20 janvier 2020 : hommage à saint Sébastien et à ses arts

Et hommage aussi à mon grand-père Guy Depussay et son fils Michel Depussay avec cet extrait de l’ouvrage de l’église Notre-Dame de Françay (Loir-et-Cher ; 41) entretenue par leurs soins paysans.

Page 53 :

Vie du bâtiment – XVIe – XVIIIe siècles

Le saint Sébastien

L’église de Françay conserve une belle statue en bois de saint Sébastien datant du XVe siècle. Elle est protégée au titre des Monuments historiques.

Statue de saint Sébastien de l'église Notre-Dame de Françay (41)

Statue de saint Sébastien de l’église Notre-Dame de Françay (41)

Hommage à saint Sébastien (lien de référence internet entre autres)
et au sculpteur de ce saint Sébastien, à ses restaurateurs,
et aux gens de Françay qui l’ont préservé.

Eglise Notre-Dame de Françay (41)

Photo Nicolas Huron

Et hommages et remerciements aux Archives départementales de Blois

Page 72 :

– Le 25 novembre 1619, par son testament établi devant discrète personne Noël Debeine, prêtre prieur curé de Françay, Sébastien Boulay, sergent de la châtellenie d’Herbault, la Tombe et Marquoy, demeurant au bourg de Françay, légua à la boîte et marelle de l’église de Françay, 4 boisselées de terre situées près de Corbet, tenues en fief de la Guillaumière, à la charge d’un libera et d’un de profundis et une oraison, par an à perpétuité le jour et fête de saint Sébastien (Archives départementales de Loir-et-Cher : G 1502).

Inflations ?

D’hommage à saint Sébastien !
ceint c’est basti Un ?

Liens ?
Lis ! Hein ?
Alors lie un !
Un lit…
Fléchez !!!

Les toponymes Saint-Sébastien en France fléchés

Les toponymes Saint-Sébastien en France fléchés

Parcours fléchés : les toponymes Saint-Sébastien en France.

A lyre ? Non, à l’hire, à l’ire, à lire,
et surtout scrupuleusement à relire…
par prudence et attention sur la route.
Relire « religion » : religare ou relegare ou relegere ?
A votre Félix Gaffiot !

Carte Nicolas Huron

Hommages à saint Sébastien et à ses arts,
à César, vers singe et tore y queue se… et les autres,
hommages à Homère et Ulysse…
eus lys ?
Lisse
Lis ce…
Et… Halle l’…

L’Histoire, science de toutes les sciences… Encore en coprs faut-il vivre…
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Saint-Vincent : questions sur son culte antique (2)

Ffrrr oui… d’eux, l’arbre d’œufs

la conne « Est-ce anse ? »

pour en délier les langues…

Le martyre de saint Vincent, patron des vignerons, des taverniers et des vinaigriers, et donc quelque peu de la viticulture, est lié, à tout jamais, à celui de son frère Oronce, qui lui n’est, curieusement, pas trop documenté.

Oronce, un inconnu très suggestif

On peut mettre Oronce en rapport avec l’Oronte, devenu Al Assi, en arabe, fleuve rebelle, mais ici… il peut être lié à Antioche et aux pèlerinages et aux voyages vers le lieu de la Passion du Christ.

En France, pour qui connaît ce pays, on peut se l’associer aux « ronces » et à ses épines, comme à la Couronne d’épines de la Sainte-Chapelle de saint Louis, à « Auron se » (Bourges par avarice), « aurons ce », « auront se », « or rond se », “eau rompt ce…” ou “haut rompt ce…”, etc., ou encore “oh rond ce…” murs de ronds de cuir, ce qui semble exact ici comme pour l’Oronte et Antioche.

On doit le mettre linguistiquement en rapport avec le verbe latin ronco, ou son jumeau, runco, runcare, sarcler, épiler, runco, runconis, le sarcloir, runcina, le rabot, runa, runae, sorte de javelot, ou runes, écritures runiques des peuples barbares germaniques :

– “Ya veux l’eau !”

– Oui, oui ! Germaine, amène-lui la bouteille…

Vignettes-devinettes dos 1

Il est vrai que, pour ceux qui adorent les mûres, les ronces, oh, cela gratte parfois un peu, mais saoulent agréablement à la fin de l’été et au commencement de l’automne, hotte aux tonnes, hôte haut aune, lorsque les mûres sont bien noires, juteuses et naturellement fermentées, et que l’oxydant rougeoie les joues de joies, et les feuilles des vignes et de ses collègues arboricoles, avant la traversée de l’hiver.

Par contre l’haute teutonne, elle boit de la bière, des shops en pins de la forêt noire.

Rappelons ici que la vigne, à qui tout notre respect est dû pour notre survie quand les sources, ruisseaux, rivières et fleuves sont empoisonnés, est une plante grimpante de 10 à 15 mètres de hauteur, prenant habituellement appui sur des ronces, plantes épineuses portant des mûres, pour aller retrouver quelques gourmands de grands arbres, entre quelques arbres fruitiers d’orée de bois, mêlés de lierre.

