de la commedia dell’arte, à Venise, pour identifier un homme portant une culotte longue. Le personnage donna son nom à ce vêtement.

Le culte de saint Pantaléon en France

Son culte se développa très tôt après son martyre mais resta peu répandu. Huit communes françaises portent son nom :
– Saint-Pantaléon, dans le Lot,
– Saint-Pantaléon, en Saône-et-Loire, commune associée à Autun depuis 1973,
– Saint-Pantaléon, dans le Vaucluse,
– Saint-Pantaléon-de-Lapleau, en Corrèze,
– Saint-Pantaléon-de-Larches, en Corrèze,
– Saint-Pantaléon-les-Vignes, dans la Drôme,
– Saint-Pantaly-d’Ans, en Dordogne (appelée Pantaléon-le-Bon-Vin pendant la Révolution),
– Saint-Pantaly-d’Exideuil, en Dordogne.

Quelques autres églises sont dédiées à ce saint. Citons entre autres :
– l’église Saint-Pantaléon de Bouy (désaffectée), à Berry-Bouy (le nom du saint figure sur l’ancienne cloche de la paroisse de Bouy), dans le Cher,
– l’église Saint-Pantaléon de Camblanes-et-Meynac, en Gironde,
– l’église Saint-Pantaléon de Cours-les-Barres, dans le Cher (où il y a également une fontaine),
– l’église Saint-Pantaléon de Gueberschwihr, dans le Haut-Rhin,
– l’église Saint-Pantaléon de Lucé, en Eure-et-Loir,
– l’église Saint-Pantaléon de Ravières, dans l’Yonne,
– l’église Saint-Pantaléon de Santilly, en Eure-et-Loir,
– l’église Saint-Pantaléon de Sergeac, en Dordogne,
– l’église Saint-Pantaléon de Seur, en Loir-et-Cher,
– l’église Saint-Pantaléon de Troyes, dans l’Aube,
– l’église Saint-Pantaléon de Valeuil, en Dordogne,
– la chapelle Saint-Pantaléon à Sivry-sur-Meuse, dans la Meuse,
– la chapelle San Pantaleo, à Gavignano, en Haute-Corse.

A l’étranger, l’église pré-romane de Saint-Pantaléon de la ville de Cologne, en Allemagne, est la plus connue.

Quelques lieux-dits portent ce nom :
– la fontaine Saint-Pantaléon à Soucirac, dans le Lot,
– le ruisseau de Saint-Pantaléon, à Bourg-Saint-Maurice, en Savoie,
– l’Abbaye Saint-Pantaléon à Saint-Dizier, dans la Haute-Marne,
– le Pantaleon à Essarteux, dans la Somme,
– les Fossés Pantaléon à Beaumont-le-Roger, dans l’Eure,
– San Pantaleo, d’Olmi-Cappella, en Haute-Corse.

Les Pantaléon et Saint-Pantaléon en France

Toponymes-St-Pantaleon

Sur la carte de répartition des Saint-Pantaléon en France, on remarque que ceux-ci sont le plus souvent situés sur les contreforts montagneux, du Massif Central, du Morvan, des Ardennes, des Vosges, voire des Alpes. On constate donc que le culte de Saint-Pantaléon était souvent lié à la présence de l’eau et certainement lié à l’origine à des sources d’eau pure et médicinale. Il s’agit probablement de christianisation vers la fin du IVe siècle et au début du Ve siècle, de lieux de culte plus anciens liés aux soins médicaux.

Le culte de saint Pantaléon à Saint-Plantaire (Indre)

La localité de Saint-Plantaire se situe à la naissance d’un petit vallon, lieu de naissance d’une source, appelée « fontaine », aujourd’hui « le lavoir ». Il existe même deux petits plans d’eau près du bourg. Existait-il là un lieu de culte antique lié aux soins médicaux, voire un culte gaulois ?

Fontaine-St-Plantaire

La fontaine et le lavoir, à St-Plantaire non loin de l’église Saint-Pantaléon

La similitude de nom entre Saint-Pantaléon, patronyme de l’église, et Saint-Plantaire, le nom du chef-lieu de la paroisse, n’est pas évidente. Les deux noms n’ont pas la même racine. Plantaire paraît plus ancien, gallo-romain, mais sa similitude avec Pantaléon a sans doute eu une influence sur le choix du patronyme de l’église du lieu et sur la sanctification chrétienne des lieux avec le rajout de « Saint » à « Plantaire ». Le fait que d’autres lieux-dits de la commune portent le nom de « Plantaire », et que l’on trouve un « communal de Plantaire » sur la commune de Mouhet, semble attester de l’existence plus ancienne du nom de Plantaire sur Pantaléon.

Nous sommes là en présence d’une christianisation d’une fontaine médicinale et d’un culte beaucoup plus ancien, gallo-romain, voire gaulois…

Plantaire, du nom de la commune Saint-Plantaire, proviendrait ainsi probablement d’un ancien culte du dieu Mercure dont les sandales ailées portaient le nom de plantaria. La christianisation toucha également le nom ancien du lieu, avec l’adjonction de saint-.

Eglise-Saint-Pantalon

Eglise Saint-Pantaléon à Saint-Plantaire (Indre)…

Extrait ci-dessus de mon ouvrage (112 pages + maquettes à monter) :

Saint-Plantaire à travers les siècles – église Saint-Pantaléon

à télécharger ici, gratuitement :

Nicolas-Huron-St-Pantaleon-de-Saint-Plantaire(36).pdf

ou/et avec une participation volontaire éventuelle avec €-libre-paiement,
ou avec une invitation aux bénéfices avec 32%/€net.

Version papier à faire imprimer et à acquérir à la Boutique !

Bonne lecture à travers l’étude de
l’église Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire (Indre).

