Le 15 janvier pour la saint Rémi offrez un baptême de vérité en Loire avec les Saint-Maur et saint Mor

Gras hall(e) ? Graal !

Le 15 janvier, autant pour la saint Rémi que pour la saint Maur et les sein(g)s Mor

vous pouvez vous offrir un baptême de vérités très recherchées en ma Loire à

Saint-Maur-sur-Loire (49), lieu d’origine de la critique historique et politique,

par la diplomatique du XVIIe siècle et l’Académie des Sciences avec notamment

la cruauté mérovingienne, les invasions « italiennes » ostrogothiques,

les vérités sur certaines usurpations des invasions barbares,

normandes et barbaresques, etc. entre autres abjections,

selon la bonne volonté du Roi Soleil Louis XIV

et de ma bonne ville de Blois…

pour enseignant à toujoursmais

par saint Rémi, sur ce lieu de baptême, ma Loire, à Saint-Maur de Glanfeuil…

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Bonne année 2025 en contes, comptes, comte de moulin

Hors l’âne paquet…

A la balançoire, la balance hoirs, il est mieux qu’il y ait des branches et des feuilles,

car la pourriture, cela gagne, quand on coupe pour un but comme celui-ci.

Vous semblez en cor, en corps, encore assez androgyne,

seriez-vous conducteur de chantier (à orthographier) ?

Si on vous paie pour avoir une réponse, la donnerez-vous ?

Bonne année 2025 !

Si tu vois la lumière blanche, la Vierge, ceins l’ouïe !
(le phrasé fonctionne mieux en tutoiement).

Crois-en Saint-Louis de Fontainebleau et du palais royal,

et de l’Île Saint-Louis… en liste, liens et circonstances…

Il est conseillé de passer le mot : seing l’huis ! Sain luit ? Loys ? Ludo vicus !

Croyez-en les quatre articles précédents pour raison garder dans tout ce qui vient.

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Le Lys

à l’Ouest de Melun…

Soyez-y car dans le tout Paris…

phare rit nœuds…

Je mettrai votre photo là ! ou une autre… 6:28…

Nicolas Huron, historien de milieu rural
et enseignant a toujoursmais
pour la peine à Précy (18)

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Noël 2024 en bégaiements, en baies gaiement, en baie gué ment…

Si tu vois la lumière blanche la Vierge : ceins l’ouïe !

PATER NOSTER…

Pâte air, nos stères… sang gaspille âge… sans gaspillage…

Notre Père !

NOËL !

À propos de mon patrimoine rural… et

À propos de ma toponymie, moi qui suis ici, chez moi… et

À propos des aulnes, des vernes, et des bernes arts,

de Bernard qui aurait pu bâtir aussi la compréhension

qui vous manque…

Prière ! Pris hier !

Notre Père qui êtes aussi œufs, aux cieux, hausse yeux…

Que votre non, nom, NOM, soit sanctifié, soie sanctifiée, soit sans que tifs y est…

Que votre règne, votre araigne, art rive, arrive à rives, art y veut…

Que votre volonté soit faite, fêtes, soif -ette, soies faites… sous à ffff… êtes…

Sur la Terre, la terre, l’atterre… comme aussi ailes, haussent ciel… scie elle, si Elle…

Accordez-nous, à corps des noues, à cor des « nous », accords dénouent…

Notre pain, notre pin, de chaque jour, de chas que joue re…

Remettez-nous nos offenses, nos off hanses, nos os faon se…

Comme nous remettons, comme noue remet ton, à ceux qui nous ont offensé…

Ne nous soumettez pas à la tentation, à l’attente à scions, à : « scions », à la tante AS scion,

À la tente à scions, Allah tente assis ion+, à l’attentat si on, scions…

Et délivrez nous du Malin, du mâle Hun, du mât lin…

En phonétique gallo-romaine, et encore compris au Moyen Age par les nobles et les clercs, Saint-Louis signifiait notamment : Syn Loup (Romain) oui (mouton) ; loue ouï ; loup we ; etc. ! Il peut se prononcer « loué » à la campagne, et se lire « lois » ou « Loys » dans les textes. Je pense qu’il faut le savoir dans les temps prochains, car les loups sont arrivés dans le Loiret et ont commencé à égorger les moutons. Alors apprécie l’église Saint-Louis à Précy, un refuge !

