Diou, les Doués, les Folies, la Théols,
Déols et en bien d’autres lieux…
petite partie de mes jeux de société
des lieux, des cartes et leurs toponymes
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Nouvelle France de la toponymie
Nouvelle toponymie de la France
avec ses livres et ces livrets livrés :
Livret livré de 32 pages en pdf à télécharger
et livrets livrés par lots en version papier sur demande.
La toponymie est une science annexe de l’Histoire, science de toutes. La toponymie est trop complexe pour être accessible aux enfants et aux adolescents. Elle peut être éventuellement pour les adultes instruits et experts.
Cadastre ancien de Diou (Indre) section B1 du bourg (feuille supplémentaire 1837).
Les Grands Doués, les Petits Doués, Le Champ des Doués, Bourg de Diou,
et ci-dessous Les Folies, une histoire d’eau, dos scié d’une histoire d’Ô.
Site du NET des Archives départementales de l’Indre.
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Va te faire voir chez laid Grec !
Vercingétorix ? Vers singé tore-rixe ? Verts singes et tords X ?
Priam, Hector, Achille, Ulysse, Agamemnon, Patrocle,
avec la belle Hélène, la blonde, la plus belle, sans ailes,
toujours dans les deux camps et dans les deux chants.
Dans les champs ? Les prés ? Aux Doués ? A la Folie ?
A Diou avec sa célébrissime cloche des temps de saint Louis.
A Dieu ? Oui, oui… avec les doigts et laid “doit”…
une vraie représentation du doigt de Dieu !
avec mythologie derrière chez vous
restée pour l’instant sous le boisseau… sous Prenay, sous le bois Dret
par Chaprenan.
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δι·υφή δίυδρος διυλίζω et διυλιστός
Diou fait, Diou d’rosse, Diou lie dzô (Jo), et Diou lit se t’hausse… Faune-éthique ?
Tissu mouillé clarifié, et passer à la chausse…
A travers Le Grand Bailly par écran (https://bailly.app/)
ou chez soi peinard, en version papier,
ou en s’y cumulant…
ici et là.
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Tout le monde peut vérifier à travers Le Grand Bailly que Diou, en grec, suggère διυ (diou) qui suggère “pénétré d’humidité, mouillé, moite”, mais aussi “passer à la chausse, clarifier, purifier”, “éveiller, s’éveiller”, “outrager avec violence une femme, violer”, “être constamment bien portant”, “tresser, tisser, entrelacer”, “tissu”, “laisser aller”. Cette notion en appelle d’autres, non présentes dans Le Grand Bailly, les fils, les filets de pêche ou de chasse, les paniers, et par usage détourné, à sec, nos cerfs-volants.
Dans la liste, ce qui vous frappe et interpelle vous décrit.
Diou suggère également Διό, διο (Dio, dio), Zeus (donc le Jupiter romain), dont les ammonites locales, très présentes sur les hauteurs de Diou, au sud, représentent habituellement le front, les cornes, la foudre, l’orage, le gonflement, le fait d’enfler, de se soulever, d’ouvrir la bouche, “c’est pourquoi, par la suite, parce que” et une énorme famille sémantique indiquant notamment l’écoulement, le fait de traverser, un passage, une issue, un chemin, une déchirure, une division, une séparation, un partage en deux… mais aussi le gouvernement, l’administration, la gestion d’une maison, la conduite, l’aiguillon, les traits, les jets, les flèches… mais aussi l’égalité, l’humeur égale, l’aplanissement… le serment, la convention…
Dis Di, houe !
Di suggère les doigts.
Di suggère le jour… ou… où ?
Nom de Diou !
Di suggère le Seigneur, l’Édit, l’édit, les dits, laid dit, laies dits, lait d’y…
Cette dernière entrée en matière linguistique est totalement liée à Δία, διά (Dia, dia), Zeus, et “en séparant, en dispersant de côté et d’autre, en déchirant, en traversant, à travers, entre, parmi, à distance, le long de, jusqu’à, par l’entremise de, par le moyen de, à cause de, à travers, par, ici et là, de façon différente, diversement, l’un avec l’autre, l’un contre l’autre, en partie”. Il provient de l’indo-européen, dis, séparément.
