Liste et liens : les toponymes Saint-Hippolyte et Hippolyte…

Pour commencer à comprendre la toponymie à travers

Saint-Hippolyte

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Sinon, lieu par lieu, en géographie descriptive…

voici la liste des églises Saint-Hippolyte et les toponymes Saint-Hippolyte, Hippolyte et dérivés, de Région Centre (et un peu des environs), et leur cartographie, ainsi que les communes et lieux-dits Saint-Hippolyte de France et quelques autres toponymes dérivés (Saint-Hyppolite, etc.) et la cartographie de ces toponymes dans toute la France. Un premier avis cartographique vous en est donné, surtout par chez moi, en Région Centre.

Toponymes France Saint-Hippolyte total

Les toponymes Saint-Hippolyte et autres associés en France listés ci-dessous.

Carte Nicolas Huron

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Cette liste n’est sans doute pas exhaustive, mais cet inventaire demeure toujours en cours. Pour le compléter ou pour comprendre le vôtre : Contact !

Pour commencer à comprendre, bientôt un article :
Frontières antiques : approche du culte de Saint-Hippolyte.

Cela nous parle des saules, de l’osier, de bottes d’osier, de poulains.

C’est très fourragé, militaire, chevalin… voire anguleux à l’encolure,

et assez lithique, voire délité, compressé, sous-jacent, ancien, au pied de…

avec un fort zeste d’administration aristocratique gallo-romaine.

Cela ressemble parfois à un hippocampe…

Les églises Saint-Hippolyte en Région Centre

et aux environs et les toponymes du même nom

Toponymes Centre Saint-Hippolyte frontières

Les églises et toponymes Saint-Hippolyte en Région Centre

Carte Nicolas Huron

Sans les limites des anciens diocèses, cette carte devient difficile à interpréter…

Voir ci-dessous…

Toponymes Centre Saint-Hippolyte

Les églises et toponymes Saint-Hippolyte en Région Centre

Carte Nicolas Huron

Les églises en Région Centre sous le vocable de Saint-Hippolyte

– Dans le Cher (18), nous trouvons historiquement l’abbatiale Saint-Hippolyte de Bourges, disparue, située près des arènes de Léocade, abbatiale que la tradition rapporte comme ayant été installée dans les écuries de Léocade, notable romain converti au christianisme par saint Ursin apôtre de Bourges. Cette abbaye est renseignée comme étant plus ancienne que l’abbaye de Saint-Laurent fondée par sainte Eustadiole, fille de Charlemagne, et même plus ancienne que l’abbaye de la Nef dont l’évêque saint Sulpice, mort en 644, fut abbé, abbaye qui prit son nom. On peut se référer pour cette ancienneté à l’exemple de Chantelle dans l’Allier (voir ci-dessous). Selon les archéologues du XIXe siècle, des traces de murs romains de ses arènes, ou des claveaux romains d’une porte, existaient, au 8, rue des Arènes (C’est peut-être une plaisanterie franc-maçonne ; voir la thèse de Jacques Péricard : Le diocèse de Bourges au Haut Moyen Age de saint Ursin à Audebert : IVe siècle-1097 : essai sur le gouvernement épiscopal et les structures ecclésiastiques en Berry, Lyon, 2004, pdf). On peut raisonnablement dater l’abbaye Saint-Hippolyte de Bourges d’avant la grande ruée des Invasions barbares de 406. Cependant le toponyme Saint-Hippolyte de la dédicace, ou sa suggestion, était peut-être bien plus ancien, car on le rencontre non loin également à Mehun-sur-Yèvre, également sur la rive sud, champêtre, de l’Yèvre. Le lien historique entre les deux n’ayant pas encore été fait, sauf partiellement ici. L’évocation chevaline existe avec la proximité des anciens prés humides, maraîchers et agricoles ou d’élevages avec ses anciennes baignades, au Prado tout proche, toponyme à tiroirs, provenant sans doute, entre autres, du latin pradium, propriété, bien de campagne, biens-fonds, domaine (voir l’exemple ci-dessous de Chantelle dans l’Allier). Le toponyme primitif des Arènes est évidemment très proche de celui de Varenne et évoque les sables des alluvions de la confluence de l’Auron et de l’Yèvre.

