Singularité plurielle et pluriel singulier en toponymie (2)

Qu’est-ce qu’Est veut en ce moment ?

Eve… quoi ? La dent ?

Est FFFFffff ! Non ? Hé, elle ffff…. ? Ailes feues ?
Eaux courantes… Oh, cours, hante !

Le grec “FFFfff… aimées”, “FFFfff’… aimez”, “fais Mées”, “fées mais”, “fais mets”, “fée mets”, “fais mé-“, “fais, mais”, “fais mes…”

Ce fameux mot grec ancien φήμη, phêmê, Φήμη, la Renommée, qui donna par arborescence sémantique le terme barbare anglais famous (prononcé « fais mousse » pour en être marchand du Temple et langue de mât mont… en mère et en mer… pour « Youpi Terre ou jupes y terrent, voire Jupiter pour les idiotes… » pour les putains du porc d’hamster d’âme), porte d’après la littérature grecque antique plusieurs sens :

– la divulgation, la révélation par la parole ou par signe,

– le bruit, la rumeur,

– la réputation, l’opinion sur le caractère d’une personne,

– la tradition, la légende,

– un dicton, un proverbe,

– un message,

– une louange, un éloge,

– la gloire, la renommée,

– etc.

Il est associé au verbe phêmi, φημί (phêmi, à prononcer : fais mi), φῄς (fesse ?), φησί (fais ci ?), φάμεν (femme haine ?), φατέ (fat est ?), φασί…

– rendre visible, manifester sa pensée par la parole,

– dire son avis, affirmer, déclarer, dire, avouer, convenir de, etc.

“Fais mi” signifiant “fais à moitié”, quoique…

“Phénomène” à essayer  avec un peu de croûte
terrestre comme la Beauce !

Ou avec “l’Homme est la mesure de toute chose”,
sachant que le ch, cheu, est une introduction mérovingienne… à cause de… Clos vice !

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Singularité plurielle et pluriel singulier en toponymie (1)

Ecoutez-le… pour les cris re… l’écrire !

Prenez votre temps, votre tant, votre taon…

L’œuf vert bœuf e(s)t ternes ailes…

Le Verbe éternel !

La notion de singularité plurielle ou de pluriel singulier n’en est pas une et ne peut être commune. Cependant, quelques zones du monde réel peuvent être accessoirement comprises approximativement de la même manière par deux personnes différentes.

Avec trois personnes, les notions devraient se multiplier, mais elles se simplifient généralement et implosent pour finir par ne laisser place à rien, un désert digne de Mars, éventuellement pour que naissent d’autres notions.

A trois la vie le… A Troie, la vile, implosion ? Très pillée d’Apollon ? d’appeau long…
A quatre ? Camp de concentration beauceron quadrillé ! ou orthogonalité…
A cinq ? Curiosité pour prédateurs ! ou pour drapeaux…
A six ? Prothèses ! ou phénomène optique…
A sept ! Danger ! ou arc en ciel…
A huit ? L’infini s’ouvre ! en tournant…
A neuf ? Destruction et remplacement ? et Histoire…
A dis ce… ad hisse ! A dix, vite, est-ce ? Manucure ! et vitesse…
etc.
JC puis JO puis JC puis JO !

Une singularité plurielle et un pluriel singulier sont eux vivants, oeufs vivants, et font partie du Vivant. Le toponyme Saint-Cyr-en-Bourg, et bien d’autres, appartiennent à ce monde polysémique. Ils ne peuvent être compris instantanément dans leur entier, car ils sont infinis.

Une notion qui n’en est pas une… Saint-Cyr-en-Bourg !

Saint-Cyr-en-Bourg (49, Maine-et-Loire ; voir mes articles à son sujet et au sujet des toponymes Saint-Cyr) peut se comprendre comme faisant référence au culte de saint Cyr et sainte Julitte, bien que sur place presque personne ne sache de quoi il s’agit. Le toponyme n’est donc associé, pour la plupart, qu’à une entité administrative et un habitat, sans véritable sens, quelques repères, et l’infini de souvenirs personnels généralement visuels pour certains.

Pourtant le toponyme de Saint-Cyr-en-Bourg est une singularité plurielle et un pluriel singulier. En ne prenant que la phonétique de ce toponyme, on peut repérer un très grand éventail de sens divers, géologiques, hydrologiques, géomorphologiques, environnementaux, naturels, écologiques, paysans, préhistoriques, protohistoriques, gaulois, gallo-romains, chrétiens, mérovingiens, etc. Cet éventail est infini car il s’ouvre aussi sur les autres Saint-Cyr et sur bien d’autres toponymes locaux ou non, des milliers, des millions…

L’étude de Saint-Cyr-en-Bourg, comme toponyme, peut- être une réalité infinie.

Entendez-vous “ambe”, rivière en langue gauloise, dedans ?

