Diplomatique : charte de franchises de Chârost (18) en 1194

Privilèges accordés en 1194 à une vile ville livrée au pillage anglais

et autres empoisonneurs, spéculateurs, usuriers, banquiers, etc. nomades non genrés,

par leurs seigneurs « vacanciers » et marchands attirés par l’or riant…

Vive Richard Cœur de Lion et Philippe Auguste, rois des Gaules !

Article complexe en cours de construction

pour démontrer que votre intellect ne peut plus suivre…

Pour entrevoir un peu la vérité sur

la véritable origine religieuse

de la critique scientifique…

Des doutes ? Cadeaux de révélations infinies !

La diplomatique est une science annexe critique de l’Histoire. A l’origine, elle étudie les diplômes, actes généralement carolingiens, pour les comprendre, mais surtout pour y vérifier la véracité et l’authenticité des actes juridiques servant d’actes de propriétés des biens fonciers des seigneuries laïques ou ecclésiastiques. Cette science fut inventée par les moines de la congrégation de Saint-Maur au XVIIe siècle avec et sous la protection du roi de France Louis XIV. Les moines de cette congrégation, appelés généralement “dom” (Dom Jean Mabillon, le fondateur de la diplomatique, dom Ruinart, dom Bernard de Montfaucon, dom Laurent-Henri Cottineau, un des artisans, Dom Pérignon, etc.), étaient déjà pourchassés par les pillards bourgeois ou protestants, voire anglicans, par les spéculateurs et courtiers reitres allemands, et par les familles seigneuriales illégitimes opposées au roi et ainsi à leur propre légitimité. Ces grands savants, aventuriers européens, recopiaient les diplômes, les chartes, les actes anciens, les préservaient et les éditaient, se réfugiaient dans les abbayes, passant de monastère en monastère… C’était des hommes de terrain, de vrais européens, trempés à l’école la plus dure, mais la plus solide en matière de critique de la légitimité de l’information du siècle et de ses mondes… en connaissance de causes.

Coaching cérébral intense à faire à tête reposée

sans radios-activités ou en s’en protégeant

(((pour garder la tête sur les épaules.)))

Enchevêtrements protocolaires de

diplomatique, science historique

du Grand Siècle du Roi Louis XIV,

chaudron ou mesure des temps :

“Noverint universi  praesentes, pariter et futuri, quod

ego Gaulterius Dominus Karoffii donavi et confirmavi…”

et tout le reste qui ((((( Y ))))) racle un peu…

pour comprendre le monde d’aujourd’hui

et dont vous pouvez suivre l’élaboration

petit à petit, voire petitement,

pour l’avenir de : “Tousse !”, de tous, de tout ce…,

Vous êtes aux cieux de l’abbaye de Saint-Maur-sur-Loire (49 ; Le Thoureil).

Vous êtes aussi yeux de l’abbaye de Saint-Maur

dans son décor ligérien, le tout raille…

A voir, en Loire, au tout rail

<=  Bleu sur bleu… =>

où on re-respire l’eau sacrée qui s’y écoule et s’y évapore…

Photo Nicolas Huron

Agence de voyage

en Terre Sainte

d’Issoudun pour Chârost

avec sa fameuse charte de Franchises

de 1194, après la Croisade.

Le seigneur et ses bourgeois

et les sous à riz oriental ?

Privilèges accordés ?

Oui, sire ! avec

obligations de prudence…

vidimées au moins puissance 3…

pour les héritiers et habitants restés sur place

Le texte de 1194 de Gautier, seigneur de Chârost, cette dite charte de franchises, elle-même une copie d’un acte produit pour ses sujets par le seigneur d’Issoudun, Odo (traduit par Eudes III), est connue grâce à ses vidimus.

Un vidimus est une copie “certifiée” dont le texte original, est complété par le seigneur, le roi ou par l’éditeur, avec des rajouts de protocoles initiaux et finaux, et dont le tout est de nouveau certifié et signé, ou validé, par l’autorité de rigueur.

La charte de franchises de Chârost a été vidimées plusieurs fois : par le roi de France Philippe IV le Bel, en 1290 vers la fin de la multiplicité des chartes du siècle d’or sans famine de la France au temps de la prédation bourgeoise sur les campagnes et à la fin de la sacralité des propriétés foncières agricoles ; par le roi de France Charles VII, en mars 1450, après le décès d’Agnès Sorel et juste avant l’affaire des fausses accusations envers Jacques Cœur (inventeur des chaînes de supermarchés urbains) et la prise et la diffusion de son commerce international par la noblesse et la bourgeoisie ; par privilèges accordés par Louis XIV à travers l’édition imprimée des Coutumes du Berry par le célèbre Thaumas de la Thaumssière vers 1679 ; par le jeune roi Louis XV, encore adolescent et totalement manipulable, en 1724, 9 ans après le décès de Louis XIV, à travers l’édition du Nouveau Coutumier Général ; encore par Louis XV, un an après l’annexion de la Corse, l’année de naissance de Napoléon Ier, par l’édition à l’imprimerie royale en 1769 des ordonnances des rois de France, sachant que moins de 10 ans plus tard presque plus personne n’obéissait plus aux ordonnances royales (je pourrai faire la preuve par un article et chacun pourra vérifier dans sa commune…) ; par un savant érudit en 1879, Louis Cartier de Saint-René, historien local, forcément républicain, donc membre consentant ou non de la secte ottomane franc-maçonne autrichienne ou anglaise, qui produisit l’Histoire du duché-pairie de Chârost ; par les inventaires de monsieur Bernard Chevalier, historien médiéviste local de l’Université de Tours, édités en 1993 qui avait déjà commencé ses cours sur la Chine (?) à cette époque que j’ai vécu à Tours, ville qui a détruit tout le patrimoine artistique local paysan, ecclesiastique et noble en se faisant passer pour représentante du Tiers État paysan et artisan (c’est récurrent avec le Congrès de Tours…)  ; par la réédition de 2009, d’Alice Lyner éditions de l’ouvrage de 1879, pendant les invasions anglaises liées au tourisme dont j’ai été témoin dans les campagnes (montgolfière ? rando vélo ? écolo ?) ; et par acte présent que vous êtes en train de lire et de faire, sans doute par pillage gratuit californien.

Un vidimus vidimé est dit de puissance 2 !

Par exemple celui de Charles VII le Trés Victorieux

vidimant en mars 1450 celui de Philippe IV le Bel de 1290.

En le lisant, présentement expliqué, vous en êtes peut-être la 9ème puissance

et partagé, vous en devenez, ici, par la diplomatique, la 10ème puissance ou plus,

notamment avec les scans que Google et consorts ont pris sans droits à la France.

Sceau du roi de France (une reproduction), Charles VII,

autrefois accroché à son vidimus de mars 1450.

