L’église de Lourdoueix-Saint-Michel (36) témoin d’une porte complexe

Lourdoueix-Saint-Michel ?

avec son église romane fortifiée…

De quelle langue s’agit-il ?

Lourdes où est Douée ?

Une lourde, une porte ?

un peu penchée ?

en sablier…

oublié

en colle ai-je ?

de granite gris et rose

sur la Marche en frontière antique

pour qu’elle se renferme toute seule ?

en forme de coquille humide qui faille… ?

où les bêtes peuvent s’embourber en argiles et sables…

en mémoire de mêmes hoirs de singeries d’anciens collèges… en

ancienne étude et compléments étonnants…

Cliquez sous la couverture

pour consulter le fichier pdf de

mon ancienne étude-inventaire de son histoire architecturale en 41 pages :

Nicolas Huron : L’église Saint-Michel de Lourdoueix-Saint-Michel (Indre) – Dossier ECCLESIA août 1991, ouvrage de la conférence du samedi 10 août 1991 – Université François Rabelais – Tours –ASDRA – ASsociation pour le Développement de la Recherche Appliquée à l’animation culturelle en Région Centre – sous la direction de Bernard CHEVALIER, professeur d’histoire médiévale – Droits rachetés par Nicolas Huron, responsable et créateur du projet ECCLESIA pour l’ASDRA.

Ouvrage associatif aux droits acquis par son auteur,

relu et corrigé bénévolement, la veille de sa conférence datée du samedi 10 août 1991,
par ma mère, Marie-Claude HURON, née DEPUSSAY à Françay (Loir-et-Cher),
sa maison d’édition véritable, blésoise, en sa bonne ville royale et agricole de Blois,
à une époque où son auteur, moi-même, était encore illettré et dysorthographique.

Mon étude de l’église Saint-Michel de Lourdoueix-Saint-Michel (Indre, 36)

Cliquez juste ci-dessus ou ci-dessous pour le savoir avec mon pdf de 41 pages.

Lien transparent : https://patrimoine-rural.com/Nicolas-Huron-Lourdoueix-Saint-Michel-18-Eglise.pdf

à rénover…

avec mon Poli poly-pôle ECCLESIA +

avec des exemples en « boutique » à votre service

et quelques compléments de recherches et quelques précis ions+- si dessous.

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et qui me servit à financer mes études de maître d’école…

Nicolas Huron : panneau explicatif

à télécharger en bien lisible… et à partager au format pdf ou jpg

https://patrimoine-rural.com/Panneau-Lourdoueix-Saint-Michel-18.jpg

avec ses compléments sûrs prenant…

ci-dessous

Vole en arc qu’en jeux

en vol en archange de croyances orientales

pour en voir la colle entre la Préhistoire et l’Empire romain

avec la Grèce ancienne et sa graisse préhistorique gauloise

en quelques articles et quelques compléments

pour comprendre Lourdoueix-Saint-Michel et son église Saint-Michel

pour en étudier et comprendre la cartographie et les enjeux…

avec ses trois articles introductifs au culte de Saint-Michel :

Frontières antiques : approche du culte de saint Michel

L’église Saint-Michel-de-Volangis (18) témoin d’un syn mi Shell

L’église Saint-Michel de Chârost (18) pour qu’une lourde s’étudie…

avec les compléments historiques ci-dessous…

À propos de la première mention

de Lourdoueix-Saint-Michel

en propos très à pro po(T)s

papaux de Pascal II

en

bulle

du 13 novembre 1115

tout en art roman de vieux français…

fortifiée par l’art français gothique et la diplomatique bénédictine

de la Congrégation de Saint-Maur via l’Académie des Sciences du Roi Soleil…

Extrait de mon étude d’inventaire de 1991 :

L’abbaye de Déols, patron de la paroisse de Lourdoueix-Saint-Michel.

La possession de l’église de Lourdoueix-Saint-Michel est confirmée à l’abbaye de Déols, par cette bulle pontificale de Pascal II, datée de Latran le 13 novembre 1115. Dans la liste très longue des églises, nous remarquons « ecclesiam de Oratorio Sancti-Michaelis », c’est-à-dire l’église de l’Oratoire-Saint-Michel, ou aujourd’hui Lourdoueix-Saint-Michel. Cette possession sera à nouveau confirmée par une bulle d’Innocent II, datée de 21 mars 1138, dans laquelle nous pouvons lire une fois encore le nom latinisé de Lourdoueix-Saint-Michel…

Fin de l’extrait.

Importants compléments essentiels de diplomatique…

C’est quoi la diplomatique ?

La diplomatique est une science annexe de l’Histoire, comme toute science, car l’Histoire est la Science de toutes, même d’elle-même… et c’est bien la seule. Elle est apparue sous Louis XIV, avec l’Académie des Sciences, au XVIIe siècle. C’est une discipline spécialisée à l’origine dans l’authentification des actes anciens et surtout des diplômes carolingiens, d’où son nom de diplomatique. Cette science était due à l’origine à la Congrégation bénédictines de Saint-Maur et se spécialisait dans les documents des propriétés ecclésiastiques usurpées ou usurpatrices… Une vraie découverte et un véritable progrès, la mode de l’époque étant à la confession… La diplomatique trouve donc son origine autour de documents liés aux invasions normandes, à la naissance de la mafia féodale, et aux propriétés des abbayes dévastées et ruinées à l’époque, pour les autres établissements ecclésiastiques d’origine médiévale et existants encore à leur époque, l’Époque moderne.

Ses questionnements et les réponses techniques que la diplomatique apportent, servent à vérifier la véracité, mais aussi à en préciser les circonstances : datation, origine, traçabilité, erreurs de copistes, falsifications, etc. Cette science utilise d’autres sciences annexes de l’Histoire, notamment la datation, la biographie, la bibliographie, la philologie, l’archivistique, la géographie, dont surtout la toponymie, l’historiographie, le droit selon les époques concernées, etc. Cette science, la diplomatique, est à l’origine de la critique de documents et de l’expertise en droit. Son innovation touche à toute expertise… quelque soit le document en question : maison, véhicule, voirie, etc. Elle est utilisable pour absolument toute création humaine.

Authentique et véritable traçabilité !

