Découverte apocalyptique…
En langage informe-à-tiques anglo-saxon allemand barbare américain,
Françay s’écrit francay… c’est dys-crime-mine-à-tout-art, voire raciste ! Trace…
Pour preuve cet article se référence ainsi : https://patrimoine-rural.com/une-lecture-architecturale-langagiere-geographique-geometrique-histoire-de-francay-choeur-roman-3-sur-3/
ou pire : Une lecture architecturale langagière, géographique, géométrique… : Histoire de Françay, chœur roman (3 sur 3)
Donc, allons-y en bon FRANCAY, halle à bonne FRANQUETTE !
Et pour les idéaux grammes chinois ? Salle pète re… ? Tesson de poterie,
QRcode des années 90 ? des années Jean Germain et des prises Jack ? Pré-histoires…
Nuit et jour, lit yeux, lie eux… la petite mort, le sommeil, qui trône au-dessus de la mort
Le sommeil est réparateur, il se montre ici au-dessus de l’ancien cimetière…
et le matin, apocalypse des draps, de la couverture !
Et pour l’Homme, dû toit, du toi !
Est-ce une même personne ?
Est-ce un couple ?
Deux moitiés ?
Lieu ?
Rrr… euh lis lit lie…
Avec les pieds, les pillés, vers la Lune et l’Équateur
pour en attirer quelques minéraux… graves…
et les évacuer par corps, par cors…
ainsi comme c’est sculpté…
Photo Nicolas Huron
…
Remarque préliminaire…
Selon la définition du Grand Bailly, dictionnaire grec-français, le grec étant une des langues couramment parlées dans le bassin méditerranéen, même sous occupation romaine, au Ier siècle, pendant et après Jésus Christ, le terme apocalypse, ἀποκάλυψις, εως (ἡ) [κᾰ] désigne : 1 action de découvrir, PHILOD. De sup. 23 ; 2 figurativement révélation, PLUT. M. 70 f ; particulièrement révélation divine, NT. 2Cor. 12, 1, etc. ; d’où l’Apocalypse, titre de divers ouvrages parmi les Livres saints, CLÉM. 1, 525 ; 2, 338, etc.
Ainsi, découverte apocalyptique signifie “découverte (nom commun) découverte (adjectif)” et vice et vers ça. Mais cela fait plus sens as…
J’aurais pu la garder par devers moi…
Je n’étais pas obligé d’y travailler.
Ce mot provient du verbe ἀπο·καλύπτω (apo-calouptô, apo-caluptô) : 1 découvrir (la tête, la poitrine, etc.) ; dévoiler ou démasquer quelqu’un, c’est-à-dire le forcer à parler, ou le faire connaître dans tout son jour ; 2 figurativement révéler. Comme verbe transitif : se découvrir, se découvrir la tête ; et comme verbe intransitif : 1 se dévoiler, c’est-à-dire montrer ses dispositions ou son caractère au grand jour ; 2 agir ouvertement en vue de quelque chose, c’est-à-dire se préparer ou aspirer ouvertement à quelque chose…
et a dans sa famille :
– ἀποκάλυφος (apocaloufausse ou apocalufosse) : découvert.
– ἀπο·κάλυμμα, ατος (apocaloumma ou apocalumma) : révélation.
– ἀποκαλυπτικός, ή, όν (apocaloutiqu’os ou apocalutiqu’os) qui révèle, qui découvre.
Le sens du préfixe et de la racine, ἀπό, apo, signifie : au loin, à l’écart ; en venant de… ; à partir de…, à la suite de… ; hors de…, en séparant de…, en éloignant de…
Ainsi, le terme ἀπό, apo, marque la séparation, l’éloignement, donc aussi le changement, l’achèvement, le retour, la privation ou la négation.
Qui a déjà eu l’idée d’ouvrir et de consulter longuement le sens des mots à travers un dictionnaire ? Équipez-vous donc !
La partie “calypse” a une origine pré-grecque et provient du verbe :
καλύπτω (calouptô ou caluptô) (f. -ύψω, ao. ἐκάλυψα, pf. inus. ; pass. ao. ἐκαλύφθην, pf. κεκάλυμμαι) et signifie : 1 couvrir, envelopper, cacher ; couvrir une chose d’une autre, cacher une chose sous une autre ; envelopper quelqu’un ; 2 étendre pour couvrir ; s’envelopper, se couvrir…
Le Christ du Jugement Dernier (XVIIe siècle) découvert sous les plâtres en 1990,
dont le blanc de plomb mélangé à du minium s’est oxydé en noir.
On y voit son manteau rouge de la puissance romaine.
Église Notre-Dame de Françay (Loir-et-Cher ; 41)
C’est un charpentier, de toits, de toi, et notablement de marine romaine.
Photo Nicolas Huron
…
D’autres mots existent dans cette famille, par exemples :
καλυπτός (calouptos ou caluptos) : 1 couvert ; 2 qui recouvre.
καλύπτρα (caloupta ou calupta): 1 couvercle de carquois ; 2 voile, coiffe de femme.
Καλυψώ, Kalypsô (Calypso ; υ se prononçant u ou ou) : 1 fille d’Atlas ; 2 Océanide.
