Noël Saint-Nicolas : culte médiévalo-antique gréco-romain

Questionnements de sens cumulés successifs infinis ici un peu définis

La preuve de la spiritualité phonétique

dysorthographique médiévale !!!

Feue faite et absolue cas(E) d’eaux apocalyptiques

Un sein nid colla un cas d’eaux pour… des mottes et…

en mare y a jeux… un peu ferrugineux… plus bas…

Plongée dans l’infinie poésie

des noms de nos lieux…

La taupe honnie mit le top aune y mit… la toponymie.

Cadeaux de bonnes us et c… à déballer lentement, judicieusement

DSCN4919

L’église Saint-Nicolas de Saint-Nicolas-des-Motets (37)

sur la route entre Blois et Château-Renault… entre l’Orléanais et l’Ouest…

lieu-dit routier évocateur au sud-est des mines de fer de l’ancien pays des Carnutes.

Le Père Noël, patron des bouchers, des boulangers, des marchands, des étudiants, etc.,
sur la route parallèle au Chemin des Poulains parmi les élevages de la Gâtine tourangelle
entre le grenier à sel d’Herbault et les tanneries de Château-Renault
sans doute pour compenser Saunay (nés dans le sel ?),
souvenirs éternels de la légende des trois petits enfants
qui allaient glaner aux champs… et des autres !

Photo Nicolas Huron

+++

Trophée romain

Trop fée

Trot fait

Pour les toponymes Saint-… ancien, voir Saint-Plantaire !

Illustrer l’ouïe, vos yeux et mate air

de nos panneaux routiers

et de nos cartes…

L’ARMES !

SP…

V

Au regard des cartes et inventaires partiels ci-joints, nous posons ci-dessous ces questions d’historien que personne ne se posent. Faites donc ici comme des enfants auprès du sapin de Noël. Ouvrez vos cadeaux sans savoir vraiment ce que vous y trouverez et sans vraiment savoir qui les a déposés ici-bas.

Pour mieux réussir, il faut ouvrir et consulter mes cartes avec cet article et y sortir, dans d’autres fenêtres, les cartes des Saint-Nicolas de France et de la Région Centre, comme cet exemple :

Saint-Nicolas-des-Motets ? Saint-Nicolas d’émotté ? Dême ôtée ? D’aime hautée ?

Des motets ? Les mottés ? Lée motté (dolmen) ? Lays mottées en fonderies ?

L’aime au T’es ? Les mots T ? Laid m’hottait ? L’aime hôtée ? Etc.

Prenez un cahier et un crayon de pas pillé et changez…

Et vos yeux s’illumineront…

d’orthographes !

Pour la culture, Général !

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Saint-Nicolas de Myre (vers 250 – + 345)

Il existe beaucoup de documentations plus ou moins extraordinaires sur ce très célèbre saint des Églises catholiques et orthodoxes (voir notamment : Wikipedia ; traditions de Noël ; etc.), fêté le 6 décembre, patron de la Russie et de la Lorraine, patron des écoliers et des étudiants, des jeunes filles et des jeunes hommes à marier, patron des prisonniers, des tonneliers, des parfumeurs et des pharmaciens, patron des marins (notamment anglais) et des mariniers, patrons des marchands, des bouchers, des commerçants et des boulangers, etc.

Le voyage des reliques de saint Nicolas en 1087

Un évènement qui eut un impact pacificateur sur les envahisseurs du royaume des Francs, avant la création du concept de Royaume de France, fut la sauvegarde, contre les pillages et dévastations musulmanes, des reliques de saint Nicolas de Myre (on peut y visiter en photos son tombeau de style oriental romain), évêque de Lycie (Anatolie, actuellement sous occupation turque), effectuée par une expédition de religieux de la ville italienne de Bari. Depuis saint Nicolas peut être aussi surnommé saint Nicolas de Bari.

L’après croisade des Seldjoukides et l’avant croisade de libération de 1095

Cet événement fait suite à la prise en 1071 du Moyen Orient et, notamment, de la ville de Jérusalem occupée auparavant par les Arabes Fatimides, par les hordes sauvages de Turcs « iraniens » Seldjoukides issus des tyrannies orientales du Turkestan (allez-y voir… c’est la grande muraille de Chine de l’Ouest assaisonnée longuement et très hautement à la vieille roche grise dont les eaux ne mènent jamais à l’Océan et dont la minéralité empoisonnée et scintillante se cumule… même en Aral et en Caspienne, au point de ne plus vouloir se servir de ses extrémités, sauf en palpations collantes marchandes, ou sinon avec un petit arc chinois sur un cheval volé et torturé pour s’arracher entre camarades quelques morceaux de viande déchirés cachés ensuite sous les selles), dévastation de toute la culture gréco-romaine locale par ses nomades parasites du cheval (et pas que…), « éleveurs » égorgeurs d’agneaux himalayens, eux-mêmes érodeurs et arracheurs de terre, et, de boucs à barbichette et à langue bien remuante et de chèvres s’ex toys désertificatrices tueuses et exfoliantes d’arbres, bandits voleurs de bétails et exterminateurs incendiaires de toute vie sur terre qui n’envisagent l’existence que soumise à leurs infinis besoins et menus plaisirs de tortionnaires pillards anthropophages, la plupart du temps lépreux ou syphilitiques…

