La langue et toponymie gauloise se rit en grec

Lis, la langue gauloise rit et lie

Il est à constater qu’en langue française un mot ou une expression peut avoir plusieurs sens phonologiquement parlant, par l’an, par lent, pas relent, par relents, etc… C’est un constat « scientifique » que tout le monde peut faire, Toul mont de… Tout l’euh m’onde…

Peau aise-y… Poésie ?

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Impressions fosses ou impressions fausses ? 1914-1918 !
Photo prise en forêt de Blois le 21 mars 2019

Photo Nicolas Huron

Les gaulois se servaient de l’alphabet grec presqu’uniquement pour leur comptabilité et leurs écrits commerciaux. Leur poésie, leurs acquis scientifiques, technologiques, leur littérature, leurs « lie tes ratures », leurs « lie terre, as-tu re… », etc., n’étaient jamais exprimés à l’écrit. Pourquoi ?

Une langue indo-européenne fonctionnelle et vivante ne peut s’écrire, tout simplement car les sons articulés par la langue parlée, 36 phonèmes en français (36 chants d’elles), sont trop peu nombreux pour exprimer l’immensité de la culture de ce pays et les richesses de son vivant : animaux, plantes entretenues par les animaux, minéraux, minéraux travaillés par les hommes, air, aires, ères, hères, etc.

Le français est une langue grammaticalement logique et articulée. Elle fait appel à des retours en arrière, à des références infinies, etc. Par comparaison, les langues germaniques ne sont qu’une suite linéaire d’éléments agglutinés les uns à la suite des autres, généralement volés et dont le sens est discutable, voire très moralement contestable. Les langues germaniques ressemblent en cela à du « petit nègre », voire à des suites d’idéogrammes chinois ou japonais, ressemblant étrangement à des tampons de poteries volées mis les uns à la suite des autres par quelques épiciers ou quelques pillards revendeurs.

Paieront-ils les dommages de guère ?

Laid dôme à jeux de guerre ?

Boom heures ?

Gai air ?

La description de Jules César de ce phénomène :

La description de Jules César de ce phénomène de Jules César a été traduite ci-dessous.

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Théo, Théodon de Proprières (Rhône), la Théols (Indre)… les dieux de pierre

Théo, un prénom déclinable spirituellement divin

Théo est une racine linguistique plus riche et plus complexe qu’on peut le penser aux premiers abords. On en apprend énormément à travers les dictionnaires, notamment en parcourant celui de Marie-Thérèse Morlet, Dictionnaire étymologique des noms de famille (Perrin, 1998, Lonrai) avec un peu de compléments donnés par Le Grand Bailly, Dictionnaire Grec-Français d’Anatole Bailly (Hachette, 2000, Vanves).

Selon ce dictionnaire, Théo semble, bien sûr, la contraction des :

Théodon (Théodat, Théodet, Théodelin), qui apparaît comme un nom d’origine germanique, Theodo, construit avec theod, « le peuple ».

Théodore (Théodorel), qui est un nom d’origine grecque, Theodoros (θεο·φόρος, qui porte un dieu, nom qui renferme un nom de divinité) qui apparaît sous la forme latine Theodorus, prototype des noms théophores, signifiant « don de Dieu », nom popularisé en France par plusieurs évêques (Fréjus, Sens au Ve siècle ; Marseille, Tours au VIe siècle) et de nombreux saints.

Théodule qui est un nom d’origine grecque, Theodoulos, « esclave de Dieu », nom popularisé par de nombreux saints, dont les deux évêques de Sion-en-Valais au IXe siècle.

Théophile qui est un nom d’origine grecque, Theophilos (θεοφιλῶς, adverbe signifiant  « avec amour pour les dieux, d’une manière agréable aux dieux ») qui apparaît sous le forme latine Theopholus, c’est-à-dire « ami de Dieu ».

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Cernunnos, dieu gaulois de la prospérité, personnification de la Nature…

(Musée Bertrand de Châteauroux – gravure tirée d’Eugène Hubert)

Bas relief d’époque romaine provenant de Vendoeuvres (36)

où est conservé un autel votif dédié à Auguste

T’es haut ou pas assez ?