Mieux qu’un imprimé incomplet de Gutenberg

mieux qu’un QR code SS de 1994 ou

qu’un idéogramme chinois

de poterie volée.

Moulage et

photo Nicolas Huron

La transcription et l’édition

du Nouveau Coutumier Général (voir bibliographie ci-dessous)

avec mes repères français entre parenthèses

Notes de l’édition de 1769 : La Thaumassière, Coutume de Berri page 75. Ces Lettres lui avoient été communiquées par M. Baucheron, Procureur fiscal à Charôt. Ces mêmes lettres sont aussi à la p. 1003, co. I du T. III du Nouveau Coutumier général.

Je, Gautier, Seigneur de Charôt, confirme conjointement avec ma femme Isabeau, la concession qu’Eudes, Seigneur d’Issoudun, prêt à partir pour Jérusalem, avec mes bourgeois de Charôt, et mon fils, fit le jour même que lesdit Bourgeois partoient.

Il y avoit sans doute, dans l’original de ces Lettres, quelques mots détruits aux endroits où l’on trouve des points dans l’édition qu’en a donné La Thaumassière.

L’éternelle Révolution française anthropophage et incendiaire ?

LIBERTE – EGALITE – FRATERNITE,

libère tes… et gars lit tes… et gale lie tes…

Rappelons que l’Ile de France, subit depuis longtemps

une implantation barbare germanique…

Et maintenant, main(T)s tenant ?

Voyez-en la Beauce

Paris, par riz, parie sur ces parcs et

l’Hurepoix, la Brie, la Normandie, etc., -ette c’est tes rats…

ou pire en cors, la Champagne, ou pire, la Champagne berrichonne…

Cette charte, conservée autrefois à Chârost pendant des siècles, a sans doute été brûlée à la Révolution, « française » évidemment internationalement anglaise, sur la place publique, entre 1790 et 1795, par de grosses bourgeoises handicapées et voraces, sous influence commerciale anglo-américaine des ports esclavagistes et du porc p(h)arisien, ou shootées à la philosophie vide, emberlificotée et folle allemande, hurlant hystériquement autour de l’incendie de cette charte de franchises et des autres archives seigneuriales : « vive la Révolution », ce dont la République est encore très fière alors qu’elle fait la publicité de ce document comme une fierté revendicatrice abjecte, totalement incomprise. Si vous lisez cet article en entier, vous constaterez, dans cette affaire de guerre anglo-française de pillage allemand, américain ou autre, que tout est tristement ridicule et incroyablement meurtrier.

Ne vivez-vous pas encore la même en famille ?

Deux trous ? Semble-t-il !

Trois ? Troie ? Troua…

BB sait ? BBC ?

Sain trot pèse ?

Seins trop pèsent ?

Tout cela ressemble étrangement à la bataille de Fréteval de 1194.

Les deux parties du texte, détruites sur le parchemin conservé à Chârost, à partir de 1290 et avant 1679, peuvent sans doute être comblées grâce au vidimus de 1450, de Charles VII, le Très Victorieux roi de France, conservé aux Archives Nationales (anciennes archives royales, volées par la Révolution des terroristes matriarcaux anglais, et en grande partie détruites ou mauvaisement triées et aujourd’hui difficilement accessibles à tous). Si vous voulez boucher ces manques aux savoirs de la véritable histoire de Chârost, vous pouvez, comme moi, vous y mettre. L’inventaire a été fait par monsieur Bernard Chevalier, mais aussi par moi-même comme apprenti historien. Je n’ai pas trouvé de volontaire à ce très dur labeur en 40 ans d’effort. Un fils à la pâte ? Un fil à la patte ? Un poil dans la main ou une… ? Seriez-vous plus fort que Charles VII ? Vous ne valez même pas ma mère Marie-Claude ! MARE NOSTRUM ? SPQR ? ROMA !

Un courageux ? Un coût rageux ? Hun court à jeux ? Un cours à JE ? …

Il faut juste « SAVOIR LIRE » l’image de fond du blog entourant cet article.

Le savoir lire ou savoir le lire ? Votre 06 no mad ne serait-il pas trop p’tit…

L’édition de 1729 :

PRIVILEGES ACCORDEZ AUX HABITANS DE LA VILLE DE CHAROST par Gautier leur Seigneur l’an 1194.

La charte de 1194 vidimée en 1290

Clauses initiales du vidimus

PHILIPPUS Dei gratia Francorum Rex (Philippe, par la grâce de Dieu, roi des Francs, écrit généralement : Roy de France). Universis praesentes literas inspecturis (À tous ceux qui les présentes lettres verront), salutem (salut). Notum facimus quod (Nous faisons savoir que) nos (le verbe du pronom sujet nos étant plus loin : vidimus, nous voyons) Literas quasdam (certaines lettres), Sigillo Gauterii, Domini quondam Karoffii (au sceau de Gautier, autrefois seigneur de Chârost), sigillatas (scellées) vidimus (nous voyons) in haec verba (dans ces mots, en ces termes).

L’acte originel du seigneur Gautier

plus qu’originale copie de celui d’Issoudun

Noverint universi praesentes, pariter et futuri (Verront, apprendront à connaître, examineront, étudieront, tous, les présentes, également et au futur ; habituellement traduit par : A tous ceux qui, ces présentes lettres, verront, présent et avenir), quod ego GAULTERIUS Dominus Karoffii (que, moi, Gaultier, seigneur de Chârost ; ou Gaulteri) donavi et confirmavi (j’ai donné et j’ai confirmé), et propria manu juravi (et j’ai juré de main propre), Isabeau Uxore mea, concedente (Isabeau, ma femme, concédant), et eodem juramento jurante (et jurant par le même serment), pactionem illam quam (ce pacte que) ODO Dominus Exolduni (Eudes seigneur d’Issoudun), iter Hierosolymis accepturus (le chemin, le trajet, le voyage à Jérusalem, disposé à accepter, sur le point d’accepter ; le mot iter indique un pélerinage, synonyme de voyage, et non une croisade puisque le roi Philippe Auguste en est revenu en 1092 et qu’une croisade armée ne se fait pas avec des bourgeois qui font probablement ce voyage par dévotion, mais surtout pour affaires, Jérusalem n’étant pas à cette date libérée, le front de mer des états latins étant pleinement accessible, notamment Acre prise et libérée par Philippe Auguste) cum Burgenses meos Karoffii Castri (avec mes bourgeois du castrum de Chârost ; castri pouvant être traduit par : de la ville forte, du fort, de la place fort, ou du bourg) et Filium meum SIMONEM (et avec mon fils Simon ; grammaticalement, certains préfèrent : cum burgensibus et filio, et non l’accusatif qui semble être une fantaisie quelque peu cruelle cachée), ipso die quo ipsi Burgenses amovebunt (le jour même où les bourgeois eux-mêmes partaient ; il faut sans doute voir amovebant à la place de amovebunt, partiront) juramento (au serment) firmare concessi, hanc videlicet pactionem (j’ai concédé de renforcer évidemment ce pacte ; c’est-à-dire cette charte), Karoffium Castrum liberum esse (la ville forte de Chârost être libérée) et omnes Habitantes in eo (et tous les habitants en elle) ab omni Collecta et Rapina (de toutes les collectes, écots, quotes-parts et les rapines, vols, pillages).