Suite de l’ajout d’octobre 2022 à cet article de janvier 2016 suite à

mes nouvelles recherches et découvertes…

sur le toponyme Plantaire

de Saint-Plantaire

révélé ici en grande partie

Addenda correctif assez sain ceint entre les lignes…

La science et mes recherches en toponymie avançant, je fais un addenda correctif à ce qui est écrit précédemment, en indiquant que le Saint- de Saint-Plantaire existait probablement préalablement phonétiquement dans le phrasé de désignation du lieu, comme une sorte de superlatif d’insistance qui pouvait s’écrire en grec syn-, συν. Ainsi, si le toponyme était au moins gaulois, c’est-à-dire préhistorique, datant de l’Âge du Fer, voire antérieur, et sachant que les Gaulois écrivaient en alphabet grec (voir le témoignage véridique de Jules César à ce propos et quelques musées archéologiques comme celui de Lyon ou celui de Nîmes qui conserve l’inscription du chapiteau aux mères nîmoise de Nîmes), on peut écrire le phrasé phonétique de plusieurs manières, ce qui serait le secret des druides gaulois : l’impossibilité, avec seulement quelques dizaines de phonèmes (seulement 36 phonèmes pour 36 chants d’elles en français pour en voir 36 chandelles…) d’écrire la science masculine et la connaissance associée ultra compressée de sains jeux savants…

avec le savoir de saint Pantaléon de Saint-Plantaire

en pépinières avec les plantes, des pieds, des pillés

ensemble avec les plantaria de Mercure…

va te faire… voire chez laie grecque !

Prenez-en de la graine !

Singes savant ?

Seings plantent aire !

Une multitude de possibilités et une description géographiquement exacte

Pour comprendre dans quoi on s’engage à partir de ma découverte faite sur le phrasé de Saint-Cyr-en-Bourg (Maine-et-Loire, 49) placé sur une frontière antique importante, il faut considérer par exemple que Saint-Plantaire est proche de symplattô, συμπλάττω (sumplattw dans Le Grand Bailly avec un clavier azerty), verbe conjugable et déclinable, orthographiable également symplassô, συμ·πλάσσω (sumplassw dans Le Grand Bailly, avec un clavier azerty, où ô, l’oméga, est le w), voire en ancien attique ξυμ·πλάττω :  former ensemble, façonner ensemble, construire ; façonner avec de la terre. Au figuratif, mais aussi en indiquant un moyen, ce verbe signifie : imaginer, combiner. Cela peut paraître étrange, déplacé, pourtant les sens des mots français, place, plan et plat, touchent à la même chose. Le sym- sain ceint va avec.

A N T ? Ah, haine t’es ?

P  L A N T A I R E, serait-il poly de l’épeler ?

Et pour ne plaisanter qu’à moitié, on peut signaler la ressemblance avec le verbe symplatagéo (ou guéô), συμ·πλαταγέω- (sumplatagew dans Le Grand Bailly avec un clavier azerty où ô est w) : faire du bruit en battant (par exemple des mains), sachant que la terminaison géo désigne la terre, ou la Terre, ici battue, bref la terre aplanie, la terre érodée, l’argile, la terre plate, que l’on peut voir comme le dé- (préfixe d’enlèvement, de suppression…) mont, le Démon des Enfers,  une roche magmatique, granitique, érodée, décapée, mise à la lumière, étalée, aplanie, reposante, une nudité, qui pour les géologues se transforme en terres, en tuiles, en briques, en poteries, voire dans l’esprit de certains, en une argile fertile, une déesse mère, Dia, réal’is-able, pouvant être expliquée, exprimée, linguistiquement, techniquement en dits -able (sans liaison phonétique)… à une bête, voire à la Bête, poison des tyrannies orientales et de leurs superstitions sataniques, voire pires… prétextes à toutes les dérives et iniques cons damnations.

Une errance, une mise à l’écart ? de la roche elle-même, éloignée du Vivant

calcaire et protecteur karstique, Jurassique, ou du Trias à peine à 8 km.

Syn-, sym-, ceints, sains, saints, seings plantèrent œufs !

Un beau gonflement humide argilo-granitique…

Euh, eux ? Œufs ? Coquilles ? Ortho…

Simple en terreux !

 Magnifique carte géologique (BRGM) d’une belle partie de cette belle France.

avec Saint-Plantaire, dit -able, dé-monts, versant jusqu’à Chinon (37),

puis la Loire à Saumur, Nantes et Saint-Nazaire…

avec son air naze

de Bête(s)…

amoureuse(s) et printanière(s)

Une vue générale avec les notions d’errance, d’égarement, de plein…

Plantaire, commence par P- (Π, π, ϖ, πῖ, pi, 16 ème lettre de l’alphabet grec ; comme chiffre πʹ = 80 ; ͵π = 8 000, sachant que le 8 est le signe de l’infini vertical et que « pi » veut bien dire ce qu’il vaut dire, même répété), par Pl- (πλ qui signifie en grec, nager, flotter, naviguer, et invite à penser aux pieds marchant sur une terre humide et aux déséquilibres éventuels. Cette racine appelle les notions grecques de plein, voire d’épais, d’encrassé, de sale, voire à la notion d’une année entière, d’une foule nombreuse), par Plan-πλάν, assimilable à « plaid nœud, plaine », πλήν (plên dans le Grand Bailly du Net), adverbe et préposition qui signifie excepté, mot ayant pour étymologie indo-européenne pelh-, près, à côté de, d’où excepté. Cette notion peut se comprendre géographiquement comme en dehors de, à l’écart de.

Ensemble (sym-) près du (plan) du gardien, ou de la bête sauvage (taire) ?

Beaucoup de possibilités, mais la réponse sera vôtre

montrant vos gênes, vos gènes, Vosges haine… ?

