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PUI(T)S de savoir(s)…
à Saint-Maur
où tout sembla revoir
en syn-mor avec συν μωρ-
ou tout semble art « voir »…
Article long bien documenté pour cours pris de cours…
Voir mes trois études d’inventaire précédant cette mise au point…
très Terre à terre, tellurique, géologique et agricole…
L’étude à réveiller les morts… ?
Oui, à les réincarner dans mon salon de l’agriculture française… avec
l’enjeu en jeux l’Ange,
Marie, France !
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Ma toponymie en 2023 e(s)t suivante…
Saint-Maur, haïku préhistorique ?
Pour Saint-Maur sur Indre, comme pour d’autres Saint-Maur, on doit constater qu’il s’agit d’un lieu noir. Près de Châteauroux, sur la rive droite et nord de l’Indre, on peut constater qu’il s’agit d’un assemblage de grande sémantique (syn– : voir mon article sur Saint-Plantaire) de compost, de Folies (voir mes articles sur les toponymes Folie, Folies), avec des limons sombres ferrugineux du Massif Central, des résidus de forges de l’Indre et de ses affluents en amont, associés à de la marne sombre, à une pente douce, à des ronciers, des mûriers dits Moriers, au fait d’en être noir (à la fin de l’été, ils sont normalement bien mûrs et saoulent à en perdre la tête), d’hydromel, la tête dans une tenaille (pince, étau, etc.), associés à de la viticulture de cépage noir, à des flammèches (mon étude d’inventaire, disponible dans mon article précédent, sur les toponymes de Saint-Maur dans l’Indre indique page 29, qu’il y avait un sanctuaire de Vénus et un columbarium romain au Colombier, aujourd’hui manoir fermier, dans le sens du vent, et un autre sur Déols : bonjour les barbecues, les crépitements, les étincelles volantes, la soupe de cannibales en fumigations… très Huns, voire Hindous, pour en exciter certains appétits orientaux), voire à des cendres, voire à descendre, voire à des marais et à des tourbières, à de l’eau morte (croyez-en la Fontaine de la Demoiselle et l’aqueduc romain, indiqués dans mon étude des toponymes de Saint-Maur dans l’Indre page 26), au fait de recourber, ou d’en avoir le nez camus, d’en être déprimé, émoussé, hébété, fou, sot, insensé, regroupé dans un corps d’infanterie, durement, cruellement, en bordure, en frange, pour quelques soins, quelques soucis, quelques sollicitudes (ce que je fais présentement généreusement), dans un temps défini, de s’en baigner, de s’en laver, de s’en parfumer, d’en pleurer, de s’en épancher, de s’en baptiser… Tout ce las sera expliqué dans la suite de cet article, sachant que « sin » et signe (souvent en encre de métaux lourds), comme l’attestent les mots ceint et seing, sont les mêmes maux que celui du cygne (s-ign- marque du pluriel qui sous-entend être suivie d’une brûlure ou d’une pourriture), cygne dont la viande est encore plus dure que celle du canard, cygne réservé au ROY seul, pour en porter couronne et aura, voire auréole (concept provenant historiquement des tyrannies orientales), pour mieux en scintiller de minéraux cumulés (Himalaya ? Massif Central ? Massif Alpin ?), appelés aujourd’hui bizarrement « terres rares ». C’est très spirituel…
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Pour être faune éthiquement et phonétiquement préhistorique et faire entrer la Préhistoire, et l’après histoires… dans l’Histoire, science de toutes, on peut jouer avec les toponymes avec des jeux que j’ai inventés et dont mon étude-inventaire des noms de lieux de Saint-Maur dans l’Indre, datant de 2005, peut servir de table de jeux. J’ai aussi, sur ce blog des modes d’emploi, et des exemples multiples. Vous pouvez vous appuyer sur un ouvrage référentiel dédié que je construis en m’appuyant sur les toponymes de Saint-Hippolyte. Ces recherches et ces découvertes nous apprennent que les « révolutionnaires républicains », que les historiens ont identifiés comme des terroristes affairistes anglais syphilitiques en cheville et de mèche avec les Orléans et la variole, étaient vraiment très stupides de rebaptiser la commune de Saint-Maur sur Indre « Beaulieu », voire « Beaupré » (page 98). Il suffisait de l’orthographier en amas-zone : « sein(g) mort ».
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