Chârost (18) toponyme pré-préhistorique de faune-éthique ?

A illustrer brillamment comme vous voulez…

en 13 lettres…

Conchyliforme

qu’on chie, lie, forme…

Chârost, avec ses bivalves,

et le reste

en pure responsabilité de conchyliculture…

Cadavres de bivales d'eau douce

Cadavres de bivalves d’eau douce polluée au sein du Cosson

qui porte leurs noms à Huisseau-sur-Cosson (41).

Un des vrais noms et sens de Chârost peut-être premier.

Photo Nicolas Huron

La Préhistoire est entrée, par mes recherches en toponymie, dans l’Histoire qui se caractérise par l’usage de l’écrit. Cette Histoire commence en France par la Guerre des Gaules de Jules César et par quelques écrits épigraphiques et numismatiques gaulois et romains. Mais des toponymes sont plus anciens que cela. Certains sont incontestablement gaulois, ils sont très nombreux, donc proto-historiques, voire préhistoriques. Certains sont incontestablement néolithiques. Mais certains semblent encore plus anciens et semblent dater du temps des “chasseurs-cueilleurs” (et pêcheurs), c’est-à-dire du Paléolithique, car ils ne décrivent qu’une flore naturellement logique, par exemple une forêt d’ormes géants disparus ou des aulnes ou… les faunes locales dites par certains “sauvages”, bref, la faune éthique. Chârost semblent être dans ce cas.

Cette découverte prouve que les « hominidés » locaux n’étaient sans doute pas des nomades mais bien, déjà, des sédentaires, observants et contemplatifs, des gardiens. Certains toponymes sont donc la trace d’une nature, la leur, qu’ils savaient agressée (par qui on sait) et portée à disparaître. Des noms de lieux se présentent donc comme une gigantesque Grotte de Lascaux à ciel ouvert, entrant présentement dans votre bibliothèque géographique et accessoirement historique, des nœuds faits au mouchoir, sortes de marques pages,  pour les jeunes pages orphelins de père tué par un accident de travail afin que leur mémoire génétique leur en explique un jour la pleine teneur quand, après que « jeunesse se passe », ils reviendront chez eux en fils prodigue.

Ce toponyme indo-européen de Chârost, serait-il néanderthalien ?

« A Cœur vaillant, rien d’impossible ! »

(Jacques Cœur selon son nom)

NOYAU DUR

C’est encore en corps bien possible…

Il s’agirait alors d’un signe hors-jeu, d’un grand martyr, d’un singe hors jeux, pour la science actuelle, d’un Saint-Georges… sur l’Arnon ? Car avant, il y avait des “hominidés” doués de langage ici-bas, doués d’Esprit et de Raison, par leurs pères et la succession des fils qui n’avaient pas totalement détruit cet environnement comme ce fut et c’est actuellement le cas par des Africains, voire d’anciens Africains… vague par vague… sans parler des Orientaux… où ors rient en taux… à poils noirs, surnommés en toponymie les “loups”, avançant par le charme et l’empoisonnement, le rire homérique et le viol, le crime, le vol, le mensonge, le harcèlement, l’usure, l’usurpation, les inversions accusatoires… Germains gèrent main(T)s ?

Le Christ a dit qu’il y avait pire que les loups. Il faut le voir pour le croire ! L’agneau, les moutons, les brebis, le bélier ? Le cours de l’Arnon, le sang de l’Agneau, quand il est pollué par des souillures immondes ? Responsabilité ? Raies publiques des blessures des sacrifices, des fossés défensifs, des saignées de l’araire, des crevasses des poisons… ? Cela peut être testé et vérifié à Chârost !

Avec Chârost et quelques autres,

nous pouvons donc tenter l’incroyable :

faire entrer phonétiquement, par la faune-éthique,

la pré-préhistoire, dans l’écrit, dans l’Histoire, science de toutes.

