Chârost (18) toponyme mythologique d’une longue Histoire de liens et d’attaches

A illustrer brillamment comme vous voulez… cet article fleuve… et rivières.

Mère cure, Bourbon, Dis Pater,

Jupiter, Arès, Apollon, Charon,

Héphaïstos, Vénus…

pour comprendre cet article, il faut avoir la culture des anciens… articles.

Donc remontez un peu le cours de cette découverte apocalyptique de Chârost.

Liste mythologique : convergence, sédiments, lie, marc…

Outre l’évocation des animaux-totem-dieux comme le mammouth, sa trompe et son gros son, crottin s’il en naît, le poisson, α, halle fa… à défaut de baleine, le coquillage ouvert avec sa chair offerte sur sa nacre blanche, ώ, la tortue et ses écailles en forme de feuilles (La Folie, feuille, carapace, écaille, φολίς…), l’agneau à sauver, à castrer ou à égorger, le porc domestique, sanglier, sang lié, où sangle y est, copain comme cochon (Les Soudis, συώδης, évoque la gloutonnerie du porc, le sanglier sacré aux yeux des Gaulois, le fouissement, les Enfers… les non-dits… mais aussi, la force, l’entêtement, la cocasserie, la spiritualité, la gadoue, la pudeur et la modestie), le chien à Troie tète, lui, la proie et le chasseur, meilleur ami de l’Homme, le cheval, plus belle conquête de l’Homme qu’on quête, etc., outre les éléments essentiels, le ciel, le Soleil, la lumière, le roc, la terre, le feu, le sang (Milandre, et son vermeil), le lait, l’eau, etc., outre les plantes utiles ou dangereuses à l’Homme, comme le lin avec ces fleurs bleues à cinq pétales (pour voir le rapport avec la Vie, l’urgence, la gravité et sa torsion, il suffit de demander : contact !), outre les notions de cultures, d’agriculture (les Beauces, terres très anciennes), de terres, d’argile, de sables, de pots, de peaux, de faire, de fer, de protection, de sommeil et d’éveil, de passages, de chas, de gué, de pont, de traversée, de courroies, d’essieux, de chars, de roue (notamment celle des réincarnations dans les croyances gauloises, ici perçue à partir d’Issoudun, ou des anciens finages protohistoriques plus ou moins patatoïdes), de faulx, avec les notions de morts, de dés, de hasards et de destins, etc., présents dans le nom de Chârost ou dans des toponymes voisins, nous y trouvons cristallisée la culture des dieux païens et du sacré des anciens…

Une bonne paire de lunettes ? G’astronomique ?

Ainsi le méandre de Chârost, que tout le monde prend pour un carrefour, ou une concession à chars, est une sorte de convergence, de sédimentations, de lie, de marc de raison. Il semble s’y être cumulé à travers l’Histoire, et à travers toute la très longue Préhistoire que le nom même de Chârost fait entrer par l’écrit et les cris (de joie ?) ou les onomatopées dans l’Histoire, une quantité invraisemblable de dieux romains, gaulois, voire plus anciens encore, et des concepts cultuels chrétiens orientaux, déjà présents sur place avec un sens différent, comme Saint-Georges, le Grand Martyr anatolien, Saint-Michel, Archange (à prononcer “arc en jeu” en pensant à l’ancien dieu Apollon, à la révolution terrestre et à sa balistique observable avec ce casque, ou un crâne, voire un crâne d’œuf, tel un geai, un poisson, une tortue, une couleuvre, une grenouille, une grue…), dont les noms, aujourd’hui chrétiens catholiques romains, ont sans doute précédé ces cultes historiquement récents, nécessaires relais et sauvegarde de ce grand Tout, de ce grand fourre-tout, de ces Mondes, celtes, romains, germains, etc., et de l’Univers, c’est-à-dire, selon la définition du dictionnaire (le dictionnaire latin-français Félix Gaffiot, par exemple) : la catholicité (de katholikos, καθολικός, καθολικῶς, en grec à relire dans le dictionnaire Le Grand Bailly) généralité organisée autour de la religion, qui signifie seulement étymologiquement : relire, observer avec attention, revoir…

sans doute pour apprendre ce qui Est !

Sang doute ?

Y avait ?

