Petit cadeau sémantique poétique 001 : Amboise

Amboise , en, an (in-, a-, non-), ou han, ou âme, puis… ou bien ambe, rivière en gaulois, puis boise (un ordre ?), ou bois, ou bien bussus, lèvre ou pénis en gaulois (on a le mot “buse” en France à propos du tout à l’égout), boue a, bout a, etc.

Bois ! ça, c’est du bon bouleau…

Ou bien, ambe et uassos, serviteur, soumis en gaulois, proche de “oiseau”, ou de azes, mouches à miel ou autres mouches… faune éthique phonétique, « oise » étant un peu synonyme de « aise ».

En bois œufs… Ambe oies œufs…

A la campagne, on dit plutôt « Ambe où aise », ou bien « en boue aise », à la ville, on dit plutôt « Ambe ou azes » (pour comprendre, la plaisanterie, relire la Fontaine : Le rat des villes et le rat des champs… libre de tous droits). La rat des viles, des vies ill et le rat des chants… selon moi(s)…

La rivière de bois en boue a son navire île ?

En latin, si on prononce « a », « ai », “è”, “ê”, Ambasia, Ambazia, Ambacia, Ambatia… devient ?

Aime…

Allez, un Effe fort !

L’Amasse ? et ses hospitaliers ?

Saint Thomas ?

Je suis allé visiter récemment plusieurs fois la paroisse de Saint-Denis d’Amboise, vocable classique des cimetières mérovingiens, curieux titre… Magnifique ouvrage !

Envoyez une photo libre de tous droits.

Je verrai si elle mérite d’être ici…

Amboise abrite toujours des curiosités prétentieuses en observation.

A vous de chercher !

Vous pouvez toujours me demander une petite liste non exhaustive…

Contact !

Si vous pensez Léonard de Vinci intelligent, ou Michel Debré, ou autres…
vous avez quelques gênes et un gros problème faune éthique à résoudre…

Coaching ?

Pour une interprétation plus gauloise, romaine, voire peut-être germanique, “néo-classique”, républicaine, tourangelle, voire p(h)arisienne, veuillez consulter : Stéphane Gendron : L’origine des noms de lieux de l’Indre-et-Loire, communes et paroisses anciennes, Chemillé-sur-Indrois : 2012, Editions Hugues de Chivré (tous droits de traduction, de reproduction et d’adaptation réservés dans tous les pays) à 14,90 €.

Le dernier phrasé semble totalement contradictoire avec les progrès de la science historique, science de toutes, sachant qu’un monopole est forcément criminel ; mais je crois que ce n’est qu’un linguiste et non un historien.

Logiquement, je devrais pouvoir le citer, mais… il vaut mieux être un peu prudent…

Ethique de l’historien.

Y en aurait-il voulant déposer des droits d’auteurs sur là, plat net, Beauce ?

Sur ces génocides successifs ? Sur l’arrêt de la marche du progrès ?

Qui sait ce qu’il mange et ce qu’il respire ?

Gare aux goths gores… ris “–ille” !

Par azes it ?

de A à Z

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Faire entrer la Préhistoire dans l’Histoire : sens écrits…

Mise à jour !

A l’étude des toponymes, les noms de lieux, des communes d’Artannes-sur-Thouet et de Saint-Cyr-en-Bourg (49 ; Maine-et-Loire) et de leur environnement, j’ai découvert une cohérence environnementale présentant une faune ancienne et un environnement naturel pré-romain, protohistorique, c’est-à-dire gaulois, datant de l’Âge du fer, et même plus sûrement plus ancien, néolithique, voire même paléolithique.

Fers en traits, la Préhistoire dans l’Histoire sans ses cris…

Mais d’où sont venus ceux qui ont détruit la phonétique
et la faune éthique de Françay (41 ; Loir-et-Cher) ?

