Est-ce Jules César ou César Auguste ou Tibère qui fonda la ville de Tours ?
Raison gardée !
“Il faut rendre à César, ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu” (Bible ; saint Luc : 20-25, paroles de Notre Sauveur Jésus Christ ; Ier siècle de notre ère).
Jules César ? César Auguste ? Tibère ?
Quand cette célébrissime phrase fut prononcée par le célèbre asiat’tique, elle ne pouvait concerner, en la circonstance, face au harcèlement p(h)arisien des « lettrés » et des grands prêtres, au premier chef, non les dits p(h)arisiens qui ont toujours un peu de mal à savoir ce qu’ils mangent et ce qu’ils respirent, mais bien, à la base, que trois ou quatre personnes maximum : évidemment, de par son ascendance et l’ancien mandat de pharaon, Jésus de Nazareth, lui-même, descendant de David, futur Christ, interpelé, questionné (synonyme médiéval : torturé), pourchassé, menacé de kidnapping, de torture (synonyme médiéval : travail) et de meurtre ; Jules César que l’on ne présente plus, hélas, et qui était encore peut-être représenté sûr sur certaines pièces en circulation ; César Auguste premier empereur son fils adoptif déifié représenté probablement sur une majorité de monnaie à l’époque ; ou Tibère, second empereur et César du moment.
Oui, mais quel dieu ? La liste est là-bas, à l’époque, très longues.
Il faut d’abord savoir que le dieu de l’époque à qui était surtout réservé les sacrifices, dans cette partie asiatique, appelée aujourd’hui Moyen Orient, de l’Empire romain, ce dieu principal, suite à la Guerre civile, était César Auguste, fils adoptif de Jules César, honorable père de famille, conquérant de l’Égypte ptolémaïque grecque. Ainsi la phrase « Il faut rendre à César ce qui est à César, et à Dieu (César Auguste), de qui est à Dieu (César Auguste) » semble une plaisanterie, un peu rire jaune (sinon on peut mettre « Y avait » comme traduction possible). Le choix de la majuscule est purement d’époque… et nullement un choix typographique éditorial militant, car l’Histoire est la science de toutes, considérant qu’Il nous avait demandé de conserver sa Parole. Un enregistrement ?
Pour rendre témoignage de la Vérité… Laquelle ? Elle est vierge ?
Avec l’eau du bain !
Nous allons partiellement essayer de répondre ici à cette obligation infinie, singularité plurielle et pluriel singulier, pour les villes françaises de Paris, Tours et Sens et pour quelques gros bourgs locaux, dans ma région, Bourges n’ayant été avant la Guerre des Gaules et après, qu’une très jolie grosse caserne militaire largement embourgeoisée, et Orléans ayant été rayée de la carte et du menu. Quant à Chartres…
C’est l’école-logis ou les colles-logis ?
…
Le principe élémentaire du char(r)on
Quand on est esclave, ou serviteur d’une vil(l)e comme Rome, certains principes élémentaires de fonctionnalité s’imposent, pour la gloire de Rome…
Les Gaulois, barbares germains celtes, d’Europe d’orientale, voire d’Asie, esclavagistes un peu civilisés, se posant encore la question de l’opportunité de leur cannibalisme à Alésia, véritable gale, de ma région avant l’invasion romaine et sans doute quelque peu après, n’avaient pas une telle intelligence de service.
En effet, les Gaulois, se défendaient généralement sur les hauteurs de leurs oppida, vil(l)es forteresses, ou en villages bunker, ou en ferme blockhaus, en attendant la livraison de leur denrée, et autres bricolages artisanaux, par les esclaves sous mis et sous jacents locaux qui n’avaient que le choix de la leur mettre. Le charron, avec sa charrette, doit alors monter tout ce bordel à pleine charge, puis doit redescendre à vide.
Quelle conne rit ? Quelle connerie !