En hommage à cette science indispensable aux historiens médiévistes, modernes, contemporains, j’explique le contexte de la fondation de l’abbaye de Saint-Maur-sur-Loire dans un article spécial renforcé par une enquête de terrain. J’explique brièvement la diplomatique, et ses stars, dans un article dédié l’utilisant à propos de  la charte de franchise de la ville de Chârost datant de 1194. Vous risquez d’en être surpris…

Cette science, via la toponymie et l’analyse de chartes médiévales, a fait entrer la Préhistoire dans l’Histoire… par moi. C’est une de mes nombreuses œuvres… Un problème avec la paternité des choses ? Sont-ce les vôtres vraiment ? Une dent contre les intellos ? Contre les paysans ? Un riz Khan ment ?

J’ai trouvé des charançons indo-chinois dans un sac importé…

et des embryons dans des œufs bio…

alors que… la diplomatique…

Grâce à la diplomatique, on peut s’apercevoir de maintes supercheries, usurpations, empoisonnements, déformations, ignorances volontaires, etc. Les diplomatistes de la Congrégation de Saint-Maur, au XVIIe siècle, en pleines Guerres de Religion, étaient les OO7, les speculatores, les supers agents de la vérités sur les documents écrits les concernant, et à travers eux de tous les documents, de toute matérialité humaine, de tout « votre » Monde, qui par eux en est le mien… aujourd’hui même (Non ? Vous n’êtes pas en train de me lire ? de me voler ?). Les tenants de cette science indispensable doivent faire des petits pour déminer et non pour des minets. Cette science et sa discipline, son honnêteté, est la clé de l’avenir de tous…

Le vôtre ?

Non ! NOM ?

Vaste sujet…

qui prendra tout…

par votre négligence d’elle…

surtout en matière d’amour et de zoologie…

et pour la diplomatie vous avez Valençay (36), le boiteux, Claude

Le saint sain syn-seings en seins qui plantent (@) Saint-Plantaire…

Pour avoir étudié précisément quelques anciennes possessions de l’abbaye de Déols, dont l’église Saint-Michel de Lourdoueix-Saint-Michel, on trouve dans la liste de la bulle pontificale du 13 novembre 1115 des mentions d’édifices ecclésiastiques lui appartenant qui étaient autrefois nommés et écrits avec des noms abusivement latinisés. Ainsi pour l’église Saint-Pantaléon de Saint-Plantaire, on trouve « ecclesiam Sancti Pantaleonis » oubliant le nom de Saint-Plantaire et le fusionnant comme d’une évidence avec le nom de saint Pantaléon. Cependant la toponymie indique que le lieu-dit est bien Saint-Plantaire, qui amena par attraction prédatrice, le culte de saint Pantaléon en ces lieux, à partir d’un culte romain greffé sans doute avant sur un culte gaulois plus ancien qui s’était  installé sur un culte préhistorique plus ancien, car il s’agit d’un lieu caractérisé par une source sacrée autrefois médicinale, aujourd’hui puits et lavoir. Le lieu Saint-Plantaire, renseigné localement par d’autres toponymes, doit donc se comprendre, entre autres définitions langagières, comme d’un Syn-Plantaire.

J’ai consacré à partir de Saint-Plantaire, où c’est remarquablement visible, un article et un livret à cette particularité des anciens « syn-« , « ensemble de…, », comme définitions géographiques, géologique, géomorphologique, animal, botanique… latinisées en Saint-, Sanctus, par les envoyés de la pacifique et civilisatrice religion universelle chrétienne catholique romaine, usurpatrice de l’Empire romain, c’est-à-dire du principe de Rome, elle-même.

Rome étant définie et se définissant fièrement comme la Louve, la Putain, l’Urbs

La raison de l’oubli du maquillage d’une telle usurpation sémantique est l’éloignement et l’isolement rural. Cet abandon et cet isolement sont documentés au XVe siècle par la récupération et la fortification de l’église de cette paroisse et de son bourg par l’évêque de Limoges. Cette église était de sa responsabilité avant l’implantation de l’abbaye de Déols en ces terres par la force armée du seigneur de Déols, seigneur de Châteauroux. L’église du XIIe siècle, de style roman, construite par les moines de l’abbaye de Déols était déjà plus au moins fortifiée avec une sorte de donjon-clocher à cause de son opportunité de belvédère. L’église de Saint-Plantaire, où le panorama est un peu plus bouché, fut aussi fortifiée, mais sans clocher-tour, avec d’épais murs de maçonnerie et une porte renforcée, maçonneries qui étaient une nouveauté à l’époque en milieu rural.

Période où les Gaules se couvrent d’églises en chaux, pierres et sables…

Tout Lourdoueix-Saint-Michel… entre autres renseignements géologiques…

La raison de l’appartenance primitive de l’église de Lourdoueix-Saint-Michel à l’évêque de Limoges en est qu’il s’agit d’une église de frontière antique de diocèse romain. La raison à cette usurpation par l’abbaye de Déols, fut, encore là, l’abandon et l’isolement, mais aussi le fait que l’abbaye de Déols avait été défiscalisée par le pape dont la chancellerie sortit en 1115 cette mention avec les éléments fournis par les clercs de Déols. La fortification de l’église de Lourdoueix-Saint-Michel au XVe siècle, marque donc un peu la fin du règne des évêques fainéants de palais dans ce diocèse, mais surtout l’apparition des mercenaires routiers pendant la guerre franco-anglaise de Cent Ans… et que leur menace était là plus réelle qu’ailleurs à cause de l’isolement des lieux qui dût en tuer beaucoup des curés, avant Déols, et avant les frais de l’évêque de Limoges. Paix à leurs âmes… ! Sœurs ?

?

Sentant…

la frontière antique cognitive…

indépassable et impensable à vous tous…

Le style de cette latinisation est clunisien… et marque son époque,

temps contrôlés par des lettrés que plus personne ne comprend plus

dont l’intelligence dépasse même les plus connus des médiévistes…

cette découverte, mienne, en faisant définitivement preuve :

L’église Saint-Michel de Lourdoueix-Syn-Michel

en ceint saint SYN seing sein…

Maintenant sain ?

Le droit romain latin e(s)t l’exception franque dite française…

Vous pouvez refaire ou relire tout mon travail… Je vais essayer de faire présentement en présent plus court… mais c’est la conclusion de l’expérience… et cela n’est pas exprimable et traduisible en langue de Mammon, celle du Diable, in englishinn -ing gueux l’ich, votre langue des marchands du Temple… et des suceurs de m…

Les Boches, les Fritz , les Chleuhs, barbares et autres barbaresques, pillards anthropophages, fans des tondeuses à gazon et des barbecues, veulent nous faire croire à travers le Traité de Verdun de 843 qu’on baragouinait leur sabir germanique dans les campagnes au IXe siècle, et latin du XIIe siècle… Pourquoi pas malais au XXe siècle avec la thon qui noise… Hun ? Hein ? Quoi ? Coup à ? Coût a… cou à…

Il se croit Hunnique, je pense…

Je vous jure que c’est vrai alors que…

Charlemagne était illettré, voire analphabète !

et qu’il n’était pas allemand mais franc, une blague Belge…

et que cela faisait quand même un moment qu’on était romanisés…

Un problème d’accord ? Où ça ? Vous l’avez repéré ? Dénoncez-le ! Écrivez-moi !