Précisons que les patronymes Thiaud, Thiaude, Thiaudat, Thiodat, Thibault, Thibaut, Thibeau, Thibeaud, Thibeaut, Thiboud, Thibout…, Thibierge, Thiberge, Thibert, Thébert, Thiebert…, Thibeuf, Thiébaud, Thiel…, Thierry, Thiéry, Théry, Thion, Thouard, etc., sont aussi construits avec la racine theod, « peuple ». Ils sont très nombreux.

Et, en breton, Théo, ou Le Téo, est un sobriquet qui désigne un « gros », surnom que l’on trouve aussi sous la forme de Le Theiff ou Théon.

En breton, Théo est aussi associable aux patronymes Teodec, construit avec la racine teod, signifiant « bavard ».

Dans le Massif Central, on trouve les patronymes de Téoule, Theolas, Théolier, Teulier, qui désigne un tuilier, lié forcément au raffinage et à l’industrie de la cuisson de l’argile des fonds de rivières. Ève, È’veut !

Mais on va voir que la réalité est bien plus profonde et bien plus riche…

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Guillaume, la Guillaumière de Françay (Loir-et-Cher), les géants de l’Atlantide, et… carnaval

J. C., ça t(o)urne la tête, mais mon « Man Age » à mois, c’est toit ! J. C.

Trek culturel…

Est-ce ses dons ? Essaie donc, et cédons et c’est don…

Training, trekking, coaching… agricole, grossièrement, de Françay…

pour lutter contre l’infantiliste, infanticide, quand on y pense sans vraiment panser.

A lire et à relire, tout en s’équipant, en prenant tranquillement son temps au maximum…

Ton…. île lustre ration…

Partir de là, ci-dessous, si deux sous, si dessous…, ou de :

mon jeu de société autour de Guillaume et de la Guillaumière de Françay en grec

ou plus classiquement orthodoxe :

Pour la saint Guillaume 10 janvier, paroles d’historien

Un guillaume, une définition plurielle spatio-temporelle

D’après le grandiose et magnifique Dictionnaire du monde rural, les mots du passé, de l‘honorable Marcel Lachivier (Imprimé par Aubin Imprimeur, Ligugé, Poitiers ; Ed. Librairie Arthème Fayard, 1997), un guillaume, nom commun masculin, est selon cet extrait :

– 1/ Sorte de rabot qui sert à faire les moulures… Rabot de bois…

– 2/ Terme de maçon, faire guillaume, se placer de distance en distance sur une échelle pour se faire passer les matériaux de construction et les mettre à pied d’œuvre.

– 3/ En Puy-de-Dôme, nom que quelques personnes donnaient au mannequin que l’on portait processionnellement le mardi gras, et qu’ailleurs on nomme carême-entrant.

– 4/ Nom de Guillemot, oiseau de passage, à Saint-Valéry-sur-Somme.

Toujours selon ce même dictionnaire, un gros-guillaume est :

– 1/ Surnom traditionnel d’un valet de ferme.

– 2/ Pain grossier qui servait à la nourriture des valets de ferme.

– 3/ Ichthyol. Sur les côtes de la Manche, nom donné à une variété de raie.

– 4/ Cépage.

Sinon, le Larousse nous apprend qu’un guillaume est une toile métallique résistante, à larges mailles, placée au-dessus du tamis d’un grenoir, pour protéger ce tamis des chocs des gobilles, ou bien un type d’outils à fût de menuisier, de formes variées, mais généralement étroit et dont le fer occupe toute la largeur du fût, le dégagement des copeaux s’effectuant sur le côté (il sert surtout à rectifier des feuillures, des rainures, etc.) ou bien un rabot des ravaleurs, pour gratter des pierres.

Outils de rainurage des tambours des colonnes des temples grecs, romains… ?