Cette notion, d’exception, d’écart, se retrouve dans le verbe lanthanô, λανθάνω : être caché, demeurer caché ; demeurer caché de quelqu’un, ignoré de quelqu’un ; faire oublier ; oublier ; passer sous silence, omettre, négliger ; échapper à, être inconnu à, être ignoré de, ne pas être remarqué par… Sa racine est indo-européenne leh-, passer inaperçu ou caché, mot ayant induit le latin lateo, latere, être caché, se cacher, et les mots français latéral, latex, lattitude…

Comme phénomène que l’on pourrait panser et penser à part, il y a les maux et les mots gaulois de latis, héros, et de lato-, ardeur, fureur, qui associés avec la terminaison –aire, peut se comprendre, d’autant que le mot gaulois arios, signifie homme libre, seigneur, racine associée au dieu grec de la guerre Arès, et que le mot gaulois are(-) signifie : devant, près de, à l’est de… et rappelle la course du Soleil, ses reflets, ses reflux, ses reflots, ses replay, ses replets, ses replats, ses replants, ses replaces… en ensembles cumulatifs des som’mets : P’lan’en terre…

Un second mot plan-, πλάν, assimilable à πλήν, est associé à πλντοπίμπλημι : remplir, couvrir, obstruer ; rassasier, combler (sens figuratifs) ; remplir pour soi ; se remplir. Ces sens correspondent à une réalité hydrologique avec sa source sacrée, ses plans d’eaux, géologique avec l’argile et avec la poussée granitique sous-jacente… La racine indo-européenne est alors là pleh-, remplir, sachant qu’un mot gaulois lano– signifie plein. On comprend mieux : P’L’an…

Sur Géoportail, on perçoit les Peu, Puy, Pou, au Sud et à l’Est et la sinuosité à l’Ouest.

Sym- (assemblés, ensemble) Peu (sommets) lano-, donc plein…

Ensuite, vous touchez Terre, terre, terreux, t’es r’œufs ?

Un pot ? Un déversoir ? Une source !

Le bout d’une petite plaine.

Une ressource…

Avec syn-, sym-, il existe le terme grec de symplanos, σύμ·πλανος, ος, ον (sumplanos dans le Grand Bailly numérique) : qui erre avec un autre. Ce mot est construit avec συν, syn, συμ, sym-, avec un « m » devant un « p » comme en français, et a pour étymologie planê, πλάνη : errement, d’où course errante ; et au figuratif : digression, erreur, égarement de l’esprit, illusion des sens, déviation, irrégularité. Ok, mais dans l’esprit, c’est de l’air ou de l’eau… ?

Il touche au verbe planaô, πλανάω : écarter du droit chemin, égarer ; écarter du but ; tromper, abuser. Le nom commun est πλανος, course errante (peut-être en évoquant les cours méandreux des rivières des géologies granitiques, ou les vents tourbillonnant dans ses creux méandreux ruisselant et scintillant) et est associé à planologos, πλανο·λόγος, aux discours trompeurs (étymologiquement, et t’it mot logique ment… : πλάνος, planos, et λέγω, légo).

Cartes géologiques (BRGM) d’une partie de cette douce France.

C’est un peu dur et mou à la foi(s), pété et hétéroclite…

granitique et argileux, pierres et poteries…

Un puzzle, une mosaïque, un Légo…

de legare et legere à la foi

latine g’lissante…

Ce ou ces sens sont suivis de la faune-éthique Terre, terre, taire, etc., qui signifie surtout en grec, « bête sauvage, bête féroce », mais également « gardien, guetteur, qui veille sur, qui observe », mais également « qui traverse », mais pas que. Ainsi vu sous cet angle, le phrasé Saint-Plantaire signifierait : bêtes sauvages (on pense au taureau monstrueux, l’auroch, ou au cerf monstrueux, le mégacéros, dont il faut craindre les face à face) qui errent ensemble, ou cet ancien lien de garde isolé, ou veiller ensemble avec cet ancien écart, entre autres sens multiples.

Font partie de cette famille sémantique qui s’aiment en -tiques : συμ·πλανάομαι, errer ensemble, s’égarer ensemble ou avec ; συμ·πλάζομαι, errer avec.

Si on considère que le P de Saint-Plantaire se détache, comme un coup sonore, comme un sommet, un Peu (Puy, Pou, Po…) toponymique, désignant avec syn-, un ensemble de sommets, à la vue de tous, il peut être suivi de lan- qui appartient à la famille de mots de lanos, λανός, ληνός : pressoir, vendange, ce qui nous ramène à la notion de plein, de plaid, voire de failles géologiques, voire de conflit de frontière. Le T est crachat, et le R répétition.

Cependant, comme on sait que les mots grecs chevauchent leurs sens, pour fusionner. Par exemple, symplanos peut s’enchaîner avec antaô, un verbe, pour donner une construction comme sympl-antaô, sachant que antaô, ντάω, signifie : se trouver en face de, rencontrer ; et avec une idée d’hostilité : se rencontrer avec, en venir aux mains avec ; rencontrer, obtenir, avoir part à. On s’aperçoit alors que Saint-Plantaire est, là, faune-éthique, et, guerrier, et, agriculteur.

Pour comprendre cette notion il faut comprendre, s’installer, syn-… sains stalles…

Il n’est donc pas absurde en toponymie de considérer anta, antê, comme un élément en soi, dans Saint-Plantaire, sachant que ντα est un adverbe ayant pour sens : en face, face à face, vis-à-vis ; devant. C’est un mot d’origine indo-européenne hent-, que l’on trouve dans de très nombreuses langues. Il a donné notamment en grec, ντί, en latin antiante, et en français anti-, anté-… sachant que le mot gaulois anto, signifie borne, limite, et que le mot gaulois, appartenant à cette famille de sens, antumnos, désigne les Enfers, l’Autre-Monde, le monde des morts, un monde souterrain dans ces civilisations. Les cool heures de l’automne ne sont pas loin… Sous le granit, il y a du granit un peu mou, puis un peu fondu… et dessus aussi, avec l’argile.

Et sa poésie est enfin comprise… Saint-Pl’, comme un battement d’ailes,

antaire verbe aller aux futures… aires, ères, airs…

faites-le baies, bégayer pour le comprendre :

S’im-P pl’pl’pl’pl’ hante’ air, aire, ère !