Charpente de l’église Saint-Louis de Précy

avec un peu d’engrais blanc…

Photo Nicolas Huron

Dis seulement une parole et Jeux seraient guère Y !

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Précis de Précy (18) contre les confus ions+- des confusions

Si tu vois la lumière blanche la Vierge : ceins l’ouïe !

Relisant, pour la mettre en ligne sur ce Web, mon étude d’inventaire de l’histoire architecturale de l’église Saint-Louis de Précy, et essayant de résoudre quelques énigmes rencontrées en 1991, je me suis aperçu que l’étude pour comprendre et ré-observer cet édifice, pour un lecteur et un curieux non averti, pouvait induire des confusions possibles. Pour éviter à de futurs chercheurs des erreurs et pour mieux présenter et comprendre l’Histoire de ce secteur de frontière antique militaire, je fais donc ici un petit inventaire non exhaustif des confusions que l’on peut rencontrer à étudier l’Histoire de Précy, et de son secteur, avec sa très rare et remarquable église Saint-Louis d’origine militaire.

En phonétique gallo-romaine, et encore compris au Moyen Age par les nobles et les clercs, Saint-Louis signifiait notamment : Syn Loup (Romain) oui (mouton) ; loue ouï ; loup we ; etc. ! Il peut se prononcer « loué » à la campagne, et se lire « lois » ou « Loys » dans les textes. Je pense qu’il faut le savoir dans les temps prochains, car les loups sont arrivés dans le Loiret et ont commencé à égorger les moutons. Alors apprécie l’église Saint-Louis à Précy, un refuge !

Église Saint-Louis de Précy… pour l’aborder avec précision…

Photo Nicolas Huron

Il ne faut pas confondre la désignation d’une personne comme, par exemple, saint Louis d’Anjou, évêque de Toulouse, décédé l’année de la canonisation de Saint Louis, en 1297, et le roi Louis IX, écrit Saint Louis qui fait exception avec ses deux majuscules, et, Saint-Louis, avec trait d’union, qui désigne le vocable, la dédicace, d’un édifice religieux, comme l’église Saint-Louis de Précy, ou un nom de lieu, comme la rue Saint-Louis, et la Saint-Louis, le jour, le 25 août pour le saint roi. Ainsi on a l’Église Saint-Pierre de Rome et l’église dédicacée à saint Pierre à Rome, et, on a le jour de commémoration de saint Pierre, jour de saint Pierre, et, le jour de la Saint-Pierre. Sinon, on a les syn pierres en matière de bâti sain, ceint, et seings… pour en être saint, seins… et pas queue… Quoiqu’en matière de domesticité… un refuge… pour les bêtes est aussi toujours nécessaire.

Confusions par confus ions+-

Précision en précis ions+- pour une cure ferrugineuse à Précy

auprès de sa militaire église Saint-Louis ! Complément indispensable

que je déconseille d’essayer vivement d’aborder en une seule fois…

Faites-vous un marque-page… et un marque page…

pour les pages de saints Louis, de Saint-Louis,

que furent et firent les Louis de Sancerre.

Quelques connaissances préalables : églises et chapelles…

Il est nécessaire de savoir qu’une église rurale portait le nom et le titre de chapelle, capella, jusqu’au renouveau du bâti en pierres de ces édifices religieux. Ce renouveau est encore visible aujourd’hui à travers le style préroman tardif des Xe et XIe siècles et le style roman des XIe et XIIe siècles. Ce changement intervint alors que la plupart des édifices chrétiens catholiques romains ruraux étaient en bois à la suite des invasions barbares, puis des invasions normandes qui engendrèrent la féodalité, société mafieuse de serments organisée à l’origine sur des promesses de butins, de pillages, d’autorité personnelle, de territoires et de châteaux privés. Malgré les reconstructions des églises en pierres, comme refuge, la plupart des maisons rurales restèrent majoritairement à structure bois jusqu’à la fin de l’époque moderne à cause des coups du dispendieux outillage, des coûts des carriers, des fours à chaux, des tuileries, etc.