D’Occident ? Il n’y a là-bas que l’Atlantique et peut-être l’Atlantide…
des saints-pierres, des loutres de toutes eaux vives, des millions de bébés phoques…

Un environnement naturel détruit mis à jour

Mon étude et mes comparaisons de terrain, m’ont conduit à constater que certains toponymes évoquent le souvenir d’une faune éthique disparue à travers la phonétique subsistante :

Artannes-sur-Thouet, avec son évocation de la proximité (are-) des chênes verts (tan-) de ses sols crayeux, avec ses ours (art-) hibernant dans des caves, ou trous, ou troglodytes (an correspondant à in, en, ou marque de contraire ou de négation…), ou ses mêmes ours, se gavant pour leur hibernation en tannant des saumons sur ce resserrement du relief de cette large vallée leur rendant accessibles les berges du Thouet, qui quand on le prononce “Thouette”, comme on me l’a fait savoir localement, évoque la sonorité de la goutte d’eau qui rebondit, ou celui d’une onde, d’un écho, le son du goutte à goutte dans une grotte, un troglo, une fuite, le son de deux bouquetins se frappant, et leur écho, représenté dans la grotte de Lascaux où on ne sait pas si le second, en ombre blanche, est bien là, la répétition des batraciens, l’éclaboussure du pas de l’élan, et de celui du renne dans la neige, pas encore travaillé au Cadre Noir de Saumur sur un animal dont ce n’est pas le pas, l’éclaboussure de l’épinoche, la prise de l’alevin par un échassier, ou son saut, ou la prise ratée de l’aigrette, ou le geste de la punaise d’eau, ou celui de la bergeronnette posée et hochante, ou celui de la mère carpe, la grosse mère, Ève, l’eau, la mère de tous, la grande muette, qui, grosse de ses œufs, appelle, sur la berge, happant l’air, pour être prise par moi-même, homme local, ou par la grande aigrette, ou par le héron cendré, pour transport, pour aller pondre ailleurs… et prolonger plus loin le Vivant, ou le pas léger et levé de paysan laboureur de mon grand-père à qui je dois cette connaissance instinctive et à son fils Michel qui l’a fait réellement pour poissonner plus loin un étang neuf…

Le « plongeons » salvateur de la guerre noue -ille…

Le plongeon salvateur de la grenouille…

Geste de rapport à l’eau…

Effets, Effe Est !

Tout êtes ?

Tout Est !

THOUET

prononcé en anglais : thouet, th…, souhaite ?

to WET !

Saumoussay, avec ses saumons, et les bulles de leurs frétillements, et sauts en ce barrage naturel, les mousses des frayères, la mousse de ce coteau humide, au brouillard écrasé dans le sous-bois de sa pente, sa hauteur, Houssay, sa somme du Vivant marin de sa falaise de craie du Crétacé, et son argile détritique dégoulinant, les housses ou houses des hommes et des femmes, et l’interrogation dans ce brouillard et cette végétation : somme où ? c’est ? Au sein, haut ceint, hausse Hun, de cette dépression humide faisant face aux vents dominants… mais à l’abri de quelques astres orientaux, mais non de leurs tsunami… T’sous n’a mis ? Mousse du Crétacé crée tassé…

Sceaux, seaux, sauts, sots, s’haut… me…

Moue c’est, moue Cé, mousse et…

US A prononcé à la romaine.

Sot mousse est…

Saint-Cyr-en-Bourg, avec ses nichoirs d’aigrettes sur des ormes géants et leurs allers-retours vers la rive et les marais, leurs plumes en plumards en bourre, les mouches à miel et leur cire en bourre, et le sire, taureau blanc, l’auroch, Our, Ur, et sa rivière, ambe, encerclée dans une plaine alluviale, presque un estuaire, ou un confluence, en bout remontant parfois de la Loire, mais aussi son plateau ceint, sain, saint, sein où s’insérer dans un trou, en bout de grotte, peut faire croire au verbe aller au futur : irai, iras, ira, irons, irez… irant ? Dans la rivière où tout est, ou dans la mer de craie du Crétacé ?

L’ultra son du scanner de la chauve-souris vous traverse en échographie !

Moi aussi ! Penser panser ! Panse est ! C(h)oeur !

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Lascaux, Lasse Caux… avec tes tripes infectes et leurs peaux…

Tel un excrément contemplant ses nourritures marquant à jamais cette craie poreuse…

triste condition humaine masculine… dévoilée en secret en moments providentiels…

Merde ? Mère de… ? Crottes dans une grotte ? Cendres ? Tentures minérales ?

