Lien d’avertissements et d’enquêtes un peu entamées…
Saint-Saturnin de Pouillé
Un défilé, un passage, une montée, une porte,
pour échapper au culte au dieu Saturne
et un secours pour les bovins
contre les cru(e)s du Cher.
Explications
en traces gallo-romaines, gauloises et préhistoriques de géologie des enfers…
via mon ancienne étude avec ces compléments étonnants…
…
…
Cliquez sous la couverture
pour consulter le fichier pdf de
mon ancienne étude-inventaire de son histoire architecturale en 40 pages :
Nicolas Huron : L’église Saint-Saturnin de Pouillé (Loir-et-Cher) – Dossier ECCLESIA janvier 1991, ouvrage de la conférence du samedi 26 janvier 1991 – Université François Rabelais – Tours –ASDRA – ASsociation pour le Développement de la Recherche Appliquée à l’animation culturelle en Région Centre – sous la direction de Bernard CHEVALIER, professeur d’histoire médiévale – Droits rachetés par Nicolas Huron, responsable et créateur du projet ECCLESIA pour l’ASDRA.
Ouvrage associatif aux droits acquis par son auteur,
relu et corrigé bénévolement, la veille de sa conférence datée du samedi 26 janvier 1991,
par ma mère, Marie-Claude HURON, née DEPUSSAY à Françay (Loir-et-Cher),
sa maison d’édition véritable, blésoise, en sa bonne ville royale et agricole de Blois,
à une époque où son auteur, moi-même, était encore illettré et dysorthographique.
Mon étude de l’église Saint-Saturnin de Pouillé (Loir-et-Cher, 41)
Cliquez juste ci-dessus ou ci-dessous pour le savoir avec mon pdf de 41 pages.
Lien transparent : https://patrimoine-rural.com/Nicolas-Huron-POUILLE-41-Eglise-Saint-Saturnin.pdf
à rénover…
avec mon Poli poly-pôle ECCLESIA +
avec des exemples en « boutique » à votre service
et quelques compléments de recherches et quelques précis ions+- si dessous.
à partager avec cette carteNETpostale découverte
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…
à partager aussi avec le panneau explicatif qui était mis en place dans le monument
et qui me servit à financer mes études de maître d’école…
…
Nicolas Huron : panneau explicatif
à télécharger en bien lisible… et à partager au format jpg
https://patrimoine-rural.com/Panneau-POUILLE-41.jpg
avec quelques photos en carrousel à voir sur ma boutique gratuite…
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avec ses compléments sûrs prenant…
ci-dessous
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La saint Saturnin, vers les jours les plus sombres…
Dans le calendrier romain, bien qu’il y ait plusieurs saint Saturnin, voire saint Sernin, le 29 novembre, on s’approche, dans mon hémisphère nord, des jours les plus courts et les plus sombres de l’année, sachant que Pouillé se trouve côté sud du Cher, sur un coteau aligné approximativement sur le lever du Soleil, visibilité qui disparaît sans doute aux environs du 29 novembre, où il y ferait plus froid qu’en face à Thésée…
Vérifiable sur place, ou par un bon géomètre, et sur Géoportail !
Cet alignement glaçant est à vérifier au petit matin…
quand, de par le Cher, Pouillé ne s’en trouverait pas dans le brouillard…
L’altitude du pare-soleil de la Tesnière étant à 125 mètres, alors que la rue principale du bourg de Pouillé longeant son coteau, est d’environ 70 mètres. On y voit jamais l’horizon, ce qui apprend à lever le nez… à s’en servir et à en devenir sédentaire.
Certains, étranges étrangers, rêveraient de lointains horizons ?
Est-ce un as art ? Est-ce un hasard ?
Un poison ou un « poissons »…
Sachant que le vrai froid arrive en général plus tard…
Croyez-en le 24 février 1963… hiver où ma Loire gela.
Saturne et Saturnin, c’est aussi cela… et qu’une étable est parfois nécessaire…
voire une grotte avec allume-cigare, et si gare, en grotte troglodyte,
ou en bâti de matériaux nobles… comme ce syn-pierres
tout en Crétacé en craie tassée blanchâtre
d’église Saint-Saturnin, dès Pouillé,
entre autres étapes essentielles…
…
Une roche de craie blanche à silex à la lampe du Sanctuaire…
Les églises médiévales représentent généralement un excellent moyen d’entrevoir la géologie locale. Les murs de l »église Saint-Saturnin de Pouillé sont bâtis en tuffeau de Touraine, un craie locale formée au Crétacé qui en a pris, avec les millions d’années, des concrétions en silex noir, bruns, rougeâtres, qui présentent bien d’autres couleurs.