La rue du Bourbonnais, au Grand Faubourg, évoque une rigole aboutissant à la source chaude, sacrée, de la Fontaine Rougeline, source qui l’hiver a toujours été probablement moins gelée, sans doute un peu ferrugineuse ou argileuse, rouge, par rapport au terroir, une fonte-haine, plus pure et moins souillée, que les eaux stagnantes de ces marais de ces méandres de l’Arnon. La souillure des lavandières, puis le captage de ses eaux, ne permettent plus d’en voir les vertus ni l’aspect. La responsabilité de Chârost, le casque du guerrier, son équipement, sa brillance, son éclat, sa saine transparence, sont là, dans ses coquillages d’eaux douces, voire dans ses alevins, ses têtards, etc., ces muses, ou bien dans ses écrevisses, voire ses mouches domestiques, ses taons, ses guêpes, ses grosses mouches bleues à viande, etc., en cas de présence de bestiaux à cet abreuvoir qui, par son attrait, pouvait attirer trop de troupeaux, voire des nomades anthropophages africains ou des barbares invasifs tortionnaires orientaux, point d’eau saine, ceinte, sainte, qui pouvait, par bousculade, noyer ces bestiaux, ou tuer ces nomades et par(T)-à-sites déracinés par leurs faits guerriers, et ainsi polluer tout l’aval par leurs charognes, dans cette descente aux eaux ferrugineuses, sableuses et argileuses, cette résurgence des Enfers, au bout de ce dé-mont, démon par facilité. Dans Bourbonnais est évoqué, Bourbon, Boruo, Borveau, Bourboule, etc., partout présent en France, dieu gaulois des sources chaudes et des Enfers, des âmes perdues… mais aussi surnom du bourreau et du bourot, le petit canard… en ce “coin, coin, coin”… Plus que de la superstition, il s’agit d’un post-it, pour un compte pour adultes, pour un comte, ou un duc, voire un aqueduc, par noblesse, ou bien d’un conte pour enfant en attendant qu’il prenne ses responsabilités à ce propos autrement que par usurpation, vol, appropriation, via quelques accusations typiques des sectes orientales des prédateurs esclavagistes empoisonneurs de puits et de sources, car l’enfant, la première source chaude qu’il a pu rencontrer fut celle de la bouche, du sein ou des effluves de sa mère, en attendant de pouvoir éventuellement survivre (une fois sur deux, généralité, καθολικῶς, des statistiques démographiques, science annexe de l’Histoire), et, en apprenant la patience, passé 12 ans, en espérant pouvoir éventuellement comprendre et recevoir la parole salvatrice du Père, et de ses buées, de ses suées et autres vapeurs d’eau de ses trop rares paroles entre deux taches sur ces “Joues”, ces Jo-Jo, ces sommets agricoles, sa cime cognitive et pluri-sémantique de singularité plurielle et de pluriel singulier.

C’est pas jojo… pourtant ce fut, paraît-il, un nymphée romain…

Le Grand Faubourg, évoquant par son cuir, éventuellement ses veaux (la rue Brivault, en ville… serait-elle aussi faune-éthique ?), ses bœufs, ses taureaux, le grand auroch, hors roc, et les faulx de ses cornes, évoquant aussi ses agneaux, ses moutons, ses oui-oui (oui signifie en gaulois « mouton »), etc., ses castrés, ses châtrés, ses châteaux pour chattes hautaines, ses forts, etc., accessoires au dieu de la guerre, Arès, le blond aux yeux clairs, évoqué dans le nom même de Chârost, sa charronnerie nécessaire, son équipement huilé, sa cuirasse bronzée brillante et rutilante, ses cuirs, son casque et son “Casque !”, ses traits, sa lance, son bouclier et ses jolies boucles… de toison d’or, son demi-sommeil et ses lunes…

Il est très chair… trait très cher… chez re…

La course du Soleil, avec ses rayons, ses “Rayons !”, le char d’Apollon, char de guère et de gai air et char de vie ou de nuit, qui tourne et nous fait tourner, tel une toupie, rouge à son lever comme à son couchant, ligne rousse, fil rouge, à l’ouest comme à l’est, blessure, déchirure de la nuit, Soleil souvent masqué ici de Seine et de Tamise (ta mise t’amuse ?), de scènes et de saines vapeurs blanches ou grises, jusqu’à son brillant blanc étincelant au zénith, ici toujours en biais, que nul ne peut soutenir du regard sans en devenir aveugle, dieu à la flèche pestilentielle ou aux vertus guérisseuses, qui terrifie par la responsabilité rappelée et portée en ces lieux, en ce toponyme de Chârost, vis à vis de la suite du cours de l’eau, de la vie et du temps que seul une paternité sédentaire, non matriarcale, ni sodomite, non cadavérique ou lépreuse, non vengeresse, non trahi, non sarcastique, etc., peut prendre en charge, dans toutes ses éventuelles effluves et cornes infernales, nécrosées de la mort et de l’âme hors, voire de l’âme or, ou à contrario, magnifiquement printanières et abondantes de joie et de vie, d’agréables senteurs florales et de parfums fruités.

Rien de nouveaux sous le Soleil ? A l’équateur…

dont vous subissez tous l’heure…

Un choix démoniaque ?