Enfin, on sait, à travers le récit de la Guerre des Gaules, de Jules César, que ces Gaulois, « chevaliers » (dans les faits des cavaliers tagada tsouin tsouin sans aucune noblesse digne de Rome… le cheval offrant cette confusion à Jules César…) ou druides (réciteurs de vers appris par chœur et par cœur, c’est dire la perte de taons et de temps…), s’il en naît, avec leurs épées ou serpette d’or, n’étaient même pas capables de bêcher et de monter un simple remblai. Leur masse servile sachant par naissance tout faire, sinon… quant à eux, les Gaulois ou Celtes d’Orient se plaisant à ne rien savoir faire ou pas grand chose, comme esclavagiste matriarcaux, sinon…
Un Romain, esclavagiste, en pire, s’il en est, sait, lui, qu’il doit servir Rome et ses jolies romaines et autres sacrificateurs des colombes de Vénus pour Jupiter, sinon… peau de balles…
Abbaye Saint-Julien de Tours… digne héritière de l’Eglise catholique romaine,
héritière de l’empire romain, héritier de la république romaine…
de J. C., d’Auguste, de J. C., et de saint Julien.
Vous en mangez encore, autour, voire face à elle…
du bon calcaire descendu et monté sur du sable…
Photo 1989 Nicolas HURON
en juillet ou en août… july or august…
…
Donc, principe élémentaire : livrer en bas et remonter à vide.
Livrée livrée en bas et remontée à vide ?
Bienvenu(s,e, es) et bon appétit !
C’est du bon calcaire…
Descendance ?
Ortho…
…
La réorganisation de la Gaule par Agrippa
En 27 avant Jésus Christ, au crépuscule de la guerre civile romaine initiée par l’assassinat de Jules César, quand Octave fut proclamé Auguste, ce dernier délégua et mandata Agrippa pour réorganiser la Gaule au profit de Rome.
C’est encore, en corps bien, environ(s) notre paysage actuel…
qui se mange lui… comme J. C. !
et se fait manger…
sauf en vil(l)es en ce moment…
…
…
Les Romains installèrent donc leurs villes nouvelles, ou en tout cas leurs entrepôts de boutiquier, en dehors des oppida gaulois saisis de force, comme Bourges, ou par commerce et impositions (Le Mans, Angers…), en bas, dans les vallées, et non en haut comme les anciens oppida gaulois. Ces entrepôts ne pouvaient être, puissance romaine oblige, que plus attirants et plus rentables, voire avec ventes à pertes ou achats bien plus chers et plus chairs que le marché local d’autrefois… Technique militaire chinoise, voire hindou, qui finit par ruiner Rome pour en devenir… via les barbare(esque)s et autres tagada tsouin tsouin… des routes de la soie, de lasses oies… et autres grosses dindes… qui avaient par les projets-nids-t(o)urs déjà pris et ruiné les Alexandries d’Alexandre le Grand, y compris celle d’Égypte pour en faire un nid de sceaux d’O administré par un eunuque maltraitant la petite sœur de Cléopâtre, etc. Voyez-en la tête du satellite (mot signifiant « mercenaire ») de Jupiter, Ganymède.
Cette technique romaine court toujours et a toujours cours… et fait encore école.
Humour typiquement gréco-romain… inarrêtable !
Rome ? Battue ou imbattable ?
Votre prétention répond…
pour vous !
…
Orléans détruite ainsi…
Genabum, encore appelé Cenabum, actuelle vil(l)e d’Orléans, imperium (le mot emporium désignant un marché, une place de commerce, un entrepôt, ici en port fluvial…) gaulois comparable à Rome à l’époque, fut totalement détruite par Jules César et ses légions, notamment parce que quelques légats et marchands romains, dont un ami intime de César lui-même, CAIUS FUFIUS CITA, y étaient venus y faire quelques affaires pour le ravitaillement des légions qui les avaient sauvés de l’invasion helvético-allamane. Ces légats et marchands, amis de Jules César selon ses propres écrits, y ayant été assassinés, sans doute à cause de quelques prix cassés.