à cause de la concurrence commerciale et esclavagiste

avec les soies et épiceries chinoises et indo-chinoises…

sachant que les dits Sino-… leur offrent tout

gratuitement ou presque pour leurs défenses…

Les prémices importants… d’avant 1087

L’église de l’abbaye Saint-Nicolas d’Angers, ville d’un grand port fluvial, fut fondée par Foulques Nerra, en 1021. Elle est mentionnée en 1057 comme “monasterium beati Nicolai” dans un acte du roi de France Henri Ier (Recueil des historiens des Gaules et de la France, tome X et XI, Henri, n° 107), quatrième roi de la dynastie capétienne et époux d’Anne de Kiev venant du monde orthodoxe dont saint Nicolas est un des saints les plus importants.

Succès au nord de ce culte : fin du XIe siècle – XIIe siècle.

Le culte de saint Nicolas prit une importance très grande, surtout dans le nord du pays à la suite de cette translation des reliques, mais aussi à la suite de la stabilisation des invasions normandes du IXe siècle.

Pour démêler une belotte de laine ou un filet de pêche,

il faut parfois en brouiller les cartes embrouillées…

Démonstration des monstres à « scions »…

Pour happe lait, un chat Hun, chas et rat peler en corps encore un chas un chat, en parlant de cheminés, voire de cheminées, ces invasions dévastatrices d’esclavagistes gros viandards, trafiquant habituellement leurs blondes et autres minéralités (à orthographier…), pour en remplir bag dad, entre la Mer Baltique et la Mer Noire, vivant en rondins de bois, amenèrent dans le pays la féodalité mafieuse, comme celle des PME prussiennes dites « allemandes » d’esclavagisme international capitalisto-communiste sévissant toujours… ici bas.

Les chats ne faisant pas des chiens, ces barbares, parasites du cheval que personne ne soupçonnerait comme excellents cavaliers, qui aiment bizarrement les glissades collectives en surfs géants, appelés « draps-car », qui aiment comme le faisait saint Pierre et ses potes (dont le Christ s’est débarrassé en le faisant décapiter dans la villa de loisirs de l’Empereur Tibère à Rome) au lac de Tibériade, pêcher au filet, ont une jalousie à en matraquer les bébés phoques à la chaîne, massacrer les dauphins en masse, et chasser inutilement les baleines, mais sont prévoyants au point d’en conserver les saumons fumés et les sots monts comme Chaumont-sur-Loire, et le hareng saur, comme Amboise où l’art en sort, ou la viande séchée, comme les bons cuirs tannés de Château-Renault, et qui adorent les golfs clairs, comme la Hollande espagnole, et le gazon bien tondu voire le tonsuré bien cuit… voire totalement scalpé pour le confort de la jolie vue de leurs blondes incendiaires adultérines, encore toutes rennes, en corps toutes reines, etc., évidemment, et vie d’amants, et vide amant, en bons « végétariens », à en croire Hélène de Troie, la véritable conquérante de cette ville… et la Joconde du conte d’Amboise, joli « mets »… avec son pot de basilic pour s’assaisonner.

À choux choux…

à show et à chaud…

à choses et à shoes…

quand on aime les trucs tordus, cornus… et quelque peu dragonnant…

Peut-être bank oui (VI en épigraphie romaine)… ! Peu tète bank NOM ? NONI… ?

Peut-être bank oui (mouton en gaulois) ? Peu tète bank NOM !

Vive y vit ! VI VI VI ! Oui, oui, oui, Peut-êt’e bin QUEue VI P…

Peu tête, bi(e)n que oui ? Peut-êt’e bi(e) n que nom… !

sans pousser mémé dans les orties,

en parlant d’eux, de

réponse de Normand,

ceint Nicolas, Sain nid colla, seins nient col à…

c’est logiquement de l’humour franc, Nord mâle ment…

comme leur déforestation à saunas, la ruine totale et le pillage presque complet de l’Église chrétienne catholique romaine locale (qui finira par en demander des comptes d’œufs faits par la Réforme grégorienne, et des comtes d’eux faits, voire des contes de fées et de « sors scier » et de « sors si air…euh »), avec en sus leurs donjons quiets en kit à grosses billes sur mottes seigneuriales, dites féodales, où saigneurs rient (h)all(e), et par suite, la prise de l’Angleterre par ces mêmes Normands, conduisant à la poussée germanique à l’ouest (les USA ? ensuite ? en suie te…) comme à l’est (URSS ? et happe raies… et après ?), suivie de l’influence italienne de l’Eglise catholique romaine…

Le Père Noël, dont l’habit originel est vert, teinture empoisonnée,

passe par la cheminée… très cheminée ? Bien cui, cuit, QI… ?

entre autres oiseaux migrateurs… on se comprend.