Héphaïstos, le dieu forgeron, y est évoqué, rouge jusqu’au blanc aveuglant, voire à la fusion, à la fin du monde, la d’Effe finition, chhh… à rôtir à la vapeur, à l’occident, à l’oxydant, O2, à la trempe, à Roussy, ρυσις, délivrance, à l’arrache, fin de travail et livraison, lieu-dit de pointe de serpe druidique ou de moissonneur (regarder la carte, par exemple sur Géoportail, c’est au menu), d’un méandre qui mets mets andr… (miam, mi-âme…), Fe+ et sa colle, voire sa “colle air” rouille en automne, voire Lune rousse, dragon rouge, voire même l’épée de Saint-Michel, le Jugement et la Colère de Dieu, qui à Chârost se visite en extérieur comme en intérieur… Et après tu penses à Poncet et à poncer, puis à l’agneau évoqué dans la gorge de l’Arnon, tenu nécessairement par saint Georges à Saint-Georges… cet ancien lien d’agriculteur inscrit dans son nom.

Roussy

Quel galbe, quelle belle courbe, quelle belle blancheur karstique, quelle finition…

Quelle humidité, quel joli bain, quel bassin…

– Euh… J’y vais nue ce… ?

– OK ! On veille…

vieille…

Vénus, son épouse, Charis, Χάρις, Kháris, l’évocation de sa maison de nacre lustrée et brillante sous ses couverts blanchâtres de coquille de bénitier ou autre coque de carbonate de calcium, et tous les désirs du monde et avec toute la jalousie qui va avec, et qui pourtant vous couvrira de cadeaux, mais aussi donc, hélas, Eve, Eva (à prononcer “Hè wouah !”), l’orientale, la raie publique, les eaux de la mère rouge, l’anthropophage, la sodomite, la castratrice, la phrygienne, qui, elle, elle veut, è’veut… toujours ce qu’elle offre aux visiteurs du soir, au premier venu, au Prince, des ténèbres, des cachoteries et des mensonges, au Diable, à la Dent, l’Adam, là-d’dans, ce qu’elle pourrait avoir de meilleure, sans doute de par son Père, son Dieu, sans doute de par son père local (où ?), le fondateur des lieux qu’elle tua et insulta (exemples récents : saint Eusice à Selles-sur-Cher, saint Phalier à Chabris, César à Tours, Aurélien à Orléans, etc.), père de l’aménagement par lequel elle survécut (pourquoi faire ? et surtout où ?), son sain, son ceint, son saint, son sein, son dieu… avec son araignée au plafond, cela fait bien dix yeux… ou “dis euh”… Car elle ne sait pas, ou refuse de l’admettre, que l’Homme est la mesure de toute chose, et que selon Blaise Pascal, dans ses Pensées pour partie véridiques : « Le nez de Cléopâtre, s’il eût été plus court, toute la face de la terre aurait changé. » Quand à celui de Marie, France, l’Ange, votre responsabilité est dans la balance…

C’est là que le bas blesse… que le bât blesse… que le Bab… laisse…

A la queue le Leu…, quand on en voit la queue…

pour les muses des arts.

Charon, le nocher des Enfers… réclamant, pour cette traversée-là, là, sa pièce, sa pi, Π, π, ϖ, est-ce ? Son pi pis, est-ce à la rue du Gué Saint-Michel… jusqu’à Carroir du Gué, le “car hoirs” (héritiers) du gai, la Terre, jusqu’à la Grange… ? Avec, sans doute, autrefois, ses colombes, gourmandes de grains, en vols blancs, vues de Saint-Michel, ensemble… en sang bleu.

Quel nombre ? Troie ?

Quatorze ? Pi en cor !

Gué Saint-Michel

Quel culot ! Quel cul l’eau…

A bien chercher, on y trouverait des yeux sous ses jupes, et, on y trouve le Jupiter romain, au moins à Bourges, l’autorité, comme Zeus, surnommé Di, par les Gallo-Romains, sans doute aux Soudis, le bout des anciens manches des serpes (aujourd’hui à la Grange par amélioration du tranchant de la faucille et de leur productivité) et sans doute à propos du nerf de la guère… et des mensonges, voire du coup de pommeau et de pomme Ω, ω ! Alors là, à Chârost, et en face, à quand le jus pi Terre… raisin de raison ?

A bien chercher on y trouverait sans doute le Mercure, du Massif Central,

voire du mercure de leurs chercheurs d’or…

Guère y est, guerrier… d’hors…

D’or, Dors !

Chas

O

Rrrr’eaux

Gués, riez ! Thoiry, Roussy…

Car on peut bien en trouver d’autres… tel Hadès

dans ce cul de sac, ce cloître, cet enclos humide, cette vile fortifiée…

Est-ce au-delà des Colonnes d’Hercule, une histoire d’Atlantide, de faille atlantique ?

L’appui de l’effet papillon des Andes ? des Andes en Jouent… en joues…

Mais comment ce bord d’ailes

en est-il arrivé là ?