Localement, on trouve aussi des ciment silico-ferrugineux, des oolites ferrugineuses, , des sables, des argiles, etc.
Une carte géologique est assez peu parlante pour les non instruits à cette discipline scientifique. C’est une connaissance à aborder avec beaucoup de références : roches, argiles, sables, faunes et flores paléolithiques, etc. Il faut avoir le soutien de l’Internet pour s’en sortir et comprendre, en en trouvant des illustrations, les termes utilisés.
Par exemple, sur la carte géologique du BRGM du secteur, Fy-z désigne les alluvions récents de la rivière du Cher, Fw, une terrasse d’alluvions anciennes. C3 désigne une craie à silex du Crétacé, etc.
Cette carte du BRGM (Bureau des Recherches Géologiques et Minière) demande donc une explication qui est sa notice géologique n° 489N de Saint-Aignan :
http://ficheinfoterre.brgm.fr/Notices/0489N.pdf
En voici l’extrait de son résumé : « La série stratigraphique des terrains affleurants comprend, de bas en haut :
Crétacé Turonien. Épais d’une centaine de mètres, il comprend trois ensembles lithologiques :
– une craie blanche à silex noirs, épaisse d’environ 25 m, dans laquelle se développe parfois, dans la partie orientale de la feuille, un niveau de silice pulvérulente qui peut passer dans le Turonien moyen ;
– des calcarénites micacées à concrétions siliceuses, équivalent latéral du « Tuffeau de Bourré », d’épaisseur comprise entre 30 et 40 m. Des niveaux de sables quartzeux et de silice pulvérulente sont associés aux faciès calcaires ;
– des calcaires bioclastiques, glauconieux, à silex bruns (« Tuffeau jaune de Touraine »), dont la puissance totale peut atteindre 35 m.
Sénonien. Il se présente sous les faciès suivants :
– calcarénites glauconieuses associées à des sables et à des grès (faciès « Craie de Villedieu ») dans l’angle nord-ouest de la feuille. Épaisseur:
10 m ;
– craies blanches à silex (faciès « Craie de Blois ») sur la bordure occidentale de la feuille où leur puissance ne dépasse pas 15 m ;
– formations argilo-siliceuses (argiles blanches à silex et spongiaires siliceux, spongolites). C’est le faciès dominant. Il forme le substratum des plateaux et peut reposer directement sur le Turonien supérieur. Son épaisseur peut atteindre 30 m.
Tertiaire
Éocène détritique. Il est représenté par des sables grossiers et des cailloutis à chailles roulées, des argiles à conglomérats siliceux et des argiles sableuses à graviers de quartz. Ces formations, bien que peu épaisses, couvrent d’assez grandes surfaces sur le plateau de la Gâtine de Montrésor.
Ludien. Calcaires, meulières et marnes (faciès « Calcaire lacustre de Touraine ») visibles seulement sur la bordure occidentale de la feuille, en limite d’extension du bassin lacustre d’Esvres.
Aquitanien. Calcaires et marnes lacustres de Beauce. Ils n’affleurent qu’au Nord de la vallée du Cher; ils appartiennent au bassin de Pontlevoy.
Quaternaire
Formations fluviatiles. Les terrasses d’alluvions anciennes jalonnent le cours du Cher. Les alluvions récentes et modernes tapissent les parties basses des vallées.
Limons des plateaux, bien développés au Sud du Cher, et sables éoliens au Nord, peuvent atteindre 2 m d’épaisseur. Colluvions de versant. D’épaisseur variable, elles sont le plus souvent alimentées par les assises argilo-siliceuses du Sénonien.
Du point de vue tectonique, la couverture sédimentaire présente une structure monoclinale perturbée par des ondulations (structure anticlinale de Senelles) ) et par des accidents cassants fréquemment en relation avec les fractures du socle ».
C’est un charabia un peu abscons pour ceux qui n’y sont pas familiarisés. C’est pourquoi qu’en voir des éléments sur, dans et à travers son église est très parlant, comme d’en visiter les parcelles agricoles et quelques caves à vins, ne serait-ce pour en sentir la force de leurs odeurs, sachant que la craie, dite Tuffeau de Touraine est un véritable absorbeur à odeur et à champignons, notamment le salpêtre qui servait à faire la poudre à canon, poison chinois importé par Marco Polo à la fin du XIIIe siècle, et qui rendit tout le monde fou (En êtes-vous immunisé via les feux d’artifice ?), et que cette roche se taille très bien mais a une tendance à se désagréger, surtout sur les coups des agressions électromagnétiques des antennes pirates, et que le silex peut faire des étincelles en cas de choc, en donnant une forte odeur de brûlé, sachant que tout cela est un peu explosif sous certaines conditions… notamment avec du sucre, un autre poison indo-chinois qui amena bien des malheurs et notamment les Guerres de Religion.