C’est un tassement géologique et c’est phonétiquement entendu dans le nom lui-même, comme on peut le constater avec l’étude gréco-romaine de ce toponyme (voir en suite l’explication de ce toponyme et voir le mode d’emploi avec Bernard Saint-Bernard pour confirmation et pour comprendre bien d’autres toponymes). On peut y voir la suggestion géomorphologique de l’encolure d’un cheval, voire de ses liens avec l’homme.

Abbaye Saint-Hippolyte de Bourges 18

– Dans le Cher (18), existe le lieu-dit Saint-Hippolyte, à Mehun-sur-Yèvre, sans doute lié au précédent et situé sur l’autre rive de cette ville, auprès de la Chaussée de César. On sait que les Romains ont repris les dispositifs frontaliers mis en place par les occupants esclavagistes celtes venus d’Europe de l’Est, dits Gaulois, ou consorts d’Asie centrale. Il s’agit sans doute d’un élément toponymique préhistorique d’avant la Guerre des Gaules, et d’un élément de l’organisation de l’Empire romain à la suite de cette guerre, un toponyme pré-chrétien, voire paléochrétien, dont la phonétique semble militairement faune-éthique, cavalière et qu’avals lièrent… Il s’agit aussi d’un tassement géologique avec une suggestion géomorphologique de l’encolure d’un cheval. La christianisation de ce « sintypolithe » l’a conservé intact comme élément de savoir, de connaissance, de jauge et de mesure de l’Histoire de ce terroir comme c’est le cas de presque tous les toponymes. Il est un instrument de mesure de vos intelligences et même potentiellement son poison ou son remède. Cela ne peut s’étudier que charnellement de par le Verbe, le Logos.

Saint-Hippolyte à Mehun-sur-Yèvre 18

– Dans l’Indre-et-Loire (37), le bourg de Saint-Hippolyte, qui est sans doute un toponyme très ancien du même type que le précédent, possède une église Saint-Hippolyte. Il se trouve près de la voie romaine allant de Tours à Lyon, via Châteauroux. C’est la frontière antique entre l’ancien diocèse de Tours (Province romaine de Tours) et l’ancien diocèse de Bourges (province romaine de Lyon) sur la rivière de l’Indre, avant le Berry, Châtillon-sur-Indre et sa tour César. La géomorphologie du relief des lieux ressemble encore à une encolure de cheval avec sa tête et ses liens avec l’homme, à l’est du site. Le légionnaire saint Martin, évangélisateur de la Gaule, est rappelé juste en face, et saint Germain juste en aval. C’est là que Jules César plaça ses légions à la fin de la Guerre des Gaules pour faire front aux turbulents peuples de l’Océan (voir mes découvertes sur les toponymes Limeray, Limérac…).

Saint-Hippolyte 37

Le clocher de l’église Saint-Hippolyte de Saint-Hippolyte (37) semble avoir pour soubassements des pierres dures (non du tuffeau de Touraine, comme le reste, mais de la pierre du Berry) d’une facture et d’une taille faisant penser à un travail romain. Ces traces “romaines”, dont certaines visiblement de récupération, sont identifiables sur d’autres édifices chrétiens catholiques romains du secteur. Fondements…

On pense aux pattes de l’éléphant sur les monnaies de César au début de la Guerre des Gaules. L’éléphant dans la pièce… Pi, est-ce ?

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Le clocher de l’église Saint-Hippolyte à Saint-Hippolyte (Indre-et-Loire, 37)

Photos Nicolas Huron

DSCN3644

– Dans le Loir-et-Cher (41), l’église Saint-Hippolyte d’Oisly (dont j’ai déjà fait, en 1991, une étude d’inventaire de l’histoire et de l’architecture de l’édifice et pour laquelle j’ai produit récemment quelques compléments documentaires et une analyse en toponymie : Oisly, un toponyme unique, vitrifiable, modeste, souverain) était située dans l’ancien diocèse d’Orléans, et avant le IIIe siècle, dans le diocèse de Chartres (province de Sens, dépendant de la province romaine de Lyon). Cet édifice est situé non loin des grandes ruines romaines de Thésée la Romaine, en frontière des trois provinces de Tours, Bourges et Sens. La configuration est assez similaire à celle de Saint-Hippolyte-sur-Dive, église disparue du Poitou, en Maine-et-Loire, située près de Saint-Cyr-en-Bourg, en Poitou, également situé à la frontière de trois anciens diocèses. On trouve en effet, une église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte à Contres, près d’Oisly, qui rappelle un lieu d’autorité et de justice romaine. Les voies romaines sont rappelées avec l’église Saint-Christophe de Couddes, voisine (voir mon approche des toponymes Saint-Christophe), mais aussi par l’église Saint-Germain de Choussy (les toponymes Saint-Germain sont généralement liés à des villages-rues d’installations germaniques), voisine, par celle de Saint-Georges de Thésée (voir mon approche des toponymes Saint-Georges), celle de Saint-Lié de Monthou-sur-Cher, actuellement dédiée à Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte, celle de Saint-Romain-sur-Cher, etc. Un nœud !