Les curés, entre le IVe siècle et le IXe siècle, n’étaient-ils pas un peu tous italiens ? De Transalpine ou de Cisalpine ? Sans parler des chrétiens d’avant, très nombreux, survivants des persécutions des empereurs romains, dont celle de Dioclétien au début du IVe siècle, sans parler des Gaulois qui utilisaient l’alphabet grec… et qui avaient affaire avec Marseille, Saint-Tropez, Nice, Cannes…

Relisez un peu du Grec ancien, moi, j’ai inventé la méthode…

Une leçon ? Une Leu (loup) sont… ? Rome ?

Doit-on leur rappeler à ces descendants d’empereurs du Saint-Empire Romain Germanique de Cortès, usurpateur de Tibère, de Claude le Lyonnais…, et autres Protestants descendants des sectes hérétiques des Khan (presque tous les Asiatiques sont les descendants de Gengis Khan par les études génétiques des orientaux), et autres califes, fiottes de palais indo-chinois, de palets très épicés et de pas laids en sabots en tant que parasite du cheval, de l’âne, du chameau… que c’est Jules César qui créa les bibliothèques publiques et donc aussi le NET, et que Auguste César fut le dieu de l’enfance heureuse et studieuse de Jésus de Nazareth, mort et ressuscité sur la Croix par le savoir-faire des légionnaires romains foutus dans ce désert ignoble, vrai trou à merde et à lépreux, synonyme d’hébreux en Égypte ancienne ? Les deux larrons ont souffert, mais est-ce qu’un lépreux, ça souffre sur une croix ? Non ! Et blablabla… et ça continue…

ill de Pâques ?

L’âge est -enne ?

Là, j’ai haine ? La Géhenne !

Véritable muraille de Chine, partout ici !

Jésus de Nazareth anté-Christ avant que vous ne le sachiez comme Christ…

Quand on naît berger de brebis désertificatrices de l’Himalaya…

N’est-on pas par défaut, égorgeur de moutons ?

Enculeur de chèvres ? voire d’ânes d’Iran ?

pour en faire tourner la meule…

avec chiens pire que les Loups, ses Romains ?

Babyloniens avant d’en être Judéens, voire Égyptiens ?

Voire Marocains ? Voire Américains ? Voire Indo-Chinois ?

Voire administrateurs chinois de rizières en fausses sceptiques,

nomades sibériens puis tropicaux, puis amérindiens en toute zénitude…

pour en retrouver son Créateur de chimères et de mythes et de mites orientales… ?

Toute la toponymie, qu’on croit née dans les années 60 des Boomers (en découvrir ma bibliographie à ce sujet), alors qu’elle est due à Jules César relayé par l’Église chrétienne catholique romaine et notamment via la diplomatique de la Congrégation de Saint-Maur, en est polluée de cette germanophilie de l’occupant nazi… très Frank en Stein !

La Marche se trouve entre les deux, mais les deux débordent…

Moi je sais dire qu’une porte, c’est une lourde…

et pas forcément leur oratoire…

mais à Lourdoueix-Saint-Michel

sur la Marche, où plus au nord c’est un peu plat…

alors halle hors… pourquoi pas les deux, lait d’eux, l’aide laide…

De quand date les actes juridiques en vieux français ?

L’utilisation du vieux français dans les actes juridiques courants date des environs de 1260… avec l’introduction des baillis et des officiaux dans le droit du royaume de France. C’est sous le règne de Saint Louis, Louis IX, roi de France, mais ce fut avant l’œuvre administrative de Philippe Auguste. On constate dans les chartes et actes juridiques que nous sommes vers 1260 entre une période de superstitions inscrites avec lancement de menaces diverses, voire de mauvais sorts, etc., et des textes juridiques uniquement construits avec des éléments de probations étudiées aujourd’hui par la diplomatique. Ce fut une sorte de laïcisation, assez bourgeoisement technique et presque déjà gallicane, du droit après la longue période romane des superstitions judéo-chrétiennes gorgées d’Ancien Testament génocidaire et incestueux, monstrueusement visibles en architecture avec l’art roman. L’origine de ce virage juridique est visible aussi en architecture avec l’art français, dit gothique par la presse judéo-maniaque esclavagiste néo-germano-juif d’origine prussienne du XIXe siècle. Ce virage, ce tournant historique, est dû notamment à la Bataille de Fréteval (41 ; Loir-et-Cher) en 1194 qui vit le pillage par les Anglais des archives nomades des rois de France. Ce pillage entraîna la création de la forteresse du Louvre… et de la sédentarisation desdites archives, créant les Archives royales, qui en deviendront Archives Nationales après la Révolution française.

Le Louvre (75) et Lourdoueix-Saint-Michel (36) sont donc totalement liés…

et votre présence à lire ceci et à me lire ici aussi…

Une sacrée putain de porte, de grosse lourde, comme on dit par chez moi !

La statistique et les constats de ces changements des environs de 1260 sont indiqués dans mon mémoire de Maîtrise publié le 8 juin 1988 sous la direction de monsieur Bernard Chevalier, professeur d’histoire médiévale à l’Université François Rabelais de Tours : Nicolas Huron : Le cartulaire du prieuré de Moncé (1209-1282) transcription et introduction générale, en 4 volumes, 555 pages plus les annexes.

Vous faites partie des annexes…

Soyez-en fier si vous avez lu jusque là…

Voici un exemple avec deux actes, avec deux photos chacun, recto et détail du recto, concernant la paroisse de Huisseau-sur-Cosson (41 ; Loir-et-Cher), et provenant du fonds de l’abbaye de Bourgmoyen de Blois, documents indiqués dans mon étude sur les noms de lieux de cette commune (page 44 et dans ma bibliographie page 181) documents concernant son église Saint-Étienne :

Acte latin de décembre 1260 : Archives départementales de Loir-et-Cher, fonds de l’abbaye de Bourgmoyen de Blois, liasse des propriétés sur Huisseau-sur-Cosson : 3H60, pièce 23.