Les articles précédents ont pu éclaircir le cadre géographique, géomorphologique, hydrologique, géologique, des lieux et des alentours. Ils ont pu éclaircir les éléments sémantiques gallo-romains, gréco-gaulois et antérieurs de singularité plurielle et de pluriel singulier, contenus dans le nom même de Chârost et dans quelques noms environnants : Saint-Georges-sur-Arnon, l’Arnon, Le Grand Faubourg, Le Petit Faubourg Saint-Michel, la Fontaine Rougeline, la Grange, Roussy, Thoiry, Milandre, et plus loin Dame Sainte, Saugy, etc. Ces articles ont pu prouver des rapports complexes multiples et réels entre ces noms et leurs conditions géographiques les plaçant au sein d’une ancienneté insoupçonnée jusqu’alors.

A la relecture des articles précédents, notamment à travers les éléments du grec ancien contenus au sein de son nom, on s’aperçoit que Chârost signifie, tout particulièrement, coquillage, bivalve. Cette dénomination est tout à fait normale en ces lieux quand on en connaît après précision le fonctionnement géographique, géologique, hydrologique et géomorphologique. Il suffit de considérer cette faune-éthique des coquillages bivalves et de relire attentivement les articles précédents pour s’apercevoir que c’est une dure vérité, brutale.

Quelques temps en arrière…

Pour comprendre cette formule, il faut considérer que les hommes ont fait des aménagements au fil des siècles qui ont modifié les lieux. Ainsi, en amont de Chârost, le cours de l’Arnon a été divisé en deux, pour une utilisation industrielle, sans doute dès avant l’époque gauloise : filtrage, tamisage, moulins, tanneries, affinage de l’argile pour la production de tuiles ou de poteries, mais aussi de sables, traitement et nettoyage des laines et des cuirs, ou des végétaux produits par l’agriculture, etc.

Ces aménagements ont dévié le cours de la rivière qui léchait autrefois le coteau nord du méandre près du Carroir du Gué (dont le nom complet semble être le Carroir du Gué Saint-Michel) et auprès de la Grange. Ainsi le Gué Saint-Michel, toponyme clé, se trouvait-il, à l’origine, un peu plus loin du bourg, près des étangs proches du lieu-dit le Carroir du Gué.

De plus, les eaux de source de la Fontaine Rougeline ont été utilisées comme lavoir polluant, puis ont été récemment captées pour les besoins en adduction « chimiothérapique » d’eau potable des habitations, avec la construction d’un château d’eau sur le coteau, vers la rue du Bourbonnais, qui est un nom évoquant le dieu gaulois des mondes souterrains, des Enfers, des sources chaudes, Boruo, Bourbon (voir mon étude à ce sujet), excellente divinité à station thermale (Bourbon-l’Archambault, 03 ; la Bourboule, 63…).

C’est là, que, bourre bonnet, et, bourre beau né, et…, prend tout son sens…

Les eaux de cette source, sans doute un peu ferrugineuse, étaient d’une température plus clémente que les eaux de la rivière en hiver et plus fraiches en été. Les eaux plus agréables de cette source, à la température moins assujettie aux saisons et aux aléas climatiques, alimentaient autrefois l’Arnon à l’entrée du méandre, laissant une zone fluviale courbe ayant une eau plus claire, plus lavée, plus brillante, et surtout plus vivables pour quelques frayères ou quelques écrevisses, et devant abriter des coquillages d’eau douce, des bivalves profitant des déchets accumulés par la rivière en amont et venant se déposer le long, en bas du coteau de ce méandre, dont la courbure porte les notions de casque, de carapace, de coquille, etc., qui sont à l’origine du nom Chârost, toponyme qui reste à examiner à travers la langue grecque et la langue gauloise, bref la culture gréco-gauloise avant de l’examiner à travers le latin qui est une importation romaine.

Devinette !

DSCN8767

Deux vies nettes… ? Devis net !

Vous créez ? Craie et…

Ainsi, cette disposition apparaît comme un casque, une carapace, une défense, notamment pour la potabilité de l’eau, mais aussi pour les usages des hommes, de leurs femmes et de leurs enfants, et pour leur bonne santé.