Le sac “œufs” raie le sacré problème jusqu’aux problèmes sacrés…

Les problèmes de l’empoisonnement de l’eau ne dattent pas d’hier. Lutter contre ces empoisonnements, naturels ou malveillants (on connaît génétiquement les coupables… non ?) est normalement et logiquement une constante humaine, pour l’Homme comme pour les animaux domestiques, comme pour les animaux sauvages. Seul l’Homme a cette puissance et cette responsabilité possible à sa portée. Il peut être bon à ce propos ou malveillant, démoniaque, malfaisant, diabolique, merdeux, voire pire, du côté du sexe faible, ou pire derrière. Tout dépend de sa sédentarité domestique et servile ou non.

L’œuf sacré entre ainsi en jeu.

Euh… eux ?

Le sacré entre ainsi en jeu, à commencer par celui de la Paternité et de son successeur, le jeune homme, le jeune garçon, l’enfant mâle, le fils… et la transmission par le sang de l’esprit du lieu, par les gènes, la grossesse et la mamelle évoquées à Chârost : techniquement, absolument, scientifiquement, temporellement et spirituellement, le Père, le Fils et l’Esprit Saint, sain, ceint, etc. C’est dentaire à propos de Vénus et de son coquillage…

Per en toponymie, c’est la pierre…

Certains la font.

CaCO3

Il y a fort fort longtemps, le père dit Père (« dis père ! … », Dis Pater selon CAESAR), au fond des âges, est ainsi devenu Père fondateur, créateur, puis Pairs, et avant paires, surtout chez les cultures esclavagistes nomades des grands fleuves orientaux qui furent parfois autrefois sédentaires : l’Egypte ancienne, la Mésopotamie, les civilisations danubiennes, grecques, l’Indus, l’Indus, la Chine, notamment récemment avec la déification de l’allemand, barbare germain s’il en est, fils de rabbin, Karl Marx ou et de son disciple Mao avec ses rombières cannibales sur son mât haut, la très sainte Russie de toutes les Russies, tout récemment avec la déification puérile et handicapante du satrape “petit père du peuple” turc, le Staline (à prononcer « cheux tas l’inn », « cheue tas ligne », un peu comme stalag), l’Albanie et sa capitale, le Grand Orient de NY ou du Mississippi avec tous ces ss et ses pp socialistes du kkk,  avec leurs 6 toys bien noirs, et qu’on sent tant, etc. (paragraphe brouillon à reprendre…)

A l’origine de ces divinités masculines ou féminines de protection paternelle ou maternelle des lieux de vie et de la progéniture, on trouve le culte des ancêtres dans des lieux donnés. Ces divinités lignagères sont souvent associées à l’eau et ou à la terre, ou à des sommets-refuge, ou à des profondeurs insondées, etc., à des victoires, des batailles, des conquêtes, des fondations, etc. Dans ce catalogue entre toute une panoplie de comiques hauts en tout genre.

Ces croyances divines sont sans doute apparues, par souci pratique, mais surtout par fainéantise de ne pas à avoir toujours à répéter les mêmes choses : il faut se protéger de l’orage, de la foudre, de la mort, de la maladie, du Soleil, des communautés barbares, de la pourriture, etc.

« Va donc sous les jupes… »

Itinéraire…

y terre…

Elles ont un caractère mnémotechnique infantile généralement assez persuasif en fonction du développement de la civilisation concernée : la source de la Fontaine Rougeline est sacrée, le dieu Bourbonnais y veille, c’est pour le « dis, euh… bourre bonnet ! » et pour le bourg beau né, etc., ce qui est généralement trop long à expliquer parce que l’Homme est à l’ouvrage et que, souvent, il en meurt, au profit de ces inventions mnémotechniques qui continuent à être utilisées, voire à être usurpées pour des questions de pure rentabilité mercantile ou pire, sacrificielle, inique, aliénée (alien née), extraterrestre, anti-agricole, anthropophage, en trop…

Chârost est donc un sac… Ré doré

mi face, sol là, si dos…

Essayez avec une autre orthographe…

sans mets pris…

On trouve donc à l’origine de tout ce fourbi, des propriétés purement géographiques ou historiques, purement naturelles ou des prises de territoire par certains hommes sans foi ni loi, avec les responsabilités qui normalement en incombent.

Peuvent se rajouter à cela, des pouvoirs extraordinaires imaginés ou volés à un imaginaire pratique et spirituel, voire dangereusement radio actif, tel frit comme le magicien d’Oz, en y exagérant à peine et en s’appropriant des pouvoirs solaires (l’ombre des arbres plantés), climatiques (les toits des charpentiers), telluriques (les murs et assises diverses), des animaux (ailes, cornes, carapace… plumes pour bien dormir et en rêver), des plantes (bouleau, boulot, bout lots, boue l’eau…), d’êtres monstrueux (meilleur tueur d’hommes comme Hector, meilleur guerrier comme Achille, meilleur barbare comme Conan…), pour impressionner l’adversaire, lui saper le moral, l’habiller pour l’hiver, ou le faire fuir, ou l’attirer à soies…

Tout ceci n’a aucune moralité…

Mort alitée ?