Oisly 41 carte

Oisly 41 img571

La vénérable et mémorielle église Saint-Hippolyte d’Oisly (Loir-et-Cher, 41)…

Quelques compléments historiques étonnants dans cet article.

Photo Nicolas Huron

– Dans le Loiret (45), l’église Saint-Hippolyte de Mareau-aux-Prés, reconstruite en 1860, est située sur l’ancienne grande voie romaine d’Orléans à Tours, qui passe sur la rive gauche de la Loire (il n’y avait pas de grande voie romaine sur la rive droite au nord), passant par la traversée du Loiret, par Saint-Hilaire-Saint-Mesmin, par Cléry-Saint-André, etc.. On trouve, et ce n’est pas un hasard, le toponyme de Saint-Fiacre dans le bourg de Mareau-aux-Prés (toponyme Saint-Fiacre, présent aussi dans les environs de l’ancienne vicairie de Chantelle dans l’Allier). Il existe historiquement sur cette paroisse, les écuries de Louis XI à Champremeau, non loin de Cléry-Saint-André, sépulture de ce roi, universelle araigne, en juge des relais de Poste et des services postaux, car sur cette rive sud, les prairies de pâture chevaline sont nombreuses car le coteau, sur lequel est la voie, est assez éloigné, ce qui n’est pas le cas au nord. De plus les forêts de la Sologne voisine étaient humides et principalement occupées de bouleaux et donc de sous-bois fourragers. En ce lieu, la vallée de la Loire est principalement occupée de vergers, de prairies et de cultures maraichères, que de la friandise à canassons. Aujourd’hui, les routes sont surtout au nord de la Loire (à cause de Paris), avec la Nationale, le chemin de fer, l’autoroute, les plateformes de logistiques routières, etc., et va surtout de Paris vers Tours, puis Bordeaux ou Nantes, mais autrefois, au sud, cette voie remontait surtout vers la Germanie, pour faire face aux barbares, avec ses lots de ravitaillements, d’armements, d’esclaves, de petits cris de filles de « raies publiques », d’ados muant leur voix en celle de soldats prétentieusement « mercenaires » propre à l’alimentation vorace et féroce du cannibalisme barbare, de bœufs, d’ânes bâtés, de mules et de muletiers, et de chevaux pour les liaisons dangereuses. Bref, le « triste » petit commerce… habituel nomade.

Mareau-aux-Prés 45

– Dans le Maine-et-Loire (49), l’église Saint-Hippolyte de Saint-Hippolyte-sur-Dive, disparue pendant la Terreur révolutionnaire, était située près d’un grand site gallo-romain du Poitou, près d’un ancien bac et d’un ancien pont, en frontière antique entre le Poitou, la Touraine et l’Anjou. C’est un site de prairie humide, de vergers de hauteurs (aujourd’hui en vignes), de terres basses sableuses maraichères et de baignades. La présence de l’autorité aristocratique romaine est notamment documentée par le toponyme de Saint-Cyr-en-Bourg et par bien d’autres noms de lieux d’évocation militaire (voir mon étude en cours sur le sujet et se rapporter à mon étude d’inventaire des noms de lieux d’Artannes-sur-Thouet). Ce toponyme est vraiment inscrit dans de la phonétique faune-éthique préhistorique, puisque cette frontière était déjà une frontière entre peuples gaulois pendant l’Âge du Fer, séparant les peuples des Andes, des Turons et des Pictons. Hies pique-t-on ? Y pique ton ? Hippiques taons ?

