Récréation 03 : jeu de société autour de la Guillaumière de Françay (41)

Pour la nouvelle année 2022, en ce jour de la saint Lucien, et pour la saint Guillaume le 10 janvier, prénom de mon frère aîné (génocidé en corps), je vous offre et vous montre comment fonctionne mon jeu de société sur les toponymes (que vous avez déjà sûrement volé), les noms de ce que vous mangez, voire détruisez, dans le monde rural, au sein de mon patrimoine rural et de mes paradis, avec la Guillaumière, de Françay (Loir-et-Cher), ferme lieu de naissance de Marie-Claude Huron, née Depussay, ma mère, et lieu de naissance de sa propre mère Yvonne Depussay, née Gravereau, épouse de Guy Depussay, fils d’Abel, et fille d’Aurélien Gravereau, père de son trousseau, refusé comme professeur… de sciences.

Après deux guerres mondiales… Voyez !

Bienvenue devant votre écran en an fers… Oui fit…

La Guillaumière, de Françay (41)

en esclave indo-européen non barbare germanique p(h)arisien

(((parisien, c’est parce que l’hache qu’est naze)))

seulement entre hauts pots-peaux… phages…

d’après mon exemple règle du jeu de société

Chârost et Saint-Georges-sur-Arnon

aussi possible en version papier

seulement sur demande

avec tact et

contact

Cessez mieux ou

c’est mieux pour commencer à comprendre…

Ce jeu et ses résultats, mon jeu de société et ma création, seront bientôt disponibles en version papier « école-au-logis-CO-environne-mental », normalement à mon seul profit premier et espérons-le, pas pillé (derrière la charrue), avec pour exemple Chârost et Saint-Georges-sur-Arnon, dans le Cher… (à environ 30 €, prix fixé en fonction du marché et de mes possibilités).

Mon jeu de société permet de redécouvrir les terroirs anciens, leur véritable nature… de singularité plurielle et de pluriel singulier, et de se les restituer en soi si vous êtes servile, servus servorum Dei, comme il se doit envers la catholicité, la religiosité sédentaire et l’apocalypse véritable des vérités g’astronomiques.

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Vœux 2022 via patrimoine-rural.com de Nicolas Huron

Bonne année 2022 et bonne santé

à tous les curieux du réel rural

terre à Terre

qui vous aura nourri en 2021…

temporellement et spirituellement

en espérant que vous réussirez un jour enfin à lire en entier un article de ce blog,

les stats en sont effarantes,

en espérant que la méthode aura plus de succès de l’exemple en matière de topo…,

les stats en sont effroyables,

en espérant que mon article sur la possible mine d’or de Nouzilly ait moins de succès,

les stats en sont incroyables,

en espérant que vous appuierez ici pour en rendre d’autres, lecteur de terroir historique,

quoique avec l’erreur 403 (Peugeot évidemment) fût beaucoup mieux…

et les stats en sont vraiment exemplairement d’aise astreuses,

en espérant que vous continuerez ainsi à venir picorer et piquer le bon grain

cuit, cui-cui, cuis ! QI ?

Gras tuent Y !

Gratte huis !

Gratuit ?

Cul y…

Ris cocher !

Ricochets d’aise en fers et des Paradis

et vain 22 v’là les flics flaques « floc » en Loire, en cher Cher, et en Loir !

Petit diaporama loir-et-chérien de Troo et Saint-Jacques-des-Guérets,

de trop haut et de singe à queue des guère AI…

ci-dessous…

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Cadeau de Noël pour…

Faire religion catholique gréco-romaine

étymologiquement, et avec efforts, pour ne plus s’en faire tromper…

Cadeaux, cas d’eaux qu’à dos…

à relire, relire, relire…

et à entendre.

Un petit instant vagabond à travers quelques outils d’historien en milieu rural, à travers deux dictionnaires de “langues mortes” qui sont en fait et en fêtes bien vivantes…

Trois cadeaux réservés à qui se reconnaîtra, pour quelques randonnées religieuses,

mais aussi à ma chère famille… et à la faune-éthique, et à la Sainte Famille.

