L’Histoire permet de connaître les mœurs, voire les gênes, les handicaps, la fainéantise, etc., de certains barbares nomades pillards criminels germaniques, notamment ceux des Allamans, des Teutons, des Angles, des Saxons, etc., du Jutland ou d’ailleurs, de cette zone géographique d’agglutination et d’accumulation de pillages de biens français, appelée Germanie, et ayant pondu et exporté, entre autres atrocités, l’anglais, qu’on appelait autrefois englois ou anglois sachant que l’orthographe, notamment des noms de lieux et de personnes, est une invention de la dictature p(h)arisienne. Mais vous pouvez retrouver ici, discrètement, votre propre Vérité “si vie, lisez…”
Patrimoine en otage… mes pas qu’eux…
Voici des photocopies que j’ai acquises, fort cher, aux Archives Nationales pour récupérer une partie de mon patrimoine médiéval français de ma région naturelle.
Vous en noterez la qualité… notant au passage que les centaines d’heures, au CARAN, sur les lecteurs de ces micro-films d’exécrable qualité m’ont esquinté les yeux… J’en porte depuis des lunettes…
Mon projet de récupération, de sauvegarde et de distribution de ce patrimoine, que j’avais baptisé “Faits divers au Moyen Age – Petites histoire de l’Histoire” m’avait coûté, à l’époque, environ 60 000 F de dettes presque sans aucun autre revenu, que mes conférences pour partager ce patrimoine avec la population et les municipalités rurales de ma région.
Quelqu’un aurait pu, à l’époque, il y a vingt ans déjà, faire les photographies numériques des originaux puisque j’avais, moi-même, en même temps, investi dans le premier appareil photographique numérique à 3 000 000 de pixels. On aurait pu apprécier la différence de qualité et le progrès en cours… Mais mémé…
Ainsi le dit “service public” ou un simple particulier précautionneux aurait pu, depuis longtemps, en faire la reproduction et la distribution à tous puisque ce patrimoine est entré dans le domaine public français, voire mondial, depuis des siècles. Mais que fait la CGT ?
Bon courage ? Je crois qu’il s’agit surtout d’une prise d’otages, sans doute par des personnes qui ont choisi comme langue barbare, non civilisée par Rome mais seulement par des quelques Normands anciens barbares vikings, l’anglais… Mais peut-on vraiment choisir ? Il le faudrait…
Un remake un peu long et ennuyeux de la bataille de Fréteval ?
Rappelons qu’à l’époque des faits, la cour anglaise parlait français ou essayait… Pour ces barbares, le naturel semble être revenu au galop…
“Charles etc. (par la grâce de Dieu, roy de France) Savoir faisons atouz presens et avenir que comme pierre et Jehan troin freres de meun sur loire…”
Muides-sur-Loire (41 ; Loir-et-Cher) un trou ? Hein ?
Un fort en gueule laid anglais terroriste en 1364 ?
Meung-sur-Loire (45 ; Loiret) terrorisé ?
Gibier de potence et autres…
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“Charles etc. (par la grâce de Dieu, roy de France) Savoir faisons atouz presens et avenir que comme pierre et Jehan troin freres de meun sur loire…”
Ces archives du Trésor des Chartes furent instituées par Philippe Auguste, notre sire, au Louvre (75 ; Paris), après la bataille de Fréteval (41 ; Loir-et-Cher) qui vit le 5 juillet 1194 (41 ; Loir-et-Cher) la destruction des archives royales françaises, nomades à l’époque, par les anglais…
Perfide Albion !
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Commerce d’otages chez les Anglais du fort de Muides-sur-Loire avant 1364
Decalvaloy, capitaine anglais, tenait la garnison et le fort de Muides-sur-Loire (41 ; Loir-et-Cher) avec plusieurs autres Anglais de sa compagnie. Pour sauver du pillage les villes du pays, il avait été promis aux Anglais de Muides certaines sommes d’argent.
La ville de Meung-sur-Loire (45 ; Loiret) ne pouvant pas payer ces sommes, il fut décidé de lever une imposition sur les habitants de la ville et, en attendant le paiement, de livrer des otages aux Anglais. Parmi eux, Pierre Troin et Jehan Troin, deux frères de Meung-sur-Loire, et plusieurs autres personnes de cette ville.
Girard Martin, de la paroisse d’Épieds (45 ; Loiret), un autre otage des Anglais du fort de Muides, ne pouvait pas payer sa rançon et n’avait personne qui voulut la payer. Comme les Anglais menaçaient de le pendre s’il ne payait pas, celui-ci requit à Muides à Pierre Troin de se porter garant de sa rançon d’un montant de 37 florins en lui promettant de le dédommager en tout. Pierre Troin, de bonne foi, par pitié et par solidarité envers les gens de son pays, promit aux Anglais de payer la somme de 37 florins et de ramener plus tard Girard Martin au fort de Muides avec l’argent.
Pierre Troin demanda à René Troin, son neveu, de rester prisonnier à la disposition des Anglais à la place de Girard Martin qui put ainsi sortir de prison. Mais libéré, Girard Martin ne retourna pas au fort de Muides avec Pierre Troin, il prit la fuite.
Alors, Pierre Troin alla à Meung-sur-Loire trouver Jehan Martin, le frère de Girard Martin. Jehan Martin remercia Pierre Troin, pour la grâce et l’amour montré envers son frère. Pierre Troin lui demanda alors de lui livrer son frère en fuite contre la rançon qu’il consentait à lui prêter. Jehan Martin, ne sachant pas où se cachait son frère, jura à Pierre Troin de se rendre lui-même aux Anglais comme prisonnier, jusqu’à ce que la somme de 37 florins soit remboursé à Troin.
Cependant Pierre Troin sachant que son neveu était prisonnier et risquait l’exécution sommaire, pour le libérer, il sortit son couteau et en menaça Jehan Martin qu’il emmena ainsi de force et contre son gré à Muides à la place de son frère Girard Martin, pour le livrer prisonnier aux Anglais comme otage à la place de René Troin, son neveu.
Puis Pierre Troin fit vendre des biens que Girard Martin possédait à Meung-sur-Loire, jusqu’à la valeur de la rançon, et il porta l’argent aux Anglais, au fort de Muides. La rançon fut ainsi payée et Jean Martin, otage, fut également rapidement délivré. Il quitta Pierre Troin en toute reconnaissance. Tous ces faits furent consignés par écrit par les deux hommes afin d’éviter toutes contestations futures.
Mais Pierre et Jehan Troin furent pris et emprisonnés sur l’ordre du bailli d’Orléans, et furent accusés d’avoir été compromis avec les Anglais. Ils demandèrent, pour échapper à cette condamnation, l’arbitrage du roi.
Le roi Charles V leur accorda des lettres de grâce et de rémission établies à Paris en octobre 1364.
Archives Nationales : Trésor des chartes, JJ 96, folio 114 verso, N° 335 ; transcription et traduction réalisée par Nicolas Huron, exposées et distribuées à sa conférence localement en l’an 2000-2001.
Une des rares photographies que j’ai pu faire moi-même
de ce magnifique et incroyable Trésor des chartes
que tout français devrait pouvoir avoir chez lui
aux noms de notre Sire.
…
Paris d’Ile de France ?
Vous voulez en être ? en naître ?
Parlaient-ils anglais sur l’île d’Epstein ? d’Einstein ?
Y en a-t-il d’autres, des îles, parlant encore barbare sur cette planète ?