Une échappatoire aux rats

mangeurs de nids !

et de plumards…

prenant les fougères pour inspirations…

sachant que les mots commençant par anthér, ανθερ, portent sur les notions de barbe, d’épi, de dessous du menton, de menton, de cou, de gorge, de bouche, d’asphodèle, plante liée aux Enfers… et par chez moi, le reflet du bouton d’or sous le menton… le rendant lumineux !

Et pour presque en finir, la notion de taire, terre, Terre, ter, thér… pour fabriquer une thérèse, une t’es r’aise…

La partie du phrasé « taire » est inquiétante car très vaste, et les conséquences de son étude sont effroyables. Il s’agit du mot désignant originellement la « Bête » dans l’Apocalypse de Saint-Jean. J’entrerai plus tard dans ses considérations très graves pour vos croyances et vos poisons à tous. Je vais me contenter, ici, de lister les possibilités de cette partie du phrasé « taire ».

Pour vous montrer l’étendue du problème, il faut savoir que le texte de l’Apocalypse de Saint-Jean singeant saint Jean, a eu l’agrément des autorités romaines, son sceau, sa poste, soi-disant à partir de Patmos et qu’il est peut-être l’effet militaire d’un des speculatores des légions romaines, ce que je vous invite à devenir tous pour sauver ce qui peut l’être, car ils sont tous fous ces Romains, ces rôts main(t)s, serre aux mains…

600 sénateurs ? 60… ? 6 empereurs ? Un nom d’homme(s) ? XIs… ?

Une Croix ! puis des bâtons pour décomptes de perm…missions

θερ- ? τερας ? θερος ? τηρος ? θηρα ? θηρας ! Θήρας !

La Vil(le) éternelle !

Voyez sa tête, elle est la mère, la mer, là-dedans, à Théra, sang taurin… Et Dieu le Père ?

Sous l’Empire romain, pendant des siècles, comme à Patmos, dans les camps, etc.,

nul n’a pu acheter ou vendre sans le sceau de Rome, la Louve, la Putain…

Voyez votre chance Chrétiens de pouvoir la percevoir par religion véritable !

Est-ce son sot ? son seau ? son sceau ? son saut !

ROMA SPQR XIII…

Pour vous montrer l’étendue du problème, il faut savoir que téras, la Bête féroce, la bête sauvage, porte à d’autres sens ci-dessous, et a la même racine phonétique que téros, le gardien, et que les terminaisons des déclinaisons sur un texte abrégé et chiffré… sont à l’appréciation de chacun. Mais, Saint-Jean l’Evangéliste a été trouvé et abominablement torturé par les autorités romaines. Sans doute qu’un(e) ignorant(e) l’aurait approché avec ce texte… Étudiez cette question où je serai obligé de le faire, et moi, quand je fais, c’est ! par base culturelle esclavagiste, de par mon sang.

St-Plantaire

Une seule définition préservée, un seul sens, un seul de conserver ?

La bête féroce… et le gardien, la chaleur qui traverse, certes !

Et la confiance, synonyme de foi !

Tresser une claie ?

A, AI, Ê, É

RRRrrr… homme à…

Là, il faut bien prendre le temps de lire et de relire attentivement, cette table d’appui :

taro, mot gaulois signifiant : qui traverse et qui a laissé, tare, et qui a le mot tarinca, cheville de fer, grand clou dans sa famille, la tarière, avec taratron, et, taruos, mot gaulois désignant le taureau, taranus, l’orage, et Taranus, le dieu de l’orage, et même tartos, sec. Une corne ? Une tarte ? Une tare te…

ταρρ– (tarr-) avec ταρσός (tarsos), néo-attique ταρρός : I claie pour égoutter les fromages ; II par analogie : 1 entrelacement de racines ; 2 rangée des doigts au bout du pied, d’où plat du pied ; le pied lui-même ; en particulier, les serres d’un aigle ; 3 rangée des grosses plumes au bas de l’aile ; aile ; 4 rangée de dents d’une scie ; 5 rangée de cils, paupière ; 6 rangée de rames, sur le côté du navire ; par extension, la rame, le plat de la rame. Famille de mots d’origine indo-européenne : ters-, sécher, ayant donné également le verbe τέρσω tresser une claie.

θάρρος  (tharros) : I confiance, résolution, assurance, hardiesse, audace ; II ce qui donne confiance ou bon courage. Ce mot a une origine indo-européenne dhers-, audacieux. On le trouve en sanscrit dhr̥ṣṇú.

θέρω (thérô) : I 1 échauffer, brûler ; 2 fomenter, tenir chaud ; II au passif θέρομαι : 1 se chauffer ; 2 être échauffé, brûlé, par le feu ; figurativement par le feu de l’amour. Ce mot a une origine indo-européenne gwher-, chaud. Une guerre ? Une guère ? ou la géothermie…

θέρος (théros) : I saison de la chaleur ; particulièrement l’été. II par suite, saison de la récolte, d’où : 1 moisson ; 2 par extension : fruits mûrs pour la moisson. 3 fruit, production ; en parlant de la barbe d’un jeune homme, de la crinière d’un cheval. III en général, la belle saison, favorable aux opérations de guerre. C’est une racine que l’on trouve en sanscrit, háras-, chaleur.

τέρας (téras) : I signe envoyé par les dieux, particulièrement un signe extraordinaire, un présage effrayant, un prodige ; un signe effrayant envoyé par Zeus, en parlant de la tête de la Gorgone ; prodige qui annonce une guerre ; signe céleste, météore ; arc-en-ciel ; II chose monstrueuse ; particulièrement : 1 animal monstrueux, en parlant d’un serpent, de Cerbère, du Sphinx, d’un taureau ; 2 être monstrueux, monstre ; 3 toute chose prodigieuse, étonnante  C’est un mot semblant d’origine indo-européenne kwer-, signe magique, présage. SHOW ?

