En gueux laid engueulé anglais (3)

Comment les angloys se mocquoient.

Et lappelloient le roy de bourges”.

Orgueil ? Prétention ? Crimes ? Pillages ? Goulanterie ? Hérésies ?

La victoire revînt pourtant à Charles VII, le très Victorieux roi de France…

par Jehanne la Pucelle, Agnès Sorel, Jacques Cœur, etc., éternellement !

Besoin d’un O6 avec l’ode là ? d’un maquillage empoisonné ? d’un emploi franchisé fictif ?

etc. ? C’est pas les miens…

Enluminure de Martial d’Auvergne tirée des Vigiles de la mort de Charles VII

Enluminure de Martial d’Auvergne tirée des Vigiles de la mort de Charles VII

Enluminure de Martial d’Auvergne tirée des Vigiles de la mort de Charles VII,

datée de 1484, représentant de Charles VII, roi de France, vers 1422.

Lecture et relecture… bref, religion ! Croix Rouge ? Crois blanche !

Comment les angloys se mocquoient. Et lappelloient le roy de bourges”.

Bibliothèque nationale – Manuscrit français : Ms. fr. 5054, fol. 33.

Illustration en Berry de la Guerre de Cent ans, des victoires de Charles VII et du retour à la paix

Des lettres de rémission furent accordées en mai 1444 en faveur d’André Philebert, homme d’armes, par Charles VII. Ces lettres de rémission nous décrivent, quelque peu l’ambiance en Berry, à travers les péripéties de cet homme, de ses vols de bétail et de tissus, entre 1428 et 1444, en pleine guerre de Cent Ans, juste avant la création par le roi des compagnies d’ordonnances en 1445, et quelques années avant la fin de cette guerre en 1457, mettant provisoirement fin aux exactions et aux pillages anglais et aux brigandages associés, et instituant le retour à la prospérité propre à la fin du XVe siècle et au début du XVIe siècle.

C’est un texte aux anecdotes intéressantes et aux détails historiques extrêmement instructifs.

Des hommes d’armes rançonnent

le Berry entre 1442 et 1444

Lorsque André Philebert, surnommé Pélerin, originaire de Levroux (36 ; Indre), fut âgé de 16 ans, vers 1428, il partit de l’hôtel de son père pour se rendre, aux frontières, par-delà la Seine, dans la ville de Louviers (27 ; Eure). Il y demeura au service de gens d’armes du roi de France environ cinq ans (donc environ de 1428 à 1433). Il se mit ensuite au service de l’écuyer d’écurie du roi, Robert de Floques, dit Floquet, et des gens d’armes et de trait de sa compagnie, à Levroux (36 ; Indre), où il résida à nouveau dans l’hôtel de son père pendant environ deux mois.

La ville de Levroux, vue de l’ancien château.

Photo Nicolas Huron

Puis André Philebert partit de Levroux avec le neveu de Robert de Floques. Il se rendit ainsi à Châtillon sur Indre (Châtillon-sur-Indre ; 36 ; Indre) pour voir un ami, Jehan Cornay, demeurant à Vornay en Berry (au sud-est de Bourges ; 18 ; Cher). En chemin il rencontra deux frères, Guillaume Boulaye et Perrin Boulaye, et également Le Grant Pierre, Le Petit Robert, Jehan Canesson, marié à Aubigny (Aubigny-sur-Nère ; 18; Cher), Guillaume Beaufilz et Martin Giraut, demeurant près de Loches (37 ; Loches), tous compagnons de guerre. André Philebert, qui avait volé des moutons sur son chemin, se mit avec eux. Lui et ces compagnons allèrent avec le bétail dans un village nommé Arvoise (transcription incertaine, sans doute Annoix ; au sud-est de Bourges ; 18 ; Cher) où les compagnons étaient logés. Un certain Le Bastard du Coudray vînt les trouver pour réclamer son bétail. Les compagnons lui réclamèrent une rançon de 9 écus d’or.

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En gueux laid engueulé anglais (2)

L’Histoire permet de connaître les mœurs, voire les gênes, les handicaps, la fainéantise, etc., de certains barbares nomades pillards criminels germaniques, notamment ceux des Allamans, des Teutons, des Angles, des Saxons, etc., du Jutland ou d’ailleurs, de cette zone géographique d’agglutination et d’accumulation de pillages de biens français, appelée Germanie, et ayant pondu et exporté, entre autres atrocités, l’anglais, qu’on appelait autrefois englois ou anglois sachant que l’orthographe, notamment des noms de lieux et de personnes, est une invention de la dictature p(h)arisienne. Mais vous pouvez retrouver ici, discrètement, votre propre Vérité “si vie, lisez…”

Patrimoine en otage… mes pas qu’eux…

Photocopies : Archives Nationales : Trésor des chartes, JJ 96, folio 114 verso, N° 335

Photocopies : Archives Nationales : Trésor des chartes, JJ 96, folio 114 verso, N° 335

Voici des photocopies que j’ai acquises, fort cher, aux Archives Nationales pour récupérer une partie de mon patrimoine médiéval français de ma région naturelle.