Concessit (il a concédé, en parlant d’Odo, le seigneur d’Issoudun), Si quidem eis, quod nec eos, nec res eorum, dum Justiciam exequi voluerint et poterint ; neque etiam eos, nec eorum qui pro communi Villae utilitate, de causa quacumque ibi venerint, omnibusque in eo habitantibus, tam in sanitate quam in aegritudine corporis constitutis, res suas dum vixerint, cuicumque sub Domini ipsius Domini Karoffii posito voluerint, dare licebit ; et si morte paeoccupati fuerint, propinquior Consanguineus, qui res illas jure hereditario possidere debuerat, possideat ; et nisi vivens res suas disposuerit vel ordinaverit, nullusque fuerit cui juri hereditario res eveniant, de eorum…… subjiciantur et redigantur, hoc videlicet modo, ut………… pro exequiis eorum Ecclesiastica jura persolvat.

En cours d’adaptation française contemporaine…

Iterum, concessit eisdem quod nullus Karoffii aliquod vinum pro Banno vendat, nisi propriarum Vinearum suarum, et illud pulsatum non sit, sed eo pretio quo cetera vina vendentur, et si vinum intabernatum prius fuerit, non cessabit a venditione pro Banno ; interea quoque vinum tornatum vendere poterint, et vinum cujus dolium adeo defluet quod restringi non possit.

Nullum quoque Burgensem (aussi aucun bourgeois) amodo (dorénavant) in carcere captum (pris, saisi, captif en prison) servabunt (ils garderont, observeront, maintiendront).

Et cum Dominus (Et lorsque le Seigneur) Filiam suam maritare voluerit (aura voulu marier sa fille ; ou, pour les grammairiens, eût voulu, et, ou « vol où est rite » pour les poètes…), vel iter Hierosolymis (ou Hierosolimis) accipere (ou d’accepter le chemin, le trajet, le voyage à Jérusalem ; l’édition de la Thaumassière, donne aussi par erreur : arripere pour adripere : tirer à soi, saisir, entraîner vivement, assaillir… sans doute en plaisanterie cruelle, voire odieuse), vel in Guerra captus fuerit (ou dans la guerre aura été pris, saisi, captif ; ou, pour les grammairiens, eût été, et, ou « fou hérite » pour la faune-éthique…), omnes Burgenses (tous les bourgeois), secundum eorum respectum (selon, et, suivant leur respect, leur considération, leur égard… voire leur regard, en arrière…), eum adjuvabunt (l’aideront, le seconderont).

Excubiae autem, more quo prius, fient, admonitu tamen boni viri fidelitate ab eo praeposita, ut nullupm ab eis pretium extorqueat, sed sicut justum fuerit, amoveat.

Omnes in expéditionem ibunt, aut Clientem idoneum pro se mittent : sed si negotium tam propinquum fuerit quod clamor aut visus a Castro percipiatur, omnes pariter, tam Clientes quam Domini in auxilium et tuitionem Patriae propérabunt.

Pro his quoque in perpetuum observandis dederunt et Burgenses adunatim in festo omnium Sanctorum, reddendos in unoquoque Arpento Vinearium suarum duodecim denarios, ex quo quatuor peregerint annos, et in unaquaque domo habitabili duodecim denarios et unum Sectarium Avenae : et si in una domo muliae sint mansiones et divisae, pro unaquaque Familia Consuetudo praenominata reddetur.

Et si de his dictis a Burgensibus Consuetudinibus aliquis nescius, aliquid substraxerit, aut semel admonitus in Excubias aut in Expeditionem ire vel mittere noluerint, remissa reddet (), cum satisfactione quinque solidorum (avec une satisfaction, une rétribution, une réparation de 5 sols).

De Vindemiis non fiet Bannum (Un ban n’arrivera pas, ne sera pas fait, aux vendanges), neque aliqua capietur redemptio (et ne sera pas, par quelque endroit ou par quelque moyen, pris ou saisi par rachat, ou adjudication ; en parlant dudit ban), et si aliquis accusatus fuerit de his injuriis (et si quelqu’un aura été accusé de ces injustices) quo satisfactionem sexaginta solidorum exigent (qui mériteront, qui exigeront, qui réclameront, une satisfaction, une réparation, un acquittement de 60 sols), si duobus testibus et cognitis devincti (devinci) poterit (s’il pourra être lié, attaché, associé, soumis, à deux témoins et connaissances, ou parents), satisfactionem persolvet (il paiera entièrement, il acquittera la satisfaction, la réparation), aliter non (pas autrement).

Cursatores (Les courtiers, commissaires, hommes de confiance, courriers, messagers, servants précédant la voiture des maîtres), id est, qui Mercatores ducunt (c’est-à-dire, ceux que les marchands guident, dirigent, mènent), quotquot esse voluerint, poterint (pourront être autant qu’ils l’auront voulu ; il faut sans doute voir « potuerunt », le futur simple) ; nec a Domino vel ab aliquo prohibebuntur (ni par le seigneur, ni par quelqu’un, ils ne seront écartés, détournés, éloignés, interdits, empêchés).

Si aliquis Mercator ad Villam Karoffii venerit (Si quelque marchand sera venu à la villa, au domaine, de Chârost ; « Villam Karoffii » est une reprise de termes des diplômes carolingiens, une fantaisie, un peu alarmante ou vengeresse, digne d’un rappel à CAIUS FUFIUS CITA et aux Francs chrétiens catholiques romains qui ont sauvé le pays de la barbarie germanique), pro Annona (pour des denrées ou la récolte de l’année ou des blés ; le clin d’œil à Jules César, à Clovis, à Guy Depussay ou à Bernard Huron, et aux autres, est confirmé…) vel pro aliqua merce emenda non prohibebitur (ou pour quelques marchandises achetées, prises, reçues, soudoyées, il ne sera pas écarté, détourné, éloigné, interdit, empêché), nec aliquid ad eo exigetur (nul, à cause de cela, pour cela, ne le chassera, ne l’expulsera, ne l’évincera ; « ad eo » peut être aussi compris : « de là »).

Bons (de réductions) des barres à… show chaud chaux chocolat au Lay ?