Le terme chapelle se rapporte à la cape de saint Martin offerte par ce légionnaire à un miséreux (sans doute un ancien combattant blessé du limes romaine), c’est-à-dire à un abri généreusement « offert » par la population locale pour veiller aux nomadismes criminels pillards ou marchands et aider les pèlerins et les voyageurs chrétiens catholiques romains en quête de vérité, de soins ou en mission. Ce fut une mesure de sauvegarde et de santé publique encore utilisée de nos jours et servant accessoirement de souricières à pillards, car c’était des lieux de franchise, avec le cimetière attenant, où les forces militaires n’avaient théoriquement pas le droit d’intervenir, bien que ce soit elles qui les aient parfois créées, comme ce fut le cas pour l’église Saint-Louis de Précy.

Des traces de cette réalité sont encore lisibles et visibles sur les panneaux routiers pour la Chapelle-Montlinard (18), dont le nom rappelle la frontière, bourg situé au nord-est de Précy, sur l’ancienne voie romaine de Bourges à la Charité-sur-Loire, en frontière antique, dans l’ancien diocèse de Nevers, en limite des diocèses de Bourges et d’Auxerre, avant le passage de la Loire, et pour la Chapelle-Hugon (18), entre la Guerche-sur-l’Aubois (toponyme militaire de forteresse) et Sancoins (géographiquement coin du diocèse de Nevers, mais côté Berry) au sud de Précy, du côté ouest de la Forêt d’Apremont, célèbre pôle touristique de l’ancien diocèse de Nevers, situé aujourd’hui en Berry, cette forêt et son relief faisant frontière antique, en tiques, en toiles d’araignées, en épines et parfois en abattis (troncs enchevêtrés) et pas que…

Ce rappel toponymique nous indique que la plupart des communes, anciennes paroisses, portaient déjà leur nom phonétique actuel, les deux chapelles précédemment citées ne pouvant pas dater antérieurement au début du Ve siècle, mais pouvant être issues, dès les Ve-VIe siècles, des réformes de l’empereur Constantin au IVe siècle. Le caractère d’abri de ces deux toponymes est dû ici à la présence des voies romaines.

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A Précy (18) apprécie sa frontière antique en tiques du Berry

Si tu vois la lumière blanche la Vierge : ceins l’ouïe ! Saint Louis ?