Il y a plein d’autres mots intéressants, parmi des centaines, commençant par “apo” :
– ἀπο·καθαίρω (apo-cathairô) : nettoyer ; rendre pur, affiner (un métal) ; rejeter comme impur…
– ἀπο·καθίστημι n(apo-cathistémie) : remettre en l’état antérieur, rétablir ; restituer, rendre ; se rétablir, se calmer, se reposer, cesser…
Dans mon propre dictionnaire papier Grand Bailly, les mots commençant par ἀπο, apo remplissent les pages 217 à 253. Tout le monde peut constater que les mots retenus par la culture esclavagiste romaine sont peu nombreux dans un dictionnaire français actuel. Dans le dictionnaire latin-français Félix Gaffiot, ces mots ne prennent que deux pages. Une étude de parti pris serait à faire…
Cachots ou cachotteries ? Enfantillages ou crimes ?
« Les deux mon capitaine… »
Laide…
…
Révélations découvertes sur
les modillons de l’église de Françay
La corniche du chevet de l’église Notre-Dame de Françay (Loir-et-Cher ; 41) est soutenue et décorée par 12 modillons sculptés, aussi appelés “corbelets”, typique de l’art roman du milieu du XIIe siècle. Ils se répartissent en trois séries de quatre sculptures entre deux contreforts plats de même style.
Ces modillons ne sont pas de simples décorations romanes ou romanesques. Ils documentent sur le milieu du XIIe siècle et sont très curieusement orientés vers ce qu’ils illustrent. On peut les considérer comme une table d’orientation, un panorama politique, de la première moitié du XIIe siècle et nous offre à découvrir une actualité vraiment brûlante.
…
Orientation géographique du XIIe siècle, non déboussolée par la radio activité
Ces sculptures représentent donc une orientation géographique volontaire sur le monument lui-même par rapport à l’environnement local, voire national, voire international. C’est une œuvre de sédentaire connaissant le pays et sa langue comme étant de son sang, avec un sens de l’orientation certain, ou une science géographique absolue, voire une perception presque sans limite spirituelle et temporelle.
On donne sa langue au chas ? On mouille le fil à coudre ?
…
…
Ouvrez vos cartes de France… surtout pas votre téléphone portable, il est trop petit…
et constatez par vous-mêmes… cet incroyable découverte
avec un rapporteur d’angles.
Voir les Orientations orientales !
Plan Nicolas Huron
…
Ainsi, le premier modillon de la première série, la “chatte au rôle” (évocation de sainte Anne représentée habituellement portant un seul rouleau de l’ancienne loi, l’Ancienne Alliance, qui est représentée habituellement par deux rouleaux liés, ici rappelés comme déchirés) ou “chatte au roule” est dirigée vers Châteauroux, le château du puissant Raoul, seigneur de Déols, lieu d’une grande abbaye papale liée à la Vierge Marie, l’abbaye de Déols. Il évoque le dicton qui précise “qu’il faut tourner cette foi sa langue dans sa bouche avant de parler” (ou 7 fois, à vous de voir…). Tout le monde sait que la langue de chat est antiseptique… râpeuse, et que, lorsque l’on naît ignorant, on “donne sa langue” au chat, pour les bobos, mais pas à la chatte.
Chatte au rat ou Leu ? Château rat houle ? Chas tord roux ?
Avoue, à vous, avec un crayon et une gomme…
Au bout de Seth, (Dis Pater, Zeus, Jupiter ?)
7 (anglo-saxon non barré, comme un 1), set, cette… normalement on comprend…
Ce premier modillon a derrière lui, à Françay, la ferme de la Controlerie, mais aussi la Salle, qui peut ne porter qu’un seul l, mais pour voler, avec deux, c’est mieux…
Salle Controlerie ou Controlerie Salle ? Elles se touchent…
Vérifiez si vous avez une fausse sceptique à la place du serf-veau !
Sachez que rôle et contre rôle font référence à la comptabilité ethnico-communautaire à double colonne, truquée des banquiers juifs ou lombards de l’époque, d’origine indo-chinoise et en provenance d’Italie ou de Germanie, avec leur usure et leurs faux chiffres, comme ce 7 anglais ressemblant à un 1 à la hampe non droite. Arnaques ou contrôle ? Le problème ne date pas d’hier… En France, le 7, on l’écrit barré, c’est plus sûr ! Sachez aussi que presque tout le système bancaire actuel, que plus personne ne comprend et qui donc ne fonctionne plus, date de cette époque et des efforts des ordres monastiques. Besoin d’un médiéviste ?
Ah, la génétique sagesse populaire locale… et nos savoirs ancestraux…
Languedoc ? Langue d’Oc ? Langue doc… ici.
Lent gueux d’haut que…
Bla, bla, bla…
D’aise orientée ?
Jules César voyait la Gaule en bas, par rapport à Rome… Un trou à m…
Ce sont les Germains légèrement Oto centrés qui mirent les cartes avec le Nord en haut.
…
Modillons de la première série, côté sud, du chevet de Notre-Dame de Françay
Le 4 tourne le dos à la Bescaudière. Un hasard ? Lisez la suite.
On a aussi la Tibergerie à Françay, 3 ?
1 et 2, cat au lit que… hi, hi, hi !
Photo Nicolas Huron
…
Vous avez vu le premier ?
Le second modillon de la première série évoque le sommeil côté couchant, avec le bonnet de nuit, et le réveil côté levant, vers le lever du Soleil, position de couchage plutôt bon pour la santé, avec, non représentés mais évidemment dans le mur ou derrière, les pieds vers la Lune et vers le sud, l’Équateur. On va derrière vers Saint-Amand…
Suce pets ?
