L’église de Saint-Michel-de-Volangis (18) témoin d’un syn mi shell

Saint-Michel ?

De quelle langue s’agit-il ?

en la géologie karstique… de

mollusques bivalves en molle US queue…

L’église de Saint-Michel-de-Volangis (18)

en une christianisation d’un syn mi shell

avec ses huîtres géantes du Jurassique

phonétique de faune-éthique…

avant d’être ainsi

écrit

Saint-Michel

près de l’ancienne voie romaine de la Chaussée de César,

qui en devint par le roi Charles VII, Chemin de Jacques Cœur, en

ancienne étude et compléments étonnants…

Cliquez sous la couverture

pour consulter le fichier pdf de

mon ancienne étude-inventaire de son histoire architecturale en 52 pages :

Nicolas Huron : L’église Saint-Michel de Saint-Michel-de-Volangis (Cher) – Dossier ECCLESIA juillet 1991, ouvrage de la conférence du vendredi 19 juillet 1991 – Université François Rabelais – Tours –ASDRA – ASsociation pour le Développement de la Recherche Appliquée à l’animation culturelle en Région Centre – sous la direction de Bernard CHEVALIER, professeur d’histoire médiévale – Droits rachetés par Nicolas Huron, responsable et créateur du projet ECCLESIA pour l’ASDRA.

Ouvrage associatif aux droits acquis par son auteur,

relu et corrigé bénévolement, la veille de sa conférence datée du vendredi 19 juillet 1991,
par ma mère, Marie-Claude HURON, née DEPUSSAY à Françay (Loir-et-Cher),
sa maison d’édition véritable, blésoise,
en sa bonne ville royale et agricole de Blois,
à une époque où son auteur, moi-même,
était encore illettré et dysorthographique.

Mon étude de l’église Saint-Michel de Saint-Michel-de-Volangis (Cher, 18)

Cliquez juste ci-dessus ou ci-dessous pour le savoir avec mon pdf de 40 pages.

Lien transparent : https://patrimoine-rural.com/Nicolas-Huron-Saint-Michel-de-Volangis-18-Eglise

à rénover…

avec mon Poli poly-pôle ECCLESIA +

avec des exemples en « boutique » à votre service

et quelques compléments de recherches et quelques précis ions+- si dessous.

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et qui me servit à financer mes études de maître d’école…

Nicolas Huron : panneau explicatif

à télécharger en bien lisible… et à partager au format pdf ou jpg

https://patrimoine-rural.com/Panneau-Saint-Michel-de-Volangis.pdf

https://patrimoine-rural.com/Panneau-Saint-Michel-de-Volangis.jpg

avec ses compléments sûrs prenant…

ci-dessous

Vole en arc qu’en jeux

en vol en archange de croyances orientales

pour en voir la colle entre la Préhistoire et l’Empire romain

en trois articles et un complément

pour comprendre Saint-Michel-de-Volangis et son église Saint-Michel

pour en étudier et comprendre la cartographie et les enjeux…

Frontières antiques : approche du culte de saint Michel

L’église de Lourdoueix-Saint-Michel (36) témoin d’une porte complexe

L’église Saint-Michel de Chârost, une lourde étudiée avec précisions…

Extrait de mon étude d’inventaire de 1991 :

La « Vicaria » de Volangis

Buhot de Kersers nous apporte la transcription d’un texte des alentours de l’an 900 qui fait mention d’une viguerie portant le nom de « vicaria Volumniacensis » et d’une « villa Volumniago« . Ce texte conservé dans le fond de l’abbaye de Saint-Sulpice (de Bourges), ne fait pas mention de l’église Saint-Michel. Existait-il une église à cette époque ? Il est actuellement impossible de répondre.

Il faut attendre le début du XIIIe siècle pour voir apparaître la première mention du lieu sous le nom de Saint-Michel-de-Volangis, « Sanctus Michael de Volungi« , en 1214.

Fin de l’extrait.

Petit complément de diplomatique…

Avec un dictionnaire latin, on perçoit une certaine allusion antique à travers la traduction latine utilisée par les clercs carolingiens du lieu-dit et domaine foncier identifié par Buhot de Kerser comme Volangis. Volumna est, chez les Romains, une déesse protectrice des nouveau-nés, ayant son pendant masculin Volumnus. Ce nom de dieu romain est collé à « ago », qui évoque ager, un champ, un domaine foncier, le fait d’agir, mais aussi . On peut trouver les mentions « Volumniacensis » et « Volumniago« , identifiées comme Volangis plutôt bizarres, mais on peut signaler que c’était une pratique assez fréquente dans les actes carolingiens où les clercs montraient un peu leur savoir catholique romain dans un monde encore barbare et insécure où il fallait composer avec toutes les superstitions de secours, y compris celles issues et subsistantes du monde romain.