Serait-ce une forme d’expression du Dis Pater gaulois indiqué par Jules César ?
On y voit aussi les notions de filer, de démailler…
Diou est assimilable à Diol et donc spécialement à διολ, suggérant surtout διολῶ et donc διόλλυμι, “perdre complètement, faire périr, détruire de fond en comble, laisser se perdre, oublier, périr, être perdu”. Ce commencement exprime aussi “l’action de tirer en tous sens, le tiraillement”, “le chemin de traction ou de transport”, “le fait de glisser entre les doigts, glisser à travers…”
Quant à δίω (diô), il exprime, suggère, sous-entend : “se laisser poursuivre, fuir”, “s’effrayer, craindre”, “mettre en fuite, poursuivre, repousser”, “pourchasser, chasser, bannir”, “pousser mutuellement”, et donc “l’objet poursuivi, la proie, le butin”. Il exprime aussi la séparation, “le fossé, la tranchée de canal, la mine”. Comme préfixe, il semble surtout exprimer la dualité, deux, le double.
On pense aussi à Διώνη, Diônè, mère d’Aphrodite, et par extension Aphrodite elle-même. On pense aussi à la cuisse de Jupiter, Zeus.
Sont liés à διωλ (Diôl), la notion d’ouvrir les bras, mais aussi les notions de séparation en deux, notamment en deux flammes, mais aussi l’immensité, le fait de résonner au loin.
Dans la liste, ce qui vous frappe et interpelle vous décrit
en allant vous faire voir chez legs REC.
Recorder ? Ric order ? Enregistré ? En registre et… Non ?
Avec La Théols proche, on trouve le mot grec διωθέω (diôthéô) : pousser de côté et d’autre, écarter avec force, repousser, pousser à travers, notamment des piques, ou à travers un interstice ; enfoncer, chasser, loger (une pièce dans un trou), pousser violemment (dans le vide), précipiter ; repousser loin de soi ; repousser une armée ; repousser, se défendre contre ; repousser un mauvais dessein, une calomnie ; écarter un danger ; repousser avec dédain, refuser ; se repousser l’un l’autre ; se frayer un chemin à travers, à travers la foule, les rangs d’une armée.
En latin épigraphique, le V et le U sont un peu semblables… ou où… ? Vu ? Vous ?
Voir mon étude sur Artannes-sur-Thouet entre le Douet et la Dive.
DIOU, DIU, DIV… A ? à Diou !
La Dive bouteille.
Oups !
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Ici et là,
ou en s’y cumulant…
ou chez soi peinard, en version pas pillé,
à travers Le Grand Bailly par écran (https://bailly.app/).
…
A
Géographie
Géo, j’ai eaux et geais hauts…
Hôte et eaux !
Hôte est eaux !
Géomorphologie ?
ὠθέω, ôté haut, hottez haut !
OZzzz…
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La disparition des ammonites ici-haut autrefois ici-bas
Sur place, la géologie nous montre la limite d’existence, dans ces calcaires de fonds marins, des ammonites avec une rupture géologique au Jurassique, il y a 157 millions d’années (ammonites sur J6-7a et non sur Diou en J7b et J8). Diou apparaît ainsi, pour les habitants de ce patrimoine rural agricole géologique, comme un tri fait dans la vie sur cette planète, l’illustration fossile de l’action de Dieu, du Vivant, de la Création, et de son Chaprenan, de son passage à la chausse, de la disparition dans cette mer peu profonde du Jurassique, sans doute à cause des tortues marines géantes ou autres gourmandes blindées, de ses gros coquillages marins spirales populaires et nommés ammonites des temps des dinosaures, ici marins. Ces ammonites, par quelques prédateurs gourmands, ont sans doute cherché à vivre dans des fonds marins plus profonds que dans ce Bassin Parisien primitif de la fin du Jurassique. Pour les lecteurs du précédent grec, Diou apparaît donc bien pour ce qu’il semble, comme une singularité plurielle et un pluriel singulier. La Théols, la rivière arrosant Diou, montre, dans le bon sens, par rapport à ses anciennes mers et à l’érosion du Massif Central et ses alluvions, le cours du temps et son cumul sédimentaire ainsi que son Darwinisme un peu contraint et forcé.