On attribue un armement particulier à ses Normands, mais il faut savoir qu’ils étaient équipés comme les Francs, voire même par les Francs eux-mêmes, aux frontières, qui devaient quelque peu s’ennuyer sans leurs blondes, et autres rois fainéants, sauf ponctuellement sous Charlemagne, roi des Francs que tout le monde prend encore pour un empereur Germain… enfin, ceux qui veulent tirer la couverture à soie…, qui les équipa.

En matière de munitions, Munich s’appelle München ! Non ? NOM !

Quand on en retrouve un peu son latin…

Le succès de Saint-Nicolas doit être vu comme une espérance de l’époque, dite parfois superstition, de pouvoir être aider dans des temps de retour timide, notamment climatique, mais effectif à la prospérité agricole et commerciale, à la suite de la dévastation par ceux qui ont eurent un culte dévoué.

Rappelons ici que le Santa Klaus germanique anglo-saxon, n’est autre que saint Nicolas.

mais peut-être qu’en Runes germaniques… ? dont je ne suis pas spécialiste.

Clic-clac ! Saint-Pierre…

Brigitte Bardot, barre d’Ô, Ω, ω…

Brie gîte baie show, B chaud…

mariée à la Ville-aux-Clercs… près de Fréteval et de Morée,

en hommage à son fils Nicolas, à qui je dois mon prénom, et qui se réfugia en Norvège.

Quelques raisons de son succès, toujours d’actualités…

On peut voir plusieurs autres raisons au démarrage du succès du culte de saint Nicolas à la fin du XIe siècle et dans le courant du XIIe siècle :

– Les débuts de la reconquête du territoire par le pouvoir royal.

– La christianisation des barbares Normands qui ont aimé recevoir, torturer, cuire et manger nombre de prêtres chrétiens catholiques romains.

– La lutte incessante contre l’hérésie arienne associée au monde barbare germanique.

– La poussée du commerce bourgeois (surtout du commerce des draps de laines avec l’Angleterre) notamment anglo-normand, parisien, champenois, lyonnais, etc., et donc du développement des villes, de leurs péages, ports, etc., et au final des foires de Champagne et de la Nationale 7.

– La conquête chrétienne de l’est de l’Europe et de son développement au sein du Saint-Empire romain germanique, surtout, dans la zone alémanique, à partir du règne de l’empereur Otton II au Xe siècle.

– Un espoir d’échapper, par l’Église catholique romaine, à l’aléatoire de la justice féodale très souvent mafieuse dont la société vient de se structurer.

– L’espoir possible de sauver les enfants des marchands et de cette nouvelle autorité barbare féodale toujours friande des innovations bourgeoises, de l’argent et des savoirs des villes et des rentes foncières campagnardes, et de l’assentiment de la noblesse royale franque, ou usurpée aux Francs, souvent abusivement.

– Les nouveaux défrichements et les nouvelles terres cultivées et les nouvelles terres d’élevage, souvent brûlées par ses barbares, donnant du grain à moudre boostant les spéculations, le commerce et les métiers de boulange, de bouchers et de bouche.

– La reconstruction en pierres, par manque de billes, des églises et chapelles, abris et refuges, dont le vocabulaire est en partie marin (nef, charpente) et grec, avec la naissance de l’art roman qui romance en images les faits extraordinaires portés par l’Église catholique romaine, s’alimentant de miracles de Dieu et des menaces de l’Enfer, style mélangeant insolemment monstres fabuleux et effrayants des superstitions démoniaques des tyrannies orientales, Ancien et Nouveau Testament, et montrant géologiquement à tous, dans ces temps de grand commerce, comment se sustenter et comment ils s’en sont sustentés, grassement nourris, voire grâcement guéris, et souvent protégés.

– Le début du mouvement des restitutions des biens d’Église de la Réforme grégorienne, initié vers 1089, biens volés lors des dévastations des invasions normandes, hongroises, musulmanes, du IXe siècle, surtout par la force guerrière qui devint féodal et militaire par ces invasions, pouvoir féodal instauré de suzerains en vassaux, c’est-à-dire par serment, respecté ou non, et souvent d’origine et de dérive mafieuse et criminel.

Nid Co (de deux poules ?)… Hola !

Ici-bas ou plus profond…

Ni qu’hauts là !

Au Diable !

Les évocations sémantiques du nom du saint

Son culte est surtout associé à celui de Notre-Dame et à celui de saint Jean-Baptiste, mais aussi dans la Région Centre à saint Pierre.

