Article “vis ta mine”, de Saint-Cyr (7) en faune éthique

Saint-Cyr-en-Bourg est un ancien phrasé, resté caché et secret pendant des siècles…

L’actuelle entrée du bourg de Saint-Cyr-en-Bourg,
avant de vous en faire découvrir
présentement une autre…

Photo Nicolas Huron

Une histoire de langues bien gourmandes…

Sous les Romains, puis sous leur Empire, puis sous son héritière, l’Eglise catholique romaine, ces administrations étrangères écrivaient ici latin, jusqu’à vers le milieu du XIIIe siècle. On sait qu’on y parlait déjà à cette époque-là le français… ancien français ?

Avant eux, les Gaulois, gale germanique celte, écrivaient uniquement pour la comptabilité et surtout en têtes coupées et rires homériques conservés dans des « hauts pis d’hommes » (qu’on peut écrire oppidum) et des bocaux (qu’on peut écrire « beaux caux », dans le genre de Saint-Cyr-en-Bourg)…

Malgré tout, autrefois, on était intelligent, on écrivait suffisamment grec pour savoir qu’écrire tue l’Esprit et ne sert pas à grand chose, sinon aux imbéciles qui veulent vous imposer un sens unique inique à la Vie et au Vivant. Maintenant, on peut…, enfin moi habitant local, descendant d’esclaves depuis des millénaires, descendant de votre esclavagisme (à moins que vous ne payiez cette consultation) je peux vous le dire…

C’est un peu comme un certain chandelier de style perse, donc romain,
volé et retrouvé dans un certain temple de brigands…
Caverne d’Ali Baba ou Grotte de Lascaux ?
”Les deux, mon capitaine…”
Ses âmes, ouvre-toi !
Mis à : « Meuh ! » ?
Mi-âmes ?
Miam !

Une administration ignare, criminelle, cruelle et régicide

Espace vital allemand, germanique et anglo-saxon obligeant, avec la Révolution française, cette même administration étrangère, par soucis génocidaire et destruction planétaire rentable ou commissionnée, n’y comprit évidemment guère plus, voire guerres plus, pour ne pas dire rien, Paris et ses Paris-Goths, étant une implantation germanique, d’abord posée par les anciens Gaulois sénons pour se protéger des Germains belges, puis par le Franc Clovis pour se protéger des Germains germains de « Guerre-manie », nommée pudiquement actuellement Allemagne, et notamment de leurs Angles, Saxons, et autres barbares abominables, etc.

N’oublions bien sûr pas l’intermède romain de Lutèce : lutte est-ce ?

T’es rat pi ? Des vil(l)es ? Oui, oui ! Si, si… RRRrrr…

Grammes m’errent ou grammaire ?

Faune éthique ou phonétique ?

Gênes au Cid  ou… ?

Hors ou or ?

Clos vice ?

Finement

con…

La grande découverte toponymique du millénaire, voire plus

Par mon sang, pour retomber sur mes pieds et mes pillés d’ancêtres (à orthographier…), après une longue étude de vérification sur le terrain et par la cartographie, j’ai découvert que Saint-Cyr-en-Bourg était, évidemment en rapport avec un ancien bourg gaulois (germain celte), puis romain (turque troyen), une forte et grande forteresse de frontière avec, évidemment, la présence ancienne d’une justice inique, cruelle, débauchée et cynique, tueuse d’enfants et violeuse de jeunes femmes, y ayant implanté pendant la christianisation et ses tentatives de mise à bas de l’esclavagisme, le culte de Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte, mais j’y ai découvert aussi que les toponymes Saint-Cyr, dont celui de Saint-Cyr-en-Bourg, qui fait l’objet de mon étude pour sa municipalité, était en rapport avec la racine latine ciris, l’aigrette, l’oiseau échassier blanc des zones humides (voir les articles antérieurs de cette étude “vis ta mine” : Saint-Cyr), lui aussi transformé en vain.

Une porte s’est ainsi ouverte sur une réalité environnementale… détruite des truites.

Sain Sire ambe Our !

Hambourg ?

Nein ?!

TractRectoTirageSaint-Cyr

En cours d’élaboration… Renseignez-vous…

Contact !

Une histoire préhistorique d’archéologie sémantique

Cette découverte a fait entrer la Préhistoire et sa faune éthique, dans l’Histoire et sa phonétique (voir les articles précédents). C’est un évènement historique et je m’y connais, et, de plus, tout le monde peut le refaire et le revivre… à moins de détruire totalement ce monde.

Apportons-en la preuve !