Le troisième modillon de la première série, montre un ours rieur, dirigé vers Bourges et le Berry, car le “ber” (l’ours ; voir Berne, Bernard, etc.) rit. L’ours, comme le bourgeois, étant impitoyable et “soupe au lait”… Bourre joie ! Le duc ? Le rire est associé au XIIe siècle, au diable, et évoque éventuellement la possession par la Bête, le Démon, quelque peu évoqué par la suite. Le derrière vise à la Tibergerie, « ti » signifiant « petit »… Le Berry, dans le récit de la Guerre des Gaules de Jules César a de bonnes dents, ils en ont exterminés tous les Carnutes de l’actuel diocèse de Chartres dont fait partie Françay. Pour leur profit, ils le font encore et en rit en corps…
J’en fais preuve de par ma vie…
Suspect…
Le quatrième modillon de la première série évoque l’animisme, la folie. Yeux effarés, bec d’oiseau et mâchoire inférieure humaine ou d’un mammifère. Il est dirigé vers la Sologne, ses bois humides de bouleaux (avec lesquels on fait la poix, la colle (chimérique ?), et à Françay, il y a Boulomer et les bois de Barday. Bardes ? Racontars et chants druidiques, ça va barder ? Rires homériques… colles… et ses marais souvent nauséeux, en cours d’assainissement au XIIe siècle, ces folies, du latin folia, la feuille… faux liés, faux liée, foliées… et ses feux follets pour qui n’y prend pas garde et remuement des feuilles mortes qui se ramassent à la pelle. Le remède à la respiration de ces déchets organiques, dont la poix, et le pétrole, font partie, qui rendent joyeux et fou à la fois, est dans le problème. Les enfants aiment jouer avec les édredons de plumes et avec les tas de feuilles mortes… mais ils se dépensent et le chœur et le cœur bat plus vite, comme la machine à vapeur de leurs respirations. Ils s’en saoulent ainsi en intra-veineuse… pour bien dormir et s’en réparer par la suite… construite comme une BD. Le mal et le remède sont donc suggérés en même temps. Et pour le re-m’aide : l’effort, l’effe hors (l’eau de source et la vapeur), la sueur, le bon air, les cieux, la bonne aire, l’essieu, la bonne chair, voire la bonne chaire… !
Ce drôle d’oiseau tourne le dos aussi à la Poiserie, sans doute un rappel…
Rappelons qu’à Françay les lieux-dits au sud-est de l’église
sont les Aireaux, des jardins et… Perpignan…
Pair pignant, Père peu brûlant…
On peut y voir aussi une évocation marine, voire géologique,
un mammifère marin, un dauphin, fort représenté en écu dans les armoriaux,
grand mangeur de poissons, en recharge de mémoires vives par leur phosphore…
sans doute aussi une évocation du poisson du vendredi, mais aussi
de Vénus et de Jules César, méditerranéen épileptique.
Ce quatrième modillon est aussi dirigé, vers la Charité, caritas, le Sancerrois et Sancerre et Saint-Satur… sans serres… Sang sert ! Aujourd’hui nous dirions, cœur et capillaires sanguines… Effroi, Effe (eau) Roy… sachant que le Sancerrois est lié au Blésois. notamment avec Thibaut IV, comte de Blois… le Sancerrois sans ses rois, gaulois ou germains, par Jules César… sans ses roues à… avec ses roux à… vins ferrugineux… qui sang sert !
Chimère ? Chie mère… Chie mer, c’est-à-dire “mange du poisson !”
symbole du corps du Christ et du bon vin et du bon blé.
Les Cieux et le saint air des paradis (vergers, ici).
Laisse yeux ! Laisse scie, œufs…
Laisse si eux…
J’ai un peu démasqué ces modillons, leur contexte historique et j’ai déjà un peu expliqué la première série, avec quelques-uns de ses sens multiples, dans mon article : Tradition populaire : Françay (41) et les 7 péchés capitaux.
Ces modillons sont donc des remèdes, des conseils découverts, présentement ici “apocalyptiques”, de bonne santé et des soins à la plupart des maux, voire des mots. Ils sont au-dessus de la mort, au-dessus du cimetière de Françay, et sont dirigés vers le nord et vers la Germanie, et vers le sud-est où réside l’Orient, l’or riant, la Trahison, le maure, le Turc et Rome, Jérusalem et l’Asie, les Indes, tous les dangers auxquels les cerfs, les serfs et paysans locaux doivent faire face.
Ces conseils de bonne santé sont ensoleillés en vis ta mine D…
Ils présentent un peu l’actualité abbatiale et seigneuriale au milieu du XIIe siècle, mais ils sont aussi littérature faune éthique, lie tes ratures… lis lie… ! lie lie de calcaire de Beauce…
Nous verrons que les deux séries suivantes évoquent aussi des questions astronomiques, géologiques, maritimes, royales, et bassement humaines…
Ils rappellent les vertus cardinales, dont la prudence, la prude (h)anse…
…
La seconde série de modillons
d’Adam à Louis VII, roi des Francs
Le premier modillon de la seconde série représente un personnage à petit nez court, un peu enfantin, avec la “barre” au front, image d’une douleur aiguë due là à une carie dont l’infection est évoquée par la lèvre supérieure gonflée. Les dents sont pyramidales… pire amie dale… Nous sommes au-dessus du cimetière. On craint la mort, l’âme hors…
Traditionnellement, il évoque la petite souris sous l’oreiller…
Il évoque la vermine qui ravage les récoltes, tel Mickey mous(s)e…
Un conseil de prudence sur la naïveté enfantine et son inconscience,
et le temps très long qu’il faut pour les instruire de tout cela de tous là.
Le personnage a 7 dents, forcément blanches, seules parties visibles du squelette, dont les reflets sont évoqués par le côté minéral à facettes, aux cristaux, et donc au Christ haut. Architecturalement, cette dent, un peu à gauche, évoque la clé de voûte et la Passion.