Il évoque aussi une poussée du Tiers État médiéval commençant à en devenir bourgeois, et marchand, transformation qui s’accélèrera à partir de 1260, et qui sera achevée à la fin du Moyen Age, pour ne guère plus en avoir l’âme fermière à l’Époque moderne (1492-1789). Cette transformation appelle l’idée de cadeaux…

Nicolas est un nom d’origine grecque composé avec nike, νίκη (nikê), personnifiée par les Grecs en Νίκη (Nikê), adaptée par les latins en la Victoire (on reconnaît la lettre N, n grecque, ν en minuscule, et phonétiquement le ic, suivi de toi, de toit et de hoirs, les héritiers, le T étant la représentation d’un trophée romain, Té sur lequel, le romain fait sécher et expose les armes de son adversaire). Il se finit par laos, λαός (laos), le peuple, mot grec semblable à laas, λαας (laas), pierre, pierre à bâtir, rocher, c’est-à-dire synonyme de Lay, Lée, qui en toponymie désigne nos menhirs (en voir le Moulin de Lée, la Pierre David, à Cangey, en Indre-et-Loire, avec son élevage géant de canards ; voir mon étude des noms de lieu de cette commune). Quand on creuse un peu à travers le dictionnaire grec-français Le Grand Bailly, cela va bien sûr plus loin… surtout avec les formes de prononciations et d’utilisations étrangères à la Lycie. Lis si… Lit YCY ! Lie scie ?

Un panneau rame à… panorama !

Avec un peu de curiosité, on y trouve, le verbe racine « olla haut », ὁλάω (holaô), synonyme de « ora haut », ὁράω (horhaô) : voir, avoir des yeux ; être voyant, fixer les yeux ; porter ses regards ; avoir le regard ou l’air de, marquer ou rappeler par l’expression de son regard ; regarder à, faire attention ; viser à, tendre à ; avoir les yeux fixés sur, observer, veiller à ; voir avec les yeux de l’esprit ; percevoir par les sens, entendre, etc. (article très fourni et très intéressant… à découvrir apocalyptique’ment dans Le Grand Bailly). Mais il n’y a pas que cela, et il suffit de chercher. Nycola (Nycola, mer du Nord… assez peu gelée, collée, en général), υκ ? UK ? YC…

Exemples architecturaux

des grosses billes à la pierre…

de style préroman du XIe siècle !

L’église Saint-Pierre de Villeporcher (Loir-et-Cher, 41) vue du nord-ouest.

Photo Nicolas Huron

L’église Saint-Pierre de Villeporcher (Loir-et-Cher, 41) vue du sud-ouest.

Photo Nicolas Huron

L’église Notre-Dame d’Autrèche (Indre-et-Loire, 37) vue du sud-ouest.

Photo Nicolas Huron

L’église Notre-Dame d’Autrèche (Indre-et-Loire, 37) vue du sud-ouest.

Croquis de tentative de « restitution » de Nicolas Huron

Coloration en aquarelle (conservée en mairie) de Julia Jouravleva.

L’église Notre-Dame d’Autrèche (Indre-et-Loire, 37) vue du nord-est.

Photo Nicolas Huron

L’église Notre-Dame d’Autrèche (Indre-et-Loire, 37) vue du nord-est.

Croquis de tentative de « restitution » de Nicolas Huron

Coloration en aquarelle (conservée en mairie) de Julia Jouravleva.

Faites-vous en votre propre idée et votre recherche propre…

face aux Perséides et aux Persée hideux…

en allant se faire voir chez les Grec

sans en choir à l’Ô…

Le Grand Bailly !

V-N

VIKING ? NIKI ?

νικη grecque ? νικι grec ? κιΝ grec ?

Un cul te NIE ? Un(e) cul(hot)te grecque ?

Un culte très instructif !

Une religieuse relecture indispensable…

Son histoire est d’une très grande complexité. Abordons-la ensemble !

Pour vous aider, mes jeux des noms de lieux…

Jouez avec leurs orthographes pour en percevoir une part de vérité locale !

Les oiseaux et la bouffe

En français, Nicolas, évoque aussi les oiseaux, par le terme de “nid”, d’autant que les oiseaux, par braconnage, s’attrapaient à l’époque à la glue, la colle, ou au las, c’est-à-dire au lacets, une sorte de petit collet, un piège à nœud coulant, ayant un nœud souvent semblable à celui d’une cravate….

Pour preuve en Région Centre :

– L’église paroissiale saint Nicolas disparue, de Nids, commune de Tournoisis (45 ; Loiret).

– L’église Saint-Nicolas du prieuré disparu des Fouteaux, commune de Bouffry (41 ; Loir-et-Cher), sur l’Egvonne.

Il suggère donc en lui-même une ressource alimentaire complémentaire médiévale, et, la chasse aux âmes déchues des criminels, et dont les corps, à l’époque médiévale, finissaient le plus souvent jugées et pendues, voire brûlées pour les plus hérétiques.

La prudence et la prospérité sur la route : “Hola !”