Au moment du siège par les légions, cette vil(l)e attendit des renforts qui tardèrent un peu… et la population en fut prise et vendue, à l’unité, par ses légionnaires auxquels, César accorda ce butin.
Pourquoi ?
Doit-on y voir un rapport avec la folie socialiste des Hyper née auprès de l’abbaye de Saint-Julien de Tours dans les Années Folles, ou bien
avec quelques containers chinois vus en forêt domaniale de Blois
et quelques scieries ruinées et remplacées par quelques lotissements ?
à « Hue ! Hisse haut sur Cosson », notamment…
Et ensuite vint le tour des tours
de l’avarice AVARICUM…
qui n’en voulaient que les bénéfices…
Bourges !
…
Tours, Paris, Sens, Autun… Levroux, Déols, Drevant, Vendôme, etc.
Ont été mis notamment au plus bas par l’autorité romaine, sans doute par Agrippa sur les ordres d’Auguste, pour servir qui se doit : Tours (37), Paris (75), Sens (89), Autun (71), etc., mais aussi de jolis bourgs comme Levroux (36 ; Indre), Déols (36 ; Indre), Drevant (18 ; Cher), Vendôme (41 ; Loir-et-Cher), etc., pour le plus grand profit des taxes romaines locales, parfois sur des sources miraculeuses ferrugineuses ou cuivrées… devenues miraculeusement aurifères par la magie des racks, quêtes romaines.
De la super ST. y si on…, du pain dans la gueule et des jeux aussi : bucolique paysage, pays âge, paix âge, pet « -age », péages, vis là, villa, termes, thermes, t’es âtre, théâtre, amphithéâtre, tempe-le, temple, aqueux ducs, aqueduc, etc. tout le confort… Vérifiez avec l’archéologie, science annexe, comme toutes, de l’Histoire… via Contact !
Les Grecs anciens citaient : « Casque ! Casque ! » (Aristophane en son théâtre)
en parlant de leurs « propres » celtes germaniques aux Ve-IVe siècles avant J.-C.
BIG PHARMA ?
Quand vous êtes à Pussay (91 ; Essonne), vous pouvez livrer le blé beauceron à Paris, sans dépense d’énergie car cela descend… ce las des sangs…
Mes mous hoirs des Depussay…
…
Plaisanterie gréco-romaine : CAESARODUNUM…
CAESARODUNUM ? qu’aise art ? Ode due ? Dû, nomme ? Dune homme ?
CAESAR ODUN UM
un piège sémantique… s’aime en tique
construit principalement sur du sable.
Tours, dit Caesarodunum, tête de pont aspirante dans le saltus des peuples de l’Océan, évoquant la fusion gallo-romaine du Ier siècle avant Jésus Christ et :
– odo, odare (udo, udare) : humecter, mouiller, baigner, bassiner…
– odus, oda, odum ou udus, uda, udum : chargé d’eau, humecté…
– odeum : petit théâtre, odéon…
– odium : haine, aversion…
– Odun, Odin ?
– rodo, rodere : labourer ; ronger, user, miner en parlant de l’eau ; déchirer, mettre en pièces ; médire…
– rodus, raudus : cuivre servant de monnaie.
CAESAR Ô doux NUM ? Sur une tablette de sire à Bibracte, Rome ?
Haut dû, ne… ! Oh DUNE ? Haut d’une…
Pour Bibracte ? Bibe raque te… ?
Hautain ? Ôte un… ? Autun !
Un seul SENS ? C’est non ?
Bibe ? RRRrrr aune âge ?
Péage de Monnaie ?
Vacances ?
Effets…
Fées ?
Fais !
A la place du poulailler… à la Guillaumière, à Françay (41 ; Loir-et-Cher), le brancard !
Photo Guy Depussay ou Yvonne Depussay née Gravereau,
qui ont fait la même plaisanterie avec leurs petits-enfants,
devant le Sénat au Jardin du Luxembourg…
Voulez-vous voir la photographie ?