Y entendez-vous “ire” qui se voit aussi notamment dans le futur du verbe aller ?

Pour commencer à comprendre Saint-Cyr-en-Bourg…

Savez-vous qu’entendre signifie comprendre ? Un seul sens ?

Saint-Cyr-en-Bourg fonctionne géographiquement avec Saumoussay, Artannes, mais aussi au regard de la faune et de la flore anciennes disparues, des civilisations successives disparues ayant profité des lieux, et même des oublis et omissions, etc.

Rappelons ici qu’au Moyen Age un “oubli” est une pâtisserie sucrée,
une sorte de consolation gourmande.
Et “omissions” ?

mûr mur mu remû… remue…

Mûr mur du plateau de Saint-Cyr-en-Bourg, combien de sens ? 20, 30 ?

Faune éthique ou phonétique ? Il n’y a pas de lézard ?

Photo Nicolas Huron

Mûres mues, re… Bon appétit !

Saint-Cyr-en-Bourg fonctionne géographiquement avec Saumoussay, Artannes-sur-Thouet, mais aussi avec bien d’autres toponymes locaux, angevins, tourangeaux poitevins, français, voire internationaux…

Les temps infinis définissent le Temps !
Les lieux infinis et le Temps définissent les Cieux et l’éternité !

En faites-vous partie ? Êtes-vous de la partie ?

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Frontières antiques : approche des Saint-Georges (Table)

Approche des toponymes Saint-Georges

pour commencer à découvrir

leur sens historique local

Table des matières : 

Liste, liens et cartes des toponymes Saint-Georges.

Article 1 : quelques caractéristiques du culte de saint Georges.

Article 2 : quelques statistiques du vocable.

Article 3 : explications en Berry.

Article 4 : explications en diocèse d’Orléans.

Article 5 : explications en Touraine.

Article 6 : explications en Anjou.

Article 7 : une nécessaire distanciation champêtre (mesures gallo-romaines).

Article 8 : une nécessaire distanciation champêtre (chasse et pâturages).

Article 9 : singularité plurielle et pluriel singulier de grande sémantique.

L’église Saint-Georges de Saint-Georges-sur-Arnon (36, Indre).

L’église Saint-Georges de Saint-Georges-sur-la-Prée (18, Cher).

– Présente table des matières à partager via son lien ou sa carte-découverte ci-dessous.

Carte-découverte-toponymes-Saint-Georges

Carte-découverte-toponymes-Saint-Georges

Grand format ci-dessus ou petit format web ci-dessous

Carte-découverte-toponymes-Saint-Georges-format-web

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Presque chaque toponyme mérite

un livret et une conférence…

Feu d’artifice de savoirs sans poudre noire !

Prenez contact pour partager

la connaissance de votre environnement
local, rural, culturel, géographique, historique,

de votre Saint-Georges.

Phare sans fard et sans fare…

 

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L’église Saint-Georges de Saint-Georges-sur-la-Prée (18)

L’église Saint-Georges de Saint-Georges-sur-la-Prée (18, Cher, ancien diocèse de Bourges) a beaucoup plus de connaissances à vous apprendre que vous ne pouvez l’imaginer…

Un trésor de révélation, de richesses et de savoir-faire…

Carte-partage-découverte !

Clic gauche sur l’image puis clic droit dans la fenêtre
et enregistrer l’image sous… et oser le partage !

Carte-partage-decouverte-Saint-Georges-sur-la-Prée

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L’église Saint-Georges de Saint-Georges-sur-la-Prée (18)

Une enquête historique et géographique,
architecturale et humaine pleine d’instructions
et pleins de cadeaux à télécharger…

Début d’une réactualisation scientifique ci-dessous
puis ancienne brochure téléchargeable.

Premières mentions écrites médiévales et une explication antique

Une mention d’un vicus Sancti Georgii avec deux chapelles et six manses, existe en 844, mais elle pose polémique, car certains identifient cette mention comme Saint-Georges-sur-la-Prée et d’autres comme Saint-Georges-sur-Moulon dont l’église, aujourd’hui disparue, dépendait aussi de l’abbaye de Vierzon. Une nouvelle analyse diplomatique serait nécessaire pour exposer cette recherche qui mériterait un article spécial. Il suffit de me le demander.

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L’église Saint-Georges de Saint-Georges-sur-Arnon (36)

L’église Saint-Georges de Saint-Georges-sur-Arnon (36, Indre, ancien diocèse de Bourges) a beaucoup plus de connaissances à vous apprendre que vous ne pouvez l’imaginer…

Un trésor de révélation, de richesses et de savoir-faire…

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Carte-decouverte-Saint-Georges-sur-Arnon

Carte-decouverte-Saint-Georges-sur-Arnon

L’église Saint-Georges de Saint-Georges-sur-Arnon  (36)

Une enquête historique et géographique,
architecturale et humaine pleine d’instructions
et pleins de cadeaux à télécharger…

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Début d’une réactualisation scientifique ci-dessous
puis ancienne brochure téléchargeable.

