Une lecture architecturale langagière, géographique, géométrique… : Histoire de Françay, chœur roman (3 sur 3)

Découverte apocalyptique…

En langage informe-à-tiques anglo-saxon allemand barbare américain,

Françay s’écrit francay… c’est dys-crime-mine-à-tout-art, voire raciste ! Trace…

Pour preuve cet article se référence ainsi :  https://patrimoine-rural.com/une-lecture-architecturale-langagiere-geographique-geometrique-histoire-de-francay-choeur-roman-3-sur-3/

ou pire : Une lecture architecturale langagière, géographique, géométrique… : Histoire de Françay, chœur roman (3 sur 3)

Donc, allons-y en bon FRANCAY, halle à bonne FRANQUETTE !

Et pour les idéaux grammes chinois ? Salle pète re… ? Tesson de poterie,

QRcode des années 90 ? des années Jean Germain et des prises Jack ? Pré-histoires…

IMG_6919 - Copie

Nuit et jour, lit yeux, lie eux… la petite mort, le sommeil, qui trône au-dessus de la mort

Le sommeil est réparateur, il se montre ici au-dessus de l’ancien cimetière…

et le matin, apocalypse des draps, de la couverture !

Et pour l’Homme, dû toit, du toi !

Est-ce une même personne ?

Est-ce un couple ?

Deux moitiés ?

Lieu ?

Rrr… euh lis lit lie…

Avec les pieds, les pillés, vers la Lune et l’Équateur

pour en attirer quelques minéraux… graves…

et les évacuer par corps, par cors…

ainsi comme c’est sculpté…

Photo Nicolas Huron

Remarque préliminaire…

Selon la définition du Grand Bailly, dictionnaire grec-français, le grec étant une des langues couramment parlées dans le bassin méditerranéen, même sous occupation romaine, au Ier siècle, pendant et après Jésus Christ, le terme apocalypse, ἀποκάλυψις, εως (ἡ) [κᾰ] désigne : 1 action de découvrir, PHILOD. De sup. 23 ; 2 figurativement révélation, PLUT. M. 70 f ; particulièrement révélation divine, NT. 2Cor. 12, 1, etc. ; d’où l’Apocalypse, titre de divers ouvrages parmi les Livres saints, CLÉM. 1, 525 ; 2, 338, etc.

Ainsi, découverte apocalyptique signifie “découverte (nom commun) découverte (adjectif)” et vice et vers ça. Mais cela fait plus sens as…

J’aurais pu la garder par devers moi…

Je n’étais pas obligé d’y travailler.

Ce mot provient du verbe ἀπο·καλύπτω (apo-calouptô, apo-caluptô) : 1 découvrir (la tête, la poitrine, etc.) ; dévoiler ou démasquer quelqu’un, c’est-à-dire le forcer à parler, ou le faire connaître dans tout son jour ; 2 figurativement révéler. Comme verbe transitif : se découvrir, se découvrir la tête ; et comme verbe intransitif : 1 se dévoiler, c’est-à-dire montrer ses dispositions ou son caractère au grand jour ; 2 agir ouvertement en vue de quelque chose, c’est-à-dire se préparer ou aspirer ouvertement à quelque chose…

et a dans sa famille :

– ἀποκάλυφος (apocaloufausse ou apocalufosse) : découvert.

– ἀπο·κάλυμμα, ατος (apocaloumma ou apocalumma) : révélation.

– ἀποκαλυπτικός, ή, όν (apocaloutiqu’os ou apocalutiqu’os) qui révèle, qui découvre.

Le sens du préfixe et de la racine,  ἀπό, apo, signifie : au loin, à l’écart ; en venant de… ; à partir de…, à la suite de… ; hors de…, en séparant de…, en éloignant de…

Ainsi, le terme ἀπό, apo, marque la séparation, l’éloignement, donc aussi le changement, l’achèvement, le retour, la privation ou la négation.

Qui a déjà eu l’idée d’ouvrir et de consulter longuement le sens des mots à travers un dictionnaire ? Équipez-vous donc !