Sans oubliez que Jésus de Nazareth, aurait dit que

ce que vous faîtes au plus petits d’entre eux, vous le faites à lui-même,

mais peut-être que l’interprétation indiquée n’est pas ici dans la bonne langue

et que le présent intemporel n’est peut-être pas celui du présent historique, quoique…

Ceci nous indique que les auteurs faisaient un lien entre les petits enfants, considérés dans beaucoup de culture comme des anges, et la phonétique « vol en j’y », « vol ange y », « vaut l’ange y », « veau l’ange y » évoque aussi le lait de vache au cas où la mère meurt en couche… C’est une écriture pour évocations à tiroirs, à tire hoirs.. Il faut cependant indiquer ici que les vigueries rurales des temps carolingiens ont une localisation le plus souvent incertaine, d’où la nécessité de la diplomatique, science annexe de l’historien médiéval, pour les -niago et autres nids à Goths…

Car elle les veut souvent les plus gros et grosses possibles…

et que parfois, cela ne passe pas… blesse ou tue… comme César en fit preuve !

La mention de 1214 est bien plus respectueuse de la phonétique utilisée pour le village en question et nous indique que le phrasé Saint-Michel-de-Volangis est un phrasé ancien, et que le « an » de Volangis pouvait se prononcer comme « brun », sachant que Volangis était le nom du terroir foncier, identifiable au val, auprès de la rivière du Langis auprès du lieu-dit et village de Saint-Michel, et qu’il faut sans doute notamment comprendre cette dénomination comme « Vaux Langis », pluriel de val du Langis, avec un s qui ne se prononce pas, sachant que les rivières changeaient parfois de nom pendant leur cours dans les milieux ruraux.

Cheval, chevaux ; chenal, chenaux ; bocal, bocaux…

Ce collage avec le Langis est également notable à Soulangis, commune voisine en amont, qui est notamment à comprendre avec le préfixe gaulois su-, bon, bien, le préfixe gaulois suli-, bonne vue, et avec le préfixe gallo-gréco-romain soul-, συλ, en même temps, ensemble, lieu de réunion des ruisseaux intermittents de Pierre-Vieille et de Marcillie, tout en y acceptant la notion de dépouillement à travers le radical soula, soulé, représenté par le verbe de grec ancien soulaô, συλάω, ôter, tirer, dépouiller, sachant que les Gaulois utilisaient l’alphabet grec et qu’ils avaient les mêmes origines que les Achéens avec des notions linguistiques très similaires et la richesse des suggestions des toponymes de Soulangis comme de Volangis semble aller bien plus loin que cela, notamment pour mieux en comprendre, en ces lieux le prénom Solange, patronne du Berry commémorée par la commune voisine de Sainte-Solange, sol en jeu…

Il faut absolument sortir de l’anthroponymie germano-italienne…

pour comprendre vraiment la toponymie et ses usurpateurs constitutionnels.

Le Langis semble se décrire lui-même avec le verbe français languir, à travers le verbe latin langueo, être languissant, abattu, nonchalant, mais aussi à travers le grec ancien λαγγάζω, allonger, étendre, provenant d’une très ancienne racine, λαγos, lâche, mou, en rapport avec le lièvre aux oreilles molles, mais aussi avec la langue, lagan, l’âge, et l’ange paléochrétien, le jeune blondinet au service de ces messieurs, qui en font toujours un ange déchu… as Trump ! surnommé Trumpi(n)no, par la plèbe, Trump qui, prononcé à l’Américaine, semble utiliser le même son Hun, qui semble identique au « an » du Saint-Michel-de-Volangis des IXe-Xe siècles avec son Volumne , voire même en 1214 avec son Volungi, prononcé à la lyonnaise, à la champenoise, voire à la suisse, voire à la Belge… un peu à la québécoise, comme le hum… anglais ou américain, traduit chez nous par : euh… Mais il est plus intéressant pour l’actualité de savoir que l’anglais hump signifie bosse, en référence au Mont-Saint-Michel vu par certaines ethnies… en son nom original, qui donne avec un préfixe répétitif rump, traduit par croupe, coupion, culotte, postérieur, derrière… Une façon de voir… les deux hémisphères qui feraient penser à quelques coquillages bivalves. Cela n’aurait pas été trop charitable de le mentionner, en char y table… d’ici.