Diou nous parle aussi de la fin d’Aphrodite et de ses gros coquillages
de refuge sédentaire. C’est dentaire…
…
Argile et sable et la côte à dents, voire même la côte d’Adam
Diou apparaît aussi comme un lieu de passage à la chausse et à la chaussette pour filtrer, tirer les sables et l’argile, notamment pour, avec les sables, faire des abrasifs, par exemple pour polir les pierres et en boire un peu de silicium “organique” ou autre minéralité, et avec l’argile, en faire des poteries, des masques, des étalages, etc., bref des enfants mangeant des fraises en hiver, via quelques mielleuses confitures moisies. C’est très bon, c’est mon enfance. On peut le voir avec ses canaux d’irrigation ou de dérivation, tant aux Folies qu’aux Doués (voir ci-dessus les plans cadastraux anciens), les Folies exprimant avant tout un cumul végétal putréfié et les Doués, des eaux claires, le val d’un ruisseau intermittent et la source captée étant voisins. Cela va bizarrement ensemble, c’est Diou qui en fait preuve. Et puis, il y a certaines cultures sur l’eau, les eaux, l’Esves, etc., et on sait tous qu’elle en veut, qu’elle veut, qu’Eve… Ce n’est pas dans sa nature, et on se demande toujours laquelle. Quant au Peuple en question ? Celui de Diou est multiple et varié : poules d’eau, tortues d’eau douce, aigrettes, grenouilles, punaises d’eau, truites, martins-pêcheurs, bêtes s’abreuvant, etc. Cela se visite.
Divin filtre humide, clé et doigt, claie est doux à…
entre brouillards et éclaircies
à rosées.
…
La nature des orages et la qualité de l’eau : Diou et Yvoy !
De Diou, mais surtout d’Yvoy, sur le plateau à l’ouest, on perçoit la colère, qui colle l’air, des orages du Bois Dret, de ce doigt de dieu ou de Dieu qu’il représente (voir la preuve avec trois autres toponymes Diou ci-dessous). C’est en été un risque d’incendie dont le saint esprit de responsabilité est rappelé par son nom. Les deux dépressions des deux rivières de la Théols et de l’Arnon, avec les petits vallons perpendiculaires adjacents servant d’accélérateurs des vents, en font une particularité météorologique propice aux orages et autres phénomènes électromagnétiques de forte puissance. Le Bois Dret a la géomorphologie d’un couteau ancien, lithique. Sa lame est sur l’Arnon, entre le Grand Port et la Théols, et son appui, le doigt, est à La Ferme (vérifier ci-dessous avec la cartographie).
D’Yvoy, à environ 160 mètres d’altitude, sans avoir le soleil levant dans les yeux, on perçoit ce brouillard de la vallée de la Théols sur Diou qui glace encore et condense sa rosée ou préserve ses neiges, et se voit chassé par la dépression venteuse contrainte par le vent atlantique tourbillonnant dans cette gorge montant avec effort sur le Bois Dret à 145 mètres d’altitude, montagne rOusse en automne. On pense alors à son D. frappant haut le palais, et à la raie, sud-nord, limitant les parties humides, voire blanches en hiver, des houpiers de ce bois, côté occidental, et fondues, noires, et menaçantes par leur absence d’eau, côté oriental. Visitable par Chaprenan, l’arrêt, l’art est des deux grandes raies du Bois Dret, sachant que les trois dernières lettres de ce toponyme évoquent des filets de pêche ou de chasse. La Maison Neuve, sur la Mortaigue, entre Moquepanier et la Théols, vers laquelle on descend d’Yvoy, via Pied de Bois, est un rappel à la responsabilité de chaque Hun.
Le veilleur d’Yvoy, pouvait même passer jusqu’à Lavau, c’est un col érodé…
pour voir la qualité de l’eau de l’Arnon et des Fontaines de Sermel
avant le Rouziou des bouts des boues des orages.
On en voit les traces, voire les Thraces.
Y voit quoi ? Coups à ?
