Joyeuse Nouelle 2023 : Meuh ! Bonne ânée 2024 : Hi Han !

Tu crées choux ? T’eus craie cheux où… ?

Tue Crêche Houu… ? Tu crèches où ?

Mon petit, mon prochain, je dirai qu’il me l’a volé…

sans doute par économie, orgueil, rentabilité… sang d’août…

Noël, c’est technique et très masculin…

pour tuer la vermine (charançons, termites…), il faut, pour le Père Noël, éteindre la cheminée, pour qu’il puisse descendre avec ses cadeaux… de froidure, et de froid dur, la cheminée ayant été ramonée pour éviter les incendies… des temps vraiment froids de janvier et de février, et pour que le Père Noël puisse y garder son habit propre… et pour que la neige puisse rester bien blanche pour protéger les cultures et la Vie… et même la charpente et la toiture, voire pour faire venir et garder cette précieuse isolante neige, voire la faire tomber par dépression météorologique… afin de ne pas trop en risquer l’aire et l’air autant que l’âtre, et pour ne pas trop pousser l’eau des nuages vers l’Est, et verglacer, etc. Et puis, le matin du 25 décembre, s’il fait, par chance, froid, les enfants resteront au lit plus longtemps… pour soigner quelques impatiences de découvertes, des couvertes, des coups verts, des coûts… Le plus impatient en sera Agrippé, voire à gripper, ou pire kid nappé… Cela vous laissera un peu de temps, pour y réfléchir et bien tout organiser, et penser, panser la nouvelle année. Oui, messieurs, le Père Noël existe vraiment, c’est vous (moi par défaut présentement…), mais personne ne veut vous croire… ni moi non plus… Faites-en quand même gravement : Oh ! Oh ! Oh ! Au Haut Eaux ! Ω, ω, ω… Mmm ! Home, Homme ! Même si les placards sont vides… C’est seulement à ces conditions que l’on pourra vous dire avec force : Ah a à… d’une grosse voix grave… pour avoir le silence pour bien entendre sonner les cloches, en vérifier l’alarme, la larme, et en avoir vraie météo, à l’oreille, sans surpression, sans en trop gonfler l’atmosphère de votre con fort, voire pour entendre les grelots des bêtes… en ces temps continuels d’invasions barbares et pas qu’eux… car, voyez-les comme ils ont profité de la nuit… et des incendies… et de leurs bas-ventre…

Vous vivez du meurtre de mon fils ! Donc, don que…

Joyeuse noue ailes

Joie yeux no hell !

avec oiseaux migrateurs… car il est vrai que les papillons manquent un peu à l’appel, et à la pelle, en ce moment… et pour un certain temps, un certain taon… et surtout, sans oublier, pour qu’il en ait la goût goutte, le verre de lait, de Lée, de Lay, de laid, de l’Est, auprès de la cheminée… pour le Père Noël, Saint-Nicolas (ou vous-même), et pour certains, certes Huns, SantaKlaos… ou Claus, χλόος, patron des bouchers, des boulangers, des marchands, des voleurs, des étudiants, des écoliers… éco liés… et colliers… et dont l’habit n’est pas rouge, mais traditionnellement vert, teinture autrefois empoisonnée (croyez-en les roulottes des gitans…) grand vêtement et belle robe qu’il faut éviter de tirer pour lui réclamer quelque chose puis de s’en lécher les doigts… C’est mortel autant que de prendre la Joconde (qui sans son vernis est rousse, mais verte ou grise pour les albinos d’Orient) par les côtés… sans rien y comprendre, et rien n’y entendre… en gravité…

et bonne à Né

pour la veillée… pour la veiller…

avec trois cartes postales en cadeaux avec

le sein-esprit, le Syn-Esprit… le sain T « est-ce pris ? », le saint et ce prix, le sint-, le seing…

Au  nom de l’église Saint-Nicolas de Blois, ancienne abbaye Syn-l’Homme-Aire

au NOM du Père (du PAPA), du Fils et du psychopompe !

grâce au salon de l’agriculture de

Marie, de France, de l’Ange…

Photo Nicolas Huron

Pour 2024, inventez-vous un sens aristotélicien typiquement chartrain…

avec des cartes de vœux, et de veut… de Notre-Dame, notre peuple, de Chartres…

très incarcéré ! par et pour la suite…

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Saint-Maurice, églises et toponymes, cas douteux en syn-mor… Hisse !

