Mon ouvrage inventaire de 193 pages avec quelques plus… !
Cangey (37), histoire par ses noms de lieux
Cet ouvrage sur les noms de lieux de Cangey est disponible en cadeau .pdf
avec mon jeu des noms de lieux, un petit diaporama, la vidéo de la conférence,
des infos supplémentaires et une invitation à participations scientifiques…
ou directement là en téléchargement pour découvertes et archivages :
https://patrimoine-rural.com/NicolasHuron-Toponymie-Cange(37).pdf
Il vous est possible de me demander une version papier pas pillée…
Ci-après, un extrait de cet ouvrage sur le nom de lieux de Cangey.
Cangey !
Graal…
Grr’râle…
qu’ange est…
gras (h)all(e) ?!
La toponymie peut-elle compléter un lexique
proto-historique ou préhistorique ?
Faune-éthique phonétique ?
Extra super terrestre ?
Géo gras fit que… ?
Si, si, relisez
Cisse tissée en apprenti sage
religieusement
étymologiquement, et t’i mot logiquement,
Cangey, camp « γη » haut et bas, quand j’ai…
tous les panneaux routiers, cartes et cadastres !
En voici ci-dessous un extrait par ma grande étude des noms de lieux de la commune.
Son contenu montre l’état d’avancement de cette science à sa date de publication en 2015 Beaucoup de progrès ont été faits depuis. Voir à la fin de l’article… son conte nu.
Cangey est un chef-lieu de commune du département d’Indre-et-Loire, situé sur les bords de la Loire en limite de Loir-et-Cher. Aujourd’hui en Touraine, Cangey était autrefois assimilé à la nation gauloise Carnutes et formait la limite entre les Carnutes et les Turons sur les bords de la Loire. Le bourg forme un angle droit inscrit au pied du coteau calcaire de la Loire.
Cangey se prononce Cangé, mais les habitants de la région utilisent également la forme Cangy.
…
Cangey en Frontière antique entre la Touraine et l’ancien pays des Carnutes,
entre les deux diocèses romains de Chartres (province de Sens)
et de Tours (province de Tours), frontière définie par Jules César.
Carte Nicolas Huron
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Extrait
avec à la fin une petite suggestion de mise à jour…
On arrête pas le progrès…
…
Les anciennes interprétations
Dans leur Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, édité en 1963, Albert Dauzat et Charles Rostaing, proposait pour Cangey (Indre-et-Loire) l’interprétation suivante : « ne peut être phonétiquement un Candiacum ; Comiacum du nom d’homme gaulois Commios et suffixe –acum est assez vraisemblable. »
Ernest Nègre, dans sa Toponymie générale de la France, éditée en 1990, propose comme interprétation, un nom propre romain Candidius, avec le suffixe –acum, interprétation tirée de Onomasticon totius latinitatis, de Joseph Perrin, édité en 1940.
Ces interprétations ont été depuis reprises sans grands changements, sans critique ni études supplémentaires, par Jean-Marc Pesson et Jean-Marie Cassagne, dans leur ouvrage sur l’Origine de noms de villes et villages d’Indre-et-Loire, paru aux éditions Bordessoules en 2001 : Pour certains, Cangey constitue l’héritière de l’ancienne Cominacum ou villa de Commios. Le village s’est donc développé à partir du domaine du Gaulois Commios, un riche propriétaire terrien de l’époque gallo-romaine. D’autres spécialistes estiment que, d’un point de vue phonétique, Commios ne peut amener le nom de CANGEY. Le nom a ensuite évolué en CANDIACUM, devenu CANGEIUM au XIIe siècle.
Ces interprétations ont été construites à partir d’ouvrages d’inventaire de la langue latine tout d’abord édités par des Italiens, comme Egidio Forcellini et son Lexicon totius latinitatis, à la fin du XVIIIe siècle, et par des Allemands avec le Thesaurus Linguae Latinae. Ces travaux, compilés dans la seconde moitié du XIXe siècle, ont été ensuite repris en France au début du XXe siècle par des Français en ne prenant en compte que les données onomastiques, notamment par Joseph Perrin, vers 1913-1920, avec son Onomasticon totius latinitatis, ouvrage qui servit de base aux premières études de toponymie française engagées notamment et principalement par Albert Dauzat et Charles Rostaing, puis par Ernest Nègre. Ces travaux ne s’intéressèrent qu’à l’onomastique et essentiellement qu’à l’anthroponymie, c’est-à-dire aux noms propres de personnes rencontrées dans la littérature latine ou à travers l’épigraphie. Leurs recherches et leurs volumineux dictionnaires n’ont pas pris en compte la géographie, la géologie, ou même le terroir. C’est ainsi qu’une foultitude de toponymes se sont retrouvés affublés d’une interprétation anthroponymique sans plus de recherches et d’explications. Joëlle Doron se distingue un peu dans la revue Ambacia en attribuant à Cangé la traduction gauloise de con-ceton, « le bois de la hauteur ».