Première mention écrite médiévale devant une explication antique

La première mention écrite de Saint-Georges-sur-Arnon à travers la mention de son église, ecclesia Sancti Georgii,  figure dans une bulle du pape Adrien IV datant de 1154 et copiée dans le cartulaire d’Issoudun, acte pontifical étant la première mention écrite d’une bonne vingtaine de communes du secteur et acte papal sur lequel je ferai sans doute un article prochainement (il suffit de me le demander).

Tous les chemins mènent à Rome, RRRRrrr’Homme !

Cette première mention écrite est une traduction latine médiévale et l’on disait déjà Saint-Georges, voire Saint-Georges-sur-Arnon, toponyme complet mentionné sous cette forme dès 1518, voire même avant la Révolution française, en 1788 (voir dans mon étude à télécharger ci-dessous).

On associe donc le toponyme Saint-Georges au culte du Grand Martyr grec.

Peut-on aller plus loin ? Peut-on remonter à l’Antiquité romaine ?

Un fait géomorphologique étonnant

Il y a une réalité géomorphologique étonnante que j’ai découvert en étudiant le toponyme de la commune voisine de Chârost. Les deux méandres de la rivière de l’Arnon avec un peu l’amont de Chârost, ressemblent, pour qui sait à quoi cela ressemble, par leur relief à un hippocampe, hippocampus en latin (ce qui pour un Romain se comprend comme « camp du cheval »), ἱππο·κάμπιος en grec construit avec la racine κάμπτω, camptô, champto, courbe, méandre.

Vérité éternelle connu des Grecs…

Qui se ressemblent, s’assemblent !

Loi, à la mode actuellement, de l’attraction ?

Une trace de renfort de protection des grands édifices aristocratiques gallo-romains…

Saint-Georges-sur-Arnon trouve sa raison d’être antique par sa situation de renfort de cavalerie situé à 8 à 10 kilomètres de Saint-Ambroix (18, Cher, ancien diocèse de Bourges) qui était un très important site gallo-romain sur la voie romaine de la Chaussée de César.

Saint-Ambroix (mon étude sur son église) était en effet, à l’époque romaine, un vicus, site religieux et administratif, mais surtout marchand, autrefois nommé Ernodurum ou Arnodurum, toponyme mentionné sur des documents antiques, et signifiant en langue gauloise : la place, le marché de l’Arnon. Ce site comportait basilique, nécropole, sanctuaires, autels sacrificiels, villae aristocratiques importantes, etc. Nombre de stèles funéraires trouvées à Saint-Ambroix et bien d’autres découvertes sont visibles au Musée archéologique de Bourges, musée appuyé sur l’ancien rempart gallo-romain, ancien palais Jacques Coeur, redresseur de l’économie française au XVe siècle.

Saint-Georges-sur-Arnon est aussi lié à l’église, dédiée au grand légionnaire romain saint Martin, de Poisieux (18, Cher), toponyme très rare, lié à la cathédrale Sainte-Croix d’Orléans, et lié forcément à Saint-Georges-de-Poisieux (18, Cher, ancien diocèse de Bourges) situé près des ruines gallo-romaines de Drevant près de Saint-Amand-Montrond (18, Cher), et lié à Saint-Amand-Longpré (41, Loir-et-Cher, ancien diocèse de Chartres), situé près de l’église Saint-Georges de Gombergean, etc.

Poisieux ? Les sous sous les as ? Les étoiles dans les yeux ?

Ce rapport entre les grands passages du pillage racketteur romain et les grands sites gallo-romains de la dictature païenne esclavagiste de l’empire romain, est le cas de presque toutes les églises Saint-Georges en Région Centre.

Cette curiosité historique est confirmée par ma grande étude sur les toponymes Saint-Georges de la Région Centre dont vous pouvez lire les extraits copieux dans les articles précédents.

On peut étendre l’étude à la France entière… mais à Saint-Georges-sur-Arnon, en plus, symboliquement, saint Georges terrasse le dragon, le serpent, les méandres de l’Arnon, assez rares sur le cours de cette rivière et les derniers avant Vierzon. Dans les méandres se cumulent quelques pourritures et empestations un peu hallucinatoires. Saint-Georges-sur-Arnon semble être destiné à en maîtriser les mouvements et Folies (cumul de feuilles produisant des gaz… situé dans des dépressions du relief, souvent dans des vallées), après Chârost, Saugy, Saint-Ambroix…, qui devaient être sans doute piquées et à torcher parfois.

Voir mes cartes avec mon article d’inventaire : les cartes, la liste et les liens…
Cartes téléchargeables et liens à construire avec vous…

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