Néolithique, Néo lit tiques, nez haut lie ti queues… nés au lit t’y… qu’oeufs…

Cette dernière définition fait penser au Néolithique et à ses polissoirs, comme celui du Petit-Fontenail, déplacé auprès de l’église Notre-Dame de Nourray.

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L’église Notre-Dame de Nourray (Loir-et-Cher, 41) et son polissoir…

Une suggestion de reproduction virginale par simple frottement ?

Mon étude ancienne et partielle du monument.

Scie lisse, si hommes ; si l’hisse si homme…

Complément et complétude minérale…

Gros astique caux…

Solex, silex…

Silicium…

Coco !

Serait-ce le nom original et véritable du polissoir, ou d’une hache polie, extrêmement présentes archéologiquement aux Mergers à Herbault (Loir-et-Cher, 41 ; voir les photos et mon étude à ce sujet), auprès de Françay, et surtout dans la vallée de la Sixtre, à Maves (Loir-et-Cher, 41)  ? Ma-aveu ? mât ave, aviculture de cigognes, d’aigrettes… ? Ma (mauvais) Vœux, voire mauvais œufs ?

G (comme gorge) –ille (eau) Om…

Chacun la sienne ? Le sien ?

Ah ouais ? AVE ! Avez…

Vile l’aime lisse ?

Vie l’aime ?

Wilhlem

Coucou !

Glou, glou, glou !

FLUCTUAT NEC MERGITUR

Allons plus loin et approchons-nous des fabricants des Géants de l’Atlantide… et des dieux.

Il y a plus de 330 toponymes Guillaume, ou composés avec ce nom, en France, alors imaginez les dérivés comme la Guillaumière. Guillaume hier ? Guillaume y erre ? Guillaume y air(e)…

Les révélations de la toponymie : “guille” sans en être une…

La toponymie nous en apprend beaucoup plus et va vraiment très, très, très loin…

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Une lecture architecturale langagière, géographique, géométrique… : Histoire de Françay, chœur roman (3 sur 3)

Découverte apocalyptique…

En langage informe-à-tiques anglo-saxon allemand barbare américain,

Françay s’écrit francay… c’est dys-crime-mine-à-tout-art, voire raciste ! Trace…

Pour preuve cet article se référence ainsi :  https://patrimoine-rural.com/une-lecture-architecturale-langagiere-geographique-geometrique-histoire-de-francay-choeur-roman-3-sur-3/

ou pire : Une lecture architecturale langagière, géographique, géométrique… : Histoire de Françay, chœur roman (3 sur 3)

Donc, allons-y en bon FRANCAY, halle à bonne FRANQUETTE !

Et pour les idéaux grammes chinois ? Salle pète re… ? Tesson de poterie,

QRcode des années 90 ? des années Jean Germain et des prises Jack ? Pré-histoires…

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Nuit et jour, lit yeux, lie eux… la petite mort, le sommeil, qui trône au-dessus de la mort

Le sommeil est réparateur, il se montre ici au-dessus de l’ancien cimetière…

et le matin, apocalypse des draps, de la couverture !

Et pour l’Homme, dû toit, du toi !

Est-ce une même personne ?

Est-ce un couple ?

Deux moitiés ?

Lieu ?

Rrr… euh lis lit lie…

Avec les pieds, les pillés, vers la Lune et l’Équateur

pour en attirer quelques minéraux… graves…

et les évacuer par corps, par cors…

ainsi comme c’est sculpté…

Photo Nicolas Huron

Remarque préliminaire…

Selon la définition du Grand Bailly, dictionnaire grec-français, le grec étant une des langues couramment parlées dans le bassin méditerranéen, même sous occupation romaine, au Ier siècle, pendant et après Jésus Christ, le terme apocalypse, ἀποκάλυψις, εως (ἡ) [κᾰ] désigne : 1 action de découvrir, PHILOD. De sup. 23 ; 2 figurativement révélation, PLUT. M. 70 f ; particulièrement révélation divine, NT. 2Cor. 12, 1, etc. ; d’où l’Apocalypse, titre de divers ouvrages parmi les Livres saints, CLÉM. 1, 525 ; 2, 338, etc.