Les dernières interprétations
Stéphane Gendron, dans son ouvrage paru en 2012 : L’origine des noms de lieux de l’Indre-et-Loire, communes et anciennes paroisses, aux éditions Hugues de Chivre, fait avancer considérablement la recherche en sortant du champ anthroponymique. Sur Cangé, il écrit : « De Comiacum « domaine de Com(m)ios » ou Cumbiacum « domaine de la vallée ». Pour obtenir le maintien de l’initiale Cang-, il faut partir de Com(m)ios, nom d’homme gaulois bien attesté (Dauzat et Rostaing 1964 ; Delamarre 2007), éventuellement du gaulois cumba « creux, vallée » (à l’origine du français combe et des noms de lieux Combe, Combes, Comps, etc.). Ce sont les deux hypothèses avancées par Gérard Taverdet pour Congé, commune de la Sarthe (Taverdet 2003). En Indre-et-Loire, Cangey a pour homonymes Cangé, hameau et château de Saint-Avertin (Cangeium XIIe s.) et Cangé, village de Saint-Martin-le-Beau (Cangé 1577). Autres explications : nom d’homme romain Candius (Morlet 1985), le nom de personne romain Candidius. Mais Candiacum ou Candidiacum auraient dû aboutir à Changé (forme attestée, ainsi que Changis, Changy). »
Allons plus loin… La courbe
Nous ne pouvons pas, à notre avis, pour Cangé, et bien d’autres toponymes, retenir les interprétations liées, soi-disant, à des noms propres de grands propriétaires terriens gaulois ou romains, voire germains. L’étude du lieu en lui-même n’ayant pas été mise en rapport avec un sens plus probable du nom.
Ce que peut nous apprendre également l’anthroponymie est que le terme cange, désigne, un changeur, un banquier, et que Cangé, signifierait « changé ». Ce nom vient d’un mot gaulois qui donna en latin cambire, puis le verbe de bas-latin cambiare, qui désigne l’échange, le troc.
Le terme gaulois cambo-, désigne une courbe, un méandre. Xavier Delamarre nous fait un inventaire de son utilisation dans son Dictionnaire de la langue gauloise. Cambo apparaît comme le premier terme de nombreux noms de lieux : Cambo-ritum, le gué du méandre, qui a donné Chambord (Loir-et-Cher, Eure), Chambors (Oise), Chamboret (Haute-Vienne), etc., Cambo-dunum, le fort du méandre, qui a donné Kempten (Bavière), Chambezon (Haute-Loire), Chandon (Suisse), etc., Cambo-randa, où la frontière fait un coude, qui a donné Chamarande (Haute-Savoie, Ain, Haute-Marne), Cambo(n)-, le méandre a donné les innombrables Cambon, Chambon, Chambonas. Ce nom désigne un coude de rivière, un méandre. Le français dialectal a un mot chambon pour désignait un terrain fertile, la partie concave d’un méandre étant formée d’alluvions riches.
Les noms propres Cambo, Cambus, signifie courbé, tordu. Le sens du mot cambo– est donné par le celtique insulaire. En vieil irlandais, camb, camm, signifie courbe, courbé, tordu. En gallois, cam, en vieux breton, camm, et en breton kamm, signifient courbé, tordu, de travers. Il y a par ailleurs une forme qui désigne la courbure, le grec kampe, le lithuanien kampas signifie même le coin, l’angle. L’indo-européen –mp– donnant le –mb– celtique.
Notons pour compléter que le terme français cambré, provient du latin camur, qui signifie courbé, vouté, recourbé en dedans, et qui semble provenir de la même racine.
En première conclusion, on peut rapprocher Cangé de la famille des Chambon, pour désigner un méandre ou un lieu tordu, courbé.
L’étude comparative locale de terrain
Cette interprétation semble bien fonctionner à propos du lieu-dit Cange, sur la commune de Lalinde, en Dordogne, auprès du dernier grand méandre de cette rivière dans sa descente du Massif-Central.
Cette interprétation fonctionne également très bien pour le Cangé de Saint-Avertin, en Indre-et-Loire, qui désigne aujourd’hui un château Renaissance construit sur le coteau du Cher et faisant face à une prairie portant le nom de Prairie de Cangé et situé dans le seul méandre remarquable de la rivière du Cher entre Mareuil-sur-Cher, limite de la Touraine en Loir-et-Cher, et l’ouest de la ville de Tours, soit sur une distance d’une quarantaine de kilomètres.
Cette hypothèse peut également fonctionner pour le Cangé de Saint-Martin-le-Beau, en Indre-et-Loire, qui désigne un hameau situé sur la pente du coteau à l’endroit où celui-ci bifurque sur une vallée alluviale ancienne et sèche qui rejoint la vallée de la Loire à la vallée du Cher. Il y a ici un coude dans le relief.