Limite de zone inondable – cadeaux

Limite de zone inondable – cadeaux

Limite de zone inondable – cadeaux

Pourquoi ? Parce que vous aimez les cartes pas pillées.

Pour ce Noël, en tant que synonyme prénom-minal du Père Noël, je me mets sous le sapin avec deux premiers cadeaux :

la catholicité et la religiosité

Ouvrez, vous serez surprise !

Vous n’y pourrez rien car mes dix yeux (dieux ?), moi et mon araignée au plafond, qui en a huit, nous en avons été, nous en sommes et nous y serons, par mon sang, toujours…et qu’il n’y a pas de azes arts…

– « catholicité », à travers le Grand Bailly, le grec étant une langue très proche du langage d’ici-bas avant l’invasion romaine.

catholicos, καθολικός, E(s)T, Oh mes gâts, καθολικῶς,

les deux à copier-coller dans https://bailly.app/

Vous pouvez aussi jouer avec l’emballage cadeau : καθο

– « religiosité » de religio, du verbe relegere (on dit aussi reléguer, ou re-léguer, ou re-legs-gais, ou re-l’egg-gués, ou relais-Guéret, ou raies léguées, etc. à vous de voir en vous et de vous y voir selon vous-même).

religio à copier-coller ainsi sans tripatouillage

dans https://www.lexilogos.com/latin/gaffiot.php

puis essayez avec son étymologie : relegere, le 2ème en bas de page.

Sinon, c’est page 1335 en bas à droite, en poursuivant en haut à gauche, etc.

Pour le trouver dans le Grand Bailly, il faut faire autrement…

Lige étant de la famille de Loire…

chez moi.

Si vous tombez sur religere, il s’agit d’une erreur, mais cherchez un peu, il y a pire. Ces verbes sont Troie.

En attendant la fin de cette Folie (nom de lieu désignant une dépression venteuse accumulant les feuilles pourrissantes et donnant naissance à quelques feux follets ou œufs de tortues, car la fermentation, cela chauffe…), ou Son Heureux Retour, φολις, je vous souhaite vraiment le plus sincère et chaleureux Noël possible. A propos de matériel et de materialité, dit en France « temporalité » ou « Siècle », la Colère de Dieu, chez moi, elle se visite.

Il y a quelqu’un dont j’attends l’IBAN…

Respectueusement (à orthographier comme vous voulez).

Nicolas Huron, historien en milieu rural et parfois sur patrimoine-rural.com.

PS : si vous cherchez un des sens de « azes », il y a une piste dans le Godefroy pour la faim des taons, mais l’avis d’un spécialiste expérimenté du contexte, c’est mieux. Méfiez-vous, cela peut parler…

NOTA BENE pour la famille : le jeu de société que je vous ai offert est infini et fonctionne partout ici. Il contient beaucoup de vérités à trouver ici-bas sur la terre et la Terre, les sources, ruisseaux, rivières et fleuves, monts, montagnes, coteaux, etc., et sur tout ce qui vous nourrit.

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Chârost (18) toponyme mythologique d’une longue Histoire de liens et d’attaches

A illustrer brillamment comme vous voulez… cet article fleuve… et rivières.

Mère cure, Bourbon, Dis Pater,

Jupiter, Arès, Apollon, Charon,

Héphaïstos, Vénus…

pour comprendre cet article, il faut avoir la culture des anciens… articles.

Donc remontez un peu le cours de cette découverte apocalyptique de Chârost.