Vous en noterez la qualité… notant au passage que les centaines d’heures, au CARAN, sur les lecteurs de ces micro-films d’exécrable qualité m’ont esquinté les yeux… J’en porte depuis des lunettes…

Mon projet de récupération, de sauvegarde et de distribution de ce patrimoine, que j’avais baptisé “Faits divers au Moyen Age – Petites histoire de l’Histoire” m’avait coûté, à l’époque, environ 60 000 F de dettes presque sans aucun autre revenu, que mes conférences pour partager ce patrimoine avec la population et les municipalités rurales de ma région.

Quelqu’un aurait pu, à l’époque, il y a vingt ans déjà, faire les photographies numériques des originaux puisque j’avais, moi-même, en même temps, investi dans le premier appareil photographique numérique à 3 000 000 de pixels. On aurait pu apprécier la différence de qualité et le progrès en cours… Mais mémé…

Ainsi le dit “service public” ou un simple particulier précautionneux aurait pu, depuis longtemps, en faire la reproduction et la distribution à tous puisque ce patrimoine est entré dans le domaine public français, voire mondial, depuis des siècles. Mais que fait la CGT ?

Bon courage ? Je crois qu’il s’agit surtout d’une prise d’otages, sans doute par des personnes qui ont choisi comme langue barbare, non civilisée par Rome mais seulement par des quelques Normands anciens barbares vikings, l’anglais… Mais peut-on vraiment choisir ? Il le faudrait…

Un remake un peu long et ennuyeux de la bataille de Fréteval ?

Rappelons qu’à l’époque des faits, la cour anglaise parlait français ou essayait… Pour ces barbares, le naturel semble être revenu au galop…

Charles etc. (par la grâce de Dieu, roy de France) Savoir faisons atouz presens et avenir que comme pierre et Jehan troin freres de meun sur loire…”

Muides-sur-Loire (41 ; Loir-et-Cher) un trou ? Hein ?

Un fort en gueule laid anglais terroriste en 1364 ?

Meung-sur-Loire (45 ; Loiret) terrorisé ?

Gibier de potence et autres…

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En gueux laid engueulé anglais (1)

Peut-on sérieusement, sans avoir peur du ridicule, traduire Molière en Anglais ?

Couvrez, ce sein, que je ne saurais voir…” (Molière : Le Tartuffe, III, 2, v. 860-862).

“Coup vrai, ce sain, que je ne saurai voir…”

“Couvrez ce ceint que je ne saurai voir…”

“Coup veut raie, se ceint queue, jeux ne sauraient voir…”

“Cou vrai, ce saint, que je ne saurai voir…”

« Coût vrai, ce cinq, jeu ne sort, et voir… »

« qu’ouvre, est-ce sain que jeûne saurait vous… hare (cri pour les chiens de chasse)… »

“Couvre raie, ce ceint, que jeune saurait voir…”

“Couvre raie (incision simple ou double dans le parchemin pour le lac de soie), ce seing, queue (sceau et lac de soie d’un acte), jeune sot, Ré voir…”

Clin d’œil… Ré-voir ?

etc.

Pour comprendre, il suffit de considérer mon invention sur la singularité plurielle et le pluriel singulier, relire et ralentir… pour enfin accéder à l’infini prospérité des savoirs.

Pour comprendre qu’un barbare angle ou saxon sorti du conglomérat pillard criminel germanique n’a jamais été civilisé par Rome, il suffit de reconsidérer un peu l’Histoire de la Bretagne, dite présentement par usurpation Angleterre, sur l’île de Grande-Bretagne… Même pas besoin, pour cela, d’être révisionniste, il faut juste comprendre le sens étymologiquement véritable de “religion” en ouvrant un dictionnaire latin-français.

Vous êtes si pauvre d’Esprit que Françay (41) n’évoque pour vous qu’un sens ? C’est pour moi un infini Créateur et une infinie Création détruite par ces barbares. Top honni mis…

Françay (41 ; Loir-et-Cher) est en limite du fort et dur calcaire du lac de Beauce du Miocène, d’une part, et l’argile de Touraine, pourriture de sa craie, de son célèbre tuffeau, bouffé par quelques bactéries, mycéliums, mycoses et autres lèpres… d’autres parts, le sable, le couvert sur cette grande assiette, étant ici éolien et saharien. Miam mi-âmes…

Carte géologique de la commune de Françay (41 ; Loir-et-Cher)

Carte géologique de la commune de Françay (41 ; Loir-et-Cher)

Carte géologique de la commune de Françay (41 ; Loir-et-Cher)

Carte Nicolas Huron

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