L’église Saint-Léobon de Chalais (Indre)

Carte-découverte à part âgée à partager…

Sain lait aux bons de chas Lay… cet ancien lien sacré. Un lion ? Un gros chat laid ?

Cliquez dessus car clic est dessus ! Puis clic droit avec le majeur et… part âgée !

Carte-Découvertes-Saint-Léobon-de-Chalais-36

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Saint Léobon a bien mérité Chalais !

Montrez que le contraire est vrai…

Faites passer cette carte-découverte téléchargeable et partageable à souhaits…

comme les 53 pages en pdf avec le lien de fin d’article.

Saint-Léobon, sanctus Leobonus, fut un ermite du Ve dans un ventre qui n’a pas trop réfléchi à la jalousie, hum haine, pour lui choisir son nom de baptême, car je crois que cela ne se mange pas, mais bon… Lait haut…

Quand on a un peu une culture de Babyloniens, voire aujourd’hui d’Ethiopiens, cela peut poser un peu question.

Léobon, fut ensuite ermite au VIe siècle à la charnière entre la fin de l’Empire romain d’Occident et les débuts du royaume des Francs mérovingiens au Haut Moyen Age, temps de destruction des belles villae esclavagistes gallo-romaine et de leur t(h)ermes et du massacre des fonctionnaires de l’Empire : un exploit !

Originaire du Limousin, de Fursac (sûrement un nom allemand ?), dans la Creuse (23), il en fut un des nombreux ermites de cette époque des royaumes barbares à n’avoir eu besoin de personne, sans doute une spécialité locale de laisser en SDF les locaux. Pourquoi ? Le clément climat et la végétation généreuse ?

Saint Léobon était humble et modeste dans ses actions et son langage, réputé pauvre d’esprit. Il faut parfois, dans certaines époques, le paraître surtout lors des pullulations de barbares qui ont tendance à croire que l’on peut devenir ce que l’on mange… surtout à partir d’une plaisanterie grecque mal comprise quelque peu « Cheval de Troie » du père de la médecine qui officiait déjà sous occupation des barbares germaniques, très bêtes, il faut bien se l’avouer.

Vas-y, suce, c’est du Grec !

Léobon paraissait faible de volonté, chaste de cœur et de corps, ascète et pénitent, bref un type sympathique et pas très encombrant.

Plus tard, Léobon quittera cette région prétentieuse qui rechigne toujours à servir la(e) capital(e), ou le fait trop, pour aller s’enfoncer davantage encore dans la solitude dans le sud, au milieu des colonies romaines dévastées par les Wisigoths, pour éviter les risques de la promiscuité des hivers rigoureux du nord ou ceux des casernements de la Marche nouvellement occupée par des Francs francs.

Il alla à Salagnac, sans doute un nom romain, qu’on peut orthographier à la beauceronne, ou à la percheronne, ou à la solognote, ou la blésoise, voire même à l’accent d’un quartier, etc.). Ce serait sans doute un peu salé, ou pire salarié.

Rappelons ici que le Beauceron ou le Percheron, j’en suis, n’ont ausunement la « -gnac »…

Salagnac, une « halla » sans doute…

Pillé de son propre patrimoine passé à sac à Fursac (« for(t) bag » in english, sans doute) pour quelques maux germaniques, et obligé de quitter l’actuel département de la Creuse, il est quand même devenu le saint Patron de la parochia de Fursac. Tourisme et « voyages », dont le nom « pélerinages » est synonyme, oblige ! Mais, à Fursac, y aurait-il déjà dérangé quelqu’un ? C’est lui qui y aurait été dérangé ? Etait-il esclave, serf ou libre à l’époque ? Voilà une question véritable… car tout le monde avait un statut dans l’Empire. Une statue ?

Salagnac (Dordogne ; 24), aujourd’hui devenu le Grand-Bourg de Salagnac, qu’il faudrait mieux faire digérer, pour tout le respect dû au mondialement célèbre saint Léobon, qui hélas, sans doute, n’a pas eu de descendance connue là-bas, mais qui a adéquatement engraissé le commerce local et fait bavasser ses gens du sud pendant des siècles pour la soif et le commerce du sain vin.

Ah quel NET ! Sans doute très honnête… A orthographier !

Qui n’a pas peur de connaître l’atroce origine du toponyme Chalais ?

Le fait que saint Léobon, lait au bon, se soit mémorisé à Chalais, Lée, Lay…
une chatte y retrouverait ses petits…
Rien de plus normal.
Toponymie !

Mais la vérité est bien plus terrifiante !
Cela parle notamment de menhirs !
Lait Lée… Les laids… L’Est Lais !
Miaou ! Mi-août !

Toponymie-Service

Pour lui rendre hommage le 13 octobre faites comme moi
au frais lui, offrez-lui, offrez l’huis, offrez Lui
gratuitement comme à Salagnac ou pas…
la lecture de
mon étude de l’histoire et de l’architecture d’un édifice de la Marche :

l’église Saint-Léobon de Chalais (Indre ; 36)

Lien transparent : https://patrimoine-rural.com/Nicolas-Huron-Chalais-36-eglise-Saint-Leobon.pdf

à rénover…

Cliquez ci-dessus pour le Savoir avec mon pdf de mon étude.

Une rareté incroyable du XIVe siècle,
période de désert architectural, sauf en matière militaire,
siècle marqué dans son milieu par la Peste Noire !

Chalais11

Petit diaporama sur
l’église Saint-Léobon de Chalais
offert à ma boutique !

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Cloche de 1561 celle-là, une rareté incroyable autant que la chapelle des fonts.

ECCLESIA00

Essayez de le lire pour la saint Valentin !
Ou fête à Pel- à un spécialiste, voire à la Pelleterie !

Pour découvrir petit à petit la vôtre,
l’église de votre village
sans doute encore d’une immense magnificence.

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