La Dive à Saint-Hippolyte-sur-Dive transformée en canal industriel au XIXe siècle

avec l’ancien grand site gallo-romain à droite et le Thouet derrière

Photo Nicolas Huron

Saint-Hippolyte-sur-Dive est un tassement géologique multiple : le Thouet, la Dive, la Gravelle, et même la Loire qui en cas de crue remonte curieusement ses limons jusque-là (voir mon témoignage et mes photos), avec en plus les sables et argiles du Massif Armoricain, ceux du Massif Central, le tout assaisonné au calcaire du Turonien, aux crottins, aux bouses, aux feuilles d’automne, etc., sans parler des effets et reliefs du commerce romain (tannerie, végétaux un peu space, poix, pois, poids, plombs, bronze, argent, maux nés, etc., tuileries où les tuiles rient, poteries avec potes rient, et les sangs des apôtres hauts pâtres, etc.), voire des industries du XIXe siècle, de l’agronomie américaine INRA des années 60, etc. Un délice ! Divin ! Avec le tout, êtes-vous vraiment vous-mêmes ? Chargé ?

J’y ai rencontré un amateur qui a trouvé les parcelles curieusement électromagnétiques, il y a peu. Bizarre ? Bise art… Quel haut gueux zzzz, Kelloggs…, un genre orthographique.

Saint-Hippolyte-sur-Dive 49

Extrait de mon étude sur les noms de lieux d’Artannes-sur-Thouet (pdf)

Schéma cartographique de Nicolas Huron d’après Cassini

Nicolas-Huron-Toponymie-Artannes-sur-Thouet(49)072

Emplacement du grand site gallo-romain de Saint-Hippolyte-sur-Dive, page 70

de mon étude d’inventaire des noms de lieux de la commune d’Artannes-sur-Thouet.

Schéma cartographique de Nicolas Huron

– Dans la Sarthe (72), le toponyme Saint-Hippolyte de Saint-Germain-d’Arcé, situé dans l’ancien diocèse d’Angers, rappelle la présence d’un ancien prieuré dont l’un des derniers prieurs était Me Michel Auvray (Le Net a trouvé cela tout seul ?). Le site est situé, comme de très nombreux toponymes Saint-Hippolyte, au pied d’un coteau, près de prairies de verts pâturages engraissés et amendés par l’érosion des roches surélevées. La courbure de cet angle évoque verticalement, et parfois même horizontalement, selon le relief, l’encolure du cheval. Sur cet exemple, il semble s’agir des deux suggestions géomorphologiques. Le site est situé non loin de la grande voie romaine reliant Rennes à Tours, via Laval. Il est près du grand carrefour de frontière antique de Château-la-Vallière (37) en frontière antique entre les trois diocèses d’Angers, du Mans et de Tours. L’association avec Saint-Germain est encore à remarquer là.

Saint-Hippolyte à Saint-Germain-d'Arcé 72

Saint-Hippolyte à Saint-Germain-d'Arcé 72 voie

– Dans l’Allier (03), auprès de l’angle formé par la rivière de l’Allier, l’église Saint-Hippolyte du Veurdre (canton de Lurcy-Lévis) semble être la seule église subsistante de l’ancien diocèse de Bourges portant ce vocable. De l’autre côté de la frontière antique, dans le diocèse de Nevers, on trouve la commune voisine de Château-sur-Allier, localité à partir de laquelle, le diocèse de Nevers, le Nivernais, est positionné aussi sur la rive gauche de l’Allier, puis de la Loire. Auprès du Veurdre, Jacques Péricard y a trouvé des traces de démembrement par Pouzy (Pouzy-Mésangy) et Neure indiquant une circonscription romaine plus vaste que la paroisse actuelle elle-même. Les vestiges romains y sont nombreux autour de ce carrefour de voies romaines terrestres et fluviales de frontière antique entre le diocèse de Bourges (principauté) et celui de Nevers (principauté de Lyon). Des sarcophages y ont été trouvés à l’emplacement d’une ancienne chapelle. Cette église Saint-Hippolyte dépendait de l’abbaye bénédictine de Savigny réputée fondée au IXe siècle à Savigny, dans le département du Rhône (69).