Praepositus Karoffii non mittet (le prévôt de Chârost n’enverra pas), nec aliquis serviens (ni quelque sergent ; servant ou serviteur ou subalterne), ad aliquem qui vendat vinum mercatum suum (à quelqu’un qui vend son vin acheté), ut ei de vino tribuat Botagium (pour qu’il lui assigne, distribue, affecte, etc., sur le vin le botage ; le botage étant un droit seigneurial sur la vente de vin en fûts ; cette disposition indique que cette pratique de vente, puis de revente pour spéculation, était courante et que les plaintes en polluaient probablement le tribunal seigneurial).

Bon débarras !

Vinum quo venditum fuerit (Le vin qui a été vendu), infra octo dies post venditionem vini (dans les huit jours après la vente du vin) sine poena persolvi poterit (pourra être acquitté, perçu, livré, entièrement, sans pénalité, compensation, réparation, peine, etc. ; afin de lutter traditionnellement contre l’usure, pratique non chrétienne, mais aussi pour que l’acheteur ne puisse se plaindre si le vin… devînt vain ou d’un jugement différent pour porter à différends et à zizanies pour l’autorité seigneuriale de rigueur).

Bons des bars à…

Hujus rei testes sunt idonei (de cette chose, de cet objet, de cette affaire, de cet évènement, de cette circonstance, de ce truc, etc., sont témoins convenables, appropriés) EBROINUS cognatus Domini (Ebroïn, parent du seigneur ; uni par le sang au seigneur ; ou uni par le sang du Seigneur). EMENO Senescallus (Eméno, sénéchal ou Eméno Sénéchal ou Aimon ou Emenon…). TURPINUS Filius ejusdem (Turpin, son fils). GUILLIELMUS Plotart (Guillielme Plotart, ou Guillaume, Wilhem, etc). STEPHANUS Sacerdos Domini (Stéphane ou Etienne, prêtre au Seigueur, ou prêtre du seigneur). Gaufridus, Mascelius (Geoffroy, Masceli ou Geoffroy Masceli), Gaufridus, Alarz (Geoffroy, Alarz, ou Geoffroy Alarz), Girous, Babous (Giroult, Babous ou Giroux Babou ou Babo…), Reginardus Tubaus (Réginard Tuba ou Tubau ou Toubeau), Avitius Daros (le grand-père Daros ; ou Aviti Daros ou Avis Dar ; ou Ailé Daros…), Nicolaus Anglicus (Nicolas Anglais, ou Anglois ou Langlais, ou Langlois, ou Angliqueue…). Actum anno incarnati Verbi millesimo centesimo nonagesimo-quatro (Fait en l’an de l’Incarnation du Verbe 1194).

Bons des barres à…

Clauses finales du vidimus de Philippe le Bel

Nos autem concessionem praedictam ratam et gratam habentes (Nous, quant à la prédite concession, l’ayant ratifée, approuvée et louée, acceptée), praemissa omnia et singula (expédiées toutes et chacunes), prout superius sunt expressa (selon que, plus haut, sont exprimées ; ou est exprimé, en parlant d’un ensemble), volumus, laudamus et approbamus (nous voulons, louons et approuvons), salvo tamen in aliis jure nostro (sauf cependant, pourtant, toutefois, des autres de notre droit ; pouvant être traduit par : sauf cependant de tous ceux et de tout ce qui relèvent de notre droit) et jure quolibet aliena (et du droit, n’importe où, en tous lieux, d’un autre ou de quelqu’un d’autre) ; quod ut ratum et stabile permaneat in futurum (afin qu’il subsiste, reste, demeure ratifié, valide et stable, solide dans le futur), praesentibus Literis nostrum fecimus apponi Sigillum (aux présentes lettres, nous avons fait apposer notre sceau). Actum Parisiis (Fait à Paris), anno Domini millesimo ducentesimo nonagesimo (en l’an du Seigneur 1290), mense Martio (au mois de mars).

Fin du vidimus de 1290

en cours d’explications…

Les sources

et les références bibliographiques

Les anciennes et nouvelles coutumes locales de Berry et celles de Lorris commentées par Gaspard Thaumas de la Thaumassière, écuyer, seigneur du Puy-Ferrand, avocat au parlement, A Bourges, chez Jean Toubeau, ancien prévôt des marchands, 1679, avec privileges du roy. Vidimus de Philippe le Bel de 1290 page 75-76. A voir aussi sur : https://books.google.fr/books?id=WeigDICixpsC&pg=PA75&lpg=PA75&dq=cum+Burgenses+meos+Karoffii+Castri+1194&source=bl&ots=dY5_mocXbf&sig=ACfU3U0lFxhb4dbhgzCea7prOyC3RrAx6A&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjwse7u6MD2AhWM3YUKHT0oA-MQ6AF6BAgEEAM#v=onepage&q=cum%20Burgenses%20meos%20Karoffii%20Castri%201194&f=false En ligne pour longtemps ?

Charles A. Bourdot de Richebourg, avocat au parlement :  Nouveau coutumier général ou corps des coutumes générales et particulières de France et des provinces connues sous le nom des Gaules ; exactement vérifiées sur les originaux conservés au Greffe du Parlement de Paris et des autres Cours du Royaume, avec les notes de MM. Toussaint Chauvelin, Julien Brodeau, et Jean-Marie Ricard, Avocats au Parlement, jointes aux annotations de MM Charles DU MOLIN, François Ragueau, et Gabriel-Michel de la Rochemaillet, Tome III, A Paris, chez Théodore le Gras, Grand’Salle du Palais, à l’L Couronnée, 1724, publication portant confirmation de Louis XV, page 1103 : Privileges accordez aux habitans de la ville de Charost par Gautier leur seigneur l’an 1194 (vidimus de Philippe IV le Bel de 1290, recopié ci-dessous en latin), dans le chapitre Les coutumes de la ville et septene de Bourges, de Dun-le-Roy et du pays de Berry (commençant page 382). A voir aussi sur :  https://books.google.fr/books?id=Q7o-AAAAcAAJ&pg=PA1003&hl=fr#v=onepage&q&f=false En ligne pour longtemps ?

Ordonnances des rois de France de la troisième race recueillies par ordre chronologique. Volume 11, contenant depuis le commencement de l’année 1419, jusqu’à la fin du règne de ce Prince, avec un supplément pour les volumes précédens. Par M. de Vilevault, maître des requêtes, intendant du commerce maritime ; et M. de Bréquigny, de l’Académie royale des Inscriptions et Belles Lettres. A Paris, à l’imprimerie royale. 1769. Vidimus de Philippe le Bel de 1290 page 369-370. A voir aussi sur : https://books.google.fr/books?id=fIP_-_G1iAIC&pg=RA1-PA369&lpg=RA1-PA369&dq=cum+Burgenses+meos+Karoffii+Castri+1194&source=bl&ots=ZJEu6G7Lj1&sig=ACfU3U2zaDZoeB8bKvAUfnXMOkHHwXpSxg&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjwse7u6MD2AhWM3YUKHT0oA-MQ6AF6BAgDEAM#v=onepage&q=cum%20Burgenses%20meos%20Karoffii%20Castri%201194&f=false En ligne pour longtemps ?

