Chasse(s) d’eaux…
Robert Huron
Entendre c’est comprendre à sa façon. L’écrire ne fait que noter cette façon…
Un parti pris, une part(ie) y prise… voir(e) le monde dans son entièreté…
par(T) et pour Robert Huron, mon oncle, frère aîné de mon père,
chasseur émérite… fidèle à son terroir, enterré à Menars.
Gras halle ? Gras all ?
Top honni mis ? Toponymie !
Ah, les bouseux du Loir-et-Cher… vous souhaitent bon courage !
A vous de tout vérifier pour tout déminer…
Je peux y aider. C’est très technique…
En êtes-vous bien ins-truites
de par votre sang ?
Et mes roberts ?
Nichons ? Nichons ! Nie Chonchon…
Des seins ? Des seings ? Des ceints ? Des sains ? Des saints ? Dessin ? Dessein !
((( … d’essaims sans vous… )))
…
…
Non ? Nom ! Car c’est à vous de faire le bouleau… ?
pour vous en torcher la c…
voire faire le point…
individuellement.
Avec l’aide d’un spécialiste instruit car Un instruit…
sachant qu’une forêt peut être utilement bibliothèque… et pas que…
Saint-Robert est le seul toponyme de ce type en Région Centre, il en existe d’autres qui permettent de vérifier et de confirmer cette nouvelle écriture et ces anciens sens géologiques qui font penser un peu à des rêves aborigènes mal orthographiés… Seulement, ici, c’est bien plus riche, d’où toutes ces usurpations de votre nomadisme exterminateur de toute vie sur Terre et sur terre, et même en mer et en mère…
Marie France… Lange avec un trait d’union légitimement !
Bouc, book, bout queue ? Livret livré !
Un peu de cils à biques ? de s’il… a Bic en investissement !
Robert Huron, qui fut mon oncle, fut le premier fils de mon grand-père Ernest, dont je porte aussi le prénom (Nicolas, Guy, Ernest, Huron), boucher d’Herbault (Loir-et-Cher ; 41) décédé prématurément, et dont l’office fut tenu par sa femme, ma grand-mère Fernande Huron, née Couty, car elle était couturière… Son nom, Robert, fut choisi en rapport avec le métier de boucher, son sang depuis des générations, et les tanneries de Château-Renault (Indre-et-Loire ; 37) situées non loin d’Herbault, du côté de la Touraine. Ce prénom, mnémotechnique, Robert, robe air… évoque le fait de souffler sous la peau, la robe, de la vache de réforme abattue, pour la décoller de la chair.
Son second fils, Ernest Huron, mon grand-père, le baptisa Maurice… Je vous laisse prendre un crayon et une gomme… Son troisième fils, qui est mon père, il le baptisa Bernard… Essayez ! Son quatrième fils, il le baptisa, Pierre, surnommé Pierrot… Un nom de merlin ? de pierre à aiguiser ? Pierrot, le cadet des fils de la famille de la boucherie d’Herbault, devint horloger bijoutier à Reims où sa boutique fut régulièrement dévalisée… par qui vous savez, sachant que dans Pierre, il y a hier, -ière, qui signifie « sacrée », et, que Pi, la lettre, pour la ventouse biberonne, est représentée comme un tabouret de traite (des blanches ?)… et rappelant que le lait est un antipoison (contre la radio activité, l’activité radio qui reste un anti-poissons et un exterminateur de toute vie sur Terre ?).
Exploitation agricole, puis hangars à machines, ma Chine, puis… ?
Moule Hun à mesquines ? Putes à haines, à N. ? Pus ta aine… ? Pue, t’as et nœuds ?
Les Huron étaient originaires de Trôo (Loir-et-Cher ; 41). Cette famille de bouchers qui est mienne, par le sang, avant les Années folles, et leurs antennes qui hantent (h)aines (violent ?), n’avait généralement qu’un fils qui de génération en génération, portait alternativement le nom d’Edmond, ou d’Ernest, selon ma grand-mère, Yvonne Depussay, née Gravereau, qui fournissait, avec son mari, Guy Depussay, maire de Françay et paysan, puis fermier, puis agriculteur, à la Guillaumière (une implosion qui se visite…) les vaches de réforme à la boucherie d’Herbault, et même son lait… Ma mère, Marie-Claude Depussay, leur fille, se maria avec mon père Bernard Huron, avec l’aval de Guy.
