L’église Saint-Georges de Saint-Georges-sur-la-Prée (18)

L’église Saint-Georges de Saint-Georges-sur-la-Prée (18, Cher, ancien diocèse de Bourges) a beaucoup plus de connaissances à vous apprendre que vous ne pouvez l’imaginer…

Un trésor de révélation, de richesses et de savoir-faire…

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L’église Saint-Georges de Saint-Georges-sur-la-Prée (18)

Une enquête historique et géographique,
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Premières mentions écrites médiévales et une explication antique

Une mention d’un vicus Sancti Georgii avec deux chapelles et six manses, existe en 844, mais elle pose polémique, car certains identifient cette mention comme Saint-Georges-sur-la-Prée et d’autres comme Saint-Georges-sur-Moulon dont l’église, aujourd’hui disparue, dépendait aussi de l’abbaye de Vierzon. Une nouvelle analyse diplomatique serait nécessaire pour exposer cette recherche qui mériterait un article spécial. Il suffit de me le demander.

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L’église Saint-Georges de Saint-Georges-sur-Arnon (36)

L’église Saint-Georges de Saint-Georges-sur-Arnon (36, Indre, ancien diocèse de Bourges) a beaucoup plus de connaissances à vous apprendre que vous ne pouvez l’imaginer…

Un trésor de révélation, de richesses et de savoir-faire…

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L’église Saint-Georges de Saint-Georges-sur-Arnon  (36)

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Première mention écrite médiévale devant une explication antique

La première mention écrite de Saint-Georges-sur-Arnon à travers la mention de son église, ecclesia Sancti Georgii,  figure dans une bulle du pape Adrien IV datant de 1154 et copiée dans le cartulaire d’Issoudun, acte pontifical étant la première mention écrite d’une bonne vingtaine de communes du secteur et acte papal sur lequel je ferai sans doute un article prochainement (il suffit de me le demander).

Tous les chemins mènent à Rome, RRRRrrr’Homme !

Cette première mention écrite est une traduction latine médiévale et l’on disait déjà Saint-Georges, voire Saint-Georges-sur-Arnon, toponyme complet mentionné sous cette forme dès 1518, voire même avant la Révolution française, en 1788 (voir dans mon étude à télécharger ci-dessous).

On associe donc le toponyme Saint-Georges au culte du Grand Martyr grec.

Peut-on aller plus loin ? Peut-on remonter à l’Antiquité romaine ?

Un fait géomorphologique étonnant

Il y a une réalité géomorphologique étonnante que j’ai découvert en étudiant le toponyme de la commune voisine de Chârost. Les deux méandres de la rivière de l’Arnon avec un peu l’amont de Chârost, ressemblent, pour qui sait à quoi cela ressemble, par leur relief à un hippocampe, hippocampus en latin (ce qui pour un Romain se comprend comme « camp du cheval »), ἱππο·κάμπιος en grec construit avec la racine κάμπτω, camptô, champto, courbe, méandre.

Vérité éternelle connu des Grecs…

Qui se ressemblent, s’assemblent !

Loi, à la mode actuellement, de l’attraction ?

Une trace de renfort de protection des grands édifices aristocratiques gallo-romains…

Saint-Georges-sur-Arnon trouve sa raison d’être antique par sa situation de renfort de cavalerie situé à 8 à 10 kilomètres de Saint-Ambroix (18, Cher, ancien diocèse de Bourges) qui était un très important site gallo-romain sur la voie romaine de la Chaussée de César.

Saint-Ambroix (mon étude sur son église) était en effet, à l’époque romaine, un vicus, site religieux et administratif, mais surtout marchand, autrefois nommé Ernodurum ou Arnodurum, toponyme mentionné sur des documents antiques, et signifiant en langue gauloise : la place, le marché de l’Arnon. Ce site comportait basilique, nécropole, sanctuaires, autels sacrificiels, villae aristocratiques importantes, etc. Nombre de stèles funéraires trouvées à Saint-Ambroix et bien d’autres découvertes sont visibles au Musée archéologique de Bourges, musée appuyé sur l’ancien rempart gallo-romain, ancien palais Jacques Coeur, redresseur de l’économie française au XVe siècle.