Ainsi, découverte apocalyptique signifie “découverte (nom commun) découverte (adjectif)” et vice et vers ça. Mais cela fait plus sens as…

J’aurais pu la garder par devers moi…

Je n’étais pas obligé d’y travailler.

Ce mot provient du verbe ἀπο·καλύπτω (apo-calouptô, apo-caluptô) : 1 découvrir (la tête, la poitrine, etc.) ; dévoiler ou démasquer quelqu’un, c’est-à-dire le forcer à parler, ou le faire connaître dans tout son jour ; 2 figurativement révéler. Comme verbe transitif : se découvrir, se découvrir la tête ; et comme verbe intransitif : 1 se dévoiler, c’est-à-dire montrer ses dispositions ou son caractère au grand jour ; 2 agir ouvertement en vue de quelque chose, c’est-à-dire se préparer ou aspirer ouvertement à quelque chose…

et a dans sa famille :

– ἀποκάλυφος (apocaloufausse ou apocalufosse) : découvert.

– ἀπο·κάλυμμα, ατος (apocaloumma ou apocalumma) : révélation.

– ἀποκαλυπτικός, ή, όν (apocaloutiqu’os ou apocalutiqu’os) qui révèle, qui découvre.

Le sens du préfixe et de la racine,  ἀπό, apo, signifie : au loin, à l’écart ; en venant de… ; à partir de…, à la suite de… ; hors de…, en séparant de…, en éloignant de…

Ainsi, le terme ἀπό, apo, marque la séparation, l’éloignement, donc aussi le changement, l’achèvement, le retour, la privation ou la négation.

Qui a déjà eu l’idée d’ouvrir et de consulter longuement le sens des mots à travers un dictionnaire ? Équipez-vous donc !

La partie “calypse” a une origine pré-grecque et provient du verbe :

καλύπτω (calouptô ou caluptô) (f. -ύψω, ao. ἐκάλυψα, pf. inus. ; pass. ao. ἐκαλύφθην, pf. κεκάλυμμαι) et signifie : 1 couvrir, envelopper, cacher ; couvrir une chose d’une autre, cacher une chose sous une autre ; envelopper quelqu’un ; 2 étendre pour couvrir ; s’envelopper, se couvrir…

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Le Christ du Jugement Dernier (XVIIe siècle) découvert sous les plâtres en 1990,

dont le blanc de plomb mélangé à du minium s’est oxydé en noir.

On y voit son manteau rouge de la puissance romaine.

Église Notre-Dame de Françay (Loir-et-Cher ; 41)

C’est un charpentier, de toits, de toi, et notablement de marine romaine.

Photo Nicolas Huron

D’autres mots existent dans cette famille, par exemples :

καλυπτός (calouptos ou caluptos) : 1 couvert ; 2 qui recouvre.

καλύπτρα (caloupta ou calupta): 1 couvercle de carquois ; 2 voile, coiffe de femme.

Καλυψώ, Kalypsô (Calypso ; υ se prononçant u ou ou) : 1 fille d’Atlas ; 2 Océanide.

Il y a plein d’autres mots intéressants, parmi des centaines, commençant par “apo” :

ἀπο·καθαίρω (apo-cathairô) : nettoyer ; rendre pur, affiner (un métal) ; rejeter comme impur…

ἀπο·καθίστημι n(apo-cathistémie) : remettre en l’état antérieur, rétablir ; restituer, rendre ; se rétablir, se calmer, se reposer, cesser…

Dans mon propre dictionnaire papier Grand Bailly, les mots commençant par ἀπο, apo remplissent les pages 217 à 253. Tout le monde peut constater que les mots retenus par la culture esclavagiste romaine sont peu nombreux dans un dictionnaire français actuel. Dans le dictionnaire latin-français Félix Gaffiot, ces mots ne prennent que deux pages. Une étude de parti pris serait à faire…

Cachots ou cachotteries ? Enfantillages ou crimes ?