Sachez que là, si vous ne comprenez plus rien,
ou si vous faites semblant…voire pire,
c’est que vous avez déjà été abattu…
avec étourdissement indispensable
auparavant au paravent…
(((((( HURON ))))))
et
tour,
Tours,
dit ce m’en…
et tout redit semant…
…
Huron est un nom de boucher et de sapeur d’origine percheronne, Trôo étant une ville fortifiée haute avec troglodytes en dessous, et le Perche étant un bocage d’élevage, et ceci depuis des siècles et depuis les Siècles des Siècles : H Ur (auroch) On ! Personne d’autre n’a le droit de tuer les bêtes, c’est écrit dans la Loi. C’est une question de propreté que les lépreux (dit Hébreux en Égypte ancienne) ont sciemment oublié… si amants…
Comme les islamistes et autres musulmans évangélistes « chrétiens »
qui ont oublié que la vraie Mec(que), c’était Pétra en Jordanie,
selon les archéologues allemands et français et notre géographie,
par le témoignage et l’Histoire de Jésus Christ, Notre Sauveur,
et les bibliothèques publiques de César, comme ici même,
que Petrus a été choisi comme nom pour Simon Pierre,
il est parfaitement inutile de le leur rappeler…
d’eux le leurre rappe Laye, Lée…
Laids, lait, les…
…
!
sachant qu’en code barre, QR code, voire en idéogramme chinois oublieux de la syllabique
voire en ydd’ich, la langue de Mammon, dite en gueux liche… que je ne parle pas…
je crois que live et life, et pas qu’eux, commencent par leur préfixe « lie«
Like ! End, hand and Indias bye by… bike…
…
L’abattoir d’Herbault, installé par ma famille, avec son petit étang ancien rempli de perches carnassières, avec ses berges à aulnes, près de la Bernardière, est aujourd’hui, tenu par un petit-fils… de ce boucher familial, électricien. Bon courage…
Cet abattoir était autrefois situé dans la paroisse de Santenay, mais ces terres furent prises à cette paroisse, parce que le bourg d’Herbault était un peu décalé à l’Ouest de son territoire (voir mon étude à ce sujet). Sang tenait… à un recentrage ?
C’est situé sur une ancienne limite définie par Jules César, pendant la Guerre des Gaules, entre le diocèse romain de Tours, où, d’après César, se tiennent les peuples « agités » de l’Océan, et la partie totalement exterminée et civilisée par Rome, l’ancien pays des Carnutes, l’ancien diocèse de Chartres, nom qui signifie « prisons » (dans son angle nord-ouest), diocèse coupé en deux, par Rome, à cause de sa taille et de la puissance de ce pays chartrain, avec la création du diocèse d’Orléans au IIIe siècle, puis amputé de son Blésois, avec la création du diocèse de Blois, par Louis XIV en 1697, création qui fut à l’origine de l’usurpation « républicaine » de la création de l’entité géographique bancale, irréfléchie et répressive du Loir-et-Cher. Une question ? Surnom de « torture » au Moyen Age… Un changement vers le non-sens ? Oui, oui, onomatopée d’aboiements qui en gaulois désignait le mouton et qui peut se décliner au féminin, avec une autre terminaison : Wouah ! Oui, qui semble son génitif, « mouton » qui porte bien d’autres sens, était le nom d’un bélier châtré, mené par de petits chiens menés par des oui, oui, animal qui était engraissé puis égorgé (à la place de leur fils ?) ou donné proprement à la boucherie. Si, si ! Cire !
Non ? Nom ! Car c’est à vous de faire le bouleau… ?
pour vous en torcher le c…
voire faire le point…
en famille.
Avec l’aide de spécialistes instruits car Hun se truies…
sachant qu’une forêt peut être utilement fourragère… et pas que…
Les Roberts sur Fontenay (36 ; Eure-et-Loir) ?
Qui pourrait douter, d’août et… ? À voir sur Géoportail.
…
La Saint-Robert sur Sainte-Foy (85 ; Vendée) ?
À Sainte-Foy ? À voir sur Géoportail.
…
Saint-Robert (19 ; Corrèze) ?
Près de Saint-Maurice ? À voir sur Géoportail.
…
La Robertière sur Sorel-Moussel (28 ; Eure-et-Loir) ?
La Ro-Ber-T’y-illère en petites eaux sacrées ? La robe erre t’y aire ?
Sachant que c’est évidemment une famille toponymique surtout du sud… plus sec.
Pour bien d’autres…
À voir sur Géoportail…
et avec moi et mon expérience…
pour plus d’informations…
…