Cela sent un peu la pierre à fusil pour en tenir la lumière et le chauffage,
dans les anciennes grottes préhistoriques de la région…
en rappelant que la lampe du sanctuaire doit toujours être et être allumée,
sachant que le A et le AI, Ê, sont jumeaux et rappellent que l’âtre, ici, c’est aussi l’Être.
Encore un doute en cors en corps ?
pour ceux, par enjeux, qui ne savent pas à quoi ressemble un ange… en jeu…
Sachant qu’il faut piocher en enfer, en bas, pour, avec une hotte, une hôte, un aut’e…
en recharger et en amender les terres des paradis, en haut,
pour une meilleure fructification !!!
Tabernacle en ancien tabernacle
que certains voient et prononcent, pro nonce, en « taverne à que Leu« …
pour quelques loups romains d’origine troyenne, c’est-à-dire Turco-mongole…
menteurs pathologiques, pour ne pas dire génétiques, ici toujours en gênés tiques…

En traces de mirador romain… anciennement en bois, depuis probablement…
Auguste César, de par la Guerre des Gaules de Jules César…
avec un autre J. C. en témoignage de vérités…

Pour quelques archéologues un peu connaisseurs des récupérations…
Photos Nicolas Huron
12 octobre 2019
…
Certaines de ces roches sont une évocation des Enfers, monde évoqué dans la mythologie gallo-romaine et représenté par le dieu Saturne, sachant que dans la région, les silex portent le nom de « fer ». Ainsi l’église Saint-Saturnin de Pouillé a des murs et fondations quelque peu en fers et en Enfer… et que c’est un terroir viticole, voire arboricole fruitier, d’origine romaine, qui, indique souvent en toponymie, les hauteurs du Paradis et les cornes d’abondance… évoqué dans le culte romain de Saturne, dieu lié à l’agriculture, aux bovins, et aux seuils des portes, et donc aux frontières… voire aux frontières de l’esprit.
La craie de Touraine étant assez perméable l’eau, elle peut servir de cage de Faraday pour se protéger un peu des agressions des antennes et des « hante haine »… sachant que pour lutter contre les mauvais esprits, les Chinois empoisonnent tout le monde au salpêtre via les abondants pétards de leurs fêtes… afin de n’en naître et de n’en être qu’un égrégore, plus ou moins télépathique, exterminateur de toute vie sur Terre et en mers… qui dans les faits et les fées, est une moisissure, une moisie sûre…
Rappelée à Fourchette, sur Pocé-sur-Cisse (Indre-et-Loire, 37), près d’Amboise…
Pour ceux qui aurait oublié que le Diable, le Démon, est le roi des menteurs…
Et que c’est donc une femelle… terrible et infiniment ambitieuse…
un((e)) feu(((e))) mêle…
nommée Église pour la Gloire de Rome !
et parfois par foi ECCLESIA !
…
C’est pourquoi le carrelage et les pierres tombales sont plutôt fait, dans ce pays fertilement pourri, avec une pierre de chez moi, plus étanche, le calcaire de Beauce, reconnaissable à ses trous. C’est pour les odeurs… car on en mange autant qu’on en respire…
Le Diable, le Démon, Satan, qui est le roi de menteurs, le prince, fils, de ce monde, est forcément une femelle… car
un(e) feu(e) mêle !
que certains prononcent « fit mêle », fi étant synonyme de foi…
Pour savoir qui c’est… téléchargez et lisez-en mon étude de 1991 ci-dessus !