Photo Nicolas Huron

Détail du même.

Photo Nicolas Huron

Acte en vieux français de 1278 : Archives départementales de Loir-et-Cher, fonds de l’abbaye de Bourgmoyen de Blois, liasse des propriétés sur Huisseau-sur-Cosson : 3H60, pièce 25.

Photo Nicolas Huron

Détail du même.

Photo Nicolas Huron

L’apprentissage de la science qui sert à lire ce genre de document, outre l’usage des dictionnaires, est la paléographie qui est une science annexe de la diplomatique.

Parlait-on latin ou en vieux français en 1115 ?

À la campagne, on a haut qu’Hun doute là-dessus. Par contre (expression à la mode dans les années Mitterrand) chez les P(h)arisiens… on se demande s’ils ne parlent pas Chinois maintenant à Tours à cause d’eux, voire pire sa muraille de Chine : turques, slaves, polonais, arabes, baltes, africains provenant de Bornéo et autres Malais, yéménites voire somaliens et autres chimères indo-chinoises trafiquées sur l’Océan Indien… alors pourquoi pas éthiopiens de la Reine de Sabbat… pour continuer le rire jaune… avec l’humour noir… Quant au Français de Françay, en bon français, vous le trouverez encore ici… Quant à Paris, par Charles VII et Charles d’Orléans, ils parlent maintenant tourangeau, et ça gagne le Québec et pas qu’eux… Ils ne parlent plus du tout Paris-goths en ce moment, quoique(ue)… tout du moins dans leurs radios et leurs télés judéo-maniaques… babyloniennes asiatiques.

Parce que le Parisien, en goût ail, c’est un peu vulgaire normalement…

personne ne le comprend du premier coup

trop riche en vocabulaire un peu grinçant…

Cela laisse le temps de ne pas s’en fâcher…

mais assurément très poly poli envers ses dames quand elles en sont…

On a un peu de mal à comprendre la Renaissance du XVIe siècle car certains pensent Léonard de Vinci intelligent, et François Rabelais reste à apprendre à lire… mais d’autres textes de la même époque sont moins difficiles. Molière, c’est le XVIIe siècle, le comprenez-vous encore ? Sa pièce de 1672 Les femmes savantes remarquablement jouée en 1964 est-elle comprise à cette date ? Est-elle encore comprise jouée en 2019 en inversion revendicatrice ? Cela fait quand même plus de 350 ans…

Le traité de Verdun est de 843 fut écrit, très phonétiquement, voire traduit, pour les barbares concernés. Cependant la campagne change bien moins vite que la vile quand elle n’est pas totalement dépeuplée… 843 + 350 = 1193, date à laquelle, sous Philippe Auguste, on disait déjà Lourdoueix-Saint-Michel… sans en penser l’écrit et depuis bien longtemps, tout comme Lourdes où est syn micas ailes… cuis cuis cuis QI QI QI ! Cul y…

Oui, c’est le mépris envers mon peuple, mon lieu et ma langue

que vous constatez par vous-même ici…

Et pourtant, vous nous devez tout, même l’Italie du Nord…

Je crois que, pour trahison, c’est habituellement, les p(e)lotons d’exécution…

Donc, à la question parlait-on français, voire vieux français, en 1115 ? En 1115, la France, se limitait encore à l’Île de France, mais pas le royaume des Francs, et l’Europe pour les lettrés se limitait à la côte Sud de la Crête, et l’Afrique à la Tunisie, et l’US aux cochons, voire à « lu est-ce ? » ou « eue est-ce ? »… Mais comme la cour du roi des Francs se déplaçait, on parlait français, là où était la cour du roi. Sinon, habituellement chez soi, on y parle comme chez soi : beauceron, solognot, percheron, blésois, tourangeau, auvergnat, berrichon… et on se comprend assez bien, sans vraiment comprendre Paris et ses lubies de féministes germains documentés par Molière et l’Église chrétienne catholique romaine… qui vous nourrit encore en corps en cors, et en cor (peau un peu lépreuse parfois confondue avec quelques cales), sachez-le quand même spirituellement, temporellement

campanairement…

MOU-TON

En se découvrant le chef…

Qui a gagné Paris ? La campagne…

par le palet en palais royal et vis d’amants…

et à Paris, on parlait Île de France, et aux environs aussi…

cependant, il fallait écrire latin proprement, puisque Charlemagne…

avait inventé l’école pour lui-même et sa compagnie de barbares belges

qu’il faut bien un jour réussir à le civiliser, avec moult efforts et qu’on tord si on…

portail d’entrée, clocher, et chevet compris… nef, chœur et chapelles latérales avec…

même si elle s’est fortifiée par deux fois, voire par cette république qu’on pense raie…

au conditionnel comme au futur simple, histoire de ne pas se compliquer trop l’existant

non

mais

qu(‘)elle

cloche

Une compréhension phonétique de haute voix : astuce !

Une certaine professeur d’histoire médiévale m’a transmis un truc, une astuce, pour comprendre mieux les textes de vieux français. Il faut les lire à haute voix afin de s’entendre, et d’en essayer quelques prononciations. Ainsi, le temps s’écoulant comme temps de réaction entre le son sortant de votre bouche et l’oreille en retour permet de faire comme si une autre personne vous lisait une histoire… Les mamans font cela, aussi pour elle-même, avec leur enfant…

Une faute d’accord ?

Un secouement un peu trémolo dans la voix

dû au bombardement hertzien de 1889 toujours en cours ?

Quand on connaît cette technique de médiéviste, et que l’on veut éviter le trémolo des poisons existants et secouants hertziens américano-judéo-négro-amérindiens qui datent hélas d’avant les enregistrements Edison et autres (on ne connaît la vraie voix de personne), on peut lire le texte en pensées verbalisées, car quand on est en bibliothèque ou en archives, il vaut mieux, pour le confort de tous garder le silence…

Donc mettez-vous techniquement en pensées verbalisées…

C’est un mode de communications…

une bouteille jetée à la Mère…

Elle s’en fout, moi, je les entends toutes…

parasites paras sites que vous êtes tous en mon Monde…

Le Monde chrétien catholique romain qui vous a mis en mondes.

Un nombre incroyable de personnes ne sait pas penser en pensée verbalisée, s’entendre parler dans sa tête, réfléchir dans sa langue… Cela s’apprend et je suis le seul spécialiste au monde de cela, et le seul spécialiste honnête au monde de ce que cela implique en compréhension collective… et qui confirme ce que disent les historiens : « Tout est dans tout« .