Saint-Georges-sur-Arnon est aussi lié à l’église, dédiée au grand légionnaire romain saint Martin, de Poisieux (18, Cher), toponyme très rare, lié à la cathédrale Sainte-Croix d’Orléans, et lié forcément à Saint-Georges-de-Poisieux (18, Cher, ancien diocèse de Bourges) situé près des ruines gallo-romaines de Drevant près de Saint-Amand-Montrond (18, Cher), et lié à Saint-Amand-Longpré (41, Loir-et-Cher, ancien diocèse de Chartres), situé près de l’église Saint-Georges de Gombergean, etc.

Poisieux ? Les sous sous les as ? Les étoiles dans les yeux ?

Ce rapport entre les grands passages du pillage racketteur romain et les grands sites gallo-romains de la dictature païenne esclavagiste de l’empire romain, est le cas de presque toutes les églises Saint-Georges en Région Centre.

Cette curiosité historique est confirmée par ma grande étude sur les toponymes Saint-Georges de la Région Centre dont vous pouvez lire les extraits copieux dans les articles précédents.

On peut étendre l’étude à la France entière… mais à Saint-Georges-sur-Arnon, en plus, symboliquement, saint Georges terrasse le dragon, le serpent, les méandres de l’Arnon, assez rares sur le cours de cette rivière et les derniers avant Vierzon. Dans les méandres se cumulent quelques pourritures et empestations un peu hallucinatoires. Saint-Georges-sur-Arnon semble être destiné à en maîtriser les mouvements et Folies (cumul de feuilles produisant des gaz… situé dans des dépressions du relief, souvent dans des vallées), après Chârost, Saugy, Saint-Ambroix…, qui devaient être sans doute piquées et à torcher parfois.

Voir mes cartes avec mon article d’inventaire : les cartes, la liste et les liens…
Cartes téléchargeables et liens à construire avec vous…

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Frontières antiques : approche des Saint-Georges (9)

9 – Frontières antiques et approche

des toponymes Saint-Georges :

Singularité plurielle et pluriel singulier

de grande sémantique.

Table des matières de mon enquête sur les toponymes Saint-Georges.

Le culte de saint Georges est, de par le statut du personnage (voir l’article 1), un culte antique lié à l’ordre équestre et à l’aristocratie romaine. Officier romain d’origine grecque, saint Georges savait lire les ordres écrits et ne pouvait être que lettré, tout du moins était-il alphabétisé. Cette caractéristique transparaît ou semble transparaître dans le choix des toponymes liés à son culte.

Le Palais royal est devenu une véritable “or heure”,
alors imaginez le palais impérial chez les Grecs
en actuelle Turquie à la fin du IIIe siècle…

Selon l’hagiographie, l’empereur, planqué et vautré dans son palais, avait fait cloué son ordre de persécution des chrétiens sur la porte de son pas laid, sans doute pour attirer et voir qui cet ordre pourrait bien énerver.

Saint-Georges devait être encore jeune et vigoureux pour s’en révolter…

Jeune et vigoureux ? Une concurrence déloyale pour un vieux dégueulasse.
L’empereur aurait dû travailler à Hollywood… ou à Wouah, Chine tonnes !

Vous avez dit lettré, érudit ?