Pour visualiser ou télé-charger le pdf de lecture de cette découverte :

Toponymie Maurice et Saint-Maurice

Lien transparent : https://patrimoine-rural.com/ToponymieService/Nicolas-Huron-toponymie-Maurice-et-Saint-Maurice.pdf

Un cas d’école pour tous les

Saint-Maurice…

Pour le Noël de Maurice Huron, mon oncle, boucher d’Herbault, pour le Noël de Maurice Lamirault, cultivateur à Alluyes, etc., et pour tous les métiers de bouches…

Géologiquement, les constats semblent un peu les mêmes que pour les Saint-Maur, mais avec quelques touches évocatrices en plus… décrites ci-dessous…

Commencez donc obligatoirement par les Saint-Maur…

pour comprendre et bien entendre avec l’article précédent :

Saint-Maur, églises et toponymes, cas douteux en syn-mor…

Avec Saint-Maur, peut-on penser qu’il s’y greffe « hisse » ? Oui ! Ys, écrit US en grec, υς, désigne le porc, le cochon, ou la truie, la laie (C’est très spirituel, je vous l’accorde, tout comme leur « Constitution » qu’il ne savent même pas lire…). US, comme synonyme de hyaina, υαινα (vahiné ? ouaïne ? huahiné ? wouah inné ?), est aussi lié, en grec à la hyène (à prononcer « ille-enne », petits eaux traversant ou traversée par les petites eaux… ou « y est nœud »…), canidé synonyme de femme consacrée au culte de Mithra (dont l’épicentre se situait en Anatolie, actuelle Turquie), déesse toujours représentée avec un bonnet phrygien et égorgeant un taureau, sans doute pour faire place à leurs moutons. Nous savons que le limes romain, la frontière face à la barbarie, a été perdu à cause de la présence de ces faux chrétiens catholiques romains s’adonnant à la fin de l’Antiquité au culte de Mithra. C’est très renseigné en archéologie… US est aussi associé à la couleur du rouge écarlate, du pourpre, symbole de la puissance romaine, usurpée « pacifiquement » par Jésus de Nazareth, qui eut son heureuse enfance sous le dieu Auguste César, et qui fut condamné par la juiverie, sous l’empereur Tibère, et rendu Christ, mort et ressuscité par le savoir-faire des légionnaires romains (probablement gréco-gallo-romains) et par le juste administrateur, pour Rome, Ponce Pilate. Jules César a dit que les Gaulois ne comprenaient pas le Grec, il écrivait ses messages secrets en grec… La vérité, est que les Romains, non instruits (lui l’était), ne savaient pas lire le grec. Les druides, je crois que si. US désigne aussi le fils, ou le gendre (pour ὗς, voir υἷος). Je vous passe les détails…

En français, nous, nous avons la possibilité de faire du US grec, « housse ».

C’est très spirituel… et, vous savez maintenant comment vérifier.

Le mot moryss– existe en faune-éthique (voir le Grec ancien, μορυσς…), notamment comme verbe, et définit le fait de noircir, de tacher, de souiller, ou, de teindre d’une couleur foncée. En toponymie, il s’agit généralement de terres, de roches, de limons (argiles et sables)… Cela nous parle aussi de blessure car, le mot oryss– existe, notamment comme verbe, ορυσσω, et signifie : creuser, fouiller ; percer, meurtrir ; enterrer, enfouir ; déterrer, faire sortir en creusant. Ce sont de très vieilles racines indo-européennes. Ces racines sont basées sur le verbe ôry-, ωρυω : hurler (loups, chiens), rugir (lion) ; pousser des hurlements de douleur ; pousser des cris de joie véhéments. On peut préciser que le pilum romain trouvé à Herbault par un agriculteur (voir mon étude d’inventaire des noms de lieux de la commune d’Herbault), très rouillé, très assombri, porte le nom grec de yss-os, υσσος (os étant la terminaison masculine pouvant se décliner) : Hisse, Hisseau.

Un petit inventaire cartographique…

Le culte de Saint-Maurice en Région Centre et aux environs.

Cet inventaire n’est probablement pas exhaustif.

Carte Nicolas Huron

Les frontières des anciennes nations gauloises, puis diocèses romains, sont en couleur.

Chaque toponyme Saint-Maurice a son caractère et chacun mériterait l’explication que j’ai commencé à donner pour les toponymes Saint-Maur. Il n’est pas possible de les étudier en détails ici, mais on peut les identifier et faire quelques remarques géographiques.