Photos Nicolas Huron
12 octobre 2019
…
Certains préfèrent les briques rouges, les murs encore plus épais, ou bien les immeubles en verre, avec un profilage « furtif », voire un profilé de bec, comme la Tour Blanche d’Issoudun, les tours à bec des fossés de la forteresse de Loches, ou mieux et plus à jour (vous ne l’êtes pas… et moi non plus) les immeubles loués par Microsoft sur les quais de la Seine à Paris, pour faire face à la ((((( Cité )))) de Londres et à la BBC de la « résistance » organisatrice du nazisme new-yorkais… qui a envoyé un obus dans le clocher de l’église Saint-Saturnin de Pouillé le 20 juin 1940 (voir mon étude d’inventaire de 1991, ci-dessus). Ils savent viser, mais cela les amuse : devis, facture, devis, facture, ça s’achète et ça se vend… et « c’est fait de tous petits riens« … comme l’a chanté un ange véritable, un messager, selon l’étymologie du mot… né le 1 février 1939 non loin de la Mer Rouge, et qui vit son enfance en Égypte auprès du Canal de Suez… pour décéder à Paris le 11 mars 1978, sans en devenir mess âgé… quoique…
https://www.a11yparis.org/documents/acces-campus-microsoft.pdf
Le Monde est petit…
Si vous pensez que cela n’a rien à voir avec Pouillé, vous êtes dans le faux, dès Pouillé et dépouillé, ou que c’est « une impression fosse », comme l’a si bien dit l’ingénieur de formation Boris Vian, poète maudit de son temps, et que vous n’avez pas fait preuve de religion selon le sens étymologique de ce mot, pour en archiver aussi pour l’Éternel et pour l’éternité le trémolo de l’agression de la ((((( Reine ))))) Victoria sur le Monde… dès 1889 avec la fée électricité avec mise à la terre de Paris par monsieur Gustave Eiffel, puis des agressions du jazz des deux guerres mondiales, puis du ((( Rap ))) en viol permanent. Il est temps d’essayer l’église Saint-Saturnin de Pouillé avec ses gros murs humides… pour vous en protéger un peu, d’un Peu, voire d’un Pou… y Est !
((((( Donc Joyeux Noël ! )))))
qui est une préoccupation urgente dès le 29 novembre…
car ces poisons font rire, jaune, avec un humour noir de Ninja Warrior chimérique…
sachant que le rire, gaspillage alimentaire, qui pousse la merde, et la mère de…
dans les tuyaux, était considéré comme démoniaque au Moyen Age.
Essayez-en quelques rogations pour savoir si vous en êtes devenus lépreux ou si vous sentez, encore, en corps, comme moi, et non en cors, une différence en faisant le tour d’échelle de cet édifice honorable et miraculeux qui est l’église Saint-Saturnin de Pouillé, car celle-ci fonctionnait encore avant l’opération COVID et ces milliers d’antennes tueuses installées pendant cette… Quel terme choisir ? Opération militaire ? Empoisonnement aux nano-t(h)ermites ? aux métaux lourds ? Êtes-vous immunisés ? En avez-vous été criminel ou hélas, comme moi depuis des décennies, simple victime ?
Gras halle !
Sinon, pour vous déshypnotiser de tous ces esprits mauvais,
vous avez la butte de Trôo, et son puits qui parle,
où il faut faire le tour, avec sa collégiale à silex,
que j’ai testés, car c’est chez mon père…
de par la boucherie locale
et son monde également troglodyte…
qui fonctionne encore très bien, malgré la ((((( pollution ))))) ambiante…
sachant que les portes sud de l’église Saint-Saturnin de Pouillé furent murées
à cause de mauvais esprits… C’est habituellement la porte des morts, des maures…
Pour ceux qui connaissent la symbolique romane du monde porté par ses piliers,
et ses arcs décorés de diamants, cela devrait faire panser et penser…
Photos Nicolas Huron
12 octobre 2019
…
Les miradors romains, qui équipés de machines, scorpions, ou autres, ont une portée de 600 mètres (voir mon article traitant du sujet : le moulin de la Machine). La vallée du Cher, fait le double, et en face, c’est le diocèse de Chartres… le très sévère, excessif et grand diocèse de Chartres… Croyez-en les ruines romaines de Thésée, Croyez-vous qu’avec le progrès et le pro grès, cela arrive en Chine ?
C’est certains, certes Huns…
C’est très géologique, cela lance des roches… rock ‘n’ roll pour d’autres,
avec ma voiture pour venir la recharger en munitions…
Photos Nicolas Huron
12 octobre 2019
Je vous la regare ou vous la réégare ?
Oui, oui, c’est votre serviteur derrière l’objectif et…
c’est ma bagnole, avec mes tracts… Vous en voulez un ?
Un syn-faune nie ? une symphonie en un seul mot et édifice…
Personnellement je ne l’écrirais pas comme ça !
Les gens du Cru sont assez conservateurs dans les formes, et des miradors romains comme cela, qui envoient, on en voit beaucoup sur les rives du Cher, autoroute navigable bordée de deux voies romaines : Montrichard et son église Notre-Dame, Saint-Aignan, Selles-sru-Cher, Vierzon, etc. Faites-en l’inventaire, car elles ont les proportions des tours en bois de certains sièges romains, et les emplacements de machine de siège ou de surveillance de voierie…
Romaine évidemment la voierie… en rails normalisés de Charon et de charrons.