Coût à…
…
Le tri des moutons ou autres bêtes et leur tonte, le lin…
Séparer est d’abord séparer en deux, un tri s’opère ainsi, même si le tri peut se poursuivre ensuite. Diou n’est-il pas un nom de Père, en nombre pair, un nom de paire, des pairs, un nom d’ancêtre, un toponyme « d’anse-être », un nom fécond, une création, un nom de burettes ? de trompes ? de source ? d’eaux usées ou non ? de bélier fort à mouton gras ? Cela reste un mets doux et maigre, moins aigre, comme peut l’être le veau des vaux de l’Arnon et de la Théols.
Une affaire d’XY ! Chi gamma !
Au milieu des violettes des bois
des acanthes et de leurs
gros bourdons bleus
du joli Lazenay
où l’aze née
où
face à Chaprenan
des paniers des osiers,
par l’Arnon, vers Chârost,
on passe par la lame du couteau,
par Diou, et la Théols, par la main de Dieu.
Au regard de tout ce qu’il faut d’eaux pour traiter les blessures, les laines, les fibres et tissus de lin, les brins d’osiers, l’argile blanche ou rouge, les chaux, et, tout le monde les a oubliées, les plumes blanches des cygnes, des cigognes, des aigrettes, des colombes, offertes au hasard, et leurs précieuses fientes blanches agricoles de poissons, de batraciens, d’insectes, de baies, de graines, etc., parmi les fleurs blanches ou rosées des arbres fruitiers et de leurs papillons, que l’on peut et veut voir propres en soi, sur soi et par soi, Diou rappelle bien tout cela et le scintillement blanc et clair des étoiles de la voie lactée dans son reflet, lactescence d’astres nocturnes qui grossissent quand on s’en approche.
En robe de lin blanc avec des balles de plumes blanches et de la laine idem,
vas-y, enfile, tire, pousse, enfle et gonfle, tes petites eaux là !
Peut-être cela fera une bourgeoise
d’hisse ou daims
d’Issoudun
*
de Diou
dit “soude un”
où se trient les eaux des fécondations
d’avale ou d’âme ON, d’aval ou d’amont, d’av…halle où damons…
…
Tri et transport, forts, ports, hallages et débarcadères…
Les notions contenues dans le grec de Diou sont renforcées par des toponymes tout proches : la Ferté qui rappelle un fort de surveillance, de tri de marchandises et de bêtes et de défense romaine, voire plus ancienne, sur la Théols, non loin de la confluence avec l’Arnon, et dont on perçoit encore les fossés de la partie basse de sa structure complexe ; Le Grand Port et le Petit Port sur l’Arnon, de l’autre côté de la crête du Bois Dret, rappellent la navigation sur l’Arnon, tout comme rappelle la navigation sur la Théols et les ruptures de charges, la Chapelle du Port à Issoudun avec son centre de tri et de quarantaine des lépreux du Moulin de Saint-Ladre ; Diou lui-même avec ses grands prés alluviaux au sol meuble qui n’use pas les souliers, plaine parfois de hallage et de glissage ou de tirage, voire de débardage, et la dérivation d’une partie du cours de la Théols pour rapprocher l’eau du bourg et de ses raisons industrieuses, offre à la vallée en ce lieu, non une mais deux Théols comme l’indique le nom de Diou attestant d’une incroyable ancienneté de cette division des eaux, filtre de l’amer rouge de l’argile à pots.
On rappelle ici aussi les dispositions militaires des lieux Saint-Georges, comme Saint-Georges-sur-Arnon, voisin, et la forteresse complexe de Chârost que j’ai commencée à mettre en valeur dans toute son incroyable complexité de singularité plurielle et de pluriel singulier à travers mes constats de recherche précédents : https://patrimoine-rural.com/charost-18-liens-de-recherches/.
Tirer l’eau à soi et même la couverture, voyez-en l’historique
de l’église Saint-Clément de Diou…
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Ô rage, Zeus, Jupiter, bélier, baies liées, et toutes là cliquent clic !
En toponymie, j’ai découvert que le ζ, dz grec, le dzêta, s’était souvent transformé ici en J, mais qu’à l’origine, il s’agissait plutôt d’un D. La graphie (crochet de débardeur ou houlette de berger, arc bandé vers la droite, pot versé, etc.) est très parlante en latin comme en grec, et la phonétique est pire : Jeux, Deux. JO D’eau… Gy d’Y ! Alors imaginez ma faune-éthique dont je fais localement partie. J’y dis ?