Fiabilité des protocoles ?

A voir aux Archives Nationales, ou dites telles…

Archives Nationales : Registres du Trésor des Chartes, JJ 185, N°55, folio 44 verso (vidimus de Charles VII de mars 1450).

Et pour vous abîmer les yeux, comme moi,

à frotter le micro-film d’un original

via l’inventaire ci-dessous…

Les Pays de la Loire Moyenne dans le Trésor des Chartes, Berry, Blésois, Chartrain, Orléanais, Touraine. 1350-1502 (Archives nationales, JJ80-235), édité par Bernard Chevalier, professeur émérite à l’Université François Rabelais de Tours. Éditions du Comité des Travaux historiques et scientifiques, Paris, 1993. Page 294 : “2841. – 1450, mars. Tours. Confirmation des franchises données aux habitants de Charost par Gautier de Charost (1194) (185, n° 55, fol. 44v.)”.

La traduction de Louis Cartier de Saint-René

et la mention de Buhot de Kerser

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Nos références bibliographiques, parmi d’autres…

Photo Nicolas HURON

Louis Cartier de Saint-René : Histoire du duché-pairie de Chârost, ouvrage issu de Histoire du duché-pairie de Charost et de la seigneurie de Mareuil, édité par A. Chaix et Cie en 1879, réédité par Alice Lyner éditions, Issoudun, 2009. On trouve la traduction de la dite charte de franchises page 69 à 71, recopiée et annotée ci-dessous.

A. Buhot de Kersers : Histoire et statistique monumentale du département du Cher, volume III, 1885, réédité par l’Office d’édition du livre d’histoire, Paris 1996. Extrait page 114 : “Chârost nous apparaît à l’aurore de l’histoire, sous la puissance d’une famille féodale qui en porta le nom et construisit au sud de la ville, à l’opposé de l’église, une importante forteresse. Un de ses plus illustres représentants, Gaultier de Chârost, qui avait épousé une petite-fille du roi Louis le Gros, affranchit, dès 1194, les bourgeois de Chârost, burgenses suos Karofii castri. La ville fut entourée d’une enceinte de murs qui laissa l’église en dehors. Elle avait, en 1213, son hôtel-Dieu, dont l’administration était et demeura aux mains de l’Archevêque. Cette qualité de ville murée, au passage d’une rivière, donna à Chârost une certaine importance. Louis XI y mit garnison en 1465.”

Les circonstances historiques…

L’auteur des franchises, Gautier ? Non, Eudes III !

Gautier, seigneur de Chârost, à travers cette charte, ratifie et confirme des dispositions prises par un de ses suzerains (la féodalité est très complexe au Moyen Age), Eudes III, seigneur d’Issoudun, pour ses sujets et pour les habitants de la ville forte de Chârost. Eudes III part sur le trajet de Jérusalem avec les bourgeois de Chârost et Simon, le fils de Gautier, seigneur du lieu. Nous savons par la diplomatique, qu’Eudes III fut seigneur d’Issoudun de 1167 à 1199. Lui revint donc de ce voyage entrepris en 1194. Des auteurs ont déduit, un peu rapidement, que Simon n’en serait pas revenu. Un voyage ? Un pélerinage ? Entreprise de tous les dangers, en mer comme sur terre, à cette époque-là… mais aussi de toutes les aventures.

Issoudun anglo-normande ou française ?

Appartenant au duché d’Aquitaine, la ville d’Issoudun fut rattachée, par la vile Aliénor, à la Normandie, à l’Anjou, et même à l’Angleterre… la perfide Albion anglo-saxonne, contre laquelle lutta ardemment Charlemagne du côté d’Hambourg et pas que…

La ville d’Issoudun fut prise par le roi Philippe Auguste en 1187 et la seigneurie en échut en 1189. Richard Coeur de Lion reprit la ville en 1194 et Jean Sans Terre, le rival de Richard, la restitua au roi de France en 1200.

Ainsi, comme la sécurité du voyage vers Jérusalem avait été quelque peu plus assurée par la prise d’Acre sur la côte occidentale de la Terre Sainte, par Philippe Auguste, cette charte date sans doute bien de 1194, mais avant la prise de la ville d’Issoudun par Richard Coeur de Lion, qui la livra sans doute au pillage. La charte de franchises de la « république », de la « commune », de « l’autonomie », du « survivalisme », des privilèges d’Issoudun n’a pas été retrouvée ? Elle fut probablement présentée aux Anglois ? C’est des coups de comiques hauts !

Charte de franchises, de privilèges ?

Prix vil ai-je ?

La ville d’Issoudun échut au domaine royal français en 1240, par le mariage de Blanche de Castille avec Louis VIII, le père de saint Louis.

C’est de bonne guère et de bon air gai !

C’est d’eux ! Bonnes guerres…

Cède 2 ! Bonne gaie re…

Il faut savoir qu’à l’époque, le tournoi chevaleresque, tel qu’on se l’imagine n’existe pas et que l’on parle de « presse ». Les chevaliers se fouttaient sur la gueule, par paquets serrés ou non, pour s’améliorer et échanger quelques remarques déplaisantes sur le matériel afin de lancer la course à l’armement laissée en suspend depuis l’arrivée des Francs de Clovis. Cela vous plaîd(e)-t-il ?

Euh, eux, des dés…

Avant ou après la troisième croisade ? Happe raies !

Après l’appel à la croisade par le pape Grégoire VIII par la bulle pontificale Audita tremendi du 29 octobre 1187, à la suite de la prise de Jérusalem par les incroyants et le Kurde Saladin (à pro-noncer : salade inn) le Magnifique (celui qui a eu la plus grosse couche qu’eut lot à la tête), les deux rois en lys en Gaule sur le territoire berrichon, Philippe Auguste et Richard Cœur de Lion, qui s’engagèrent à Gisors d’y participer, testèrent un peu leur matériel entre eux, avant de prendre la croix. La troisième croisade commença, après échauffement, en 1189 pour se terminer en 1192, par la prise d’Acre par Philippe Auguste qui rentra ensuite au pays. Poings, trop n’en faut… comme on dit, ondes y…

Chrétien ? Oui, à cause des barbares, unique problème… terrestre ?

Richard essaya en vain de prendre Jérusalem et finit dans le geôles romantiques et poétiques des Germains (comme Napoléon III) qui avaient noyé leur empereur Frédéric Barberousse en 1190, sans doute par le racisme narcissique infantile qui leur est bien connu et probablement pour ne pas avoir à la faire, cette croisade, mais seulement pour en manger les États latins. Les chairs, tètent blondes…

Une Kro ? Un sofa ? Poche trône et so fa

Veau de cas ? Vodka ? Vaut deux K ?