« Les deux mon capitaine… »

Laide…

Révélations découvertes sur

les modillons de l’église de Françay

La corniche du chevet de l’église Notre-Dame de Françay (Loir-et-Cher ; 41) est soutenue et décorée par 12 modillons sculptés, aussi appelés “corbelets”, typique de l’art roman du milieu du XIIe siècle. Ils se répartissent en trois séries de quatre sculptures entre deux contreforts plats de même style.

Ces modillons ne sont pas de simples décorations romanes ou romanesques. Ils documentent sur le milieu du XIIe siècle et sont très curieusement orientés vers ce qu’ils illustrent. On peut les considérer comme une table d’orientation, un panorama politique, de la première moitié du XIIe siècle et nous offre à découvrir une actualité vraiment brûlante.

Orientation géographique du XIIe siècle, non déboussolée par la radio activité

Ces sculptures représentent donc une orientation géographique volontaire sur le monument lui-même par rapport à l’environnement local, voire national, voire international. C’est une œuvre de sédentaire connaissant le pays et sa langue comme étant de son sang, avec un sens de l’orientation certain, ou une science géographique absolue, voire une perception presque sans limite spirituelle et temporelle.

On donne sa langue au chas ? On mouille le fil à coudre ?

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Une lecture architecturale langagière, géographique, géométrique… : Histoire de Françay, chœur roman (2 sur 3)

Coaching spirituel !

Des dictionnaires pour comprendre les mots et les maux

Le chevet authentiquement roman, datant des environs de 1155, de l’église Notre-Dame de Françay (Loir-et-Cher ; 41 ; voir mon étude à son sujet), comme beaucoup de chœurs romans, peut servir à se construire ou à se reconstruire des savoirs gréco-romains et médiévaux catholiques, c’est-à-dire des savoirs universels selon la définition stricte d’un dictionnaire étymologique.

Catholique, c(h)at au lie qu’hausse ? καθολικός ou bien καθολικῶς ?

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Chevet de l’église Notre-Dame de Françay, décrivant son univers historique et le nôtre

notre univers géographique, gravitationnel…, et notre condition humaine.

Il est universel, c’est-à-dire catholique, partie de notre Univers.

Il est évidemment religieux, objet de religion,

c’est-à-dire “à relire, à observer attentivement…”

Il est support pour l’œuvre d’un charpentier… son saveur, Notre Saveur…

Photo Nicolas Huron

On peut, à l’observer et à le ré-observer, à le lire et à le relire attentivement (ce qui est la véritable définition du mot “religion” selon les dictionnaires étymologiques, tout autre interprétation ou définition étant quelque peu superstition païenne ou hérétique, voire usurpation), plonger dans l’infini savoir des procédés langagiers, littéraires, géométriques, mathématiques, et il peut même parfaire notre connaissance du monde, nos compétences spatiales, architecturales, géographiques et donc évidemment historiques.

Croix et Chair du Charpentier

et croix de charpentier

ou T à dessein

où t’es à dessins…

voire à des “saints” orthographiques

Nous allons passer en revue ici quelques-unes de ses compétences démonstratives… transmises par les moines de l’abbaye de Bourg-Moyen de Blois, patrons de cette paroisse en 1155 et ses bâtisseurs.

L’enquête est déjà commencée, poursuivez-la !

Nous avons déjà vu dans les articles précédents que ses sculptures racontaient bien plus qu’on ne pouvait l’imaginer et transmettaient une tradition populaire locale depuis le milieu du XIIe siècle, tradition que j’ai reçue. Ces modillons, ou corbelets, nous parlent d’orientations, de géographie, d’histoire, et sont des jeux de mots pour “illettrés”, mais ils parlent également de morale et de bonne santé en en donnant les recettes les plus efficaces. Il faut être un peu médiéviste pour en apprécier une part du génie.

Chair chais l'air heure et l'erreur

Modillons du chevet de l’église Notre-Dame de Françay (Loir-et-Cher ; 41).

Chair chais l’air heure et l’erreur… à dent…

Photo Nicolas Huron

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