Tout ça pour Angé (Loir-et-Cher, 41), en Gé, la Terre et la lettre grecque !
perceptibles dans le relief de cette paroisse voisine.
…
Un monde de champignonnières, de chais viticoles et de troglodytes…
En connaissez-vous beaucoup des mondes comme ça ?
À vous d’en rédiger le paragraphe, par agrafes,
para gras feu,
par une visite discrète et respectueuse,
en connaissances de causes, et d’effets…
et d’en faire, en fer, éventuellement vies des hauts et vidéo…
que la porte s’ouvre, que le défilé en soit utile, de cet édifice en escarpement
que tout ce savoir enfin s’avoue arts…
…
Un toponyme de passage expliqué par le gréco-romain en pas sages…
Il suffit d’ouvrir le dictionnaire grec français Le Grand Bailly pour s’apercevoir que la géographie donne raison au fait que la langue gauloise était très proche du grec et donc du romain… et que le latin a pris le dessus comme d’un squelette pas tout à fait pertinent, le vocable antique de Saint-Saturnin faisant preuve…
Quelques articles du Grand Bailly à consulter :
πύλη, poulê : battant de porte, d’où porte, passage, défilé en parlant d’un passage entre deux montagnes.
Le mot grec est Pyles, entendu comme « piles », rappelant le tabouret de traite du lait, avec la lettre Pi, rappelant le pot et les potiers, avec la lettre Upsilon, prononcé souvent U ou OU en toponymie, et dont la forme en Y est rappelée à l’envers par la lettre Lambda, qui montre que ce monde géographique et géomorphologique peut être vu dans les deux sens, nord-sud et sud-nord.
Cette notion de porte, de défilé, est bien visible sur le relief du coteau à Pouillé.
Défilé à constater sur toutes les cartes sur Géoportail !
…
Le relief propre à Pouillé et à ses environs immédiats nous indique un coteau érodé, usé, sans doute par les passages nombreux des bestiaux, descendus ou montés par là, pour s’abreuver ou pour profiter de cette grande prairie alluviale du lit majeur du Cher, phénomène que les géographes nomment « érosion mécanique ».
Exemple d’érosion mécanique… par un mec à nique…
…
Ce phénomène est parfois perceptible dans le relief, comme j’ai pu le constater dans plusieurs endroits liés notamment aux chevaux, comme les lieux-dits Saint-Hippolyte, notamment sur la vallée du Musant, sur la commune de Monestier, près de Chantelle (Allier, 03), ou à d’autres passages d’animaux. On peut découvrir ce phénomène dans d’autres lieux, par exemple à travers mon étude du toponyme de Courtevraud, sur Liglet (Vienne, 86).
Ce phénomène est très bien perceptible à Pouillé.
Perceptible sur la cartographie du relief sur Géoportail !
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Comme la prononciation des lieux varie, on doit prendre en compte le participe du verbe πωλέω, pôléô, tourner et retourner, d’où négocier, trafiquer, et par suite, vendre, affermer, mais aussi trafiquer de soi, se vendre se prostituer, ce qui en cette frontière antique, nous évoque l’esclavagisme romain, et peut-être la fonction des ruines des Maselles, en face sur Thésée, qui est parfois interprété comme un ancien palais, sur l’autre rive, la rive nord du Cher, du côté du diocèse de Chartres, le grand, puissant et sévère diocèse céréalier, qui doit se débarrasser parfois de quelques intrus, voire de sa main-d’œuvre saisonnière de moissonneurs, en mois sonneurs, pour les remplacer par des conducteurs de bestiaux, notamment de moutons, pour la vaine pâture suivant les récoltes, également négociées en ces lieux.
https://bailly.app/p%C3%B4le%C3%B4-%C3%B4
Ce verbe a à voir avec πέλω, pélô, se mouvoir, devenir, mais aussi tourner autour, circuler, nous faisant penser au Cher, qui contourne Pouillé pour en offrir une belle est grande prairie fourragère.
Pouillé contient le mot πῶϋ, πώεος, pôi, pôéos, qui désigne un troupeau de moutons, de brebis, tout en rappelant que des paroissiens sont surnommés des ouailles, le troupeau, gardé par le Sauveur, J. C. Ok ! J. C., mais lequel ?
Ce mot appelle de lui-même le mot ποιμήν, poimên, le pâtre, le berger, le bouvier, celui qui conduit, qui dirige, le pasteur des peuples, sachant qu’ici cette fonction est exercée depuis des milliers d’années, voire plus, par le relief lui-même, et qu’il en garde la trace à travers le toponyme du sommet du domine la « fourche » des deux vallons qui descendent sur le bourg de Pouillé : Peumen !