Il évoque les cristaux de la terre qui peuvent rendre malades… ou sains.
5ème modillons en partant du sud.
Photo Nicolas Huron
…
On pense immanquablement, par rapport à la culture chrétienne catholique romaine du XIIe siècle, à Adam (ad âme ou ad dans… ? La question reste posée), le traitre aux paradis, le péché originel. On panse aussi à “carie tasse”, caritas, en latin, la charité.
La dent cassée, centrale, la plus avancée, évoque là aussi l’Ancien Testament, le chant de liés, le chandelier, à 7 branches, l’Ancienne Alliance, mais elle évoque aussi obligatoirement la Charité, la Nouvelle Alliance, mais aussi Juda Iscariote, hisse carie (h)ôte…
Le sculpteur a dû en sourire : “lisse carie haute, lys se carie, hotte hot…”
Le personnage du modillon regarde le cimetière, sa mort prochaine, et est orienté à 70° nord-est, vers Mer, Jargeau, Châteauneuf-sur-Loire (éventuellement Fleury, c’est-à-dire Saint-Benoît-sur-Loire), Montargis, la Gâtine, Sens, Troyes (et son évocation des remparts abattus), la Champagne liée à l’époque au comté de Blois dont nous sommes ici en limite, et plus loin la Lorraine, alors haine, et les barbares germains et leur férocité et voracité « pires que les Loups » (synonyme de Romains en toponymie historique), et pour qui est d’ici, le vent mauvais, glacial qui rougit, violace, voire noircit, les mains de froid, voire de chaînes…
Il nous ouvre aussi sur la Carie, région grecque côtière de l’Anatolie, actuellement occupée par le Turkménistan, mais aussi sur la culture des Cariatides grecques, voire à Aphrodite, et dans le bazar oriental chaud show de la mythologie gréco-romaine. C’est aussi une évocation des Charites (Χάριτες, Khárites), dont l’une, Charis, était, d’après Homère, l’épouse d’Héphaïstos, le forgeron… Là en dehors du chœur de Notre-Dame, tout est permis… Il évoque un besoin de fer… et faire.
On en plaisanterait presque si nous n’en étions pas nous-même victime…
l’Adam est cassé, l’Adam s’est cassé ? Il s’est taillé…
C’est TOI(T), idiot !
On pense évidemment à la fermer pour ne pas s’en prendre des coups
et on penserait même à certains météores car le ciel est déjà tombé sur la tête…
…
Le second modillon de la seconde série, 6ème en partant du sud, représente un chat ou une chatte, la bouche fermée mais les dents visibles, sorties de la bouche, débordant des lèvres, un beau râtelier, ce qui pour un félin, comme rate liée, est à noter.
Les chats sont associés aux sorcières, et son bot râtelier semble comporter au haut 12 dents intactes et une dent cassée. On évoque ici évidemment encore le Christ et le chas de l’aiguille, voire Orléans et l’étroitesse de sa porte sud évoquée par Jules César, ou à la légende du chat de Beaugency. Il évoque les ponts, les arches et évidemment, architecturalement, les clés. Il a un espace entre les dents au milieu, signe normalement de bonheur et de chance. Il semble éberlué. Il s’agit d’un démon.
Art chie tes queues : “tue râlements”…
et j’ai haut graphiquement…
il manque la clef…
à cet arc.
6ème modillon : chat chas avec la chatière dans son râtelier…
Photo Nicolas Huron
…
Ce chat ou cette chatte regarde vers Orléans, vers le nord-est, à 50°, au loin et au Loing, première seule grosse rivière notable que l’on peut rencontrer dans cette direction, après avoir traversé le plateau beauceron par le nord des bords de la Loire, avant Sézanne, porte de la Champagne, Châlons-en-Champagne, puis les Ardennes, ses mines et les arts d’haine… les passages clandestins et mystérieux.
Ce chat chas est au-dessus de la baie axial du chœur, du côté gauche ou du côté droit selon l’endroit où l’on pense se placer.
Le plus extraordinaire réside dans le fait que, dans l’axe inverse, derrière la ferme de la Guillaumière, on trouve la ferme de la Chatière et le terroir du Corbelé non loin des Haies de Château-Renaud. Vous semblez, comme cette sculpture, perplexe (Père plexe, en référence aux plessis des haies défensives et nourricières ?), dubitatif ? Pourtant vous pouvez vérifier avec mon jeu des toponymes de la commune.
Jeu des toponymes de Françay !
On pourrait penser à Tibert le chat du Roman de Renart.
Des bandits bretons ou anglais, voudraient-ils passer cette Chatière,
pour en aller plus à l’Est vers quelques mirages orientaux,
pour quelques palais luxembourgeois ou d’Empire ?
Chatte hier ? R’Ève des laines de Troie ?
Le Corbelé, c’est le précédent ?
Le suivant la Moquetière ?
La Guillaumière ?
Vous y voyez clair ?
Alors, laissez-les, Lay, Lée, laids, lait, passer…
Françay ? C’est dentaire ? Cède en terre ? Franc C… ?
Oh, mi-août, miaou, mi out, à la fête du 15 août, fête patronale de Françay
Français français, l’achat te… ? ou comme tout barbare, la chatte ?
Oh, le pauvre minou… mis nous… mine où ?
Mines et… ? mis né ? Mine êtes ?
Miss terre…
Il faut appeler un chat un chas !
Remède, remets d’eux, r’œufs mes deux…
On pense évidemment à ne pas trop errer comme un chat peut le faire…
ou à en trop montrer les dents qui chez les animaux indiquent une agression
ou à ne pas trop en vouloir ou à ne pas trop en réclamer des biens des autres
surtout pour un étrange étranger… qu’est un démon des monts, ou le Diable lui-même.
