Saint-Maurice, églises et toponymes, cas douteux en syn-mor… Hisse !

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Toponymie Maurice et Saint-Maurice

Lien transparent : https://patrimoine-rural.com/ToponymieService/Nicolas-Huron-toponymie-Maurice-et-Saint-Maurice.pdf

Un cas d’école pour tous les

Saint-Maurice…

Pour le Noël de Maurice Huron, boucher d’Herbault, pour le Noël de Maurice Lamirault, cultivateur à Alluyes, etc., et pour tous les métiers de bouches…

Géologiquement, les constats semblent un peu les mêmes que pour les Saint-Maur, mais avec quelques touches évocatrices en plus… décrites ci-dessous…

Commencez donc obligatoirement par les Saint-Maur…

avec l’article précédent :

Saint-Maur, églises et toponymes, cas douteux en syn-mor…

Avec Saint-Maur, on peut penser qu’il s’y greffe « hisse » ? Oui ! Ys, écrit US en grec, υς, désigne le porc, le cochon, ou la truie, la laie (C’est très spirituel, je vous l’accorde, tout comme leur « Constitution »). US, comme synonyme de hyaina, υαινα, est aussi lié, en grec à la hyène, et aux femmes consacrées au culte de Mithra (dont l’épicentre se situait en Anatolie, actuelle Turquie), déesse toujours représentée avec un bonnet phrygien et égorgeant un taureau. Nous savons que le limes romain a été perdu à cause de la présence de ces faux chrétiens catholiques romains s’adonnant à la fin de l’Antiquité au culte de Mithra. C’est très renseigné en archéologie. US est aussi associé à la couleur du rouge écarlate, du pourpre, symbole de la puissance romaine, usurpée « pacifiquement » par Jésus de Nazareth, condamné par la juiverie, et rendu Christ, mort et ressuscité par Rome. Jules César a dit que les Gaulois ne comprenaient pas le Grec, il écrivait ses messages secrets en grec… La vérité, est que les Romains, non instruits (lui l’était), ne savaient pas lire le grec. Les druides, je crois que si. US désigne aussi le fils, ou le gendre (pour ὗς, voir υἷος). Je vous passe les détails…

En français, nous, nous avons la possibilité de faire du US grec, « housse ».

C’est très spirituel… et, vous savez maintenant comment vérifier.

Le mot moryss– existe en faune-éthique (voir le Grec ancien, μορυσς…), notamment comme verbe, et définit le fait de noircir, de tacher, de souiller, ou, de teindre d’une couleur foncée. En toponymie, il s’agit généralement de terres, de roches, de limons (argiles et sables)… Cela nous parle aussi de blessure car, le mot oryss– existe, notamment comme verbe, ορυσσω, et signifie : creuser, fouiller ; percer, meurtrir ; enterrer, enfouir ; déterrer, faire sortir en creusant. Ce sont de très vieilles racines indo-européennes. Ces racines sont basées sur le verbe ôry-, ωρυω : hurler (loups, chiens), rugir (lion) ; pousser des hurlements de douleur ; pousser des cris de joie véhéments. On peut préciser que le pilum romain trouvé à Herbault par un agriculteur (voir mon étude d’inventaire des noms de lieux de la commune d’Herbault), très rouillé, très assombri, porte le nom grec de yss-os, υσσος (os étant la terminaison masculine pouvant se décliner) : Hisse, Hisseau.

Un petit inventaire cartographique…

Le culte de Saint-Maurice en Région Centre et aux environs.

Cet inventaire n’est probablement pas exhaustif.

Carte Nicolas Huron

Les frontières des anciennes nations gauloises, puis diocèses romains, sont en couleur.

Chaque toponyme Saint-Maurice a son caractère et chacun mériterait l’explication que j’ai commencé à donner pour les toponymes Saint-Maur. Il n’est pas possible de les étudier en détails ici, mais on peut les identifier et faire quelques remarques géographiques.

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Saint-Maur, églises et toponymes, cas douteux en syn-mor…

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Toponymie Saint-Maur en syn-

Lien transparent : https://patrimoine-rural.com/ToponymieService/Nicolas-Huron-toponymie-Saint-Maur-en-syn.pdf

PUI(T)S de savoir(s)…

à Saint-Maur

où tout sembla revoir

en syn-mor avec συν  μωρ-

ou tout semble art « voir »…

Article long bien documenté pour cours pris de cours…

Voir mes trois études d’inventaire précédant cette mise au point…

très Terre à terre, tellurique, géologique et agricole…

L’étude à réveiller les morts… ?

Oui, à les réincarner dans mon salon de l’agriculture française… avec

l’enjeu en jeux l’Ange,

Marie, France !

Ma toponymie en 2023 e(s)t suivante…

Saint-Maur, haïku préhistorique ?