Dos raie mi-sol fa… si dos ?

Et le divin Mozart à la fosse commune ?

Et Lully ? Dumont ? Delalande ? Couperin ? Ose honneurs !

Richard Cœur de Lion sera libéré, contre une rançon (digne du port d’Alger turque avant… avant le sunnisme de grand remplacement de la Troisième République, et avant la psychiatrisation de masse allemande), par l’usurpateur de l’empereur Charlemagne, roi des Francs saliens, en février 1194.

Chrétien ? Oui, à cause des berbères, unique problème… ?

Une bonne bière ? Une alliance dedans ?

En 1194, le roi de France (Paris et sa région), Philippe Auguste, revenu en France, la croisade est finie depuis environ deux ans.

En 1195, le « fils » (on les connaît ses trous bas d’ours…) de Frédéric Barberousse, Henri VI, maître du royaume de Sicile, lança un nouvel appel à la croisade à Bari en Italie en 1195 pour y regrouper quelques pillards germaniques. Certains partirent vers les États latins de Terre Sainte, mais cela capota et Henri VI meurt en 1197 à Messine en Italie avant son départ.

La croisade des Albigeois, ordonnée par le pape, et faite par des seigneurs du nord de la France et consorts, eut lieu en 1209, pour quelques sectaires communautés de Parfaits (on met généralement presque toujours le même mot et les mêmes maux derrière), à cause notamment de Béziers, Toulouse, Albi (Baise y est ? To loose ? Ah le bi ? Essayez ! C’est très cocasse…).

Le démon n’en est-il pas parfait ? Crues de l’Hérault ?

Les terres sont-elles ramenées en haut ?

A la hot ? A la haute ? Ah là ôte ?

A la hotte, l’hôte ?

Parade y…

Colle à beaux ? A bots ? Zone libre ? Gras halles ?

Départ en croisade ? Non !

Cette charte de franchises est parfois dite écrite lors d’un départ à la croisade. C’est faux, mensonger, anachronique, et propagandiste. Bref FAKE NEWS ! Fais queue nie ou the

Le seigneur d’Issoudun part avec des bourgeois. C’est un voyage d’affaires… pour quelques soies ou épices ardemment désirées par certains et, certes, haine… en vue de nouvelles et succulentes spéculations bien juteuses, toutes jeunes et fraiches.

Cèpes tiquent ? Cep tique ? C’est p’tit queue ? Impressions fausses…

A Narbonne, on dit « fosses »… Oz !

Merci à Boris Vian sceptique pour le mess âge !

Saint-Germain, saints gèrent mains, Saint-Tropez, ceint trop pèse ? Sain trot…

Lire un vrai départ en croisade ? C’est peau cible…

Pour voir le testament d’un seigneur de l’Hurepoix, en domaine royal, partant à la dite croisade en 1190, vous pouvez consulter un autre article de diplomatique sur le toponyme de la Machine... mais là, pas de bourgeois… même de Bourges ou de bourre joie… C’est plutôt l’âme hors, la maure, lame hors, la mort, et peu l’âme or…

Vous dîtes, je crois, System, Matrix, Bleu Blanc Rouge, etc ?

Queue de majuscules… et d’abjad germanique.

Les tas profonds ?

Sais-je été ?

CG…

Charte romane ou gothique ? Lée d’eux laide !

Et l’apostrophe ?

Nous sommes à la fin du XIIe siècle, à la charnière entre l’art roman et l’art gothique primitif initié par Suger à l’abbaye Saint-Denis en France, donc entre un style méridional enchanteur et multiculturel et une style dur, sobre, végétal (avec la référence constance au gros bourdon bleu par l’acanthe), très aérien, lumineux et particulièrement brutal, pour ceux qui sont un peu médiéviste et g’astronome dans l’âme.

C’est une période de guerre entre le roi de France, Philippe Auguste, et le roi anglo-normand, Richard Coeur de Lion, issu du matriarcat narbonoïdeux et dont le coeur et le corps ont été … (choisissez ici les mots les plus démoniaques et les plus sacrilèges) par la Révolution française initiée par les ports anglo-saxons. L’orthographe de « port » comme Bordeaux, Nantes, La Rochelle, Rouen, etc. étant sans doute quelque peu à réviser… Les historiens modernistes et ceux d’Histoire contemporaine ont déjà fait l’enquête des 6000 (c’est bien sûr approximatif) terroristes anglais pour nos 500 familles : Robespierre, Marat, Danton, Saint-Just, etc. bref de méchants journalistes, avocats et philosophes, jaloux des atours du Luxembourg et de la Pompadour ligérienne de Menard (41) et qui jouaient déjà du sex-toy électrique et électromagnétique et hypno-« thérapique », depuis le milieu ambieux du XVIIIe siècle, avec quelques ambitieuses, assaisonnées à quelques épices orientales (dont le fameux champignon de la poudre à canons… chinoise, chocolat, café, tabac prisé… et autres cotons assaisonnés aux ramasseurs d’Extrême Orient, voire à la cochenille, voire au Grand Orient des Indes de Christophe Colomb),  donzelles rigolardes partageant les mêmes rêves d’usurpations, de pillages, voire de viols, de crimes et de cannibalismes que les pires sauvages, et pas forcément dans cet ordre… un peu comme les treks algériens à certaines époques, en pâtes aux gaz ou en pataugas. Sans doute une influence de la Marseillaise, de Marie made laine (voir à ce sujet les lettres de mon aïeul Michel Gravereau, maître charpentier dans les mines d’argent espagnoles et présent à Marseille pendant le blocus anglais de 1779, lettres recopiées par ma grand-mère Yvonne Depussay, née Gravereau, et préservée par sa fille, ma tante Monique Simon, épouse d’agriculteur à Mondonville-Sainte-Barbe, sur Moutiers en Beauce, en Eure-et-Loir, présentement « mon don vile »).

Rien de nouveau sous le Soleil… Que chaque Hun voit midi à sa porte…

Pour preuve… ! Ces lettres recopiées par ma grand-mère Yvonne, née Gravereau.

La suite bientôt sur vos écrans électro-luminescents ?

A qui profite le Crime ? A l’Hôtel de Chârost dans le 8ème arrondissement.

A la fin du XIIe siècle, les mêmes marchands

du Temple nouveau (le corps)

sévissaient même à

Chârost.

(((Bouilli gueux ?)))

La charte de franchises les signale.

Cherchez la bonne imagerie… et une bonne opine gnons !