…
Mettre franc-maçon ou maître maçon franc ?
Mon père fut maître d’œuvre et maître des cols et des colles…
J’ai de qui tenir pour comprendre comme maître des colles et d’école !
Photos Nicolas Huron
…
Le troisième modillon de la seconde série, être sans dent à la bouche molle et à la langue sortante et furetante, évoque un serpent, c’est celui de la tentation, avec le démon à sa droite et à votre gauche, et une évocation d’Adam encore à gauche, Eve étant un peu derrière à tenter l’innommable… aligné à l’ouest sur les fermes de la paroisse des Sutrières, et de la Tombe…
Ce modillon évoque aussi un batracien, une grenouille, qui dans la conscience populaire est associée à la sorcellerie et autres diableries. A Françay, dans ces terres historiques de vergers, de haies défensives et de pruniers, on y verrait plutôt une reinette arboricole, signe de tempête où, normalement, elles pleuvent réellement, signe de beau temps quand elle se trouve en haut à perfectionner et à aguerrir les pollinisateurs pour les rendre plus rapides et plus efficaces. Comme reinette, cette sculpture, est directement associée à sa voisine qui représente un personnage couronné. Nous avons, semble-t-il, ici, peut-être un couple royal, ou bien un roi pêcheur et son héritier : Louis VI le Gros et Louis VII le Jeune.
Cette sculpture peut aussi évoquer le père de Louis VI le Gros, Philippe Ier,
à travers le petit montage de franglais : file lip(es), fit lit peu…
Chronologiquement, puisque la sculpture semble dater des environs de 1155, nous serions en présence de Constance de Castille que tout plaisantin impoli et irrespectueux, qualifiera de “con c’t’anse de caste y yeux”, voire pire… nom comportant plein de sssss : con SSSS tant SSSS de cas SSSS t’ille… mais en espagnol, c’est en corps pire…
Constance de Castille fut reine et épouse du roi Louis VII le Jeune, un peu déconsidéré, voire pensé comme illégitime, fils de Louis VI le Gros, roi des Francs, qui fut sacré à Orléans et qui fut enseveli, non à Saint-Denis comme les autres rois des Francs, mais à Saint-Benoît-sur-Loire sur sa demande à cause de ses nombreux pêchés. On ne parle pas encore, en 1155 de roi de France, mais bien de Roy des Francs, REX FRANCORUM, les serfs, paysans, et autres villains du tiers état, survivants de l’esclavagisme romain, n’étant pas encore vraiment concernés, et le clergé ayant encore du fil à retordre avec la « noblesse de tous poils » (croyez-en l’affaire du Puiset, sur Janville, en Beauce) y compris celle nouvellement arrivée du nord… encore recouverte de fourrures. Normal nord mâle… Ce qui fait, que là, dans le cimetière de Françay, on pense cela un peu avec distances…
Avec le mot « Normand », à la place de « vie king » qui est un peu infantilement exagéré
le Français leur a mis quelques normes, lois et foi « en d’dans »…
d’où le zèle… et l’aise « elles » des nouveaux venus…
et le style administratif anglo-normand…
un peu abusif, mais très efficace
et, c’est rien de le dire…
Voir Coutances (50)…
Very space y halle…
C’est spatiale ?
Spacieux !
Constance de Castille est vraiment territorialement une reinette d’Ile de France, par rapport à la précédente, Aliénor d’Aquitaine, répudiée en 1152 par le roi Louis VII pour ne lui avoir donné que des filles, et qui, pour des raisons dignes d’Hélène de Troie, est devenue, par l’Anjou, carrément reine d’Angleterre, “allié nord”, voire “alien or” pour la quitte haine, et à la tête d’un véritable empire, mode à l’époque en pire : Saint Empire Romain germanique, une invention et une usurpation, l’empereur de toutes les Espagnes, c’est un peu exagéré, et pourquoi pas Kaiser, ou Tzar, tanks à faire, en fer, et à dérouiller…
Tralala et trous bas doux re… à Poitiers, et poids t’y est,
avec les tisanes aux tilleuls et autres…
douceurs angevines…
plante à jeûner…
à Bordeaux
au bord d’elle
la belle Gironde
et avec les bergers des Landes.
Et bla bla bla avec de belles babines…
Bine, étant un terme de racine grec signifiant “boire”…
En 1160, Constance de Castille décèdera malheureusement, en accouchant d’une fille, lors d’un pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle, chez elle, dans le royaume de Castille-Léon. Le roi de France, veuf, se mariera ensuite avec une fille de la maison de Blois-Champagne, Adèle, dite Alix ou encore Alice de Champagne, reine (1160-1180), qui donnera à la France, son premier vrai roi de France : Philippe Dieudonné, honorablement titré Philippe Auguste. Mais, ça, c’est après la construction de ce chevet et de son décor… des corps…
7ème modillon : une représentation un peu démoniaque,
un serpent, une grenouille de bénitier, une bigotte,
une couleuvre pour une reinette en autophagie !
La langue collante adroite à droite…
On la voit presque dire Aaaah !?
entre ses lèvres doubles…
Suggestions féminines ?
Photo Nicolas Huron
Pour comprendre, il faut savoir qu’un calvaire vu de face
a toujours Notre Dame à gauche et Jean l’Évangéliste à droite
et que derrière le Christ est représentée souvent la Vierge à l’Enfant.