La partie “calypse” a une origine pré-grecque et provient du verbe :

καλύπτω (calouptô ou caluptô) (f. -ύψω, ao. ἐκάλυψα, pf. inus. ; pass. ao. ἐκαλύφθην, pf. κεκάλυμμαι) et signifie : 1 couvrir, envelopper, cacher ; couvrir une chose d’une autre, cacher une chose sous une autre ; envelopper quelqu’un ; 2 étendre pour couvrir ; s’envelopper, se couvrir…

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Le Christ du Jugement Dernier (XVIIe siècle) découvert sous les plâtres en 1990,

dont le blanc de plomb mélangé à du minium s’est oxydé en noir.

On y voit son manteau rouge de la puissance romaine.

Église Notre-Dame de Françay (Loir-et-Cher ; 41)

C’est un charpentier, de toits, de toi, et notablement de marine romaine.

Photo Nicolas Huron

D’autres mots existent dans cette famille, par exemples :

καλυπτός (calouptos ou caluptos) : 1 couvert ; 2 qui recouvre.

καλύπτρα (caloupta ou calupta): 1 couvercle de carquois ; 2 voile, coiffe de femme.

Καλυψώ, Kalypsô (Calypso ; υ se prononçant u ou ou) : 1 fille d’Atlas ; 2 Océanide.

Il y a plein d’autres mots intéressants, parmi des centaines, commençant par “apo” :

ἀπο·καθαίρω (apo-cathairô) : nettoyer ; rendre pur, affiner (un métal) ; rejeter comme impur…

ἀπο·καθίστημι n(apo-cathistémie) : remettre en l’état antérieur, rétablir ; restituer, rendre ; se rétablir, se calmer, se reposer, cesser…

Dans mon propre dictionnaire papier Grand Bailly, les mots commençant par ἀπο, apo remplissent les pages 217 à 253. Tout le monde peut constater que les mots retenus par la culture esclavagiste romaine sont peu nombreux dans un dictionnaire français actuel. Dans le dictionnaire latin-français Félix Gaffiot, ces mots ne prennent que deux pages. Une étude de parti pris serait à faire…

Cachots ou cachotteries ? Enfantillages ou crimes ?

« Les deux mon capitaine… »

Laide…

Révélations découvertes sur

les modillons de l’église de Françay

La corniche du chevet de l’église Notre-Dame de Françay (Loir-et-Cher ; 41) est soutenue et décorée par 12 modillons sculptés, aussi appelés “corbelets”, typique de l’art roman du milieu du XIIe siècle. Ils se répartissent en trois séries de quatre sculptures entre deux contreforts plats de même style.

Ces modillons ne sont pas de simples décorations romanes ou romanesques. Ils documentent sur le milieu du XIIe siècle et sont très curieusement orientés vers ce qu’ils illustrent. On peut les considérer comme une table d’orientation, un panorama politique, de la première moitié du XIIe siècle et nous offre à découvrir une actualité vraiment brûlante.

Orientation géographique du XIIe siècle, non déboussolée par la radio activité

Ces sculptures représentent donc une orientation géographique volontaire sur le monument lui-même par rapport à l’environnement local, voire national, voire international. C’est une œuvre de sédentaire connaissant le pays et sa langue comme étant de son sang, avec un sens de l’orientation certain, ou une science géographique absolue, voire une perception presque sans limite spirituelle et temporelle.

On donne sa langue au chas ? On mouille le fil à coudre ?

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Une lecture architecturale langagière, géographique, géométrique… : Histoire de Françay, chœur roman (2 sur 3)

Coaching spirituel !

Des dictionnaires pour comprendre les mots et les maux

Le chevet authentiquement roman, datant des environs de 1155, de l’église Notre-Dame de Françay (Loir-et-Cher ; 41 ; voir mon étude à son sujet), comme beaucoup de chœurs romans, peut servir à se construire ou à se reconstruire des savoirs gréco-romains et médiévaux catholiques, c’est-à-dire des savoirs universels selon la définition stricte d’un dictionnaire étymologique.

Catholique, c(h)at au lie qu’hausse ? καθολικός ou bien καθολικῶς ?

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Chevet de l’église Notre-Dame de Françay, décrivant son univers historique et le nôtre

notre univers géographique, gravitationnel…, et notre condition humaine.

Il est universel, c’est-à-dire catholique, partie de notre Univers.