Le Veurdre 03

– Dans l’Allier (03), mais que je n’ai pas cartographiée ici, à la frontière entre l’ancienne nation gauloise des Bituriges (jusqu’au Col de Naves) et l’Auvergne (Charroux), on trouvait une église Saint-Hippolyte à Chantelle-la-Vieille, actuellement sur la commune de Monestier, entre Montluçon et Roanne. Cet édifice roman ou pré-roman est mentionné en 1158 : ecclesia Sancti Ypoliti de Cantella Vetere (bulle du pape Adrien IV ; CHAIX de LAVARENE, Correspondance, n°151 ; voir la thèse de Jacques Péricard : LE DIOCESE DE BOURGES AU HAUT MOYEN AGE DE SAINT URSIN A AUDEBERD – IVème s. – 1097). Cette église disparue est mentionnée dans le même document que l’église toujours existante de Saint-Pourçain de Monestier : ecclesia de Sancti Portiani de Monasterio.

Précisons ici que ces mentions latines de 1158 sont une interprétation cléricale de l’époque, une traduction en latin médiéval du phrasé ancien phonétique « Chantellavieil » qui doit être dépecé, notamment au travers du latin (avec avere, avia, avis, etc.), mais surtout à travers le grec ancien et les langues gauloises (avec aui-, désir, etc.), par toponymie comparative (par exemple avec Ainay-le-Vieil dans le Cher, qui peut s’aborder avec ce lien présentant deux mots, ἐν·ελαύνω et ἐν·ελίσσω : https://bailly.app/enel- et, de là, avec ce préfixe en suffixe : αει… à y copier-coller) tout en gardant la piste de «cantill-», chant d’eau, fusionné à chants d’oiseaux, quand hante -ille, avec toute la poésie descriptive géologique et géomorphologique que cela peut contenir… de sirènes et de cire haine…

Situés auprès d’une ancienne voie d’importance romaine, ces lieux abritaient un domaine aristocratique romain visité par Sidoine Apollinaire au Ve siècle, sur la demande d’un homme illustre, Germanicus, et où, selon sa correspondance, existait déjà une ecclesia, édifice et communauté chrétiens catholiques romains (Epist. 4, 13, 1 : Nuper rogatu Germanici spectabilis uiri Cantillensem ecclesiam inspexi… ; voir la thèse de Madame Lucie Desbrosses : Sidoine Apollinaire et la Gaule chrétienne au Ve siècle, page 45 ; le passage est habituellement traduit par : «Dernièrement, à la prière de Germanicus, homme recommandable, j’ai visité l’église de Cantèle»). Les historiens localisent cet communauté à Chantelle-la-Vieille, mais cela n’est pas forcément une évidence. De plus le mot ecclesia désignait encore à l’époque une assemblée (en référence à un théâtre grec, comme le méandre de Chantelle), moquerie typiquement anti-grecque, Rome ayant déjà soumis la Grèce et sa graisse… et qu’il ne s’agissait pas forcément d’un édifice tel qu’on peut se l’imaginer aujourd’hui. Le méandre de Chantelle, avec son abbaye me paraissent un choix typiquement romain, de camp ou de prison, un -isme, un isthme, Un « hisse ma » aile de poule d’eau, avec sa forme en cul de four, facile à garder, avec un gros abrupt pour y jeter quelques déchets ou encombrants d’inspiration spartiates ou, pire, à la tête retournée comme une chouette…, voire quelques anges ou angelots, avec quelques vols de colombes, dans le croissant de lune des alluvions pollués de ce méandre serré, où vivaient quelques écrevisses transparentes, tendres et comestibles qu’il faut bien nourrir… pour quelques bonnes tables romaines. L’église chantellaise, Cantillensem ecclesiam, un élevage d’esclaves, bêtes, chevaux et hommes ? L’église Saint-Hippolyte de Chantelle-la-Vieille n’en a probablement été que la marque, celle d’une christianisation similaire à celle de Bourges (voir plus haut).

A voir sur Géoportail et sur place… avec tous ses gués gais

pour s’en faire chatouiller les orteils… avec serviettes citronnées

pour s’y essuyer des mollusques d’eau douce et autres dentifrices…

Le site de Chantelle est contourné par le Bouble, et celui de Chantelle-la-Vieille se trouve au bord du Bouble, dans la plaine alluviale érodée et peut profiter du Musant à l’Est, avec coteaux et prairies alluviales propres (sans doute pour s’en laver… C’est à Muses en…). Chantelle-la-Vieille est en amont de Chantelle, ce qui peut se comprendre aussi généalogiquement, et son abbaye Saint-Vincent qui en appelle à la viticulture de sauvegarde (voir mon début d’investigations des toponymes Saint-Vincent), car ces lieux, en bas, sont un peu assaisonnés par l’érosion de Chirat-l’Eglise et de son dé-mont (kaolin…) du Puy de Juillat et de sa Fontaine de Sainte-Colette, du Champ de Marie, etc. Une citerne et un gigantesque chai y furent sans doute plus que nécessaire au Moyen Age chrétien catholique romain. Et aujourd’hui ?