Tortue

Tor tue

¿ Tords-tu ?

Tords tuent

Vous êtes chez moi,

vous êtes en moi…

et non le contraire…

car tel un oiseau de proie et pour l’avoir fait…

le Christ a dit et dit en corps encore en cors en cor

qu’il vous vomit de sa bouche et c’est parfaitement exact.

La Fffffff’rance vous a digéré, vous digère et vous digèrera…

C’est une exactitude comme souvenir personnel et zoologique,

en gardant le souvenir des cigognes portant l’enfant nouveau

sur les grandes îles qu’étaient l’Armorique et le Massif Central

tel le nid d’un ptéranodon où les petits laissent échapper

quelques chétives espèces invasives en transit…

voire quelques dinosaures bipèdes…

Veritas, vers y tasse…

Grandis ! Ose !

Donc, pour aborder la suite, faites-le à haute voix, mais si vous ne voulez pas vous faire accuser de folie auprès de tous ces horribles menteurs, faites-le dans votre tête, comme une prière à Dieu… que j’entendrai sublimement car je suis ici chez moi…

du Verbe suivre…

le suivant…

mon père.

Un exemple de parler récité de 1098… la Chanson d’Antioche de Richard Pelerin

À lire une chanson de geste de la fin du XIe siècle, comme la Chanson d’Antioche, de Richard Pelerin, datée des environs de 1098 et portant récit de la première croisade de 1098, on s’aperçoit qu’on parlait et on écrivait déjà en vieux français en 1115. Cette chanson fut traduite à l’époque en occitan et en latin. Donc sur la Marche, à Lourdoueix-Saint-Michel, sans doute, que l’on y parlait et qu’on y comprenait les deux langues vivantes, ainsi que le latin, voire le grec pour les lettrés… Et comme nous avons à faire à un latin médiéval très différent du latin classique romain, on peut aussi envisager que le latin médiéval était une langue vivante à l’époque, mais réservée à une certaine élite de lettrés, nobles et ecclésiastiques. En matière d’actes juridiques, c’est ce dont on s’aperçoit, et c’est vraiment rempli de pièges…

Extrait (page 74 du pdf indiqué en référence ci-dessous) :

« CHANT PREMIER

SEIGNEUR, soiés en pais, laisiés la noise ester

Sé vous volés chançon gloriose escouter

Jà de nule millor ne vous dira jougler ;

C’est de la sainte vile qui tant fait à loer,

Où Diex laisa son corps et plaier et navrer,

Et ferir de la lance et en la crois poser ;

Jherusalem l’apele qui droit la veut nomer.

Cil novel Jougleor en suelent chanter,

Le vrai commencement en ont laisié ester ;

Mais Grains d’or de Douai nel veut mie oublier. »

Fin de l’extrait !

Une porte, une lourde douée de Douai… en eaux…

Je précise que cela fut limité par les caractères à la disposition des typographes… et que pour la ponctuation, il faut mieux voir ci-dessous une copie originelle.

Publié, on peut relire le texte complet comme apprentissage des sens multiples des mots sonores exprimés phonétiquement sans les normes orthographiques instaurées par Richelieu avec l’Académie française sous Louis XIII pour normaliser le droit écrit et rendre classique, fiable et référentielle la langue française, parce qu’au Nord ils ne comprennent qu’eux en « droits » coutumiers, et que dans le Sud, ils embrouillent… en soi-disant droit « écrit » et cris… Il n’y a qu’au milieu, en pays ligérien qu’on le sait… Blois et son concours de poésie de Charles d’Orléans pour en prendre les profiteurs de guère et de guerre… et autres tambourineurs… de palet et de palais… Mais avec cette lecture récitée du début du XIIe siècle, voire du XIIIe siècle, on peut ainsi s’apercevoir qu’à l’époque existait une certaine poly-sémantique linguistique certaine qui offrait quelques fantaisies et qui révèle en toponymie des singularités plurielles, établies depuis la Préhistoire pour certains noms de lieux, comme des pluriels singuliers.

N’en plaisantez pas sur le Roué (Roy, roi, roua, roue est…), même s’il hait petit…

Sa position ne lui est pas due, mais sue bi… Non ? NOM !

Cru si fié s’il en est… l’huis hausse-y !

Juste après Henry IV, histoire d’Henri re…

En rire, c’est pour faire de la marge ou de la place dans le tuyau à mère de… ?

Je vous propose comme publication pour vous y essayer : ROMANS DES DOUZE PAIRS DE FRANCE N° XI : La chanson d’Antioche, composée au début du XIIe siècle par le pèlerin Richard renouvelée sous le règne de Philippe Auguste par Graindor de Douai publiée pour la première fois par Paulin Paris, tome 1., Paris, J. TECHENER, LIBRAIRE, Place du Louvre, M DCCC XLVIII (1748), provenant de la Bibliothèque royale, puis de la Bibliothèque impériale, puis de… sachant que, insulte aux fiottes de modérateurs à la mode, le titre est entièrement en MAJUSCULES… d’où peut-être une erreur à PELERIN, dont voici le lien pour en vérifier la teneur… et pour votre philologie personnelle.

En chemin, c’est à vous de voir… À vous deux ? Avoue d’eux ? … ?

Lourd-doué-Saint-Michel depuis le nord et Déols !

Lourde-ou-e(s)t-Sant-Miquèl depuis le sud et Limoges !

Si on veut relire une copie médiévale du texte, il faut se mettre à la paléographie, et là c’est quelques années d’apprentissage. Mais vous pouvez voir ce que cela donne comme magnifique ouvrage avec ces liens d’un exemple remarquable à la Bibliothèque Nationale de France.

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b100261089

Pour la cote de cet effroyable merveille de votre ignorance MSFR12558 :

https://archivesetmanuscrits.bnf.fr/ark:/12148/cc43742g

Cote : Français 12558
Ancienne cote : Supplément français 540, 81
Les Enfants-Cygnes — La Chanson du Chevalier au cygne — Les Enfances Godefroi — La Chanson d’Antioche — Les Chétifs — La Conquête de Jérusalem.
XIIIe siècle (mileu ou 3/4 quart)
France (Nord-Est)

Dont voici une illustration enluminée :

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b100261089/f124.item

Et un extrait avec son écriture manuscrite authentique du XIIIe siècle :

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b100261089/f125.item

Extrait : « Segnor soies enpais laisies la noise ester

se v(os ou ous) voles canco(n) glorieuse escouter

J a de nul mellor ne v(os ou ous) dira iougler

c este chanco(n) doit on cier & amer… »

Mais la plupart du temps, c’est un peu des colonnes comme ça :

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b100261089/f11.item

Je préfère prévenir que c’est très lent d’apprendre à lire ça… mais voyez-en les résultats.