Pour Saint-Maur sur Indre, comme pour d’autres Saint-Maur, on doit constater qu’il s’agit d’un lieu noir. Près de Châteauroux, sur la rive droite et nord de l’Indre, on peut constater qu’il s’agit d’un assemblage de grande sémantique (syn– : voir mon article sur Saint-Plantaire) de compost (voir mes articles sur les toponymes Folie, Folies), avec des limons sombres ferrugineux du Massif Central, des résidus de forges de l’Indre et de ses affluents en amont, associés à de la marne sombre, à une pente douce, à des ronciers, des mûriers dits Moriers, au fait d’en être noir (à la fin de l’été, ils sont normalement bien mûrs et saoulent à en perdre la tête), d’hydromel, la tête dans une tenaille (pince, étau, etc.), associés à de la viticulture de cépage noir, à des flammèches (mon étude d’inventaire, disponible dans mon article précédent, sur les toponymes de Saint-Maur dans l’Indre indique page 29, qu’il y avait un sanctuaire de Vénus et un columbarium romain au Colombier, aujourd’hui manoir fermier, dans le sens du vent, et un autre sur Déols : bonjour les barbecues, les crépitements, les étincelles volantes, la soupe de cannibales en fumigations… très Huns, voire Hindous, pour en exciter certains appétits orientaux), voire à des cendres, voire à descendre, voire à des marais et à des tourbières, à de l’eau morte (croyez-en la Fontaine de la Demoiselle et l’aqueduc romain, indiqués dans mon étude des toponymes de Saint-Maur dans l’Indre page 26), au fait de recourber, ou d’en avoir le nez camus, d’en être déprimé, émoussé, hébété, fou, sot, insensé, regroupé dans un corps d’infanterie, durement, cruellement, en bordure, en frange, pour quelques soins, quelques soucis, quelques sollicitudes (ce que je fais présentement généreusement), dans un temps défini, de s’en baigner, de s’en laver, de s’en parfumer, d’en pleurer, de s’en épancher, de s’en baptiser… Tout ce las sera expliqué dans la suite de cet article, sachant que « sin » et signe (souvent en encre de métaux lourds), comme l’attestent les mots ceint et seing, sont les mêmes maux que celui du cygne (s-ign- marque du pluriel qui sous-entend être suivie d’une brûlure ou d’une pourriture), cygne dont la viande est encore plus dure que celle du canard, cygne réservé au ROY seul, pour en porter couronne et aura, voire auréole (concept provenant historiquement des tyrannies orientales), pour mieux en scintiller de minéraux cumulés (Himalaya ? Massif Central ? Massif Alpin ?), appelés aujourd’hui bizarrement « terres rares ». C’est très spirituel…

((( .+. )))

Pour être faune éthiquement et phonétiquement préhistorique et faire entrer la Préhistoire, et l’après histoires… dans l’Histoire, science de toutes, on peut jouer avec les toponymes avec des jeux que j’ai inventés et dont mon étude-inventaire des noms de lieux de Saint-Maur dans l’Indre, datant de 2005, peut servir de table de jeux. J’ai aussi, sur ce blog des modes d’emploi, et des exemples multiples. Vous pouvez vous appuyer sur un ouvrage référentiel dédié que je construis en m’appuyant sur les toponymes de Saint-Hippolyte. Ces recherches et ces découvertes nous apprennent que les « révolutionnaires républicains », que les historiens ont identifiés comme des terroristes affairistes anglais syphilitiques en cheville et de mèche avec les Orléans et la variole, étaient vraiment très stupides de rebaptiser la commune de Saint-Maur sur Indre « Beaulieu », voire « Beaupré » (page 98). Il suffisait de l’orthographier en amas-zone : « sein(g) mort ».

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Saint-Maur (Cher ; Indre) : trois ouvrages d’inventaire…

Saint-Maur, où tout semble à revoir…

pour tous les Saint-Maur (Cher, 18 ; Indre, 36), même Saint-Maur-sur-le-Loir (28),

Saint-Maur-des-Bois (50), etc., et même Saint-Maur-des-Fossés (94),

en révélations toponymiques…

via mon article bien documenté :

Saint-Maur, églises et toponymes, cas douteux en Syn-Mor…

et après pour les Saint-Maurice, suivez le guide…

Mes trois études d’inventaires

précédentes…

L’église Saint-Maur

de Saint-Maur (Cher)

Ouvrage actuellement de 43 pages.

Nicolas Huron : L’église Saint-Maur de Saint-Maur (Cher) – Dossier ECCLESIA juillet 1991, ouvrage de la conférence du 13 juillet 1991 – Université François Rabelais – Tours –ASDRA – ASsociation pour le Développement de la Recherche Appliquée à l’animation culturelle en Région Centre – sous la direction de Bernard CHEVALIER, professeur d’histoire médiévale – Droits rachetés par Nicolas Huron, responsable et créateur du projet ECCLESIA pour l’ASDRA.

Ouvrage associatif aux droits acquis par son auteur.

relu et corrigé bénévolement la veille de sa conférence le 22 février 1991
par ma mère, Marie-Claude HURON, née DEPUSSAY à Françay (Loir-et-Cher),
sa maison d’édition véritable, blésoise,
en sa bonne ville royale et agricole de Blois,
à une époque où son auteur, moi-même,
était encore illettré et dysorthographique.

Ancienne version à télécharger en

Format.pdf

Lien transparent : https://patrimoine-rural.com/Saint-Maur(18)/Nicolas-Huron-Saint-Maur-18-Eglise-1991.pdf

Anciennes versions papier :

2 exemplaires ont été laissés en mairie lors de l’évènement

s’ils sont perdus, demandez aux anciens de la gestion communale

1 exemplaire a été donné aux Archives départementales

et 1 exemplaire à l’Université François Rabelais de Tours.

L’église Saint-Maur de Saint-Maur (Cher, 18)

Photo Nicolas Huron

La donation à l’abbaye des Pierres, par Giraud de Fresne en 1227

Archives départementales du Cher : 10 H 125

pour en apprendre à lire le Moyen Age…

Portail principal de l’église Saint-Maur de Saint-Maur (Cher, 18).

Photo Nicolas Huron

Quelques photos supplémentaires sur mon site de services

Étude d’inventaire à rénover…

avec bénéfices possibles à la clé pour une association locale ou un particulier

avec 32%/€net et

avec mes compléments de recherches…

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