Volangi(s)

pour certains relecteurs avertis…

autour d’un lin seul, voire d’un linceul…

le A pouvant s’ouvrir plus en Eh ! Est, ê, è, ai, est, voire ééé…

en en consultant les sens de ληνός, objet creux, vase, caisse, cercueil…

auge pour faire boire le bétail, huche, pétrin, cavité dans la boîte crânienne…

cavité où s’emboîte le mât d’un vaisseau, sachant que l’eau jaillit à Saint-Michel,

et que son clocher est un mât et un mas sonore et bien visible en secours des voyages

des bandelettes de laine, λῆνος, enroulées autour des bras des images des saints

pour en faire vœux et prières… des femmes et jeunes femmes en campagne…

coutume dont sainte Solange devait être familière…

pour en expliquer ses cheveux…

sans parler du G qui peut se lire j’y ou gui en génitif…

En précisant que les amarres ou les filaments de la grande pinne, le byssus, avec laquelle on faisait de précieux tissus, sont bien semblables aux voies romaines autour de la ville de Bourges, dont on perçoit encore l’ancien terroir rayonnant gaulois, cette roue de la fortune aléatoire et cruelle en esclavagisme, en constatant que les voies romaines drainant les richesses à l’Est et au Nord-Est, vers Sancerre, Sancergues, la Guerche-sur-l’Aubois, Sancoins, traversent très peu de villages qui sont généralement en marge, en campagne. Cette particularité n’est pas constatée vers le Sud, vers l’Ouest, et vers le Nord-Ouest. Sans doute une différence entre la Germanie, sale et barbare, et leurs marchands italiens, et la population plus locale, chartraine, tourangelle, limousine, poitevine, voire auvergnate… Une précaution ou un résultat ? Les deux mon cap It (h)aine…

?

Saint-Michel de vol en gît…

Ceint mis Shell !

C’est plus que d’actualité les cultures et la Culture…

car le Paléochristianisme est de retour avec ses incendiaires…

Mais le français et les Humanités gréco-romaines offrent d’autres suggestions…

que tout le monde peut découvrir à travers mon jeu des noms de lieux

en syn-, en saints, en seings, en ceints, en sains, en seins miches, elle…

notamment par la protection des nouveau-nés par les langes

en baies baies, ici, bien au chaud, sous lange y…

en Langis sous l’ange y… Saint-Michel

derrière le coteau d’Humbligny

pour mieux en comprendre

les poteries de la Borne…

et la brillante cathédrale de Linard

en bord de tubulure du spirographe marin

de cette géomorphologie géante corallienne et en corps inspirante

en marge de ce massif entre Moulins et Orléans, entre Loire et Champagne,

entre Herrisson et la chevelure des rivières de Sologne, en Cosson jusqu’au Blésois…

Un ancien univers marin qui se transforme en corail immobilier…

à découvrir aussi comme une carapace de tortue ou en coquillage sur Géoportail.

Telle une tortue aquatique solognote, qui en pleurant, en aurait pondu ses œufs

à Vierzon, Bourges… à l’IGN de Villefranche-sur-Cher, et même à Tours…

toutes en carapaces et boucliers de légionnaires romains…

tortue rappelée à Saint-Michel-de-Volangis

en évènements de la Guerre des Gaules

pour mes pommes de Saint-Martin-d’Auxigny et des environs…

Localement, on parle plutôt de Saint-Michel et non de Saint-Michel-de-Volangis, et, j’ai découvert que c’était là un très vieux phrasé ou nom préhistorique :

Sein(g)s miss chez elle… en karstique…

Syn Mys Chelles…

σύνμῦςχέλ

Croyez-en la sabelle du Bélizepolychète sédentaire

et qu’il suffisait d’en citer la notice géologique 0519N du BRGM de Bourges…

au Jurassique : j6c. Oxfordien supérieur (zone à Planula). Calcaire lité supérieur. Puissance croissante d’Ouest en Est: minimum 20 mètres. Les calcaires lités supérieurs correspondent très exactement aux calcaires à Pinne décrits en 1874 par Douvillé et Jourdy : «Calcaires caractérisés par la présence d’une grande Pinne {P. obliquata} très abondante dans certains lits et ayant presque toujours conservé sa station normale ».

Vérifiable sur Géoportail… même si c’est un peu difficile à lire…

Avec un panneau routier et une carte à vous donner d’aise elle…

Il est vrai que déployée, la grande pinne, on y verrait facilement les ailes scintillantes d’un ange toute en grande nacre… et tout en phosphore essence… pour en garder les idées claires… Sans doute une poussée de la botte italienne… qui nous en fit les Alpes, le Jura, et la surélévation de Sancerre, et Morogues… mais aussi de Vercingétorix, et surtout de Jules César pour nos bibliothèques publiques…

pour en retrouver ses terroirs…

en tes roux art en terres hoirs,

avec un Esprit sain(T) d’enfant d’ici !

Prix indicatif de 2019 et conjoncturel à faire soi-même avec l’aide d’un expert.

La Guerre des Gaules dans votre commune

La Guerre des Gaules dans votre commune

Faux en cors, encore, en corps payer, paix y est ?

Oui, oui, ou Y… Si cy scie, re… lis lie… lit !

pour ceux qui auraient des doutes, des d’août…

Croyez-en le Fort de Chelles !

Chelles…

χέλ

de par César et Vénus…

ses arts qui s’aisent à Rrrr… Homme, et vaine US que veines eussent

Dieu le Père, Dis pâte aire… et ma mère, ma mer…

en toutes disproportions, méconnaissances et déraison…

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