Syn- vains sangs de Chantelle ? Le lieu rappelle géographiquement, de toute évidence, une luette de par son relief. Avec la tête un Peu penchée, c’est plus convaincant… Chante-T-elle encore pour appeler les chevaux dans ce pré si pisse ? L’écheveau ? Oooh, mes gars… Ω, ω (ὦ μέγα) oméga (litt. grand ô) 24e lettre de l’alphabet grec, comme chiffre ωʹ = 800 ; ͵ω = 800 000.

Cette luette chante-t-elle vers les Saintes-Maries-de-la-Mer et les Bouches du Rhône ? Oui ! Prenez votre petit rapporteur d’ang(l)es et vérifiez. Moi, je l’ai déjà fait !

A en croire le Delta du Nil… le monde est à l’envers ! J. C. vous le dit encore…

C’est clerc ou c’est clair ? C clair s’éclaire ? Au-dessus de la grande langue de

la forêt de l’abbaye de Giverzat… sur Deneuille-lès-Chantelle.

Deux nœuds œil ? Sang doux te… sans doute !

Le vallon du Musant semble beaucoup plus érodé que les vallons voisins et nous pouvons y voir les traces d’une grande descente de chevaux, mais aussi les traces d’une barrière avec deux passages. Cela semble remarquablement visible comme on peut le découvrir aussi dans mon rapport sur le toponyme de Courtevraud et ses descentes associées aux abreuvoirs scintillants et miroitant. Pour enfin comprendre ma faune-éthique phonétique… :

Hiiiii, pol, pol, pol, p’eau’l, Paul, it’

Film western complet français Chino Charles Bronson – YouTube

à voir et à entendre à 21:08 avec comme son supplémentaire

en même temps celui-ci : Bellac plage – YouTube

vidéo où on peut voir les chevaux oxygéner l’eau saumâtre.

Hiiiii, pol, pol, pol, p’eau’l, Paul, it’

C’est un panse bête… car le suffixe « -it » évoque l’osier purificateur, mais aussi les barrières et les boucliers, faune-éthique de clapotement rappelé par la rivière de la Bouble dont les méandres enserrent l’abbaye Saint-Vincent de Chantelle, et par la rivière du Boublon, plus au sud, deux hydronymes assimilables en toponymie à Byble, à Buble, à Bible…, OU, U, I, Y étant assez interchangeables en pré-grec comme j’ai pu le découvrir, à travers de nombreuses études de sites, et par l’héritage laissé par ROMA et VIVA IT’ALIA, une portion de prairie humide du Latium qui donna son nom à toute la botte par les conquêtes de Rome, de ses chevaliers et de ses chevaux liés.

Tous les chemins mènent à Rome, mais l’Égypte n’est pas loin…

Voyez-y par vous-mêmes quelques traces de sabots !

Très curieusement un tassement alluvial très très piétiné…

Le relief en bas à gauche est très intéressant pour les Chinois… prude hanse… avec

ses cosmétiques des Causses mes tiques, les papiers des pas pillés, le verre des verts…

Les chevaux ? Les vaches ? Un glacier ? Une activité particulière ? Une faille ?

Ce n’est guère par chez moi… Mais faites l’enquête en quête de…

rareté dans ce secteur trait minéralier !

Monestier (Allier, 03)

Ah lu mini homme

aux silicates d’aluminium,

poison et remède en même temps ?

que semblent avoir éviter les chevaux et leurs maîtres…

comme le montrent si bien les cartes de la cartographie ordonnée par Louis XIV.

C’est plus lisible que la veule et traitresse carte de Peutinger, de facture allemande,

avec marques de pertes de temps autant que d’hommes, et avec traces de tampons…

Les Saint-Hippolyte en France

Toponymes France Saint-Hippolyte total

Les toponymes Saint-Hippolyte et autres associés en France détaillés ci-dessous.

