Cherchez la différence !
Deux pièces de monnaie de la Guerre des Gaules
Les renseignements “classiques” sont trouvables sur le NET. Ici, c’est autre chose…

Monnaie de Jules César
Monnaie romaine : César, sous un éléphant (non ?) européen disparu,
avec en revers les symboles déposés de sacrificateur en chef.
César, sacrifié jour après jour à la guerre pour la république romaine.
Au revers, les instruments du sacrificateurs en chef, déposés.
Politique !
César, prudent avec ses ennemis politiques romains qui l’avaient déjà mis à l’écart,
et avec ses alliés gaulois, ne représente pas encore son visage.
Son nom est sous le sol, portant l’éléphant barrissant ou écrasé par lui,
éléphant qui écrase de sa patte avant droite, un carnyx,
une trompette de guerre gauloise, ou un serpent à huppette.
La notion de pesanteur, mais aussi d’emprise, est accentuée
par les bourrelets de peau du pachyderme évoquant notamment
une menace d’au-delà des Alpes, pour Rome : Hannibal Barca.
Menace, fantasme et séduction du sacrifice, et plaisirs intestinaux…
César a sans doute choisi ses (ces) monnaies.
Elles ne lui ont pas été fournies…
ROME ! r’hommes !
…

Monnaie de Vercingétorix
Monnaie “gauloise”, de style grec, de Vercingétorix écrit en latin (?)
et décorée d’Epona avec pour béquille une amphore de vin romain
et un torque gaulois, bijou ici écarté et quelque peu rué.
Le portrait du Gaulois vaincu à la suite de la Guerre des Gaules,
représenté par Rome sur des monnaies romaines plus tardives
sera totalement différent.
Certains cons cernés prétendent voir dans ce portrait Apollon
avec un pet selon l’usage, et deux ailes, comme blondinet,
germanique essayé par Jules César dans le Sancerrois,
être un peu télépathe, messager, ange gardien, etc.
anges paléochrétiens toujours en importation,
qui se vendent à Bag Dad, en Doux bail
et avant à Athènes, voire en Judée
parce qu’il faut que ça brille… bien astiqué…
bien sucé en monnaie grecque ou en bouche des morts romains…
Ce n’est pas son vrai profil, mais une imitation d’un style Grec.
Voleur ?
Son vrai portrait de Gaulois, pillard esclavagiste germain, est représenté
sur les monnaies de la fin de cette guerre. Cherchez !
Ici, le Gaulois, au faux beau profil grec, renifle la croupe de la jument.
Le “VERCI”, avec le “i” à la gorge, invite à le vérifier…
ou à lui chercher du fourrage.
Sans doute un désir de “civilisation” ou de citoyenneté…
Son père, assassiné par les Gaulois de Gergovie, avait brigué la royauté arverne.
Prétention ? Pré-tension ? Prêt tant si on…
Les soldats, à sa solde ou non, devaient, sans doute un peu en plaisanter.
Vercingétorix n’a sans doute pas choisi ses (ces) monnaies.
Elles le lui ont été fournies…
…
Alors, attention, car…
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