Il est évidemment religieux, objet de religion,

c’est-à-dire “à relire, à observer attentivement…”

Il est support pour l’œuvre d’un charpentier… son saveur, Notre Saveur…

Photo Nicolas Huron

On peut, à l’observer et à le ré-observer, à le lire et à le relire attentivement (ce qui est la véritable définition du mot “religion” selon les dictionnaires étymologiques, tout autre interprétation ou définition étant quelque peu superstition païenne ou hérétique, voire usurpation), plonger dans l’infini savoir des procédés langagiers, littéraires, géométriques, mathématiques, et il peut même parfaire notre connaissance du monde, nos compétences spatiales, architecturales, géographiques et donc évidemment historiques.

Croix et Chair du Charpentier

et croix de charpentier

ou T à dessein

où t’es à dessins…

voire à des “saints” orthographiques

Nous allons passer en revue ici quelques-unes de ses compétences démonstratives… transmises par les moines de l’abbaye de Bourg-Moyen de Blois, patrons de cette paroisse en 1155 et ses bâtisseurs.

L’enquête est déjà commencée, poursuivez-la !

Nous avons déjà vu dans les articles précédents que ses sculptures racontaient bien plus qu’on ne pouvait l’imaginer et transmettaient une tradition populaire locale depuis le milieu du XIIe siècle, tradition que j’ai reçue. Ces modillons, ou corbelets, nous parlent d’orientations, de géographie, d’histoire, et sont des jeux de mots pour “illettrés”, mais ils parlent également de morale et de bonne santé en en donnant les recettes les plus efficaces. Il faut être un peu médiéviste pour en apprécier une part du génie.

Chair chais l'air heure et l'erreur

Modillons du chevet de l’église Notre-Dame de Françay (Loir-et-Cher ; 41).

Chair chais l’air heure et l’erreur… à dent…

Photo Nicolas Huron

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Une lecture architecturale langagière, géographique, géométrique… : Histoire de Françay, chœur roman (1 sur 3)

A partir d’un élément du patrimoine français, ici par exemple le chevet de l’église Notre-Dame de Françay (Loir-et-Cher ; 41), on peut accéder à un infini savoir et évidemment, par la suite, avec la pratique, à un savoir-faire certain. Mais, est-ce génétique ?

Mon quotient intellectuel a été calculé à 146. Tout homme un peu instruit sait que plus un homme en sait, plus des questions s’ouvrent à lui, voire même de façon infinie. L’Histoire est cela : un infini questionnement qui conduit à l’appréciation réelle de ses propres ignorances et donc de sa propre marge de tolérance. Celle de l’historien est normalement totale. L’historien révise toujours son ouvrage sur le métier, et le paysan de Beauce, sur le marbre. Il surfe sur un trou noir par son labeur, voire son labour, ses dépouillements…

Un spectacle total, accédant à d’infinis contemplatifs plus que complexes.

Ainsi, si vous réussissez à lire cet article jusqu’au bout, vous verrez que cela ne sera pas vrai, car cet article ouvrira tant de portes, lèvera tant de lièvres, vous fera plonger dans tant de gouffres de connaissances, que vous ne pourrez jamais en mesurer les conséquences, ni les concevoir tous.

Êtes-vous prêt à renoncer à l’absence d’intelligence ?

Êtes-vous prêt à faire péter le bouchon ?

Êtes-vous prêt à Françay ?

F… R… An… S… Est ?

Feu rend ses… ?

Franc c’est !

Un descriptif technique, voire plus…

L’art roman peut subir un descriptif technique, voire une reconstitution imaginée. C’est ce que je fais habituellement dans mes études et recherches à titre d’inventaire.

Voir par exemple mon étude de l’église Notre-Dame de Françay (Loir-et-Cher ; 41).