L’orthographe en lettres latines annulent souvent la réflexion de ce que suggère un toponyme. Par exemple beaucoup lisent Auxerre, comme “Oh queue sert”, alors qu’il s’agit de “eau sert”, “eaux sers”, “haut sert”, “haut sers”, “eaux serres”, “eau cerf”, “hausse air”, etc. On peut ainsi trouver un très grand nombre de sens phonétiques, comprenons “faune éthique”…

Signalons que REPUBLIQUE
se lit “repu b’lis queue”, “re PUB lis qu’eux”, etc.,
et que “république” s’entend…

La version savante, pour ne pas dire pharisienne, parisienne, lépreuse, handicapée mentale, empoisonneuse, républicaine, etc., inventera, à partir de quelques traductions latines médiévales, anachroniques et quelque peu mal ficelées, ou plus rarement à partir d’une précieuse inscription romaine à la terminaison et à la construction grammaticale quelque peu mouvante, une interprétation, généralement unique que celui qui la connait rend savamment ridicule.

Ainsi Auxerre se trouve être, et uniquement, le nom ancien de l’Yonne : Autura.

Si scie, j’ai la bibliographie…

Mon oeil ! Non, nom, Verneuil, vers n’oeil… avec le pieu charbonné d’Ulysse dedans !

Vous avez dit : “les très, et rue dit”, non “les traits, air eu dit…” ?

La fantaisie de l’escalier double

Beaucoup de maisons nobles ont une entrée principale munie d’un escalier double, par exemple Fontainebleau et son escalier en fer à cheval.

Sardines ou étourneaux ? Fait-il partie de mon ethnie ? Droite ou gauche ?

Fonte haine blot ? Fontaine belle eau ? Bleu(e) ?

Radio ou téléphone arabe ?

(((((((( Tire âne Y ))))))))

Jubilation cruelle ?

Ô sert ! L’Oméga bien sûr…
Mais le mot commence par un A, et s’entend ensuite O.
Cela ne vous rappelle rien ? Alien né ?

Article de mon inventaire : les cartes, la liste et les liens…
par lequel vous pouvez faire apparaître les cartes dans d’autres fenêtres.

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Cartes des églises Saint-Georges en Région Centre et un peu ailleurs.

Cartes des églises Saint-Georges en Région Centre et un peu ailleurs.

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Carte Nicolas Huron

Fantaisies à Saint-Georges… insultantes ou bienveillantes

Prenons comme premier exemple l’église Saint-Georges implantée à Luplanté (28, Eure-et-Loir, ancien diocèse de Chartres) au sud de Chartres.

Saint Georges a la réputation d’avoir déchiré l’ordre, sans doute en papyrus égyptien (un papier très absorbant…), de l’empereur, de persécuter et de massacrer les chrétiens vers 303-304 après Jésus Christ. L’ordre était, paraît-il, cloué, bref planté, sur la porte du palais. Saint Georges était planté devant à le lire… Bref, Luplanté !

Ce qui est vrai dans l’hagiographie n’est pas ce qui est important pour le peuple, c’est ce qu’il en retient qui est important. Non ? Nom ? Lu ? Planté ?

Au sud de Luplanté, nous avons l’église Saint-Georges de Bullainville (28, Eure-et-Loir, ancien diocèse de Chartres), dont la propriété est logiquement garantie par la papauté, par une bulle pontificale. Le mot “bulle” désignant exclusivement un acte pontifical scellé par un sceau en plomb. Montre-moi ! Bulle hein vile ? En France, on sait ce que veut dire « buller »…

Au sud-ouest de Bullainville, nous trouvons l’église Saint-Georges de Cloyes-sur-le-Loir (28, Eure-et-Loir, ancien diocèse de Chartres), où tout le monde peut s’apercevoir que Cloyes est un synonyme du Christ, notre Sauveur, « clous aïe ! », et de l’ordre impérial qui lui n’avait rien de catholique, ni de chrétien. C’est un peu le clou du spectacle, non ? « Clou a » au singulier ou « clous à » au pluriel ? « Cloua » au passé simple ? « Cloua » avec une terminaison féminine dans son Chelou, son Queue Loup, son c… celle de Barabas ? Où exactement ? Tu en as besoin pour ta charpente ?

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