Cela laisse à réfléchir en matière de sauvegarde, Notre Sauveur, Fils de Dieu
et du dieu Auguste César qui fit ce parcellaire en cette frontière telle qu’il Est…
…
La reinette de ce modillon, l’arrêt net de la toiture, regarde vers le nord-est, à 40°, et est dirigée, vers la Beauce, par Oucques-la-Joyeuse, Janville et son carrefour, près du Puiset où le comte de Blois Thibaut IV a bataillé contre un seigneur barbare, et où le roi de France, Louis VI le Gros, à partir d’un domaine de Saint-Denis tenu par Suger, l’inventeur de l’art français, dit gothique, à Toury, mit fin aux pillages et aux exactions d’Hugues III du Puiset,
Et, au-delà, nous allons vers Étampes, porte de l’Ile-de-France, et tant peu, Arpajon, harpe à joncs, puis la rivière de l’Orge, avec laquelle ils font des bières, et Ivry, saoul comme un “cochons” de QCM (aujourd’hui Ivry-Châtillon), et aux moulins voraces de Grigny, et Évry (aujourd’hui Évry-Courcouronnes) où Ève rit avec le blé de Beauce… sur les embarcadères sur la Seine, voire la Cène et le sacrifice de la Passion et le génocide des agriculteurs beaucerons perpétré par les Berrichons via J. C., Jules César, avant J. C., Jésus Christ.
Vue de la Petite Beauce ou Gâtine tourangelle…
on y verrait volontiers quelque goulantrie…
…
Le quatrième modillon de la seconde série représente un personnage joufflu, à grosses babines, sans dent, mais portant ses dents sur sa tête sous la forme taillée d’une moulure en “dents de scie”, si, re si… (“avec des scies on mettrait Paris en bouteille”) qui peut être une évocation d’une couronne royale.
Les moulures à dents de scie représentent, en art roman, l’intermédiaire entre le Ciel et la Terre, entre la vie et la mort, entre l’état de mortel, le nôtre, et la Vie éternelle. C’est une représentation de la puissance divine.
C’est le froid absolu et mortel de l’altitude…
C’est la rape de l’astre solaire sur notre relief
qui nous fait tourner la tête… plane et
s’accrochant sur nos cathédrales
à défauts d’arbres géants…
Souffle, souffle !
Roue, roux…
roule !
Le personnage regarde vers Paris, au nord-est, à 30°, et peut évoquer ainsi la capitale de Clovis et le roi, Louis VI le Gros, dit aussi le Batailleur, Roy des Francs, REX FRANCORUM, entre 1108 et 1137.
On pourrait penser aussi à son fils puiné Louis VII le Jeune ou le Pieux (en parlant du lit et de ses trois épouses successives… et de ce qu’il fourrait dedans), Roy des Francs, REX FRANCORUM, entre 1137 et 1180.
Mais physiquement, cette sculpture évoquerait plutôt le surnom de son père Louis VI le Gros, selon leurs sceaux royaux qui sont leurs seuls représentations à peu près fiables, selon la pratique des sceaux et des camées romains. La sculpture, caricature, semble blessé, mais enjoué.
Il regarde vers ses origines de Franc salien… Bruxelles, entre autres… C’est un peu salé.
Surtout qu’il regarde avec gourmandise à la Picotière…
On pourrait y voir des créneaux…
et avec les babines des babils
et pourquoi pas, Babylone…
scie, rescie ? Sire !
C’est l’époque de Notre-Dame de Paris et de la naissance de l’art français
surnommé au XIXe siècle par mépris, l’art gothique, celui des Goths des Paris goths…
8ème modillon : une représentation joviale presque hilare et donc un peu diabolique…
Un sauvage cannibale ? Un descendant de maire du palais !
On l’entendrait presque dire Hé, Est, et…
Avec les babines précédentes,
on entendrait baie, bêêê…
après Ah Mm, âme !
Un cap est sien !
Photo Nicolas Huron
…
Il faut savoir qu’au XIIe siècle, le rire est un peu suspect (suce pets ? à quatre pattes ?) et considéré comme un peu démoniaque. Une possession ? Un gros appétit ? Un entonnoir, voire un trou noir, un gouffre, à la place de l’œil droit malicieux (à orthographier à loisirs…) ? L’Ile de France ? La cité ! La seule qui ait gardé ce titre, et droit de citer, et ce nom à cette époque éloignée de l’Empire romain et de ses cités, sièges des anciens diocèses… On parie ? PMU, Paix aime eues ?
Le mors d’or…
ROYAL !
…
La troisième série de modillons
des traits aux ports anglais
jusqu’au bout du Monde…
La troisième et derrière série évoque des traits et encore des traits, et un Anglais ou un Normand, reconnaissable par la direction qu’il regarde et par son aspect “d’en gueux laid” ou de “bigot” (by Got ! Big hot ! etc.) grossier, lui aussi aux yeux presque exorbités de désirs vicieux.
Le premier modillon de la troisième série représente une sorte de bijou, de gemme, de “j’aime”, une tentation. Il est en direction, du nord à 355°, vers Hasting et rappelle la bataille par laquelle Guillaume le Conquérant, le Normand, se rendit maître de l’Angleterre, en 1066, presque un siècle avant cette sculpture. Il est en direction aussi de l’estuaire de la Tamise, “ta mise…” (Th-ames…).
Ce modillon est couronné comme le précédent et, dessous, la pierre précieuse semble sertie. Il semble poser une question : “sert-y ?”. Il se rapporte au mot latin serratus, en forme de scie, dentelé. Il fait aussi appel au verbe latin sero, sertum, serere, entrelacer, tresser, mais aussi joindre, enchaîner, unir, attacher. On y voit aussi le mot latin sertum, la couronne, la guirlande, les tresses.