Cette exagération “divine” pour obtenir pouvoir, richesse, appropriation, pillage, frayeur, fuite, déstabilisation, etc., ou bien impôts et rackets, est tout à fait commune à l’espèce dite « humaine » (à prononcer « Hum… haine ? » ou « Hume aine… ! » ou « eus mènent »), qui selon la définition du dictionnaire français correspondrait plutôt à la bienveillance, à la douceur, etc.

Ainsi, certaines cultures, et donc certaines lignées, se spécialisent dans des facultés prétendues, mais qui par usurpation, vol, pillage, etc. deviennent réalité. Quand on croit à quelques divinités ailées, les voisins, par précaution, se mettent à fabriquer des aéroplanes… ou des grands mâts, et ainsi de suite.

Les Français sont les meilleurs, chez eux, et pas que chez eux, dans ces domaines…

Je n’ai pas encore compris pourquoi, tout le monde veut copier.

Ces divinités sont issues généralement d’une appropriation, soit en servant ceux qui les ont inventées, les ancêtres légitimes et leur faune-éthique, soit en se servant d’un autre peuple réduit en esclavage et dont le territoire a été pris. Cependant, ceux qui se les ont appropriés en ont, le plus souvent, perdu le sens pratique géomorphologique agricole faune-éthique.

Il tombe plus de foudre sur l’Olympe qu’au Pirée.

Et à Delphes se racontent toujours des sorts nets.

L’auriez-vous oublié ?

Appropriés, ces pouvoirs divins, dont on attend d’en voir la couleur, finissent souvent par se matérialiser réellement, car appartenant aux phantasmes auto-réalisateurs pour cause de folie obsessionnelle de pouvoir… on finit par voir des taureaux ailés, des géants verts, des dérouillées étincelantes…

Nouvelle couverture de mon ancienne étude de l’église Saint-Michel de Chârost

L’église Saint-Michel de Chârost (18) : mon étude-inventaire de juin 1992.

Cette maladie de la “toute puissance”, typiquement infantile, touche généralement des êtres mal-aimés, rejetés, proscrits et peu compétents, comme des jeunes, des sauvages, des barbares, des nomades, qui n’ont parfois pour eux que leur insupportabilité, leur violence, leur agressivité, parfois leur beauté, leur odeur alléchante, ou leur excréments pour marquer leur territoire, ce qui reste assez commun(iste) pour des mammifères.

Chas man… “isthme” anime “iste”… s’hisse ici et reste

Paragraphe à vivre vous-mêmes…

Si, si, si…

RE !

Le savoir ou ligno-rance… ligne aux rances… lignes hors anse…

Chârost pose la question du temps, par la présence de ses calcaires à ammonites et autres faulx cils… et par la présence de ses limons argilo-sableux, son limon bas, son limon haut, et le limon éolien. Il pose la question d’un rapport immense, grandiose et incroyable au temps ou, par ignorance, aux mystères… à l’Esprit Saint ou à « laisse pris ceint ».

Le lit mineur, le lit majeur et les coteaux, offrent une question d’hydrologie, de géologie, de géomorphologie, de géographie, ou bien des évocations et des exagérations spirituelles, sacrées, divines, par ignorance, fascinations mnémotechniques, traits d’humour parfois compris au premier degré, ou par recherche d’intérêts, ou tout simplement par peur des changements, voire que le ciel, la Colère de Dieu, nous tombe sur la tête. Le coteau nord du Gué Saint-Michel, pourquoi est-il si praticable ? Voyez-vous ? La pente en avale ?

L’érosion des bêtes, la pente en aval de la fontaine est usée…

Un piège pour trouver les prétentions crânes ?

Se protéger du péché criminel

d’orgueil infantile ?

Une pêche ?

Confort spirituel pour préserver le confort temporel, les propriétés de chacun, celles du sang des peuples locaux ou migrateurs faune-éthiques, par une saine distanciation avec la mort, la maladie, la guerre, la famine… pour le bien commun de tous, y compris des libellules, des martins-pêcheurs, nos véritables testeurs…

Le peuple ? Lequel ? Celui des tortues sacrées ?

Celui des hirondelles domestiques ?

Celui des truites sauvages ?

Des oies migratrices ?

Des aigrettes ?

Des cires ?

D’aise…

alphas

À

l’

ω

Ω

SOT !

Saut ?

Un seau,

un sceau,

dans un sot scié t’es… las, là…

partie et parti d’un tout plus vaste, atlantique…

ou pour celui, non indigène, indigeste, infantile, esclavagiste, auto…,

des sauces si y a l’iste, suffixe quelque peu barbare souvent germanique ?