τηρός (têros) qui veille sur, gardien de ; mot provenant du verbe τηρέω (têréô, têréw) : 1 avoir la garde de, veiller sur, en parlant de choses, maison, ville, etc., d’animaux, de chiens, etc. ; 2 observer, épier, guetter ; 3 observer, pratiquer l’observance de ; d’où, conserver, garder ; qui, comme verbe placé à la fin, ordonne de prendre garde à soi, de veiller à ce que… ne. Son étymologie est obscure, peut-être l’indo-européen kweh-, observer.

Un synonyme de religion ? hUIs, VI, oui, vis !

Θήρα (Thêra) Théra ou Thèra : aujourd’hui l’île de Santorin ou Thíra, une des Sporades, dont l’explosion volcanique fit disparaître la civilisation crétoise et bouleversa la Méditerranée.

Suivez le guide, le gardien… son signe…

Voyez-en son double visage et sa tempe… et son θολο…

dans sa partie marine, sa mer intérieure, la mère intérieure, la Bête…

θήρα (thêra) : 1 chasse des animaux sauvages, d’où chasse ; 2 butin de chasse, gibier, proie, notamment en parlant d’un homme prisonnier. Mot dont l’étymologie est θήρ.

θήρ (thêr) : bête sauvage ; 1 bête féroce, ou simplement bête sauvage (lion, etc.) ; 2 bête vivant sur terre, par opposition aux oiseaux et aux poissons ; 3 bête en général, même les oiseaux, par opposition aux dieux et aux hommes ; même une bête apprivoisée ou domestique ; 4 bête monstrueuse ou fabuleuse, être monstrueux (Cerbère, Sphinx, Centaure, Satyre) ; 5  au figuratif en parlant de personne (Oreste et Pylade). C’est un mot d’origine indo-européenne ǵhuehr-, animal sauvage, qui correspond au latin ferus.

Saint-Léon ? Au bout ? Ferreus ?

Et il faut penser à panser le θεράπων (thérapôn, thérapwn), qui prend soin de, le serviteur dévoué, le suivant, le prochain ; le serviteur des dieux ; le serviteur à gages ; le dévoué, le serviable, l’esclave ou la servante, dont l’étymologie est pré-grec.

N’oublions pas les contractions…

τἄρα (tara), τ’ρα correspondant à τοι ρα, portant affirmation : vraiment, certes, suivi de puis, alors, et, par suite, ainsi donc, puisque, à savoir, c’est-à-dire, en effet, ainsi, pour marquer l’impatience, la crainte. Le mot ρά, désignant également la prière, voire en mauvaise part, l’imprécation, la malédiction, et par suite l’effet d’une malédiction, la perte, la ruine.

On dit aujourd’hui que le signe de la Bête est le 666, c’est un anachronisme : Xi…

Le vrai signe a été peint dans le fond du boyau de la grotte de Lascaux.

Y a-t-il encore un homme ici pour s’apercevoir qu’il n’y en a plu ?

C’est qui ? C’est χῖ en forme de croix ? C’est « chie » ? C’est Kiss ?

C’est « chi iôta » et après c’est un peu mal tracé… S ?

C’est le fond du chiot’te initiatique pour homme de Lascaux !

C’est marqué sur la porte. Je jure que je n’invente rien… quoique…

A l’origine, le zéro de la numération décimale, que tout le monde croit arabe, et qui a été volé à l’ancienne civilisation hindoue détruite de l’Indus et à son peuple victime d’un véritable génocide (comme ce que les mêmes ont fait ici), n’était qu’un espace vide, rien, puis un point pour mieux le voir, et probablement moins tricher, puis une petite bulle, puis un rond ou un ovale, dans la comptabilité de l’Italie du Nord, un signe aussi grand que les autres nombres. L’origine étymologique du zéro est le mot indo-européen chiffre si frais. De rien, on passe aux an(n)ales : chie ffff’r… Essayez le 666 en latin : VIC LeX VI ? VI VI VI ? Oui, oui, oui… Vis vie vis… ou bien essayez-le en grec original : chie hot à, que scie ôta, qui hôta, quille haute à…

A-t-on un méthanier pour le stock ?

du frottement de la lampe…

Or hors ?

Aurore ?

Élixir ?

O

ω

Ω

Un pas vers l’honnêteté ?

Un code secret ?

6  6  6  ?

6 . 6 . 6 ?

06.06.06 ?

anachronisme ?

âne à crocs nie -isthme ?

Anne, accros nient -isme ?

No mad, no made, nomade ?

Une super fiole empoisonnée ?

Oint ? OUiiiin…

Et celle d’aire, d’air, d’ère, de vert printemps, d’amour, d’art, d’Arès et d’Héra…

La terminaison -aire, êr, ρ, est assimilable à αρ : printemps. Ce mot a une étymologie très ancienne, ϝέαρ, proto-grec, wéhar, et indo-européenne, ues-r/n-, le printemps. On le trouve en sanscrit, vasan-tá-, et en latin vēr à qui l’on doit sans doute les mots français vers, vert… et pourquoi pas vair, ver, verre… et aire, air, ère…

Composez ici, en imagination, votre plus belle photo…

Faux tôt, faux taux, faut eaux, faute au…

simple en ter, simple en tri !

Il faut faire intervenir là cette terminaison sachant que dans les langues anciennes, notamment le latin, le verbe est souvent situé à la fin du phrasé, dont le sens est multiple et comprend notamment le verbe éraô, ράω-ῶ : aimer d’amour, être épris de ; par extension : aimer passionnément ; et par suite : désirer vivement, souhaiter. Avec avant sym-plants… ?