Empoisonnement destructif ? Tube digestif ? Happé rite if ? A pet rit tif ?

Ancre raie t’a C ? En craie tassée, en Crétacé ?

En crête as c’est ? En queue, raie t’a Cé…

Cocorico ? Coq au riz Co ? Coco rit qu’au…

Coques caux or y… ? Coque hors y qu’au…

Doux et de c(h)amp ? d’où et de quand ?

Hum heures de dinosaures marins,
de tortues marines, d’éponges,
de coraux, d’ammonites…

Dîne hauts hors !

Dîne, ose, or…

Nos stalles, j’y… ?

N’hausse, t’as le J.

Berger, berge, j’ai ri coché…

Pour amender les terres de la Terre et y chasser les loups !

Bats ceux que… ? Bât se queue… ? Basse queue ? Bas ce qu’eux…

Culture ? Culte Ur ? Coûte Ur !

Sain si rend boue re…

amendement

Chistera !

Terre…

TERRE !

ERA !

Tu as perdu la boule, chair y… œufs ?

et la terre de la Terre, alors… ?

erra ?

Et la Préhistoire entra ce jour dans l’Histoire…

L’Histoire est avant tout une science travaillant sur l’écrit. Pas d’Histoire sans écrits. Cependant les historiens utilisent depuis longtemps aussi le graphisme, la représentation… En fait, c’est une science qui intègre toutes les sciences, la géographie, la géologie, l’agriculture, la culture, la couture, l’artisanat, etc. La liste est infinie.

Inventez-en d’autres ! L’Histoire les absorbera, même si elles sont fausses.

Si la toponymie nous donne des indications, par sa phonétique, sur la faune éthique naturelle et due, cette petite science annexe de l’Histoire, très récente, fait entrer la Préhistoire dans l’histoire, dans l’écrit.

Art à noeuds ?

Ceint si rend bourre…

Tu tirerais la couverture à toi(t) ?

Tu tirerais l’à-coup vert Ur à toits ?

Fameux savant te… ?

Q rieuse ?

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Paris, Tours, Sens… principe vil(l)e du char(r)on

Est-ce Jules César ou César Auguste ou Tibère qui fonda la ville de Tours ?

Raison gardée !

Il faut rendre à César, ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu” (Bible ; saint Luc : 20-25, paroles de Notre Sauveur Jésus Christ ; Ier siècle de notre ère).

Jules César ? César Auguste ? Tibère ?

Quand cette célébrissime phrase fut prononcée par le célèbre asiat’tique, elle ne pouvait concerner, en la circonstance, face au harcèlement p(h)arisien des « lettrés » et des grands prêtres, au premier chef, non les dits p(h)arisiens qui ont toujours un peu de mal à savoir ce qu’ils mangent et ce qu’ils respirent, mais bien, à la base, que trois ou quatre personnes maximum : évidemment, de par son ascendance et l’ancien mandat de pharaon, Jésus de Nazareth, lui-même, descendant de David, futur Christ, interpelé, questionné (synonyme médiéval : torturé), pourchassé, menacé de kidnapping, de torture (synonyme médiéval : travail) et de meurtre ; Jules César que l’on ne présente plus, hélas, et qui était encore peut-être représenté sûr sur certaines pièces en circulation ; César Auguste premier empereur son fils adoptif déifié représenté probablement sur une majorité de monnaie à l’époque ; ou Tibère, second empereur et César du moment.

Oui, mais quel dieu ? La liste est là-bas, à l’époque, très longues.

Il faut d’abord savoir que le dieu de l’époque à qui était surtout réservé les sacrifices, dans cette partie asiatique, appelée aujourd’hui Moyen Orient, de l’Empire romain, ce dieu principal, suite à la Guerre civile, était César Auguste, fils adoptif de Jules César, honorable père de famille, conquérant de l’Égypte ptolémaïque grecque. Ainsi la phrase « Il faut rendre à César ce qui est à César, et à Dieu (César Auguste), de qui est à Dieu (César Auguste) » semble une plaisanterie, un peu rire jaune (sinon on peut mettre « Y avait » comme traduction possible). Le choix de la majuscule est purement d’époque… et nullement un choix typographique éditorial militant, car l’Histoire est la science de toutes, considérant qu’Il nous avait demandé de conserver sa Parole. Un enregistrement ?