On peut y imaginer, après qu’on eût poussé, pour elle, les vaches espagnoles vers les Terres de Nohant et la Théols, Vénus, nue, allant s’y laver et se refaire un peu le brillant, l’émail de ses dents, avec quelques bivalves et leur nacre, en boucherie…

Pour plaisanter, je dirai que rien n’a changé.

Votre baignoire et sa céramique sont-elles rugueuses  ?

Seulement, votre baignoire ne fabrique pas son propre émail…

Chârost, normalement, si !

Ainsi, les deux beaux méandres de Chârost et de Saint-Georges

sont bel et bien ce qu’ils racontent à travers leur nom :

le jugement de votre pertinente adéquation.

Cette disposition est évidemment rendue fragile à partir du bourg actuel de Chârost et du Petit Faubourg Saint-Michel, mais également dès le Grand Faubourg. Chârost a, en effet, pour origine une pente douce servant d’accès à cet abreuvoir, un accès facile, mais aussi un cul de sac, un piège possible, avec encombrements des bêtes, bousculades, noyades et empoisonnements de l’eau par cadavres pouvant polluer l’aval. Le nom de Chârost rappelle cette responsabilité de l’amont par rapport à l’aval, responsabilité par rapport au dé-mont, c’est-à-dire par rapport à ce qui coule ou tombe dans la rivière pour être emporté et disparaître à jamais des lieux, mais en rendant infernale la suite du cours. Chârost se représentant ainsi comme un guerrier armé, équipé, mais assoupi, à demi-éveillé, et dont la responsabilité est grande, car se trouvant dans un lieu propice aux massacres. On trouve à son origine, la rue du Bourbonnais, un rû, brutal en cas d’orage, et, au bout, une source puissante, une résurgence souterraine, la Fontaine Rougeline.

Un veilleur ? Dieu de la guerre ? Veillant sur l’Agneau ? l’Arnon…

Un pacificateur dans l’âme de son nom : Chârost.

Pour s’y entretenir et y faire ses dents.

Le toponyme du Gué Saint-Michel, qui évoque bien le téton d’un sein, d’une miche, évoque évidemment un demi-coquillage, un sain mi Shell. Le Carroir du Gué, qui évoque évidemment un carrefour, nomme également la raison, encore aujourd’hui en vieux français.

Cela fonctionne là encore :

Car hoir (héritier) du gai, syllabe désignant la Terre, la terre.

C’est très terre à terre comme cet ancien lien,

de Saint-Georges-sur-Arnon.

Renaître ?

Encore faut-il la descendance

du sang et du sens de la Fontaine Rougeline

sur Géoportail et sur place où tout peut être enfin compris

de votre nature qui est mienne.

Gué Saint-Michel

C’est difficile de faire plus Chârost, bref plus clair…

plus casqué, plus équipé, plus armé, plus brillant, plus…

Prenez ce chemin de randonnée, rose ligne, le voici immensément magique.

“Niche”, avec un pont, un jambage, de plus !

Quelles belles miches !

Une nasse de domestication, pas seulement humaine…

Ce lieu semble avoir été utilisé pour la domestication des animaux, mais aussi pour les trier, avec une série de portes et de fossés naturels ou non, pour les diriger, ou surtout pour les juguler, depuis La Grande Charruée, sur Saint-Ambroix, puis par Milandre (ande désigne des portes, une entrée, une descente… suivie d’une répétition), puis par les Cloires, puis par Chârost lui-même dont le bourg porte en lui de très anciens noms comme la rue Brivault, orthographiée aussi Brivaux, qui évoque un second ancien fossé et un pont (disposition double typiquement romaine). Il s’agit d’une sorte de grande nasse régulatrice pour éviter que le lieu se pollue de lui-même par son attrait, car si trop de bêtes viennent y boire, certaines s’y noient et empoisonnent l’abreuvoir.