Le culte de saint Nicolas évoque le commerce, les marchands, les routes, les ponts et les péages de frontière, la protection contre les pillards, les racketeurs, les criminels routiers, qui sévissaient partout à cette époque de reconstruction en pierres des églises, lieux de franchise blindés, fortification par leur architecture romane très « tortues ».

Pour preuve en Région Centre :

– L’église de Brezolles (28 ; ancien diocèse de Chartres), non loin de la frontière nord-ouest du diocèse de Chartres, sur la grande route allant de la Normandie à Chartres, via Verneuil-sur-Acre et Châteauneuf-en-Thymerais.

– L’ancienne église paroissiale Saint-Nicolas, disparue de Courville-sur-Eure (28 ; ancien diocèse de Chartres), avec un pont important sur l’Eure, près du lieu-dit La Justice, mais aussi sur la route de Chartres au Mans, via Nogent-le-Rothrou.

– L’ancienne église Saint-Nicolas d’Epernon, dévastée à la Révolution et démolie en 1865, autrefois église du prieuré Saint-Thomas située faubourg du Grand Pont, transformée en paroisse en 1551. (28 ; ancien diocèse de Chartres).

– L’église Saint-Nicolas de la Ferté-Vidame (28 ; ancien diocèse de Chartres), sur la route de la Normandie à Chartres, via l’Aigle et Senonches, en lisière de forêt.

– L’ancienne église paroissiale Saint-Nicolas, disparue de Landouville, commune de Tremblay-le-Vicomte, ou de Tremblay-les-Villages (28 ; ancien diocèse de Chartres), près du lieu-dit Le Péage, sur la grande route allant de la Normandie à Chartres, via Dreux.

– L’ancienne église paroissiale Saint-Nicolas, de Maintenon (28 ; diocèse de Chartres ; église transformée en salle d’exposition) et son pont sur l’Eure.

– L’église Saint-Nicolas de Sorel, commune de Sorel-Moussel (28 ; diocèse de Chartres), sur la rivière de l’Eure, en frontière du diocèse de Chartres.

– L’église de Beaulieu (36 ; ancien diocèse de Limoges), vigie sur la frontière des diocèses de Limoges et de Chartres.

– La chapelle Saint-Nicolas, près la Cour Saint-Nicolas, sur la commune de Château-la-Vallière (37 ; ancien diocèse du Mans), sur la route d’Angers à  Tours, non loin de Souvigné, au passage de la frontière du diocèse de Tours.

– L’église Saint-Nicolas de la Ferrière (37 ; ancien diocèse de Chartres), avec son pont sur la Dême, ses toponymes du Carrefour Saint-Nicolas, Beauvais, etc., site situé en bout d’une avancée du diocèse de Chartres, dans des mines de fer, partagées aussi entre les diocèses de Tours et du Mans (voir la carte ci-dessus). L’outillage agricole de la Beauce… Le silex, dit autrefois « fer » et le fer, quand le charbon de bois peut se faire fer… Hier, -ière signifiait sacrée en toponymie locale. Et aujourd’hui ? Fer rit air !

Le terroir de la Ferrière (Indre-et-Loire ; 37), étincelles, silex, fer, forges, fonderies, étoiles.

σιδηρος (sidêros), fer, pointe de flèche, épée, hache, faux, hameçon…

σιδηρόω (sidêroô), sidération, sidérer… sido, siderer, asseoir…

Sideror, siderari, subir l’action funeste des astres, insolation…

N’ichô, ἰχώ, sang transparent des dieux… Larmes des plaies ?

Visitez-en l’église sain nid colle à… l’affaire hier…

Photo Nicolas Huron

– L’ancienne église Saint-Nicolas, dont les vestiges sont encore visibles, de Preuilly-sur-Claise (37 ; ancien diocèse de Tours) avec son pont sur la Claise, sur la route de Tours à Limoges, via Tournon-Saint-Martin.

– L’église Saint-Nicolas de Saint-Nicolas-de-Bourgueil (37 ; ancien diocèse du Mans), sur la route d’Angers à Tours, par le haut du coteau de la Loire avant l’entrée dans le diocèse de Tours.

– L’église Saint-Nicolas de Saint-Nicolas-des-Motets (37 ; ancien diocèse de Tours), à mi-chemin entre Château-Renault et Herbault, sur la route de Blois au Mans, en limite du diocèse de Chartres.

– L’église Saint-Nicolas de Tavant (37 ; ancien diocèse de Tours).

– L’ancienne église du prieuré Saint-Nicolas de Vallières, disparue, commune d’Autainville (41 ; ancien diocèse de Chartres), entre la forêt de Marchenoir, et la frontière des diocèses de Chartres et d’Orléans.