Telles des cornes de bélier de Zeus, une seule culture… imposée à d’autres.
Les cornes de Jupiter minéralisé(es).
Une idée d’infini avorté(e)
sa-tel-li-taire.
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Pour n’en rien rêver… de mes cultures et de mes vérités rurales d’historien en milieu rural d’ascendance agricole de par mon sang
vous avez les interprétations anciennes et très courtes, faciles à vendre, vous avez ainsi aussi, d’ailleurs le NET d’ailleurs, et la bibliographie et les ouvrages de toponymie germano-italienne des éditeurs parisiens, tourangeaux, genevois, etc. dans mon article : Comment trouver l’origine d’un nom de lieux, méthodes, passage indispensable pour comprendre l’ailleurs.
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Cartographie !
Car taux gras fit… quoi ?
En cartes ci-dessous mieux pixellisées sur Géoportail (https://www.geoportail.gouv.fr/)
Un peu chère en version luxe en pas pillés… mais pérenne,
paix reine, pets rennes, paie… etc.
Diou, 36, chandelles…
à copier-coller !
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Carte du relief, scanné, décapé…
telle une flamme ou
à la foudre ?
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à l’envers
comme Jules César
c’est encore un peu pimenté
à moins qu’il ne s’agisse d’une courge…
ou bien d’une cosse de pois, d’une causse de poids…
Cartes géologiques, en langage bizarre… bise art…
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Cartes géologiques, en jolies courbes et lignes colorées… en geôles lis…
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Cartes géologiques, en caux en coque, en coquilles, ammonites…
en âmes honnies te… et vents de sables…
et lis, lie, lits de rivières
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Cartes 1950 pour trouver quelques noms passés à la trappe… à l’attrape nie Goths.
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Cartes 1950 anciennes cartes d’État major que j’ai bien connues… queue j’ai bien connue,
car les tas c’est mou à…
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Cartes IGN classiques, à la base d’inspiration Michelin… voire de Louis XIV
Wikipedia : André Jules Aristide Michelin est un ingénieur et industriel français, centralien de la promotion 1877, constructeur de charpentes en fer et fabricant de caoutchouc, cofondateur avec son frère Édouard Michelin de la société Michelin & Cie et créateur en 1900 du Guide Michelin… via quelques privatisations commissionnées de l’État de Louis XIV (en rappel de par mon lien : https://patrimoine-rural.com/louis-xiv-roi-de-france-a-blois-j-ai-trop-aime-la-guerre/).
Avec Cassini via Wikipedia : … Puis, dans les années 1671-1673, le Roi Louis XIV (Oui qui paix dit à, …DIA) ordonne à l’Académie de « dresser une carte de toute la France avec la plus grande exactitude possible ».
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Carte topographique IGN, ou en version pliée dont je m’équipe toujours…
transportable, pratique, soumise, sous mise…
sûrement en auto nomme mis,
avec une loupe,
où pas…
grossissante,
et forcément grossie sans te…
…
Carte topographique IGN, ou en version papier 1/25 000ème dont je suis équipé,
avec ma lunette g’astronomique de descendance et d’ascendance
paysanne… et pays’ ânes.
…
Carte topographique IGN, ou en automobile française, … voire en V lots français…
puisque tout en provient ou presque, à voir en France.
Seulement ?
Ou en bonne et due forme et grosse God Ace ?
Godasses dont je suis toujours équipé. Finis les sabots de mes aïeuls !
…
Fais qu’onde à scions ?
Fécondation d’une minuscule cosse de pois par un monstrueux nid d’abeilles ?
Ou en Photographies aériennes d’invention française, en avion d’invention française,
en… (tapés au hasard) d’invention française, car la sauce, si y a liste, est très longue…
allemande, anglaise, et vraiment impossible à com’prendre,
même en s’approchant
d’anges heureux, œuf ment, du crash à…
d’un cocon pendouillant d’une toile d’araignée géante ?