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Saint-Maur, églises et toponymes, cas douteux en syn-mor…

Pour visualiser ou télé-charger le pdf de lecture de cette découverte :

Toponymie Saint-Maur en syn-

Lien transparent : https://patrimoine-rural.com/ToponymieService/Nicolas-Huron-toponymie-Saint-Maur-en-syn.pdf

PUI(T)S de savoir(s)…

à Saint-Maur

où tout sembla revoir

en syn-mor avec συν  μωρ-

ou tout semble art « voir »…

Article long bien documenté pour cours pris de cours…

Voir mes trois études d’inventaire précédant cette mise au point…

très Terre à terre, tellurique, géologique et agricole…

L’étude à réveiller les morts… ?

Oui, à les réincarner dans mon salon de l’agriculture française… avec

l’enjeu en jeux l’Ange,

Marie, France !

Ma toponymie en 2023 e(s)t suivante…

Saint-Maur, haïku préhistorique ?

Pour Saint-Maur sur Indre, comme pour d’autres Saint-Maur, on doit constater qu’il s’agit d’un lieu noir. Près de Châteauroux, sur la rive droite et nord de l’Indre, on peut constater qu’il s’agit d’un assemblage de grande sémantique (syn– : voir mon article sur Saint-Plantaire) de compost, de Folies (voir mes articles sur les toponymes Folie, Folies), avec des limons sombres ferrugineux du Massif Central, des résidus de forges de l’Indre et de ses affluents en amont, associés à de la marne sombre, à une pente douce, à des ronciers, des mûriers dits Moriers, au fait d’en être noir (à la fin de l’été, ils sont normalement bien mûrs et saoulent à en perdre la tête), d’hydromel, la tête dans une tenaille (pince, étau, etc.), associés à de la viticulture de cépage noir, à des flammèches (mon étude d’inventaire, disponible dans mon article précédent, sur les toponymes de Saint-Maur dans l’Indre indique page 29, qu’il y avait un sanctuaire de Vénus et un columbarium romain au Colombier, aujourd’hui manoir fermier, dans le sens du vent, et un autre sur Déols : bonjour les barbecues, les crépitements, les étincelles volantes, la soupe de cannibales en fumigations… très Huns, voire Hindous, pour en exciter certains appétits orientaux), voire à des cendres, voire à descendre, voire à des marais et à des tourbières, à de l’eau morte (croyez-en la Fontaine de la Demoiselle et l’aqueduc romain, indiqués dans mon étude des toponymes de Saint-Maur dans l’Indre page 26), au fait de recourber, ou d’en avoir le nez camus, d’en être déprimé, émoussé, hébété, fou, sot, insensé, regroupé dans un corps d’infanterie, durement, cruellement, en bordure, en frange, pour quelques soins, quelques soucis, quelques sollicitudes (ce que je fais présentement généreusement), dans un temps défini, de s’en baigner, de s’en laver, de s’en parfumer, d’en pleurer, de s’en épancher, de s’en baptiser… Tout ce las sera expliqué dans la suite de cet article, sachant que « sin » et signe (souvent en encre de métaux lourds), comme l’attestent les mots ceint et seing, sont les mêmes maux que celui du cygne (s-ign- marque du pluriel qui sous-entend être suivie d’une brûlure ou d’une pourriture), cygne dont la viande est encore plus dure que celle du canard, cygne réservé au ROY seul, pour en porter couronne et aura, voire auréole (concept provenant historiquement des tyrannies orientales), pour mieux en scintiller de minéraux cumulés (Himalaya ? Massif Central ? Massif Alpin ?), appelés aujourd’hui bizarrement « terres rares ». C’est très spirituel…

((( .+. )))

Pour être faune éthiquement et phonétiquement préhistorique et faire entrer la Préhistoire, et l’après histoires… dans l’Histoire, science de toutes, on peut jouer avec les toponymes avec des jeux que j’ai inventés et dont mon étude-inventaire des noms de lieux de Saint-Maur dans l’Indre, datant de 2005, peut servir de table de jeux. J’ai aussi, sur ce blog des modes d’emploi, et des exemples multiples. Vous pouvez vous appuyer sur un ouvrage référentiel dédié que je construis en m’appuyant sur les toponymes de Saint-Hippolyte. Ces recherches et ces découvertes nous apprennent que les « révolutionnaires républicains », que les historiens ont identifiés comme des terroristes affairistes anglais syphilitiques en cheville et de mèche avec les Orléans et la variole, étaient vraiment très stupides de rebaptiser la commune de Saint-Maur sur Indre « Beaulieu », voire « Beaupré » (page 98). Il suffisait de l’orthographier en amas-zone : « sein(g) mort ».