Par exemple, le chevet roman, très bien préservé et restauré, de l’église Notre-Dame de Françay (Loir-et-Cher ; 41), avait avant le XVIe siècle, une toiture en tuiles et non en ardoises et le pignon du chœur était sans doute un peu plus abaissé avec des pièces de charpente plus grosses, avec un pourtour sur sablière sans doute plus débordant qu’aujourd’hui. La baie centrale maçonnée ouverte pendant sa construction vers 1155, fut murée pendant la Contre-Réforme au XVIIe ou au XVIIIe siècle lors de l’installation du retable du maître-autel (voir toutes les photos et le détail dans mon étude). Les terres alentours, ancien cimetière, et l’assise des dépendances de l’ancien logis attenant du prieur-curé, étaient quelque peu plus élevées. La sacristie et les chapelles latérales n’existaient pas, mais des autels existaient, à l’intérieur, de part et d’autre de l’entrée du chœur. Un bâtiment, sans doute à charpente en bois, logis du prieur-curé, existait sans doute au nord (à droite sur la photo) accolé au chœur, et le clocher, qui n’était peut-être pas à cet emplacement, devait être couvert de bardeaux de coloration argentée.

Voyez par vous-même… ou imaginez…

Chevet de l’église Notre-Dame de Françay (41)

Chevet de l’église Notre-Dame de Françay (41)

Le chevet de l’église Notre-Dame de Françay en 2015, ses chapelles latérales, la sacristie…

Photos Nicolas Huron

et le plan général avec ses datations, page 132 de mon étude.

Plan de l’église Notre-Dame de Françay (41)

Plan de l’église Notre-Dame de Françay (41)

Plan de l’église Notre-Dame de Françay pour une compréhension spatio-temporelle.

Plan Nicolas Huron

A l’intérieur, les piliers d’entrée du chœur, portant l’arc triomphal supportant la voûte du chevet, ont été prévus pour supporter le voûtement en pierre de l’avant-chœur ou de la nef, ou un clocher de pierres. Prévoyance ou politesse envers les futurs usagers ?

Une approche stimulante différente… en culture.

La consommation de la lecture de cette explication peut tourner à la “qu’on somme à Sion”, voire à la “con sum assis, on…”, etc., mais il y a une base gréco-romaine, voire plus ancienne encore dans tout ce las qu’il serait spirituellement dommage de négliger.

Ainsi, un édifice tel que celui-ci, sacré et préservé, peut servir de jeu de piste, de jeu de démarrage, pour un apprentissage personnel, de prise de connaissance du monde réel, pour éviter l’étouffement, la moisissure, grâce à ce “rejetons” présent de souche ancienne catholique, selon son sens étymologique, et historiquement chrétienne et gréco-judéo-romaino-franque, etc., et plus si… R’œufs…

Une sorte de lieu spécial, de tale (grosse racine qui tient le pied d’un arbre), voir pour y illustrer en soi le théorème de Thalès. Tale est-ce ? Si, re… lis ! Et vois son trapèze dans ses quatre piliers ou dans l’ébrasement de ses trois ouvertures, surnommées baies… fruits des haies. Des Haï(e)s ?

o o oOo oo Ω ω eau oh ooo ο-

Les Haies de Château-Renault à Françay (41) en frontières antiques ?

Les Haies du Roy de Santenay et d’Herbault, autrefois Jussay ?

MMMmm’ange !

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Une lecture architecturale plus spatio-temporelle : les orientations orientales… Françay, Herbault, Blois, etc.

L’église Notre-Dame de Françay, 50° un hasard ?

L’orientation des modillons sculptés du chœur de l’église de Françay (Loir-et-Cher ; 41) nous démontre qu’elle n’a en rien été faite au hasard (voir articles précédents et articles suivants).

Géoportail, un bon plan ou une bonne carte, nous montrent que l’orientation orientale du chœur de l’église Notre-Dame de Françay (Loir-et-Cher ; 41) est de 50° nord-est.

Voir mon étude de présentation et d’inventaire à son sujet

ou bien cette photo satellite qui nous a été crachée sur le crâne via voie Hertzienne :

Orientation-Notre-Dame-de-Françay(41)

Orientation de l’église Notre-Dame de Françay (41)

Géoportail, service public jusqu’à preuve du contraire…

Ce chœur, dont l’abside a été reconstruite au début de la seconde moitié du XIIe siècle (voir les articles précédents) et qui date au moins de la fin du XIe siècle, n’est donc pas dirigé vers Jérusalem, mais plutôt vers Orléans et le fragment de la Vraie Croix offert à cette ville par l’empereur Constantin (310-337), par saint Euverte, fragment de la Sainte-Croix qui donna son nom à sa cathédrale.