…
A condition d’en voir le monde à l’envers, comme Jules César, en retournant sa cape
en Photographies aériennes d’Issoudun dit soudain…
di-œufs ? Dis euuuh… dieux, dieu, Dieu…
di-ou ? Dis où… dilloux, di’illou…
Fécondation !
avec tes cils lab…
Résume ?
J. C. ?
+++ ?
+
av.
J.-C.
Instrument et œuvre
de chas re… de char ? de charpentier !
Est-ce ce (the, Z) space opera ? Science-fiction
Si, si, anse se hanse mais, mémé, mets met mes mets…
…
En cartes ci-dessus mieux pixellisées sur Géoportail (https://www.geoportail.gouv.fr/)
En version papier, c’est plus pérenne et respectable, mais avec les deux…
Toul et tout le monde participent. Non ? NOM !
…
Ces vérités sont-elles aussi ailleurs ?
Oui ! Allez voir ailleurs, cartes et lieux !
Géographiquement, géomorphologiquement…
en copiant collant dans Géoportail.
Par exemple à :
Diou, 03 (Allier) qui est très démonstratif, dans un resserrement très marqué de la vallée de la Loire, un filtre, un passage délicat, un péage, etc., entre les Champs Rollots, au nord, et le Perron, au sud, avec en amont Gilly-sur-Loire, et l’énorme carrefour de Digoin, lieu de rupture de charges, vers Paray-le-Monial. Le doigt, d’environ 2 km de long, est en face, au nord, entre Chirac, les Coqs, la Chapetet, à l’est, et Goutelle, les Chaumes, à l’ouest sur le coteau de la Loire, via Goutte aux Merles, Pierre Noire, la Brosse, la Velle, sur une crête, un sommet allongé, situé à environ 250 mètres d’altitude, à 40 mètres au-dessus du fleuve, et ayant la géomorphologie indiquée dans cet article, sachant que ce passage de la Loire représente bien le fait de passer à la chausse, et sachant aussi que les autres sens y sont représentés. Mais si votre mémoire flanche, il faut les relire ci-dessus, sous le boisseau… C’est assez militairement masculin, culturellement et spirituellement.
C’est divin !
… en copiant collant dans Géoportail.
Cherchez aussi à Diou, 03 (Allier, commune de Meillard), Diou, 64 (Pyrénées-Atlantiques, commune de la Bastide-Clairance), Diou Gracias, 30 (Gard, commune de Concoules), Fort Diou, 57 (Moselle, commune de Scy-Chazelles), Grotte de Diou-Lou-Garde, 30 (Gard, commune de Sauve), Hin de Diou, 40 (Landes, commune de Pujo-le-Plan), L’Étang de Diou, 71 (Saône-et-Loire, commune de Montceaux-l’Étoile), l’Ouche Diou, 58 (Nièvre, commune de Verneuil)…
ou bien…
Diou, 17 (Gironde, commune de Meschers-sur-Gironde), nous montre, par sa géomorphologie une bite d’amarrage, ou un doigt, d’un peu plus d’1 km de long, située entre, son bout à Diou, à la Pointe de Meschers, à l’est, et sa racine, sans doute ferme, rocheuse et quelque peu arborée, boisée et agréablement odorante, à l’ouest à Chatelard, arborescence attestée par les Vergnes (aulnes), le Rouergue, etc., près de la Plage des Nonnes. Pointant vers Fort Maran, ce doigt rocheux géologique du Crétacé est marqué par les Roches, les Basses Amarres, les grottes côtières de Matata, des Arts, de Regulus, et le petit débarcadère de la Conche des Cadets. Pensez donc ensuite à Château Bardon et à la Motte, sans doute de terre, pour disposer de matériel pour recouvrir quelques énormités puantes. Le légionnaire, non légendaire, saint Martin, y veille, sans doute encore sur cette précieuse réserve de mottes, pour la Grange et le Grand Pont vers ROME ou pour la traversée de la Gironde, vers la Pointe de la Grave, le Verdon-sur-Mer, et sa forêt domaniale protégée par son rocher Saint-Nicolas, où il existe des toponymes plus anciens et encore plus imaginatifs : Fort d’Usseau, Dune Girofle, Fort Girofle, etc. Cette magnifique entrée en matière, et de l’estuaire de la Gironde, est bien protégée par Saint-Georges-de-Didonne, et Royan, en son nord-ouest, avant, au sud-est, le célèbre Talmont et sa magnifique église Sainte-Radegonde, Mortagne-sur-Gironde, son ermitage Saint-Martial, etc., et Bordeaux, etc. Bon vent !