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Saint-Maur (Cher ; Indre) : trois ouvrages d’inventaire…

Saint-Maur, où tout semble à revoir…

pour tous les Saint-Maur (Cher, 18 ; Indre, 36), même Saint-Maur-sur-le-Loir (28),

Saint-Maur-des-Bois (50), etc., et même Saint-Maur-des-Fossés (94),

en révélations toponymiques…

via mon article bien documenté :

Saint-Maur, églises et toponymes, cas douteux en Syn-Mor…

et après pour les Saint-Maurice, suivez le guide…

Mes trois études d’inventaires

précédentes…

L’église Saint-Maur

de Saint-Maur (Cher)

Ouvrage actuellement de 43 pages.

Nicolas Huron : L’église Saint-Maur de Saint-Maur (Cher) – Dossier ECCLESIA juillet 1991, ouvrage de la conférence du 13 juillet 1991 – Université François Rabelais – Tours –ASDRA – ASsociation pour le Développement de la Recherche Appliquée à l’animation culturelle en Région Centre – sous la direction de Bernard CHEVALIER, professeur d’histoire médiévale – Droits rachetés par Nicolas Huron, responsable et créateur du projet ECCLESIA pour l’ASDRA.

Ouvrage associatif aux droits acquis par son auteur.

relu et corrigé bénévolement la veille de sa conférence le 22 février 1991
par ma mère, Marie-Claude HURON, née DEPUSSAY à Françay (Loir-et-Cher),
sa maison d’édition véritable, blésoise,
en sa bonne ville royale et agricole de Blois,
à une époque où son auteur, moi-même,
était encore illettré et dysorthographique.

Ancienne version à télécharger en

Format.pdf

Lien transparent : https://patrimoine-rural.com/Saint-Maur(18)/Nicolas-Huron-Saint-Maur-18-Eglise-1991.pdf

Anciennes versions papier :

2 exemplaires ont été laissés en mairie lors de l’évènement

s’ils sont perdus, demandez aux anciens de la gestion communale

1 exemplaire a été donné aux Archives départementales

et 1 exemplaire à l’Université François Rabelais de Tours.

L’église Saint-Maur de Saint-Maur (Cher, 18)

Photo Nicolas Huron

La donation à l’abbaye des Pierres, par Giraud de Fresne en 1227

Archives départementales du Cher : 10 H 125

pour en apprendre à lire le Moyen Age…

Portail principal de l’église Saint-Maur de Saint-Maur (Cher, 18).

Photo Nicolas Huron

Quelques photos supplémentaires sur mon site de services

Étude d’inventaire à rénover…

avec bénéfices possibles à la clé pour une association locale ou un particulier

avec 32%/€net et

avec mes compléments de recherches…

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Un toponyme du pays de Reims : Barbe aux Cannes

La Montagne de Reims,

lieu de ce questionnement que je connais bien,

(Photo Nicolas Huron)

où l’Histoire dévale et déboule en débouchées…

à la Barbe aux Cannes, Barbe à Canne, etc.

Car une barbe, poils du visage, est souvent

en toponymie, par extension de sens…

des haies ou des taillis…

endroits épineux pour les boucs et chèvres,

mais c’est souvent aussi un sujet assez épineux

de la Montagne de Reims,

géologiquement géomorphologique !

Barb– désigne un lieu boueux, un bourbier… pour y barboter, dans l’eau

ou parler indistinctement entre ses dents, un synonyme de bavardages

plutôt très proche étymologiquement du mot barbare, ce qui s’entend

en sentant la boue se remuer sous les pieds et les pillés des monts…

Quant aux Cannes, aux canes, au Khan et à sa barbichette…

on pense surtout aux roseaux, et aux plumes de canards.

Par comparaison, Barbe à Dieu, désigne le pissenlit…

Un Barbeau peut désigner une pointe, une dent,

un dard, voire une barbe peu fournie

Il faut le voir pour le croire…

ces laveries minérales…

Dé-monts !

Bouh !

Boue…

bout…

Une demande particulière…

Une personne m’a récemment demandé le sens du toponyme de Barbe aux Cannes.

Voici la demande :

Bonjour,

Dans la cadre de la recherche sur l’évolution des noms de rues d’un petit village de la marne HOURGES 51140, je suis à la recherche de la signification de l’expression barbe-aux-cannes. Cette rue a été débaptisée début du siècle dernier, il y a d’autres villages à proximité de Reims qui ont encore des rues nommées de la barbe-aux-cannes.

Par avance merci de votre aide

Bien Cordialement

Voici mon enquête, que tous peuvent refaire…

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