Volez-en les résultats ? Non ? NOM !

Aile ou Y grec ?

Après, on comprend, que manquant un peu de mémoire, les Germains, feignants comme tous les barbares, aient inventé l’imprimerie, et le Hertzien pour la détruire et vendre leurs feuilles de choux… qui est à l’origine un poison chinois pour la Peste Noire… poison plein de métaux lourds, nano-thermites s’enflammant avec ledit Hertzien…

Un appel tel est faux Nike ? phonique ? faunique ? Faux nique…

Jules César vous l’avait écrit qu’ils étaient infiniment barbares…

alors que les Druides pouvaient réciter des milliers de versets…

Moi, j’ai vérifié sur le terrain ce qu’il en a écrit et c’est la vérité…

Voulez-vous en apprendre quelques pièces tirées de Molière ?

Pourtant en empoisonnements indo-chinois, il y a bien pire…

Je suis le seul capable de pouvoir encore vous en informer…

mais je sais, hélas d’expérience, qu’on n’arrive même pas

à leur faire apprendre la table +1… alors x 7, imaginez…

avec leurs chimères robotiques à pieds plats…

Le débat diplomatique tient à l’apostrophe…

La mention écrite écrite, traduite en latin, de l’église de Lourdoueix-Saint-Michel, « ecclesiam de Oratorio Sancti-Michaelis« , indique que le clerc comprenait l’Oratoire Saint-Michel et non Loratoire, c’est-à-dire qu’il sous-entendait, un article défini, l’apostrophe… une sorte d’interpellation un peu provocatrice… typique de cette époque JUsDEO-chrétienne, comme tous peuvent le constater architecturalement dans l’art roman, même à Notre-Dame de Françay (41 ; Loir-et-Cher).

L’Ourdoueix-Saint-Michel, faux vraiment le vouloir…

Mais tout médiéviste expérimenté le sait pour l’avoir constater…

Croyez-en notamment un départ en croisade avec Philippe Auguste en 1190

à travers un testament touchant au Moulin de la Machine, charte assez mesquine…

Ainsi, pour tout connaisseurs de ces gens-là, à en croire Jules César (Guerre d’Alexandrie, évènements d’Égypte, paragraphe 7) cette confusion forçant l’apostrophe semble un acte volontaire pour savoir qui s’en plaindrait, qui contesterait l’autorité du nouveau seigneur, celui de Châteauroux, et donc celle de l’abbé de Déols, astuce pour asseoir ces autorités de manière inique et arbitraire, voir pour éliminer après prise de connaissance des mécontents, dans un second temps, les opposants à cette prise féodale, avec quelques tueurs mercenaires ou aide féminine empoisonneuse de sorcière berrichonne dans cette tache… en taon qu’est poux zzzzz’ œufs… Euh… grammaticalement marque du féminin en français académique. Méthode très à la mode en ce moment sur et pour le NET…

Chantage, dont elles sont toujours et encore, en corps, en cor très fières…

T’raie fille erre…

((((((((((((( )))))))))))))

Cherchez un peu, vous en trouverez…

car vue l’audace pour certaines fortunes, on est obligé de constater

que le droit de cuis(s)age, elles le réclament… et les cocus sont pour ses frais…

sans oublier que c’était quand même le temps des gynécées des donjons romans.

Cette problématique de l’apostrophe se rencontre dans la Chanson d’Antioche datant du retour de la première croisade en 1098 précédemment présentée et citée. Ainsi dans le chant premier strophe IX, on trouve « l’ame dol cors ira en nostre sauvement… », dans la strophe X, on trouve « Or entendés l’estoire que… », dans la strophe XII, on peut remarquer « l’apostoles l’octroie, de joie… » et « Pieron l’ermite« , ou « l’apostoles les a seigniés et benéis… », dans la strophe XIII, page 25 du texte indiqué ci-dessus, on peut noter « Corbarans descendi a l’ostel Murgalie… ».

Mon expérience m’a démontré que Lourdoueix-Saint-Michel n’est pas une déformation de l’oratoire Saint-Michel, mais bien un phrasé gallo-romain, voire même probablement préhistorique et qu’il se prononce Lourdoué-Syn-Michel depuis bien plus longtemps que tout le monde peut envisager de le panser. Pour Lourdoueix-Saint-Pierre, le problème semble exactement le même, venant confirmer cette appréciation à propos de cet apostrophe, apostrophe qui ne figure pas dans les textes de l’époque et où les noms sont soudés avec l’article défini l’ : lostel pour l’ostel…

Et tout le monde peut reprendre l’enquête de zéro, et même des zéros…

à propos de la comptabilité, dites écritures, indo-chinoise…

Certains judéo-phéniciens en auraient vécu 400 ans…

même sang doute 400000000000 ans…

car le zéro à l’origine n’existe pas,

c’était juste un espace « ajustable » d’esclavagistes…

Croyez-en les 0 et les 1 informes à tiques de votre vie

 et n’en croyez pas les zéros et les Huns de votre banquiers…

forcément sataniques, démoniaques, diaboliques, princiers, orientales, etc.

et vie d’amants évidemment est Vidame en Eve y dame en… et vis d’âmes en…

Un oratoire très troubadour roma((((i)))n d’empire byzantin… en pire…

Les deux cas isolés de Lourdoueix-Saint-Michel dans l’Indre (36) et de Lourdoueix-Saint-Pierre toute proche en Creuse (23) ne semblent pas des exceptions. On peut citer la commune de Lourouer, changée au XIXe siècle en Lourouer-Saint-Laurent dans l’Indre, au nord de La Châtre, sur une faille géologique, non loin de sa rivière du même nom, paroisse mentionnée en 1249 avec « decima de Oratorio« , compris comme « dîmes d’Oratoire », et dont l’analyse toponymique reste à faire et à entreprendre sérieusement, et Lourouer-les-Bois, une ancienne paroisse bouffée aujourd’hui par la commune du Poinçonnet (36), mentionnée « parrochia de Loreour« , paroisse de Lourouer, en 1280, et située dans une petite clairière entamant la forêt domaniale de Châteauroux, au sud-est de cette grosse seigneurie, deux toponymes probablement liés comme le sont sémantiquement les deux Lourdoueix.