Et près de Ribe, la rive intérieure, à David, sa pierre, y est toujours ?
… en copiant collant dans Géoportail.
Cherchez-le encore à La Cruz du Diou Palio, 48 (Lozère, commune de Belvezet), Le Diou, 32 (Gers, commune de Castelnau-d’Auzan), Loc’h Diou, 22 (Côtes-d’Armor, commune de Louargat), Pé de Diou, 47 (Lot-et-Garonne, commune de Sainte-Marthe), Poull an Diou Groaz, (Côtes-d’Armor, commune de Plufur), Puy Diou, 63 (Puy-de-Dôme, commune d’Auzelles), Ravin de la Cave de Diou, 84 (Vaucluse, commune de Brantes), Rebire Diou, 33 (Gironde, commune de Berthez)…
ou biens…
La Diou, 17 (Gironde, commune de Nieul-sur-Mer), est une petite rivière. C’est en fait un fleuve d’un point de vue technique en géographie, puisque cette petite source et son ruisseau pouvant s’appeler en son début fossés de drainage, se jette dans la mer océane. C’est en son commencement une zone humide, avec sur son cours des marais salants, située notamment aux Marais Gâtineau. C’est un toponyme non cartographié, ne figurant pas sur le cadastre ancien de la commune, ni dans les écrits anciens que j’ai pu consulter. Il est vrai que c’est actuellement un camp d’Attila ou d’un truc dans le genre, bref, un machin p(h)arisien. Rien d’étonnant, c’est la Vendée et son génocide habituel pour vacanciers et “petit commerce”… Le lieu-dit est cependant référencé dans le DVD Dictionnaire des Toponymes de France. Recherche et localisation de lieux de France (C.D.I.P., 2005-2008, Bouffemont). Au nord de la Rochelle et de Lagord, et au sud du Marais poitevin et de l’anse de l’Aiguillon, estuaire de la Sèvre Niortaise, non loin de Marsilly, ce toponyme est notable et articulé entre les Trois Chirons (menhirs, grosse corderie et outils notamment de traction et de nettoyage de grosses choses un peu puantes, bref grosses bites d’amarrage…), et la Pointe du Plomb, via Fief des Salines, Lauzières et la Bourelle. Ce “fleuve”, un peu salé et boueux, limitant au sud un doigt géomorphologique d’environ 3 km de long, donne directement sur l’Île de Ré. Quand on regarde d’un peu loin, on croirait voir la mèche du pliopithèque indo-européen, à condition de prendre le porc de la Rochelle à la gorge, ou l’inverse, avec sa tour Saint-Nicolas et son plongeoir de compétition. Protestant ? Débats ? A vous de voir… des hauts, des eaux, des os…
…
DEO ?
δέω
Δηώ δήω
à Déols… à ζῇ δέ
comme à Châteauroux
des dits des dédits dédient !
Deux oiseaux buvant au Calice de la Vie éternelle, symbole de fidélité conjugale…
Chapiteau de l’abbaye Notre-Dame de Déols (Indre ; 36).
Archives photographiques – Nicolas Huron
…
Pour comprendre Déols, partir de Diou est intéressant. Dé et Di, c’est un peu la même chose… et –ols et –ou aussi. Un fou, une folle… un cou, une colle… une boue, un bol… un roux, une roule… un doux art, des dollars… Un dôme mène, un dolmen… C’est un peu divin.
Jeux ? Je ? ζ ?
Le suffixe –ol, intact, entier, dans son entier, est compréhensible avec mon article sur La Théols, rivière arrosant Diou, mais il signifie aussi : menaçant, pernicieux, détruit, perdu, ruiné, arraché…
ζάω ou ζέω
On peut aussi aller voir sur place, voire sur carte, voir sur plan, voire en dessein et en dessins, voir en zéros et (H)uns, etc. et y constater les blanches colombes en toponymie, la roche et les cendres en réalité, et bien d’autres choses encore, mais peu de Vivant.