Si j’aime, gemme scie…
On peut y voir un diamant, un dit amant, ou ceint aimant, sachant que Saint-Amand (Saint-Amand-Longpré ; Loir-et-Cher ; 41) n’est pas loin. le mot dia, le jour, ou dia-, qui en langue latine médicale, sert de préfixe pour désigner des produits médicaux divers, mots qui sont une pure transcription du grec. Le dia- ment… Dis à…
La lumière comme remède, même reflétée,
vit ta mine Des…
poissons…
@)+++€
Le second modillon de la troisième série représente deux moulures à dents de scie superposées au-dessus d’une gorge, comme le cisaillement d’un cisaillement. Deux scies, cela fait phonétiquement “cire”, une barrière puissante contre la vermine et les parasites. la sculpture semble avoir été tournée en direction du nord, à 345°, vers le Havre et le port anglais de Brighton. Il évoque la mer Manche, sea, qui scie toujours plus profond… à la gorge, en creux. Sea scie !
Il est aussi en direction de Vendôme… et du ferrugineux local…
Ce modillon est en rapport avec le verbe latin secare, scier, couper. On pense au vieux français “coupeaux”, copeaux.
Pour évoquer le charpentier de marine…
et la tapisserie de Bayeux.
Modillons de la troisième série du chevet de l’église Notre-Dame de Françay.
Photos Nicolas Huron
11 et 10 en hébraïsme (inverti et inversé) se lie et se lit
comme en grec étrusque ou en phénicien…
« the sea »
Ocean hoche Sean (Connery)
the sea see Brighton !
pour les bords, je n’ai pas encore tout trouvé…
os si âne the sea brighton… o(n)ne ?
Dis amant terre, diamantaire…
dit âme en terre, enterre…
Avoue ! à vous ! see !
Soyez-en un
OO7 !
en su père perçu super speculatores
pour en comprendre les speculares
de la Galerie des Glaces à Versailles
et le Roi Soleil, souverain absolu par…
J. C. qui en épigraphie s’écrit I C ou C I de la droite…
comme en irrespect le dernier des derniers…
J. C. (Jules César) avant J. C.
J’y sais…
…
Le troisième modillon de la troisième série est un personnage grotesque qui tire la langue et semble dire la syllabe anglaise “th”, zzzeu. Ces yeux exorbités semblent taillés comme des pointes de flèches et ses oreilles semblent des plumes, peut-être de traits, des empennages de flèches pour poursuivre cette évocation avec ses arcades sourcilières. Il a un nez de porc et de petites dents projetées vers l’avant, comme des traits. Il semble anglais, peut-être normand en fonction de la direction qu’il regarde, vers le nord, à 330°, vers Bristol et son channel, Newport, et la rivière Severn, et le Pays de Galles, qui en français désigne un parasite.
L’arc d’if, arbre aux baies rouges empoisonnées, est subtilement évoqué…
On le voit dire le « th » anglais… ZZzzzzz ! Avec ses oreilles en forme de plumes…
Le nez semble bien représenter celui d’un porc d’un port.
Les yeux sont presque des pointes de traits.
Parcours fléché !
Rat ou porc ?
Rapport !
Guillaume le Conquérant ?
La Guillaumière lui tourne le dos et reste au chœur de…
Photo Nicolas Huron
…
Ce porc haut, évoque les mots latins por, esclave, porca, truie, ou partie proéminente du sillon, de porcinus, le porc, porro, en avant, plus loin, au loin, ainsi que le verbe porceo, porcere, éloigner… Apo ?
Il évoque les ports anglo-normands : Portsmouth, Southampton, Bournemouth… avec le zzz du th-…
Avec les deux corbelets précédents, cette série de quatre évoque un évènement historique majeur, le drame de la Blanche-Nef, en 1119 ou 1120, à Barfleur, à cause de son raz.
Quand on regarde une carte de France dans son ensemble, avec la Beauce et la Sologne et son Bassin parisien coquillé, voire son Massif Central volcanique et granitique en carapace, on voit leur Bretagne, mon Armorique, en tête de tortue qui pleure pour pondre avec le Cotentin avec sa patte droite qui rame… FORT ! ou une petite tortue qui veut en naître et survivre… pour rejoindre la mer Océane, en ce bout du Monde…
Blanche-NEF ! Notre-Dame !
du point de vue de Françay, en Petite Beauce, et Gâtine tourangelle…
… pour en voir notre épouvante géo-sensible sur Géoportail …
La tortue se nourrissant en les broyant des ammonites de Jupiter…
pour toutes les barrières de coraux à sauver ou à faire…
Ver(s) l’Hun fini et ode de là !
Eaux de las…
pour les âmes de ma sylviculture…
face à la houle de la Mer Océane, dite Atlantique en Atlantide… ici-bas !
Le quatrième modillon de la troisième série est fait de traits horizontaux : un taillant et un arrondi, un taillant et un arrondi… Sans doute le bon et le mauvais flic, flaque, floc… Une méthode.
I C I C I C I C
Il évoque les lames et les bosses des labours de la Beauce…
Il évoque les ronds de bosse… et de Beauce… pour ceux qui savent.
Il évoque beaucoup de mots en rapport avec les traits, les tracés : le verbe traho, trahere, tirer ; solliciter, attirer ; traîner, traîner avec soi, traîner derrière soi ; tirer à soi, entraîner à soi ; rassembler, resserrer, contracter… mais aussi les mots latins de riga, ligne, raie, recte, en ligne droite, etc. On pourrait en remplir 800 pages et encore…
Il est en direction de la presqu’île du Cotentin, Cherbourg, de celle des Cornouailles anglaises, Cornwall, de St-George’s Channel, de l’Irlande, Irish, de l’Océan, de l’haut céant, l’Ô séant…
Hausse ces : « Han ! »
Tirants d’Ô mes gars !