À partir de là, que doit-on penser des toponymes Ourouer, Ozoir, Ouzouer, etc., qui sont habituellement interprétés comme des anciens oratoires, alors que ce n’est pas si évident, d’autant plus que l’influence de « ecclesiam de Oratorio Sancti-Michaelis » a pu être déterminante des terres minantes…

Putain, Rome, non mais tu l’as vue ?

Ils doivent tout reprendre…

et répondre de tout…

et en payer le temps !

Le feront-ils ? Non ? NOM !

En latin, l’oratoire est lié à la famille sémantique de l’orateur, orator, et de l’art oratoire. Et quand on connaît (un) peu Rome, on pense tout de suite à l’avocat Cicéron si ses ronds…

Qui qu’erre Aunay… avec l’accent !

ou Tchi Tché -rogne…

À vous d’en jouer…

Cependant, les Romains, n’ayant laissé qu’un squelette de la culture grecque et étant particulièrement contrariants avec les Grecs vaincus et généralement leurs esclaves, on s’aperçoit qu’on doit rattacher cette famille sémantique au grec ὁρατός (horatos), signifiant « visible », provenant du verbe ὁράω (horaô) qui signifie « voir », « regarder, être voyant », « fixer les yeux, porter le regard », « regarder à, faire attention à », « avoir les yeux fixés sur, observer, veiller à », mais aussi « voir avec les yeux de l’esprit, comprendre »… Phonétiquement, cette famille est liée à l’aura, l’auréole des saints chrétiens catholiques romains.

Mais pour un romain le terme aura, désigne un souffle léger, une brise, le souffle, le vent, l’air, les airs, ainsi que le souffle de la respiration… Ce mot provient du grec αὔρα (aura), signifiant « souffle d’air », « brise qui vient d’un cours d’eau, de la mer, ou air frais du matin », « vent », « cours incertain et changeant des évènements, des aspirations, des sentiments de l’âme », « souffle, exhalaison, odeur (de l’encens, d’un mets…) » qui se comprend très bien à Lourdoueix-Saint-Michel avec le vent dominant d’ouest dans cette entrée creuse entre les monts de la Marche et la partie du Massif Central appartenant au Limousin. Cela fait en fonction du sens du vent une dépression ou une pression d’air, une aspiration ou une compression qui assèche ou plutôt humifie, refroidit et pas que les esprits… mais qui peut les secouer. L’impression est bien pire, si c’est un vent du nord ou du nord-est… Une dépression et un ciel haut peut en élever certains à la prétention, même à vouloir s’en envoler… même en fumigations plus ou moins bien cuites…

Aspiration…

inspire à si on…

Croyez-en le haut plafond nuageux des States et du Canada,

les dictatures d’Amérique du Sud, les neiges du Kilimandjaro…

et croyez-en les environs de l’Himalaya !

Et on pense à la fable de Jean de La Fontaine, La cigale et la Fourmis, « quand la bise fut venue »… en teen… toute en idées orientales byzantines… hors à toit re… or à toi re… aura t’hoirs eux… aux rates wouah ! Re… Bise hante teint !

Elles adorent en frissonner… et en avoir la chair de poule…

M’entendez-vous ? Loup y es-tu ? L’ouïe et tue ? Louis es-tu ?

Transformer Lourdoué-Syn-Michel en oratoire est très accaparant…

Surtout avec le trou bas doux re… et sa λύρα (lyra, ou loura), lyre vibrante.

Comme deux grands aurochs courbés, penchés l’un vers l’autre en λορδός (lordos)…

Lourdoueix-Saint-Michel et Lourdoueix-Saint-Pierre !

C’est très Douai, douée d’où est doux et…

Croyez-en le grec un peu gallo-romain de λαύρα (laura), corridor, chemin creux, égout…

On envoie et on en voit la particularité géographique, la porte…

Pour ceux qui aiment un peu la géomorphologie humaine

le baiser peut être au barrage d’Eguzon-Chantôme…

vivable sur les bases de loisirs visibles sur Géoportail

en âmes Our… un peu lourdes… voire douées…

typiquement le relief côtier du loup de mère

Ce choix de l’oratoire purement cléricale en accompagnement de guerriers féodaux, fait penser à la morale de la fable Le corbeau et le renard de Jean de La Fontaine « tout flatteur vit au dépens de celui qui l’écoute »… en toute honnête confession de l’époque. Mais ça c’est la correction de Versailles… Dans la réalité que l’on trouve sur le terrain et aux archives… c’est une toute autre paire de manches… qui semblent particulièrement atroces… Quant aux flatteuses… Ulysse a dû s’en attacher à son mât…

Cela sent le rut et en même temps la prédation animale dans un coin à l’écart…

Loup Our (auroch) doux (dol, douleur…) AY (eaux, génitif) !!!

C’est ce las, oui ! Cesse là, oui !

Bise en ti nœuds !

La faune éthique phonétique…

Une nurserie bovine un peu à la merci des loups…

Est-ce encore, en corps, en cors, en cor, différent aujourd’hui ?

Les mentions écrites suivantes anciennes de Lourdoueix-Saint-Michel

Les historiens, toponymistes édités et patentés, parfois linguistes, n’ont pas pris en compte les bulles pontificales de protection des biens de l’abbaye de Déols. Pourquoi ?

Il existe d’autres mentions de Lourdoueix-Saint-Michel dans d’autres bulles pontificales de confirmation des biens de l’abbaye de Déols, avec la même expression « ecclesiam de Oratorio Sancti-Michaelis« , dont celle du pape Innocent II datant du 21 mars 1138, et celle pape Grégoire IX datant du 31 mai 1233 (Les Registres de Grégoire IX: Recueil des bulles de ce Pape ; colonne 753 de cette édition : https://archive.org/details/lesregistresdegr01cathuoft/page/376/mode/2up).

Les historiens, toponymistes édités et patentés, parfois linguistes, retiennent habituellement, en se copiant les uns les autres, les données suivantes sans les référencer : Oratorium sancti Michaelis 1154 ; ecclesia de Oratorio 1212 ; Lourdoyr-Saint-Michel 1504 ; Lourdoye-Saint-Michel 1558 ; Lourdouer 1563 ; Lourdoir-Saint-Michel 1628 ; Lourdoüé-Saint-Michel 1689 ; Lourdoueix-Saint-Michel 1752.