– L’église Saint-Nicolas de Bourguerin (de bourre gais reins ? deux bourgs gués Rhin ? de Bourg Guérin ?), commune de Droué (41 ; ancien diocèse de Chartres), dite chapelle de la paroisse de Notre-Dame Boisseleau en 1177 (« ecclesiam Beatae Mariae de Boisselis… et in eadem parrochia capellam sancti Nicholai« , Métais, Chartes vendômoises, CII), près du lieu-dit, toponyme de pont, La Planche, sur une route secondaire reliant Chartres et Vendôme.

– L’ancienne église du prieuré Saint-Nicolas de Vallières, disparue, commune d’Autainville (41 ; ancien diocèse de Chartres), en lisière de la frontière naturelle de la forêt de Marchenoir.

– L’ancienne église paroissiale Saint-Nicolas, disparue à Blois (41 ; ancien diocèse de Chartres), située autrefois dans le faubourg du Foix, en dehors des murs médiévaux de la ville, entre l’actuelle rue Anne de Bretagne et les Degrés Saint-Nicolas, détruite pendant la Révolution. L’église Saint-Nicolas actuelle est en fait l’église de l’abbaye de Saint-Lomer, qui devint paroisse Saint-Nicolas après la suppression de ce monastère.

– L’ancienne église du prieuré Saint-Nicolas des Fouteaux, disparue, commune de Bouffry (41 ; ancien diocèse de Chartres).

– L’église Saint-Nicolas de Fréteval (41 ; ancien diocèse de Chartres), prieuré-cure de l’abbaye de Marmoutier, prieuré fondé en 1096, près d’un pont sur la rive droite du Loir. Une église plus ancienne, dédiée à Saint-Victor, existait sur la rive gauche, aussi prieuré-cure de l’abbaye de Marmoutier (possession disputée avec l’abbaye de Bonneval). Le célèbre donjon en ruine est lié à la bataille de Fréteval,  sale et monstrueuse victoire anglaise qui saisit et détruisit les archives du roi des Francs, qui suggéra la construction du château du Louvre et notre sauvegarde. Ce château comportait une chapelle Saint-Firmin, puis une chapelle collégiale dédiée à Saint-Georges, à partir du début du XIVe siècle. La paroisse était protégée par une maladrerie dédiée à saint Marc, évocation notable de Venise et de sa lagune commerciale.

L’église Saint-Nicolas de Fréteval (Loir-et-Cher ; 41)

Photo Nicolas Huron

Le serpent d’Eve est la seule sculpture de cet édifice en ruine, un culot de la cheminée…

Sans doute trop étroite, la cheminée du donjon de Fréteval, en appela le passage du…

Photo Nicolas Huron

Ah César… ces arts… s’aise arts…

– La chapelle Saint-Nicolas de la maladrerie des Roches, commune de Saint-Rimay, près du pont des Roches-L’Evêque, commune située sur la rive opposée du Loir (41 ; ancien diocèse du Mans).

– L’ancienne église paroissiale Saint-Nicolas de Montville, village rattaché à Engenville en 1812 (45 ; ancien diocèse de Sens), sur la limite nord-est de l’ancien diocèse d’Orléans, en limite avec l’ancien diocèse de Sens.

– L’ancienne église paroissiale Saint-Nicolas de Nids, disparue, commune de Tournoisis (45 ; ancien diocèse de Chartres), en limite entre les diocèses de Chartres et d’Orléans.

– L’ancienne église de Saint-Nicolas-et-Saint-Mesmin, non loin du Pont Saint-Nicolas, commune de Saint-Pryvé-Saint-Mesmin (45 ; ancien diocèse d’Orléans).

– L’église Saint-Nicolas de Villemoutiers (45 ; ancien diocèse de Sens), près de la grande route reliant Montargis à Orléans, à mi-chemin entre Montargis et Bellegarde

Le patron des mariniers et de marins : l’ancre n’y colla…

Pour preuve en Région Centre :

– L’ancienne église paroissiale Saint-Nicolas, disparue d’Hauterive, à Saint-Maixme-Hauterive (28 ; ancien diocèse de Chartres), par l’attraction de son nom plus ancien.

– L’église Saint-Nicolas de Tavant (37 ; ancien diocèse de Tours), sur la partie encore navigable de la Vienne, avant l’Ile-Bouchard.

– L’ancienne église paroissiale Saint-Nicolas, disparue à Blois (41 ; ancien diocèse de Chartres), située autrefois dans le faubourg du Foix (référence à la boucherie), en dehors des murs médiévaux de la ville, entre l’actuelle rue Anne de Bretagne et les Degrés Saint-Nicolas, détruite pendant la Révolution. L’église Saint-Nicolas actuelle est en fait l’église de l’abbaye de Saint-Lomer, située sur les bords de la Loire, qui devint paroisse Saint-Nicolas après la suppression de ce monastère.

– L’église Saint-Nicolas de Chaumont-sur-Loire, reconstruite en 1882 près de la Loire, et qui était autrefois à flanc de coteau, à l’est du château (41 ; ancien diocèse de Chartres), à l’abri des crues.