Pour en être con vaincu, il n’y a là-bas pas que les lieux-dits Saint-Denis, Le Cendrier, Le Rochat. Vérifier avec Géoportail, c’est fantastique, merveilleux, formidable, terrible, voire terrifiant, voire pire…
Déols (Indre ; 36) seule tour subsistante des tours des clochers de la grande abbaye.
Archives photographiques – Nicolas Huron
…
Seulement de la géographie, de la géomorphologie toponymique, de l’hydrologie, etc. ?
Le pensez-vous vraiment ? Le Pansez-vous vraiment ?
Avec mon expérience, avec mon expert Rians se…
avec mon ex père ? mon ex Père ?
Mais où sont les miens ?
d’experts…
XPR
…
Tonneau, tonne haut, ton eau !
Une dille, c’est aussi la pointe de la mandibule inférieure d’un oiseau, partie inférieure du bec formée de deux branches du maxillaire se rejoignant en pointe en bout de bec, bout qui peut être parfois mais rarement au-dessus ou plus loin que le bout du bec habituel, celui non mobile. Si vous avez lu, comme moi Darwin, vous le sauriez. C’est la partie mobile et pointue, un peu notre mâchoire inférieure, ou celle d’un autre animal, qui servait parfois d’outils chez certains primitifs.
Et Diou ? Dille ou ? Dille où ? Si, si, re-regarde ! En face…
Bois de la Mouche, Bois Dret…
Sa scie s’assit.
Sous ce sens, le mot dille a pour synonyme myxa, qui en latin désigne un rostre, la pointe guerrière de la proue d’un navire, d’une nef méditerranéenne, pointe servant aux rameurs à éperonner un adversaire. Cette pointe est généralement en bronze lourd. Le terme “myxa” désigne aussi le fruit du sébestier, et de sa très belle fleur, notamment martiniquaise.
Et Diou ? Dille ou ? Dille où ? Si, si, re-regarde ! En dessous… Ci-dessus.
La Théols + l’Arnon. Non ?
C’est illustré !?
Une Dille, désigne principalement, en milieu rural, un fausset de tonneau, de barrique, qu’on appelle aussi dousil, douzil. C’est le petit robinet ou le petit cône en bois qui bouche le petit trou situé sur la… Croyez-en François Rabelais, “Autant que vous en tirerez par la dille, autant entonnerai par le bondon” (Rabelais, III, Prologue), et sa Devinière tourangelle.
Mais en toponymie, partie du Françay, c’est bien plus que cela…
Regardez-y “voir”… regards d’aise ivoire…
et illustrez comme vous voulez.
A Chârost ?
Une dille est aussi synonyme de guille, mais alors là, attention… Cherchez et vous trouverez le royaume de France, mon pays, dans toute sa magnificence, sa grandeur, sa splendeur, son rayonnement, etc. Vous y trouverez même l’Atlantide. Si, si, re…
et Guille au M…
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Son mouton
avec toutes ses ferrures
Diou
La cloche !
Son bourdon
Aie sa jupe y terre
Ô
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Photo Nicolas Huron
Tocsin, toc toc toc sain saint ceint.
Toque saine, sainte, ceinte, seins te…
La cloche de Diou et son doux son divin filtre humide d’accord.
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Et mon ancienne étude inventaire de recherche de ce patrimoine rural ancien.
Saint-Clément de Diou !
Lien transparent : http://nicolas-huron.e-monsite.com/pages/communes/diou-36-l-eglise-saint-clement.html
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+
…
à
Diou
dit où
l’édit dit,
les dix di, laidis dits,
les dix doigts, laid dit doit, laidie doit…
O
Appât à part a par ta…
Happe art âgé ? À partager !
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Nouvelle France de la toponymie
Nouvelle toponymie de la France
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par Nicolas Huron, historien de milieu rural et sur patrimoine-rural.com.
La toponymie est une science annexe de l’Histoire, science de toutes. La toponymie est trop complexe pour être accessible aux enfants et aux adolescents. Elle peut être éventuellement pour les adultes instruits et experts.
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