C’est une très vieille racine sémantique qui signifie protéger !
…
Une confirmation par sa géographie préhistorique ?
Ce relief de craie blanche, un peu jaune, avec ses silex coupants et blessants a sans doute été responsable, et RES ponçable, pendant des millions d’années parmi les ongulés, et les hippopotames locaux, de la création des équidés et de leur sabots protecteurs, et pendant quelques milliers d’années de leurs parasites usurpateurs… devenus, par la force des choses, protecteurs ?
Croyez-en les crus de cette région, l’écru friable des coteau, et les crues du Cher…
et ses silex lavés et mis au jour, dans une rivière, parfois rouge de sang
qui précipite les animaux et les hommes vers ses minéraux salvateurs
mais fortement assaisonnés de quelques mystérieux cristaux
et excréments de tout l’amont, jusqu’au fin fond du Massif Central.
Où tout doit être prêt pour les bêtes… et non la Bête de l’Èvènement…
pour en faire bonne garde…
par J. C., Jules César, pour le volontaire J. C., Jésus Christ…
de toute cette connaissances des terroirs… tes roux art… dit parfois t’es roues art…
Il est vrai que la toponymie est très minérale, très évocatrice en matière de roches : La Roche, Les Verriers, Pierrefitte, Roujoux, avec même des allusions à la laine prise dans les épineux des hauteurs un peu sèche : Le Bois Lainé, près de la Brosse…
Enquête à poursuivre sur place et avec Géoportail !
À la saint Saturnin, 29 novembre, il faut déjà en avoir fait quelques tricots, même si c’est de la laine de bison, de mammouths ou de rhinocéros laineux… chipés incognito… et lavée dans le cher Cher, en y ajoutant des plumes de nos oiseaux migrateurs…
pour l’écrire de Blois, bl, bl, bl, bl, oie, oies Wouah ! Blue Aaah !
pour en remettre tout en ordre et d’applomb !
…
Une confirmation par l’ancien français…
La chose géographique, géomorphologique et géologique, ainsi que ces qualités et fonctions préhistoriques et historiques, peuvent être confirmées par l’ancien français médiéval à travers le Godefroy, avec le mot pouier, poiier, poier, pouillé, puillé, puier, pier… où Pouillé, phonétiquement, désigne le fait de monter, de gravir, de grimper, de faire monter, d’augmenter, d’accroitre, de s’appuyer, etc., en désignant notamment la montée d’un tertre, un appui, un parapet, etc., sachant que notre orthographe est une invention récente du XVIIe siècle, particulièrement piégeuse pour les zélés sectaires… qui se dénonceront d’eux-mêmes en essayant d’en pinailler… MEUH !
https://micmap.org/dicfro/search/dictionnaire-godefroy/puille
https://micmap.org/dicfro/search/dictionnaire-godefroy/puier
Ce mot peut aussi désigner, depuis ce parapet, avec son entrée, vallon du Ruisseau du Bourg, terme rappelant une fortification, un héraut, dit pohier, pouhier, etc. c’est-à-dire un crieur public, chargé d’annoncer les nouvelles, sachant que le verbe poier, pooier, puier, etc., est une forme du verbe pouvoir :
https://micmap.org/dicfro/search/dictionnaire-godefroy/pohier
Le terme est également proche de poier, poisser en rappelant que les poteries antiques étaient poissée pour en assurer leur étanchéité, tout comme les coques des navires, et que ce lieu est connu pour ses ateliers de poterie de frontière antique, et pour son ancienne navigation sur le Cher.
https://micmap.org/dicfro/search/dictionnaire-godefroy/poier
De plus, Pouillé désigne aussi le fait d’être couvert d’un emplâtre… voire de couvrir, orthographier « pouiller », en parlant de la craie blanche, tuffeau de Touraine, qui recouvre d’une fine pellicule blanche calcaire les silex noirs ou bruns, voire rouge sombre, de ce coteau…
Pouillé a aussi le sens d’injurié, à cause notamment des poux…
https://fr.wiktionary.org/wiki/pouiller
De plus, un Pouillé est un registre ecclésiastique comptable, un grand livre, par lequel on peut apprendre que l’église de Pouillé est dédiée à saint Saturnin, et que le curé y doit taons à l’Église chrétienne catholique romaine… Pardon « tant » !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pouill%C3%A9_(registre_eccl%C3%A9siastique)
C’est un instrument indispensable aux historiens sérieux :
https://www.persee.fr/doc/pouil_0000-0006_1903_mon_3_1
Ce qui en matière de contrôle et de comptabilité de frontière antique, ça fait un peu classe… pour un seul mot, et on aurait le droit, devant tant de sens pertinents, d’en vouloir faire l’héraut, et de s’en sentir insulté de n’en vouloir retenir qu’un seul sens pour des questions bassement mercantiles.