Bon appétit la république et l’empire…
Sens ? Senons ? C’est non ?
Encore ? En corps ?
In fine !
Vis-le !
…
Un précédent : la ville de Genève…
Vile ville prononçable « jeune Ève » voire « Jeûne èèèè’veut oeufs… euh… » en prenant, bi huns, bien son temps et son taon pour quelques poignards dans le dos, ou en voir « jeunet veut »… où genêt (à balais sans doute) V !
La république romaine s’empara du pays des Allobroges en 121 avant Jésus Christ. L’oppidum du Petit Salève (avec jeux de mots s’il vous plaît…), sur la commune de Monnetier-Mornex (74 ; Haute-Savoie ; France) fut alors abandonné et, après celle des Allobroges, une nouvelle dictature racketteuse, plus efficace, plus rentable, se fit jour : celle de Rome, à Genève.
Il est vrai que le Salève, que personne n’osa encore en cor
en corps orthographier la Sale Ève, avec sa fissure,
ressemble encore à une grosse limace…
Une glace à l’Italienne ?
La vil(l)e romaine de Genève, toujours aussi gourmande (à orthographier…), fut alors fondée au bord du lac Léman, avec un port, près de l’emplacement d’un ancien pont, sans doute à péages, qui sera mentionné dans le récit de la Guerre des Gaules par Jules César vers 58 avant Jésus Christ.
Autour de l’oppidum des Allobroges, aujourd’hui reboisé, et même à Genève, les jeux de mots des toponymes sont nombreux à ce S(e)ujet… : Gaillard, la Châtelaine, Mornex, Césarge, Bois de Château, Pas de Châtillon, le Pas de l’Échelle, les Voûtes, Bossey, Mont des Ânes, Naz, etc., même également à propos de la libération chrétienne anti-désertificatrice urbaine : Les Treize Arbres… XIII… Chie hii… qu’eux scient ii…
Ur bis ?
Urb ânes y St. ?
Ur (auroch) bains ?
Genève, jeune Eve veut ? Jeûner veut ?
Avec le grand taureau blanc de la Grotte de Lascaux ?
Au festival de « Montre eux » avec l’heure simplifiée équatorienne ?
Secte A A A ? Plaisanterie savoyarde, française, helvète ou germanique en cours ?
…
Char(r)on un idée gréco-romaine…
Que voit-on à Rome du haut du Capitole ou des hauteurs de la caserne de la garde prétorienne ? Notamment, le champ de Mars aménagé par Agrippa, tout comme ici, et de l’autre côté, la villégiature aristocratique et sa colline vaticane.
Coin, coin !
Que voit-on de Saint-Cyr-sur-Loire ou de Saint-Symphorien, de Joué ou de Saint-Avertin ?
Tout RRRrrr…
qu’aise, c(h)aise, arts…
Avait-on vraiment besoin de tirer ?
La rousse ?
…
D’après le Larousse (édition 1960 ; librairie Larousse : 17, rue de Montparnasse, et Boulevard Raspail, 114, Paris VIe, Paris ; édition interdite d’exportation au Canada anglais).
– charron (nom commun masculin, provenant de char) : ouvrier du bois (et du fer) capable de réaliser et de réparer les véhicules, généralement de traction animale et de cintrer les roues de voitures. Le travail ordinaire du charron comporte le corps de la voiture, avec les brancards, le timons, etc. et les roues. Il procède également au cerclage à chaud et au forgeage de certaines pièces.
– Charron (Pierre) : moraliste français (Paris 1541 ; + Paris 1603)…
– Charron (André Charlemagne) : tapissier français (1721-1801)…
– Charon ou Kharon personnage de la mythologie gréco-romaine : Nocher des Enfers dans la mythologie des Grecs, des Etrusques et des Romains. Il faisait passer aux âmes des morts, moyennant une obole, les fleuves des Enfers, et n’acceptait ni les vivants ni les morts restés sans sépulture. A son intention, on plaçait une obole dans la bouche des morts (appeau ?).