Et évidemment, Hèraρα, que Le Grand Bailly décrit ainsi : « fille de Kronos et de Rhéa, épouse de Zeus dont elle possède quelques-uns des attributs souverains : comme Zeus, elle exerce une action toute-puissante sur les phénomènes célestes ; honorée comme lui sur les hauteurs où se forment les orages et où s’amassent les nuées qui versent les pluies bienfaisantes, elle peut déchaîner la tempête ; elle commande aux astres répandus dans le ciel. L’union de Zeus et d’Hèra est comme le symbole de la vie de la nature entière : c’est par eux, par l’action simultanée du chaud soleil et des pluies qui pénètrent le sol, que la terre est fécondée et revêt une végétation luxuriante ; de même que les fréquents orages qui troublent leur vie commune représentent la lutte des éléments. Comme Zeus aussi, Hèra personnifie certains attributs moraux ; et s’il symbolise la puissance, la justice, la bonté, elle est comme la personnification de la sainteté conjugale et le type de l’épouse, chaste et fidèle. Associée à la souveraineté du maître des dieux, elle est respectée de tout l’Olympe qui salue en elle sa reine, reine parfois irritable et hautaine, mais qui n’en est pas moins, dans ses emportements comme dans sa majesté sereine, la grande divinité féminine de l’Olympe grec dont Zeus est le grand dieu masculin ; invoquée par les femmes, à Athènes. »

Héra, comme nom commun, êra, ρα : satisfaction, plaisir, qui comme préposition signifie : en faveur de, grâce à. C’est une notion très ancienne, indo-europénne, uehr-, vrai, qui a donné le latin vērus. Il est lié à ρρός (êr, êros), service.

Le même mot est assimilable curieusement à airô, αρω : lever ; lever l’ancre et mettre à la voile ; lever pour apporter ou emporter ; et par suite : enlever, supprimer, détruire, faire périr ; par extension : nier, réfuter ; et au figuratif : faire une levée (d’hommes par exemple), élever, exalter, grandir ; mais aussi : mettre hors de soi ; lever sur sa tête, ou sur ses épaules (un fardeau) ; lever pour soi, hisser ; et au figuratif : soulever, exciter…

Ce mot se comprend fusionné avec αρος : sève, suc ; l’huile ; le sang encore chaud d’un meurtre (ou d’un trou géologique). L’étymologie du mot est indo-européenne hesh-r, le sang (de la terre ?), mot se trouvant en sanscrit sous la forme ásr̥k. A cela, il faut ajouter sur le terrain l’argile rouge et les remontées minérales, parfois chaudes, des eaux à travers les failles, notion totalement énorme et caricaturale à Planterre, sur Colondannes (Creuse, 23). Je jure que c’est vrai, j’en fais serrement… Allez voir ! Et, c’est sans compter la capillarité montante des plan(T)s.

Avec un « a », -aire, il faut aller visiter mon étude précise du toponyme Chârost (Cher, 18) qui est un toponyme agricole et guerrier préhistorique qui est beaucoup plus sanglant, roulant et brillant, un vrai chas agricole et guerrier, avec au bout le Gué Saint-Michel.

Carte géologique (BRGM) de Saint-Plantaire sur géoportail.

C’est un peu cr’âne… presque « pythé-quand-trop-peu »…

mais paraît-il très nourrissant et

très g’astronomique !

Là, où les Enfers se permettent de côtoyer les Cieux…

Pluriel singulier et singularité plurielle, en frontière antique

On se trouve ainsi en face de constructions phonétiques articulées et cumulées multiples, s’emboîtant les unes les autres, avec une possibilité de bégaiement qu’il ne faut pas oublier, proposées ici en alphabet romain : saint-plantaire, s’implantaire, sym-pla-anthère, simple-hante-air, symple-lantaire, symplan-ter, sain-peu-l-ante-aire, ceint-plant-ère, sin-plan-thère, etc, ceci, avec toutes les suggestions sémantiques, linguistiques et orthographiques possibles que vous pouvez découvrir à travers mes jeux des noms de lieux,

Enjeux

en jeux

avec pour mode d’emploi Saint-Cyr-en-Bourg (49)

et pour exemples : Françay (41), Limeray (37)

et maintenant Saint-Plantaire (36)

grâce au cadastre ancien

à une cartographie

à une liste des noms de lieux

comme un jeu de hasards en piochant dans

mes photos en fichier zip (2,16 Go) du cadastre de St-Plantaire

718 photos, parfois floues par l’IA de l’appareil, tenant dans 2,7 Go

pour le faire chez vous, gratuitement, comme moi, sans peines, quoique…

pour la taire, Terre, terre, ter, thér-, θερος, θηρα, Θήρα, θηράω, τέρας, terrasse…

la Bête féroce de l’Apocalypse de Saint-Jean écrite à Patmos et ses -isme, isthmes…

de son camp d’esclavagisme romain incompris qui vous dévorent présentement.

Sinon, vous avez monsieur Stéphane Gendron, linguiste, et son site internet

ou la Mairie ou bien les Archives départementales de l’Indre et ses services

en ligne ou non, pour connaître le vrai baptême du feu et de la feue

car tous les chemins mènent à Rome, même à Saint-Plantaire

même via vos MEME de 06, 06, 06, de « Folie fut rieuse« …

Une vérité historique et géographique

Saint-Plantaire (Indre, 36) est bien situé à l’écart, au point que l’on peut le définir comme un écart, terme désignant dans la ruralité, un habitat isolé. Cela se perçoit très bien dans les sources anciennes, présentées succinctement dans mon historique de l’église Saint-Pantaléon de ce chef-lieu.

C’est aussi un toponyme frontalier, qui se trouve en face et en limite du diocèse de Limoges (Lourdoueix-Saint-Michel, Fresselines, Nouzerolles, Méasnes, Lourdoueix-Saint-Pierre…), Saint-Plantaire étant dans le diocèse de Bourges (avec Crozant, Orsennes…).

L’église paroissiale fortifiée voisine de Saint-Michel de Lourdoueix-Saint-Michel

sur le diocèse de Limoges, de l’autre côté de la frontière antique

Photo Nicolas Huron

Pour découvrir l’ancien blindage médiéval de l’église Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire, et les dégâts des Guerres de religions de l’Époque moderne, c’est déjà un peu documenté dans mon étude-inventaire, dont un extrait est présenté ci-dessus. Et si vous y préférez ma conférence, cherchez-la !