L’impérative nécessité vitale du sacré… en soi…

L’évidence nous invite à ne pas perdre les sens pour apprécier la vie, le Vivant, et donc le Sacré. Le sacré commence donc forcément à travers soi et donc aussi, selon quelques dictionnaires, à travers les soies, c’est-à-dire les emmanchements en fer (les Soudis, la Grange…), les haies et clôtures (les Cloires), les socs de charrues (les Beauces), les poils qui peuvent accessoirement servir à la pollinisation manuelle ou à divers autres arts, les poils et fils de certains animaux ayant des propriétés meilleures que la plus incroyable des inventions humaines, etc. Les sens en sont multiples… mais la priorité dans le sacré reste le soi, sans la marque du féminin, le “e” à prononcer “œufs”, “eux”, voire “euh” bien long, bien répétitif, pause posée, parasite du verbe, “euh” collant, souvent hypnotique, criminel, prédateur de temps, marque de l’ignorant, faignant, ou feignant de l’être, pour sa crotte toute gratuite, ses œufs pour ses œufs, souillure pestilentielle, tamponnée dans la Grotte de Lascaux (où le gaz de pet en forme de tête de poulain sort du cul noir de la licorne, fauve tacheté dévoreur des habitants de ce trou… deuil infini… vache espagnole… voir pire…), sombre, marron, agression guerrière, marquage de territoire, affamante et infamante, bref, la marque de la Bête !

Et Chârost ? La bouche, et son rototo, c’est avant…

Goth, got, GO ! More, morts, mors !

Non ? Nom !

Hi hi y… !

YCY

Hisses-y ici !

Si, si, scie, scie…

L’impérative nécessité vitale du sacré… en eaux…

Dans notre climat océanique tempéré, l’eau est partout, nous la respirons, nous la buvons, nous la mangeons. A Chârost, rivière après rivière, elle rejoint la rivière de Loire… et l’Atlantique. Elle est là, partout, elle circule… Elle est source de vie, air et flux, elle sculpte le paysage et nos efforts agricoles. L’empoisonner est un crime, un sacrilège, tout comme la rayer, la souiller, la transformer, se l’approprier ou en faire un poison associatif exagéré, l’excitant et la secouant, entre autre avec la radioactivité électromagnétique. Vous la sortez actuellement du réel universel, de ses propriétés propres. Vous la volez à la nature alors que la matérialité naturelle unie vers sels, universelle (catholique selon la définition latine du mot, généralement grecque, en grec un peu déformé), est sacrée, et celle agricole vous est sacrée, celle de vos esclaves (à moins que vous n’en soyez anthropophages…), pourtant elle n’existe plus par le hertzien germanique qui nous propulse, hélas, dans une autre dimension, gonflante, criminelle…

Je peux en faire un article sur mon comprendre-le-monde.com,

ou sur mon apprendre-à-lire-devenir-lecteur,

mais mémé met mes mets…

Con tact ou vol ?

Contact !

Tout le monde peut le constater. Rappelons que la boussole et le magnétisme, tout comme son dérivé artificiel l’électromagnétisme et les radios activités, sont un poison oriental chinois introduit, comme la Peste Noire, par Marco Polo et les Vénitiens en Europe, en même temps que la technique du papier, fait à l’origine avec de vieux chiffons pestilentiels pour transmettre plus facilement la mort et permettre les invasions orientales, le commerce des chameaux, des tapis, voire pire…

Et Chârost ? Casque ! Casque ! Coquille, caux qu’…ille ? Co quilles…

D’eaux d’os, CaCO3 et dodo ! Dos d’eaux…

Topo ? Taux pots !

Rappelons pour les f… savant(e)s

qu’en grec « char », c’est arma, ἄρμα, art matos…

provisions, vivres, fardeaux, charges, hottes… Pro visions ?

À Chârost, à corps haut, à core Ô, accord rot… roseau odorant…

Dans notre pays, le “a” ressemble parfois à un “o”. Ainsi, mon prénom, Nicolas, se prononce un peu parfois “Nicolo” avec un omicron, comme “bof”, “motte”, “note”, chaud “shot”…

Chârost qui porte le grec karos, charos, comme nous l’avons vu dans les articles précédents, peut donc aussi très bien porter le grec choros, koros, κόρος, qui porte plusieurs sens : la satiété, le fait d’être rassasié, et donc le dégoût de la nourriture (avec la grimace qui va avec) ; le dédain, l’insolence, l’orgueil ; le Dédain personnifié ; le jeune garçon, l’enfant dans le sein de sa mère, le jeune garçon qui sert dans les sacrifices (l’enfant de chœur par exemple) ou dans un repas ; le jeune guerrier ; à Lacédémone, les chevaliers ; le jeune garçon, par rapport à son père et à sa mère , le fils ; le jeune pousse, le rejeton d’une plante, surtout en parlant de joncs, d’osiers, de roseaux ; l’ordure, l’immondice (provenant de κορέω, nettoyer en balayant, en lavant à propos des taches et des tâches réservés aux apprentis) ; une mesure de 6 médimnes attiques (mot pris par l’hébreu) valant environ 52 kg pour certains, 32 kg pour d’autres…

Que raconte encore ce géo gras feu…

cet attrayant Gé homme hors faux logis que… ?