Il apparaît fréquemment dans les bas-reliefs et les lécythes funéraires d’Athènes , avec une physionomie de vieillard pensif et barbu, tenant une rame, et portant le costume de batelier.
Tout autre est l’aspect du Charon étrusque, dieu sanguinaire, à nez crochu, aux oreilles pointues, au visage grimaçant ; il est armé d’un maillet, il chasse les âmes, assomme les hommes dans les batailles, ou assiste les meurtriers.
Chez les Romains se rencontrent les deux types, combinés dans Virgile : son nocher est un vieillard méchant et sordide, qui malmène les morts. Plus tard, prédomine dans l’art le type grec ; mais l’autre persiste à l’amphithéâtre, où l’esclave chargé d’achever les gladiateurs blessés s’avançait maillet en main et couvert du masque de Charon.
Le voit-on dans Gladiator ? Usure Passion ?
– Charon ou Kharon de Lampsaque, historien grec, contemporain des guerres médiques, auteur d’ouvrages sur la Perse, la Grèce et Lampsaque, dont il ne reste que de minimes fragments.
– Charon ou Kharon, Thébain qui accueillit Pélopidas et ses compagnons revenus secrètement à Thèbes pour en chasser les Spartiates (379 avant J.-C.).
– Charon : commune d’Algérie (département et arrondissement d’Orléansville) dans la plaine du Chétif ; 10 047 habitants (954 aggl.). Barrage d’irrigation sur le bas Chétif, permettant l’irrigation de 28 000 ha de terre.
– Charon (Viala) : général français (Paris 1794 – Paris 1880). Officier du génie, il servit longtemps en Algérie, dont il fut gouverneur général de 1848-1849.
Char RRRrrr…-on ?
Croyez-en Chârost, dans le Cher…
Quant à Chiron, achetez-vous un dictionnaire encyclopédique-papier pour la vie !
Ou bien demandez à un historien si c’est un toponyme de par chez vous…
forcément en rapport avec Saint-Cyr-en-Bourg !
Art forain ? Art fort Un !
Cheval lié sans tord !
pour
Chevalier s’en peut heures et s’en reproche d’un mandarinat ?
A rat Kiri ! PAF ! dit la tapette !
Souris et recommence !
Souris, re…
…
Conclusion sous forme de constat…
Voyez où, à Tours, à Sens, à Paris, se trouve l’hommage à Julio, voyez-y l’abbaye Saint-Julien de Tours et accessoirement ce que la bande noire des spéculateurs protestants ont laissé de la collégiale Saint-Martin de Tours, celle construite en hommage au plus grand légionnaire de tous les temps… clochard céleste et cloche-art, scelle Est, avec un coq au-dessus !
Nas(s)es ?
A qui profite le crime ?
Cela se visite agréablement normalement…
Serions-nous tenus par des pensées anciennes plus intelligentes que les nôtres ? Oui, oui !
Ne serions-nous que des nains juchés sur des épaules de géants (école de Chartres) ? Si, si !
Lancers de nains en Made in Terre ânée ? Harry stock rate ?
Pour comprendre ce qui arrive : l’Histoire toujours !
Tu veux mon oeuvre ?
Simple appétit commercial ?
L’enseigne romaine des légionnaires romains (surnommés les loups) est habituellement représentée avec une tête de fauve épluchée portant au bout d’un bâton un aigle non volatile. Vous pouvez vérifier au moins cela…
Attaque par le haut ou attaque par les herbages. L’un peut descendre et l’autre monter…
Le loup n’est qu’en attaque de meute et latérale… Broyeuse à pas pillés ?
Détruire pour susucre et spéculos ?
ROMAM ET SPQR
surnommée la Louve, c’est-à-dire vil(l)e putain !
Essayez donc de vous la payer !
Urbaniste ?
URBS
…