Carte Nicolas Huron

Les 13 communes Saint-Hippolyte et avec Saint-Hippolyte

8 chefs-lieux de commune portent le nom de Saint-Hippolyte en France, une dans chacun des départements suivants : Aveyron (12), Cantal (15), Charente-Maritime (17), Doubs (25), Gironde (33), Indre-et-Loire (37), Pyrénées-Orientales (66), Haut-Rhin (68).

Enquête avec Géoportail et sur le terrain !

Auxquels, il faut ajouter Montaignac-Saint-Hippolyte, en Corrèze (19), Saint-Hippolyte-de-Caton, dans le Gard (30), Saint-Hippolyte-de-Montaigu, dans le Gard (30), Saint-Hippolyte-du-Fort, dans le Gard (30), Saint-Hippolyte-de-Graveyron, dans le Vaucluse (84). Tous avec des compléments forts, graves et bien montés.

Enquête avec Géoportail et sur le terrain !

Ces communes sont surtout situées non loin de nœuds de communication et sont sans doute liées à des ravitaillements militaires anciens aristocratiques et à des frontières antiques, voir préhistoriques : descente des Vosges entre la partie germanique et la partie romanisée ; Couloir de Belfort ; frontière d’avec le Berry, entre le nord et le sud, en Touraine ; proximité de l’Ile d’Oléron et du port de la Rochelle en plein milieu de la façade atlantique ; proximité avec la Gironde ; descentes du Massif Central ; débouché du couloir rhodanien ; passage des Pyrénées en proximité de la Méditerranée. On pense immanquablement à la cavalerie fraiche de Jules César, secrètement préparée, lors de sa remontée vers le nord et de son échappée mystérieuse sur le Rhône, pendant que ses légions tentaient avec le jeune Brutus, la traversée du Massif Central dans les neiges de l’hiver 52 avant Jésus Christ (Guerre des Gaules, livre VII, 8-9).

Toponymes France Saint-Hippolyte communes

Les chefs-lieux de commune Saint-Hippolyte ou avec ce phrasé.

Carte Nicolas Huron

Les lieux-dits Saint-Hippolyte ou avec ce phrasé

Bois Communal de Saint-Hippolyte et Forêt de Saint-Hippolyte, sur la commune de Saint-Hippolyte (Haut-Rhin, 68) ; Bois de l’Hôpital Saint-Hippolyte, et Tranchée de Saint-Hippolyte, sur la commune de Mouilly (Meuse, 55) ; Bois Saint-Hippolyte, sur la commune de Névache (Hautes-Alpes, 05) ; Brise-Charges de Saint-Hippolyte, et Galerie de Saint-Hippolyte, sur la commune de Venelles (Bouches-du-Rhône, 13) ; Butte de Saint-Hippolyte, sur la commune de Saint-Germain-d’Arcé (Sarthe, 72 ; voir plus haut) ; Chapelle Saint-Hippolyte, sur la commune de Theizé (Rhône, 69) ; Côte de Saint-Hippolyte, sur la commune de Montandon (Doubs, 25) ; Croix Saint-Hippolyte, sur la commune de la Rivière-de-Corps (Aube, 10) ; Fontaine Saint-Hippolyte, sur la commune de Brieulles-sur-Meuse (Meuse, 55) ; Noue Saint-Hippolyte, sur la commune de Courcy (Marne, 51) ; Puy de Saint-Hippolyte, sur la commune de Vic-le-Comte et d’Yronde-et-Buron (Puy-de-Dôme, 63) qui a une forme volcanique d’hippocampe ; Ruisseau de Saint-Hippolyte, sur la commune de Narbonne (Aude, 11) site remarquable qui semble géographiquement plutôt un fleuve se jetant dans la mer par l’Anse de Galère via l’Étang de Bages et de Sigean ;  Source de Saint-Hippolyte, sur la commune de Rumont (Meuse, 55) ; Tour Saint-Hippolyte, sur la commune de Crémieu (Isère, 38) un bien démonstratif tassement géologique, à l’est de Lyon, situé sur une voie romaine d’évitement du Rhône ; Vieux Saint-Hippolyte, sur la commune de Saint-Hippolyte-du-Fort (Gard, 30).

Enquête avec Géoportail et sur le terrain !