Suivez le regard de l’œilleton caméra de votre lecteur…
Envoyez-moi un(e) selfie…
Sel fit… Pouillé !
…
Une confirmation par bien d’autres toponymes…
L’enquête peut être étendue à tous les toponymes similaires comme Pouillé (Vendée, 85), Pouillé (Vienne, 86), etc. bourgs situés sur d’anciennes routes importantes, et comme les Pouilly, toponyme très présent en Bourgogne et dans le Bourbonnais, sans oublier Pouilly-sur-Loire (Nièvre, 58) toponyme qui pourrait dater d’un temps préhistorique ou protohistorique, où la Loire frôlait l’autre coteau sur la rive gauche laissant la plaine alluviale face à cet endroit (on voit des traces d’une ancienne déviation de la Loire, en amont, à Mouron, sur la commune de Mesves-sur-Loire, dans la Nièvre, et sur Champalay, sur la commune d’Herry, dans le Cher), Pouilly-sur-Serre (Aisne, 02), Pouilly-sur-Saône (Côte-d’Or, 21), etc.
À découvrir tout en géologie sur Géoportail !
Il faut également se pencher sur les autres toponymes Saint-Saturnin, voire, Saint-Cernin, ou Saint-Sernin, comme l’a démontré mes recherches sur ce culte, dans lesquelles on découvre une faune éthique en phonétique très ancienne :
Établir une liste de lieux de culte chrétien catholique romain
à la suite d’un questionnement des environs de Barcelone…
pleinement concernés !
…
Un site gallo-romain connu de frontières antiques !
Cette frontière antique, entre le Berry (jusqu’à Saint-Aignan sur la rive sud du Cher, et jusqu’à la confluence de la Sauldre sur la rive nord), la Touraine (jusqu’à Bourré sur la rive nord du Cher, et sur la rive sud jusqu’à Mareuil-sur-Cher) et le pays Chartrain, diocèse de Chartres qui sera séparé, sous l’Empire romain, en deux avec la création du diocèse d’Orléans (Monthou-sur-Cher, Thésée, Saint-Romain-sur-Cher, etc.), laissant Chartres comme autorité sur le plateau (Pontlevoy, Thenay) sans accès à la rivière navigable.
Ce site est ainsi stratégique pour le commerce romain et la sécurité dans les provinces de l’Empire romain, d’autant que nous avons ici, le contact entre trois provinces romaines : Sens, avec Chartres, Tours, province qui comprenait la Bretagne, l’Armorique, et Bourges qui descendait dans le Sud jusqu’à Castres et Albi.
Comme le Berry faisait partie de l’Aquitaine et que la Touraine et le Chartrain, et l’Orléanais, faisait partie de la Lyonnaise, on doit signaler que la partie berrichonne déteste la partie tourangelle qui en est parfaitement indifférente. La partie berrichonne est plutôt traditionnellement sectairement communiste et la Touraine un peu plus bourgeoisement libérale, les deux collaborant avec les Chinois, voire les Indo-chinois et autres orientaux, y compris ceux des Indes occidentales, les Amériques.
Parfums… par faim… par fins…
C’est bon à savoir pour les enquêtes sur le terrain…
Cette frontière a vu donc des ateliers divers et variés, comme l’ont démontrés les fouilles archéologiques, et les ruines romaines dégagées.
On peut trouver de nombreux ouvrages d’archéologie, sur le Net ou non, portant sur ces découvertes. Exemples :
https://www.persee.fr/doc/racf_0220-6617_1981_num_20_2_2312
https://www.persee.fr/doc/sracf_1159-7151_2016_cat_63_3_2450
https://a2t.univ-tours.fr/notice.php?id=64&menu=Texte
pour les amateurs d’histoire des terroirs ou chercheurs…
avec des bibliographies et des plans bien renseignés.
Un musée pour découvrir ses traces sur place :
Mais, après cet article, vous remarquerez que vous n’avez encore presque rien vu…
et sans doute que vous n’en avez pas encore appris grand chose…
mais la porte, le défilé de Pouillé et son église Saint-Saturnin
vous y emmèneront maintenant.