– L’église Saint-Nicolas de Fréteval (41 ; ancien diocèse de Chartres), sur les bords du Loir, dont le nom évoque phonétiquement le fret, signifiant le prix du transport.

– La chapelle Saint-Nicolas de la maladrerie des Roches, commune de Saint-Rimay, près des Roches-L’Evêque, commune située sur la rive opposée du Loir (41 ; ancien diocèse du Mans) en frontière entre les diocèses du Mans et de Chartres.

– L’église Saint-Nicolas de Beaugency (45 ; ancien diocèse d’Orléans), sur les bords de la Loire.

– L’ancienne église paroissiale Saint-Nicolas, disparue, commune de Meung-sur-Loire (45 ; ancien diocèse du Loiret), sur les bords de la Loire en aval d’Orléans.

– L’ancienne église Saint-Nicolas de Monçay, disparue, commune de Lailly-en-Val (45 ; ancien diocèse d’Orléans) sur les hauteurs du coteau sur la rive sud de la Loire.

– L’ancienne église de Saint-Nicolas-et-Saint-Mesmin, non loin du Pont Saint-Nicolas, commune de Saint-Pryvé-Saint-Mesmin (45 ; ancien diocèse d’Orléans), sur le Loiret, non loin de la Loire.

On peut aussi mentionner les anciennes paroisses du diocèse de Chartres situées dans le département des Yvelines, sur les bords de la Seine :

Fontenay-Mauvoisin (78 ; ancien diocèse de Chartres).

La Villeneuve-en-Chevrie (78 ; ancien diocèse de Chartres).

Mézières-sur-Seine (78 ; ancien diocèse de Chartres).

Maisons-Laffite (78 ; ancien diocèse de Chartres).

Villennes-sur-Seine (78 ; ancien diocèse de Chartres).

Et ailleurs :

Anse Saint-Nicolas (29 ; Finistère).

Saint-Nicolas-de-Pierrepont (50 ; Manche).

Saint-Nicolas-de-Port (54 ; Meurthe-et-Moselle).

Le patron des bouchers et donc proche des abattoirs et des tanneries

– L’ancienne église paroissiale Saint-Nicolas, disparue à Blois (41 ; ancien diocèse de Chartres), située autrefois sous les jardins des Lys, au-dessus et dominant le Quartier du Foix (évocation du métier de boucher), en dehors des murs médiévaux de la ville, entre l’actuelle rue Anne de Bretagne et les Degrés Saint-Nicolas, détruite pendant la Révolution. Le quartier des Boucheries se trouve intra-muros, sur l’ancien emplacement de l’actuelle Place Louis XII. L’église Saint-Nicolas actuelle est en fait l’église de l’abbaye de Saint-Lomer, qui devint paroisse Saint-Nicolas après la suppression de ce monastère.

– L’église Saint-Nicolas de Saint-Nicolas-des-Motets (37 ; ancien diocèse de Tours), non loin de la Pelleterie (voir mon article sur ce toponyme), de la Saumardière, de la Chevaulière, évoquant le travail des tanneries du secteur de Château-Renault, évoquées par biens d’autres toponymes de ce terroir d’élevage de Gâtine tourangelle, comme Saint-Gourgon, le Liège, etc.

Abreuvoir de Saint-Nicolas-des-Motets (Indre-et-Loire, 37)

assaisonné de pierres bien ferrugineuses… afin d’en oxygéner les occis gênés

comme on peut encore l’apprécier de M. André Raimbourg dit Bourvil.

« L’halle colle… oui, mêle aux fers rugis… »  paroles de Normand !

Et de la dive bouteille, gras halle, parfois dit Graal…

Photo Nicolas Huron

Et ailleurs :

Bazainville (78 ; Yvelines) près du Relais du Pavé, et du Bœuf Couronné.

La Queue-les-Yvelines (78 ; Yvelines).

Le Bouchet-Saint-Nicolas (43 ; Haute-Loire).

Saint-Nicolas-de-la-Taille (76 ; Seine-Martime).

Saint-Nicolas-des-Laitiers (61 ; Orne).

A Noël, n’oubliez pas le verre de lait au bord de la cheminée… Sinon, gare !

Les chapelles avant les églises

L’époque du succès du culte de saint-Nicolas, vers la fin du XIe siècle et au début du XIIe siècle, est l’époque où les chapelles, “capellae”, en rapport avec la cape de saint Martin, prennent le nom d’église, “ecclesia” en rapport avec l’assemblée grecque des hommes propriétaires agriculteurs décisionnaires. Il s’agit à l’époque de construire des abris militaires temporels et spirituels contre les bandes de pillards, le plus souvent anglais ou bretons.

Le culte de saint Nicolas offre une archéologie de cette transformation.

Pour preuve, deux communes :

Saint-Nicolas-la-Chapelle (10 ; Aube).

Saint-Nicolas-la-Chapelle (73 ; Savoie).