Ou plutôt vers le coq de son clocher… mais cela dépend de Sens et du sens

du globe de l’empereur chrétien catholique romain…

Cette orientation pointe surtout vers Reims et saint Rémi qui baptisa le premier roi des Francs chrétien catholique romain, Clovis, qui était de religion romaine et n’avait plus rien de germain depuis la fin du IIIe siècle (voir mon article sur l’origine du nom Françay), quoique…

Mur nord de l'église Notre-Dame de Françay (41)

Mur nord de l’église Notre-Dame de Françay (41)

La règle du nouveau chevet du XIIe siècle, débordant sur celui du XIe siècle : 50° N-E.

Eglise Notre-Dame de Françay (Loir-et-Cher ; 41)

Photo Nicolas Huron

On sait qu’il y avait probablement une église en bois avant les reconstructions en pierre du XIe siècle. Cette orientation serait-elle un indice de datation ? Fin du IVe siècle, Ve siècle ?

Cette orientation suit à peu près la vallée de la Loire et la centuriation romaine (voir mon article à ce sujet) datant du Ier siècle. Parcellaire et rendements agricoles obligent ?

De Notre-Dame de Françay, Sens le siège métropolitain de la province romaine, est à 68°.

Nous sommes en droit de nous poser quelques questions d’ordre patrimonial.

Mais, mémé mets mes mets, il n’y a pas de hasard… Françay !

Y en a-t-il d’autres ? Si on a le temps… Pourquoi pas ?

Troyes, c’est 70°… La Cabale cavale ?

C’est clair ? C’EST clair s’éclaire…

Religion, signifie étymologiquement : relire scrupuleusement…

Bâle, Besançon, Jules César en Gaule face aux yeux clairs germains, Gien, c’est 87°.

Tours-Françay-Orléans-Reims-150px

Tours-Françay-Orléans-Reims

L’orientation orientale de l’église Notre-Dame de Françay (Loir-et-Cher ; 41) : 50°

et celle de l’abbaye Notre-Dame de Bourgmoyen de Blois (disparue), environ 60°.

Carte Nicolas Huron

Tous à vos angles… laids ?

Sus aux Angles !

Rapporteur d'angles

Rapporteur d’angles

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Exemple de confirmation de datation stylistique : Françay (41)

Antécédence mines et râles… Hante et ses danses minérales…

Cinquième modillon en partant de la droite - église Notre-Dame de Françay

Cinquième modillon en partant de la droite – église Notre-Dame de Françay

L’Adam n’est pas cassé… mais ce culte est… C’est la dalle et le travail obligatoire ?

La dent n’est pas taillée… mais sculptée. C’est une pi aire et un ouvrage dard…

Travail signifiait au Moyen Age : torture, douleur, etc.

Péché originel ? K rit ? “Ca”, c’est la pierre…

Juda lisse car y ôte ? Juda lys carie hotte ?

en toponymie local rural, comme chas !

Voyez caries dans le dis qu’haut…

Carie a t’i de…, cariatiDes ?

La quatrième des dés D ?

4ème apôtre « Pierre » ?

Carie a-t-iL (12 ?)

Os laids !

DICO !

J. C. – J. C.

Irons d’ailes et hirondelles…

Photo Nicolas Huron

Essayer de dater un monument ou plutôt généralement une partie d’un monument historique ou non, peut être une recherche peut-être de vérité peut-être assez longue à réaliser.

Mais mémé mets mes mets…

Vérifier une datation par l’extraordinaire ou la Providence…

Ainsi, la tradition populaire des 7 péchés capitaux des modillons du chevet de l’église Notre-Dame de Françay (Loir-et-Cher ; 41), transmis par ma mère Marie-Claude Huron, née Depussay, et par sa mère, ma grand-mère Yvonne Depussay, née Gravereau, confirme leur datation du troisième quart du XIIe siècle, vers 1155. Cette confirmation est réalisée par l’invention franco-italienne, faite à Paris, de ces 7 péchés capitaux vers 1155, par Pierre Lombard (voir mon article précédent).

Cela paraît incroyable, mais est véritable. Pourquoi ?

Parce que ma grand-mère n’en savait rien,

mais l’a transmise comme quelque chose d’important à transmettre…

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