Il existe une ferme appelée Cange ou Cangé au nord-ouest du bourg de Neuillé-Pont-Pierre. Cette ferme est située dans un creux du léger coteau d’un ruisseau. La notion de lieu tordu n’est alors pas perçue comme un changement de direction mais comme une anomalie du coteau, un creux formant un coude avec le petit vallon.
Il semble bien que ce soit la notion de coude qui soit à retenir pour le village de Cangey qui nous intéresse ici. Le coteau y fait un coude et le village ancien est construit au pied de ce coteau formant ainsi lui-même un coude. Il n’y a pas ici de méandre de la Cisse ou de la Loire, mais bien une courbe marquée de l’habitat et du relief. Cangé signifierait alors coudé, tordu.
Etude comparative étendue
Notons pour compléter cette analyse que :
– Cangies, dans la commune de Guiscard, dans le département de la l’Oise forme un angle de relief, un coude droit, entre deux petits vallons occupés par des marais et par la forêt.
– Changé, au nord de Laval, dans le département de la Mayenne, est situé juste sur un coude, un méandre de cette rivière.
– Change, en Côte-d’Or, semble avoir la même configuration coudée que Cangey.
– Changé, dans la Sarthe, à l’est du Mans, semble plus problématique, car il n’y a là ni méandre marqué, ni coudée franche, mais seulement le coude formé par un petit vallon avec la vallée de l’Huisne.
– Le Change, à l’est de Périgueux, est situé sur les méandres les plus marqués de l’Auvézère, affluent de l’Isle, méandres formant un M, la commune étant située sur la pointe centrale basse de cette lettre.
– Changey, dans le département de la Haute-Marne est situé, non loin d’une ancienne voie romaine, au pied d’un coude du relief, comme Cangey.
– Changy, au nord-est de Vitry-le-François, dans le département de la Marne est situé sur la rive convexe d’un méandre, un coude important de la petite rivière de la Chée.
– Changy, au nord-ouest de Roanne, dans le département de la Loire, est situé au pied du coteau formé par d’une faille tectonique, là où elle est creusée par la vallée de la Teyssonne, formant ainsi un coude dans le relief.
– Le vieux bourg de Changy, au sud-ouest de Charolles, dans le département de la Saône-et-Loire, est situé sur un angle du relief, dans la vallée de l’Arconce.
Une vérification statistique peut également se faire sur les lieux-dits suivants :
– Changé sur la commune de Bocé (49).
– Changé sur la commune de Beaumont-Pied-de Bœuf (53).
– Changé sur la commune de Chenillé-Changé (49).
– Changé sur la commune de Pré-en-Pail (53).
– Changé sur la commune d’Auvers-le-Hamon (72).
– Changé sur la commune de Saint-Marceau (72).
– Changé sur la commune de Beaumont-sur-Dême (72).
– Changé sur la commune de Saint-Piat (28).
– Au Haut du Changé sur la commune de Sauville (88).
– A la Borde Changé sur la commune de Vibraye (72).
– Changée sur la commune de Saint-Gonlay (35).
– Changée sur la commune de Muel (35).
– Changy sur la commune de Dompierre-sous-Sanvignes (71).
– Champ de Changy sur la commune de Torcy (21).
– Changy sur la commune de Courcelles-en-Bassée (77).
– Changy sur la commune de Coust (18).
– Changy sur la commune de Taconnay (58).
– Changy sur la commune de Varennes-Changy (45).
– Changy sur la commune de Jully-sur-Sarce (10).
– Changy sur la commune de Chevannes-Changy (58).
– Changy sur la commune de Bourbon-Lancy (71).
– Changy sur la commune d’Epoisses (21).
– Changy sur la commune de Vauxrenard (69).
– Changy sur la commune de Villapourçon (58).
– Changy sur la commune de Cordelle (42).
– Changy sur la commune de Gy-les-Nonains (45).
– Au Fond de Changy sur la commune de Roissy-en-France (95).
– A la Font Changy sur la commune d’Arcomps (18).
– A la Prairie de Changy sur la commune de Lugny-lès-Charolles (71).
– etc.
Ces noms désignent tour à tour, un méandre, un coin, un angle du relief, parfois un angle de frontière, parfois une simple bosse, une courbure, parfois un angle sur une ancienne voie de communication.
Conclusion : naissance d’un nouveau mot gaulois : Cangé, Cangy
La conclusion qui semble s’imposer paraît être que Cangey (Indre-et-Loire) forme un coude, un coin, un angle, qui lui a donné son nom. Ce serait un nom d’origine gauloise. Le terme français se rapprochant le plus d’une traduction possible de ce toponyme serait coudé, ou en coin, en angle. Ce coude devait être simplement la forme en coude de l’habitat du village, ou moins probablement le coude formée par la frontière entre le pays des Carnutes et le pays des Turons et la Loire.