Cette découverte incroyable, surprenante, déroutante, massive, incontournable…, découverte à partager pour ne pas passer pour un crétineur ou une crétineuse, nous donne ainsi des sens nouveaux, imbriqués, juxtaposés, superposés, articulés, fondus, à la phonétique de Saint-Cyr-en-Bourg qui apparaît comme un phrasé ancien en rapport avec son milieu historique, mais aussi préhistorique, légitime et naturel.

Saint-Cyr-en-Bourg, que la toponymie plaçait déjà comme un artefact archéologique écrit, apparaît bien plus crédible, intéressant, porteur de création, voire passionnant, en tant qu’artefact phonétique puisqu’il débouche sur de la faune éthique…

“Il faut rendre à César, ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu…”

Veuillez le faire avec cette présente citation !

à con paraître…

Archéologique phonétique sémantique, et faux nez tique…

L’archéologie, science annexe de l’Histoire, est une science inexacte que l’on ne peut pas refaire ou réexpérimenter, quoiqu’avec une bibliographie, un scanner ou une échographie… Elle avorte généralement son contenant pour jouir de son contenu un peu con tenu… avec plus ou moins de rapports… de sacs en plastique et de cartons.

Pour bien s’en rendre compte, allez voir le Musée archéologique de Blois !

On associe l’archéologie au pillage et à la destruction des sols, monopole ici bien gardé, mais ce terme scientifique, provenant du grec arkhaios, ancien, et logike, logikos, relatif à la raison, désigne en fait, étymologiquement, raison gardée à propos des anciens, pouvant, comme personne, être ici pris comme adjectif attendant son objet ou comme personnes.

Ainsi, en toponymie, je me suis rendu compte, depuis 1986, que le son, la phonétique, était plus archéologique que l’écriture en la matière, encore faut-il avoir le bon lexique, en rappelant que dans lexique, on a LEX, mais guère l’ex.

Qu’en reste-t-il de ce camp, de ce qu’en…, de ce quand…

de ce saint frusquin et de ce franche cancan ?

Tchin-tchin ! Glou, glou, glou !

Made in China ?

Bourré ?

Que reste-t-il de nos âmes, Our… ?

“Seing Sire Ambe Our” pouvant désigner l’aigrette, mais aussi le grand taureau blanc, l’auroch, sire et cire de la grotte de Lascaux, seigneur scellant son seing, l’empreinte de ses pieds, de son pas lourd et boure, dans la bourre boue (dans labour ?), au milieu des batraciens… parfois sous les appels de son berger éleveur néandertalien : ”OURRRrrr !” qui ne manquait probablement jamais, après un bon coup de merlin à défaut de gros cha(t)s d’en faire un eu, U, UR, UUURRRrrr ! Allez, pot peau ! Lis ! Lie !

Etait-ce une réalité, une vérité, un fait maigre, guère là, chétif, rassoiti (comme dirait ma grand-mère), exsangue, en phase terminale ?

Garde à vous ! Repos ! Rompez !
Garde avoue… Re-peau !
Ronds pets…

Une réalité qu’il faut penser lente, qu’il faut panser, l’hante…

Saint-Cyr-en-Bourg apparaît donc comparable à un mur mûr en maçonnerie de moellons, de pierres, de petits cailloux blancs, de calage divers de restes de briques ou de tuiles, de bout de grès ferrugineux d’anciens mégalithes, de sable et de colle en chaux et seaux d’eau.

Mur à Saumoussay, sur Saint-Cyr-en-Bourg (49, Maine-et-Loire)

Montages multiples possibles ? En centaines ? En milliers ?

Combinaisons infinies ?

Gâche gâche ?

Gars ch(e)ut !

Les parties de patrie de ce mûr mur nous sont donnés par les études sur les toponymes comparables et par les dictionnaires de langues anciennes, néolithiques, protohistoriques, gauloises, latines, françaises, mais aussi par les sens anciennes des mots du monde paysan.

Pour donner un exemple simple, dans Saint-Cyr-en-Bourg, on entend “hire”, mot encore connu dans le Vendômois, qui désigne une truie qui ne donne plus. Le sens de Saint-Cyr-en-Bourg correspond alors à un sens historique propre à l’époque médiévale : “S’ins hire en bourg”, c’est-à-dire l’introduction de truies et autres cochons dans la sape d’un mur ou d’une tour, dans le trou qu’on y fait par dessous, afin d’en écrouler la structure, pour que, lorsque que le huron (terme militaire consacré), le sapeur, met le feu à la structure porteuse, portant le nom de boiseries (« Pousse ton bois », comme dit mon père), l’insupportabilité et l’efficacité militaire en soient un peu augmentées. Les truies, les hires, permettent dans d’atroces hurlements, d’augmenter considérablement, par leur gras, la température de la sape pour aller jusqu’à faire fondre ou faire éclater quelque roche… La frayeur engendrée ne servant plus en l’occurence aux négociations de reddition. Cette forme particulière, “S’ins hire en bourg”, évoque également la présence ancienne de porcheries dans les vil(l)es et bourgs médiévaux et bien sûr la chanson de Jacques Brel : “les bourg joie, c’est comme les cochons…”, etc.