Personne ne demande au seigneur d’Issoudun de partir sur le chemin de Jérusalem, sinon les bourgeois de Chârost eux-mêmes et son propre appétit d’exotisme oriental. Celui-ci acceptant, le seigneur de Chârost, Gautier, lui confie pour le voyage, ce pélerinage, forcément un peu dangereux, surtout en mer, pour le sortir de la mère, la garde, l’éducation et l’instruction de son fils Simon, puisque depuis la Guerre des Gaules, les habitants des lieux suivent parfois les coutumes romaines d’aller se former chez les Grecs.

Va te faire voir chez les Grecs et laid grec…

S’ils en restent…

Lait grès

queue..

Voile acté et voie lactée…

C’est difficile à expliquer, mais c’est l’église Saint-Michel de Chârost qui sauva la population de ce bourg du sort qui fut réservé à Issoudun, son aspect ferrugineux autant que son assez récente richesse et grande nouveauté… pour l’époque. Cela explique partiellement mais de façon très instructive son histoire et son état actuel…

Qu’il en soit ainsi !

pour en comprendre notamment et notablement…

La traduction de Saint-René

avec les notes de son auteur

typiques de la troisième République prusienne

Extrait de Louis Cartier de Saint-René : Histoire du duché-pairie de Chârost, ouvrage issu de Histoire du duché-pairie de Charost et de la seigneurie de Mareuil, édité par A. Chaix et Cie en 1879, réédité par Alice Lyner éditions, Issoudun, 2009, page 69 à 71 :

Gautier II. – Gautier, deuxième du nom, était le fils d’Aimon IV ; il avait épousé la quatrième fille de Pierre de France et d’Élisabeth de Courtenay. Gautier fut l’un des premiers seigneurs du Berry qui affranchissent leurs sujets, comme le prouve sa charte de 1194. Tout concourait, à cette époque de luttes incessantes, à unir dans un intérêt commun les habitants de chaque portion de territoire. Il se forma, sous l’égide de l’Église, des associations fraternelles qui prirent le nom de Communes et auxquelles les seigneurs adhérèrent bientôt. Gautier de Charost suivit dans cette voie Eudes III, comte de Grignon, seigneur d’Issoudun, son suzerain, qui avait affranchi sa ville avant de partir pour la Croisade, en 1190.

Affranchissement de Chârost. – “Que tous présents et à venir, sachent que moi, Gautier, seigneur de Chârost, ai donné, juré et confirmé de ma propre main, avec le consentement de ma femme Isabeau (Uxore mea concedente. C’était l’usage de faire consentir aux contrats la femme et les enfants ; la femme, à cause de son douaire ; les enfants, comme héritiers ; parce que, d’après le Droit romain, on ne pouvait aliéner sans le consentement de l’héritier.), qui fit le même serment, la charte qu’Odon, seigneur d’Issoudun, partant pour Jérusalem, accorda à ses sujets. Ce même jour que mes bourgeois de Charost et mon fils Simon partiront avec lui, j’ai accordé cette charte à mes bourgeois, c’est-à-dire que la ville forte de Charost sera libre et que ses habitants seront exempts de toute exaction.

J’accorde, à tous ceux qui habitent Charost et qui vivent sous la domination de son seigneur, la libre possession de leurs propriétés et de leurs droits, toutes les fois qu’ils voudront et pourront les réclamer en justice, ainsi qu’à ceux qui viennent s’établir ici dans le désir de travailler à l’utilité commune de la ville.

Tous ceux qui y résident peuvent léguer à qui bon leur semble leurs propriétés, pourvu que l’héritier habite les domaines du seigneur de Charost. S’ils ont été frappés d’une mort prématurée, leur plus proche parent héritera de leurs droits et biens.

S’il meurt sans avoir, de son vivant, désigné un héritier, ou s’il n’en a pas, les choses qu’il possède reviendront à son seigneur, qui devra acquitter auprès de l’autorité ecclésiastique les droits de sépulture.

Aucun bourgeois ne devra séjourner en prison. Lorsque le seigneur mariera sa fille (Sa fille aînée, probablement),  qu’il entreprendra un voyage à Jérusalem ou qu’il aura été pris à la guerre, tous les bourgeois lui viendront en aide selon leur pouvoir.

La garde se fera comme auparavant ; mais on y préposera des hommes d’une fidélité à toute épreuve.

Tous les bourgeois iront à la guerre  ou enverront à leur place un client capable ; mais si l’affaire se passe si près qu’on puisse l’entendre ou la voir du château, tous, maîtres et serviteurs viendront au secours de leur pays.

Pour obtenir que ce privilège soit perpétuel, les bourgeois, assemblés le jour de la fête de tous les saints, ont résolu de donner 12 deniers par chaque arpent de vignes cultivées depuis quatre ans, et, pour chaque maison habitable, 1é deniers et 1 setier d’avoine (Quando recipietur avena. – Il faut remarquer comme un fait curieux cet impôt, qui se payait en avoine. Il en prit le nom d’  « avenage ». Ce droit était inhérent à la bourgeoisie. Il se maintint jusqu’à la Révolution. « Les chanoines de la chapelle de Taillefer ont longtemps plaidé  contre les habitants d’Issoudun pour semblable droit d’avenage qu’ils prétendaient sur une partie des maisons de cette ville. Les chanoines ont enfin perdu leur procès par arrêt du Parlement, en 1759. » (voir le Traité des Droits Seigneuriaux, par Me J. Renaudon, avocat au baillage royal d’Issoudun ; in-4°, p. 435. – 1765)). Si, dans une seule maison, il y a plusieurs ménages, les redevances ci-dessus seront exigibles  par famille.

Si quelqu’un enfreint ces redevances, sanctionnées  par les bourgeois, ou si averti une fois, il refuse d’aller en garde ou en expédition, il paiera une amende de 5 sols.

Il est de même accordé aux bourgeois que personne, à Charost, ne vendra de vin à la criée, si ce n’est celui de ses propres vignes ; on ne le poussera pas aux enchères, mais il sera vendu le même prix que les autres vins. Si le vin a été encavé auparavant, on pourra le vendre aux prix des criées ; on pourra même vendre le vin tourné et celui d’un tonneau qui coule de manière à ne pouvoir être arrêté.

Il n’y aura pas de ban de vendange, et on ne le rachètera pas à prix d’argent.

Si quelqu’un est accusé de délits qui méritent une amende de 60 sols, il la paiera s’il est accusé  par deux témoins ; autrement, non.

Les courtiers (Cursatores. – Courtiers, ceux qui faisaient venir les marchands, les escortaient et les protégeaient. Le commerce ne se faisait guère alors que par les marchands ambulants et, en quelque sorte, par caravanes.), c’est-à-dire ceux qui conduisent les marchands, pourront aller partout où ils voudront ; ni leur seigneur, ni qui que ce soit, ne pourra les en empêcher. Si un marchand vient à Charost pour acheter du blé ou toute autre marchandise, on ne l’en empêchera pas et on n’exigera rien de lui (Non prohibebitur nec aliquid ab eo exigetur. – C’est une des preuves de la protection et de la faveur dont étaient entourés tous ceux qui voulaient entreprendre le commerce dans ces temps de désordres et de violences. Il n’y avait guère que les Juifs qui osaient le tenter, et c’est là sans doute le secret de leur existence au milieu de la population qui professait pour eux une haine fanatique et brûlait de les exterminer. Ils n’étaient protégés que par les seigneurs et les bourgeois éclairés ou intéressés. (Pérémé.)).