Saint-Hyppolyte, sur les communes de : Agel (Hérault, 34) ; Almenêches (Orne, 61) ; Arles (Bouches-du-Rhône, 13) ; Bazas (Gironde, 33) ; Béziers (Hérault, 34) ; Bonnay (Saône-et-Loire, 71) ; Bouloc (Tarn-et-Garonne, 82) ; Castres (Tarn-et-Garonne, 82) ; Châtelguyon (Puy-de-Dôme, 63) ; Chuzelles (Isère, 38) ; Damiatte (Tarn, 81) ; Duban-Corbières (Aude, 11) ; Fiac (Tarn, 81) ; Gimont (Gers, 32) ; Laurac-en-Vivarais (Ardèche, 07) ; Limans (Alpes-de-Haute-Provence, 04) ; Marquefave (Haute-Garonne, 31) ; Marolles (Calvados, 14) ; Monestié (Tarn, 81) ; Montjaux (Aveyron, 12) ; Montaignac-Saint-Hippolyte (Corrèze, 19) ; Narbonne (Aude, 11) ; Névache (Hautes-Alpes, 05) ; Peyrefite-sur-l’Hers (Aude, 11) ; Ronel (Tarn, 81) ; Saint-Amans (Aude, 11) ; Saint-Germain-d’Arcé (Sarthe, 72 ; voir plus haut) ; Saint-Martin-de-Queyrières (Hautes-Alpes, 05) ; Scionzier (Haute-Savoie, 74) ; Venelles (Bouches-du-Rhône, 13) ; Villemade (Tarn-et-Garonne, 82).

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Où ?

Ou biens : Contact !

Toponymes France Saint-Hippolyte communes et lieux-dits

Les lieux-dits Saint-Hippolyte ou avec ce phrasé

Carte Nicolas Huron

Les lieux-dits Hippolyte ou avec ce phrasé

Carrefour d’Hippolyte, et Route Hippolyte, sur la commune de Fontainebleau, en Seine-et-Marne (77).

Carrefour Hippolyte, sur la commune de Lacroix-Saint-Ouen, dans l’Oise (60).

Chalet Hippolyte, sur la commune de Laurabuc, dans l’Aude (11).

Hippolyte, enclave de la commune d’Aren, dans les Pyrénées-Atlantiques (64).

Hyppolite les Caromb, nom révolutionnaire de la commune de Saint-Hyppolite-le-Graveyron, dans le Vaucluse (84).

Layon Hippolyte, sur la commune de Frières-Faillouël, dans l’Aisne (02).

Le Grand Hippolyte, sur la commune de la Tranclière, dans l’Ain (01).

Roche Hippolyte Pic, sur la commune de Pelvoux et de Villar-d’Arêne, dans les Hautes-Alpes (05) au-dessus de la courbe du Glacier Blanc, crête crinière voyant comme l’encolure d’un immense cheval blanc, dont le lien à l’homme est à la Barre des Écrins.

Route Hippolyte, sur la commune de Compiègne, dans l’Oise (60).

Enquête avec Géoportail et sur le terrain !

Toponymes France Hippolyte 2

Les lieux-dits Hippolyte ou avec ce phrasé

Carte Nicolas Huron

L’orthographe Hyppolite et Hypolite en France

Saint-Hyppolite, avec le Manoir du même nom, sur la commune de Saint-Martin-de-la-Lieue, et la Cour Saint-Hyppolite, sur la commune de Saint-Désir, dans le Calvados (41).

Chêne Hyppolite, sur la commune de la Ferté-Macé, dans l’Orne (61).

Hyppolite, sur la commune de Momas, dans les Pyrénées-Atlantiques (64).

Hypolite, sur la commune de Lurs, dans les Alpes-de-Haute-Provence (04).

Il semble s’agir de marges, peut-être anciennement revendicatrices, nous permettant d’inaugurer, avec ce phrasé, la phonétique préhistorique, faune-éthique ou gréco-romaine.

Enquête avec Géoportail et sur le terrain !

Toponymes France Hypp Hyp

L’orthographe Hyppolite et Hypolite en France

Carte Nicolas Huron

A propos de chevaux, signalons que l’église Saint-Hippolyte à Paris est totalement liée à Hippolyte Panhard et ses automobiles, mais qu’une présence plus ancienne…

Qui se ressemblent s’assemblent… et,

tous laids chemins mènent à Rome.

Art homme !

Où ?

Ou biens : Contact !

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