Vagues ? Calme plat ? Sillage ?
Sain poly, ceint poli ? Saint Paul y…
Quatre et quatre font huit… un goût salé d’éternité…
Douzième modillon du chevet du chœur de l’église de Notre-Dame de Françay.
Calcaire dit craie… Créez ! Lit, lie… de blanc petit caillou…
fait avec une lime à son, logé près de l’ancien prieuré-cure
Limaçon lui tourne le dos et reste au cœur.
Photo Nicolas Huron
Oh, eaux, o, c’est en, an, -ant…
…
Style roman et styles gothiques….
Juste avant cette époque, à l’abbaye de Saint-Denis, Suger (1080-1081 à 1151), fit naître l’art français, dit gothique, avec principalement ses voûtes à croisée d’ogives, ces lancettes de lumière, ses arcs-boutants, ses vitraux colorés et ses feuilles d’acanthes, pour évoquer leur pollinisateur, le bourdon bleu que ces plantes en pierre, jamais en fleurs, ne connaissent que trop peu.
Suggestions…
J’en ai retrouvé l’arme du crime, la galerie…
J’en ai retrouvé le cloître des moniales du prieuré de Moncé à Saint-Denis de Toury.
A cette époque, l’art cistercien, épuré, selon la doctrine de saint Bernard de Clairvaux qui voyait dans la profusion des suggestions mythiques voire démoniaques romanes un obstacle à la prière, à l’étude, au travail et à la méditation, est déjà très à la mode. Cette imagination foisonnante romane connaît alors un certain recul, mais peu dans le peuple des campagnes.
Cela peut se comprendre… mais quelles instructions !
L’Homme est la mesure de toute chose…
Bonne sans té et bonne santé !
Toit et té à dessin…
toi, t’es à dessein !
La part de Dieu et celle du dia-able…
sous son toit en son chevet envoûté en cul de four
de boulanger, abri pour le petit mitron, en Capitole découvert.
L’art roman, post romain, c’est à ne pas y croire, et pourtant… la ROME en…
Heureusement, ici, cette drogue spirituelle offre aux regards son propre remède…
C’est aussi l’époque du commencement du fleurissement du style gothique Plantagenêt qui s’épanouira surtout au début du XIIIe siècle (voir Châteauvieux, Seigy, etc. parmi mes études à mes Livres et services), style qui gardera encore quelques spécificités de cet art roman si riche d’imagination et de spiritualité par son éloignement de l’Île-de-France et par les liens de l’Anjou avec l’Aquitaine par Aliénor, via Poitiers, le sud restant toujours plus roman, bavard, trompeur, menteur et romanesque. Nous sommes là, à Françay (Loir-et-Cher ; 41), à la limite de son aire d’influence d’où la conscience de tous ces styles.
Enrichir le réel de savoirs ou rester dans l’ignorance ?
Ligno-rance, ligneux rance…. ?
Françay !
US UR !
Puisse queue… chat au lit ne…
Continuez don(c) le jeu-roman ici ou ailleurs,
pour les aides « hissions » chat haut lin, à pro noncer, chas Ô line !
…
Conclusion imparfaite…
Le chœur, chevet et abside de l’église Notre-Dame de Françay semble se poser comme protection locale vis à vis de dangers de santé et de dangers lointains, étrangers.
Il porte à réflexion sur ce qui s’appelait autrefois les Humanités, enseignement du latin et du grec, et des textes fondateurs de la civilisation et des savoirs et de la construction de son intelligence propre, mais aussi de la faune-éthique et du respect local des lieux.
Bien plus qu’une série de remèdes, une solution !
Il apparaît donc réellement sein du Christ, comme une protection pour la population laborieuse locale, qui, Grégoire de Tours le renseigne dans son Histoire des Francs, préfère enrichir ce chœur de l’or qui a été offert à Jésus de Nazareth, même s’il se fait piller et détruire, même aux niveaux de ses connaissances infinies, par des barbares. Quant à ses dignes, courageux et héroïques représentants, eux aussi en ce lieu corps du Christ, aussi menacés que Lui par leurs savoirs et savoirs-faire que l’on ne peut ni jalousés ni mangés au risque de tout faire perdre à tous, leur œuvre fut-elle utile ? Biens sûrs ! Cela laissa, laisse et laissera peut-être la vie sauve à la population laborieuse locale servile et nourricière, généralement aussi victime, car ces pillards barbares (ou berbères, c’est le même mot) préfèrent s’enfuir chez eux, au Nord, au Sud ou l’Est, quand ils ne s’y prennent pas par derrière, avec leur gros butin, leur BUT HUN, leur « butte-Un », leur « bute-un »… « l’heure » magot(h)… leur morgue et leur fierté mal placée. Y a là ! Ya, ya, ya ! Ad… Da, da ,da ! Etc. M’amas-goth ?
Barre-toi et bas-toi avec ton MAGO(G), GO(G), go goths !
A lire et relire dans tous les sens…
par véritable religion !
Souris si hier !?
Contact !
Retourne et retrouve la coupe !
Tore haut ! Taureau ! Tords Ô ! T’or ὤ ! Tôt R’ὦ !
Scalps et gras halle de la route de la soie… « Tue bœufs » dit j’ai c’t’if !
Reste aux autorités de peau lisse (les Romains s’épilaient entièrement)
de les poursuivre, de les rejoindre, ou de leur faire leur affaire…
…