L’étymologie est liée à κόρη, coré, choré : jeune fille, jeune vierge, en rapport avec le passage du balai.

On peut le faire un peu ronfler, avec les rouflaquettes, chorra, chorré, κόρρα, κόρρη : le côté de la tête, d’où la tempe ; tout le côté de la tête, la tempe et la joue ; la tête entière, et par analogie une pièce d’architecture, une frise, une corniche, un chaperon (ici rouge non ?).

Son étymologie est alors liée à κείρω, kéïrô, chaïrô : tondre, raser, rogner, en parlant des cheveux ou de la barbe ou en parlant de choses, plantes, feuillages, ramures, montagnes, et en parlant de moissons ; tondre avec les dents, ronger, dévorer, notamment un foie, une fortune, des ressources pour vivre, d’où piller, dévaster, ravager, détruire ; tondre sur soi, se couper les cheveux ou se raser la barbe ; couper, moissonner.

Dans l’expression “à Chârost”, nous avons le mot “accord”, ἄκορος, insatiable, infatigable, dont l’étymologie est ἀ, κόρος. Cette notion nous rappelle la somnolence déjà constatée dans notre étude… du toponyme Chârost.

Mais surtout, sur tout, nous avons l’acore, ἄκορος, acorus, la plante aromatique et aquatique dont les jeunes pousses sont comestibles et bienfaisantes, le jonc odorant, le roseau odorant, un remède pour les yeux. C’est bien vu ?

L’accord à Chârost ?

Le jonc, le roseau, l’acore…

belle plante verte sacrée, ça crée…

chez les vieux Chinois, les Cheyennes, et ici-bas à Chârost !

https://www.ethnoplants.com/fr/blog/acore-odorant-n4

https://fr.wikipedia.org/wiki/Acoraceae

https://fr.wikipedia.org/wiki/Acore_odorant

Voulez-vous en savoir plus ?

Rendez-vous avec Trekeco Survie Aventure :

https://www.trekeco-survie-aventure.com/

Coque au Ric haut ! Mon plumard… habituellement magnifique…

Loon Lake Powwow ’09, Mens Traditional Special, Part 1

https://www.youtube.com/watch?v=MEnYkp0bCIg

Gathering Of Nations 2017

https://www.youtube.com/watch?v=foXwLJKrJak

Sportif, impressionnant et très bon pour le DOS…

Et comme, en trans… ou en transe, dans mon plumard, on aime bien les ailes :

on a l’accord… l’acore ? Lac hors ?

λάκω (lacô), λακών (lacône. Celle de l’Art à GO ?), λάσκω (lascô) : craquer, résonner, retentir avec force, crier, pousser un cri retentissant, en parlant d’animaux, en parlant du faucon, du rossignol dans les serres du faucon ; faire entendre un chant ; dire à haute voix, annoncer, proclamer…

Lascaux !

et là, las, dors d’eau -gne.

Et Ἀκκώ (accô), la femme grimacière, la figure grimaçante pour effrayer les enfants…

avec ses cornes… de vache espagnole… ou de bouc puant…

Responsabilité sacrée : convergence, sédiments, lie, marc…

Saint-Georges-sur-Arnon, et son côté terre à Terre, ou Terre à terres, gué or gais, avec tout ce qu’il évoque au niveau des cultures, de l’agriculture, contient γῆ (gué ou geai) la terre, le pays, la contrée, Γῆ (Gai ou Jet), la Terre, notre astre, et ἐώργειν (eorgéin), synonyme de ἔρδω (erdô), faire, accomplir, faire un sacrifice, sacrifier, pratiquer un métier, un art.

Et sang naît où ? Et c’en est où ?

La Théols, petite rivière voisine arrosant Issoudun (Y sous daims ? Hisse Odin, le dieu germain qui crève son canasson à sa tâche, y remuant son rond de cuir, pour nourrir ses deux corbeaux et ses deux corps beaux ? Ce vagabond et son beau char solaire agricole nomade digne d’un village africain, mais fixé ici comme essieu ou axe) qui rejoint l’Arnon auprès de Lazenay, avec son suffixe grec –ol, signifiant “entier, intact, préservé”, en est un résumé qui traverse encore le temps, Théo, signifiant Dieu (mon article d’enquête), un ensemble de conditions, de cumuls culturels, dont le nôtre fait partie et qui ne peut être tout, mais qui peut être une clé, là, par la toponymie et toutes les sciences annexes de l’Histoire, pour appréhender son environnement et prendre conscience du Tout qui nous sera, de toutes façons, toujours fermé. Une sablière fermée, telle une assise de charpente, comme celles qui peuvent vous abriter, belles et grandes, comme celles de Saint-Michel de Chârost.