Vous verrez qu’il y a pire notamment à propos de Notre-Dame de Paris…

J’ai personnellement retrouvé notées les mentions suivantes relevées non référencées dans la commune elle-même : « Origine latine ORATORIUM, lieu où l’on prie (ORARE = prier) ; 1154 ORATORIUM SANCTI MICHAELIS ; 1212 Ecclesia de ORATORIO ; 1358 LOURDOYR SAINT-MICHEL ; 1563 LOURDOYR ; 1571 LOURDHOUER ; 1628 LOURDOIR SAINT-MICHEL ; 1689 LOURDOUE SAINT-MICHEL ; 1872 LOURDOUEIX-SAINT-MICHEL. Pendant la Révolution LOURDOUEIX-MARAT.

Il faut tout revérifier… notamment à travers les anciennes publications des sociétés savantes, comme la Revue archéologique, historique et scientifique du Berry, volume 9, par l’Académie du Centre, France, 1903, page 7 (exemple).

Pour se faire vous pouvez vous appuyer sur le travail de relevés d’inventaire que j’ai déjà effectué en consultant page 41 mon étude de 1991 où j’indique les références des sources utilisées aux Archives départementales de l’Indre, aux Archives départementales de la Haute-Vienne et aux Archives Nationales, et ma rapide bibliographie de l’époque, toutes indications à enrichir.

Dans toute cette confusion nous devons retenir le phrasé assez rugueux de Lourdoir… pendant les périodes troublées de la Peste Noire et de la Guerre de Cent Ans et pendant les Guerres de Religion. On y entend phonétiquement l’expression lourd’hoirs… lourde hoir, porte d’héritiers, du latin heres, voire le phrasé Lourd-douère, que l’on trouve comme utilisant une racine ancienne, δυερός (douère), signifiant « malheureux » et lié au mot médiéval et moderne de douaire.

On y entend aussi lourd doux air…

Une prononciation actuellement sous influence napoléonienne… et postale…

Beaucoup de personnes prononcent Auxerre, « Oh queue serre »… alors que la prononciation traditionnelle est « haut sert ».

Sur le NET on trouve la prononciation traditionnelle de Lourdoueix-Saint-Michel, Lourdoué-Saint-Michel, mais on trouve déjà la prononciation « lourde ou ex », ou « Lourd doux Aix »… C’est une prononciation qui est issue de la lecture du nom écrit… et on sait que la plaisanterie piégeuse du -eix semble dater de la seconde moitié XVIIIe siècle, forme « savante » qui fut reprise par les révolutionnaires, puis par l’administration cadastrale napoléonienne, et l’administration des Postes. Sur la carte de Cassini, celle de Louis XVI, on lit Lourdoué-St-Michel.

Ainsi quand un administrateur avait à faire à un des locaux à Châteauroux, si celui-ci parlait de Lourdoué, l’administrateur le prenait pour un bouseux… Mais le piège marche aussi dans l’autre sens… pour les ornières…

Ooooh !

Tout doux…

Donc on comprend mieux l’Oratoire de Saint-Michel…

 imposé par Déols à l’infaillibilité papale…

pour leurs envoyés… et leur envoyer…

depuis 1115

et le renvoyer…

Cette déformation orthographique et phonétique des noms de lieux à la campagne est très courante. Elle date des temps où les locaux voulaient savoir à qui ils avaient à faire… et je peux vous dire que c’est vraiment très usant pour un historien de terrain… d’en avoir une prononciation authentique. J’ai toujours trouvé cela stupide… et malhonnête.

Prononciation traditionnelle renseignée par un curieux qui l’a sans doute entendue :

Prononciation de lecture proposée aux temps des Lumières… piège encore en action…

Donc, si vous vous intéressez à un ailleurs… Faites comme moi, relisez la liste des toponymes de la commune à l’oreille de quelqu’un du cru. Mais, ne faites pas confiance à 100%, vérifiez ! Généralement, cela les fait rire…

Croyez-en cette conférence :

Alors ? à Laure ? à l’or ?

Lourdoire ? Lourdouay ? Lourd’Aix ?

Un sens familier méprisé : la lourde, la porte !

Dans le phrasé Lourdoueix-Saint-Michel, on y entend le mot « lourde » qui désigne une « porte » en langage familier, argotique, un peu art gothique parisien qui en a fait l’étymologie. Ce mot est lié au verbe « lourder » qui signifie « larguer », « foutre dehors ».

 

J’utilise moi-même personnellement ce terme

qui fait partie de ma langue maternelle.

Un sens humide, dissous, fondu, perdu, mais très Douai…

article en construction…

Une singularité plurielle et un pluriel singulier oubliés

Une réalité géomorphologique descriptive

Une réalité linguistique préhistorique non reconnue

Lourdoueix-Saint-Pierre confirmation via l’administration

Mais Lourdoueix-Saint-Pierre, une poésie infinie très terrienne !

La preuve par Lourdes

Preuves à l’épreuve de la toponymie française

Un rapport avec les toponymes La Porte…

Une géologie de sable dur avec des plaques granitiques

Des maisons bâties avec et sur du sable magmatique, voire métamorphique

Un toponyme d’humidité plutôt Douée

Une géomorphologie de coquillage

La porte d’entrée ouest d’un abri montagneux…

Une frontière naturel et climatique : les monts de la Marche

Un chemin de ronde de frontière antique

Un bourg fortifié sans doute d’origine gauloise

Une appropriation clunisienne et féodale par Déols

Une église romane établie en donjon

Une exceptionnelle église gothiquement fortifiée à chemin de ronde

L’oubli par les dévastations des guerres de Religion et des invasions…

Un isolement et un embourbement des bêtes

Un rare inventaire de la population à la fin du XVIIIe siècle

Le vide révolutionnaire et napoléonien…

Un goût et une imitation XIXe siècle romantique post Rome antique

Un grand collège mensonger qui en aurait des choses à raconter…

La rupture de la Grande Guerre et le massacre du savoir

Anesthésie de pédantisme en hypocrisie d’Hippocrate aristocrate…

La preuve par les toponymistes officiels non historiens

En cumul qu’eut mules, des traces des invasions orientales

L’évocation antique d’un démon de la lubricité…

Les conséquences de ces constances sur la nature dite humaine

Quand le mépris préserve… le mets pris en ruralité appauvrie…

Le désert français pour les desserts parisiens en attente de desserte

Une nouvelle aspiration à la ruralité sans inspiration patrimoniale

A quoi rit haut fil ? En fort âge de sables et thermes romains

article en construction

Pour en restaurer une réalité viable

et compréhensible

à toutes les bonnes volontés,

mise en jeux, ici, de connaissances

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