Voir photos suivantes…

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L’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (37)

Offrez-vous une part de la mémoire anti-barbare
de Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer
avec son histoire romaine, franque, royale, républicaine…
et l’architecture de son église romane, gothique, Renaissance…

Couverture de l'ouvrage sur l’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (37)

Couverture de l’ouvrage sur l’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (37)

L’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (37) en 1991

Surtout, n’oubliez pas d’ajouter le chapeau chinois : l’accent circonflexe !

Ouvrage actuellement de 44 pages.

Nicolas Huron : L’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (Indre-et-Loire) – Dossier ECCLESIA février 1991, ouvrage de la conférence du 23 février 1991 – Université François Rabelais – Tours –ASDRA – ASsociation pour le Développement de la Recherche Appliquée à l’animation culturelle en Région Centre – sous la direction de Bernard CHEVALIER, professeur d’histoire médiévale – Droits rachetés par Nicolas Huron, responsable et créateur du projet ECCLESIA pour l’ASDRA.

Ouvrage associatif aux droits acquis par son auteur,

relu et corrigé bénévolement la veille de sa conférence le 22 février 1991
par ma mère, Marie-Claude HURON, née DEPUSSAY à Françay (Loir-et-Cher),
sa maison d’édition véritable, blésoise,
en sa bonne ville royale et agricole de Blois,
à une époque où son auteur, moi-même,
était encore illettré et dysorthographique.

Ancienne version à télécharger :

Format.pdf

ou imprimé sur papier sur demande : Contact !

Etude à rénover…

avec bénéfices possibles à la clé pour une association locale ou un particulier

avec 32%/€net et

avec mes compléments de recherches…

Grâce aux perfectionnements de la toponymie, une des branches linguistiques fructueuses de l’Histoire, on peut faire progresser l’étude de la compréhension de l’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (Indre-et-Loire).

Lire cet article complémentaire pour mieux comprendre.

Exemple de lois de l’attraction en grande sémantique :

Le toponyme de Saint-Vincent du patron des vignerons, des taverniers et des vinaigriers, dont le culte est lié à l’humour et au pardon, de l’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (Indre-et-Loire ; 37), évoque le vin, le raisin et le sang des martyres de l’Empire romain dont la couleur de l’autorité était le rouge, comme celle du manteau et de la puissance du Christ… Il évoque aussi bien d’autres épouvantables révélations à qui veut bien les entendre.

et…

Ai-je manqué à mes deux voir, mets devoirs, si yeux, cieux… ?

On peut sentir ou non,
toucher au bu… t’oeufs, eux, euh, ou non,
caresser, frôler, mesurer, ou non
sans s’approcher ou sang s’approcher ou non
réfléchir, jauger, chauffer ou non
humer grippé, enrhumé, ou non,
goûter la famine ou non,
voir aveuglément ou non,
entendre comme un sourd ou non,
comprendre sans culture ou NOMS…

Pluriel singulier
ou singularité plurielle ?

Villedomer
Vis-le d’hommes aire, ère, air…
en parlant des vis-le, des viles, des villes…
en parlant des dômes d’ormes d’hommes…
(la toponymie identifie les Hommes comme des ormes)
en parlant d’eau mer, d’eaux mère, dos mets re…
des grandes transhumances des grandes mammifères,
trans-hume-anse… en Ce !
Vile d’hommes aire, ère, air…
en parlant des aires de battage,
des airs respirables ou crânes,
des ères géologiques ou historiques
ou des suffixes imaginaires.

Il est possible de pousser les références sémantiques très loin si on considère que le terme villa latin se prononçait “ouila”, que le terme gaulois oui signifie “mouton”, et que la phonétique “la, là, las, l’a…”, évoque la féminité (« oui, y a » ; « où -illa », humide et féminin, ou bien « vie il l’a » du vrai droit romain du pater familias), un lieu précis, la possession, la propriété, l’habitation sédentaire, et l’attachement par un las, un lasso, le lien d’un sceau ou d’un sot, notamment pour le contrôle des marchandises, du paiement des douanes, et pour la traçabilité qui ne remonte, là, pas d’hier… Villedômer se trouvant près de la route entre Château-Renault et Tours, entre Bordeaux et Paris, la grande voie de l’Aquitaine à la Germanie.

On y voit donc le commerce, les péages, les racketteurs, les coupeurs de routes, le banditisme légal ou non, la justice inique, les trafics mafieux, les pots de vin,  la servitude et l’esclavage, mais aussi le sang du sacrifice, dans ce petit vallon du Madelon, masculin de la prostituée Madeleine, auprès de la Brenne.

Vérifiable sur cartes papier ou sur Géoportail !