Dans le cochon tout est bon et c’est parfois un peu assourdissant !

C’est très charcutaille, miam, mi-âme…

On s’en bourre la lampe !

Les pierres et éléments du lexique

On peut bien sûr évoquer l’église de Saint-Pierre d’Artannes-sur-Thouet (voir gratuitement mon étude des toponymes de cette commune via ma boutique), sur l’autre rive en contrebas, mais évoquons déjà, pour lexique, ce qui semble linguistiquement évident, ou bien commun, voire même rural et paysan, sachant que vous pouvez même en ajouter d’autres, voire même d’autres éléments d’autres langues vivantes :

cintus, cintuxos, cintusmos : premier en gaulois, d’où sain, saint, sein

cinges, cinget(o)- : guerrier, héros, en gaulois… (ayant donné singe ?).

sino– : lien, chaîne, en gaulois.

sinde : ceci, en gaulois.

sindiu : aujourd’hui, ce jour, en gaulois.

singi– : faucon, en gaulois.

cinis : cendre, cendres des morts, restes brûlés, restes refroidis, en latin.

cinctus, a, um : ceint, en latin, ayant donné ceinture.

cingo, cingere : ceindre, entourer, encercler, en latin.

cinnus : mixtion, breuvage composé, en latin.

cinnus : signe, clignement de l’œil, en latin, ayant donné seing, ou signature.

cynicus : de chien, en latin, ayant donné cynique, nom donné à des philosophes.

sine : sans, en latin.

– sain, sein, ceint, sain, seing, saint, s’in-, en français et vieux français.

– s’ins- : en français et vieux français.

– ainsi : en français et vieux français.

ciris : aigrette, en latin (vérifié, ez, er, géomorphologiquement partout en France), échassier blanc, petit ou grand, invitant à beaucoup d’autres notions, ou environnements associés comme les nichoirs de grands arbres, ici disparus, les marais ou noues humides, et aussi notamment l’étoile double Sirius, Notre Sire, la cire des abeilles, l’écritoire de Jules César, etc. (voir mes articles précédents de la série “vis ta mine”, de Saint-Cyr), mais aussi le plateau calcaire de tuffeau blanc de ce lieu et son petit doublon fortifié Brézé…

– Si, si…

see, sea, en anglais (sans doute l’étrave…).

saint Cyr : nom d’un saint martyr de 5 ans associé à sa mère martyre sainte Julitte (voir mon article sur le sujet).

Carte-Net-postale St-Cyr-en-Bourg-

– ir- : élément du verbe aller au futur, s’apparentant en propre à « s’ins-« .

hire : vieille truie ne donnant plus rien en ancien français.

renos : rivière, fleuve, flot qui coule, en gaulois.

an– : in-, a-, non-, exprimant une aversion, une inversion ou une privation en gaulois.

ana : marais en gaulois trouvable sur place en contrebas.

– han !

ham en anglais pour le burger de la même langue.

– âme…

amb-, am- : de part et d’autre, des deux côtés, en latin.

ambio, ambire : aller à l’entour, entourer, solliciter, briguer, en latin.

ambitio : tournée des candidats pour solliciter les suffrages, ambition, pompe, faste, action d’entourer, d’aller autour, de se répandre, en latin (comme l’eau autour des mollets).

ambitus : mouvement circulaire, en latin.

ambe : rivière, en gaulois.

ambi– : autour, alentour, des deux côtés…, en gaulois.

ambio– : enclos, en gaulois.

ambo : deux en même temps, tous deux ensemble (se rapportant à ciris, Sirius…), en latin.

amnis : rivière, courant, eau, en latin.

amo, amare : aimer, avoir de l’affection pour, se plaire à, être amoureux, en latin.

amoebaeus : alternatif, en parlant notamment de chant ou de poésie, en latin.

– boue, bout, en français et en vieux français, avec tous leurs sens.

bu (boï en grec) : particule augmentative, en latin.

bua : mot dont se servent les enfants pour demander à boire, en latin.

Boios : frappeur, terrible, actif, vivace, en gaulois.

boor : rustre, rustaud, en anglais.

boruo, bormo : source chaude, en gaulois.