Cette particularité de frontière antique se reconnaît notamment avec la présence du culte de Saint-Michel à Lourdoueix-Saint-Michel (Indre-,36), qui se trouve tout près du lieu dit Bois Plantaire de la commune d’Orsennes (Indre, 36), connu pour son dolmen, au Sud-Est des Jarriges, près du Boiron et de la Rondière (hier, signifiant « sacrée »), éloigné de la Croix de Saint-Roch, à l’Est, étant faite pour les blessés, les purulents, les pesteux… les empoisonneurs.

Vous pouvez le vérifier sur Géoportail.

Et, ce qui pourrait paraître incroyable, car le culte de Saint-Michel est peu courant, le toponyme unique du lieu dit La Plantaire, à Beauficel (Manche, 50 ; voir ci-dessous la carte de France des toponymes concernés), se trouve près de Saint-Michel-de-Montjoie (Manche, 50), près de la limite entre les anciennes provinces ecclésiastiques romaines de Tours et de Rouen.

Une frontière grandiosement granitique !

et scintillante avec gra(i)n-

qui mérite plus que de raison, sa chapelle du Fer !

De plus, on remarque que Beauficel (Manche, 50) est un petit écart, comme Saint-Plantaire, apparaissant avec la même configuration que Saint-Plantaire, mais non avec, au sud, les gorges de la Creuse, mais avec celles, enlacées, en lacets, de la Sée, fleuve côtier (selon les géographes, alors que l’on parle toujours de la rivière de Loire, chez moi…) se jetant dans la mer Manche à Avranches en Normandie, depuis les invasions des barbares criminels sanguinaires, que l’on sait adultérins, vikings.

Vous pouvez le vérifier sur Géoportail.

Saint-Plantaire est donc un lieu à l’écart, notamment électriquement avec la retenue d’eau d’Éguzon-Chantôme, première de France, qui reste encore à entendre, lieu magique et d’anges heureux, aux rencontres totalement surprenantes. Preuve en naît fêtes ! Tout rit ST-…

Allez plus loin avec mon étude de l’église Saint-Michel de Lourdoueix-Saint-Michel

et avec mes recherches sur ce culte notamment à Chârost (Cher, 18)

très trait trait ferrugineux…

D’un point de vue latin…

qui plane ou se plante ?

En rouvrant un dictionnaire latin-français comme le Félix Gaffiot, on perçoit qu’en tant que nom commun, plantaria est pluriel et signifie : jeunes plants, rejetons, boutures ; plantes, légumes ; végétation (au figuratif) ; ailerons (attachés aux pieds de Mercure), talonnières. Ce mot est le pluriel de plantarium, pépinière. Il provient du mot planta : plant, rejeton, bouture ; plante, herbe, végétal ; plante du pied, pied. Il appartient à la famille du verbe planter : planto, plantare, qui peut se prononcer à l’infinitif « plantaire ».

Corbelets, corbeaux, modillons, en granit, de la façade d’entré

de l’église de Saint-Plantaire…

Photos Nicolas Huron

Entre Saint-Plantaire (Indre, 36) et Bois Plantaire, pour ceux qui savent lire les cartes

et qui sont sensibles aux reliefs, on peut voir la pépinière géomorphologique.

Dans le sens de Jules César et de Jésus Christ, et du Delta du Nil, c’est encore mieux…

 

Cela monte en coulant et monte en repoussant et mangeant le Massif Central.

 

Les lignes blanches étant des lignes de crêtes et les fonds plus foncés, des lits.

Avec les nouvelles « tablettes », il paraît que c’est encore plus pratique… Non ? Noms !

Pour faire semblant de ne toujours rien en entendre, avec une mine de rien du désert…

A moins d’être maître d’école et de savoir lire les cahiers à l’envers, il vaut mieux,

pour la géologie, avec failles, bien s’y connaître… et savoir lire un rapport

ou visiter l’église faite de matériaux nobles généralement locaux, si elle est médiévale.

Avec l’ordonnance de Louis XIV, et ses cartes de plus en plus précises,

avec Géoportail, le cadastre ancien, etc., c’est vraiment plus facile.

Pansez-le,

pensez-le

le vin chaud,

et le vain show,

        le bol chaud,

sans planer…

                sans perdre

la tête

surtout sans

incendie,

      fumée ou

fumigation

        en poix

zonée

pour soi-disant

planer et

et être cool…

Voyez  où ça coule !

Faune-éthiquement à propos des ailerons de sandales de Mercure :

sains pl, pl, pl, pl, pl, pl, pl, pl, pl, hantèrent à penser à propos

des oiseaux planteurs , ou des geais, ou mieux des pigeons ramiers

entrant dans leur nid en battant les rameaux de leurs fortes ailes et

de leurs fientes, meilleurs engrais à graines qui s’implantent

S’in pl, pl, pl, plante air… notamment en vignes grimpantes.

Une légende populaire, chez moi, rapportée ironiquement

dit que leur fiente soignent l’acné adolescent…

et rendrait raisonnable.

Croyez-en l’homme sauvage légendaire de Notre-Dame de Françay et son siège droit.

En latin, dans cette famille, existent : plantaris, qui tient aux pieds ; plantatio, plantation ; plantator, planteur ; plantatrix, celle qui plante ; plantiger, qui pousse des rejetons.

Saint-Plantaire, avec le saint, syn-, s’in, sin-, ceint, sain, seing, sein, voire avec le san latin, le sanctus latin, le sin- latin, etc., fait un ensemble prudent, moins glissant, et moins porté à la chevaline Amazon sein t’Hyppolyte (que je suis en train d’étudier de plus près, voire de plus prés…), sachant qu’en cherchant un peu, en grec, saint’e, avec cette dangereuse liaison, on trouve phonétiquement : pillard, voleur, rapace, en parlant de certains animaux…

Sinon on peut le panser comme s’implant-thêr-… en simple ruminant.