Un culte de décembre lié à l’hiver, au froid et à la neige

Pour preuve les cartes !

Toponymes Saint-Nicolas

Un culte lié à la clairvoyance et à la lucidité

Les noms de lieux Saint-Nicolas, évoquant le patron des étudiants, sont souvent liés à un panorama, une hauteur de vue. L’étude des micro-toponymes proches sont très évocateurs à ce propos : Bourgueil, Motets, Vallière, Chaumont, Montville, le Roi, Saint-Pierre-de-Réveillon, etc.

Exemple : Saint-Nicolas-du-Tertre (56 ; Morbihan).

Ce culte des marchands est souvent aussi lié à des abreuvoirs, des fontaines, etc.

Exemple : Clairefontaines-en-Yvelines (78 ; Yvelines).

Et les cadeaux ?

– L’ancienne église Saint-Nicolas, aujourd’hui privée, de Villeberfol, située près de la Fontaine Saint-Nicolas, commune de Conan (41 ; ancien diocèse de Chartres), près de la Fontaine Saint-Nicolas, des Cantineries, de la Potence et sous les Buttes de Véniel.

Un culte lié à la naissance des créations et franchises urbaines

Ce mouvement des franchises commerciales et municipales urbaines accordées par le roi ou par ses seigneurs vassaux, et un mouvement de création urbaine, se retrouvent dans le culte de saint Nicolas.

Exemples :

Villeneuve-Saint-Nicolas (28 ; Eure-et-Loir).

– L’église Saint-Nicolas de La Villeneuve-en-Chevrie (78 ; Yvelines).

Il est aussi associé aux zones de triages, aux faubourgs, aux aires d’examen des marchandises ou des bêtes.

Le culte de saint Nicolas et la croisade des Albigeois

On peut ne pas voir le rapport entre l’introduction du culte de saint Nicolas à la fin du XIe siècle et au XIIe siècle, et la croisade des Albigeois, extirpation de l’hérésie cathare, au début du XIIIe siècle, cependant, il est remarquable que la scission entre le nord du royaume de France sensible à ce culte et le sud est à remarquer.

En effet, l’hiver, au sud, comme la vie, est bien moins rude, les précautions moins préoccupantes et le loisible, avec tous ses péchés mortels, plus accessible à ces cervelles plus échauffées que des cerveaux.

Un choc entre les matriarcats nordiques et le matriarcat méditerranéen…

Au sud le culte semble s’être développé en moyennes ou hautes montagnes, dans les zones portuaires et au bout de la partie navigable de la Garonne.

Une illustration régionale d’une fracture climatique

La Région Centre illustre bien cette rupture où, on peut voir qu’aucune église Saint-Nicolas n’existe dans le Berry, encore traditionnellement de “gauche”, que ses églises n’existent qu’en frontière de la douceur tourangelle, mais qu’il est très présent dans le nord du diocèse de Chartres, et autour de la zone frontière de la forêt de Marchenoir et de son prolongement par la forêt de Fréteval, zone forestière offrant une dépression venteuse naturelle plus froide et humide, une sorte de barrière climatique, refuge et repère potentiel de bandits au sein de la plaine agricole de la Beauce et de la petite Beauce.

Le culte s’est installé auprès de frontières antiques, mais évoquent aussi des frontières climatiques, spirituelles et temporelles.

Eglises-St-Nicolas

Le n latin en script est un oméga à l’envers

il s’écrit v en grec en minuscule

et N en majuscule…

Contradiction ?

Vol(e) ?

Vers l’infini questionnement…

Examinez votre Saint-Nicolas (ou le sein Nicolas de BB et le verre de lait) de près avec tout son environnement géographique et historique associé et vous serez surpris des surprises et découvertes historiques obtenues.

“Nike”, la Victoire, “o” liaison sémantique masculine, “las”, évoquant le latin laser, résine aromatique, lass…, la fatigue, la lassitude (donc qui la vainc), mais aussi le latin las, synonyme ancien de lares, âmes des ancêtres défunts, protecteur du foyer familial, de la demeure, et aussi de la maison en parlant des oiseaux, en rapport avec le latin larus, la mouette.

Nie colle à…

Nid de goudron ?

κόλλα, ης (ἡ) gomme ; d’où colle.

Véritable loi de l’attraction ?

Nie chaos νικαω NIKAÔ vaincre vain creux.

Infini questionnement et recherche pour le contemplatif temporel et spirituel !

NI… COL… AS

Demandez à en savoir plus !

Avec un relais patrimonial !

Aide et jeux, et bénéfices à la clé…

Prix indicatif pour le faire vous-mêmes… avec aides sur honoraires…

Frontières antiques - Animation-conférence

Signaux… routiers…

À vous d’en jouer !

Dupe Hun et des JE pour du pain et des jeux…

et de συνίω, syni-ô, comprendre, si nie Ω, ω (ὦ μέγα) oméga, si nid haut…

Césure de fin pour doc

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