…
Quelques liens pour aller pour loin…
Ces constats peuvent être renforcés, avec mes précédentes enquêtes sur les églises Saint-Saturnin et les toponymes du même nom, en Région Centre, avec mon indispensable cartographie des frontières des anciens diocèses romains, autrefois nations gauloises, et dans le reste de la France :
Liste et liens : les Saint-Saturnin et Saint-Satur
Le dieu romain Saturne et les églises Saint-Saturnin (1)
Frontières antiques : approche du culte de saint Saturnin (2)
…
La bien sombre crétinerie interprétative actuelle…
Dès 1986, pendant que je cherchais l’explication à quelques noms de lieux de la région pendant la rédaction de mon mémoire de maîtrise sur un cartulaire du prieuré des coteaux viticoles de la Loire, Moncé, sur la commune de Limeray, qui possède une géologie semblable, j’ai découvert que la toponymie était, éditorialement, une vaste supercherie, une énorme tromperie. J’ai mis cela sous le coup de… sous le coût de… et sous le coude… pour m’en aller promener.
Stéphane Gendron, le linguiste, non historien, ni préhistorien, ni géologue, etc., mais toponymiste reconnu dans la région, donne un avis portant sur une racine gauloise pol-, un marais :
https://www.persee.fr/doc/onoma_0755-7752_1994_num_23_1_1205_t1_0279_0000_5
Citons cet auteur à travers son livre Noms de lieux du Centre. Cher. Eure-et-Loir. Indre. Indre-et-Loire. Loiret. Loir-et-Cher. aux Éditions Bonneton, Paris 1998, page 58 :
Pouillé : Poli en 1144. Les fouilles ont mis au jour des fours de potiers, des bâtiments et un sanctuaire de l’eau guérisseuse (Les inondations du Cher, ponctuent la vie de ce sanctuaire comme l’indique une inscription des années 82-102 av. J. C. A cause de l’élévation des eaux, le site fut abandonné, sans doute à l’époque de Marc Aurèle (CAG 41, page 28 ; n° 41)). Généralement, on explique la série « Pouillé-Pouilly » par *Pauliacus, « domaine de Paulius« . Nous préférons nettement l’hypothèse d’un dérivé du gaulois *pol-, « étang, marais » qui convient pour la plupart des toponymes de cette série, très nombreux, en région Centre ; Poillé à Charentilly (37), Poilleium au XIIe siècle ; Poillé à Neuillé-Pont-Pierre (37), Pouaillé en 1307 ; Le Poislay (41), ecclesia de Poli en 1173 ; et peut-être Poilly-lez-Gien (45), Pauliacum en 836 (Pour ce dernier, les mentions anciennes feront bien entendu préférer *Pauliacum, « domaine de Paulius« .).
J’ai également bien pire dans ma bibliothèque personnelle… mais il est vrai que, fait sérieusement, c’est un travail très très ardu et qui demande énormément de temps et de connaissance des terroirs, savoirs qui ne peut être à la portée des salons parisiens ou des « bandes noires » issues du Protestantisme de la Touraine qui en ont ruiné et rasé le prieuré, devenue abbaye de Notre-Dame de Moncé, et pas que cette édifice remarquable là.
Alors que la toponymie, peut s’éclairer judicieusement
avec une bonne ardoise de Trélazé…
et une vraie craie scolaire,
où craie teen rit !
car craie crée…
car un maître des colles, des cols, d’école se doit d’être compétent en tout…
alors imaginez un historien des terroirs de son propre patrimoine rural…
Historien diplomatiste, je peux affirmer que le clerc qui a écrit Poli, pour Pouillé, en 1144, avec son style clunisien roman, a eu la bonne idée d’essayer de laver l’injure entendu à l’époque dans ce nom de lieu. Continuons donc avec le Père, le Fils et le Saint-Esprit… Un seul homme sur cette terre, à cette date, jour de la saint Nicolas, 6 décembre 2025, sait de quoi il en retourne, et il habite à Langesse (45) sans en être vraiment…
Poli Poly
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Une évocation réelle, visible et perceptible des Enfers et du Paradis…
Vous pouvez maintenant avoir un avis raisonné sur toutes ces questions pourries par les poisons orientales…
Proposez-moi votre réalité un peu déviante !
…
Le choix gallo-romain d’un vocable bovin, viticole et paysan…
Vous pouvez maintenant en tirer les conclusions qu’il faut…
et la suite que vous devez lui donner…
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Pour en restaurer une réalité viable
et compréhensible
à toutes les bonnes volontés,
mise en jeux, ici, de connaissances
…

