Cette enquête peut se poursuivre dans les lieux-dits phonétiquement semblables : Les Plantères (Marseillan ; Hautes-Pyrénées, 65), la Planterre (Montenoy ; Meurthe-et-Moselle, 54), Planterre (Colondannes ; Creuse, 23) sur une énorme faille, Planterre (Belrain ; Meuse, 55), Planterie, Plantere, etc.

Les toponymes Planterre, Plantère, Plantaire et Saint-Plantaire

Sans doute une survivance de marges ou d’isolement.

Carte Nicolas Huron

Bien entendre, ce qui signifie notamment bien comprendre

L’oreille entend aussi peu (sommet en toponymie), leu (loup, Romain, en toponymie), lent, plan, hante, antes, antées, hanté, en terre, en Terre, air, ère, aire, etc. Cela rentre tout seul et la cervelle n’y peut rien… et là-dedans se produit une moyenne pondérée, quand on a du lexique dû, qui porte à sens pendant des siècles, et pour les siècles des siècles, cumulés, imbriqués, comme le démontrent les historiques infinis de ces paysages, où « ça plane pour mou à… »

Ainsi, plus la culture est grande, en y intégrant par exemple la racine latine plan-, le verbe plano, planare, aplanir, par exemple, ou l’adverbe ante, devant, en avant, auparavant, antérieurement, etc., plus l’effet sera pondéré. Et alors, tout peut être compris d’aplomb, d’une façon unie, clairement, complètement, entièrement, exactement, bref plane en latin, culture que l’on pourrait penser, par sa trop grande richesse, comme inaperçue, invisible, voire désertique, ou convenablement comme un infini de préservations, de découvertes et de connaissances. Mais la rotation du Soleil n’a-t-il pas besoin de Rocheuses pour bouleverser ?

Alors, en plus, avec art ou Arès, le dieu grec de la guerre, du char solaire, et du Soleil, aide du soleil, comme terminaison… c’est un peu hardi en ce moment, voire dangereux, à moins de revenir faune-éthique un peu en arrière pour obtenir les familles sémantiques latines de ter, tres, tri, trois, teres, arrondi, poli, fin, délicat, tero, terere, frotter, polir, user, émousser, terra, terre, continent, pays, contrée, Terra, la Terre personnifiée, terreo, terrere, effrayer, épouvanter, en pensant prudemment que le A latin peut se prononcer è, et que le français a gardé plus de mots compréhensibles à travers le grec ancien, que bien d’autres langues, notamment la famille de tare, tard… et qu’au grec θαρρος, tharros, le français a enlevé un r et le h, sans doute avec une aire et une hache, quant aux -os, ils sont pour les chiens en allant se faire voir chez les Grecs, sachant que le chien, comme le cochon, est une coûteuse importation adoptée d’Asie centrale, là d’où proviennent généralement les coupeurs de tête, même de têtes de fleurs, et pas que… sachant que même parfois les statuts et les statues y passent. C’est dire…

car Saint-Plantaire garde le souvenir de quelques guerres de religions

jugulées, arrêtées, maîtrisées, par quelques grands hommes, voyez-en

un croyable incroyable saint Jean-Baptiste à Saint-Plantaire !

Copiez-collez-le et vous le verrez presque instantanément !

Il est de style Dartagnan et Louis XIV

Note amant ! Sciemment…

La suite bientôt…

 de l’Académie des Sciences du Grand Siècle

avec les cartes du Roi Soleil, la méthode et les outils,

avec ses airs de mini âge glaciaire quelque peu…

En conclusion, verticalement, comme un bon plan ou un bon plant,

entre les enfers magmatiques granitiques et leur sauce érosive argileuse,

la bête féroce, la vache espagnole et sa grosse langue, insectivore, molluscivore, etc.,

que tous les imbéciles voudraient voir en végan végétalienne, ou autre truc allemand,

et se passer de ces précieuses limaces, fourmis, chenilles, etc. dans son bol alimentaire.

Cherchez et croyez-en une affaire de bouvier à Bouvetaire, sous le Rocher du Bouchet,

 à Saint-Guillaume (Isère, 38), chargé en plus de garder Bonnotaire et Bonnetaire…

et ses belles cornes calcaires et leurs combats ouvrant sur un cul de sac ou un autre col.

Quant à Saint-Nectaire, toponyme unique

Le taureau, le tord haut, s’y trouve-t-il ? Sur son col ? Son collier ?

Pensez-vous qu’ils le savent, les occupants germains, ou autres, avec leurs PME ?

Ils y nagent ? y lavent leurs saletés empoisonnées ? au nectar ? νήκτωρ ? Vous aussi ?

Oui, oui, son église sacrée parmi les sacrées est sur un ex habitat gaulois…

Un genre de Tulou chinois, avec son maître d’école

toujours au chœur de votre cœur.

C’est à pas piqués des verts…

Ceint NECK taire…

Âme ?

Mufle !

Ah ? Meuh !

Sain ceint j’allais !

Volontaire pour faire l’enquête

avec Pantaléon et Saint-Pantaléon ?

Avec Saint-Léon et sa sym-pente ? Avec Saint-Jallet… ?

J’en ai déjà refait la carte de France… relisez ci-dessus attentivement !

Et avez-vous panser les Hermentaires (Var, 83) et Saint-Hermentaire (83, 13) ?

Et Saint-Ortaire (Manche, 50) ? sachant que « sainte », σιντ, en grec signifie pillard…

Et le Queyras, κερας (corne), dans son entier avec son Château, son célèbre Saint-Véran ?

Orsennes, hors Cène, or scène ? Honteux, on te…

Entablement du Saint-Sacrement de l’église Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire :

Grand Siècle !

Osez le comprendre, l’entendre et l’offrir !

Saint-Plantaire s’implante ère…

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N’hésitez pas, osez l’Histoire !

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