L’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles est un toponyme de route de frontières antiques, un point de contrôle, en retrait, avant le hameau de la Chaîne et avant Monnaie, en direction de Tours, sur la RN10, et dans l’autre sens avant Château-Renault, Vendôme, Chartres, Paris et les plaines et forêts germaniques.

Retrouvables sur cartes pas pillées ou sur Géoportail !

Sans doute qu’en aval, dans la Brenne, le cours d’eau était souvent rouge pour qui connaît les boucheries et les tanneries de Château-Renault, de Saint-Cyr-du-Gault et de Saint-Gourgon.

Toutes ces considérations peuvent ainsi faire remonter le toponyme Villedômer à des époques beaucoup plus reculées que l’Empire romain, et même sans doute, bien plus lointaine que l’époque gauloise des esclavagistes celtes germains ou asiatiques.

Jules César avait signalé que les Gaulois avaient peur que le ciel leur tombe sur la tête. La chose se comprend encore à Villedômer, non seulement à travers le culte de saint Vincent et de saint Gilles, mais aussi parce que la commune est en limite de grès ferrugineux exploités autrefois dans les environs de Château-Renault, à la Ferrière, Saunay, etc., grès ferrugineux que l’on trouve, sous forme de moellons ramassés par les paysans et disposés en arêtes de poissons dans les maçonneries les plus anciennes de l’église.

Il évoque le soufflet, mais aussi le souffle d’un météore faisant remonter des Enfers le fer des guerriers, celui des chaînes et des outils de l’esclave, et des clous des crucifiés : “vile dôme air”, “vis le dôme ère”, “vile d’eau mer”, etc., souvenirs de la disparition des dinosaures du Trias, du Crétacé, la roche locale, et du Jurassique, et de l’apparition du plateau beauceron au Miocène, présent là, et du règne des oiseaux, des serpents, des mammifères, des plantes à fleurs et leurs papillons… et de la lutte de millions d’années contre le rat mangeur d’œufs et désertificateur de l’Île de Pâques.

Voyez-en la géologie de nougat sur place et sa carte sur Géoportail !

Les évocations contenues dans le toponyme de Villedômer sont si effrayantes quand on en prend conscience que les habitants du lieu ont fait appel à un autre saint pour en exorciser les frayeurs qui pouvaient en naître.

Le caractère de fou et de drôle évoqué par le martyre de saint Vincent est évoqué par la syllabe gauloise mer, mera, mero, qui a le sens de fou, d’agité, mais aussi celui de grand. Cette évocation de la folie est confirmée et tempérée par le culte associé de saint Gilles, un des patrons des pèlerins (voir la racine pel-, étranger à travers mon article sur le toponyme de Pelleterie), des nomades et des camping-caristes, moine décédé vers 720, fondateur d’une abbaye bénédictine en Septimanie, sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, non loin de Narbonne, représenté généralement avec sa coule bénédictine et à sa douce biche. Ce saint, dont le nom signifie notamment “otage”, “chevreau”, voire “bouclier”, est invoqué contre la panique, le mal caduc, la folie ou les frayeurs nocturnes, pour résoudre les cas désespérés, et spécialement pour soigner les maux de ventre et les peurs des enfants.

Ayant perdu le “a” de villa, Villedômer évoque le Leu, le loup, c’est-à-dire le Romain serviteur de la Louve, Rome, surnom de prostituée, « vile Leu ». Le montage phonétique donne ainsi une référence au mouton gaulois, à son égorgement par le loup ou par le Romain. Il évoque par son “dôme” qui signifie seigneur (à en croire le tombeau d’Auguste César à Rome, ou les thermes des termes orgiaques de Baïa, Baïes, non loin de Naples, sur des roches volcaniques), et dont la couleur de la puissance est le rouge, son architecture, le dôme, son ventre, le Panthéon romain, celui de la mère des loups, Rome.

On peut aller très loin, avec la racine dom– latine et ses références au toit, à la toiture, à la terrasse, à la domesticité et ses races bovines, ovines, caprines, avicole, etc., aux élevages concentrationnaires, à la domina, la maîtresse, au dominus, au saigneur, au seigneur, au Seigneur libérateur et Sauveur… Oh ses nieurs !

D’autres évocations humoristiques peuvent être nées d’un curieux, « cul rit yeux », état de folie : « vile dos mère », « vis le dôme mère », « vis le dos mère », à visiter sans doute aussi par derrière… avec son chœur en cul de four, comme randonnée digestive…. Tout un pot-aime… dont quelques concepts ont été évoqués ci-dessus.

L’abside romane en cul de four de l’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (37)

L’abside romane en cul de four de l’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (37)

L’abside romane en cul de four
de l’église Saint-Vincent-et-Saint-Gilles de Villedômer (37)
blindage toujours près à faire face au brûlant et rouge soleil levant de l’Orient,
voire en pire, en « vile dôme met re… » rouge.

Photo Nicolas Huron

Césure de fin pour doc

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