Pour rendre témoignage de la Vérité… Laquelle ? Elle est vierge ?

Avec l’eau du bain !

Nous allons partiellement essayer de répondre ici à cette obligation infinie, singularité plurielle et pluriel singulier, pour les villes françaises de Paris, Tours et Sens et pour quelques gros bourgs locaux, dans ma région, Bourges n’ayant été avant la Guerre des Gaules et après, qu’une très jolie grosse caserne militaire largement embourgeoisée, et Orléans ayant été rayée de la carte et du menu. Quant à Chartres…

C’est l’école-logis ou les colles-logis ?

Le principe élémentaire du char(r)on

Quand on est esclave, ou serviteur d’une vil(l)e comme Rome, certains principes élémentaires de fonctionnalité s’imposent, pour la gloire de Rome…

Les Gaulois, barbares germains celtes, d’Europe d’orientale, voire d’Asie, esclavagistes un peu civilisés, se posant encore la question de l’opportunité de leur cannibalisme à Alésia, véritable gale, de ma région avant l’invasion romaine et sans doute quelque peu après, n’avaient pas une telle intelligence de service.

En effet, les Gaulois, se défendaient généralement sur les hauteurs de leurs oppida, vil(l)es forteresses, ou en villages bunker, ou en ferme blockhaus, en attendant la livraison de leur denrée, et autres bricolages artisanaux, par les esclaves sous mis et sous jacents locaux qui n’avaient que le choix de la leur mettre. Le charron, avec sa charrette, doit alors monter tout ce bordel à pleine charge, puis doit redescendre à vide.

Quelle conne rit ? Quelle connerie !

Enfin, on sait, à travers le récit de la Guerre des Gaules, de Jules César, que ces Gaulois, « chevaliers » (dans les faits des cavaliers tagada tsouin tsouin sans aucune noblesse digne de Rome… le cheval offrant cette confusion à Jules César…) ou druides (réciteurs de vers appris par chœur et par cœur, c’est dire la perte de taons et de temps…), s’il en naît, avec leurs épées ou serpette d’or, n’étaient même pas capables de bêcher et de monter un simple remblai. Leur masse servile sachant par naissance tout faire, sinon… quant à eux, les Gaulois ou Celtes d’Orient se plaisant à ne rien savoir faire ou pas grand chose, comme esclavagiste matriarcaux, sinon…

Un Romain, esclavagiste, en pire, s’il en est, sait, lui, qu’il doit servir Rome et ses jolies romaines et autres sacrificateurs des colombes de Vénus pour Jupiter, sinon… peau de balles…

Saint-Julien de Tours (37)

Saint-Julien de Tours (37)

Abbaye Saint-Julien de Tours… digne héritière de l’Eglise catholique romaine,
héritière de l’empire romain, héritier de la république romaine…
de J. C., d’Auguste, de J. C., et de saint Julien.

Vous en mangez encore, autour, voire face à elle…

du bon calcaire descendu et monté sur du sable…

Photo 1989 Nicolas HURON
en juillet ou en août… july or august…

Donc, principe élémentaire : livrer en bas et remonter à vide.

Livrée livrée en bas et remontée à vide ?

Bienvenu(s,e, es) et bon appétit !

C’est du bon calcaire…

Descendance ?

Ortho…

La réorganisation de la Gaule par Agrippa

En 27 avant Jésus Christ, au crépuscule de la guerre civile romaine initiée par l’assassinat de Jules César, quand Octave fut proclamé Auguste, ce dernier délégua et mandata Agrippa pour réorganiser la Gaule au profit de Rome.

C’est encore, en corps bien, environ(s) notre paysage actuel…

qui se mange lui… comme J. C. !

et se fait manger…

sauf en vil(l)es en ce moment…

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