Oisly ainsi écrit,
((((( livret livré en 36 pages pdf dans l’article suivant )))))
point de départ d’une compréhension globale,
était, est et reste unique au monde !
Cherchez et vous trouverez ce que les gens des vil(l)es appellent un trou.
Dans les faits, il y en a plusieurs… deux près du bourg.
Carte Nicolas Huron
…
Et, en vérités, c’est une éminence, une bosse…
cartographiée à la Butte Babichon !
par son sommé…
en but
à une carrière,
à en croire Les Perrières l’Alier, près des Rues,
avec ces sommés en butte à une surveillance de mine romaine… ou pire.
Des Archives départementales de Loir-et-Cher jusqu’au Géoportail !
.+.
Oisly, un simple jeu d’enfants
en faune-éthique…
en 36 chants d’ailes…
La science des noms de lieux, la toponymie est abordable comme un jeu pour enfant. Oisly se prononce lumineux : Oies lient ! Oies l’Y ! Ouah lit (en y faisant du trampoline et des plongeons) ! Wouah, lis (se le disant en ouvrant un livre passionnant) ! Oh, ah, lie (en parlant de verroterie, de bijouterie et de pierres précieuses) ! Où halle y… (en commerce) ? Wallis (même jusqu’en Polynésie ? Oui !) ! Ouali (un toponyme gouverneur) ! Oh Ali (historiquement esclavagiste ? Oui, oui) ! Oua(f) lie (en y jetant des os de… ? Aussi) !
A vous d’en jouer enjoué !
Les chiens aboient et la caravane passe…
Le lion (anglais) et celui d’Oisly en renifle avec étonnement !
Quant à ceux de Belfort, de Denfert-Rochereau, ou de Lucerne… Lu cerne ?!
Ce jeu des toponymes est abordable autant en onomatopées qu’en mots simples. Par exemple, si vous voulez entendre un mammouth soufflant l’eau d’une rivière avant ses infrasons, prononcez Chârost (18) avec une gerbe d’eau brillante et en bruyante ostentation ! Si vous voulez entendre les saumons frétiller lors de leur migration, prononcez en boucle très rapidement Saumoussay (49). Si vous voulez entendre le vol des oies sauvages décollant des eaux ou des rives de la Loire, prononcez Blois (41) : bl-bl-bl-blou-oie, oies, oua… en y mettant même la couleur. Et Oisly (41) pour leurs atterrissages… quand elles se mettent à dresser à deux leur cou pour se lier pour la vie éternelle. On en dormirait avec délice, et des lys, et des lits se font dans ces migratrices plumes-là… avec des coussins de lin, avec des coups sains d’eux l’un d’œufs de retour, avec des coûts sain(t)s de l’Un… Un fils en sera émerveillé, lié, un des sens de Oisly, à bien y regarder… Un ange en jeu enjeu… Une fille vous le volera pour quelques Troyens. Si, si…
Et ses anciennes suggestions de faune-éthique sont innombrables,
même sur les routes, pour en apprendre… à lire.
Et le marchand de sables va passer…
…
Oisly, un jeu cultivé de jeunes
en phonétique…
en 36 chants d’elles…
Avec un peu d’outillage et des dictionnaires, et grâce à la porte, bienvenue et devenue biblique, du grec ancien, au dur seuil de l’usurpateur latin, et de l’infinie richesse du français et du Français de Françay (Loir-et-Cher), on peut entrer dans la culture infinie et éternelle et dans les cultures du monde rural de nos présents terroirs. Cette culture ne faisant que se cumuler avec l’âge à condition d’en avoir un respect et une considération de sédentaire, afin que la connaissance, comme la géologie, à Oisly, n’en soit pas éruptive, violente, informe, mais sédentairement sédimentaire des Siècles des Siècles, en douce et lente poussée tectonique, même si, parfois, l’Océan s’y rue, de Bretagne et de Poitou, comme une violente révélation et ré-élévation, une découverte, tel un tsunami qui en bouche quelques trous… d’eaux douces, à en croire la face cachée de la Lune…
Le mode d’emploi et des outils sont sur Saint-Cyr-en-Bourg (Maine-et-Loire, 49).
Mais on peut s’y essayer à Françay, Herbault (Loir-et-Cher, 41)
ou à Cangey, Limeray, Pocé (Indre-et-Loire, 37)…
et les savoirs se collent aux savoir-faire.