L’agent fiscal de Charost n’exigera d’aucun habitant qui vend du vin qu’il lui donne une mesure de ce vin.

Le vin pourra être livré sans droits huit jours après sa vente.

Sont témoins de cette charte :

Ebroïn, parent et seigneur ; – Emenon, sénéchal ; – Turpin, son fils ; – Guillaume Plotard ; – Etienne, prêtre du seigneur ; – Gaudefroi Mastelin ; – Gaudefroy Alarz ; – Girond ; – Baboy ; – Réginard-Tuban ; – Daros le grand-père ; – Nicolas l’Anglais.

Fait l’an du Verbe incarné 1194. »

En cours d’élaboration !

Un résumé…

Un peu de diplomatique avec les privilèges accordés, à Issoudun, aux bourgeois de Chârost avec l’accord des héritiers de Gautier, seigneur de Chârost, accord confirmé et imposé par lui-même, en 1194, par Odon, seigneur d’Issoudun, au moment du départ de ce dernier en pèlerinage, en voyage, à Jérusalem. Ces privilèges, qui sont plutôt des obligations de protection et de prudence commerciales, furent confirmés par serment et jurement, avec l’assentiment de sa femme Isabeau, par Gautier, seigneur de Chârost, pour ses bourgeois du castrum de Chârost et pour son fils Simon afin de sceller les convenances commerciales et fiscales de la ville pendant le voyage du suzerain d’Issoudun en Terre Sainte. L’acte a été de multiples fois confirmé jusqu’à être intégré aux chancelleries royales, mais aussi aux Coutumes du Berry et aujourd’hui à son importante histoire locale : acte confirmé et garanti en mars 1290 par le roi de France Philippe IV le Bel (Privileges accordez aux habitans de la ville de Charost par Gautier leur seigneur l’an 1194 dans : Nouveau coutumier général ou corps des coutumes générales et particulières de France et des provinces connues sous le nom des Gaules… Tome III, page 1003, Paris, 1724, publication portant confirmation de Louis XV) et à nouveau confirmé, en mars 1450 par le roi Charles VII à Tours (Archives Nationales : JJ 185, N° 55, folio 44 verso ; inventaire 2841), édité comme document officiel sous Louis XV en 1724 (voir référence bibliographique ci-dessus), réédité en 1879 dans l’Histoire du Duché-Pairie de Chârost, évoqué par Buhot de Kersers en 1885, puis intégré à l’inventaire régional du Trésor des Chartes en 1993, puis réédité en 2009, puis quelque peu expliqué par la science diplomatique dans cet article. C’est un peu complexe, mais cela permet de comprendre un certain emballement et un emballage certain des protocoles juridiques diplomatiques d’authentification dans les temps de grosses poussées bourgeoises. L’acte est-il véritablement authentique ? Est-il vraiment une charte de franchises utile ? Oui ! Aujourd’hui, à l’ère des protocoles informatiques invisibles qui nous traversent et nous violent tous, plus que jamais.

En cours d’élaboration !

Quelques constats historiques…

d’actualité

Les sciences ?

Laisse si hanse…

YCY

(((((( HANTE HAINE ))))))

Rien d’abstrait là-dedans !

Mais en avez-vous la science ?

Mouche du coche ! Fais clochette !

… La scie en ce… bloc de glaise ferreuse tournée …

Science signifie, avant tout, « savoir-faire » pour un paysan-artisan.

Porte d’époque d’accès au premier étage typique de cette fin du XIIe siècle

le rez-de-chaussée étant très dangereux avec l’anglo-normand…

alors imaginez avec l’anglo-saxon combattu par Charlemagne

Photo 1986 Nicolas Huron : moulin de Limeray

Deux portes d’accès de Moutiers-en-Beaucemonasteria in Belsia,

Saint-Jean-Baptiste, prieuré bénédictin de Coulombs,

diocèse et arrondissement de Chartres, doyenné de Rochefort,

canton de Voves, Eure-et-Loir. Sinon vous avez le charpentier… et

Beaunier-Besse, I, 282 – Merlet, dict. 129 – Longon, IV, 150, 195, et

Dom Cottineau : Répertoire topo-bibliographique des abbayes et prieurés

Photo 2019 Nicolas Huron : clocher de Moutier-en-Beauce (28).

Deux portes ? Si, si, en haut à gauche… Voyez-les !

Une échelle ? Une porte bien fermée ?

Le logis joint a-t-il déjà brûlé ?

Allez visiter la ferme pédagogique de la Grand’Cour

de Romilly-sur-Aigre, historiquement volée à l’Eglise

Vous y verrez le même (l’escalier étant un rajout…),

l’âme M, lames aiment ? Hé, meuh !

Visitée par Nicolas Huron

Vous voulez sa photo ? Allez-la prendre !

Et, jeu de pistes…, cherchez-en d’autres ! Un coup d’œil ?

Pour le NET à Romilly, en cherchant la ferme, j’ai eu une attaque virale… ???

Essayez vous aussi ? Mais préparez-vous avant ! Sauvegarde SyS‘TEM ?

S’ils sont emmerdés, enc…,

voire en Bête Est… par les cultures locales,

très g’astronomiques, et ultra monstrueuses,

les bourgeois et les bourgeoises de la ville de Chârost doivent, pour faire

face aux invasions germaniques, wisigothiques (espagnols), ostrogothiques (italiens),

lombardes (italiens), hunniques (Grand Orient de Rhodes Island), hongroises (Sarkozy),

arabes (Hindous, etc.), chinoises (mexicaine, Ile de Pâques, poudre à canon, boussole, électromagnétisme, radio-activité (juive ?) polonaise à la Sorbonne, gouverne « Aïe ! » Hit l’ère, etc.

anglo-saxonnes (« do you » se pique »… Ing lich ?), US (USA ou URSS),

ou aux empoisonneurs, marxistes, philosphes, rat « bin » (en grec),

sectaires, c’est que terre, voire sol, voire solaire…

raie publique, impôts et amendes iniques, etc.

montrer et remontrer ostensiblement leur

charte de franchises de 1194

de style roman et gothique primitif

ci-dessus

!

T+T

Vous n’avez toujours pas déballé les cadeaux au pied du sapin ?

Non ? Mais comment se fesse ? Bin, bin, bin… à l’or,  re-scroll !

Votre vie en dépend non ? Si, si !

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