Frontières antiques : le toponyme La Pelleterie

En apprendre de Françay à partir du toponyme La Pelleterie

Mais aussi avec les Pelleteries, la Pelletrie, les Pelletries, la Pelterie, les Pelteries, la Peltrie, les Peltries : abatoirs, tanneries, boucheries, péages, charniers, fortifications, pillards bretons, etc.

Toponyme La Pelterie - Cadastre napoléonien de Françay (41)

Toponyme La Pelterie – Cadastre napoléonien de Françay (41)

___

Toponyme La Pelleterie, La Pelterie
Cadastre napoléonien de Françay (Loir-et-Cher)

Radical, suffixe, orthographe, des notions à revoir

Les toponymes en –erie sont nombreux. Exemple : La Tibergerie (Françay, 41) ; La Bécherie (Hillion, 22) ; la Connerie (Guérande, 44) ; L’Anerie (Lancieux, 22) ; l’Archerie (Saint-Gilles, 35) ; l’Aumônerie (Sainte-Marie, 35) ; l’Épinerie (Tréauville, 50) ; l’Hôtellerie (Trévron, 22) ; l’Orangerie (Quimper, 29) ; etc. ils sont pléthore.

Le suffixe –erie, indiquent en français, généralement, l’endroit où se fait une action et l’action elle-même. Par exemple : la charcuterie, la joaillerie, la connerie, la goujaterie, la boulangerie, la droguerie, la gendarmerie, la fumisterie, la déchetterie,  la pêcherie, etc.

Il est associé généralement à des métiers ou à des lieux de ces métiers.

Le “t” précédent le suffixe –erie, peut être, généralement, soit un diminutif (ici ce n’est pas le cas), soit l’expression d’un certain dégoût, par le crachat qu’exprime cette consonne, ce qui est ici le cas.

Rappelons ici, qu’au Moyen Age, le rire était considéré comme suspect de diableries, bref suce-pets. Donc le “t” se rapporte autant à ce qui précède qu’à ce qui suit, dans, La Pelleterie.

Le radical, dans le toponyme La Pelleterie semble être “pelle” ou “pèle” ou bien “pellet” ou “pèlet”, en prononçant le “t”, « eux-te ».

Le mot possède cependant deux autres radicaux phonétiques : « ter, tri » et « terri »…

Questionnement orthographique inutile et réalité phonétique

Les mentions écrites médiévales de lieu-dit antérieures à l’Epoque moderne (XVIe-XVIIIe siècle) sont rares. Etudier les mentions écrites anciennes est donc toujours absurde. Les rares mentions écrites anciennes servent essentiellement à étudier l’histoire de l’écrit et surtout l’histoire de la façon dont l’autorité administrative, étatique, cléricale, nobiliaire, etc., s’approprie la phonétique d’un nom. C’est une science à part propre à la diplomatique.

La plupart des personnes qui écrivaient les noms de lieux, que ce soit au Moyen Age, à l’Epoque Moderne ou à l’Epoque contemporaine, après la Révolution française, ne comprenaient pas, la plupart du temps, le sens des noms de lieux qu’ils étaient amenés à transcrire à l’écrit. C’est encore presque toujours le cas. Pourquoi ? Parce qu’ils ne sont pas chez eux.

Afin de prouver qu’à la suite de la Terreur républicaine, la République, le Premier Empire, les régimes démocratiques censitaires, etc., bref les Parigoths, les Germains de l’avancée de la Germanie sur notre territoire, ont fixé, au XIXe siècle, notamment par les agents du cadastre, par usurpation avec une incompréhension typiquement administrative parisienne, la phonétique de la toponymie paysanne locale de nos régions.

Indiquons simplement, que presque plus personne ne comprend ses noms de lieux, et que, pour la Pelleterie, j’ai trouvé, fort heureusement, sur Françay (41), l’orthographe de la Pelterie, aujourd’hui cartographiée La Pelleterie, qui pourrait s’écrire aussi avec un “y” ou “–ye”, et que la première syllabe pourrait aussi s’écrire “pai”, même suivi d’un « e », d’un « s », d’un « x », etc. Questions de mode…

Cette fixation de l’orthographe des noms de lieux que presque plus personne ne comprend dans le monde presque totalement artificiel dans lequel nous vivons, nous oblige à un travail archéologique linguistique  minutieux propre à la diplomatique et à la recherche de terrain pour comprendre l’origine des toponymes français.

Un travail phonétique et faune éthique…

Ainsi, La Pelleterie n’est pas la seule orthographe présente en France. Il reste, par exemple, un peu plus d’une quizaine de « La Pelterie » ou « Les Pelteries » (voir ci-dessous), une douzaine environ de « La Peltrie » ou « Les Peltries » (voir ci-dessous) et une douzaine de « La Pelletrie » ou « Les Pelletries » (voir ci-dessous).

Bref ! Un pépin, sans doute…

Pourquoi ? Simplification et usurpation administrative…

Auto-destruction programmée de pillards nomades, surtout urbains.

Oui, un urbain est un nomade, no-made… qu’importe la ville.

C’est dentaire, sans doute…

Adam ?

C’est le système implosif du trou noir soi-disant « rentable » devis-factures ?

Qui sait ce que veut dire Verneuil ? Paris ? Blois ? On parie ?

Mes réponses, elles, peuvent rapporter… et vous rapporter !

Comme on dit, “Ah bon entendeur”… ça tend ? Non, ça entend ? ça comprend ?

Les toponymes la Pelleterie en France

Veuillez cliquer sur cette carte pour l’avoir sous les yeux dans une autre fenêtre afin de comprendre cet exposé.