Le fait que dans d’autres régions, ce terme se soit transformé en Changé ou Changy, indique ce coude, ce changement de direction.
L’origine gauloise du toponyme Cangey, Cangy, semble incontestable. Son sens primitif a sans doute été perdu dès l’époque gallo-romaine où des Cambo, Cambon, sont devenus des « champs bons » et où certains Cangé, ou Cangy, sont devenus des « Changé », et des « Changy ». Le can– ne s’est pas transformé en chan– en Touraine. Cette transformation des Cangé en Changé a eu lieu dans l’ouest de la France, alors que l’on trouve surtout les Changy en Bourgogne. Le suffixe –y est dû sans doute à une forte influence romaine antérieure à la Guerre des Gaules, comme peut nous le montrer la carte précédente de répartition des Cangé, Cange, Changé, Change, et Changy sur le territoire français.
Il est à noter également que la transformation du c- en ch- n’a pas été faite dans la partie sud de la France, en pays de langue d’oc et que la Touraine paraît une exception à la règle, sans doute due à une forte romanisation postérieurement à la Guerre des Gaules, déjà remarquée lors d’études réalisées dans les communes voisines de Pocé-sur-Cisse et de Limeray.
Notons que la séparation des syllabes can- et –gy, qui pourrait évoquer un champ, campus, une surface plane, mise en rapport avec gy, le gypse, le plâtre, ou un gy, une pente servant à la descente du bois, n’est pas une piste intéressante à retenir.
…
J’espère que cette recherche vous a plu, elle est extraite de mon étude inventaire des noms de lieux de la commune de Cangey (Indre-et-Loire ; 37).
Vous pouvez retrouver cette interprétation à 33 mn 23′
lors de ma conférence à Cangey en vidéo.
Lien pour obtenir mon ouvrage en pdf ou papier :
Cangey, histoire par ses noms de lieux
ou bien en tête d’article…
…
Mais on peut aller plus loin :
« Camp G », « Camp D », Candé-sur-Beuvron ?
« Quand Geai… », « Qu’ange est… », « Qu’en jets », etc.
Quand j’ai… sous le coude… « Petit mercier, petit panier… »
Jeu des toponymes de Cangey.
et…
Petite suggestion de mise à jour
Aller bien plus loin…
dans la Préhistoire et l’après histoires…
et faire entrer cette Préhistoire dans l’Histoire !
On peut aller beaucoup plus loin si l’on estime que Cangey est un nom phonétique faune-éthique ancien. Ainsi, à travers mes recherches sur les toponymes Saint-Georges, on peut distinguer dans Cangey, Gé, γη, Γῆ (à voir en copiant-collant les mots ou racines grecques dans Le Grand Bailly, dictionnaire grec français, et, à voir de même dans mon étude des Saint-Georges à travers mon livret livré sur Chârost), la terre agricole, sa géographie (ce qui signifie inscrite dans le paysage et pas seulement sur cartes), la planète Terre… qu’en gué… camp gai… certes, assurément en vérité : γε !
Avec le préfixe αν (an, en) αν γε (angé) devient automatiquement αγγε (agé)…
Et beaucoup de mystères pourront se dissiper… en récréation de recréation !
En plus avec devant καν (camp, khan, cane, canne, chant…), κα…
à voir dans Le Grand Bailly, dictionnaire grec français et
à voir dans mon étude des Saint-Georges
à travers mon livret livré sur Chârost.
Terre de cannes de roseaux ?
Une vraie règle chrétienne catholique romaine…
vous avez là un vrai modèle !
faune-éthique en singularité plurielle en pluriel singulier…
Est-ce canon comme explication agricole, réglée ? du Verbe κανων !
Vérifiez, c’est vraiment incroyable…
C’est le coin du lac de Beauce, un lac salée puis d’eau douce drainé… C’est daté !
La règle, de cette terre, c’est sans doute la Loire, la Loi re… pour enfoncer le clou…
Aujourd’hui ma mère de blé : Marie-Claude Huron, née Depussay…
La machine à écrire que vous n’avez pas payée…
Bonne traversée !
…
Après cette consultation…
Je peux fournir une facture pour cette consultation « sans rendez-vous !».
A vous de décider de son montant ici
ou partir comme un voleur…
Osez l’Histoire !
Et sous l’affichette ci-dessous
pour aller plus loin vous-même.
Clic droit, clic gauche ! et à partager…
…
Pour me contacter, veuillez utiliser ces deux adresses :
Mail : nicolas.huron@free.fr
Mail : nicolas.huron13@gmail.com
N’hésitez pas, osez l’Histoire !
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