Boruo : Apollon gaulois, nom du dieu gaulois des sources chaudes et des mondes souterrains (sous tes reins ?), ayant donné bourot, petit canard, en ancien français, et bourreau en français. Notion extrêmement répandue en toponymie sous diverses formes : Bourbon, Brou, Bour, Vrou, Evreux, Berle, etc.

– boure, bure, bourre, bourg, en français et en vieux français avec tous leurs sens.

burgus : bourg, forteresse, en latin, et burges en latin médiéval, borg, berg

boudi : victoire, avantage, profit, en gaulois.

bouno– : durable, prospère, en gaulois.

brog(i) : territoire, région, frontière, limite, marche, démarcation, en gaulois.

– Ur : une des premières villes dans l’estuaire de la Mésopotamie (« si gourd, hâte ! »)

hours : élément de défense en bois des tours ou de remparts.

– or, hors, en français et en vieux français.

uer(o)- : sur, super, en gaulois.

ueru– : large, généreux, en gaulois, se rapportant à vir, viris, en latin, homme, et à ouïr (oui, oui, re-).

uiros : homme, vrai, en gaulois.

uo– : sous, sub-, en gaulois.

uros : auroch, grand taureau, en gaulois.

-etc.

Gênes HURON

Entre autres pour comprendre Lascaux :

Ceint sire en boue Ur… Meuh !

S’ins-cire en bout, re-…

Haut style laid ?

Au stylet !

X ou Y

Saint-Cyr-en-Bourg restitué à lui-même…

Avec ces moellons, ces pierres, ces petits cailloux blancs, les calages divers de restes de briques ou de tuiles, de grès ferrugineux d’anciens mégalithes, assemblables aux sables des varennes et à la chaux, tout le monde peut s’amuser à donner un sens particulier à Saint-Cyr-en-Bourg, et, il aura de fortes chances d’avoir été vrai un jour passé ayant constitué ce toponyme phonétique encore un peu incroyablement faune éthique…

A âmes muses, usez-vous bien…

Amusez-vous bi hein ?

AmuseZ-vous bien !

Âmes mues et…

A musées ?

Amusé(e)

Eve !

où ?

Exemples d’école buissonnière en cahier d’écolier…

DSCN7690

Cahier d’écolier Seyez, C’est “Yes” !

A qui profite le crime ?

En gueux l’Ich ?

“Sain cire en bourre”, à propos des tablettes de cire de nos anciens écritoires…

“Saint-Cyr-en-Bourg”, pour se prendre le mur dû du mûr romain ou son escale liée en pleine tronche…

“Seing cire rend bourg”, pour la validité des livraisons du dernier dû…

“Sein ainsi rembourre”, en unique étouffoir amazonien…

Amas zone ? Sédiments !
C’est dit, mens !
M’en…

“Sains six rangs bourrent”, pour l’host et l’hast…

“Saint, Sire, rend bourg”, « saints s’y rend bourg », etc., à propos des ermites du Ligugé, de Chabris, de Selles-sur-Cher, parmi des milliers, des millions d’autres…

“Sains sires, en bout, RRRrrr”, à propos des forces immenses, qui n’ont pas encore donné, de la gaie guère, gué guerre mécanique, du Général de Gaulle, las…. là, mec à nique… Vroum ! Bis(e) !

“Seings cires, rends bout ou re-…” à propos de Saturne et de son disque, dis ce que… et du culte du demi—tour en frontière, pour faire chier… et emmerder avec quelques taxes sur les paysans locaux…

“Ceint sire en bourg”, à propos des constructions p(h)arisiennes ayant débordé des tuileries et des Tuileries…. sans doute par et pour l’ardoise…

Bonjour les ans nuis, ennuis et les ennuyés !
Etc ? Et ? Hais ? Est… ? Aie !
Aïe ails haïs…
Sois soies…
Toi(T)

“Ceints…”

Et caetera !

A vous de jouer chrétiens ! Crée ! Tiens ! Craie tiens ?

Crête t’y Un ? Poulets ? Poules ? Caux cottes ?

Moules frites, escargots, oiseaux ?

Caux que… coq queue ?

Tiens craie !

DSCN7687

Ardoise à payer…

Tiens crée !

S’ainsi ?

Seins s’y rend…

Sain Un Sire en boue R’œufs…

Le poulailler de ma rue a disparu… A qui profite le crime ?

Les clés du sang ou du sens ?

Chacun peut en arriver là… à un rythme d’escargot, même en dent de lait…

DSCN7686

Crétacé, craie tassée ?

Crête assez ?

The hand ?

Fin ?

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