Liste mythologique : convergence, sédiments, lie, marc…

Outre l’évocation des animaux-totem-dieux comme le mammouth, sa trompe et son gros son, crottin s’il en naît, le poisson, α, halle fa… à défaut de baleine, le coquillage ouvert avec sa chair offerte sur sa nacre blanche, ώ, la tortue et ses écailles en forme de feuilles (La Folie, feuille, carapace, écaille, φολίς…), l’agneau à sauver, à castrer ou à égorger, le porc domestique, sanglier, sang lié, où sangle y est, copain comme cochon (Les Soudis, συώδης, évoque la gloutonnerie du porc, le sanglier sacré aux yeux des Gaulois, le fouissement, les Enfers… les non-dits… mais aussi, la force, l’entêtement, la cocasserie, la spiritualité, la gadoue, la pudeur et la modestie), le chien à Troie tète, lui, la proie et le chasseur, meilleur ami de l’Homme, le cheval, plus belle conquête de l’Homme qu’on quête, etc., outre les éléments essentiels, le ciel, le Soleil, la lumière, le roc, la terre, le feu, le sang (Milandre, et son vermeil), le lait, l’eau, etc., outre les plantes utiles ou dangereuses à l’Homme, comme le lin avec ces fleurs bleues à cinq pétales (pour voir le rapport avec la Vie, l’urgence, la gravité et sa torsion, il suffit de demander : contact !), outre les notions de cultures, d’agriculture (les Beauces, terres très anciennes), de terres, d’argile, de sables, de pots, de peaux, de faire, de fer, de protection, de sommeil et d’éveil, de passages, de chas, de gué, de pont, de traversée, de courroies, d’essieux, de chars, de roue (notamment celle des réincarnations dans les croyances gauloises, ici perçue à partir d’Issoudun, ou des anciens finages protohistoriques plus ou moins patatoïdes), de faulx, avec les notions de morts, de dés, de hasards et de destins, etc., présents dans le nom de Chârost ou dans des toponymes voisins, nous y trouvons cristallisée la culture des dieux païens et du sacré des anciens…

Une bonne paire de lunettes ? G’astronomique ?

Ainsi le méandre de Chârost, que tout le monde prend pour un carrefour, ou une concession à chars, est une sorte de convergence, de sédimentations, de lie, de marc de raison. Il semble s’y être cumulé à travers l’Histoire, et à travers toute la très longue Préhistoire que le nom même de Chârost fait entrer par l’écrit et les cris (de joie ?) ou les onomatopées dans l’Histoire, une quantité invraisemblable de dieux romains, gaulois, voire plus anciens encore, et des concepts cultuels chrétiens orientaux, déjà présents sur place avec un sens différent, comme Saint-Georges, le Grand Martyr anatolien, Saint-Michel, Archange (à prononcer “arc en jeu” en pensant à l’ancien dieu Apollon, à la révolution terrestre et à sa balistique observable avec ce casque, ou un crâne, voire un crâne d’œuf, tel un geai, un poisson, une tortue, une couleuvre, une grenouille, une grue…), dont les noms, aujourd’hui chrétiens catholiques romains, ont sans doute précédé ces cultes historiquement récents, nécessaires relais et sauvegarde de ce grand Tout, de ce grand fourre-tout, de ces Mondes, celtes, romains, germains, etc., et de l’Univers, c’est-à-dire, selon la définition du dictionnaire (le dictionnaire latin-français Félix Gaffiot, par exemple) : la catholicité (de katholikos, καθολικός, καθολικῶς, en grec à relire dans le dictionnaire Le Grand Bailly) généralité organisée autour de la religion, qui signifie seulement étymologiquement : relire, observer avec attention, revoir…

sans doute pour apprendre ce qui Est !

Sang doute ?

Y avait ?

