Singularité plurielle et pluriel singulier en toponymie (8)

Dog ma tique… Queue t’y ma-god(e) !
Ver lent à rendre bit les Beatles… ?
Haut ! Pho…, faut que m’aille GOD !

Une découverte déjà ancienne mais récente en toponymie

Les artistes, artisans, paysans, utilisent ces procédés depuis toujours comme des passeports, reflets miroitants, de l’intelligence et de la compréhension de leur public, client ou esclavagiste, pour faire entrer petitement, progressivement ou brutalement, ses derniers dans le monde réel ou imaginaire de leurs créations au sein de la Création, aux saints de la Création…

Echo, rebond, ricochet, cernes d’eau, dans un cirque naturel ou une église…
jet et écrasement ou collage de mottes de terre, sur une chaussée ou un menhir…
sont parmi les premiers phénomènes à faire vivre et à faire survivre en enfance.

Souvenirs précieux !

Elle en permet l’usurpation, l’usure passion, l’US(e)-UR-PASSION… qui en préserve une partie parfois suffisante pour en comprendre le fonctionnement et les savoir-faire !

Me(t)s point(s) trot n’en fff’aux…

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Singularité plurielle et pluriel singulier en toponymie (7)

Quelle est la couleur du sang ?

Voir la réponse ci-dessous !

Lire une phrase n’est pas la même chose que d’entendre son phrasé.

Exemple sur une phrase connue commune, un phrasé commun :

On est pas conscient de grand’chose.

Cette phrase est scellée par les mots, les maux, les  lettres, la lettre, la Lettre (en tant que singularité pluriel) et sa grammaire propre imposée.

Cependant, à l’oreille, un Français sait que c’est un phrasé commun, courant. Il est comme l’eau courante, il fait passer, parce qu’il est d’usage, avec tout un tas de notions sans qu’on puisse s’en rendre compte.

Un phrasé ! Un feu rase… et ? Un feu re’azes est ? etc.
”azes” signifiant “mouches” en français, éventuellement “mouches à miel”
voire ânes, voire têtards, etc.

C’est à apprécier très lentement, bien que cette habitude soit perdue.

Ainsi :

– On n’Est pas qu’on sied en d’oeufs Grand Chose…
– On Est pas qu’on sied en deux Grand Chose…
– Aulne est pas qu’on scie en deux grands chauds OZ…
– On naît pas con, sciant de grands choses.
– On est pas (pied), conscient de grand’chose (en rapport avec le voyage).
– “-on” (suffixe “unité, étendue”) n’est pas conscient de grand chose.
–  Hont (fontaine en vieux français du midi toulousain, sans doute prononcé “honte”) naît, pas qu’ont CI (courbe, méandre, siège, résurgence… en toponymie) en deux grand cheu Ôzzzzz… (en s’y connaissant un peu en géomorphologie…).
– Aulne né, pas con, sciant d’oeufs, Grrr rend chaud ose (« On est” pouvant se prononcer aussi “Haut né”).
– ON n’est pas qu’on…, si en Grrr, rends choses !
– Etc.

Personnellement, en mon sang, de par ma nature, et ma culture française, étant descendant de paysan, j’utilise ce phrasé, mais trouve curieux que les p(h)arisiens nous en imposent la forme, les mots, l’aime mots, les maux, et l’aime haut, etc.

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Concernant Moncé en Touraine…

sans doute dans vos cordes, dans vos compétences…

Photo numérique de Nicolas Huron
d’une photo sous verre encadrée de Nicolas Huron

L’apprentissage de leur orthographe a été pour moi un véritable travail, pour ne pas dire une atroce torture, le mot “travail” signifiant au Moyen Age “torture” (tout médiéviste le sait), tout comme “question” qui pour celui qui la pose exprime effectivement une queste, une quête…

« Questions », verbe quêter au conditionnel conjugué à la première personne du pluriel. Sans doute doit-il s’agir d’un monstrueux et commun handicap et… ? Raie ponce !

Généralement, ce sont des gens comme moi,
issus de la paysannerie et de ses infinis savoir-faire,
ou issus de son parasite qui en est tissu, l’artisanat bourgeois,
qui le font réellement leur ponçage…

En toponymie, c’est pareil…

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Singularité plurielle et pluriel singulier en toponymie (6)

Pour l’Homme et r’homme, Rome !

Oh ! Meuh…

Boue t’y queue !

Nous pouvons ici présenter une extension de la vérité découverte en travaillant sur le toponyme multiple, et donnant accès à l’infinie Vérité, de Saint-Cyr-en-Bourg.

J’ai proposé, en vain, au monde de l’édition francophone p(h)arisienne et autre, en 2012, mon ouvrage baptisé APO pour faire une plaisanterie, au sujet de la prédiction maya du 21 décembre 2012 sur le changement de monde à cette date, calcul très étrange auquel je crois puisqu’en tant qu’historien, si quelqu’un croit en quelque chose, même avec idiotie, cette vérité existe pour cette personne et est donc à prendre en compte dans l’existence de l’Histoire comme science humaine de toutes les sciences, mêmes dites exactes.