La Grande Charruée Milandre les Cloires Chârost 1

Sur Géoportail, service public… s’il en est.

Suivez les fossés naturellement en haies… et trouvez le petit passage…

La Grande Charruée, Milandre, les Cloires, Chârost… le Gué Saint-Michel

et les bêtes qu’il faut pousser vers les Chaumes… à l’Ouest.

La Grande Charruée Milandre les Cloires Chârost

A découvrir là-bas et

sur Géoportail, service public… s’il en est,

en suivant le pas sage des liés anciens, des pairs, des Pères…

Suivez les fossés naturellement en haies infranchissables et nourricières…

et trouvez le petit passage… sablier, car sable y est,

devant et derrière Chârost, le chas de l’aiguille équipée rostée, la blessure,

la plaie… dans l’os et le trou dans le cuir(e), pour la couture,

synonyme de culture, de culte UR !

Auroch ! haut roc !

La Grande Charruée Milandre les Cloires Chârost 3

Avec les Caves… qu’avent… d’avis culture, d’aviculture !

Je crois que cela à avoir avec le Verbe av’hoirs…

Y trie-t-on encore des tritons ?

des rennes ? des reines ?

des Chârost ?

Gai or gué ?

et sa chair offerte…

Contemplation et observance… pour

que ce frein élastique, gardien, fonctionne parfaitement.

On sait que nos anciens faisaient des fossés pour les fondations de leur habitat, pour en limiter l’exploit à “scions”, en faisant le tour avec une araire pour certains… Ceux de Chârost sont très anciens, vraiment très anciens car ce sont les lieux qui en ont décidé ainsi. Cela aurait-il changé ?

On ne sait pas ce que vous faites avec vos étrons… vos bronzes… vos m…

à l’entrée du Gué Saint-Michel et toute cette stagnation à sa sortie.

Chârost (18) toponyme préhistorique de faune-éthique ? Oui !

Conchyliforme qu’on chie, lie, forme Chârost, avec ses bivalves, et le reste

en pure responsabilité de conchyliculture…

Poissons ? Poisson !

Afin que l’Histoire d’avant la Préhistoire,

entre enfin, en fin, en faim, en fins, brillante, rouge, noble, dans l’Histoire…

A propos de terre à terre… et du singe hors jeux que je suis…

Voici un de mes commentaires assaisonné sur les “réseaux sociaux”.

Mes ancêtres ? M’aise hanse être ? Mets anse… je suis sédentaire. Mon ancêtre est la Terre et la terre, elle est mon langage terre à terre. Depuis quand êtes-vous las là ? Val à la… à l’Arnon ? à la Cisse ?

Géo, du grec γεω, la terre, me semble une liaison masculine ou un substantif masculin ou mes oreilles ont fourchu où les oreilles ont fourchu.

Qui a eu cette idée de mettre ce mot au féminin ? Terra ? ROMA, la Louve, la p…, l’esclavagiste ? Ce lac (à prononcer là, las, l’a, désignant un fil de soie des sceaux) va la tuer.

Tralala là l’aire…

Va à la…

selle ?

Oups !

Les pommes de terre peuvent se cultiver sur des bacs en pilotis. J’ai testé l’affaire, j’avais dix ans, avec un coffret métallique à bonbons et du sable du Sahara, c’est-à-dire du limon éolien beauceron, à Mondonville-Sainte-Barbe, sur Moutiers en Beauce (28). Cela pousse très très bien.

Mets sous serre, c’est plus prudent… prude dans…

car chair ω… chère eau…

comme Chârost !

Pour faire de la terre, il faut de la terre et du temps.

C’est la formule dure toponymique Saint-Georges…

On peut y pousser son bois, comme dit mon père…

avec bien sûr le sacrifice de l’Agneau… Non ? Nom ?

Carte-partage-decouverte-Charost copie

A partager… ?

Couverture Préhistoire dans l'Histoire Chârost copie

Et pour l’aventure, à orthographier !

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