Eh, et pourquoi pas à Oisly ?
en s’appuyant sur des cartes papier ou sur Géoportail.
voire même sur le cadastre ancien… napoléonien en ligne ainsi :
…
Oisly, un jeu historique d’hommes
spirituels de faux nés tiques…
en faux nez tique…
en 36 chandelles…
On peut s’en rappeler dans quelques lieux appropriés, en général d’assez bonnes factures, et d’assez bonne facture, en compagnie de quelques matériaux nobles, comme en l’honorable et médiévale, moderne et contemporaine, église Saint-Hippolyte d’Oisly, emplacement et mémoire de certaines nécessités chevaleresques et de vérités bien plus anciennes, que…
Jésus de Nazareth, Jésus Christ, le Messie, mais si…, le Sauveur, sauve heurs… qui selon l’Évangéliste saint Matthieu (6:24), un des Quatre Vivants, l’homme-ange, nous a indiqué qu’on ne pouvait servir deux maîtres, Mammon (traduit habituellement par l’argent, quoique… phonétiquement) et Dieu (prononcé, je crois « Y avait »… écrit parfois différemment), c’est-à-dire le Créateur dans les cultures orientales qui passent leur temps à détruire les dites créations à en croire leurs déserts tyranniques et cannibales… Alors qu’ici, logiquement, tout le monde l’est, créateur, l’Histoire de France, et surtout celle de mon patrimoine rural, en atteste.
A l’endroit ou à l’envers ?
Oisly ou à l’Y – île à haut… il a où ?
Parce ce qu’il faudra bien, un jour, en revenir…
au-dessus des dessous de Lascaux… Las se co… ? Lasse caux ?
Et qu’il faut donc, en Vérité, apprendre à lire toute sa vie durant,
et même comme cela quand on naît, qu’on est, qu’on n’est maître des colles…
et même les sillons de labours, leurs fruits, les plaids, les plaies, les plaix, etc.
Ayant donc fait l’effort d’apprendre un peu à lire, un historien sait que les mentions latines médiévales des toponymes ne sont que des tentatives de latinisation des noms de lieux, et que la prononciation actuelle est plus fiable et bien plus ancienne que ces « traductions » de l’autorité romaine des XIe-XIIe siècles (une mode de l’époque) reprises béatement, pour faire savant, par des éditeurs p(h)arisiens ou suisses d’origine germanique, généralement d’obédience bigote, protestante, voire jacobine d’inspiration barbare tortionnaire anglo-saxonne, voire pire. Certains, même, en inventent… parce que, moi-même, pour Oisly, des latinisations, je n’en ai guère trouvées, faute d’archives… et faute en revient à nos fameux et stupides révolutionnaires…
Ainsi Oisly passerait dans les supermarchés, même par chez moi, en Blésois, pour un vieux Auxiliacum ou Villa Auxilii (voir Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak : Origine des noms de villes et villages, Loir-et-Cher, Éditions Bordessoules, Saint-Jean-d’Angély : 2003, page 180), « un village développé à partir du domaine d’Auxi-lius, un riche propriétaire terrien de l’époque gallo-romaine », etc., et bla-bla-bla… sachant que cette mention latine, Auxiliacum, est une reprise (ou un vol ?) d’une mention d’un autre nom de lieu, Oisilly (Côte-d’Or, 21) apparaissant Auxiliacus, dans un texte de 630, mention ici rabotée au nominatif, et sous la forme un peu moins latinisée de Osiliacus, dans un texte daté approximativement de 1031-1033 (voir A. Dauzat et Ch. Rostaing : Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Génégaud, Paris : 1963, page 506, qui donne ce nom de la Côte-d’Or comme une piste hypothétique pour Oisly dans le Loir-et-Cher). C’est fort de « qu’a fait… » avec un « peut-être » abrégé, par économie éditoriale, en « p.-ê. », et, qui devient, comme par magie, certitude affirmée et culotée chez certains autres. Philologue ?
Le cygne allait, il fallait un jour le signaler…
Côte d’Oua, sur Mercy-le-Haut (Meurthe-et-Moselle, 54) aurait été peut-être mieux…
ou bien Mollard de l’Oua, sur la Thuile (Savoie, 73), tant qu’à faire…
Transcrit phonétiquement dans les premiers textes en ancien français, Oisly apparaît, dans le monde réel, écrit aux XIVe-XVe siècles et aux XVIIe-XVIIIe siècles : Oualy (1370), Oilli (1397), Oaly (1492), Oally (1501), Oilly, Oisly… termes à vérifier en creusant dans mon article sur mon étude-inventaire de l’église Saint-Hippolyte d’Oisly et les compléments étonnants que je viens d’y ajouter. Notons que Oisly a été orthographié Oisly, mais aussi Oesly sur le cadastre napoléonien de 1817. Une fixation ?
…
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