Sans eau, l’homme survit trois jours.

Alors sans os…

Calcium ?

Donc, vas-y, cale, si hommes…

A moins que vous ne préfériez une bouche finale en suppôts…

molle, sans dents… puante et excrémentielle, une ventouse de sangsue

telle l’hydrographie, l’hydrologie à trois cours d’eau d’Issoudun en forme d’hydre de mer…

Une chronologie élastique, dans un piège élastique hélas tique

Le Carroir du Gué, le Gué Saint-Michel, Brivault, Chârost, Les Cloires, Milandre, la Grande Charruée… Dame Sainte… un piège élastique, aux haies nourrissantes et aux fossés bourbeux, enserré auprès de l’Arnon, l’Agneau et que ses belles baies, ailes… effleurent.

Prenez sur vous votre anthropophagie, votre anthropocentrisme et ses puissantes dérives « divines » personnelles, sectaires, votre infantilisme, au sein de ce naturel sacré que la faune-éthique de la toponymie vous montre depuis des siècles et des siècles. Voyez votre usurpation institutionnelle dans vos usures passions comptables. Continuez à en faire des contes à dormir debout, au guet, pour enfants victimes quand ils survivent au ventre dévorant de leur mère, quand l’un d’eux arrive à passer entre les mailles de ce filet, de ce minuscule filet, de ce chas rot auto. Continuez à en faire une fausse culture générale, une fausse culture de tout ce las.

Zzzz héros plus héros egg halle ?

Zéro plus zéro égale ?

Logos ?

Verbe ?

Rototo… ?

Rotte au taux ?

Aiguilles de chatons ?

Ou accompagnement bienveillant…

avec la plus extraordinaire culture de ces mondes

en hommage à Françay, et à son immense Guillaumière, heaume, hier.

Introduisez en vous le temps passé, car le présent comme le futur n’existent pas

car vous êtes trop lents, trop lourds, trop endormis, trop fainéants, trop esclavagistes…

Vous avez essayé de savoir pourquoi une petite fille ne réussit pas à attraper un ballon ?

Pourquoi, presqu’à tous les coups, elle ferme les mains trop tard, et se blesse… en pleine tête ?

Arcatures aveugles romanes du chevet de l’église Saint-Michel de Chârost.

Photo d’archives Nicolas Huron

Moi je sais.

ROME !

AVE !

V

U

Ω

Vie !

Vite  !

Vivant !

Imitation ?

Identification ?

Incarnation ? Prévoyance ?

Caractérisation ? Prédisposition ?

Animisme parasitaire en total destruction ?

Co naissance, conne essence, connaissance, empathie ?

La Fontaine Rougeline et sa sacralité… Bourdonnaise

Observance, antécédence, contemplation, trans-misson, trans-saisons, trans-temps, transe taons, coulure, épanchement, langue, chat, chas… r’eaux…

Pour que les parfums reviennent, clos-les !

En cens encense en sens…

en sang, encens !

L’or à Lui

Seul

sang sans

leur myrrhe

anthropophage…

car chère chair Ω

à la foire, au cirque,

alevins de poissons-chats,

l’Hun ne veut voir qu’Hun !

Hunnique unique vol d’étourneaux…

Alors imaginez les autres, leurs folles…

Chas chat r’haut, chat perché, chas perd chais…

Le crottin aux Paradis et les charognes à enterrer dessous aux Enfers.

Le modèle est romain, c’est le tombeau d’Auguste, l’antéchrist, le maître d’avant.

En tombe-t-il encore des fruits sous le joug des Ostrogoths ? des Lombards ? des … ?

Porte sculptée de 1866 de l’église Saint-Michel de Chârost

de style néo-roman impérial Napoléon III

Photo d’archives Nicolas Huron

Chârost (18) toponyme mythologique d’une longue Histoire de liens et d’attaches, décrivant son environnement préhistorique, protohistorique, des âges du bronze et du fer gréco-gaulois, et portant en lui, avec ses autres lieux-dits, sa mémoire cynégétique, agricole, mono-culturale, (érotico)-pastorale, culturelle, domestique, casanier, architecturale, esclavagiste, avec leurs aristocraties nomades, jusqu’au char de guerre orientable oriental volubile, crâne et semi nomade, avec tous leurs bavardages, leurs défis stupides, toutes leurs panoplies de faulx dieux, leurs incendies sacrificiels institutionnels et leur Crime.

Vous décrivant et vous propulsant dans mon monde…

de patrimoine rural où le total y terre…

A part ta Gée, cils en nez…

A partager s’il en naît…

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