La rue du Bourbonnais, au Grand Faubourg, évoque une rigole aboutissant à la source chaude, sacrée, de la Fontaine Rougeline, source qui l’hiver a toujours été probablement moins gelée, sans doute un peu ferrugineuse ou argileuse, rouge, par rapport au terroir, une fonte-haine, plus pure et moins souillée, que les eaux stagnantes de ces marais de ces méandres de l’Arnon. La souillure des lavandières, puis le captage de ses eaux, ne permettent plus d’en voir les vertus ni l’aspect. La responsabilité de Chârost, le casque du guerrier, son équipement, sa brillance, son éclat, sa saine transparence, sont là, dans ses coquillages d’eaux douces, voire dans ses alevins, ses têtards, etc., ces muses, ou bien dans ses écrevisses, voire ses mouches domestiques, ses taons, ses guêpes, ses grosses mouches bleues à viande, etc., en cas de présence de bestiaux à cet abreuvoir qui, par son attrait, pouvait attirer trop de troupeaux, voire des nomades anthropophages africains ou des barbares invasifs tortionnaires orientaux, point d’eau saine, ceinte, sainte, qui pouvait, par bousculade, noyer ces bestiaux, ou tuer ces nomades et par(T)-à-sites déracinés par leurs faits guerriers, et ainsi polluer tout l’aval par leurs charognes, dans cette descente aux eaux ferrugineuses, sableuses et argileuses, cette résurgence des Enfers, au bout de ce dé-mont, démon par facilité. Dans Bourbonnais est évoqué, Bourbon, Boruo, Borveau, Bourboule, etc., partout présent en France, dieu gaulois des sources chaudes et des Enfers, des âmes perdues… mais aussi surnom du bourreau et du bourot, le petit canard… en ce “coin, coin, coin”… Plus que de la superstition, il s’agit d’un post-it, pour un compte pour adultes, pour un comte, ou un duc, voire un aqueduc, par noblesse, ou bien d’un conte pour enfant en attendant qu’il prenne ses responsabilités à ce propos autrement que par usurpation, vol, appropriation, via quelques accusations typiques des sectes orientales des prédateurs esclavagistes empoisonneurs de puits et de sources, car l’enfant, la première source chaude qu’il a pu rencontrer fut celle de la bouche, du sein ou des effluves de sa mère, en attendant de pouvoir éventuellement survivre (une fois sur deux, généralité, καθολικῶς, des statistiques démographiques, science annexe de l’Histoire), et, en apprenant la patience, passé 12 ans, en espérant pouvoir éventuellement comprendre et recevoir la parole salvatrice du Père, et de ses buées, de ses suées et autres vapeurs d’eau de ses trop rares paroles entre deux taches sur ces “Joues”, ces Jo-Jo, ces sommets agricoles, sa cime cognitive et pluri-sémantique de singularité plurielle et de pluriel singulier.

C’est pas jojo… pourtant ce fut, paraît-il, un nymphée romain…

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Chârost (18) toponyme néolithique de faux net tique ?

A illustrer brillamment comme vous voulez…

pots, peaux, laies, laits…

blés, loups, moutons, parcs…

du Néolithique, nés au lit,

tiques à Chârost

pour A, α… Ω, ω.

moutons 6032

L’Arnon est à gauche au premier plan, l’agneau selon le grec, ἀρνός (arnos),

(((((((((( l’Agneau de Dieu ; AGNUS DEI )))))))))))

ἀρήν (arène), le jeune agneau, le mouton… urh-en-, en indo-européen,

qui est en rapport avec ἀρνός, ἀρήν, Ἄρην, Ἄρης, Arès, dieu de la guerre,

l’orage, le combat, le char, l’host, les arènes, les sables scintillants et le sang,

notamment du jeune agneau, de sa peau, de la toison : ἀρνίον, ου (τὸ).

Photo d’archives Nicolas Huron

Tout comme les prairies, les prés, les lieux humides, les pelouses, notamment des prés salés des golfes, comme celui du Lion ou celui de Gascogne, des zones nordiques, etc., mais aussi la broderie, l’abondance, la fleur de la jeunesse, les plaisirs… ont avoir avec le limon, le bon sable argileux éolien des plateaux ou alluviaux des vallons et des grands épanchements anciens, et le mot grec λειμών (léïmon), le nom de Chârost porte en lui sa blessure, ou plutôt l’insistance de la répétition de la blessure, notamment celle de l’araire… voire du vile fossé de clôture de fondation d’une ville pour y conserver les blés… voire des voies… et parfois des cris déchirants des voix… alertes.

DSCN4442

Les blés, une plante imposée ici, bahutée du Moyen Orient, d’Ur, de Babylone, etc.,

au sud de la Turquie actuelle, synonyme en toponymie de loups,

bête inconnue ici au Paléolithique, chaud ou froid…

Photo Nicolas Huron

Une géomorphologie néolithique décapée dans toute sa splendeur.

La Grande Charruée Milandre les Cloires Chârost 3

Si vous n’y croyiez pas, les preuves de l’épreuve par la suite…

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