Quand on pense généralement à frontière, on pense à voies, routes, chemins, à tour de garde, à « poste-frontière » et à forces d’opposition ou d’intervention, à contrôle (et à contre rôles… des rouleaux de mythes empoisonnés et de fausses comptabilités de certaines tribu(t)s nomades), à poste de commandement, à forteresses, à châteaux, à camps, à abris, à remparts, à obstacles, etc., mais aussi à change et à commerces… et à ravitaillement… Le relief, avec la Loire et son coteau, la forêt d’Aubigny, les failles géologiques ferrugineuses qui sont trompeuses en appréciation instinctive, les reliefs induits par ses failles géologiques… font frontière, mais la toponymie des abords ouest de la Loire dans les environs de Précy est aussi remplie de références militaires : les Barres, château de Précy, Montfaucon, Saint-Julien-le-Chaudrier, les Bourgognons, les Culées, les Boulaises, Château Gaillard, Saint-Martin-des-Champs, le Bourg (en contrebas du coteau de la Loire avant la Charité-sur-Loire), la Chapelle-Montlinard, Saint-Germain, la Guerche-sur-l’Aubois, etc. Beaucoup de ces toponymes étaient militaires à une époque que l’on peut étudier : préhistorique, gauloise, romaine, franque, etc. Cependant, le sens que chacun y voit, mais surtout les sens multiples ont le plus souvent étaient perdus. Chacun interprète ces toponymes à son idée, ainsi la Villeneuve invite à une colonisation possible pour savoir qui est un cannibale nomade en en faisant nasse. Il fait phonétiquement référence à une jeune putain (vile nœud veut… en indiquant que le verbe était situé souvent à la fin des phrases autrefois, pour tromper l’auditoire sur une confusion possible entre le sujet et le complément d’objet direct, surtout pour les barbares à langue agglomérante, comme l’Allemand, genre « petit nègre », ou les mots de liaison et la grammaire, le Verbe, le Logos, la logique, sont totalement défectueuses). On a aussi l’église Saint-Jacques-et-Saint-Cyr de Sancergues qui semble être un aménagement romain avec son exorcisme… ou pas, comme Saint-Cyr de Nevers qui évoque les marches des tribunaux iniques orientaux et des autorités impériales en vacances en Orient (voir mon énorme étude sur Saint-Cyr-en-Bourg, en Maine-et-Loire, sur une autre frontière) et en vacance en Occident, pour ceux qui sauraient apprécier la nuance… On ne peut pas expliquer tous ces toponymes dans le détail ici, c’est un travail énorme que chacun peut faire. Chaque Hun ? En tampons chinois, en QR code ? Indiquons seulement que Précy faisait aussi référence au Moyen Age à un acte militaire, le tournoi, la presse, et donc aussi au change et à la monnaie, à travers la livre tournois choisie par Saint Louis pour assainir les finances du royaume de France (Île de France) tout neuf et remplaçant le royaume romanisé des Francs des VIe-XIIe siècles en cette frontière avec l’ancien royaume des barbares burgondes. Nous sommes là entre deux très grandes entités géographiques définies par le dieu Auguste César, le dieu de l’enfance heureuse et instruite de Jésus Christ et de la centuriation romaine des campagnes : La Lyonnaise, avec Nevers, Sens, Auxerre, Orléans, Chartres, Blois (dont la ville n’existait pas encore)… et l’Aquitaine, avec Bourges, Châteauroux, Bordeaux… Et, écart, car…

Si tu vois la lumière blanche la Vierge : ceins l’huis ! Saint-Louis…

Crois-en l’église Saint-Louis de Précy et sa chapelle privée Notre-Dame associée car…

en phonétique gallo-romaine, et encore compris au Moyen Age par les nobles et les clercs, Saint-Louis signifiait notamment : Syn Loup (Romain) oui (mouton) ; loue ouï ; loup we ; etc. ! Il peut se prononcer « loué » à la campagne, et se lire « lois » ou « Loys » dans les textes. Je pense qu’il faut le savoir dans les temps prochains, car les loups sont arrivés dans le Loiret, et même l’Eure-et-Loir, et ont commencé à égorger les moutons. Alors apprécie l’église Saint-Louis à Précy, un refuge en terre ferrugineuse, agricole, forestière et fluviale, sur carbonate de calcium jurassique (à orthographier avec un crayon et une gomme) !

En sachant au préalable qu’elle n’en comprend rien…

Après ou avant l’étang… entrez… les enfants morts en bas âge sont à l’abri devant le portail principal… Faites-en un peu conversation… là-dessus et las dessous à l’abri de la pluie… car…

en toponymie, le A peut être un È, Ê, AI, Hé, et, est… ainsi Précy doit se prendre aussi comme Prassy en cette frontière à traverser… en payant le passeur… et que le -y final, selon les régions peut être un -ac, un -ay, un é… comme génitif… comme génie t’if !

Ainsi Précy appartient à la famille faune éthique de phonétique toponymique de : PRASSÔ, PRASIA, PRASION, PRASIOS, gallo-gréco-romaine, mais pas que…

Passé, ça passe ? Oui, c’est Précy !

du Verbe, le Logos, et du verbe :

πράσσω

Quant aux plates-bandes de maraîchages…

πρασιά

Oui, c’est très très précis, Précy, comme injonctions…

frontalières, front talle lierres… fff’rond thalle lie air… front tas lis ère…

πράσιον

Pour les bordures des chemins forestiers, et pour l’aquaculture…

ligérienne et pas que… Croyez-en l’étang de Précy en chevet de son chevet…

πράσιος

pour le printemps, temps du Prince… pour les Dauphins aux dos fins…

Quel culot !

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