Les toponymes La Pelleterie et les Pelleteries en France

Les toponymes La Pelleterie et les Pelleteries en France

Toponymes La Pelleterie et les Pelleteries en France

Carte Nicolas Huron

Une évocation d’abattoir et de tannerie

En français, le toponyme La Pelleterie ou, plus rarement, Les Pelleteries, évoquent le fait de peler une bête, c’est-à-dire de lui retirer la peau pour, généralement, la récupérer et en faire du cuir. Cette peau est traitée et tannée. Sans colorant, elle prend alors la couleur de ce qui empêche sa putréfaction, par exemple, celle du tannin, orthographié aussi tanin, tiré entre autres procédés, de l’écorce du chêne liège ou de chêne vert.

Mon grand-père Guy Depussay pelant un lièvre après la chasse à Françay (41).

Mon grand-père Guy Depussay pelant un lièvre après la chasse à Françay (41) ou un lapin de clapier. Miam; miam !

Pelleterie… Photo sans doute d’Yvonne Depussay, son épouse.

Archives Nicolas Huron

Dans ce cas précis, le terme de “bête”, utilisé dans le paragraphe précédent la photo, comprend les bovins, les ovins, les caprins, etc., mais aussi les esclaves, si on considère l’Empire romain dans ses abominables pratiques.

Euh… Ris !

Lire la suite... Image légère

Continuer la lecture

Publié dans Histoire locale | Commentaires fermés sur Frontières antiques : le toponyme La Pelleterie

Noël Saint-Nicolas : culte médiévalo-antique gréco-romain

Questionnements de sens cumulés successifs infinis ici un peu définis

La preuve de la spiritualité phonétique

dysorthographique médiévale !!!

Feue faite et absolue cas(E) d’eaux apocalyptiques

Un sein nid colla un cas d’eaux pour… des mottes et…

en mare y a jeux… un peu ferrugineux… plus bas…

Plongée dans l’infinie poésie

des noms de nos lieux…

La taupe honnie mit le top aune y mit… la toponymie.

Cadeaux de bonnes us et c… à déballer lentement, judicieusement

DSCN4919

L’église Saint-Nicolas de Saint-Nicolas-des-Motets (37)

sur la route entre Blois et Château-Renault… entre l’Orléanais et l’Ouest…

lieu-dit routier évocateur au sud-est des mines de fer de l’ancien pays des Carnutes.

Le Père Noël, patron des bouchers, des boulangers, des marchands, des étudiants, etc.,
sur la route parallèle au Chemin des Poulains parmi les élevages de la Gâtine tourangelle
entre le grenier à sel d’Herbault et les tanneries de Château-Renault
sans doute pour compenser Saunay (nés dans le sel ?),
souvenirs éternels de la légende des trois petits enfants
qui allaient glaner aux champs… et des autres !

Photo Nicolas Huron

+++

Trophée romain

Trop fée

Trot fait

Pour les toponymes Saint-… ancien, voir Saint-Plantaire !

Illustrer l’ouïe, vos yeux et mate air

de nos panneaux routiers

et de nos cartes…

L’ARMES !

SP…

V

Au regard des cartes et inventaires partiels ci-joints, nous posons ci-dessous ces questions d’historien que personne ne se posent. Faites donc ici comme des enfants auprès du sapin de Noël. Ouvrez vos cadeaux sans savoir vraiment ce que vous y trouverez et sans vraiment savoir qui les a déposés ici-bas.

Pour mieux réussir, il faut ouvrir et consulter mes cartes avec cet article et y sortir, dans d’autres fenêtres, les cartes des Saint-Nicolas de France et de la Région Centre, comme cet exemple :

Saint-Nicolas-des-Motets ? Saint-Nicolas d’émotté ? Dême ôtée ? D’aime hautée ?

Des motets ? Les mottés ? Lée motté (dolmen) ? Lays mottées en fonderies ?

L’aime au T’es ? Les mots T ? Laid m’hottait ? L’aime hôtée ? Etc.

Prenez un cahier et un crayon de pas pillé et changez…

Et vos yeux s’illumineront…

d’orthographes !

Pour la culture, Général !

Lire la suite... Image légère

Continuer la lecture

Publié dans Histoire locale | Commentaires fermés sur Noël Saint-Nicolas : culte médiévalo-antique gréco-romain

Liste et liens : les toponymes Saint-Nicolas

Voici la liste des églises Saint-Nicolas, des chapelles Saint-Nicolas et des toponymes Saint-Nicolas en Région Centre, et, la cartographie générale des toponymes Saint-Nicolas dans toute la France.

Trouver le vôtre avec “Rechercher” de la fenêtre de votre navigateur (aide).

Pour découvrir les sens incroyables de ce nom, commencez par ici ou .

Cette liste n’est sans doute pas exhaustive, mais cet inventaire est presque complet et demeure toujours en cours. Pour le compléter : Contact !

Les liens les articles explicatifs sont en cours de construction…
Pour personnaliser le vôtre localement : Contact !

Pour commencer à comprendre :
Saint-Nicolas : questionnements sur son culte médiéval

Les églises et chapelles Saint-Nicolas en Région Centre
Les églises et chapelles Saint-Nicolas en Région Centre

Les églises Saint-Nicolas en Région Centre

avec la cartographie des anciennes frontières antiques, les anciens diocèses,

ainsi que les actuels département de la Terreur républicaine.

Carte Nicolas Huron

Continuer la lecture

Publié dans Histoire locale | Commentaires fermés sur Liste et liens : les toponymes Saint-Nicolas