En l’honneur du très respecté calendrier maya…

Entête Apocalyspe 2

Comme votre perception du monde n’est pas la mienne, le but du livre APO était de vous faire entrer dans mon monde afin que vous puissiez me comprendre et comprendre ma façon de voir mon monde, mon continent, mon pays, ma campagne, ma région, ma ville, etc.

Extrait de l’APO de 2012…

Voici donc une proposition de parcelle de vérité à propos du fonctionnement des singularités plurielles et des pluriels singuliers :

Il y a des associations conscientes et des associations inconscientes. Certaines sont cohérentes, comme penser qu’une pomme est bonne à manger, et d’autres sont incohérentes comme penser que le porc est indigeste pour l’âme. Le processus de toutes ces associations est automatique. Seule l’institution, ici, présentement, dans ce livre, d’une nouvelle science portant sur celles-ci peut être utile au jeu.

Voir dans le noir un symbole de puissance, donnant par son utilisation un sentiment de puissance, comme le firent les SS hitlériens avec leurs uniformes Hugo Boss, ou comme le font les fabricants d’automobiles ou de matériel high tech, est l’utilisation consciente et volontaire d’une association automatique inconsciente. La peur du noir peut être ainsi appropriée pour sa propre domination, sa propre mise en valeur, faire peur à autrui et exprimer une puissance. Avoir un véhicule aux vitres teintées de noir, porter un costume noir et des lunettes noires donne un certain prestige et développe automatiquement chez l’observateur un sentiment de crainte. C’est automatique. Ces associations automatiques du cerveau conditionnent nos comportements, enfin, tous VOS comportements jusqu’à présent.

Le pire des imbéciles animaux robotiques nazis conduira un 4 x 4 noir avec des vitres fumées et des gros pneus car il veut bien faire savoir à tout le monde qu’il a des grosses burnes, qu’il a de la puissance et qu’il ne faut pas venir l’emmerder. C’est bestial, animal. En s’appropriant le noir, il efface ces propres peurs. C’est un procédé animal d’intimidation d’autrui pour se rassurer soi-même. C’est très dinosaurien.

Les dinosaures, comme les tyrannosaures, sont devenus énormes parce que leurs femelles avaient des sentiments mêlant crainte et besoin de protection et de domination. Les mâles montent sur les femelles pour se reproduire. Les mâles les plus gros remportaient la partie et l’espèce grossissait, grossissait… Les mammifères comme le cerf, l’ours, etc. sont-ils différents ? Rappelons que l’homme est un mammifère, que sa taille moyenne grandit et que son argent conditionne son pouvoir, notamment son pouvoir de séduction. Des caricatures animales, les grosses fortunes, naissent ainsi par affirmation de soi et demande des femmes tout en exacerbant la jalousie des … (mot censuré) gauchistes.”

Comme ce livre a été refusé et n’a pas été édité avant le 21 décembre 2012, il est donc un artefact de 2012. L’historien et l’Histoire ne peuvent le voir qu’ainsi, c’est-à-dire obsolète, mais il peut encore se lire pour quelqu’un sachant comprendre un peu le français.

Il ne peut, évidemment, en aucune manière se traduire dans une autre langue sans insulter son auteur et en dénaturer totalement le contenu.

J’ai écrit à l’époque, dans son introduction que je peux vous envoyer, que pour l’apocalypse prévue pour cette date, vous n’auriez que lui. Vous pourriez vérifier sur simple demande.

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Une invention déjà vieille de 1983…

Etudiant en seconde année de DEUG d’Histoire à Tours, en 1983, à l’âge de 20 ans, j’ai fait une découverte absolument bouleversante et effrayante, répondant à une question que je me posais depuis le CE2, découverte ou invention m’ayant permis de construire à l’époque la grammaire des singularités plurielles et des pluriels singuliers, et, cela malgré une sous-alimentation m’ayant fait perdre 45 kg (je fais actuellement 90 kg avec un QI en équivalence numérique de 162 % de ce poids) pour faire faire des économies à mes parents en difficultés financières à la suite du Plan Barre, plan gouvernemental ayant totalement ruiné le monde du Bâtiment, pour quelques cimentiers célèbres, mon frère et ma sœur étant encore eux-mêmes à l’étude…

Cette découverte fera l’objet de mon prochain article sur le sujet…

Ah, ah, ah la la !

AAII, AACI, AACC, AAIC…

Si vous avez un pro blême, genre « haut livé » (écrit Olivet ; 45, Loiret), de singularité plurielle ou de pluriel singulier dans la tuyauterie, faites appel à un expert de 37 ans d’expérience, sans compter le CE2.

Bous tique !

Boue t’y queue !

Oh ! Meuh…

Pour l’Homme et r’homme, Rome !

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